Titre : Le Messager du Midi : journal du soir
Éditeur : [s.n.] (Montpellier)
Date d'édition : 1890-08-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34407648z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 31 août 1890 31 août 1890
Description : 1890/08/31 (A43,N241). 1890/08/31 (A43,N241).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG34 Collection numérique : BIPFPIG34
Description : Collection numérique : Collections de Montpellier... Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole
Description : Collection numérique : Presse locale ancienne Collection numérique : Presse locale ancienne
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k7378333z
Source : Montpellier Méditerranée Métropole - Médiathèque centrale Emile Zola, 1540
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/10/2021
Étude de M0 René MEUNIER, 1
avoué-licencié, à Montpellier,
Grand'Rue, 5.
ADJUDICATION
Au palais de justice à Montpel-
lier, le samedi 13 septembre
i890, à dix heures du matin,
aupalais de justice, à Mont
pellier.
IMMEUBLES SITUÉS A ANIANE
PREMIER LOT
CINQ PIÈCES DE TERRE
au lieu dit Dev haut, d'unecon
tmiance totale d'environ CJ ares
40 centiares.
Mise à prix, 500 fr.
DSUXliîME LOT
NEUF PltCES DETERRE
aux lieux dits la Gaudisque, Les
Horts, d'uno contenance totale
d'environ 2 hectares, i'J ares 80
centiares.
Mise à prix: 800 fr,
TiUMSIKMK LOT
HUIT PIÈCES DE TERRE
Au lieu dit Camp-de-Sauve,
d'une contenance totale d'envi
ron 2 hectares 14 ares 70 cen
tiares.
Mise à prix, 500 fr.
QUATRIÈME LOT
Six Pièces de Terre
Au lieu dit le Gast, d'une con
tenance totale d'environ 1 hectare
60 ares 43 centiares.
Mise à prix, 500 fr.
CINQUIÈME LOT
Un Bâtiment Rural
et Pièces de Terre
Au lieu dit Saint-Rôme, d'une
contenance totale d'environ 4
hectares 12 ares 92 centiares.
Mise à prix, 1,500 fr.
SIXIÈME LOT
UNE MAISON ET SOL
Au lieu dit Saint-Rôme, élevée
de deux étages sur-rez-de-chaus
sée, confronte Vernière et le che
min de Saint-Rôme.
Dans cette maison se trouve la
source de Saint-Rôme, qui ali
mente la ville d'Aniane.
Mise à prix, 1,000 fr.
SEPTIÈME LOT
BIF PIECES DE TERRE
Bâtiments, cour, aux lieux dits
Pré de la ville, Saint-Laurent,
Bruyère haute, d'une contenance
totale d'environ 8 hectares 83
ares 31 centiares.
Mise à prix, 800 fr.
HUITIÈME LOT
UNE GRANDE MAISON
ou se trouve le moulin à l'huile
Mise à prix, 1,000 fr.
NEUVIÈME LOT
UNE GRANDE MAISON
élevée de deux é ages sur rez-de-
chaussée ; située Grand'Rue ou
rua Vicinale, avec jardin [à suite,
où se trouvent de remarquables;
antiquités romanes, confrontant'
la Grand'Rue, le Presbytère et la
Colonie pénitentiaire.
Mise à prix, 1,000 fr.
S'adresser pour tous renseigne
ments, à M" MEUNIER, avoué à
Montpeliier.
Pour extrait ;
• [René MEUNIER, avoué, signé.
1SINE A VAPElIl
, pour le traitement des
Fûts Moisis
ET MimiS GOIT
Procédé Grand
BREVETÉ S. f. d. f?.
S'adresser pour le Gard :
A. Robert, ch. de Montpellier,
66, Nimes pour l'.lire: Paul
Gout, boulevard du Collège, 2t.
Narbonne ; pour l Hérault, F.
Nicolas, do raine de la paille,
Montpellier. .
