Presse et revues
10 pages
Titre : Paris-soir
Éditeur : s.n. (Paris)
Date d'édition : 1934-03-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34519208g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 12 mars 1934 12 mars 1934
Description : 1934/03/12 (ED4,A12,N3808). 1934/03/12 (ED4,A12,N3808).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG31 Collection numérique : BIPFPIG31
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG13 Collection numérique : BIPFPIG13
Description : Collection numérique : BIPFPIG69 Collection numérique : BIPFPIG69
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k7637724p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-235
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/02/2015
GRAND QUOTIDIEN CONFORMATIONS ILLUSTRÉES
B
Budapest, Il Mars. — M. Goemboes, prési-
dent du Conseil, est parti à 13 h. 40 pour Rome,
accompagné du prince Colonna, ministre d'Ita-
lie à Budapest, et MM. Apor, conseiller de léga-
tion et Antal, chef du service de presse.
LUNDI
12
MARS
1934
12- ANNFÎÏ4
Moacna
KKDACTION. ADMINISTRATION
10, rue du I1 g-Montmartre. PARIS
Téléphones Tait bout 92-10 à 92-It
et 99-40 à 99-44
tnter. : Taitbout 246 a M
Adr. Télègr. : PARIS-SOIR
Publicité i
25. r. Royale
PARIS
l'élèphon« ;
Anjou 03-80
<13-81 13-85
DERNIERE
,, ÉDITION
SPORTIVE
25 cent.
L'AUBE D'UN RÈGNE
La semaine qui commence
offre à la Belgique
des occasions historiques
Les répercussions dans le pays
du discours de M. de Broqueville
(De notre envoyé spécial Pierre LYAUTEY)
Sa Majesté Léopold M
(DE NOTRE ENVOYE SPECIAL.)
Bruxelles, 11 Mars.
Ce dimanche matin, place et avenue
de Bruxelles, des « cars » partent en
pèlerinage à Marche-les-Dames où eut
lieu le tragique accident du roi. Les
tramways s'emplissent aussi de famil-
les qui vont en campagne
— Restez, mais restez donc, me dit
un solide commerçant. Cette semaine va
être une grande semaine politique.
En effet, commission des Affaires
étrangères, Sénat, Chambre, vont déli-
bérer sur le budget et la politique exté-
rieure.
Après enquête, dans le peuple et au-
près des hommes politiques s'analysent
trois sentiments :
1° La majorité et l'opposition se sont
déclarées énergiquement en faveur
d'une entente solide pour la paix entre
la France et la Belgique. Les socialis-
tes qui, hier, applaudissaient Léopold.
le roi démocrate, ont rejoint des mo-
dérés ;
2° Une fois de plus, les Allemands
ont manqué de doigté et ont irrité la
Belgique en parlant trop lourdement en
son nom.
3" Il y a des hommes qui désirent
suivre une politique immédiate, un peu
arbitre, celle que rêvent toujours l'An-
gleterre et l'Italie. Le peuple, quant à
lui, a trop de bon sens pour ne pas se
rendre compte que c'est en suivant la
politique de loyauté du roi Albert que
la Belgique s'est grandie commerciale-
ment et financièrement.
Pierre Lyautey.
(Suite en page 3)
LA PACIFICATION DU MAROC
Le noble et ingrat métier
de l'officier des affaires indigènes
trouve sa plus belle récompense
dans la conquête des cœurs
(D'un de nos envoyés spéciaux)
Tirailleurs sénégalais en traitement à l'ambulance de campagne
(LIRE L'ARTICLE EN PAGE 3)
M. BERNADOTTE, EX-PRINCE DE SUÈDE, VIT MAINTENANT
Le prince Sigvard de Suède, devenu par suite de son mariage M.
Bernadotte, séjourne maintenant à Berlin où il a repris son emploi de
décorateur dans un studio de cinéma. Sa femme va tourner ces
Jours-ci un nouveau film. Voici les jeunes époux, qui portent mainte-
nant le nom d'un héros de l'époque napoléonienne, jouant aux dames
dans leur appartement de la capitale allemande.
LE DÉVELOPPEMENT DE L'AFFAIRE STAVSKV
Le Crédit Municipal
d'Orléans
a suspendu ses prêts
Une nouvelle enquête va être menée au sujet
de cet établissement, dont le directeur et l'appréciateur,
MM. Maingourd et Farault, en protestant de leur innocenec,
ont été écroiiés ce matin à la Santé
Un témoin oculaire de la tentative de suicide
de Me Raymond Hubert nous en fait l'étrange récit
ON A PERQUISITIONNE CE MATIN
CHEZ LE BEAU-FRÈRE DE GUIBWD-RIBAUD
L'arrivée de Maingourd et Farault à la gare d'Austerlitz entre des
inspecteurs de police qui les accompagnent depuis Orléans.
