Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-01-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 04 janvier 1921 04 janvier 1921
Description : 1921/01/04 (T17,N1641). 1921/01/04 (T17,N1641).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6425374m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MINISTÈRE
DES v
AFFAIRES ÉTRANGÈRES.
i
1 N° 1641
Mardi 4 janvier 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
, NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le désarmement des
gardes d'habitants (Vossische Zeitung,
Berliner Tageblatt, Vorwaerts, Frei-
heit). — France et Allemagne (Rudolf
Cuno dans Deutsche Allgemeine Zei-
tung). — La politique de paix du Prési-
dent Harding (Koelnische Zeitung). —
L'agitation communiste en Tchéco-Slo-
vaquie (Berliner Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — La reconstitution éco-
nomique de la France (Washington
Post).
PRESSE ANGLAISE.' — L'Allemagne et la paix :
Le désarmement des gardes d'habi-
tants (Times).
PRESSE ITALIENNE. — L'Italie et Fiume : un
communiqué du gouvernement italien
(Stampa) ; texte de l'accord d'Abbazia
(Homère della Sera).
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LE DESARMEMENT DES GARDES
D'HABITANTS. — PRESSE ALLEMANDE. — [La
presse allemande du 31.12, docile aux ins-
tructions du gouvernement, commente avec
indignation la note de la commission mili-
A taire de contrôle.
Comme à l'ordinaire c'est la France
qui est visée, et que l'on désigne à la co-
lère du peuple allemand, et ce sont les mili-
taires français que l'on accuse d'arrières-
pensées d'occupation plus étendue en Alle-
magne ; le ministère français paraît impuis-
sant à contenir la vague de chauvinisme qui
emporte la Chambre.
La Koelnische Zeitung ne reproduit que
des extraits de journaux de gauche. L'atti-
tude de la Vossische Zeitung et du Vorwærts
est intéressante, ces deux organes ayant na-
guère soutenu le point de vue de l'Entente
sur le désarmement des gardes d'habitants.)
La Koelnische Zeitung du 31.12 soir passe en
revue l'opinion, des divers journaux de Berlin
sur la dernière note de la Mission alliée.
1
La Vossische Zeitung elle-même critique
la note alliée, non seullement à cause des
exigences qu'elle formule, mais aussi pour
sa forme désinvolte : elle nous accuse, en
effet ,de violation de traité et, au lieu de jus-
tifier cette plainte, elle se contente de quel-
ques phrases brèves affirmant simplement
que la Commission n'est pas encore en pos-
session de toutes les ordonnances que de-
vaient promulguer des pays intéressés du
Reich pour la dissolution de la police de sû-
reté et qu'elle n'a pas connaissance de me-
sures d'exécution prises pour l'application
des dispositions qui lui ont été communi-
quées.
La note prétend, - en outre, que la police
d'ordre actuelle ne serait rien autre que la
police de sûreté renforcée par. une partie de
l'ancienne police et que les forces de police
'habillées en civil seraient augmentées de ce
fait, contrairement aux stipulations du
traité. Aucun fait ne justifie cette assertion,
d'autant plus étonnante que le Gouverne-
ment prussien au moins a donné des preu-
ves de sa bonne volonté et de sa loyauté
dans la dissolution de la police de sûreté.
La décision du ministère prussien du 4
octobre et les dispositions d'application
avaient été élaborées en complet accord,
mot pour mot, avec le général Barthelmy,
et, bien que l'exécution de cette décision
dans ses moindres détails nécessitât un
certain temps, elle était appliquée dès les
premiers jours de décembre et au milieu du
même mois, la Commission militaire alliée
était en possession des documents officiels
à ce sujet. Au moins pour la Prusse, l'avis
de dissolution est parvenu à la Commission
alliée plusieurs jours avant l'envoi de la
note. Ce fait rend absolument incompréhen-
sible la phrase : la Commission n'a pas eu
connaissance des mesures d'exécution.
