1367 ALBANAIS — ALBANÈS 1368
égaux en puissance et caractérisés par une opposi-
tion essentielle entre eux. Sur les autres points on ne
peut fournir des précisions qui nous permettraient
d'encadrer plus nettement les albanais dans le mou-
vement manichéen.
Dictionnaire de théolngie catholique, t. l, col. 658-659.
V. ERMONI.
ALBANEL (CHARLES), jésuite français, mission-
naire et explorateur au Canada, découvrit une section
du lac Mistassin, nommée quelque temps lac Albanel,
pénétra par l'intérieur des terres jusque sur les bords
de la baie d'Hudson, et prit possession de ces régions
au nom de la France. Né en Auvergne, en 1616, et entré
au noviciat des jésuites de Toulouse, le 16 septembre
1633, Albanel, qui avait le goût des voyages autant
que le zèle des âmes, demanda, après ses premières
années de formation religieuse, les missions du Canada.
Il y arriva le 23 août 1649 et évangélisa les Algon-
quins Montagnais, qu'il accompagna, plusieurs an-
nées, dans leurs campements d'hiver. En 1666, il sui-
vit, en qualité de chapelain, les troupes de Tracy dans
une expédition contre les Iroquois. L'intendant Talon
voulait enlever aux Anglais et attirer vers Québec le
trafic de pelleteries des Kilistinons, établis en grand
nombre dans le voisinage de la baie d'Hudson : il leur
envoya, à cet effet, le P. Albanel qui parlait facilement
leur langue, avec Denys de Saint-Simon et un autre
Français. L'intrépide missionnaire quitta Québec le
6 août 1671, remonta le Saguenay, traversa le lac
Mistassin, descendit le Nemiscau et parvint, le 1er juil-
let de l'année suivante, au terme de l'expédition; il
était de retour à Québec le 1er août, après un voyage
« extrêmement difficile », où il y a « 200 saults ou
cheutes d'eau, et partant 200 portages, où il faut porter
canot et équipage tout ensemble sur son dos; il y a
400 rapides, où il faut avoir toujours une longue per-
che aux mains, pour les monter et les franchir; je ne
veux rien dire de la difficulté des chemins, il faut
l'experimenter pour le comprendre. Mais on prend
courage quand on pense combien d'âmes on peut
gagner à Jesus-Christ. » Relation de 1671-1672, p. 203-
204. Il tenta, deux ans plus tard, de retourner à la
baie d'Hudson, pour baptiser les sauvages, mais il fut
pris par les Anglais, qui le ramenèrent en Europe.
Rendu à la liberté, il regagna la Nouvelle-France
(22 juillet 1676), et trois jours seulement après son
arrivée, malgré ses infirmités et son âge avancé, il se
rendit chez les Ottawas et résida à Green Bay. Il mou-
rut, probablement à Sault-Sainte-Marie, le 11 janvier
1696. On a de lui deux lettres sur son séjour chez les
Algonquins pendant l'hiver de 1669-1670 : Relation de
ce qui s'est passé de plus remarquable. en la Nouvelle
France, les années 1667 et 1670, in-8°, Paris, 1671,
p. 27-64, et le journal de son expédition à la baie
d'Hudson : Relation de. 1671 et 1672, in-8°, Paris,
1673, p. 154-206. Cf. The Jesuit relations and allied
documents, publiés par Reuben Gold Thwaites, in-8°,
Cleveland, 1899, t. LIII, p. 58-92; t. LVI, p. 150-216.
R. G. Thwaites, The Jesuit relations and allied docu-
ments. Travels and explorations of the Jesuit missionaries
in New France, 1610-1791, Cleveland, 1901, t. LXXII, p. 37.
On y trouvera indiqués tous les passages des anciennes Re-
lations du Canada, où il est fait mention du P. Albanel. —
C. de Rochemonteix, Les jésuites et la Nouvelle-France
au XVIIe siècle, Paris, 1896, t. xi, p. 372-376.
E.-M. RIVIÈRE.
ALBANELL (GALCERAND), naquit à Barcelone,
en 1561. Il était fils de Jérôme Albanell, chevalier
de l'ordre de Calatrava, et d'Isabelle de Rebolledo.
