Titre : Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-07-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348662d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 68676 Nombre total de vues : 68676
Description : 09 juillet 1921 09 juillet 1921
Description : 1921/07/09 (A41,N2,T79). 1921/07/09 (A41,N2,T79).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6504187x
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-302223
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
9 JUILLET 1921 LE GENIE CIVIL 41
Le coke présentait les caractéristiques suivantes :
C 350ks : cm4
résistance à la compression. j (maximum exigé 250kg)
Cohésion (refus sur le tamis à mailles de ( 80 à 86
40 millimètres après essais au tambour). ? (minimum exigé 75 %)
c'est-à-dire qu'il était au moins comparable aux plus beaux cokes
de la Ruhr.
Les rendements en sous-produits obtenus avec ce procédé sont
très supérieurs à ceux obtenus dans les fours à coke actuels; leur
détermination précise, comme celle de la nature exacte de leurs
constituants, n'est pas encore terminée. Les résultats aujourd'hui
acquis confirment ce qui a déjà été publié à ce sujet, sauf toute-
fois en ce qui concerne le rendement en sulfate d'ammoniaque. Il
est en effet admis, d'une façon assez générale, qu'il se forme
d'autant plus de produits ammoniacaux volatils que le coke est
cuit à plus haute température, et alors que nous opérons à plus
de 200° en dessous de la température moyenne des fours actuels,
nous avons obtenu un rendement de 22 kilogr. de sulfate d'am-
moniaque par tonne de charbon à 7 de cendres, contre
10 à 12 kilogr. avec l'ancien procédé. Cette anomalie tient
d'ailleurs uniquement à ce que, grâce à la progressivité du
chauffage, s'il se forme moins de composés ammoniacaux, ceux-ci
sont entièrement récupérables, parce que, produits et évacués en
dessous de la température à partir de laquelle ils sont susceptibles
de se dissocier, tandis que, dans les fours à coke actuels, les gaz
étant portés à plus de 700°, les composés ammoniacaux sont, de
ce fait, en grande partie décomposés en azote et hydrogène, et
par suite irrémédiablement perdus.
L'étude du four permettant la réalisation industrielle de ce
procédé de carbonisation est maintenant commencée ; la mise au
point de cet appareil permettra sans doute aux forges lorraines,
jusqu'ici tributaires des cokeries de la Ruhr, de se libérer en
grande partie de ce joug si lourd.
La poulie « Lawrence » à graissage automatique.
Le graissage des poulies d'appareils de levage présente de
sérieuses difficultés, notamment dans le cas des grues d'assez
grande hauteur. Ces poulies sont, en effet, difficilement acces-
sibles, et, par suite, on néglige souvent de les graisser, au détri-
ment du rendement de l'ap-
pareil.
La maison Stothert et
Pitt, bien connue pour ses
appareils de levage et no-
tamment pour son ingénieux
dispositif « Toplis » de grue
à flèche compensée, qui a
été étudié récemment dans
le Génie Civil (1), a exposé
à la récente exposition des
questions relatives au ren-
dement, à Londres, un in-
téressant modèle de poulie
à graissage automatique.
La poulie « Lawrence » (*)
pour câbles, à graissage au-
tomatique, a été spéciale-
ment étudiée pour réaliser
une lubrification parfaite.
Elle supprime les défectuo-
sités de celle-ci sur les grues
et autres appareils de levage
FIG. 1 et 2. — Coupe et élévation
de la poulie Lawrence.
A, trop-plein; — B, robinet d'épreuve; —
C, bouchon de vidange; — D, joint soudé.
où, par suite de la difficulté d'accès, les graisseurs habituelle-
ment employés sont mal surveillés et généralement inefficaces.
Cette poulie se compose de deux plaques circulaires en acier
embouti, rivées ensemble et soudées électriquement, et d'un
moyeu en fonte garni de bronze. L'espace entre les plaques forme
réservoir; l'huile qu'il renferme est amenée à la bague par trois
(1) Voir le Génie Civil du 10 mai 1919 (t. LXXIV, n" 19, p. 365).
