Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-08-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 27 août 1921 27 août 1921
Description : 1921/08/27 (A41,N9,T79). 1921/08/27 (A41,N9,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65041942
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
- Aller à la page de la table des matières181
- SOMMAIRE.
- .......... Page(s) .......... 181
- .......... Page(s) .......... 187
- .......... Page(s) .......... 193
- .......... Page(s) .......... 194
- .......... Page(s) .......... 195
- .......... Page(s) .......... 196
- .......... Page(s) .......... 196
- .......... Page(s) .......... 197
- .......... Page(s) .......... 197
- .......... Page(s) .......... 200
- ANNONCES: Informations diverses.
27 AOUT 1921 LE GENIE CIVIL 199
a des pressions comprises entre 9 et 14 kilogr.
Par centimètre carré , qu'elle subissait avec
Inême succès depuis 4 ans.
M. Stromeyer recommande de faire sur les
matériaux de construction tous les essais
possibles, d'apporter à la construction, au
contrôle de la main-d'œuvre, aux vérifications
en cours d'usinage, des précautions et une
Méthode rigoureuse : il prétend que, si ces
conditions sont observées, on peut considérer
comme superflues les épreuves hydrauliques,
par ailleurs dangereuses et susceptibles d'en-
traîner des fuites et accidents.
Il cite à l'appui de sa thèse l'expérience des
chantiers de constructions navales, qui appor-
tent à l'établissement des coques de navires
des soins suffisants pour n'avoir pas besoin de
les soumettre à des essais ultérieurs.
L'Engineer discute cette opinion et montre
que les essais faits avec précaution sont le
complément indispensable de l'inspection pour
certains types de machines, et que les objec-
tions qu'on avance à l'égard de leurs dangers
ne sont pas suffisamment probantes.
MÉTALLURGIE
Réparation par soudure électrique d'un
bâti de moteur Diesel. — L'Engineering, du
24 juin, expose de quelle façon l'Union Electric
NV elding C° a réparé par soudure électrique
le bâti d'un moteur Diesel en service à la sous-
station de Saint-Martin's Lane de la West End
and City Electricity Supply Co. La rupture du
rnetal s'était faite au pied d'une des colonnes
spportant les cylindres extérieurs d'un moteur
lesel-Sulzer de 600 chevaux à trois cylindres.
Si on avait dû en faire la réparation par la
soudure oxyacétylénique, il eût fallu démonter
complètement la machine pour chauffer la
Pièce à souder. Au lieu de cela, on a réparé
cette pièce sans procéder à aucun démontage.
a fissure qui s'était produite régnait sur une
Partie de la périphérie de la colonne porte-
cylindre intéressée, dans la zone évasée qui
dornine la bride assemblée au socle du moteur
Par de nombreux boulons.
On commença par attaquer les bords de la
ente, de façon à lui donner une largeur de 60
à 65 millimètres; avec une profondeur assez
variable suivant l'épaisseur du moulage. Après
qUoi, on perça et on tarauda les lèvres de la
fente, pour y visser des goujons, inclinés par
rapport à la normale de façon à retenir le
Inétal d'apport en le coinçant dans le sillon
Pratiqué dans les bords opposés de la fissure.
On coula ensuite un poids de métal atteignant
Presque 23 kilogr. et on utilisa également la
soudure électrique pour fixer des deux côtés
d,l bâti des plaques formant goussets. La ma-
chine ainsi réparée a repris son service et
donné des preuves de solidité parfaite.
MINES
Détermination de la teneur en matières
Volatiles d'une houme, abstraction faite des
Cendres. — M. Auguste DESSEMOND examine
cette question dans la Revue de l'Industrie
minérale du 1er juillet.
On admet implicitement dans le calcul de la
teneur en matières volatiles « abstraction faite
des cendres », que les parties stériles de
houille brute ne contiennent pas de matières
volatiles et que ces parties stériles se retrou-
vent entièrement dans les cendres. La teneur V
en matières volatiles de la houille pure, c'est-
à-dire abstraction faite des cendres d'un échan-
tillon de houille brute de teneur c en cendres
et de teneur v en matières volatiles est dès
lors donnée par l'expression
Y = ——.