Maingourd et Farault (à droite) attendent le moment d'être interro-
gés par le juge d'instruction, ce matin, au Palais
(LIRE NOS INFORMATIONS EN PAGE 5)
Rebry a gagné
la course ,",",
Paris-Nice cycliste
CE MATIN, CORNEZ AVAIT GAGNÉ L'ÉTAPE MARSEILLE-CANNES
LAPÉBIE A ENLEVÉ
CET APRÈS-MIDI -
LA DERNIÈRE ÉTAPE
CANNES-NICE
DEVANT ARCHAMBAUD
Rérolle a gagné 1
le « National »
de cross-country
devant Rochard
A Lausanne, la Suises B
bat la France B
par 2 buts à 1
Au Parc des Princes
la Suisse a battu
la France par 1 à 0
Femand Cornez, sourire, aux lèvres, franchit la ligne d'arrivée à Cannes
Vietto et Cornez poursuivent leur course le long de la Méditerranée
(PHOTOS DE NOTRE ENVOYE- SPECIAL TRANSMISE DE NICE
1 1 A « PARIS-SOIR » PAR BELINOGRAMME) ",:.
Sur une attaque française, les arrières suisses interceptent une passe à Nicolas et dégagent leur camp le
Le "Comte de Narmont d'Offange"
est-il l'assassin de Mme Herel?
Certains propos de la victime, rapportés par sa bonne,
et la découverte d'une carte de visite
semblent désigner le meurtrier que la police recherche
Le repos dominical n'empêche pas les
enquêteurs de la police judiciaire de
s'occuper très activement du mystérieux
assassinat de la rue Quentin-Bauchart.
Actuellement on peut dire que les po-
liciers sont sur la trace de l'assassin,
non qu'ils connaissent encore sa re-
traite, mais parce que les renseigne-
ments qu'ils possèdent sur sa personna-
lité sont suffisants pour leur permettre
de circonscrire les recherches.
Récapitulons donc les données nou-
velles du problème : Trois personnes au
moins ont vu l'assassin et ont pu
peindre les traits de son visage ce sont
la femme de chambre et le valet de
l'hôtel de la rue Quentin-Bauchart, puis
la bonne de Mme Herel. qui reçut sa vi-
site peu après le crime.
Précisons qu'entre cette visite et le
co de téléphone que reçut la domes-
tiquer! ne s'écoula pas plus de dix mi-
nutes.
Le signalement, lui aussi, est très net.
Seule une petite contradiction sépare
les témoins : Les uns l'ont vu rasé, les
autre? ont remarqué une petite mousta-
che. Mais cette petite divergence ne
saurait avoir une grande importance si
l'on considère dans quelles circonstan-
ces les témoins se trouvèrent en pré-
sence de l'inconnu.
La carte de visite
Mais le renseignement le plus inté-
ressant qui soit, dès hier parvenu aux
enquêteurs, et que l'on tenait caché pour
ne point entraver la bonne marche de
l'enquête, c'est la découverte d'une car-
te de visite qui nous donne, sinon le
nom, du moins le pseudonyme de l'as-
sassin.
Voici dans quelles circonstances cette
carte de visite fut découverte :
Hier soir, la bonne de M. Herel sou-
dain vint déclarer à son patron :
— Ob ! monsieur ! encore un détail
que je n'ai point pensé à donner.. Il pa-
rtit que madame avait dit à l'ancienne
domestique : c Si. un jour, je viens à
» être assassinée, fouillez dans la pile
» de draps de l'armoire. vous -y trou-
» verez unp photo et des cartes de vi-
» sites. C'est dans ces dernières qu'il
faudra rechercher l'assassin ! »
Et on fouilla immédiatement l'armoi-
re à linge. U n'y avait pas de photo
mate quelques cartes de visite dont
l'une attira Immédiatement l'attention
des enquêteurs : eUe était en bristol
genre parchemin et portait l'inscrip-
tion : Comte P. Narmont d'Offange.
Les policiers sont persuadés que ce
nom est vraiment le pseudonyme de,
l'assassin de Mme Herel et ils expri.
ment désormais l'espoir de le retrouver.