(2) La poulie « Lawrence » a déjà été signalée dans le Génie Civil du 11 juin der-
nier, mais, par suite d'une erreur de traduction, nous avons indiqué qu'elle avait
été présentée à l'Exposition de Londres par la maison Dorman. En réalité, c'est
uniquement la maison Stothert et Pitt qui la fabrique.
conduites 'radiales, soudées à la poulie. Le graissage est inter-
mittent et s'opère à chaque arrêt.
Des expériences intéressantes ont été faites sur le fonctionne-
ment de ces poulies. On a constaté que, même en travaillant
intensivement pendant huit heures par jour à raison de six jours
par semaine, elles peuvent fonctionner pendant un an sans
renouvellement de l'huile de graissage.
Elles ne contiennent aucune partie détachée ou organe qui
puisse se dérégler. Elles sont beaucoup plus solides et plus
légères que celles établies en fonte d'acier.
Un nombre considérable de poulies « Lawrence » a été livré
en Angleterre depuis l'armistice. Une de ces poulies, en service
au Havre depuis plus d'un an sur une des grues de la Chambre
de Commerce travaillant le plus (quai de Gironde), a donné les
meilleurs résultats. On doit en installer prochainement un certain
nombre sur les appareils du port de Rouen. Il est probable que
l'usage de ces poulies se répandra, notamment dans nos ports,
où les ruptures et l'usure prématurée des câbles sont si fré-
quentes et si onéreuses.
École Centrale des Arts et Manufactures.
Liste des élèves de 3me année ayant obtenu le diplôme d'ingénieur
des Arts et Manufactures en 1921.
Par suite de la guerre, trois promotions de l'Ecole Centrale ont
terminé leurs études à peu près en même temps. Elles ont été dési-
gnées sous les noms de sections A, B et C.
De plus, dans les sections B et C, on a fait un classement spécial
pour les élèves qui avaient été mobilisés dans les armées françaises
ou alliées, et pour ceux qui, pour une raison quelconque, n'avaient
pas fait de service militaire.
SECTION A.
1 Subervie ; - 2 Alric ; - 3 Marchay ; - 4 Pellerin ; - 5 Guffroy ; - 6 Seguin ;
- 7 Pagel; - 7 bis Pillepieh ; - 9 Bouffard ; - 10 Pettier; - 11 Guépet ; -
12 Augé (Pierre); - 13 Bouthogourd ; - 14 Roux (Gabriel) ; - 15 Cliartroux; -
16 Porcherot ; - 17 Mensier ; - 17 bis Roques ; - 19 Chiara ; - 20 Morel (René) ;
21 Serou ; - 22 Fargette ; - 23 Cliapelon ; - 24 Roux (Paul) ; - 24 bis Wis-
sotsky; - 26 Bonin (Henri); -27 Boucompagne ; -27 bis Clerc;-29 Thouzet;
- 30 Maudet; - 31 Gardelle; - 32 Martin (René); - 33 Pantz; - 33 (11) Mar-
tin (Paul-Henri) ; - 34 Guillaumeron; - 35 Cerbelaud ; - 35 (B) Chavigny; -
36 Lafon (Léon); - 37 Carton; - 37 (B) Mérigot; - 38 De Lesdain; - 39 Jung-
blutt; - 40 Chalon; - 40 bis Gaudoux;
42 Lachnitt ; - 43 Herbay ; - 44 Etienne ; - 45 Chamard ; - 46 Camail ; -
47 Rabaud; - 48 Basso; - 48 (B) Tabard; - 49 Veyret; - 50 Tesnière; - 50 (B)
Madern; - 51 Vibert; - 52 De Salins (Jean) ; -53 Durand (Fernand); - 53 bis
Sanoner; - 55 Lecart; - 55 bis Maugras; - 57 Saulnier; - 58 Froideval; -
58 bis Renaudie ; - 58 ter Verdier;