Le Berliner Tageblatt déclare ne pas
comprendre non plus l'envoi de la note du
général Nollet. C'est avec raison que le
Gouvernement allemand a protesté énergi-
quement. Il faut voir si le parti militaire
français pourra exercer ses vexations
contre le bon sens, la justice et la foi des
traités et si le public allemand sera livré
sans défense aux assassins parce que cer-
tains généraux français deviennent nerveux
à la vue d'un uniforme.
Le Vorwærts relève aussi le ton sec de la
note. L'Entente n'a aucun droit à oc-
cuper le bassin de la Ruhr d'après le traité
de paix. Que si les militaires alliés s'empa-
rent d'une partie du teritoire allemand,alors
il ne s'agit plus d'exécution du traité, mais
d'un acte de guerre. Dans l'état actuel des
choses, l'Entente a le droit de réclamer la
dissolution des gardes d'habitants. On peut
encore discuter par la voie diplomatique
pour savoir si elle reste dans les bornes des
traités et accords dans cette question de
police de sûreté et de gardes. En tous cas,
on ne peut discuter ce fait qu'elle a la force
pour faire exécuter ses exigences.
Selon la Freiheit, le gouvernement a une
position de plus en plus intenable. Les rela-
tions avec l'Entente deviennent chaque jour
plus mauvaises. Tout comme au temps des
Hohenzollern, le peuple doit accepter tout
ce qui se prépare dans l'ombre des cabinets
de la diplomatie secrète. C'est pourquoi
le Comité central des U. S. P. D. [indépen-
dants de droite] a fait adresser par le cama-
rade Ledebour au Présidient du Reichstag
une demande de convocation immédiiate du
Reichstag, afin qu'il puisse exercer une in-
fluence sur les tractations en cours.
PRESSE ANGLAISE. — De Paris : Bien qu'au-
cun communiqué sur l'attitude du gouver-
nement britannique en face de la nouvelle
situation créée par la résistance de l'Alle-
magne n'ait été publié ici, l'on est généra-
lement optimiste. On pense qu'une pression
des alliés suffira et qu'il ne sera pas néces-
saire d'occuper la Ruhr. En certaines sphè-
res, on croit que M. Winston Churchill vien-
dra à Paris à la place de (M. Lloyd George
et l'on suppose que M. Winston Churchill
se montrera plus disposé que le Premier à
adopter une attitude énergique. La France
cependant, voudrait seulement que les Pre-
miers ministres alliés eussent une réunion,
le plus tôt possible.Dans un message envoyé
du Petit Parisien, à l'occasion du premier
janvier, M. Leygues a déclaré qu'une con-
férence entre les chefs des gouvernements
alliés — conférence qui se tiendrait, croit-il,
très prochainement — permettrait aux Alliés
de décider d'une action commune, cette ac-
tion étant devenue nécessaire à la suite du
rapport du maréchal Foch. En ce qui con-
cerne les relations de la France avec l'étran-
ger, M. Leygues s'est montré optimiste :
« Nous sommes parfaitement d'accord, a-t-il
dit, avec nos alliés de Londres, et l'entente
qui a été très étroite durant nos récentes
conversations, demeure telle. Je suis parti-
culièrement heureux de le dire. Notre pre-
mier souci doit être de rester en parfait ac-
cord avec nos amis britanniques. Nos enne-
mis ont tant d'intérêt à nous séparer, que
nous devons nous efforcer de maintenir une
entente aussi étroite que possible. Nous
n'éprouverons en cela aucune difficulté. »
M. Poincaré, pourtant ne partage pas l'op-
timisme de M. Leygues. Dans un article
qui paraîtra dans le Matin demain, il dis-
cute d'une façon presque tragique, de la si-
tuation financière de la France et il critique
« l'évasion allemande du Protocole de Spa,
bien que ce traité soit beaucoup plus indul-
gent que celui de Versailles, »
Le jour viendra, dit-il, où grâce à la fai-
bless et à la complaisance des Alliés, l'Alle-
magne rétablira sa force militaire. Alors
les alliés devront prêter une plus grande at-
DES v
AFFAIRES ÉTRANGÈRES.
