Titre : Comoedia / rédacteur en chef : Gaston de Pawlowski
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-09-10
Contributeur : Pawlowski, Gaston de (1874-1933). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32745939d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 10 septembre 1920 10 septembre 1920
Description : 1920/09/10 (A14,N2825). 1920/09/10 (A14,N2825).
Droits : Consultable en ligne
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Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/05/2015
10 - 9 - zo
COMŒDIA
a"!'
AUJOURD'HUI - --
AU PERCHOIR, à 15 h., répétition pour la
presse de Tu te rends compte! revue 'en huit
tableaux de Paul Clérouc. — Messieurs les An-
glais, tirez les premiers I pièce en ûnacte, de
René Berton.
L' UPERA, 19 n. 30, reprise ae Les nugue-
nlts opéra en cinq actes, de Scribe, musique
8e Meyerbeer.
*
tt/! LA COMEDIE-FRANÇAISE, 20 h. 45, pre-
lnière représentation de La Mort enchaînée,
Ptèce en trois actes, de M. Maurice Magre.
1 L ABRI, 20 h. 30, première de La rte 1 ne
^denfce, opérette légère, en trois actes, de M.
fj Pingrin, musique de Mme Germaine Ray-
Comédie=Française
Qu'était devenu M. de Féraudy? Son absen-
ce a été si longue, si longue que nombre de
fidèles qui l'aiment bien en dépit de ses. in-
fidélités commençaient à se demander s'il ne
lui était pas arrivé malheur. Grâce au ciel!
il n'était ni tué, ni disparu, mais simplement
, (Dessin de Tor)
4M. de FÊRAUDY
(Isidore Lechat)
^onnier. Oui, prisonnier d'un tes d'obli-
gions étrangères à la Maison, dont il s'occupe
yndaot parfois avec une ardeur si passion-
ée !
t;s spectateurs ont été heureux de le revoir
'ts son admirable Isidore Lechat et les fa-
liers .pensent )!'t assez tôt pour avoir le temps de s'occuper
petites « préparations » de fin d'année,
Revences au Cid de dimanche soir. Le fait
appant, comme je t'ai déjà dit, c'est, avec la
se en scène actuelle, l'air shakespearien de
ne « tragédie ». On sait que les scènes de
enfante, celles d'intknité entre Chimène et
J^gue se passent sur un bandeau d'avant-
%tie devant un grand rideau à La manière im-
rtée en France çer M. Antoine. Il en résulte
changements à vue, toute une animation
matique qui serait bien séduisante, s'il y
quelque unité entre tes rideaux décoratifs,
décors et les costumes. Les uns sont tout
rgés de oe poncif qu'on appelait jadis (avant
bert Carré) le « style Opéra-Comique ». Les
es ont des airs de ballets-russes vulgarisés
les Galeries-Rochambeau. -
Parmi toutes oes vieilleries, ce fut un plai-
de voir soudain bondir un jeune poulain
&ang, mince, racé, vêtu comme ces jeunes
mes qu'on admire dans les fresques de
ich.io ou de SignDrelli. Ei ce jeune hom-
avait une beUe tête au profil en arc, avec
Yeux au grand regard, des cheveux subti-
jf1* retroussés, en somme une tête qui fai-
L^nser !lm; peu à celle du Malatesta que
t^3o a léguée à la postérité. Ce jeune hom-
c'était Rodrigue, un "Rodrigue adolescent
Ve' grêle un peu, mais vif comme une
Je songeais aussitôt à ce Roméo que
%nJe tout comme M. Fresnay aurait pu
bien jouer.
•arquons et notons au passage cette cu-
e transformation, dont je parlais déjà à
os du Gémld de M. Hervé. Alors que le
V^astique des ensembles subit encore le
goût ou simplement te goût d'autre-
^ici de Jeunes coméddens qui, par leur
S 7**® et par leur personne même, incli-
eMn la Comédie aux changements néces-
Nijj Us sont d'un ton et même de deux au-
s du ton établi. Mais ils ont raison, et il
bien que tout suive.
Guantinl a indiqué, fort justement, les
tendances dans son deuxième costume
Chi mène.
Aux premiers tableaux, le Rodrigue de M.
de est fort intéressant. Il est dans le
vement impéFoeux qui convient. Il joue $eu^
^T^cent même ; te résultat est cohérent.
nr4em tableaux et notamment pour le
M. Escande se laisse tenter par le dé-
de jouer en grand premier rôle. Comme
a pas encore les facultés son jeu man-
aussitôt d'ampleur, de naturel et par suite
~¥t IK>W' le puf»k, Il s'efforce à vou-
dire le récit à Ja manière de Mounet-Suily
M. Albert Lambert, au lieu de le com-
se lo n la nature de Maurice Escande. Le
de ces efforts c'est de .porter la voix
comédien à un diapason suprême de façon
4t e. D, où tmtpossibiUoté die varier les
de changer de voix, de changer d'octa-
DEMAIN
Au THEATRE MONTPARNASSE, 20 h. 30, pre
mière -représentation de Marie Gazelle, pièce
en trois actes, 'de M. Nozière.
ve; d'où, en un mot, monotonie. Il y a plu-
sieurs voix. Il faut savoir les employer et dans
chacune d'elles disposer de toutes ses notes.
Le changement de voix voîià l'animation suprê-
me d'un personnage. Tcus ces jeunes corné-
dktIbS, quli sent doués et point du tout bêtes,
disent juste d/ordritoodre m sis ils sont timides
devant l'emploi des trois timbrés: poitrine, mé-
dium et tête. Et ils s'épuisent en vain à -prolon-
ger les syJiiabes, tes voyelles, pour obtenir de
l'expression-, laïquelle vient d'abord du timbre.
GABRIEL BOISSY.
M. et Mme Silvain viennent de jouer à
DeauMMle avec le plus grand succès le Père
Lebonnard. A leurs côtés, on a rpa:r:tic.u.lière,
ment applaudir Mile B. Denège, de l'Odéon qui,
dans le personnage de Jean-ne ,a jo'int à sen
charme habituel, des quatlités d'énergie, de for-
ce et de violence tout à fait remarquables. M.
BonVaUet Jouait avec talent le docteur André,
et M. de Boneouirt incarna un Robert lé^er
et séduisant à souhait. Mmes B. Barat et Va-.
nerase ont partagé leurs succès.
M. André Brunot est re-ntré hier matin à
Paris, venant de Marseille, où il a joue Roger
Bontemps, avec un succès éclatant.
Variétés
Dimanche prochain, à 14 h. 30, matinée de
L'Ecole des Cocottes, dont le suçcès est de
plus en plus considérable. Max Dearly, Spinelly,
Raimu, Thérèse Dorny, Pierre Etchepare, Pier-
re Juvenet, joueront, en matinée et en soirée.
la brilLante comédie de MM. Arment et Ger-
bidon. -
Renaissance
Mme Cora Laparcerie continuant à être très
souffrante et les médecins n'autorisant pas la
grande artiste à recommencer à jouer, M'Amour
le grand succès, continue mcimentanément à te-
nir l'affiche de la Renaissance avec l'excellente
interprétation qui lui vaut, chaque soir, Les ap-
plaudissements unanimes du public toujours
nombreux: Mmes An.ny Toinon, Renée Sauer,
MM. Pierre Labry, A. Mercier, V. Vina, etc.
Nous annoncerons la reprise, de Mon Hom-
me quand la date en sera de nouveau définiti-
vemeiit arrêtée.
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13, rue de Tu in, PARIS (8e) — Central 92-82
TOUTES N. IS SIONS (France et Etranger)
Vaudeville
Voici le retour de Deauville.
Où vont tous ces gens en habit?
Voir La Femme de mon Ami
Au Vaudeville.
Direction d'été; Jacques Wilford.
Palais=Royal
Le succès s'est installé comme une victoire
définitive avec Et moi, j'te dis qu'elle t'a fait
de l'œil!
L'interprétation brille d'un éclat nouveau,
grâce à la rentrée de tous les protagonistes de
cette pièce joyeuse qui réunit ainsi.: Victor Bou-
cher, Charles Lamy, Baron fils, Marken, Sa-
bine et Palau, les plus grandes vedettes co-
liques-
Théâtre Michel
Le spectacle du Théâtre Michel commence
tous les soirs à 21 heures. On voit que MM.
Trébor et Brigon, respectueux de l'heure du
dîner, ne se contentent pas d'offrir à leur élé-
gant public le plus littéraire et le plus couru.
des spectacles avec Les Amants de Sazy, mais
encore, toutes lès chances d'une digestion heu-
reuse.
Empire
Il est incontestable que le répertoire drama-
tique obtient, actuellement, la faveur très par-
ticulière du public. Aussi le di/ecteur intéri-
maire de l'Empire-Théâtre, M. F. Rivers, a-t-il
*
décidé que tout le mois de septembre serait con-
sacré à des Représentations des chefs-d'œuvre
du genre. , ,
A 20 h. 30, ce soir, reprise sensationnelle de
La Goualeuse, qui obtint, récemment, à l'Eldo-
rado, un éclatant succès. L'interprétation réunie
à cette occasion est de qualité exceptionnelle.