Stude de M» René MEUNIER,
avoué licencié, Grand'Rue, 5,
Montpellier.
ADJUDICATION
le 13 SEPTEMBRE 1890, à 10 heu
res du matin, au palais de jus
tice, à Montpellier. *
PREMIER LOT
UNE MAISON
Située dans la commune de
Puéchabon, section C, numéro
101 du plan, élevée do 2 étages
sur rez-de-chaussée, confronte au
nord la veuve Dupuis, midi route
départementale, 6, du levant la
rue dite de l'Escalette et du cou
chant la route ancienne.
Mise à prix, 500 fr.
DEUXIÈME LOT
Trois pièces de Terre
Sises commune de Puéchabon,
au lieu dit Grassentières, numé
ros 121, 122, 123, d'une conte
nance totale d'environ 60 ares 00
centiares*.
Alise à prix, 300 fr.
TROISIÈME LOT
Trois pièces de Terre
Sises commune de Puéchabon,
au lieu dit Planavié, numéros
392, 393, 390, d'une contenance
totale d'environ 01 ares.
Mise à prix, 300 fr.
QUATRIÈME LOT
Trois pièces de terre
Sises commune de Puéchabon,
aux lieux dits Narbes et Font de
Lacoste, numéros 863, 159, 160,
d'une contenance totale d'environ
70 ares 20 centiares.
Mise à prix, 300 fr.
CINQUIÈME LOT
Deux pièces de Terre
Sises communes de Puéchabon,
au lieu dit la Lauze, numéros
490, 492 p, d'une contenance to
tale d'environ 70 ares 30 cen
tiares.
Mise à prix, 300 fr.
SixiÈME LOT
|Trois pièces de Terre
Sises commune de Puéchabon,
au lieu dit Pioch de Foûrques,
numéros 921, 922, 923, d'une con
tenance totale d'énviron 44 ares
40 centiares.
Mise à prix, 300 fr.
SEPTIÈME LOT
Une pièce de Terre
Sise dans la commune d'Arge
liers, numéro 32 p, au tènement
du Huste, de contenance de 32
ares 75 centiares.
Mise à prix, 50 fr.
Ces immeubles saisis-expro
priés contre et sur la têtedu sieur
Pierre Dupin, propriétaire à Pué
chabon.
M6 Meunier, avoué à Montpel
lier, donnera tous renseigne
ments aux prétendants.
Pour extrait :
René MEUNIER, avoué, signé.
PUBLICATION -
Conformément à la loi du 24
juillet 1867.
D'un acte sous seing privé en
date du 16 août 1890, enregistré
à Montpellier le 25 dudit mois
d'août, lol. 58, v, c. 2, passé en
tre M. Louis Gagne, commerçant,
domicilié à Montpellier, et M.
Alexandre Paleirac, également
commerçant, domicilié à Mont
pellier.
Il résulte que la société de fa
ayant existé entre eux à Montpel
lier sous la raison sociale Gagne
et Paleirac, ponr la représenta
tion dans catte ville et le dépar
tement de l'Hérault de l'impor
tante manufacture de produit)
chimiques connue sous le nom d(
Saint-Gobain, est et demeure dis
soute d'un commun accord à par
tir du 14 avril dern:er.
M. Louis Gagne est seul chargi
de la liquidation.
Les dépôts prescrits par la lo
ont été faits au greffe uu tribuna
de commerce de Montpellier e
au gr- lie de la justice de paix d
I 2e canton.
Étude 'de M» Louis ROUVIER,
avoué licencié* successeur de
M0 MAURIN, boulevard Ledru
Rollin, 3, vis-à-vis la Banque,
à Montpellier.
ADJUDICATION
Au palais de justice à Montpel
lier, le samedi 13 septembre
1S90, à dix heures du malin,
et suivantes au besoin.
D'UNE
BELLE MAISON
Située à Montpellier, rue
du Pout-Juvénal , an
ciennement ai" 26, ac
tuellement n° 2t.