100-c
En réalité, il n'en est pas ainsi, et l'applica-
tion de cette formule à des prélèvements de
poussières effectués dans des chantiers en
vue du classement d'une mine au point de vue
du danger des poussières, pourrait donner lieu
à des inégalités de classement, dans un sens ou
dans l'autre, lorsque les analyses servant de
base sont effectuées sur des poussières riches
en cendres.
Si la teneur en matières volatiles obtenue
est rapportée à la houille pure contenue dans
l'échantillon de poussières analysé, le classe-
ment correspondant a tendance à être rigou-
reux.
Si cette teneur est rapportée à la houille
brute qui constitue l'échantillon, le classement
risque d'être insuffisamment sévère.
Les recherches de l'auteur l'ont conduit à
admettre la préexistence, dans les schistes, de
matières volatiles constituées, pour une part
importante, par de l'acide carbonique que
l'action de la chaleur mise en œuvre dans
l'opération de la distillation, libère des bases
métalliques auxquelles il était combiné dans
l'échantillon de houille crue.
Il propose, pour en tenir compte, d'adopter
la formule
c
v - -
v
100-c
il étant un coefficient variable suivant la com-
position des impuretés qui accompagnent la
houille.
PHYSIQUE INDUSTRIELLE:
L'utilisation des combustibles en Grande-
Bretagne. — Dans l'Electrician, du 24 juin,
M. PERCY E. RYCROFT examine la situation des
différents combustibles connus à l'heure
actuelle au point de vue de la production de
l'énergie dans l'industrie britannique.
A l'aide de chiffres statistiques relevés au
cours de l'année 1919, on peut estimer qu'à
cette époque le charbon et le coke étaient
employés à la production de plus de 4 mil-
liards et demi de kilowatts-heure, sur 5 mil-
liards environ : les chiffres exacts que cite
l'auteur sont les suivants :
millions de
kwh.
Charbon et coke. 4623
Chaleurs perdues. 68
Vapeurs d'échappement 58
Ordures ménagères et divers. 28
Huiles de goudron. 4
Gaz de ville et gaz pauvre 61
Huiles lourdes. 23
Énergie hydraulique. 11
Les chaleurs perdues tiennent donc le second
rang comme combustible industriel en Grande-
Bretagne, et elles le doivent surtout à l'orga-
nisation que les propriétaires des grandes
aciéries et des hauts fourneaux ont réalisée,
dans le Nord de l'Angleterre, pour l'utilisation
de leurs gaz d'échappement dans les chaudières
dépendant de leurs installations,
L'auteur distingue deux modes d'utilisation
des gaz comportant de telles chaleurs perdues,
gaz de combustion dont les uns ont subi une
combustion totale et servent seulement d'élé-
ments de chauffage par l'intermédiaire d'échan-
geurs de température. L'autre principe d'utili-
sation des gaz ainsi chargés de calories, mais
qui, de plus, n'ont subi qu'une combustion
incomplète et peuvent encore céder chimique-
ment des calories, consiste en général à les
envoyer sous les foyers de chaudières, où se
complète de façon appropriée leur combustion.
Dans l'utilisation des chaleurs d'échappe-
ment comme dans l'extraction de calories par
destruction des ordures ménagères, on doit
étudier soigneusement les frais assez élevés
d'installation avant de conclure à l'avantage
d'une telle récupération de calories.
Comme concurrents appelés à un certain
avenir, le charbon doit compter tout particu-
lièrement avec le pétrole et le coke, ce dernier
étant souvent utilisé en mélange avec le char-
bon, conformément aux principes du système
« Sandwich » qu'a déjà décrit le Génie Civil (').
L'auteur examine la valeur économique
comparée et les conditions d'utilisation de ces
combustibles, puis celles des combustibles
colloïdaux, et enfin celles de quelques combus-
tibles spéciaux, tels que les lignites, les ma-
tières fibreuses et résidus industriels de
diverses qualités, et il fait connaitre sommai-
rement les résultats d'essais de quelques-uns
d'entre eux.
Le contrôle scientifique, de la combustion.