61 Douillet; - 62 Daohary; - 63 Salmon; - 64 Elwell; - 64 bis Hubert; -
64 (B) Delepoulle; - 66 Bornot; - 66 bis Chanson; - 66 ter Lichtenberger; -
69 Fleuret; - 70 Bousquet; - 70 bis Taubmann; - 72 Lebrun; - 73 Vi et ; -
74 Blanche ; - 74 bis Caumartin; - 74 (B) Denis (Jean); - 76 Mallet (Jean);
- 76 bis Marty (Jean); - 76 ter Pimpaneau; - 79 Milleret; - 79 bis Plessier;
81 Breuillé ; - 81 bis De Caters; - 83 Condamine; - 83 bis Ventuéjol; -
85 Fonvielle; - 85 bis Maufroy; - 87 Glaziou; - 88 Ménard ; - 89 Vigreux; -
90 Leroy (Henri); - 90 bis Roisse; - 92 Caffet; - 93 Natter; - 93 bis Nuss-
baumer; - 93 (B) Bernis; - 95 Morel (Raymond); - 95 (B) David (Marius); -
96 Bachelin; - 96 bis Chivé ; - 96 ter Jourdain ; - 96 quater Pialat; - 100 Du-
fresne (Raymond) ;
loi Gobert (Maurice); - 101 bis Prcust; - 103 Mallet (André); - 103 bis
Picard (Robert) ; -103 (B) Le Joubioux ; -105 Gusset ; 106 - Lamothe ; - 106 bis
Sevin ; - 108 Briend ; - 108 bis Pastre ; - 110 Petit (Marius) ; - 111 Mathias ;
112 Houlon; - 113 Bassaget; - 113 bis Claude; - 115 Dumas (Paul) ; -115 bis
Lepage; - 117 Neuville; - 117 bis Reboud; - 119 Jaquet; - 119 bis Michoud;
121 Lozivit ; - 122 Renard ; - 123 Warlemon ; - 123 (B) Pagnard ; -124 Dan-
durand; - 124 bis Rodier; - 126 Doé de Maindreville ; - 126 bis Lajeat; -
126 ter Schérer; - 129 Chapuis; - 129 bis Desmur; - 129 ter Ragondet; -
132 David (Robert); - 133 Ozanne ; - 133 bis Regagnon ; - 135 Farges; -
135 bis Lanusse-Croussé ; - 135 ter Lavergne ; -138 Grandmasson; - 138 bis
Rigaut; - 140 Morin (Jacques); - 140 bis des Moutis;
142 Davillé ; - 142 bis Fliche; - 142 ter Hardy; - 145 Levassor d'Yerville ;
- 146 Trouvé; -147 Huillard; - 147 bis Legoupil; - 149 Callandreau; - 149 bis
Chicanaux; - 149 ter Loudière ; - 152 Reussner ; - 153 Chevrier ; - 153 bis Du-
val (Jean) ; - 153 ter Galliot; - 153 quater Lelièvre; - 153 quinter Winter ; -
158 Fouilloux; - 159 Ferrand ; - 159 bis Moreau (André-Charles);
161 Bardou; - 162 Chenel; - 162 bis Montgolfier; - 162 ter Pouillet;-
162 quater Saudreau; - 166 Profit; - 167 Maurin ; - 168 Médebielle; - 168 bis
de Salins (Christophe) ; - 170 Feltz ; - 170 (B) Masseau ; - 170 (B) bis Mathieu;
- 171 Aboussouan; -171 bis Dallery; - 171 (fJ) Bertel; - 173 Boer; - 174 Mil -
liat ; - 174 bis Prat ; - 176 Conte; - 176 bis Demeuran; - 178 Chaulet;-
179 Baraduc ; - 179 bis Poissonnier;
181 Pernot; -182 Bel; - 183 Fabre ; - 183 bis Fackler; - 183 ter Roclore;
-183 quater Thomas (François); -187 Mors; - 188 Ruby; - 189 JeufTrain ; -
190 Guiraud; - 190 bis Poidatz (Jean); -192 Bonnet (Paul); - 192 bis Des-
quenne (Jean); - 192 ter Henrion; - 195 Thuilleaux; - 196 Wagner (Emile);
Le coke présentait les caractéristiques suivantes :
C 350ks : cm4
résistance à la compression. j (maximum exigé 250kg)
Cohésion (refus sur le tamis à mailles de ( 80 à 86
40 millimètres après essais au tambour). ? (minimum exigé 75 %)
c'est-à-dire qu'il était au moins comparable aux plus beaux cokes
de la Ruhr.