M. Guillaume, ce matin, a reçu M.
Herel qui lui a remis la fameuse carte
de visite. En même temps, il faisait
envoyer à tous les postes-frontières
gendarmeries, etc. un télégramme don-
nant le signalement officiel suivant :
« L'auteur présumé est un individu
mesurant 1 m 70 environ châtain fon-
cé corpulence moyenne, rasé teint mat
âge apparent trente ans, nez épaté as-
sez fort et légèrement dévié vêtu d'un
pardessus foncé et d'un chapeau mou
de même teinte assez élégamment vê-
tu fréquente les dancings Cet individu
peut être en possession d'un poudrier
en or formant enveloppe avec fermoir
de rubis, d'une broche en platine rec-
tangulaire de huit à dix brillants, d'un
bracelet de platine large d'un centi-
mètre et demi avec une vingtaine de
brillante d'une bague en platine avec
brillant et d'une alliance en or marquée
à l'intérieur : 21-20-1923. »
.(Voir la suite en page S.)
»
Rérolle, qui a lâché tous ses concurrents, poursuit sa coursè vers, le
but final. et le titre de champion de France de cross-country
LIRE TOUS LES DETAILS >
1. DANS NOS PAGES SPORTIVES
B
Budapest, Il Mars. — M. Goemboes, prési-
dent du Conseil, est parti à 13 h. 40 pour Rome,
accompagné du prince Colonna, ministre d'Ita-
lie à Budapest, et MM. Apor, conseiller de léga-
tion et Antal, chef du service de presse.
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L'AUBE D'UN RÈGNE
La semaine qui commence
offre à la Belgique
des occasions historiques
Les répercussions dans le pays
du discours de M. de Broqueville
(De notre envoyé spécial Pierre LYAUTEY)
Sa Majesté Léopold M
(DE NOTRE ENVOYE SPECIAL.)
Bruxelles, 11 Mars.
Ce dimanche matin, place et avenue
de Bruxelles, des « cars » partent en
pèlerinage à Marche-les-Dames où eut
lieu le tragique accident du roi. Les
tramways s'emplissent aussi de famil-
les qui vont en campagne
— Restez, mais restez donc, me dit
un solide commerçant. Cette semaine va
être une grande semaine politique.
En effet, commission des Affaires
étrangères, Sénat, Chambre, vont déli-
bérer sur le budget et la politique exté-
rieure.
Après enquête, dans le peuple et au-
près des hommes politiques s'analysent
trois sentiments :
1° La majorité et l'opposition se sont
déclarées énergiquement en faveur
d'une entente solide pour la paix entre
la France et la Belgique. Les socialis-
tes qui, hier, applaudissaient Léopold.
le roi démocrate, ont rejoint des mo-
dérés ;
2° Une fois de plus, les Allemands
ont manqué de doigté et ont irrité la
Belgique en parlant trop lourdement en
son nom.
3" Il y a des hommes qui désirent
suivre une politique immédiate, un peu
arbitre, celle que rêvent toujours l'An-
gleterre et l'Italie. Le peuple, quant à
lui, a trop de bon sens pour ne pas se
rendre compte que c'est en suivant la
politique de loyauté du roi Albert que
la Belgique s'est grandie commerciale-
ment et financièrement.
Pierre Lyautey.
(Suite en page 3)
LA PACIFICATION DU MAROC
Le noble et ingrat métier
de l'officier des affaires indigènes
trouve sa plus belle récompense
dans la conquête des cœurs
(D'un de nos envoyés spéciaux)
Tirailleurs sénégalais en traitement à l'ambulance de campagne
(LIRE L'ARTICLE EN PAGE 3)
M. BERNADOTTE, EX-PRINCE DE SUÈDE, VIT MAINTENANT
Le prince Sigvard de Suède, devenu par suite de son mariage M.
Bernadotte, séjourne maintenant à Berlin où il a repris son emploi de
décorateur dans un studio de cinéma. Sa femme va tourner ces
Jours-ci un nouveau film. Voici les jeunes époux, qui portent mainte-
nant le nom d'un héros de l'époque napoléonienne, jouant aux dames
dans leur appartement de la capitale allemande.
LE DÉVELOPPEMENT DE L'AFFAIRE STAVSKV
Le Crédit Municipal
d'Orléans
a suspendu ses prêts
Une nouvelle enquête va être menée au sujet
de cet établissement, dont le directeur et l'appréciateur,
MM. Maingourd et Farault, en protestant de leur innocenec,
ont été écroiiés ce matin à la Santé
Un témoin oculaire de la tentative de suicide
de Me Raymond Hubert nous en fait l'étrange récit
ON A PERQUISITIONNE CE MATIN
CHEZ LE BEAU-FRÈRE DE GUIBWD-RIBAUD
L'arrivée de Maingourd et Farault à la gare d'Austerlitz entre des
inspecteurs de police qui les accompagnent depuis Orléans.