— M. H. T. Ri NGROVE a fait à ce sujet, le 5 mai,
à l'h'on and Steellnstitute une communication
intéressante reproduite dans l'Engineering, du
6 mai.
+ Ses recherches l'ont conduit à imaginer et à
établir un appareil doseur de gaz carbonique
d'un principe nouveau, susceptible d'être ap-
pliqué dans les chaufferies. On pourrait, à
l'aide de ce nouveau principe, établir des appa-
reils dosant d'autres gaz, pourvu qu'on utilise,
comme critérium de ce gaz, la différence
entre la pression dans l'atmosphère gazeuse
en étude et la pression à l'intérieur d'un vase
poreux mis en communication avec le milieu
par l'intermédiaire d'un tube manométrique.
et soumis à l'effet de vide partiel qu'exerce
dans le vase un agent chimique absorbant, tel
que le chlorure de calcium pour l'humidité,
ou un oxyde de sodium ou de calcium, pour
le gaz carbonique.
L'auteur discute les applications qu'on peut
donner à un tel appareil, ses caractéristiques
de construction et ses dispositions les meil-
leures.
TRAVAUX PUBLICS
La construction des grandes voûtes en
maçonnerie. - Dans l'étude de M. FKEYSSINET
sur la construction des grands arcs, parue
dans le Génie Civil du 13 août, une erreur
d'impression a fait indiquer (page 149, l1* ligne)
600 mètres comme portée actuellement réali-
sable pour une voûte en béton armé. Le chiffre
réellement indiqué est 830 mètres, et nos lec-
teurs auront d'ailleurs rectifié d'eux-mêmes
l'erreur, car l'auteur déduit ce chiffre du fait
que la portée du pont de Saint-Pierre-du-
Vauvray, près Rouen, portée qui est de
132 mètres, pourrait être multipliée par le
coefficient 6,3, ce qui donnerait 831m60.
La remise en état des canalisations
d'égouts de Milwaukee (É.-U.) envahies par
l'eau de la Milwaukee River. — On a mis en
construction deux tunnels franchissant le port
de Milwaukee, et la nappe d'eau y a, au cours
des travaux, provoqué de graves détériora-
tions, imposant une révision complète des
méthodes de construction adoptées et l'appli-
cation de moyens d'exécution nouveaux.
L'Engineering News-liecord. du 7 iuillet.
(1) Voir le Génie Civil du 1" mai 1920 (t. LXXVI, n" 18,
p. 411).
a des pressions comprises entre 9 et 14 kilogr.
Par centimètre carré , qu'elle subissait avec
Inême succès depuis 4 ans.
M. Stromeyer recommande de faire sur les
matériaux de construction tous les essais
possibles, d'apporter à la construction, au
contrôle de la main-d'œuvre, aux vérifications
en cours d'usinage, des précautions et une
Méthode rigoureuse : il prétend que, si ces
conditions sont observées, on peut considérer
comme superflues les épreuves hydrauliques,
par ailleurs dangereuses et susceptibles d'en-
traîner des fuites et accidents.
Il cite à l'appui de sa thèse l'expérience des
chantiers de constructions navales, qui appor-
tent à l'établissement des coques de navires
des soins suffisants pour n'avoir pas besoin de
les soumettre à des essais ultérieurs.
L'Engineer discute cette opinion et montre
que les essais faits avec précaution sont le
complément indispensable de l'inspection pour
certains types de machines, et que les objec-
tions qu'on avance à l'égard de leurs dangers
ne sont pas suffisamment probantes.
MÉTALLURGIE
Réparation par soudure électrique d'un
bâti de moteur Diesel. — L'Engineering, du
24 juin, expose de quelle façon l'Union Electric
NV elding C° a réparé par soudure électrique
le bâti d'un moteur Diesel en service à la sous-
station de Saint-Martin's Lane de la West End
and City Electricity Supply Co. La rupture du
rnetal s'était faite au pied d'une des colonnes
spportant les cylindres extérieurs d'un moteur
lesel-Sulzer de 600 chevaux à trois cylindres.