C'est, en effet, Mme Yvonne Fraxy qui tiendra
le rôle de la Goualeuse, dans le drame de MM.
Gaston Marot et Allévy; au 4e acte, l'artiste
déploiera les ressources de son talent très per-
sonnel dans des chansons réalistes. Puis, MM.
G. Devar, Marcel Vergne, de Fré, H. Martin,
Dechambre, Leriche, Mmes Chaumont, Vi-
velle, Hoffmann, Boyer. Matinée, dimanche,
à 14 h. 30.
LES A VANT-VREMIZRES
"Marie Gazelle
au Théâtre Montparnasse
J'ai rencontré M. Nozière au Théâtre Mont-
parnasse, où il dirige les répétitions de sa pro-
chaine œuvre théâtrale, Marie Gazelle, pièce
dramatique en trois actes.
- J'ai exposé dans cet ouvrage, nous dit M.
Nozière, le confit d'une comédienne avec- la
bourgeoisie. Mon héroïne est célèbre. Elle a
élevé une filleule orpheline ; elle l'a élevée bour-
- (•CartAitivre de Bib)
M. NOZIERE 1
geoisement, pour lui éviter les déceptions, les
rancœurs, les tristesses de sa propre existence
de comédienne. Qu'arrive-t-il? L'enfant devient
une femme et, jalouse de la gloire de sa bien-
faitrice. reproche à cette dernière de n'avoir
point fait d'elle une artiste. Parvenue à l'autom-
ne de la vie, Marie Gazelle voit se retourner
contre elle ce petit reptile qu'elle a nourri et
élevé parmi tes fleurs ; elle s'est sacrifiée, elle a
renoncé au bonheur, elle s'est offerte en hosti*;
pour une enfant qu'elle voulait heureuse et res-
pectée ; eUe en a fait — hélas ! — une bour-
geoise: c'est la mort de son cœur et l'échec
complet de sa méthode. Sachez encore qu'il y a,
entre ces deux êtres représentatifs, une rivalité
sentimentale ; un jeune auteur, protégé de! la
comédienne, et amoureux de sa Muse et de sa
protectrice, rencontre par hasard la filleule, qui
s'éprend de lui. Que fera Marie Gazelle? Elle
se sacrifiera encore. Mais elle ne le fera que ré-
duite aux abois, et dans une scène de grande
intensité, elle évoquera ses débuts pénibles ré-
vélera sa misère amoureuse et son effroyable
solitude à l'ingrate petite qui lui vole, avec une
désinvolture égoïstement féroce, l'homme qu'elle
aime. C'est ensuite, pour l'infortunée, l'égare-
ment, la folie de l'ivresse, la déchéance morale,
une déchéance estimable, parce que pitoyable et
tragique; — Polaire est admirable dans cette
dernière scène.
« Au reste, j'ai écrit cette pièce pour Polaire,
poursuit M. Nozière. Vous savez quel succès
a obtenu cette grande artiste dans Maison de
Danses!. Elle m'avait joué l'an dernier, chez
Mayol, un simple sketch: Pamela, qui est en
peu l'origine de Marie Gazelle. C'est Polaire
qui eut l'idée de faire l'essai de ma nouvelle
comédie sur tes scènes de quartiers, où elle
a joué Maisons de Danses; le sympathique pu-
blic de Montparnasse, des Gobelins et de Gre-
nelle l'accueillit -triomphalement. Je suis pour
ma part très heureux d'aborder ces théâtres. M.
Feuillet, l'aimable directeur, a engagé, pour
jouer Marie Gazelle, outre Polairer Mme France
Maillane, Mlle Pierryl, Mme Chambly, MM.
; Lagrenée et Landier. Nous travaillons ensem-
ble avec enthousiasme, raï- la bonne fortune d'a-
; voir pour cette création une interprétation par-
faite, vous en jugerez.
« Le décor du premier acte est la loge de
Marie Gazelle ; ceux des deuxième et troisième
aotes représentent une campagne d'automne.
« Et voilà. On dira sans doute que ma co-
médie est une satire quelque peu violente des
mœûrs de théâtre ; elle est aussi et avant tout
une étude psychologique.
M. Nozière nous quitte, pour se rendre à la
; répétition d'un ballet d'action, mêlé de chant,
qui sera représenté le 25 septembre, sur le
théâtre de M. de Ctermont-Tonnerre.
Nous abordons Mlle Polaire au moment où
elie sort de scène. La brillante artiste veut bien
nous confier quelques-unes de ses impressions
relatives au. rôle qu'elle va créer.
- Ce rôf!e est tout à fait dans ma nature, et
Je suis reconnaissante à Nozière de l'avoir
écrit pour moi. je suis heureuse de le créer
sur nos chers théâtres populaires, dont j'aime
tant le public — qui me le rend bien.
- « Jusqu a présent, je n'avais incarné oue -
gamines: Claooine, dix-huit ans, le Friquet
quinze ans, la Charlotte des Hannetons, dix-sept
ans, l'Estrella de Maison de Danses, seize ans
Marier-Claire, de Montmartre, dix-huit ansi
Je vais pour la première fois être au théâtre
une femme. — et quelle femme!. Si .vous
pensiez que cette femme, c'est moi-même, vous
vous tromperiez; mais il est certain qu'à part
la fiction du scénario, il y a quelque parité de
tempérament entre l'héroïne de Nozière et moi.
fPfroto Féflix)
.- 11r.'J//f.-
J'adore ce rôle, Je vais le produtm cvec toute
ma conscience d'artiste, et avec une joie réelle.
Et les yeux noirs de Mlle Polaire reflètent à
cette minute une vive flamme qui anime la belle
mélancolie de son visage.
MARIUS BOISSON.
T rionon=Lyrique
Le répertoire dramatique obtient, dans le co-
quet établissement du boulevard Rochechouart,
un succès considérable. A la demande générale,
M. Rivers, le directeur intérimaire, a décide de
continuer les représentations des Misérables, le
drame magnifique tiré du roman de Viotor
Hugo.
Pendant tes sept jours qui vont suivre, ce
sont les mêmes excellents artistes qui assure-
ront l'interprétation de l'ouvrage: MM. Emile
Marty, Bernier, Leroux, Martin, Leriche; Mmes
Suzy Descenay, Louise Marty, Chaumont. Il y
aura matinée dimanche, à 14 h. 30.
Théâtre Antoine
Demain samedi, à 14 h. 45, matinée de Jfln-,
connu, pièce nouvelle en 4 actes, de Louis ,Ver-
neuil, dent le succès s'affirme à chaque repré-
sentation. Location sans supplément de prix.
Tél.: Nord 36-32; Nord 36-33.
Théâtre de l'Abri
La Reine Ardente, opérette légère, en trois
actes, de M. Ed. Pingrin, musique de Mme Ger-
maine Raynal, qui inaugure la nouvelle direc-
tion de Cl. Rivory, a obtenu, à La répétition gé-
nérale, un légitime succès, des salves d'applau-
dissements ont accueilli tes principaux passages
de la délicieuse partition et « la danse Papou Ut
crée par Mlle Djimmy et M. Zenga, fut un
triomphe. Ce soir. à 21 h., première represen-
tation.
——• t
Théâtre Moncey ,.
XA. cinquantième représentation du magnifi-
que spectacle de réouverture de la grande sal-
le de l'avenue de Clichy, a eu lieu dimanche
soir devant une foule enthousiaste. Monique et
l'Inénarrable Boubouroche ont été acclamés et
ce n'est pas douteux que ces deux admirables
pièces ne soient encore représentées de longs
soirs avec un succès toujours grandissant de-
vant un public de plus en plus nombreux.
.Comœdia'" à Avignon
Nos théâtres. — Les changements de direc-
tion dans i'ApoMo et le Palace Théâtre nous
permettent d'-applaudir chaque semaine une véri-
table pléiade d'artistes aimés et fêtés du pu-
blic. Nous ne pouvons que féliciter de cet heu-
reux résultat MM. Boisseau (de l'Apollo), Du-
rand (du Pa&oe Théâtre). Grâce à leur excel-
lente initiative, notre ville sort enfin de lia lon-
gue léthàrgie, mliedque où elle semblait tombée.
A l'ApoWo, on put applaudir Danicetta, chan-
teuse à voix; Vorelli, chanteur et diseur appré-
cié, On nous annonce pour bientôt Alibert,
Orsa, Henriette LeMond, Par chicot, Monty.Mar-
ceNy, Lievel, René Raoul, Bargeret, Jm-nka, Ha-
mel, Resca, Marthe Trémlont, Suzanne Despra-
ves, de BuxeuiI.
Peut-on s étonner après cela que le coquet
théâtre de la Porte-Sairrt-Michei soit toujours
rempli d'une coquette comète !
M. Durand a, de son côté, engagé plusieurs
tournées artistiques et prépare également une
brillante saison d'hiver.
Cela roUIS promet d'agréaMes soirées et sur-
tout urne variété dans Les programmes, à laquelle
nous n'étions pas habitués.
Au théâtre municiipai, M. Maurice Sa-ugey,
directeur, donnerait sa première représentation
d'ouverture le 7 octobre et durant un mois ne
jouerait que de l'opéra.
