Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-09-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 10 septembre 1921 10 septembre 1921
Description : 1921/09/10 (A41,N11,T79). 1921/09/10 (A41,N11,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6504196w
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
- Aller à la page de la table des matières221
- SOMMAIRE.
- .......... Page(s) .......... 221
- .......... Page(s) .......... 225
- .......... Page(s) .......... 233
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- .......... Page(s) .......... 236
- .......... Page(s) .......... 236
- .......... Page(s) .......... 240
- ANNONCES: Informations diverses.
238 LE GÉNIE CIVIL TOME LXXIX — N° 11
Sa discussion porte aussi bien sur les paliers
portant des pièces tournantes de machines
que sur les parties de ces machines qui subis-
sent un mouvement de va-et-vient, par exemple
sur les segments généralement adaptés aux
pistons qui se déplacent dans les cylindres.
Comme beaucoup d'auteurs avant lui,
M. Bunnell pose en principe qu'il faut main-
tenir la pellicule d'huile bien continue pour
assurer un graissage absolument 'efficace. On
va donc à l'encontre de ce but, toutes les fois
qu'on utilise des paliers dans lesquels des
ouvertures permettent au lubrifiant de
s'échapper sous l'effet de la force centrifuge
ou pour toute autre cause.
M. Paul G. Tismer a étudié des paliers
basés sur ces principes, qui auraient donné
FIG. 1 à 3. — Piston de moteur à explosion
sans segments.
des résultats satisfaisants. On compte parti-
culièrement en faire l'application aux moteurs
et aux automobiles.
Dans un moteur à essence normal, une
quantité d'huile plutôt considérable est pro-
jetée sur le piston et entraînée dans le cylin-
dre, en telle quantité qu'il est invraisemblable
de constater les défauts de graissage que
révèle l'expérience. Tel est cependant le cas,
en raison des solutions de continuité et des
aspérités de toute nature qui coupent la pelli-
cule d'huile et compromettent sa bonne utili-
sation. Les segments ordinairement employés
sont particulièrement nuisibles, parce qu'ils
enlèvent l'huile comme le ferait un grattage
effectué au moyen d'une surface à arête anté-
rieure vive.
Un piston sans segments du modèle Tismer
est fait d'une sorte de fût cylindrique C et
d'un chapeau D, réunis par filetage, comme
l'indique la figure 1, avec un support central E
présentant des évidements : on voit qu'aucun
de ces évidements ne compromet la continuité
de la pellicule d'huile : ce qui évite la forte
consommation de lubrifiant et son dépôt à
l'état carbonisé sur les parois.
Les vibrations d'une tour de T. S. F. de
200 mètres. — Depuis quelque temps se pour-
suivent, au Japon, des essais ayant pour objet
d'enrichir la documentation qu'on 'possède
déjà sur les phénomènes sismiques de toute
nature.
L'Engineering, du 29 juillet, publie un article
dans lequel M. F. OMORI, membre de la Com-
mission d'étude des tremblements de terre,
rend compte des essais qu'il a faits pour déter-
miner les vibrations de la tour de 200 mètres
du poste de T. S. F. d'Haranomachi.
Ces essais ont eu lieu, les uns en cours de
construction, les autres après achèvement de
la tour. Ils offrent donc l'intérêt de corres-
pondre à des hauteurs différentes de même
édifice, mais les conditions atmosphériques à
la date des divers essais étaient différentes, et,
par conséquent, la valeur comparative des
résultats correspondants est évidemment
moindre. Les essais ont été faits aux hauteurs
de 90 mètres, 125 mètres, 160 mètres et
200 mètres.
Pour la hauteur de 90 mètres, l'amplitude
des vibrations était très minime (de l'ordre de
Omm 03 seulement) et la durée 0,73 seconde.
On peut donc considérer qu'à cette hauteur la
colonne se comportait en quelque sorte avec la
même indifférence aux vibrations que le faisait
la fondation elle-même.