Confrontant du nord la rue, du
sud Villa, de l'est Valentin et de
l'ouest Bascou.
Contenanc3 : 235 mètres carrés
environ.
tisrù prix : 35.000 fr.
Ledit immeuble saisi-exproprié
contre et sur la tête du sieur
Louis Broussoux, marchand-tail
leur, domicilié à Montpellier.
S'adresser pour les renseigne
ment s
A M° Louis Rouvier, avoué b
Montpellier, boulevard Ledru
Rollin, n° 3, poursuivant la
vente.
Pour extrait :
Louis ROUVIER, avoué, signé.
Étude de M® L. FERAUD, avoué,
rue de la Loge, n° 10, à Mont
pellier.
PURGE
d'hypothèques légales
Par acte reçu M9 de Borely,
notaire à Montpellier, le dix-huit
juin 1890, le sieur Louis Mala
vialle, ancien entrepreneurde bâ
timents et propriétaire, et la da
me Marguerite-Gabrielle Blanc,
son épouse, sans profession, qu'il
assiste et autorise, domiciliés à
Montpellier, ont vendu conjointe
ment et solidairement à M. Pierre
Marger, jardinier et propriétaire,
épouse (le dame Marie Bestiou,
domicilié à Montpellier,
Une maison avec jardin sur le
derrière, située à Montpellier,
quartier du Carré-du-Roi, d'une
surface de deux cents vingt-deux
métres carrés environ, confron
tant au nord et l'est et au nord
ouest, l'immeuble campagne, au
sud-est la rue Magnoi, au sud
Pioch, et à l'ouest Charras et le
vendeur.
La présente vente a été faite
outre les clauses et conditions
portées audit acte de vente,
moyennant la somme de onze
mille francs.
Copie collationnée et enregis-!
trée du susdit acte de vente du
dix-huit juii. 1890, a été déposée
au greffe du tribunal civil de
Montpellier. le huit août 1890, et
l'expedition délivrée par M. le
greffier dudit tribunal constatant
le dépôt a été signinéà M le pro
cureur de la République, près le
tribunal civil de Montpellier, y
domicilié, suivant exploit de Ri
ben, huissier à Montpellier, en
date du 26 août 1890, enregistré.
Lesdits dépôt, affiches, notifi
cation et la présente publication
ont été faits dans le but de pur
ger l'immeuble vendu de toutes
les hypothèques légales généra
lement quelconques qui peuvent
le grever.
Montpellier, le 30 août 1890.
Pour extrait :
L. FERAUD, avoué, signé.
A VENDRE
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aux diverses préparations: bre
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les cours du lycée surveillance
desdits élèves.
Révision trimestrielle suivie
d'examen.
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tion, aigreurs, digestions
difficiles, pertes d'appétit,
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tion de la bile et de glaires,
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FEUILLETON DU MESSAGER DU MIDI
fNo 61)
Le sergent MM
IPar Pierre SALES
- Permettez-moi, d'abord, dit Jean, de
regarder le visage de ces gueux.
Il fit partir une allumette et se baissa.
— Votre boy ! prononça-t-il
C'était l'Annamite dont le colonel avait
fendu la tête. La vérité n'était que trop
simple à deviner ; son boy avait vu qu'on
lui portait de l'argent ; et il avait organisé
une tentative d'assassinat pour le voler et
passer ensuite aux Pavillons-Noirs. Il y a
du pirate dans tout Annamite.
Jean Renaud pensa rapidement la bles
sure du colonel, en nouant son mouchoir
autour du bras frappé, qui, heureusement,
était le bras gauche. Et ils reprirent le
chemin de Hanoï, Jean soutenant Brette
court d'une main, tandis que, de l'autre, il
tenait son sabre, pour le cas où on les atta
querait encore. Mais aucun nouvel inci
dent ne surgit, et ils arrivèrent bientôt
au blockhaus nord, 'qui domine le lac.