A la société des Concerts symphoniques, on
réserve d'agréables su¡r,priæs aux abonnés -
Jean GRÉGOIRE.
L'INSTALLATION ELEGANTE
, des XiOGfiS D'AETZSTSS *
est la spécialité de (
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9, RUE vum I
(ktAjV»1V PARIS. — Tél. Central tt-45 I
V* MAQUETTES ET DEVIS B
mmmm sur Demande oMMBOHMMHniMiH
""Comcedia" à Vichy
Grand Casino. — Nous venons d'avoir une
très intéressante création de la délicieuse Véro-
nique, de M. André Messager. Aux qualités de
la célèbre partition s'ajoutait le mérite d'une in-
terprétation tout à fait remarquable.
Mlle Jenny Syril, de l'Opéra-Comique, fit ap-
précier, dans le rôle d'Hélène de SOlanges, une
voix pure et un jeu spiritthsaemetnt coquet.
Mlle Andrée Lys, qui remplaçait, au pied
levé, Mme Tariot-Baugé, indisposée, a su coin-
poser finement le Tôle d'Agathe Coquenard.
Mmes Blanciiet, de Lîdgy Moriva,), complé-
taient la distribution féminine.
Le rôle de Florestan de Valaincourt était tenu
à la perfection par M. Deloger. M. Royal lut
un Coquenard bien dans la note.
Signalons également MM. Castin (Loustot),
Brumais (Séraphin), Casablanca (Octave), etc.
Le public fit à tous ces interprètes le pLus
chaleureux accueil et fit bisser les passages cé-
Lèbres, notamment le duo de l'escarpolette et
toute la scène de la lettre d'adieu de Véroni-
que.
LEÇONS BE AXCTXOIR -- CBAVOHBT
kbyuna de la Coméd.-Franc- 15. fi. Viclor-Masié.
Comœdia à Aix-les-Bains
Les deux troupes continuent à rivaliser d'a,
cellence, renouvelées l'une et l'autre par des
artistes en représentation. Ainsi Mlle Yahne
LanibM, fantaisiste humain est Veouf
Jouier Chouquette et m A*, bp~~i~:~~a~~< <:u'
toumâie par le sihicèr Pacd Lorirtie, tliflarafll
Champagne, MM. A. 3»rbot, Svdiilot; Mmes
Emma Lyomei, des La;/tel. etc. Ainsi MUr
Neftly Frévaf, qui n'a pt :-éfcre pas , 't à fait
l'allute de l'héroïne de «senet, n.j.~ ~e qu
la voix fut acclamée, était cMtIter Nlanor
en compagnie de M. Ca, ;p? , aux côtél
de Mîle Bélpgne et de M., J fIL, superbe c4
style en comte des Grieux. Mais pourquoi sup-
primer l'acte de l'Hôtel de Transyivadiç lum.
Les tfeux premiers prix
(Dessin de (Ch. de nmu)
ment à Aix?. Dans t*. Botdiron, M. large
eut un naturel incomparable e t fTSô Mattan
fut exqu.lSe, P~aot a-vec « cette voix du Cccar
qui seule au cœur arrive »,.
Quiant au îamsux Concours de Beautés Ré-
gionales, il fut à la fois juste et décevant. Juste,
car il accorda tes deux premiers prix à Miles
Estelle et Emma Rudat, sœurs nées à
(Haute-Savoie) de père et »aéj savoyatQa.
D'une distinction rare. leurs soucUnts vi-
sages, d'une chanmante pureté sous les bonnet
de SavoiJe., eges semblaient échappées d'une toil*
de Greiuze, ou d'une évocation * J.-J. Rous-
seau. Et la Société des Casino* fut bien ins-
pirée, en remettant, en outre, te même soir.
le bracelet de 39 briiïamts et un prix supplémen-
taire de 2.000 francs à ces delta jeunes person-
nes. Mais combien décevant ce lOunfoi par l'.
sence de sérieuses concurrents!. Lee votBlUl
de la Villa des Fleurs se txxiviendroat touioors
des quatre filles d'une Wuâ de onze enta.-
qui, arrivant avec leurs baluchons de tedr nieG-
tagne, près d'.Mbertv,¡æe, et ayroî r,r;■ t; teain
pour la première fois de Leur vie, s'Imaginaient
arriver au Concours des Familles nombreuses. ,
Pour coïncixier avec le séjour de MM. MUle-
rand et Giolitti au pied du Reyard, on Çr6pm
des fêtes en l'honneur du poète des Méditations,
avec conférence de MM. Barflw tî H. BOF-
deaux. Tous les genres se ^jccèdeot donc ici,
même les méditations.. politiques, hors le gemn
cnemyeux. — Ch. ^i&^ussY.
LES PETITES ANNONCES
DU MARDI ET DU VENDREDI
Repues au bureau du journal, 27, Boulevard
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Duettistes cherch. agag. fier. L B. bureau Jounw.
On dJemande dngé-.; ',1ond8 chaussant S4 S5 oour
ciunéma. S'adr. Monteraixv Filna. 16, cité Trérkst.
10 jjeures â médi, 2 à 4: avec ~oKM.
2 clowns miisif. dem. pr. Mont KrM~ Ecr B. I
« Comœdia ».
Chanteuse dict. dèm. ¡,;rNlm,es Eer.2 «) « romœdto.1
SITUATIONS OU SANS APPORT
> tr. la nanti
Commandit. demandé poœr pettt théàtee. ^Ecito» t
1120. bureau Comœdia.
,.\ MATERIEL DE THEATRE
(8 tr. la r :c)
Décors bon état venflro (Sépsrt tlaP. X, X.
« Comœdia ».
,-' OCCASIONS -
(8 tr. la ligne)
A vend. cost. mousquetaire t.neul ECJP.J.B. btiT.jnaL
CAPITA UX
(10 Ir., La 1 ve)
100.000 fr. dlsp. ail. théâtm. _>cr. K.D. bar. Joumar..
- -'" ÇA ô LA -
Un certain nombre de lauréate du Cham.
nat du Monde de Danses Modernes n'ont pas
réclamé leurs prix etfi!,¡ôrrJes. Nous les te-
nons à leur dispowtion. Qu'on se le dise !
A *tres de genre Concerts il Cabarets artistiques Il Cirques Dancings
',"
f v N0llvea« Spectacle
A de l'Olympia
>^ J Sik^® de Deauville, voici
sai son de l'Olympia voici
e avec d-e Paris et l'Olympia — qui
1 le °if impatience ce 10 septembre! —
à à s0*1 wubîic un programme
4 F*/ RiJ^ que des Etoiles.- et quêtes !
1 la Plus jo!:i-e danseuse d'Es-
V ù ? l hotnme le Pl= cocasse du mon-
? la elus exquise de nos divettees
I 1 î? et ^udJ ero » 1le plus farouche et le pJUS
et K^es tk flamenco. Louise Dho-
1 fls""enco. Louise Dho-
V l' V!e rQfMid ÇUx parodistes d'un humour
S/ 9u arlS, les Plus audacieux trapézistes
: -
,') -j ^Sai^KîœmdJr®?1 6 fl ?f.ctacle vraiment in-
êq.,.t.!Use Rv-,Homme-Oiseau. La
lt4zlit eu p,
i les HUaTts. les fa-
A es dl-- Havilands, les acro-
{ î L'1 H 'es .Ur sketch fnH !!? ^1 Jle vraime'nt impré-
Les Télé-
"'S de
I Perllis *de dira -. nous
if la - oe que noua
A .à tfL 611 qù. Paris mais
Qbi binn qtle lamais Pans n'aura vu
danseuse — et Pourtant. Paris en a
trq à tnatsnée d, l ,.
"tnatineed'aulourd'huiqui com-
h - grand con.
5 franc &u Thé-Tango de l 'Qi,ympia,
'au 'Îhé-Tango de 1,0 lylmpla.
? ^#0s ^muatiohs l
re^<>uiiu ---- m.M
CU* ^Hiasse»
et qui rentrez
n Une atîf > !«ut K, f
, une *U* Oublier vos déboi-
aux
de gaïté, et de beau-
A i &°n. eu Fo1 louïrsère ^0•'r la revue:
re °a h et Sunshine
Mitty et T'dlio osee par Mlss
et N114t , Agnès , les SUnshme
gt Prar, e,. A^ès Soîiet V, pi,us belle
î
S s 4
A
ux AMBASS. -
La Revue" Légère aux Ambassadeurs est
un triomphe. Fauteuils 5 francs. L'éterusse-
ment est couvert.
A
LA CIGALE..
Ce soiir, à 9 heures, grand gala de 100"
de la triomphale operette^vau-isville La Course
à l'Amour, de MM. Guy de Téramond et Fran-
çais Signerin, conduite par le compositeur Ro-
ger Guttinguer, La salle sera entièrement dé-
corée et fleurie. Des roses seront offertes aux
dames et de charmants souvenirs distribues à
tous les spectateurs. Gazais fera une chanson
improvisée et les Mudianu créeront une danse
slave d'un art à Ja fois profondément subtil et
délicatement voluptueux. Cette fête s'annonce
comme le great event de la saison.