Si on avait dû en faire la réparation par la
soudure oxyacétylénique, il eût fallu démonter
complètement la machine pour chauffer la
Pièce à souder. Au lieu de cela, on a réparé
cette pièce sans procéder à aucun démontage.
a fissure qui s'était produite régnait sur une
Partie de la périphérie de la colonne porte-
cylindre intéressée, dans la zone évasée qui
dornine la bride assemblée au socle du moteur
Par de nombreux boulons.
On commença par attaquer les bords de la
ente, de façon à lui donner une largeur de 60
à 65 millimètres; avec une profondeur assez
variable suivant l'épaisseur du moulage. Après
qUoi, on perça et on tarauda les lèvres de la
fente, pour y visser des goujons, inclinés par
rapport à la normale de façon à retenir le
Inétal d'apport en le coinçant dans le sillon
Pratiqué dans les bords opposés de la fissure.
On coula ensuite un poids de métal atteignant
Presque 23 kilogr. et on utilisa également la
soudure électrique pour fixer des deux côtés
d,l bâti des plaques formant goussets. La ma-
chine ainsi réparée a repris son service et
donné des preuves de solidité parfaite.
MINES
Détermination de la teneur en matières
Volatiles d'une houme, abstraction faite des
Cendres. — M. Auguste DESSEMOND examine
cette question dans la Revue de l'Industrie
minérale du 1er juillet.
On admet implicitement dans le calcul de la
teneur en matières volatiles « abstraction faite
des cendres », que les parties stériles de
houille brute ne contiennent pas de matières
volatiles et que ces parties stériles se retrou-
vent entièrement dans les cendres. La teneur V
en matières volatiles de la houille pure, c'est-
à-dire abstraction faite des cendres d'un échan-
tillon de houille brute de teneur c en cendres
et de teneur v en matières volatiles est dès
lors donnée par l'expression
Y = ——.
100-c
En réalité, il n'en est pas ainsi, et l'applica-
tion de cette formule à des prélèvements de
poussières effectués dans des chantiers en
vue du classement d'une mine au point de vue
du danger des poussières, pourrait donner lieu
à des inégalités de classement, dans un sens ou
dans l'autre, lorsque les analyses servant de
base sont effectuées sur des poussières riches
en cendres.
Si la teneur en matières volatiles obtenue
est rapportée à la houille pure contenue dans
l'échantillon de poussières analysé, le classe-
ment correspondant a tendance à être rigou-
reux.
Si cette teneur est rapportée à la houille
brute qui constitue l'échantillon, le classement
risque d'être insuffisamment sévère.
Les recherches de l'auteur l'ont conduit à
admettre la préexistence, dans les schistes, de
matières volatiles constituées, pour une part
importante, par de l'acide carbonique que
l'action de la chaleur mise en œuvre dans
l'opération de la distillation, libère des bases
métalliques auxquelles il était combiné dans
l'échantillon de houille crue.
Il propose, pour en tenir compte, d'adopter
la formule
c
v - -
v
100-c
il étant un coefficient variable suivant la com-
position des impuretés qui accompagnent la
houille.
PHYSIQUE INDUSTRIELLE:
L'utilisation des combustibles en Grande-
Bretagne. — Dans l'Electrician, du 24 juin,
M. PERCY E. RYCROFT examine la situation des
différents combustibles connus à l'heure
actuelle au point de vue de la production de
l'énergie dans l'industrie britannique.
A l'aide de chiffres statistiques relevés au
cours de l'année 1919, on peut estimer qu'à
cette époque le charbon et le coke étaient
employés à la production de plus de 4 mil-
liards et demi de kilowatts-heure, sur 5 mil-
liards environ : les chiffres exacts que cite
l'auteur sont les suivants :
millions de
kwh.