Jean Renaud proposa au colonel de s'y ar
rêter, mais celui-ci répondit très vive
ment :
— Non, non ; il faut que je rentre à
Hanoï.
Us se contentèrent donc' de prévenir le,
oste de l'agression dont le colonel avait
été victime ; quelques hommes furent en-
voyés à la poursuite des assassins. Et le
blessé, toujours soutenu par Jean Renaud,
reprit le chemin de la citadelle. Brette
court éprouvait dans le bras une douleur
cuisante, et la fièvre commençait à le se
couer de ses Irissons ; il aurait eu besoin
de s'étendre, de demeurer dans une immo
bilité absolue. Mais il songeait à Frédé
ric, et cela lui donnait letourage de lut
ter contre la fièvre. Quand ils atteignirent
la citadelle, le colonel dit à Jean :
- Pas un mot ici sur cette triste agres
sion jusqu'à ce que je vous permette de
parler.
Il voulait éviter un rassemblement des
yeux indiscrets.
— Et laissez-moi, ajouta-t-il, je pourrai
marcher seul...
Il essaya, en eftet, mais il chancela aus
sitôt, et Jean, qui l'avait abandonné, dut
le soutenir de nouveau
- Impossible! murmura le colonel avec
un accent de rage.
— Mais pourquoi vous quitterais-je,
mon colonel ? Laissez-moi la joie de vous
accompagner jusqu'au bout, de vous ins
taller chez vous...
- Je ne vais pas chez moi, dit Brette
court très embarrassé.
— Mon colonel, je vous' conduirai où
vous voudrez, et j'oublierai ensuite où
vous êtes allé.
- C'est que... je n'ai pas le droit... Il y
a là-dessous un sacret qui ne m'appartient
pas...
Il parlait très-difficilement; sa langue
s'épaississait. S'il hésitait encore, peut
être allait-il s'évanouir? Frédéric serait
perdu.
— Menez-moi chez le capitaine de Ville
preux, murmura-t-il. Et marchez prudem
ment. Que personii ne nous voie.
Lorsque Jean Renaud s'approcha de la
case de Frédéric, un factionnaire lui barra
le chemin en disant :
- Le capitaine ne reçoit personne; il
est aux arrêts de rigueur.
. - Vous ne voyez donc pas que j'accom
pagne le colonel ?
Brettecourt n'avait pour ainsi dire plus
la force de parler ; il réservait sa dernière
énergie pour voir Frédéric.
Le dernier descendant des Villepreux
attendait avec une impatience folle l'arri
vée de son chef. Toute la journée il avait
été sans inquiétude, il avait une entière
confiance dans la parole de Brettecourt ;
mais depuis que la nuit était tombée, il se
croyait oublié, il avait peur... Quand il vit
Jean Renaud et le colonel, son sang se
glaça ; il s'imagina que le colonel avait
échoué et qu'il ne lui amenait Jean Re
naud que pour lui rendre le service qu'il
lui avait trop légèrement proposé.
Le colonel tomba sur un siège, et Jean
Renaud se retira très-vivement, après
avoir à peine salué Frédéric.
- Vous êtes blessé? s'écria celui-ci en
s'avançant vers le colonel.
- Rien... rien, mon ami ! Un simple
coup dans le bras qui guérira vite ; mais
ça me donne la fièvre... Des gueux m'ont
attaqué au bord du lac, et sans Jean Re
naud, qui se promenait lui aussi par là,
j'étais un homme mort.... et ce qui est
plus grave pour vous, un homme volé...
J'avais eu l'imprudence d'emporter votre
argent.
— Ah! monsieur de Brettecourt, com
ment pourrai-je reconnaître ce que vous
faites pour moi ?
- Assez, mon ami, pas de mots inutiles;
aidez-moi plutôt à prendre mon portefeuil
le... mon bras droit lui-même est tout en
gourdi... Passez votre main...