A 125 mètres, et avec un vent variant entre
4 et 10 mètres comme dans l'essai ci-dessus,
on ne relevait encore que des vibrations du
même ordre. Et comme les essais étaient faits
avec un appareil enregistreur indiquant les
vibrations dans deux directions à angle droit,
on pourrait constater que l'amplitude était
pratiquement la même dans ces deux directions.
Au delà de 150 mètres, au contraire, on
observait un accroissement très marqué de
l'amplitude, et une différence progressive se
manifestait entre les valeurs correspondant à
la direction du vent et à la direction perpen-
diculaire. C'est dans cette dernière direction
que l'amplitude était la plus grande. L'auteur
explique cette apparente anomalie par une
théorie dans laquelle il fait intervenir, comme
facteur très important, l'effet du vide créé à
l'arrière de la tour par rapport à la direction
du vent et la flexion sensible que ce vent
imprime à la structure.
A 200 mètres de hauteur, l'amplitude de la
vibration la plus forte égale 6mm 9, et par
l'addition de la tige de fer qui domine la tour
cette amplitude est portée au delà de 10 mil-
limètres, tandis que la durée de la période
passe de 2,07 secondes à 2,12 secondes.
Les fils d'antenne ont dû augmenter encore
ces valeurs, mais il n'a pas été fait d'essais
depuis le#r mise en place.
MINES
Les charbons et les pétroles de la Rouma-
nie. — Le Monitore Tecnico, des 10 et 20 juin,
expose l'importance que peuvent prendre,
dans le développement des relations commer-
ciales entre l'Italie et la Roumanie, les ri-
chesses naturelles de ce dernier pays, qui
précisément sont celles qui font le plus défaut
à l'Italie.
Pour la production du pétrole, la Roumanie
prend aujourd'hui rang parmi les premiers
pays du monde. Après les Etats-Unis qui ont
produit dans la dernière décade une moyenne
annuelle supérieure à 30 millions de tonnes
métriques, le Mexique vient depuis peu au
second rang avec une dizaine de milliers de
tonnes, la Russie au troisième, et sur le même
rang à peu près viennent les Indes hollandaises
et la Roumanie, avec 11 à 1200 000 tonnes de
pétrole de production annuelle.
L'article étudie en détail les progrès de l'ex-
traction et de la prospection, les nouveaux
forages, le développement apporté à l'utilisa-
tion des sous-produits et des dérivés du pé-
trole.
Il montre quelles richesses la Roumanie
peut encore tirer des gaz naturels de son sol
si elle suit l'exemple des Etats-Unis, ce qui lui
permettra d'exporter davantage encore des
combustibles qui peuvent assurer la prospé-
rité de ces échanges avec les pays étrangers.
Enfin, ses ressources en charbon sont im-
portantes et on peut escompter avec confiance
les résultats des exploitations qui en sont
tentées avec une activité nouvelle, en vue
d'une exportation de plus en plus considérable
et profitable.
MOTEURS THERMIQUES
L'utilisation des huiles végétales pour la
force motrice. — M. R. E. MATHOT a procédé
en vue de l'application des moteurs semi-
Diesel aux colonies, à des essais d'alimentation
de ces moteurs au moyen d'huiles végétales,
essais dont on trouve l'exposé dans le Matériel
colonial, de juin.
L'auteur résume comme suit les conclusions
de ses expériences.
Les essais confirment, dès à présent, que,
moyennant appropriation, les moteurs à com-
bustion du type semi-Diesel, à deux et à quatre
temps, s'accommodent parfaitement des huiles
végétales comme combustible.
Ils constitueront pour les colonies une force
motrice pratique et économique, quand ils
auront été l'objet des perfectionnements pro-
pres à faciliter leur conduite et leur entretien
par les natifs et que, grâce à certaines amélio-
rations, leur consommation en huiles végétales,
et surtout en huile de graissage, se rappro-
chera des rendements thermiques et méca-
niques réalisés par d'autres moteurs à com-
bustion interne, alimentés d'huiles minérales.