: -e.. —————————————
lECONS CHANT — POSE DE VOIX — DICTION
Mme J.COL.l Rue Forest (Hippodrome)
— ««»» : —
c
ONCERT MAYOL.
Venez applaudir le Couvent des Caves-
ses. Venez voir la Piscine Enchantée. Venez
admirer Suzanne Wu,rtz. Veinez acclamer la ce-
lèbre étoile de café-concert Damia. Venez voir
les 20 jolies naïades. Venez, c'est le plus beau
spectacle de Paris.
L
E PERCHOIR.
Immense succès hier soir pour la pre-
miere de Tu te rends compte, nouvelle revue
de Paul Clérouc, et dl. MM. les Anglais, tirez
les premiers, sketch follement divertissant de
René Berton. L'étourdissante Gaby Montbreuse,
dans une scène .ré.ai.iste écrite pour elle par
Bertal-Maubon, et son tour de chant, fut ac-
clamée. Il en fut de même pour Alice de Ten-
der dans ses danses originales; Max Péral;
Delphin, et toute la troupe remarquable du Per-
choir. Tu te rends compte.
B
OUFFES-DU-NORD-CONCERT.
, Le succès oblige MM. Dufrenne et Varna;
a redonner ce soir, et pour la troisième rois
de la saison La Traite des Blanches, l'œuvre
iréa'Hste et si puissante de M. Bonis Charancie.
La direction n'a rien mémgé pour doter cha-
cun des cinq actes de cette pièce d'une mise
en scène curieuse et nouvelle et l'interprétation
qui ne comprend pas moïins de 50 artistes sera,
de tout premier ordre. Mmes Brunelli, Boawee,
Bloch, Alariaux, MiJi's; MM. Marfanne-Varna
Bressy. Rejean, Dollin en tête. M. yeh-ri Varna
qui a tenu à diriger lui-même le^eux derniè-
res répétitions est rentré tout exprès mardi de
Biarritz. Ce soir donc, eepo'se et 50e représeit-
tabion de Lq Traite des Blanches, aux Bouffes-
du-Ncrd-Concert. ;:; •
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; v\\vvvv\vyyvvy\vyv v\vv\\vy\vyv\A>%mvvvvvvHi v > yv'w^vvA vyv \w\ xxvyyxw ,vtvvvv'\vvvv*
.JI." A propos de Narayana
Le 'Gaumont-Palace présente demain après-
midi le nouveau film de M. Léon Poirier, Na-
rayana. « Le dieu du bonheur », qui donne son
titre à rœuvre, rendra cette dernière heureuse
entre toutes. Elle est d'ailleurs parmi les plus
belles. J'aurais voulu des indiscrétions avant la
générale. L'auteur se dérobe modestement. Il
m'écrit:
Des indiscrétions sur Narayana, mon cher
ami ? Hélas ! impossible. Impossible tout au
moins d'em commettre d'intéressantes : la • ori"
tique verra et jugera. Mais puisque je vous tiens
au bout de ma plujne, voulez-vous maaaer a
faire entendre une requête?
Quelle que soit leur opinjo". ^an"
der à ceux qui me fer~dassi~r à
la présentation de àerns-n de ne pas établir cette
opinion par co»**Parai'S0'ÎJ.' >
Qu'on po Juge Pas Narayana en prenant Le
Penseur <''o~s unité de mesure. Evidemment
ces dettX. films partent d'une idée générale,
les manières dont ces idées, déjà différ"., ellees
essence, ont été développées» n'ont eof pen"
qu'un rapport de style et non de gejp
seur s'extériorisait en sentiment rayana est
construit en situions. Je se~ très heu-
reux si on voulait bien - 141111> eoflV® er deux
fllms qui ne sont pas cop^^r®' — et c estr
mon cher afin., tout ce t6* re pcus dirs en atten-
dant le verdict. JIII#.,
Merci et cordi*®®111^^ vôtre.
,I. -, -. - LÉON POIRIER.
,-' INFORMATIONS
A
la ciné Max Linder.
Cette chose exquise, ce bijou qui, filmé,
garde tout le caractère, toute la vente des scè-
nes alsaciennes crayonnées par Hansi, Mon
Village, fera courir tout Paris au M. ( Lind -**
L'œuvre est de tous points digne des b- vx~
patriotiques c J ra^cuei'îeront. W. S.
dans le Shérif Carmody, se tnoîu. , tofâ
4e Mua, prodigieux; -Fatty en va eau es soulè-
vera des tempêtes de rire; Autour du Puy-de-
Dôme, Gaumont-Actualités intéresseront tout te
jv M de, comme tout le mostâk goûtera les œu-
v js parfaitement exécutées de Masse net (scè-
t alsaciennes); Bizet, Boieldieu, Cries. Ben-
Godard, etc. - -
O
)rz va tourner.. le
M. Jacques de Baron ceJ^"*é le
M.. Jacques de , rhérau.
film adapté du beau roman e
Champi Tortu. On en dit le plus grand bien.
Le maître cinégraphiste met au point actuelle-
ment le scénarIo tiré par lui du chef-d'œuvre
d'Emile Zola Le Rêve.
Une di&fCjf)ution de premier ordre est assào'6e
au film: Yvonne Gall, de l'Opéra, qu
exceptionnellement à interrompre. r quel-
ques mois son admirable carriè.r.c' 5riq
Hubertine; M. Cbambreuil, n' ^lil>e,r"
tin; la toute exquise And ^^i a?u ant» A?^éIJ"
que; Signoret trouver valoir son immense
que, l'occasion de.^l?. son immense
que, qui sera Félicien Haute-
talent. Et main-^trn^ e artiste, exceptionnellement
cœur 9 l^in 'révèlera véritable star.
doué, qui d'Art Il et Jacques de Baroncelli
« Le ceront a tourner Le Rêve à partir du
~comme septembre.
CE QU'ON VERRA
DU 10 AU 16 SEPTEMBRE
0 DANS LES CINÉMAS
A
u Gaumont-Palace.
Le Shériff Carmody, par WiUiam Hart;
En Suisse, film Gaumont. en couleurs naturel-
les; Mon village, scène de mœurs alsacienne
tirée des œuvres originales de Hansi; Fatty
en vacances, avec sa troupe d'acrobjes. Grand
orchestre. Attractions. Actualité mondIales,
Pathé-Palace. --
32, boulevard deS. ItalienS, 6, rue du
Helder. — Le gr^d succès de Tristan Bernard,
Le Danseur p*onntt> passe cette semaine sur
l'écran de Pathé-Palace. Cette comédie exquise
interpasse par la ravissante June Caprice, et
l'aimable Creighton Hale, est appelée^
courir tout Paris. ~Mrr "î'
Au programme également: Path^«° «rr • • uI
orateur film comique avec H '«k» l'd, do
4-n supplément facultatif, :.;¡¡e cornée cpar-
--.¡.-..- 17
A
™ M. - MUX. • dJe
e n village, le film qui a e. de
ro'rv. o de Hansi, fera cette sem de ler
tou ~Pa .-, matinée et en soi : de nt
l'écran uut cinéma des boulevards.
Après - ad - euvre inspirée par le
grand artiste alsacien, les Rpectateur* rttrtm-
veront William Hart dans Le Sbériff XTatnoAy
ou il se montre encore stupériecr à tout ce qu'tf
a pu être Jusqu à ce jour. Avec un ménafrttMe
Fatty en vacances, un "Hein air Autour du Puy-
de-Dôme, et une scène comique Appartement
et Cœur à louer, un couple de brillants dan-
seurs mondains, Valerie et René, complète ce
programme unique.
A
l'Artistic. * '-. ---..)
61, rue de Douai. — Les nMtrslnlftHf.
de ce bel établissement, qui sera aoœ pea tw
plus élégant et le plus mondain des cinémas de
Paris, se font plus copieux et plus intéressants,
de semaine en semaine. Aujourd'hui, c'est l'fin-
vol, une fine comédie en quatre parties; Lui.
orateur, avec le comique , Haroiti Livyd. Pathé-
Journal, et l'une àe* me;iUeures pièces de Tris-
tan Bernard «teptee à l'écran que lariigk
présente, on retrouvera, d- le Danseur in-
connu, le charmant Creighto Haie (jamcsoir
des Mystères de New-York] et' la rieuse June
Caprice. Voilà un spectacle hors de pair.
A
ilomnia-Pathé. 1
Les galas de ~'Ota~ttt se suivent et ne
se reSlJl""V!I;;Ut QU- , ni IfIIII'IUCQU pragrai»
me, composé arc films de premier ordre, an-
ciens ou noyaux. C'est .Jnsi qu'à cote dMn
dré Cornc'tis, d'après paul Bourget, œuvre re
tnarquabte, on verra l'Envoi, avec Lagrenéi
Amiot, Marnay, etc.. d w intérêt f^ssionitan '*
et le Danseur ine**ntl* amusante con. lie A
Tristan Berna»** avec Greighto# lUL.. j«n<
Canrice Py*~]°urnal, -aie.