Frédéric introduisit sa main dans le vê
tement du colonel.
- De quel côté, mon colonel ?
- Là... où vous êtes... à droite...
- Pardon, mon colonel... pardon...
Et il cherchait fiévreusement.
- Pardon... C'est que je ne trouve
rien...
Il chercha vivement de l'autre côté.
- Encore rien ? interrogea Brettecourt.
- Rien mon colonel... D'ailleurs deux
boutons de votre vêtement étaient dé
faits...
— Les bandits ! prononça Brettecourt
d'une voix mourante ; ils n'ont pas pu
m'assassiner, mais ils m'ont volé!... Ah!
mon Dieu !
Il poussa un soupir si lamentable que
Jean Renaud l'entendit. Supposant que le
colonel perdait connaissance, il entra dans
la case et vit Brettecourt et Frédéric qui
se regardaient comme pétrifiés. Il demeura
immobile contre la porte, cherchantg de
viner ce qui se passait. Le colonel l'ap
pela.
- Approchez, Jean Renaud. Nous voilà
forcés de vous mettre dans la confidence
d'un secret qui n'était qu'à M. de Ville
preux.
Frédéric tomba sur une chaise et se ca
cha le visage dans les mains. Le colonel
continua :
— M. de Villepreux, le père de votre ca
pitaine, m'avait confié une trentaine de
mille francs pour les remettre à son (ils en
cas de besoin ; son fils m'a demandé cette
somme aujourd'hui ; je l'ai touchée à la
banque où je l'avais déposée. Et je viens
de me laisser voler par ces assassins. Je ne
m'en suis aperçu que tout à l'heure.
- Et c'est cela qui vous inquiétait, mon
colonel?... Attendez-moi une seconda!
Il bondit hors de la case, courut à la
sienne et revint presque aussitôt. En pé
nétrant de nouveau che> Frédéric, il ton
dit une liasse de billets de banque au colo
nel et dit gracieusement :
— Cela me forcera à faire des économies,
ce qui étonnera beaucoup ma mère et ma
grand'mère.
Puis, avec une délicatesse parfaite, il
ressortit, ne voulant plus troubler le tête
à-tête de Frédéric et du colonel.
- Quel ami! s'écria Frédéric avec at
tendrissement.
— Vous n'en aurez jamais de meilleur,
répliqua le colonel. Prenez la somme ; je
vais me retirer avec Jean Renaud; comme
nous l'avons convenu, rompez vos arrêts,
allez payer votre créancier. Et demain je
doublerai votre punition:. Profitez du mo
ment où nous nous éloignerons pour sau
ter par une fenêtre... Je pense que vous ne
jouerez plus ?
— Ah ! certes non, mon colonel ! La le
çon est trop forte ! Si vous aviez succombé
ce soir, je me serais reproché votre mort
toute ma vie...
— Il paraît que je ne devais pas mourir,
dit à voix basse Brettacourt. Les moyens
de la Providence sont mystérieux... Appe
lez Jean...
(A suivre..
(MffUT LA FtViil!!
avoué-licencié, à Montpellier,
Grand'Rue, 5.
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Au palais de justice à Montpel-
lier, le samedi 13 septembre
i890, à dix heures du matin,
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PREMIER LOT
CINQ PIÈCES DE TERRE
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Horts, d'uno contenance totale
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Alise à prix, 300 fr.
TROISIÈME LOT
Trois pièces de Terre
Sises commune de Puéchabon,
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totale d'environ 01 ares.
Mise à prix, 300 fr.
QUATRIÈME LOT
Trois pièces de terre
Sises commune de Puéchabon,
aux lieux dits Narbes et Font de
Lacoste, numéros 863, 159, 160,
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Mise à prix, 300 fr.
CINQUIÈME LOT
Deux pièces de Terre
Sises communes de Puéchabon,
au lieu dit la Lauze, numéros
490, 492 p, d'une contenance to
tale d'environ 70 ares 30 cen
tiares.