Au demeurant, dans l'état actuel des choses,
on peut conclure qu'avec les moteurs, objets
des essais, on peut déjà réaliser la force mo-
trice à raison de 3 à 10 centimes avec des
huiles végétales récoltées sur place et qui ne
sont point affectées de frais de manutention et
de transport.
Le moteur vertical à deux temps est le type
qui paraît le mieux désigné pour les colonies,
tant comme machine stationnaire que comme
moteur marin, variant dans les larges limites
de puissance de 3 à 400 chevaux.
Comme moteur terrestre, il n'exige pas de
fondations importantes; le poids relativement
réduit des pièces démontées se prête à leur
transport.
Comme moteur marin, il est tout désigné
par son faible encombrement par sa simplicité.
Restent les moteurs de tracteurs, soit pour
route, soit pour la remorque des machines
agricoles, qui peuvent rendre aussi de très
grands services si on adapte aux besoins colo-
niaux, aussi bien leurs caractéristiques d'ali-
mentation que leurs caractéristiques de con-
struction, en particulier de distribution et de
refroidissement.
Les tendances et perfectionnements mo-
dernes des turbines à vapeur. — Le Génie
Civil a déjà indiqué que les perfectionnements
apportés aux types modernes de turbines
avaient fait l'objet d'importantes études, tant
sous forme d'articles parus dans la presse
technique, que sous forme de mémoires lus
dans les réunions de sociétés savantes (1).
MM. C. A. PARSONS and C° ont tenu à traiter
longuement la question, dans une série de
cinq articles dont le quatrième, paru dans
l'Engineer du 3 juin, et le cinquième, dans
YEngineer du 17 juin, offrent un intérêt et une
précision de détails particuliers.
Après avoir traité toutes les questions qui
intéressent la construction des turbines elles-
mêmes, et donné de chacune une appréciation
qu'on peut utilement rapprocher de celle qu'ex-
priment, sur le même sujet, MM. BAUMANN (*)
et M. Gérald STONEY, les auteurs prennent
(1) Voir le Génie Civil du 4 juin 1921 (t. LXXVIII-
no 23, p. 490). -----
(2) Voir le Génie Civil du 23 juillet 1921 (t. LXXlAi
no 4, p. 95).
Sa discussion porte aussi bien sur les paliers
portant des pièces tournantes de machines
que sur les parties de ces machines qui subis-
sent un mouvement de va-et-vient, par exemple
sur les segments généralement adaptés aux
pistons qui se déplacent dans les cylindres.
Comme beaucoup d'auteurs avant lui,
M. Bunnell pose en principe qu'il faut main-
tenir la pellicule d'huile bien continue pour
assurer un graissage absolument 'efficace. On
va donc à l'encontre de ce but, toutes les fois
qu'on utilise des paliers dans lesquels des
ouvertures permettent au lubrifiant de
s'échapper sous l'effet de la force centrifuge
ou pour toute autre cause.
M. Paul G. Tismer a étudié des paliers
basés sur ces principes, qui auraient donné
FIG. 1 à 3. — Piston de moteur à explosion
sans segments.
des résultats satisfaisants. On compte parti-
culièrement en faire l'application aux moteurs
et aux automobiles.
Dans un moteur à essence normal, une
quantité d'huile plutôt considérable est pro-
jetée sur le piston et entraînée dans le cylin-
dre, en telle quantité qu'il est invraisemblable
de constater les défauts de graissage que
révèle l'expérience. Tel est cependant le cas,
en raison des solutions de continuité et des
aspérités de toute nature qui coupent la pelli-
cule d'huile et compromettent sa bonne utili-
sation. Les segments ordinairement employés
sont particulièrement nuisibles, parce qu'ils
enlèvent l'huile comme le ferait un grattage
effectué au moyen d'une surface à arête anté-
rieure vive.