Les rendements en sous-produits obtenus avec ce procédé sont
très supérieurs à ceux obtenus dans les fours à coke actuels; leur
détermination précise, comme celle de la nature exacte de leurs
constituants, n'est pas encore terminée. Les résultats aujourd'hui
acquis confirment ce qui a déjà été publié à ce sujet, sauf toute-
fois en ce qui concerne le rendement en sulfate d'ammoniaque. Il
est en effet admis, d'une façon assez générale, qu'il se forme
d'autant plus de produits ammoniacaux volatils que le coke est
cuit à plus haute température, et alors que nous opérons à plus
de 200° en dessous de la température moyenne des fours actuels,
nous avons obtenu un rendement de 22 kilogr. de sulfate d'am-
moniaque par tonne de charbon à 7 de cendres, contre
10 à 12 kilogr. avec l'ancien procédé. Cette anomalie tient
d'ailleurs uniquement à ce que, grâce à la progressivité du
chauffage, s'il se forme moins de composés ammoniacaux, ceux-ci
sont entièrement récupérables, parce que, produits et évacués en
dessous de la température à partir de laquelle ils sont susceptibles
de se dissocier, tandis que, dans les fours à coke actuels, les gaz
étant portés à plus de 700°, les composés ammoniacaux sont, de
ce fait, en grande partie décomposés en azote et hydrogène, et
par suite irrémédiablement perdus.
L'étude du four permettant la réalisation industrielle de ce
procédé de carbonisation est maintenant commencée ; la mise au
point de cet appareil permettra sans doute aux forges lorraines,
jusqu'ici tributaires des cokeries de la Ruhr, de se libérer en
grande partie de ce joug si lourd.
La poulie « Lawrence » à graissage automatique.
Le graissage des poulies d'appareils de levage présente de
sérieuses difficultés, notamment dans le cas des grues d'assez
grande hauteur. Ces poulies sont, en effet, difficilement acces-
sibles, et, par suite, on néglige souvent de les graisser, au détri-
ment du rendement de l'ap-
pareil.
La maison Stothert et
Pitt, bien connue pour ses
appareils de levage et no-
tamment pour son ingénieux
dispositif « Toplis » de grue
à flèche compensée, qui a
été étudié récemment dans
le Génie Civil (1), a exposé
à la récente exposition des
questions relatives au ren-
dement, à Londres, un in-
téressant modèle de poulie
à graissage automatique.
La poulie « Lawrence » (*)
pour câbles, à graissage au-
tomatique, a été spéciale-
ment étudiée pour réaliser
une lubrification parfaite.
Elle supprime les défectuo-
sités de celle-ci sur les grues
et autres appareils de levage
FIG. 1 et 2. — Coupe et élévation
de la poulie Lawrence.
A, trop-plein; — B, robinet d'épreuve; —
C, bouchon de vidange; — D, joint soudé.
où, par suite de la difficulté d'accès, les graisseurs habituelle-
ment employés sont mal surveillés et généralement inefficaces.
Cette poulie se compose de deux plaques circulaires en acier
embouti, rivées ensemble et soudées électriquement, et d'un
moyeu en fonte garni de bronze. L'espace entre les plaques forme
réservoir; l'huile qu'il renferme est amenée à la bague par trois
(1) Voir le Génie Civil du 10 mai 1919 (t. LXXIV, n" 19, p. 365).