Mise à prix, 300 fr.
SixiÈME LOT
|Trois pièces de Terre
Sises commune de Puéchabon,
au lieu dit Pioch de Foûrques,
numéros 921, 922, 923, d'une con
tenance totale d'énviron 44 ares
40 centiares.
Mise à prix, 300 fr.
SEPTIÈME LOT
Une pièce de Terre
Sise dans la commune d'Arge
liers, numéro 32 p, au tènement
du Huste, de contenance de 32
ares 75 centiares.
Mise à prix, 50 fr.
Ces immeubles saisis-expro
priés contre et sur la têtedu sieur
Pierre Dupin, propriétaire à Pué
chabon.
M6 Meunier, avoué à Montpel
lier, donnera tous renseigne
ments aux prétendants.
Pour extrait :
René MEUNIER, avoué, signé.
PUBLICATION -
Conformément à la loi du 24
juillet 1867.
D'un acte sous seing privé en
date du 16 août 1890, enregistré
à Montpellier le 25 dudit mois
d'août, lol. 58, v, c. 2, passé en
tre M. Louis Gagne, commerçant,
domicilié à Montpellier, et M.
Alexandre Paleirac, également
commerçant, domicilié à Mont
pellier.
Il résulte que la société de fa
ayant existé entre eux à Montpel
lier sous la raison sociale Gagne
et Paleirac, ponr la représenta
tion dans catte ville et le dépar
tement de l'Hérault de l'impor
tante manufacture de produit)
chimiques connue sous le nom d(
Saint-Gobain, est et demeure dis
soute d'un commun accord à par
tir du 14 avril dern:er.
M. Louis Gagne est seul chargi
de la liquidation.
Les dépôts prescrits par la lo
ont été faits au greffe uu tribuna
de commerce de Montpellier e
au gr- lie de la justice de paix d
I 2e canton.
Étude 'de M» Louis ROUVIER,
avoué licencié* successeur de
M0 MAURIN, boulevard Ledru
Rollin, 3, vis-à-vis la Banque,
à Montpellier.
ADJUDICATION
Au palais de justice à Montpel
lier, le samedi 13 septembre
1S90, à dix heures du malin,
et suivantes au besoin.
D'UNE
BELLE MAISON
Située à Montpellier, rue
du Pout-Juvénal , an
ciennement ai" 26, ac
tuellement n° 2t.
Confrontant du nord la rue, du
sud Villa, de l'est Valentin et de
l'ouest Bascou.
Contenanc3 : 235 mètres carrés
environ.
tisrù prix : 35.000 fr.
Ledit immeuble saisi-exproprié
contre et sur la tête du sieur
Louis Broussoux, marchand-tail
leur, domicilié à Montpellier.
S'adresser pour les renseigne
ment s
A M° Louis Rouvier, avoué b
Montpellier, boulevard Ledru
Rollin, n° 3, poursuivant la
vente.
Pour extrait :
Louis ROUVIER, avoué, signé.
Étude de M® L. FERAUD, avoué,
rue de la Loge, n° 10, à Mont
pellier.
PURGE
d'hypothèques légales
Par acte reçu M9 de Borely,
notaire à Montpellier, le dix-huit
juin 1890, le sieur Louis Mala
vialle, ancien entrepreneurde bâ
timents et propriétaire, et la da
me Marguerite-Gabrielle Blanc,
son épouse, sans profession, qu'il
assiste et autorise, domiciliés à
Montpellier, ont vendu conjointe
ment et solidairement à M. Pierre
Marger, jardinier et propriétaire,
épouse (le dame Marie Bestiou,
domicilié à Montpellier,
Une maison avec jardin sur le
derrière, située à Montpellier,
quartier du Carré-du-Roi, d'une
surface de deux cents vingt-deux
métres carrés environ, confron
tant au nord et l'est et au nord
ouest, l'immeuble campagne, au
sud-est la rue Magnoi, au sud
Pioch, et à l'ouest Charras et le
vendeur.