Charbon et coke. 4623
Chaleurs perdues. 68
Vapeurs d'échappement 58
Ordures ménagères et divers. 28
Huiles de goudron. 4
Gaz de ville et gaz pauvre 61
Huiles lourdes. 23
Énergie hydraulique. 11
Les chaleurs perdues tiennent donc le second
rang comme combustible industriel en Grande-
Bretagne, et elles le doivent surtout à l'orga-
nisation que les propriétaires des grandes
aciéries et des hauts fourneaux ont réalisée,
dans le Nord de l'Angleterre, pour l'utilisation
de leurs gaz d'échappement dans les chaudières
dépendant de leurs installations,
L'auteur distingue deux modes d'utilisation
des gaz comportant de telles chaleurs perdues,
gaz de combustion dont les uns ont subi une
combustion totale et servent seulement d'élé-
ments de chauffage par l'intermédiaire d'échan-
geurs de température. L'autre principe d'utili-
sation des gaz ainsi chargés de calories, mais
qui, de plus, n'ont subi qu'une combustion
incomplète et peuvent encore céder chimique-
ment des calories, consiste en général à les
envoyer sous les foyers de chaudières, où se
complète de façon appropriée leur combustion.
Dans l'utilisation des chaleurs d'échappe-
ment comme dans l'extraction de calories par
destruction des ordures ménagères, on doit
étudier soigneusement les frais assez élevés
d'installation avant de conclure à l'avantage
d'une telle récupération de calories.
Comme concurrents appelés à un certain
avenir, le charbon doit compter tout particu-
lièrement avec le pétrole et le coke, ce dernier
étant souvent utilisé en mélange avec le char-
bon, conformément aux principes du système
« Sandwich » qu'a déjà décrit le Génie Civil (').
L'auteur examine la valeur économique
comparée et les conditions d'utilisation de ces
combustibles, puis celles des combustibles
colloïdaux, et enfin celles de quelques combus-
tibles spéciaux, tels que les lignites, les ma-
tières fibreuses et résidus industriels de
diverses qualités, et il fait connaitre sommai-
rement les résultats d'essais de quelques-uns
d'entre eux.
Le contrôle scientifique, de la combustion.
— M. H. T. Ri NGROVE a fait à ce sujet, le 5 mai,
à l'h'on and Steellnstitute une communication
intéressante reproduite dans l'Engineering, du
6 mai.
+ Ses recherches l'ont conduit à imaginer et à
établir un appareil doseur de gaz carbonique
d'un principe nouveau, susceptible d'être ap-
pliqué dans les chaufferies. On pourrait, à
l'aide de ce nouveau principe, établir des appa-
reils dosant d'autres gaz, pourvu qu'on utilise,
comme critérium de ce gaz, la différence
entre la pression dans l'atmosphère gazeuse
en étude et la pression à l'intérieur d'un vase
poreux mis en communication avec le milieu
par l'intermédiaire d'un tube manométrique.
et soumis à l'effet de vide partiel qu'exerce
dans le vase un agent chimique absorbant, tel
que le chlorure de calcium pour l'humidité,
ou un oxyde de sodium ou de calcium, pour
le gaz carbonique.
L'auteur discute les applications qu'on peut
donner à un tel appareil, ses caractéristiques
de construction et ses dispositions les meil-
leures.
TRAVAUX PUBLICS
La construction des grandes voûtes en
maçonnerie. - Dans l'étude de M. FKEYSSINET
sur la construction des grands arcs, parue
dans le Génie Civil du 13 août, une erreur
d'impression a fait indiquer (page 149, l1* ligne)
600 mètres comme portée actuellement réali-
sable pour une voûte en béton armé. Le chiffre
réellement indiqué est 830 mètres, et nos lec-
teurs auront d'ailleurs rectifié d'eux-mêmes
l'erreur, car l'auteur déduit ce chiffre du fait
que la portée du pont de Saint-Pierre-du-
Vauvray, près Rouen, portée qui est de
132 mètres, pourrait être multipliée par le
coefficient 6,3, ce qui donnerait 831m60.
La remise en état des canalisations
d'égouts de Milwaukee (É.-U.) envahies par
l'eau de la Milwaukee River. — On a mis en
construction deux tunnels franchissant le port
de Milwaukee, et la nappe d'eau y a, au cours
des travaux, provoqué de graves détériora-
tions, imposant une révision complète des
méthodes de construction adoptées et l'appli-
cation de moyens d'exécution nouveaux.
L'Engineering News-liecord. du 7 iuillet.
(1) Voir le Génie Civil du 1" mai 1920 (t. LXXVI, n" 18,
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