On ODe assucé d'avoir toujours un par
On dans cette satfe élégante, pourvut
fait c k-- dans rette a*e étégmtt.. -pcuivu,
faitorchr-,stre excep.f et dune protection re
ntaratHÙli..,. >
A
u Colisée.
Le bel établissement des Cfef»up>EV
sées a retrouve sa clk :tMe p! 4 é'ér? un
jamais et le moment Je l'eo^r'acte dev t - ,
que un nouveau spentade tout t tait rmâr,-. nt
Le principal film de 'a soirée e-f Me - .e.
comédie carpes l'œu' !^ se l' r 1WI
reprise de American ,ncrar w. le r,ft.
tai-,tique Douglas Faift- iS. C "'•'
Futty on t icançes. Notons av«i 'nements pjur les soiree , idt.
médis et your la matinée ■ nch
drodt à p jûr du :;'1'':W¡)t'', set 4»
COMŒDIA
a"!'
AUJOURD'HUI - --
AU PERCHOIR, à 15 h., répétition pour la
presse de Tu te rends compte! revue 'en huit
tableaux de Paul Clérouc. — Messieurs les An-
glais, tirez les premiers I pièce en ûnacte, de
René Berton.
L' UPERA, 19 n. 30, reprise ae Les nugue-
nlts opéra en cinq actes, de Scribe, musique
8e Meyerbeer.
*
tt/! LA COMEDIE-FRANÇAISE, 20 h. 45, pre-
lnière représentation de La Mort enchaînée,
Ptèce en trois actes, de M. Maurice Magre.
1 L ABRI, 20 h. 30, première de La rte 1 ne
^denfce, opérette légère, en trois actes, de M.
fj Pingrin, musique de Mme Germaine Ray-
Comédie=Française
Qu'était devenu M. de Féraudy? Son absen-
ce a été si longue, si longue que nombre de
fidèles qui l'aiment bien en dépit de ses. in-
fidélités commençaient à se demander s'il ne
lui était pas arrivé malheur. Grâce au ciel!
il n'était ni tué, ni disparu, mais simplement
, (Dessin de Tor)
4M. de FÊRAUDY
(Isidore Lechat)
^onnier. Oui, prisonnier d'un tes d'obli-
gions étrangères à la Maison, dont il s'occupe
yndaot parfois avec une ardeur si passion-
ée !
t;s spectateurs ont été heureux de le revoir
'ts son admirable Isidore Lechat et les fa-
liers .pensent
petites « préparations » de fin d'année,
Revences au Cid de dimanche soir. Le fait
appant, comme je t'ai déjà dit, c'est, avec la
se en scène actuelle, l'air shakespearien de
ne « tragédie ». On sait que les scènes de
enfante, celles d'intknité entre Chimène et
J^gue se passent sur un bandeau d'avant-
%tie devant un grand rideau à La manière im-
rtée en France çer M. Antoine. Il en résulte
changements à vue, toute une animation
matique qui serait bien séduisante, s'il y
quelque unité entre tes rideaux décoratifs,
décors et les costumes. Les uns sont tout
rgés de oe poncif qu'on appelait jadis (avant
bert Carré) le « style Opéra-Comique ». Les
es ont des airs de ballets-russes vulgarisés
les Galeries-Rochambeau. -
Parmi toutes oes vieilleries, ce fut un plai-
de voir soudain bondir un jeune poulain
&ang, mince, racé, vêtu comme ces jeunes
mes qu'on admire dans les fresques de
ich.io ou de SignDrelli. Ei ce jeune hom-
avait une beUe tête au profil en arc, avec
Yeux au grand regard, des cheveux subti-
jf1* retroussés, en somme une tête qui fai-
L^nser !lm; peu à celle du Malatesta que
t^3o a léguée à la postérité. Ce jeune hom-
c'était Rodrigue, un "Rodrigue adolescent
Ve' grêle un peu, mais vif comme une
Je songeais aussitôt à ce Roméo que
%nJe tout comme M. Fresnay aurait pu
bien jouer.
•arquons et notons au passage cette cu-
e transformation, dont je parlais déjà à
os du Gémld de M. Hervé. Alors que le
V^astique des ensembles subit encore le
goût ou simplement te goût d'autre-
^ici de Jeunes coméddens qui, par leur
S 7**® et par leur personne même, incli-
eMn la Comédie aux changements néces-
Nijj Us sont d'un ton et même de deux au-
s du ton établi. Mais ils ont raison, et il
bien que tout suive.
Guantinl a indiqué, fort justement, les
tendances dans son deuxième costume
Chi mène.
Aux premiers tableaux, le Rodrigue de M.
de est fort intéressant. Il est dans le
vement impéFoeux qui convient. Il joue $eu^
^T^cent même ; te résultat est cohérent.
nr4em tableaux et notamment pour le
M. Escande se laisse tenter par le dé-
de jouer en grand premier rôle. Comme
a pas encore les facultés son jeu man-
aussitôt d'ampleur, de naturel et par suite
~¥t IK>W' le puf»k, Il s'efforce à vou-
dire le récit à Ja manière de Mounet-Suily
M. Albert Lambert, au lieu de le com-
se lo n la nature de Maurice Escande. Le
de ces efforts c'est de .porter la voix
comédien à un diapason suprême de façon
4t e. D, où tmtpossibiUoté die varier les
de changer de voix, de changer d'octa-
DEMAIN
Au THEATRE MONTPARNASSE, 20 h. 30, pre
mière -représentation de Marie Gazelle, pièce
en trois actes, 'de M. Nozière.
ve; d'où, en un mot, monotonie. Il y a plu-
sieurs voix. Il faut savoir les employer et dans
chacune d'elles disposer de toutes ses notes.
Le changement de voix voîià l'animation suprê-
me d'un personnage. Tcus ces jeunes corné-
dktIbS, quli sent doués et point du tout bêtes,
disent juste d/ordritoodre m sis ils sont timides
devant l'emploi des trois timbrés: poitrine, mé-
dium et tête. Et ils s'épuisent en vain à -prolon-
ger les syJiiabes, tes voyelles, pour obtenir de
l'expression-, laïquelle vient d'abord du timbre.
GABRIEL BOISSY.
M. et Mme Silvain viennent de jouer à
DeauMMle avec le plus grand succès le Père
Lebonnard. A leurs côtés, on a rpa:r:tic.u.lière,
ment applaudir Mile B. Denège, de l'Odéon qui,
dans le personnage de Jean-ne ,a jo'int à sen
charme habituel, des quatlités d'énergie, de for-
ce et de violence tout à fait remarquables. M.
BonVaUet Jouait avec talent le docteur André,
et M. de Boneouirt incarna un Robert lé^er
et séduisant à souhait. Mmes B. Barat et Va-.
nerase ont partagé leurs succès.
M. André Brunot est re-ntré hier matin à
Paris, venant de Marseille, où il a joue Roger
Bontemps, avec un succès éclatant.
Variétés
Dimanche prochain, à 14 h. 30, matinée de
L'Ecole des Cocottes, dont le suçcès est de
plus en plus considérable. Max Dearly, Spinelly,
Raimu, Thérèse Dorny, Pierre Etchepare, Pier-
re Juvenet, joueront, en matinée et en soirée.
la brilLante comédie de MM. Arment et Ger-
bidon. -
Renaissance
Mme Cora Laparcerie continuant à être très
souffrante et les médecins n'autorisant pas la
grande artiste à recommencer à jouer, M'Amour
le grand succès, continue mcimentanément à te-
nir l'affiche de la Renaissance avec l'excellente
interprétation qui lui vaut, chaque soir, Les ap-
plaudissements unanimes du public toujours
nombreux: Mmes An.ny Toinon, Renée Sauer,
MM. Pierre Labry, A. Mercier, V. Vina, etc.
Nous annoncerons la reprise, de Mon Hom-
me quand la date en sera de nouveau définiti-
vemeiit arrêtée.
OFFICE G. POLICE PRIVÉE
13, rue de Tu in, PARIS (8e) — Central 92-82
TOUTES N. IS SIONS (France et Etranger)
Vaudeville
Voici le retour de Deauville.
Où vont tous ces gens en habit?
Voir La Femme de mon Ami
Au Vaudeville.
Direction d'été; Jacques Wilford.
Palais=Royal
Le succès s'est installé comme une victoire
définitive avec Et moi, j'te dis qu'elle t'a fait
de l'œil!
L'interprétation brille d'un éclat nouveau,
grâce à la rentrée de tous les protagonistes de
cette pièce joyeuse qui réunit ainsi.: Victor Bou-
cher, Charles Lamy, Baron fils, Marken, Sa-
bine et Palau, les plus grandes vedettes co-
liques-
Théâtre Michel
Le spectacle du Théâtre Michel commence
tous les soirs à 21 heures. On voit que MM.
Trébor et Brigon, respectueux de l'heure du
dîner, ne se contentent pas d'offrir à leur élé-
gant public le plus littéraire et le plus couru.
des spectacles avec Les Amants de Sazy, mais
encore, toutes lès chances d'une digestion heu-
reuse.