La présente vente a été faite
outre les clauses et conditions
portées audit acte de vente,
moyennant la somme de onze
mille francs.
Copie collationnée et enregis-!
trée du susdit acte de vente du
dix-huit juii. 1890, a été déposée
au greffe du tribunal civil de
Montpellier. le huit août 1890, et
l'expedition délivrée par M. le
greffier dudit tribunal constatant
le dépôt a été signinéà M le pro
cureur de la République, près le
tribunal civil de Montpellier, y
domicilié, suivant exploit de Ri
ben, huissier à Montpellier, en
date du 26 août 1890, enregistré.
Lesdits dépôt, affiches, notifi
cation et la présente publication
ont été faits dans le but de pur
ger l'immeuble vendu de toutes
les hypothèques légales généra
lement quelconques qui peuvent
le grever.
Montpellier, le 30 août 1890.
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L. FERAUD, avoué, signé.
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IPar Pierre SALES
- Permettez-moi, d'abord, dit Jean, de
regarder le visage de ces gueux.
Il fit partir une allumette et se baissa.
— Votre boy ! prononça-t-il
C'était l'Annamite dont le colonel avait
fendu la tête. La vérité n'était que trop
simple à deviner ; son boy avait vu qu'on
lui portait de l'argent ; et il avait organisé
une tentative d'assassinat pour le voler et
passer ensuite aux Pavillons-Noirs. Il y a
du pirate dans tout Annamite.
Jean Renaud pensa rapidement la bles
sure du colonel, en nouant son mouchoir
autour du bras frappé, qui, heureusement,
était le bras gauche. Et ils reprirent le
chemin de Hanoï, Jean soutenant Brette
court d'une main, tandis que, de l'autre, il
tenait son sabre, pour le cas où on les atta
querait encore. Mais aucun nouvel inci
dent ne surgit, et ils arrivèrent bientôt
au blockhaus nord, 'qui domine le lac.
Jean Renaud proposa au colonel de s'y ar
rêter, mais celui-ci répondit très vive
ment :
— Non, non ; il faut que je rentre à
Hanoï.
Us se contentèrent donc' de prévenir le,
oste de l'agression dont le colonel avait
été victime ; quelques hommes furent en-
voyés à la poursuite des assassins. Et le
blessé, toujours soutenu par Jean Renaud,
reprit le chemin de la citadelle. Brette
court éprouvait dans le bras une douleur
cuisante, et la fièvre commençait à le se
couer de ses Irissons ; il aurait eu besoin
de s'étendre, de demeurer dans une immo
bilité absolue. Mais il songeait à Frédé
ric, et cela lui donnait letourage de lut
ter contre la fièvre. Quand ils atteignirent
la citadelle, le colonel dit à Jean :
- Pas un mot ici sur cette triste agres
sion jusqu'à ce que je vous permette de
parler.
Il voulait éviter un rassemblement des
yeux indiscrets.
— Et laissez-moi, ajouta-t-il, je pourrai
marcher seul...
Il essaya, en eftet, mais il chancela aus
sitôt, et Jean, qui l'avait abandonné, dut
le soutenir de nouveau
- Impossible! murmura le colonel avec
un accent de rage.
— Mais pourquoi vous quitterais-je,
mon colonel ? Laissez-moi la joie de vous
accompagner jusqu'au bout, de vous ins
taller chez vous...
- Je ne vais pas chez moi, dit Brette
court très embarrassé.
— Mon colonel, je vous' conduirai où
vous voudrez, et j'oublierai ensuite où
vous êtes allé.
- C'est que... je n'ai pas le droit... Il y
a là-dessous un sacret qui ne m'appartient
pas...
Il parlait très-difficilement; sa langue
s'épaississait. S'il hésitait encore, peut
être allait-il s'évanouir? Frédéric serait
perdu.