Galcerand Albanell étudia avec ardeur les langues
orientales et acquit vite la renommée d'un grand
érudit. Sa piété égalait sa science. Aussi, Philippe III,
roi d'Espagne, lui confia; le 25 mai 1612, les déli-
cates fonctions de précepteur du prince des Astu-
ries. Lorsqu'il eut achevé l'éducation de l'infant, Gal-
cerand Albanell résolut de dire adieu au monde. Il
entra dans les ordres et ne tarda pas à être pourvu
de l'abbaye d'Alcala la Réal. Peu de temps après, ce
prélat fut élevé sur le siège archiépiscopal de Grenade.
Galcerand Albanell mourut dans cette dernière ville,
le 10 mai 1626. Il est l'auteur d'ouvrages histo-
riques restés inédits, de lettres diplomatiques adres-
sées par lui au duc d'Olivarès et au roi Philippe IV,
d'une dissertation sur la résidence des évêques, insé-
rée dans le t. XIV du Semanario erudito publié par
Valladares.
Torres-Amat, Diccionario crilico de los escritores catalanes,
Barcelone, 1836, p. 9.
J. CAPEILLE.
ALBANÈS (JOSEPH-MATTHIAS-HYACINTHE) na-
quit à Auriol (Bouches-du-Rhône), le 24 février 1822.
Ordonné prêtre le 21 décembre 1844, il fut vicaire
successivement dans huit paroisses du diocèse de Mar-
seille, de 1845 à 1867; dans l'intervalle, il conquit les.
grades de docteur en théologie et en droit canon (1859)
et fut chargé d'instruire les procès en reconnaissance
de culte d'André Abellon (1857) et du pape Urbain V
(1868). Chanoine honoraire dès 1871, il fut nommé
correspondant du Ministère de l'Instruction publique
en 1875. Mgr Robert lui octroya les fonctions d'histo-
riographe de son diocèse en 1878. Il obtint des men-
tions honorables au concours des antiquités natio-
nales, en 1880 et 1883. Officier de l'Instruction publique
en 1881, il fut nommé chevalier de la Légion d'honneur
en 1889, comme récompense du catalogue des manu-
scrits des villes d'Aix, Arles, Draguignan, Fréjus,
Grasse, Toulon, Nice et Marseille, dont il avait été
chargé par le gouvernement. L'œuvre la plus méri-
tante de sa vie sacerdotale fut l'instruction du procès
de béatification de sœur Anne-Madeleine Remuzat
(1885). Il décéda à Marseille le 3 mars 1897, muni des
sacrements par son vénérable évêque. Il fut un
travailleur incomparable. Personne de notre temps,
en Provence du moins, n'aura creusé un sillon aussi
profond dans le champ de l'histoire locale, surtout
ecclésiastique. Avant que le pape Léon XIII eût ou-
vert toutes grandes aux érudits les portes des archives
du Vatican, le chanoine Albanès en dépouilla complè-
tement les registres inédits, pour y trouver les dates
précises, inconnues jusqu'à lui, des nominations des
titulaires des 22 évêchés dont il avait entrepris l'his-
toire, sans compter celles des abbés des monastères.
Les archives locales n'eurent bientôt, cela va sans
dire, aucun secret pour lui. Il ne se décida que tardi-
vement à mettre au jour les richesses accumulées
dans ses cartons et le premier volume de sa Gallia
christiana novissima n'était pas achevé d'imprimer
quand il mourut. Héritier, de par sa volonté, de tous
ses manuscrits, l'auteur de cette notice en a publié
le catalogue sommaire. Le chanoine Albanès, bio-
bibliographie, Romans, 12 avril 1897, gr. in-8°
de 20 pages. Ses œuvres imprimées comprennent
69 numéros, ses manuscrits 68, avec la copie de
10 194 documents. Parmi les premières, des mono-
graphies biographiques concernent Urbain V, André
Abellon (col. 96), Jean Huet, Bertrand Nicolaï, sainte
Casarie, saint Bézénet, Pierre d'Aigrefeuille (cf. ci-
dessus, col. 1119), Jean Artaudi, sainte Douceline,.
Avignon Nicolaï ; d'autres, monastiques, se rapportent à
Saint-Maximin, Clairecombe, Silvacahe; d'autres, épis-
copales, à Aix, Marseille, Avignon, Saint-Paul-Trois-
Châteaux, Arles, Gap; d'autres, enfin, locales, à
Cornillon, Roquevaire, la Gayolle. De bons juges ont
rendu témoignage à la critique pénétrante et bien
informée du chanoine Albanès. Le champ immense
qu'il s'était donné la mission de défricher ne lui per-
égaux en puissance et caractérisés par une opposi-
tion essentielle entre eux. Sur les autres points on ne
peut fournir des précisions qui nous permettraient
d'encadrer plus nettement les albanais dans le mou-
vement manichéen.