i
1 N° 1641
Mardi 4 janvier 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
, NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le désarmement des
gardes d'habitants (Vossische Zeitung,
Berliner Tageblatt, Vorwaerts, Frei-
heit). — France et Allemagne (Rudolf
Cuno dans Deutsche Allgemeine Zei-
tung). — La politique de paix du Prési-
dent Harding (Koelnische Zeitung). —
L'agitation communiste en Tchéco-Slo-
vaquie (Berliner Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — La reconstitution éco-
nomique de la France (Washington
Post).
PRESSE ANGLAISE.' — L'Allemagne et la paix :
Le désarmement des gardes d'habi-
tants (Times).
PRESSE ITALIENNE. — L'Italie et Fiume : un
communiqué du gouvernement italien
(Stampa) ; texte de l'accord d'Abbazia
(Homère della Sera).
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LE DESARMEMENT DES GARDES
D'HABITANTS. — PRESSE ALLEMANDE. — [La
presse allemande du 31.12, docile aux ins-
tructions du gouvernement, commente avec
indignation la note de la commission mili-
A taire de contrôle.
Comme à l'ordinaire c'est la France
qui est visée, et que l'on désigne à la co-
lère du peuple allemand, et ce sont les mili-
taires français que l'on accuse d'arrières-
pensées d'occupation plus étendue en Alle-
magne ; le ministère français paraît impuis-
sant à contenir la vague de chauvinisme qui
emporte la Chambre.
La Koelnische Zeitung ne reproduit que
des extraits de journaux de gauche. L'atti-
tude de la Vossische Zeitung et du Vorwærts
est intéressante, ces deux organes ayant na-
guère soutenu le point de vue de l'Entente
sur le désarmement des gardes d'habitants.)
La Koelnische Zeitung du 31.12 soir passe en
revue l'opinion, des divers journaux de Berlin
sur la dernière note de la Mission alliée.
1
La Vossische Zeitung elle-même critique
la note alliée, non seullement à cause des
exigences qu'elle formule, mais aussi pour
sa forme désinvolte : elle nous accuse, en
effet ,de violation de traité et, au lieu de jus-
tifier cette plainte, elle se contente de quel-
ques phrases brèves affirmant simplement
que la Commission n'est pas encore en pos-
session de toutes les ordonnances que de-
vaient promulguer des pays intéressés du
Reich pour la dissolution de la police de sû-
reté et qu'elle n'a pas connaissance de me-
sures d'exécution prises pour l'application
des dispositions qui lui ont été communi-
quées.
La note prétend, - en outre, que la police
d'ordre actuelle ne serait rien autre que la
police de sûreté renforcée par. une partie de
l'ancienne police et que les forces de police
'habillées en civil seraient augmentées de ce
fait, contrairement aux stipulations du
traité. Aucun fait ne justifie cette assertion,
d'autant plus étonnante que le Gouverne-
ment prussien au moins a donné des preu-
ves de sa bonne volonté et de sa loyauté
dans la dissolution de la police de sûreté.
La décision du ministère prussien du 4
octobre et les dispositions d'application
avaient été élaborées en complet accord,
mot pour mot, avec le général Barthelmy,
et, bien que l'exécution de cette décision
dans ses moindres détails nécessitât un
certain temps, elle était appliquée dès les
premiers jours de décembre et au milieu du
même mois, la Commission militaire alliée
était en possession des documents officiels
à ce sujet. Au moins pour la Prusse, l'avis
de dissolution est parvenu à la Commission
alliée plusieurs jours avant l'envoi de la
note. Ce fait rend absolument incompréhen-
sible la phrase : la Commission n'a pas eu
connaissance des mesures d'exécution.