— Menez-moi chez le capitaine de Ville
preux, murmura-t-il. Et marchez prudem
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Lorsque Jean Renaud s'approcha de la
case de Frédéric, un factionnaire lui barra
le chemin en disant :
- Le capitaine ne reçoit personne; il
est aux arrêts de rigueur.
. - Vous ne voyez donc pas que j'accom
pagne le colonel ?
Brettecourt n'avait pour ainsi dire plus
la force de parler ; il réservait sa dernière
énergie pour voir Frédéric.
Le dernier descendant des Villepreux
attendait avec une impatience folle l'arri
vée de son chef. Toute la journée il avait
été sans inquiétude, il avait une entière
confiance dans la parole de Brettecourt ;
mais depuis que la nuit était tombée, il se
croyait oublié, il avait peur... Quand il vit
Jean Renaud et le colonel, son sang se
glaça ; il s'imagina que le colonel avait
échoué et qu'il ne lui amenait Jean Re
naud que pour lui rendre le service qu'il
lui avait trop légèrement proposé.
Le colonel tomba sur un siège, et Jean
Renaud se retira très-vivement, après
avoir à peine salué Frédéric.
- Vous êtes blessé? s'écria celui-ci en
s'avançant vers le colonel.
- Rien... rien, mon ami ! Un simple
coup dans le bras qui guérira vite ; mais
ça me donne la fièvre... Des gueux m'ont
attaqué au bord du lac, et sans Jean Re
naud, qui se promenait lui aussi par là,
j'étais un homme mort.... et ce qui est
plus grave pour vous, un homme volé...
J'avais eu l'imprudence d'emporter votre
argent.
— Ah! monsieur de Brettecourt, com
ment pourrai-je reconnaître ce que vous
faites pour moi ?
- Assez, mon ami, pas de mots inutiles;
aidez-moi plutôt à prendre mon portefeuil
le... mon bras droit lui-même est tout en
gourdi... Passez votre main...
Frédéric introduisit sa main dans le vê
tement du colonel.
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- Là... où vous êtes... à droite...
- Pardon, mon colonel... pardon...
Et il cherchait fiévreusement.
- Pardon... C'est que je ne trouve
rien...
Il chercha vivement de l'autre côté.
- Encore rien ? interrogea Brettecourt.
- Rien mon colonel... D'ailleurs deux
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— Les bandits ! prononça Brettecourt
d'une voix mourante ; ils n'ont pas pu
m'assassiner, mais ils m'ont volé!... Ah!
mon Dieu !
Il poussa un soupir si lamentable que
Jean Renaud l'entendit. Supposant que le
colonel perdait connaissance, il entra dans
la case et vit Brettecourt et Frédéric qui
se regardaient comme pétrifiés. Il demeura
immobile contre la porte, cherchantg de
viner ce qui se passait. Le colonel l'ap
pela.
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forcés de vous mettre dans la confidence
d'un secret qui n'était qu'à M. de Ville
preux.
Frédéric tomba sur une chaise et se ca
cha le visage dans les mains. Le colonel
continua :
— M. de Villepreux, le père de votre ca
pitaine, m'avait confié une trentaine de
mille francs pour les remettre à son (ils en
cas de besoin ; son fils m'a demandé cette
somme aujourd'hui ; je l'ai touchée à la
banque où je l'avais déposée. Et je viens
de me laisser voler par ces assassins. Je ne
m'en suis aperçu que tout à l'heure.
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colonel?... Attendez-moi une seconda!
Il bondit hors de la case, courut à la
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nétrant de nouveau che> Frédéric, il ton
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grand'mère.
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à-tête de Frédéric et du colonel.
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— Il paraît que je ne devais pas mourir,
dit à voix basse Brettacourt. Les moyens
de la Providence sont mystérieux... Appe
lez Jean...
(A suivre..
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