Un piston sans segments du modèle Tismer
est fait d'une sorte de fût cylindrique C et
d'un chapeau D, réunis par filetage, comme
l'indique la figure 1, avec un support central E
présentant des évidements : on voit qu'aucun
de ces évidements ne compromet la continuité
de la pellicule d'huile : ce qui évite la forte
consommation de lubrifiant et son dépôt à
l'état carbonisé sur les parois.
Les vibrations d'une tour de T. S. F. de
200 mètres. — Depuis quelque temps se pour-
suivent, au Japon, des essais ayant pour objet
d'enrichir la documentation qu'on 'possède
déjà sur les phénomènes sismiques de toute
nature.
L'Engineering, du 29 juillet, publie un article
dans lequel M. F. OMORI, membre de la Com-
mission d'étude des tremblements de terre,
rend compte des essais qu'il a faits pour déter-
miner les vibrations de la tour de 200 mètres
du poste de T. S. F. d'Haranomachi.
Ces essais ont eu lieu, les uns en cours de
construction, les autres après achèvement de
la tour. Ils offrent donc l'intérêt de corres-
pondre à des hauteurs différentes de même
édifice, mais les conditions atmosphériques à
la date des divers essais étaient différentes, et,
par conséquent, la valeur comparative des
résultats correspondants est évidemment
moindre. Les essais ont été faits aux hauteurs
de 90 mètres, 125 mètres, 160 mètres et
200 mètres.
Pour la hauteur de 90 mètres, l'amplitude
des vibrations était très minime (de l'ordre de
Omm 03 seulement) et la durée 0,73 seconde.
On peut donc considérer qu'à cette hauteur la
colonne se comportait en quelque sorte avec la
même indifférence aux vibrations que le faisait
la fondation elle-même.
A 125 mètres, et avec un vent variant entre
4 et 10 mètres comme dans l'essai ci-dessus,
on ne relevait encore que des vibrations du
même ordre. Et comme les essais étaient faits
avec un appareil enregistreur indiquant les
vibrations dans deux directions à angle droit,
on pourrait constater que l'amplitude était
pratiquement la même dans ces deux directions.
Au delà de 150 mètres, au contraire, on
observait un accroissement très marqué de
l'amplitude, et une différence progressive se
manifestait entre les valeurs correspondant à
la direction du vent et à la direction perpen-
diculaire. C'est dans cette dernière direction
que l'amplitude était la plus grande. L'auteur
explique cette apparente anomalie par une
théorie dans laquelle il fait intervenir, comme
facteur très important, l'effet du vide créé à
l'arrière de la tour par rapport à la direction
du vent et la flexion sensible que ce vent
imprime à la structure.
A 200 mètres de hauteur, l'amplitude de la
vibration la plus forte égale 6mm 9, et par
l'addition de la tige de fer qui domine la tour
cette amplitude est portée au delà de 10 mil-
limètres, tandis que la durée de la période
passe de 2,07 secondes à 2,12 secondes.
Les fils d'antenne ont dû augmenter encore
ces valeurs, mais il n'a pas été fait d'essais
depuis le#r mise en place.
MINES
Les charbons et les pétroles de la Rouma-
nie. — Le Monitore Tecnico, des 10 et 20 juin,
expose l'importance que peuvent prendre,
dans le développement des relations commer-
ciales entre l'Italie et la Roumanie, les ri-
chesses naturelles de ce dernier pays, qui
précisément sont celles qui font le plus défaut
à l'Italie.
Pour la production du pétrole, la Roumanie
prend aujourd'hui rang parmi les premiers
pays du monde. Après les Etats-Unis qui ont
produit dans la dernière décade une moyenne
annuelle supérieure à 30 millions de tonnes
métriques, le Mexique vient depuis peu au
second rang avec une dizaine de milliers de
tonnes, la Russie au troisième, et sur le même
rang à peu près viennent les Indes hollandaises
et la Roumanie, avec 11 à 1200 000 tonnes de
pétrole de production annuelle.