Maingourd et Farault (à droite) attendent le moment d'être interro-
gés par le juge d'instruction, ce matin, au Palais
(LIRE NOS INFORMATIONS EN PAGE 5)
Rebry a gagné
la course ,",",
Paris-Nice cycliste
CE MATIN, CORNEZ AVAIT GAGNÉ L'ÉTAPE MARSEILLE-CANNES
LAPÉBIE A ENLEVÉ
CET APRÈS-MIDI -
LA DERNIÈRE ÉTAPE
CANNES-NICE
DEVANT ARCHAMBAUD
Rérolle a gagné 1
le « National »
de cross-country
devant Rochard
A Lausanne, la Suises B
bat la France B
par 2 buts à 1
Au Parc des Princes
la Suisse a battu
la France par 1 à 0
Femand Cornez, sourire, aux lèvres, franchit la ligne d'arrivée à Cannes
Vietto et Cornez poursuivent leur course le long de la Méditerranée
(PHOTOS DE NOTRE ENVOYE- SPECIAL TRANSMISE DE NICE
1 1 A « PARIS-SOIR » PAR BELINOGRAMME) ",:.
Sur une attaque française, les arrières suisses interceptent une passe à Nicolas et dégagent leur camp le
Le "Comte de Narmont d'Offange"
est-il l'assassin de Mme Herel?
Certains propos de la victime, rapportés par sa bonne,
et la découverte d'une carte de visite
semblent désigner le meurtrier que la police recherche
Le repos dominical n'empêche pas les
enquêteurs de la police judiciaire de
s'occuper très activement du mystérieux
assassinat de la rue Quentin-Bauchart.
Actuellement on peut dire que les po-
liciers sont sur la trace de l'assassin,
non qu'ils connaissent encore sa re-
traite, mais parce que les renseigne-
ments qu'ils possèdent sur sa personna-
lité sont suffisants pour leur permettre
de circonscrire les recherches.
Récapitulons donc les données nou-
velles du problème : Trois personnes au
moins ont vu l'assassin et ont pu
peindre les traits de son visage ce sont
la femme de chambre et le valet de
l'hôtel de la rue Quentin-Bauchart, puis
la bonne de Mme Herel. qui reçut sa vi-
site peu après le crime.
Précisons qu'entre cette visite et le
co de téléphone que reçut la domes-
tiquer! ne s'écoula pas plus de dix mi-
nutes.
Le signalement, lui aussi, est très net.
Seule une petite contradiction sépare
les témoins : Les uns l'ont vu rasé, les
autre? ont remarqué une petite mousta-
che. Mais cette petite divergence ne
saurait avoir une grande importance si
l'on considère dans quelles circonstan-
ces les témoins se trouvèrent en pré-
sence de l'inconnu.
La carte de visite
Mais le renseignement le plus inté-
ressant qui soit, dès hier parvenu aux
enquêteurs, et que l'on tenait caché pour
ne point entraver la bonne marche de
l'enquête, c'est la découverte d'une car-
te de visite qui nous donne, sinon le
nom, du moins le pseudonyme de l'as-
sassin.
Voici dans quelles circonstances cette
carte de visite fut découverte :
Hier soir, la bonne de M. Herel sou-
dain vint déclarer à son patron :
— Ob ! monsieur ! encore un détail
que je n'ai point pensé à donner.. Il pa-
rtit que madame avait dit à l'ancienne
domestique : c Si. un jour, je viens à
» être assassinée, fouillez dans la pile
» de draps de l'armoire. vous -y trou-
» verez unp photo et des cartes de vi-
» sites. C'est dans ces dernières qu'il
faudra rechercher l'assassin ! »
Et on fouilla immédiatement l'armoi-
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mate quelques cartes de visite dont
l'une attira Immédiatement l'attention
des enquêteurs : eUe était en bristol
genre parchemin et portait l'inscrip-
tion : Comte P. Narmont d'Offange.
Les policiers sont persuadés que ce
nom est vraiment le pseudonyme de,
l'assassin de Mme Herel et ils expri.
ment désormais l'espoir de le retrouver.
M. Guillaume, ce matin, a reçu M.
Herel qui lui a remis la fameuse carte
de visite. En même temps, il faisait
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« L'auteur présumé est un individu
mesurant 1 m 70 environ châtain fon-
cé corpulence moyenne, rasé teint mat
âge apparent trente ans, nez épaté as-
sez fort et légèrement dévié vêtu d'un
pardessus foncé et d'un chapeau mou
de même teinte assez élégamment vê-
tu fréquente les dancings Cet individu
peut être en possession d'un poudrier
en or formant enveloppe avec fermoir
de rubis, d'une broche en platine rec-
tangulaire de huit à dix brillants, d'un
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mètre et demi avec une vingtaine de
brillante d'une bague en platine avec
brillant et d'une alliance en or marquée
à l'intérieur : 21-20-1923. »
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