Le Berliner Tageblatt déclare ne pas
comprendre non plus l'envoi de la note du
général Nollet. C'est avec raison que le
Gouvernement allemand a protesté énergi-
quement. Il faut voir si le parti militaire
français pourra exercer ses vexations
contre le bon sens, la justice et la foi des
traités et si le public allemand sera livré
sans défense aux assassins parce que cer-
tains généraux français deviennent nerveux
à la vue d'un uniforme.
Le Vorwærts relève aussi le ton sec de la
note. L'Entente n'a aucun droit à oc-
cuper le bassin de la Ruhr d'après le traité
de paix. Que si les militaires alliés s'empa-
rent d'une partie du teritoire allemand,alors
il ne s'agit plus d'exécution du traité, mais
d'un acte de guerre. Dans l'état actuel des
choses, l'Entente a le droit de réclamer la
dissolution des gardes d'habitants. On peut
encore discuter par la voie diplomatique
pour savoir si elle reste dans les bornes des
traités et accords dans cette question de
police de sûreté et de gardes. En tous cas,
on ne peut discuter ce fait qu'elle a la force
pour faire exécuter ses exigences.
Selon la Freiheit, le gouvernement a une
position de plus en plus intenable. Les rela-
tions avec l'Entente deviennent chaque jour
plus mauvaises. Tout comme au temps des
Hohenzollern, le peuple doit accepter tout
ce qui se prépare dans l'ombre des cabinets
de la diplomatie secrète. C'est pourquoi
le Comité central des U. S. P. D. [indépen-
dants de droite] a fait adresser par le cama-
rade Ledebour au Présidient du Reichstag
une demande de convocation immédiiate du
Reichstag, afin qu'il puisse exercer une in-
fluence sur les tractations en cours.
PRESSE ANGLAISE. — De Paris : Bien qu'au-
cun communiqué sur l'attitude du gouver-
nement britannique en face de la nouvelle
situation créée par la résistance de l'Alle-
magne n'ait été publié ici, l'on est généra-
lement optimiste. On pense qu'une pression
des alliés suffira et qu'il ne sera pas néces-
saire d'occuper la Ruhr. En certaines sphè-
res, on croit que M. Winston Churchill vien-
dra à Paris à la place de (M. Lloyd George
et l'on suppose que M. Winston Churchill
se montrera plus disposé que le Premier à
adopter une attitude énergique. La France
cependant, voudrait seulement que les Pre-
miers ministres alliés eussent une réunion,
le plus tôt possible.Dans un message envoyé
du Petit Parisien, à l'occasion du premier
janvier, M. Leygues a déclaré qu'une con-
férence entre les chefs des gouvernements
alliés — conférence qui se tiendrait, croit-il,
très prochainement — permettrait aux Alliés
de décider d'une action commune, cette ac-
tion étant devenue nécessaire à la suite du
rapport du maréchal Foch. En ce qui con-
cerne les relations de la France avec l'étran-
ger, M. Leygues s'est montré optimiste :
« Nous sommes parfaitement d'accord, a-t-il
dit, avec nos alliés de Londres, et l'entente
qui a été très étroite durant nos récentes
conversations, demeure telle. Je suis parti-
culièrement heureux de le dire. Notre pre-
mier souci doit être de rester en parfait ac-
cord avec nos amis britanniques. Nos enne-
mis ont tant d'intérêt à nous séparer, que
nous devons nous efforcer de maintenir une
entente aussi étroite que possible. Nous
n'éprouverons en cela aucune difficulté. »
M. Poincaré, pourtant ne partage pas l'op-
timisme de M. Leygues. Dans un article
qui paraîtra dans le Matin demain, il dis-
cute d'une façon presque tragique, de la si-
tuation financière de la France et il critique
« l'évasion allemande du Protocole de Spa,
bien que ce traité soit beaucoup plus indul-
gent que celui de Versailles, »
Le jour viendra, dit-il, où grâce à la fai-
bless et à la complaisance des Alliés, l'Alle-
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