(2) La poulie « Lawrence » a déjà été signalée dans le Génie Civil du 11 juin der-
nier, mais, par suite d'une erreur de traduction, nous avons indiqué qu'elle avait
été présentée à l'Exposition de Londres par la maison Dorman. En réalité, c'est
uniquement la maison Stothert et Pitt qui la fabrique.
conduites 'radiales, soudées à la poulie. Le graissage est inter-
mittent et s'opère à chaque arrêt.
Des expériences intéressantes ont été faites sur le fonctionne-
ment de ces poulies. On a constaté que, même en travaillant
intensivement pendant huit heures par jour à raison de six jours
par semaine, elles peuvent fonctionner pendant un an sans
renouvellement de l'huile de graissage.
Elles ne contiennent aucune partie détachée ou organe qui
puisse se dérégler. Elles sont beaucoup plus solides et plus
légères que celles établies en fonte d'acier.
Un nombre considérable de poulies « Lawrence » a été livré
en Angleterre depuis l'armistice. Une de ces poulies, en service
au Havre depuis plus d'un an sur une des grues de la Chambre
de Commerce travaillant le plus (quai de Gironde), a donné les
meilleurs résultats. On doit en installer prochainement un certain
nombre sur les appareils du port de Rouen. Il est probable que
l'usage de ces poulies se répandra, notamment dans nos ports,
où les ruptures et l'usure prématurée des câbles sont si fré-
quentes et si onéreuses.
École Centrale des Arts et Manufactures.
Liste des élèves de 3me année ayant obtenu le diplôme d'ingénieur
des Arts et Manufactures en 1921.
Par suite de la guerre, trois promotions de l'Ecole Centrale ont
terminé leurs études à peu près en même temps. Elles ont été dési-
gnées sous les noms de sections A, B et C.
De plus, dans les sections B et C, on a fait un classement spécial
pour les élèves qui avaient été mobilisés dans les armées françaises
ou alliées, et pour ceux qui, pour une raison quelconque, n'avaient
pas fait de service militaire.
SECTION A.
1 Subervie ; - 2 Alric ; - 3 Marchay ; - 4 Pellerin ; - 5 Guffroy ; - 6 Seguin ;
- 7 Pagel; - 7 bis Pillepieh ; - 9 Bouffard ; - 10 Pettier; - 11 Guépet ; -
12 Augé (Pierre); - 13 Bouthogourd ; - 14 Roux (Gabriel) ; - 15 Cliartroux; -
16 Porcherot ; - 17 Mensier ; - 17 bis Roques ; - 19 Chiara ; - 20 Morel (René) ;
21 Serou ; - 22 Fargette ; - 23 Cliapelon ; - 24 Roux (Paul) ; - 24 bis Wis-
sotsky; - 26 Bonin (Henri); -27 Boucompagne ; -27 bis Clerc;-29 Thouzet;
- 30 Maudet; - 31 Gardelle; - 32 Martin (René); - 33 Pantz; - 33 (11) Mar-
tin (Paul-Henri) ; - 34 Guillaumeron; - 35 Cerbelaud ; - 35 (B) Chavigny; -
36 Lafon (Léon); - 37 Carton; - 37 (B) Mérigot; - 38 De Lesdain; - 39 Jung-
blutt; - 40 Chalon; - 40 bis Gaudoux;
42 Lachnitt ; - 43 Herbay ; - 44 Etienne ; - 45 Chamard ; - 46 Camail ; -
47 Rabaud; - 48 Basso; - 48 (B) Tabard; - 49 Veyret; - 50 Tesnière; - 50 (B)
Madern; - 51 Vibert; - 52 De Salins (Jean) ; -53 Durand (Fernand); - 53 bis