Empire
Il est incontestable que le répertoire drama-
tique obtient, actuellement, la faveur très par-
ticulière du public. Aussi le di/ecteur intéri-
maire de l'Empire-Théâtre, M. F. Rivers, a-t-il
*
décidé que tout le mois de septembre serait con-
sacré à des Représentations des chefs-d'œuvre
du genre. , ,
A 20 h. 30, ce soir, reprise sensationnelle de
La Goualeuse, qui obtint, récemment, à l'Eldo-
rado, un éclatant succès. L'interprétation réunie
à cette occasion est de qualité exceptionnelle.
C'est, en effet, Mme Yvonne Fraxy qui tiendra
le rôle de la Goualeuse, dans le drame de MM.
Gaston Marot et Allévy; au 4e acte, l'artiste
déploiera les ressources de son talent très per-
sonnel dans des chansons réalistes. Puis, MM.
G. Devar, Marcel Vergne, de Fré, H. Martin,
Dechambre, Leriche, Mmes Chaumont, Vi-
velle, Hoffmann, Boyer. Matinée, dimanche,
à 14 h. 30.
LES A VANT-VREMIZRES
"Marie Gazelle
au Théâtre Montparnasse
J'ai rencontré M. Nozière au Théâtre Mont-
parnasse, où il dirige les répétitions de sa pro-
chaine œuvre théâtrale, Marie Gazelle, pièce
dramatique en trois actes.
- J'ai exposé dans cet ouvrage, nous dit M.
Nozière, le confit d'une comédienne avec- la
bourgeoisie. Mon héroïne est célèbre. Elle a
élevé une filleule orpheline ; elle l'a élevée bour-
- (•CartAitivre de Bib)
M. NOZIERE 1
geoisement, pour lui éviter les déceptions, les
rancœurs, les tristesses de sa propre existence
de comédienne. Qu'arrive-t-il? L'enfant devient
une femme et, jalouse de la gloire de sa bien-
faitrice. reproche à cette dernière de n'avoir
point fait d'elle une artiste. Parvenue à l'autom-
ne de la vie, Marie Gazelle voit se retourner
contre elle ce petit reptile qu'elle a nourri et
élevé parmi tes fleurs ; elle s'est sacrifiée, elle a
renoncé au bonheur, elle s'est offerte en hosti*;
pour une enfant qu'elle voulait heureuse et res-
pectée ; eUe en a fait — hélas ! — une bour-
geoise: c'est la mort de son cœur et l'échec
complet de sa méthode. Sachez encore qu'il y a,
entre ces deux êtres représentatifs, une rivalité
sentimentale ; un jeune auteur, protégé de! la
comédienne, et amoureux de sa Muse et de sa
protectrice, rencontre par hasard la filleule, qui
s'éprend de lui. Que fera Marie Gazelle? Elle
se sacrifiera encore. Mais elle ne le fera que ré-
duite aux abois, et dans une scène de grande
intensité, elle évoquera ses débuts pénibles ré-
vélera sa misère amoureuse et son effroyable
solitude à l'ingrate petite qui lui vole, avec une
désinvolture égoïstement féroce, l'homme qu'elle
aime. C'est ensuite, pour l'infortunée, l'égare-
ment, la folie de l'ivresse, la déchéance morale,
une déchéance estimable, parce que pitoyable et
tragique; — Polaire est admirable dans cette
dernière scène.
« Au reste, j'ai écrit cette pièce pour Polaire,
poursuit M. Nozière. Vous savez quel succès
a obtenu cette grande artiste dans Maison de
Danses!. Elle m'avait joué l'an dernier, chez
Mayol, un simple sketch: Pamela, qui est en
peu l'origine de Marie Gazelle. C'est Polaire
qui eut l'idée de faire l'essai de ma nouvelle
comédie sur tes scènes de quartiers, où elle
a joué Maisons de Danses; le sympathique pu-
blic de Montparnasse, des Gobelins et de Gre-
nelle l'accueillit -triomphalement. Je suis pour
ma part très heureux d'aborder ces théâtres. M.
Feuillet, l'aimable directeur, a engagé, pour
jouer Marie Gazelle, outre Polairer Mme France
Maillane, Mlle Pierryl, Mme Chambly, MM.
; Lagrenée et Landier. Nous travaillons ensem-
ble avec enthousiasme, raï- la bonne fortune d'a-
; voir pour cette création une interprétation par-
faite, vous en jugerez.
« Le décor du premier acte est la loge de
Marie Gazelle ; ceux des deuxième et troisième
aotes représentent une campagne d'automne.
« Et voilà. On dira sans doute que ma co-
médie est une satire quelque peu violente des
mœûrs de théâtre ; elle est aussi et avant tout
une étude psychologique.
M. Nozière nous quitte, pour se rendre à la
; répétition d'un ballet d'action, mêlé de chant,
qui sera représenté le 25 septembre, sur le
théâtre de M. de Ctermont-Tonnerre.
Nous abordons Mlle Polaire au moment où
elie sort de scène. La brillante artiste veut bien
nous confier quelques-unes de ses impressions
relatives au. rôle qu'elle va créer.
- Ce rôf!e est tout à fait dans ma nature, et
Je suis reconnaissante à Nozière de l'avoir
écrit pour moi. je suis heureuse de le créer
sur nos chers théâtres populaires, dont j'aime
tant le public — qui me le rend bien.
- « Jusqu a présent, je n'avais incarné oue -
gamines: Claooine, dix-huit ans, le Friquet
quinze ans, la Charlotte des Hannetons, dix-sept
ans, l'Estrella de Maison de Danses, seize ans
Marier-Claire, de Montmartre, dix-huit ansi
Je vais pour la première fois être au théâtre
une femme. — et quelle femme!. Si .vous
pensiez que cette femme, c'est moi-même, vous
vous tromperiez; mais il est certain qu'à part
la fiction du scénario, il y a quelque parité de
tempérament entre l'héroïne de Nozière et moi.
fPfroto Féflix)
.- 11r.'J//f.-
J'adore ce rôle, Je vais le produtm cvec toute
ma conscience d'artiste, et avec une joie réelle.
Et les yeux noirs de Mlle Polaire reflètent à
cette minute une vive flamme qui anime la belle
mélancolie de son visage.
MARIUS BOISSON.
T rionon=Lyrique
Le répertoire dramatique obtient, dans le co-
quet établissement du boulevard Rochechouart,
un succès considérable. A la demande générale,
M. Rivers, le directeur intérimaire, a décide de
continuer les représentations des Misérables, le
drame magnifique tiré du roman de Viotor
Hugo.
Pendant tes sept jours qui vont suivre, ce
sont les mêmes excellents artistes qui assure-
ront l'interprétation de l'ouvrage: MM. Emile
Marty, Bernier, Leroux, Martin, Leriche; Mmes
Suzy Descenay, Louise Marty, Chaumont. Il y
aura matinée dimanche, à 14 h. 30.
Théâtre Antoine
Demain samedi, à 14 h. 45, matinée de Jfln-,
connu, pièce nouvelle en 4 actes, de Louis ,Ver-
neuil, dent le succès s'affirme à chaque repré-
sentation. Location sans supplément de prix.
Tél.: Nord 36-32; Nord 36-33.
Théâtre de l'Abri
La Reine Ardente, opérette légère, en trois
actes, de M. Ed. Pingrin, musique de Mme Ger-
maine Raynal, qui inaugure la nouvelle direc-
tion de Cl. Rivory, a obtenu, à La répétition gé-
nérale, un légitime succès, des salves d'applau-
dissements ont accueilli tes principaux passages
de la délicieuse partition et « la danse Papou Ut
crée par Mlle Djimmy et M. Zenga, fut un
triomphe. Ce soir. à 21 h., première represen-
tation.
——• t
Théâtre Moncey ,.
XA. cinquantième représentation du magnifi-
que spectacle de réouverture de la grande sal-
le de l'avenue de Clichy, a eu lieu dimanche
soir devant une foule enthousiaste. Monique et
l'Inénarrable Boubouroche ont été acclamés et
ce n'est pas douteux que ces deux admirables
pièces ne soient encore représentées de longs
soirs avec un succès toujours grandissant de-
vant un public de plus en plus nombreux.
.Comœdia'" à Avignon
Nos théâtres. — Les changements de direc-
tion dans i'ApoMo et le Palace Théâtre nous
permettent d'-applaudir chaque semaine une véri-
table pléiade d'artistes aimés et fêtés du pu-
blic. Nous ne pouvons que féliciter de cet heu-
reux résultat MM. Boisseau (de l'Apollo), Du-
rand (du Pa&oe Théâtre). Grâce à leur excel-
lente initiative, notre ville sort enfin de lia lon-
gue léthàrgie, mliedque où elle semblait tombée.
A l'ApoWo, on put applaudir Danicetta, chan-
teuse à voix; Vorelli, chanteur et diseur appré-
cié, On nous annonce pour bientôt Alibert,
Orsa, Henriette LeMond, Par chicot, Monty.Mar-
ceNy, Lievel, René Raoul, Bargeret, Jm-nka, Ha-
mel, Resca, Marthe Trémlont, Suzanne Despra-
ves, de BuxeuiI.
Peut-on s étonner après cela que le coquet
théâtre de la Porte-Sairrt-Michei soit toujours
rempli d'une coquette comète !