L'article étudie en détail les progrès de l'ex-
traction et de la prospection, les nouveaux
forages, le développement apporté à l'utilisa-
tion des sous-produits et des dérivés du pé-
trole.
Il montre quelles richesses la Roumanie
peut encore tirer des gaz naturels de son sol
si elle suit l'exemple des Etats-Unis, ce qui lui
permettra d'exporter davantage encore des
combustibles qui peuvent assurer la prospé-
rité de ces échanges avec les pays étrangers.
Enfin, ses ressources en charbon sont im-
portantes et on peut escompter avec confiance
les résultats des exploitations qui en sont
tentées avec une activité nouvelle, en vue
d'une exportation de plus en plus considérable
et profitable.
MOTEURS THERMIQUES
L'utilisation des huiles végétales pour la
force motrice. — M. R. E. MATHOT a procédé
en vue de l'application des moteurs semi-
Diesel aux colonies, à des essais d'alimentation
de ces moteurs au moyen d'huiles végétales,
essais dont on trouve l'exposé dans le Matériel
colonial, de juin.
L'auteur résume comme suit les conclusions
de ses expériences.
Les essais confirment, dès à présent, que,
moyennant appropriation, les moteurs à com-
bustion du type semi-Diesel, à deux et à quatre
temps, s'accommodent parfaitement des huiles
végétales comme combustible.
Ils constitueront pour les colonies une force
motrice pratique et économique, quand ils
auront été l'objet des perfectionnements pro-
pres à faciliter leur conduite et leur entretien
par les natifs et que, grâce à certaines amélio-
rations, leur consommation en huiles végétales,
et surtout en huile de graissage, se rappro-
chera des rendements thermiques et méca-
niques réalisés par d'autres moteurs à com-
bustion interne, alimentés d'huiles minérales.
Au demeurant, dans l'état actuel des choses,
on peut conclure qu'avec les moteurs, objets
des essais, on peut déjà réaliser la force mo-
trice à raison de 3 à 10 centimes avec des
huiles végétales récoltées sur place et qui ne
sont point affectées de frais de manutention et
de transport.
Le moteur vertical à deux temps est le type
qui paraît le mieux désigné pour les colonies,
tant comme machine stationnaire que comme
moteur marin, variant dans les larges limites
de puissance de 3 à 400 chevaux.
Comme moteur terrestre, il n'exige pas de
fondations importantes; le poids relativement
réduit des pièces démontées se prête à leur
transport.
Comme moteur marin, il est tout désigné
par son faible encombrement par sa simplicité.
Restent les moteurs de tracteurs, soit pour
route, soit pour la remorque des machines
agricoles, qui peuvent rendre aussi de très
grands services si on adapte aux besoins colo-
niaux, aussi bien leurs caractéristiques d'ali-
mentation que leurs caractéristiques de con-
struction, en particulier de distribution et de
refroidissement.
Les tendances et perfectionnements mo-
dernes des turbines à vapeur. — Le Génie
Civil a déjà indiqué que les perfectionnements
apportés aux types modernes de turbines
avaient fait l'objet d'importantes études, tant
sous forme d'articles parus dans la presse
technique, que sous forme de mémoires lus
dans les réunions de sociétés savantes (1).
MM. C. A. PARSONS and C° ont tenu à traiter
longuement la question, dans une série de
cinq articles dont le quatrième, paru dans
l'Engineer du 3 juin, et le cinquième, dans
YEngineer du 17 juin, offrent un intérêt et une
précision de détails particuliers.
Après avoir traité toutes les questions qui
intéressent la construction des turbines elles-
mêmes, et donné de chacune une appréciation
qu'on peut utilement rapprocher de celle qu'ex-
priment, sur le même sujet, MM. BAUMANN (*)
et M. Gérald STONEY, les auteurs prennent
(1) Voir le Génie Civil du 4 juin 1921 (t. LXXVIII-
no 23, p. 490). -----
(2) Voir le Génie Civil du 23 juillet 1921 (t. LXXlAi
no 4, p. 95).
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