Sanoner; - 55 Lecart; - 55 bis Maugras; - 57 Saulnier; - 58 Froideval; -
58 bis Renaudie ; - 58 ter Verdier;
61 Douillet; - 62 Daohary; - 63 Salmon; - 64 Elwell; - 64 bis Hubert; -
64 (B) Delepoulle; - 66 Bornot; - 66 bis Chanson; - 66 ter Lichtenberger; -
69 Fleuret; - 70 Bousquet; - 70 bis Taubmann; - 72 Lebrun; - 73 Vi et ; -
74 Blanche ; - 74 bis Caumartin; - 74 (B) Denis (Jean); - 76 Mallet (Jean);
- 76 bis Marty (Jean); - 76 ter Pimpaneau; - 79 Milleret; - 79 bis Plessier;
81 Breuillé ; - 81 bis De Caters; - 83 Condamine; - 83 bis Ventuéjol; -
85 Fonvielle; - 85 bis Maufroy; - 87 Glaziou; - 88 Ménard ; - 89 Vigreux; -
90 Leroy (Henri); - 90 bis Roisse; - 92 Caffet; - 93 Natter; - 93 bis Nuss-
baumer; - 93 (B) Bernis; - 95 Morel (Raymond); - 95 (B) David (Marius); -
96 Bachelin; - 96 bis Chivé ; - 96 ter Jourdain ; - 96 quater Pialat; - 100 Du-
fresne (Raymond) ;
loi Gobert (Maurice); - 101 bis Prcust; - 103 Mallet (André); - 103 bis
Picard (Robert) ; -103 (B) Le Joubioux ; -105 Gusset ; 106 - Lamothe ; - 106 bis
Sevin ; - 108 Briend ; - 108 bis Pastre ; - 110 Petit (Marius) ; - 111 Mathias ;
112 Houlon; - 113 Bassaget; - 113 bis Claude; - 115 Dumas (Paul) ; -115 bis
Lepage; - 117 Neuville; - 117 bis Reboud; - 119 Jaquet; - 119 bis Michoud;
121 Lozivit ; - 122 Renard ; - 123 Warlemon ; - 123 (B) Pagnard ; -124 Dan-
durand; - 124 bis Rodier; - 126 Doé de Maindreville ; - 126 bis Lajeat; -
126 ter Schérer; - 129 Chapuis; - 129 bis Desmur; - 129 ter Ragondet; -
132 David (Robert); - 133 Ozanne ; - 133 bis Regagnon ; - 135 Farges; -
135 bis Lanusse-Croussé ; - 135 ter Lavergne ; -138 Grandmasson; - 138 bis
Rigaut; - 140 Morin (Jacques); - 140 bis des Moutis;
142 Davillé ; - 142 bis Fliche; - 142 ter Hardy; - 145 Levassor d'Yerville ;
- 146 Trouvé; -147 Huillard; - 147 bis Legoupil; - 149 Callandreau; - 149 bis
Chicanaux; - 149 ter Loudière ; - 152 Reussner ; - 153 Chevrier ; - 153 bis Du-
val (Jean) ; - 153 ter Galliot; - 153 quater Lelièvre; - 153 quinter Winter ; -
158 Fouilloux; - 159 Ferrand ; - 159 bis Moreau (André-Charles);
161 Bardou; - 162 Chenel; - 162 bis Montgolfier; - 162 ter Pouillet;-
162 quater Saudreau; - 166 Profit; - 167 Maurin ; - 168 Médebielle; - 168 bis
de Salins (Christophe) ; - 170 Feltz ; - 170 (B) Masseau ; - 170 (B) bis Mathieu;
- 171 Aboussouan; -171 bis Dallery; - 171 (fJ) Bertel; - 173 Boer; - 174 Mil -
liat ; - 174 bis Prat ; - 176 Conte; - 176 bis Demeuran; - 178 Chaulet;-
179 Baraduc ; - 179 bis Poissonnier;
181 Pernot; -182 Bel; - 183 Fabre ; - 183 bis Fackler; - 183 ter Roclore;
-183 quater Thomas (François); -187 Mors; - 188 Ruby; - 189 JeufTrain ; -
190 Guiraud; - 190 bis Poidatz (Jean); -192 Bonnet (Paul); - 192 bis Des-
quenne (Jean); - 192 ter Henrion; - 195 Thuilleaux; - 196 Wagner (Emile);
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