Dictionnaire de théolngie catholique, t. l, col. 658-659.
V. ERMONI.
ALBANEL (CHARLES), jésuite français, mission-
naire et explorateur au Canada, découvrit une section
du lac Mistassin, nommée quelque temps lac Albanel,
pénétra par l'intérieur des terres jusque sur les bords
de la baie d'Hudson, et prit possession de ces régions
au nom de la France. Né en Auvergne, en 1616, et entré
au noviciat des jésuites de Toulouse, le 16 septembre
1633, Albanel, qui avait le goût des voyages autant
que le zèle des âmes, demanda, après ses premières
années de formation religieuse, les missions du Canada.
Il y arriva le 23 août 1649 et évangélisa les Algon-
quins Montagnais, qu'il accompagna, plusieurs an-
nées, dans leurs campements d'hiver. En 1666, il sui-
vit, en qualité de chapelain, les troupes de Tracy dans
une expédition contre les Iroquois. L'intendant Talon
voulait enlever aux Anglais et attirer vers Québec le
trafic de pelleteries des Kilistinons, établis en grand
nombre dans le voisinage de la baie d'Hudson : il leur
envoya, à cet effet, le P. Albanel qui parlait facilement
leur langue, avec Denys de Saint-Simon et un autre
Français. L'intrépide missionnaire quitta Québec le
6 août 1671, remonta le Saguenay, traversa le lac
Mistassin, descendit le Nemiscau et parvint, le 1er juil-
let de l'année suivante, au terme de l'expédition; il
était de retour à Québec le 1er août, après un voyage
« extrêmement difficile », où il y a « 200 saults ou
cheutes d'eau, et partant 200 portages, où il faut porter
canot et équipage tout ensemble sur son dos; il y a
400 rapides, où il faut avoir toujours une longue per-
che aux mains, pour les monter et les franchir; je ne
veux rien dire de la difficulté des chemins, il faut
l'experimenter pour le comprendre. Mais on prend
courage quand on pense combien d'âmes on peut
gagner à Jesus-Christ. » Relation de 1671-1672, p. 203-
204. Il tenta, deux ans plus tard, de retourner à la
baie d'Hudson, pour baptiser les sauvages, mais il fut
pris par les Anglais, qui le ramenèrent en Europe.
Rendu à la liberté, il regagna la Nouvelle-France
(22 juillet 1676), et trois jours seulement après son
arrivée, malgré ses infirmités et son âge avancé, il se
rendit chez les Ottawas et résida à Green Bay. Il mou-
rut, probablement à Sault-Sainte-Marie, le 11 janvier
1696. On a de lui deux lettres sur son séjour chez les
Algonquins pendant l'hiver de 1669-1670 : Relation de
ce qui s'est passé de plus remarquable. en la Nouvelle
France, les années 1667 et 1670, in-8°, Paris, 1671,
p. 27-64, et le journal de son expédition à la baie
d'Hudson : Relation de. 1671 et 1672, in-8°, Paris,
1673, p. 154-206. Cf. The Jesuit relations and allied
documents, publiés par Reuben Gold Thwaites, in-8°,
Cleveland, 1899, t. LIII, p. 58-92; t. LVI, p. 150-216.
R. G. Thwaites, The Jesuit relations and allied docu-
ments. Travels and explorations of the Jesuit missionaries
in New France, 1610-1791, Cleveland, 1901, t. LXXII, p. 37.
On y trouvera indiqués tous les passages des anciennes Re-
lations du Canada, où il est fait mention du P. Albanel. —
C. de Rochemonteix, Les jésuites et la Nouvelle-France
au XVIIe siècle, Paris, 1896, t. xi, p. 372-376.
E.-M. RIVIÈRE.
ALBANELL (GALCERAND), naquit à Barcelone,
en 1561. Il était fils de Jérôme Albanell, chevalier
de l'ordre de Calatrava, et d'Isabelle de Rebolledo.