M. Durand a, de son côté, engagé plusieurs
tournées artistiques et prépare également une
brillante saison d'hiver.
Cela roUIS promet d'agréaMes soirées et sur-
tout urne variété dans Les programmes, à laquelle
nous n'étions pas habitués.
Au théâtre municiipai, M. Maurice Sa-ugey,
directeur, donnerait sa première représentation
d'ouverture le 7 octobre et durant un mois ne
jouerait que de l'opéra.
A la société des Concerts symphoniques, on
réserve d'agréables su¡r,priæs aux abonnés -
Jean GRÉGOIRE.
L'INSTALLATION ELEGANTE
, des XiOGfiS D'AETZSTSS *
est la spécialité de (
\At! t\\ ~~,
9, RUE vum I
(ktAjV»1V PARIS. — Tél. Central tt-45 I
V* MAQUETTES ET DEVIS B
mmmm sur Demande oMMBOHMMHniMiH
""Comcedia" à Vichy
Grand Casino. — Nous venons d'avoir une
très intéressante création de la délicieuse Véro-
nique, de M. André Messager. Aux qualités de
la célèbre partition s'ajoutait le mérite d'une in-
terprétation tout à fait remarquable.
Mlle Jenny Syril, de l'Opéra-Comique, fit ap-
précier, dans le rôle d'Hélène de SOlanges, une
voix pure et un jeu spiritthsaemetnt coquet.
Mlle Andrée Lys, qui remplaçait, au pied
levé, Mme Tariot-Baugé, indisposée, a su coin-
poser finement le Tôle d'Agathe Coquenard.
Mmes Blanciiet, de Lîdgy Moriva,), complé-
taient la distribution féminine.
Le rôle de Florestan de Valaincourt était tenu
à la perfection par M. Deloger. M. Royal lut
un Coquenard bien dans la note.
Signalons également MM. Castin (Loustot),
Brumais (Séraphin), Casablanca (Octave), etc.
Le public fit à tous ces interprètes le pLus
chaleureux accueil et fit bisser les passages cé-
Lèbres, notamment le duo de l'escarpolette et
toute la scène de la lettre d'adieu de Véroni-
que.
LEÇONS BE AXCTXOIR -- CBAVOHBT
kbyuna de la Coméd.-Franc- 15. fi. Viclor-Masié.
Comœdia à Aix-les-Bains
Les deux troupes continuent à rivaliser d'a,
cellence, renouvelées l'une et l'autre par des
artistes en représentation. Ainsi Mlle Yahne
LanibM, fantaisiste humain est Veouf
Jouier Chouquette et m A*, bp~~i~:~~a~~< <:u'
toumâie par le sihicèr Pacd Lorirtie, tliflarafll
Champagne, MM. A. 3»rbot, Svdiilot; Mmes
Emma Lyomei, des La;/tel. etc. Ainsi MUr
Neftly Frévaf, qui n'a pt :-éfcre pas , 't à fait
l'allute de l'héroïne de «senet, n.j.~ ~e qu
la voix fut acclamée, était cMtIter Nlanor
en compagnie de M. Ca, ;p? , aux côtél
de Mîle Bélpgne et de M., J fIL, superbe c4
style en comte des Grieux. Mais pourquoi sup-
primer l'acte de l'Hôtel de Transyivadiç lum.
Les tfeux premiers prix
(Dessin de (Ch. de nmu)
ment à Aix?. Dans t*. Botdiron, M. large
eut un naturel incomparable e t fTSô Mattan
fut exqu.lSe, P~aot a-vec « cette voix du Cccar
qui seule au cœur arrive »,.
Quiant au îamsux Concours de Beautés Ré-
gionales, il fut à la fois juste et décevant. Juste,
car il accorda tes deux premiers prix à Miles
Estelle et Emma Rudat, sœurs nées à
(Haute-Savoie) de père et »aéj savoyatQa.
D'une distinction rare. leurs soucUnts vi-
sages, d'une chanmante pureté sous les bonnet
de SavoiJe., eges semblaient échappées d'une toil*
de Greiuze, ou d'une évocation * J.-J. Rous-
seau. Et la Société des Casino* fut bien ins-
pirée, en remettant, en outre, te même soir.
le bracelet de 39 briiïamts et un prix supplémen-
taire de 2.000 francs à ces delta jeunes person-
nes. Mais combien décevant ce lOunfoi par l'.
sence de sérieuses concurrents!. Lee votBlUl
de la Villa des Fleurs se txxiviendroat touioors
des quatre filles d'une Wuâ de onze enta.-
qui, arrivant avec leurs baluchons de tedr nieG-
tagne, près d'.Mbertv,¡æe, et ayroî r,r;■ t; teain
pour la première fois de Leur vie, s'Imaginaient
arriver au Concours des Familles nombreuses. ,
Pour coïncixier avec le séjour de MM. MUle-
rand et Giolitti au pied du Reyard, on Çr6pm
des fêtes en l'honneur du poète des Méditations,
avec conférence de MM. Barflw tî H. BOF-
deaux. Tous les genres se ^jccèdeot donc ici,
même les méditations.. politiques, hors le gemn
cnemyeux. — Ch. ^i&^ussY.
LES PETITES ANNONCES
DU MARDI ET DU VENDREDI
Repues au bureau du journal, 27, Boulevard
Poissonnière, doivent nous parvenir, au plus tard
le lundi et le jeudi avant 17 heures.
La ligne se compose de 32 lettres ou signas.
(Voir le tarif en tête des rubriques)
OFFRES D'EMPLOIS
(6 tr. la ligne)
OA demande Coquette jeune, forte jeune première,
jeune premier Comique. Premier rôle jeune (Hom-
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1120. bureau Comœdia.
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100.000 fr. dlsp. ail. théâtm. _>cr. K.D. bar. Joumar..
- -'" ÇA ô LA -
Un certain nombre de lauréate du Cham.
nat du Monde de Danses Modernes n'ont pas
réclamé leurs prix etfi!,¡ôrrJes. Nous les te-
nons à leur dispowtion. Qu'on se le dise !
A *tres de genre Concerts il Cabarets artistiques Il Cirques Dancings
',"
f v N0llvea« Spectacle
A de l'Olympia
>^ J Sik^® de Deauville, voici
sai son de l'Olympia voici
e avec d-e Paris et l'Olympia — qui
1 le °if impatience ce 10 septembre! —
à à s0*1 wubîic un programme
4 F*/ RiJ^ que des Etoiles.- et quêtes !
1 la Plus jo!:i-e danseuse d'Es-
V ù ? l hotnme le Pl= cocasse du mon-
? la elus exquise de nos divettees
I 1 î? et ^udJ ero » 1le plus farouche et le pJUS
et K^es tk flamenco. Louise Dho-
1 fls""enco. Louise Dho-
V l' V!e rQfMid ÇUx parodistes d'un humour
S/ 9u arlS, les Plus audacieux trapézistes
: -
,') -j ^Sai^KîœmdJr®?1 6 fl ?f.ctacle vraiment in-
êq.,.t.!Use Rv-,Homme-Oiseau. La
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i les HUaTts. les fa-
A es dl-- Havilands, les acro-
{ î L'1 H 'es .Ur sketch fnH !!? ^1 Jle vraime'nt impré-
Les Télé-
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A .à tfL 611 qù. Paris mais
Qbi binn qtle lamais Pans n'aura vu
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"tnatineed'aulourd'huiqui com-
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5 franc &u Thé-Tango de l 'Qi,ympia,
'au 'Îhé-Tango de 1,0 lylmpla.
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re^<>uiiu ---- m.M
CU* ^Hiasse»
et qui rentrez
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, une *U* Oublier vos déboi-
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de gaïté, et de beau-
A i &°n. eu Fo1 louïrsère ^0•'r la revue:
re °a h et Sunshine
Mitty et T'dlio osee par Mlss
et N114t , Agnès , les SUnshme
gt Prar, e,. A^ès Soîiet V, pi,us belle
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A
ux AMBASS. -
La Revue" Légère aux Ambassadeurs est
un triomphe. Fauteuils 5 francs. L'éterusse-
ment est couvert.
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LA CIGALE..
Ce soiir, à 9 heures, grand gala de 100"
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dames et de charmants souvenirs distribues à
tous les spectateurs. Gazais fera une chanson
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slave d'un art à Ja fois profondément subtil et
délicatement voluptueux. Cette fête s'annonce
comme le great event de la saison.
: -e.. —————————————
lECONS CHANT — POSE DE VOIX — DICTION
Mme J.COL.l Rue Forest (Hippodrome)
— ««»» : —
c
ONCERT MAYOL.
Venez applaudir le Couvent des Caves-
ses. Venez voir la Piscine Enchantée. Venez
admirer Suzanne Wu,rtz. Veinez acclamer la ce-
lèbre étoile de café-concert Damia. Venez voir
les 20 jolies naïades. Venez, c'est le plus beau
spectacle de Paris.
L
E PERCHOIR.
Immense succès hier soir pour la pre-
miere de Tu te rends compte, nouvelle revue
de Paul Clérouc, et dl. MM. les Anglais, tirez
les premiers, sketch follement divertissant de
René Berton. L'étourdissante Gaby Montbreuse,
dans une scène .ré.ai.iste écrite pour elle par
Bertal-Maubon, et son tour de chant, fut ac-
clamée. Il en fut de même pour Alice de Ten-
der dans ses danses originales; Max Péral;
Delphin, et toute la troupe remarquable du Per-
choir. Tu te rends compte.
B
OUFFES-DU-NORD-CONCERT.
, Le succès oblige MM. Dufrenne et Varna;
a redonner ce soir, et pour la troisième rois
de la saison La Traite des Blanches, l'œuvre
iréa'Hste et si puissante de M. Bonis Charancie.
La direction n'a rien mémgé pour doter cha-
cun des cinq actes de cette pièce d'une mise
en scène curieuse et nouvelle et l'interprétation
qui ne comprend pas moïins de 50 artistes sera,
de tout premier ordre. Mmes Brunelli, Boawee,
Bloch, Alariaux, MiJi's; MM. Marfanne-Varna
Bressy. Rejean, Dollin en tête. M. yeh-ri Varna
qui a tenu à diriger lui-même le^eux derniè-
res répétitions est rentré tout exprès mardi de
Biarritz. Ce soir donc, eepo'se et 50e représeit-
tabion de Lq Traite des Blanches, aux Bouffes-
du-Ncrd-Concert. ;:; •
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; v\\vvvv\vyyvvy\vyv v\vv\\vy\vyv\A>%mvvvvvvHi v > yv'w^vvA vyv \w\ xxvyyxw ,vtvvvv'\vvvv*
.JI." A propos de Narayana
Le 'Gaumont-Palace présente demain après-
midi le nouveau film de M. Léon Poirier, Na-
rayana. « Le dieu du bonheur », qui donne son
titre à rœuvre, rendra cette dernière heureuse
entre toutes. Elle est d'ailleurs parmi les plus
belles. J'aurais voulu des indiscrétions avant la
générale. L'auteur se dérobe modestement. Il
m'écrit:
Des indiscrétions sur Narayana, mon cher
ami ? Hélas ! impossible. Impossible tout au
moins d'em commettre d'intéressantes : la • ori"
tique verra et jugera. Mais puisque je vous tiens
au bout de ma plujne, voulez-vous maaaer a
faire entendre une requête?
Quelle que soit leur opinjo". ^an"
der à ceux qui me fer~dassi~r à
la présentation de àerns-n de ne pas établir cette
opinion par co»**Parai'S0'ÎJ.' >
Qu'on po Juge Pas Narayana en prenant Le
Penseur <''o~s unité de mesure. Evidemment
ces dettX. films partent d'une idée générale,
les manières dont ces idées, déjà différ"., ellees
essence, ont été développées» n'ont eof pen"
qu'un rapport de style et non de gejp
seur s'extériorisait en sentiment rayana est
construit en situions. Je se~ très heu-
reux si on voulait bien - 141111> eoflV® er deux
fllms qui ne sont pas cop^^r®' — et c estr
mon cher afin., tout ce t6* re pcus dirs en atten-
dant le verdict. JIII#.,
Merci et cordi*®®111^^ vôtre.
,I. -, -. - LÉON POIRIER.
,-' INFORMATIONS
A
la ciné Max Linder.
Cette chose exquise, ce bijou qui, filmé,
garde tout le caractère, toute la vente des scè-
nes alsaciennes crayonnées par Hansi, Mon
Village, fera courir tout Paris au M. ( Lind -**
L'œuvre est de tous points digne des b- vx~
patriotiques c J ra^cuei'îeront. W. S.
dans le Shérif Carmody, se tnoîu. , tofâ
4e Mua, prodigieux; -Fatty en va eau es soulè-
vera des tempêtes de rire; Autour du Puy-de-
Dôme, Gaumont-Actualités intéresseront tout te
jv M de, comme tout le mostâk goûtera les œu-
v js parfaitement exécutées de Masse net (scè-
t alsaciennes); Bizet, Boieldieu, Cries. Ben-
Godard, etc. - -
O
)rz va tourner.. le
M. Jacques de Baron ceJ^"*é le
M.. Jacques de , rhérau.
film adapté du beau roman e
Champi Tortu. On en dit le plus grand bien.
Le maître cinégraphiste met au point actuelle-
ment le scénarIo tiré par lui du chef-d'œuvre
d'Emile Zola Le Rêve.
Une di&fCjf)ution de premier ordre est assào'6e
au film: Yvonne Gall, de l'Opéra, qu
exceptionnellement à interrompre. r quel-
ques mois son admirable carriè.r.c' 5riq
Hubertine; M. Cbambreuil, n' ^lil>e,r"
tin; la toute exquise And ^^i a?u ant» A?^éIJ"
que; Signoret trouver valoir son immense
que, l'occasion de.^l?. son immense
que, qui sera Félicien Haute-
talent. Et main-^trn^ e artiste, exceptionnellement
cœur 9 l^in 'révèlera véritable star.
doué, qui d'Art Il et Jacques de Baroncelli
« Le ceront a tourner Le Rêve à partir du
~comme septembre.
CE QU'ON VERRA
DU 10 AU 16 SEPTEMBRE
0 DANS LES CINÉMAS
A
u Gaumont-Palace.
Le Shériff Carmody, par WiUiam Hart;
En Suisse, film Gaumont. en couleurs naturel-
les; Mon village, scène de mœurs alsacienne
tirée des œuvres originales de Hansi; Fatty
en vacances, avec sa troupe d'acrobjes. Grand
orchestre. Attractions. Actualité mondIales,
Pathé-Palace. --
32, boulevard deS. ItalienS, 6, rue du
Helder. — Le gr^d succès de Tristan Bernard,
Le Danseur p*onntt> passe cette semaine sur
l'écran de Pathé-Palace. Cette comédie exquise
interpasse par la ravissante June Caprice, et
l'aimable Creighton Hale, est appelée^
courir tout Paris. ~Mrr "î'
Au programme également: Path^«° «rr • • uI
orateur film comique avec H '«k» l'd, do
4-n supplément facultatif, :.;¡¡e cornée cpar-
--.¡.-..- 17
A
™ M. - MUX. • dJe
e n village, le film qui a e. de
ro'rv. o de Hansi, fera cette sem de ler
tou ~Pa .-, matinée et en soi : de nt
l'écran uut cinéma des boulevards.
Après - ad - euvre inspirée par le
grand artiste alsacien, les Rpectateur* rttrtm-
veront William Hart dans Le Sbériff XTatnoAy
ou il se montre encore stupériecr à tout ce qu'tf
a pu être Jusqu à ce jour. Avec un ménafrttMe
Fatty en vacances, un "Hein air Autour du Puy-
de-Dôme, et une scène comique Appartement
et Cœur à louer, un couple de brillants dan-
seurs mondains, Valerie et René, complète ce
programme unique.
A
l'Artistic. * '-. ---..)
61, rue de Douai. — Les nMtrslnlftHf.
de ce bel établissement, qui sera aoœ pea tw
plus élégant et le plus mondain des cinémas de
Paris, se font plus copieux et plus intéressants,
de semaine en semaine. Aujourd'hui, c'est l'fin-
vol, une fine comédie en quatre parties; Lui.
orateur, avec le comique , Haroiti Livyd. Pathé-
Journal, et l'une àe* me;iUeures pièces de Tris-
tan Bernard «teptee à l'écran que lariigk
présente, on retrouvera, d- le Danseur in-
connu, le charmant Creighto Haie (jamcsoir
des Mystères de New-York] et' la rieuse June
Caprice. Voilà un spectacle hors de pair.
A
ilomnia-Pathé. 1
Les galas de ~'Ota~ttt se suivent et ne
se reSlJl""V!I;;Ut QU- , ni IfIIII'IUCQU pragrai»
me, composé arc films de premier ordre, an-
ciens ou noyaux. C'est .Jnsi qu'à cote dMn
dré Cornc'tis, d'après paul Bourget, œuvre re
tnarquabte, on verra l'Envoi, avec Lagrenéi
Amiot, Marnay, etc.. d w intérêt f^ssionitan '*
et le Danseur ine**ntl* amusante con. lie A
Tristan Berna»** avec Greighto# lUL.. j«n<
Canrice Py*~]°urnal, -aie.
On ODe assucé d'avoir toujours un par
On dans cette satfe élégante, pourvut
fait c k-- dans rette a*e étégmtt.. -pcuivu,
faitorchr-,stre excep.f et dune protection re
ntaratHÙli..,. >
A
u Colisée.
Le bel établissement des Cfef»up>EV
sées a retrouve sa clk :tMe p! 4 é'ér? un
jamais et le moment Je l'eo^r'acte dev t - ,
que un nouveau spentade tout t tait rmâr,-. nt
Le principal film de 'a soirée e-f Me - .e.
comédie carpes l'œu' !^ se l' r 1WI
reprise de American ,ncrar w. le r,ft.
tai-,tique Douglas Faift- iS. C "'•'
Futty on t icançes. Notons av«i 'nements pjur les soiree , idt.
médis et your la matinée ■ nch
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