Galcerand Albanell étudia avec ardeur les langues
orientales et acquit vite la renommée d'un grand
érudit. Sa piété égalait sa science. Aussi, Philippe III,
roi d'Espagne, lui confia; le 25 mai 1612, les déli-
cates fonctions de précepteur du prince des Astu-
ries. Lorsqu'il eut achevé l'éducation de l'infant, Gal-
cerand Albanell résolut de dire adieu au monde. Il
entra dans les ordres et ne tarda pas à être pourvu
de l'abbaye d'Alcala la Réal. Peu de temps après, ce
prélat fut élevé sur le siège archiépiscopal de Grenade.
Galcerand Albanell mourut dans cette dernière ville,
le 10 mai 1626. Il est l'auteur d'ouvrages histo-
riques restés inédits, de lettres diplomatiques adres-
sées par lui au duc d'Olivarès et au roi Philippe IV,
d'une dissertation sur la résidence des évêques, insé-
rée dans le t. XIV du Semanario erudito publié par
Valladares.
Torres-Amat, Diccionario crilico de los escritores catalanes,
Barcelone, 1836, p. 9.
J. CAPEILLE.
ALBANÈS (JOSEPH-MATTHIAS-HYACINTHE) na-
quit à Auriol (Bouches-du-Rhône), le 24 février 1822.
Ordonné prêtre le 21 décembre 1844, il fut vicaire
successivement dans huit paroisses du diocèse de Mar-
seille, de 1845 à 1867; dans l'intervalle, il conquit les.
grades de docteur en théologie et en droit canon (1859)
et fut chargé d'instruire les procès en reconnaissance
de culte d'André Abellon (1857) et du pape Urbain V
(1868). Chanoine honoraire dès 1871, il fut nommé
correspondant du Ministère de l'Instruction publique
en 1875. Mgr Robert lui octroya les fonctions d'histo-
riographe de son diocèse en 1878. Il obtint des men-
tions honorables au concours des antiquités natio-
nales, en 1880 et 1883. Officier de l'Instruction publique
en 1881, il fut nommé chevalier de la Légion d'honneur
en 1889, comme récompense du catalogue des manu-
scrits des villes d'Aix, Arles, Draguignan, Fréjus,
Grasse, Toulon, Nice et Marseille, dont il avait été
chargé par le gouvernement. L'œuvre la plus méri-
tante de sa vie sacerdotale fut l'instruction du procès
de béatification de sœur Anne-Madeleine Remuzat
(1885). Il décéda à Marseille le 3 mars 1897, muni des
sacrements par son vénérable évêque. Il fut un
travailleur incomparable. Personne de notre temps,
en Provence du moins, n'aura creusé un sillon aussi
profond dans le champ de l'histoire locale, surtout
ecclésiastique. Avant que le pape Léon XIII eût ou-
vert toutes grandes aux érudits les portes des archives
du Vatican, le chanoine Albanès en dépouilla complè-
tement les registres inédits, pour y trouver les dates
précises, inconnues jusqu'à lui, des nominations des
titulaires des 22 évêchés dont il avait entrepris l'his-
toire, sans compter celles des abbés des monastères.
Les archives locales n'eurent bientôt, cela va sans
dire, aucun secret pour lui. Il ne se décida que tardi-
vement à mettre au jour les richesses accumulées
dans ses cartons et le premier volume de sa Gallia
christiana novissima n'était pas achevé d'imprimer
quand il mourut. Héritier, de par sa volonté, de tous
ses manuscrits, l'auteur de cette notice en a publié
le catalogue sommaire. Le chanoine Albanès, bio-
bibliographie, Romans, 12 avril 1897, gr. in-8°
de 20 pages. Ses œuvres imprimées comprennent
69 numéros, ses manuscrits 68, avec la copie de
10 194 documents. Parmi les premières, des mono-
graphies biographiques concernent Urbain V, André
Abellon (col. 96), Jean Huet, Bertrand Nicolaï, sainte
Casarie, saint Bézénet, Pierre d'Aigrefeuille (cf. ci-
dessus, col. 1119), Jean Artaudi, sainte Douceline,.
Avignon Nicolaï ; d'autres, monastiques, se rapportent à
Saint-Maximin, Clairecombe, Silvacahe; d'autres, épis-
copales, à Aix, Marseille, Avignon, Saint-Paul-Trois-
Châteaux, Arles, Gap; d'autres, enfin, locales, à
Cornillon, Roquevaire, la Gayolle. De bons juges ont
rendu témoignage à la critique pénétrante et bien
informée du chanoine Albanès. Le champ immense
qu'il s'était donné la mission de défricher ne lui per-
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