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1 1 MINISTÈRES
DES
Pu MHES Ê T HAN GER ES
| T DE LA GUERRE
~———
N° 1354
Samedi 17 janvier 1920
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
1 p SOMMAIRE
SE AMÉRICAINE. — ,« L'Amérique a ga-
gOé la guerre » (Rapport Pershing sur
Ilîio Cleveland Plain Dealer). — Les
r jrts-Unis et l'Europe Centrale Décla-
mp ns de M. Hoover, A~w Fo~ Ft-
rations de M. Hoover, New York Ti-
TTles). - Les fabricants de conserves
p des Etats-Unis (New York Times).
~SSE ANGLAISE. — Les Alliés et le bolche-
VIsme, (DaHU Mail). — L'Amérique et
les crédits pour l'Europe (Times, Daily
News). Les relations économiques
de la Grande-Bretagne avec l'Allema-
gne (Times).
PAgnolE. — L'adhésion de l'Espa-
- gne à la Société des Nations (par A.
Guerra, Debate). — Le repos domini-
cal dans la presse espagnole (A. B. C.)
RESSP HOLLANDAISE. — L'adhésion de la
Hoii «n«e à la Société des Nations (illge-
rneen Handelsblad, Nieuwe Courant).
DneS'SE lrALIFNNE. - Le<; demandes du per-
oonli!l des chemins de fer en Italie
(fp?CQ, Corriere d'Halin). — L'emprunt
italien (par L. Einaudi, Corriere della
Sera) Fanaudi, Corriere délia
f*REssg ROSSE. - Les restaurants munici-
» Paux de Petrograd. — La presse des
So viets (Izueslîa).
[ POLITIQUE GENERALE
, i ET DIPLOMATIE
t.
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
: J?'1* d?^N DE L'ESPAGNE. - Le
p est entré en vigueur. L'Alle.
magne , qu'elle le ve..i!]e ou ¡:, ne pourra
FpvCePtion ri les Journaux allemands, à
}1'rflTlc IOn de la Freihcit, traitent la
'trie
lettre e de Yampire. Ludendorff, dans une
A/,» S à un rédacteur du
i '«tai™' s'«prime lnsi • (( Si notre ruine
totale QUI VA îï1VEn entraîne l'Entente
avec nous, qU'eile n'en accuse personne,
Hx elle-rnelne » vLT s,-f e que c'est là la
^es Chinnî ESI-c'e que c'est là .In
paix? Les Chinois n'ont pas signé le Traité
battu Yondenitch, Kollchak après avoir
b,,,t ty ollden,téll@ °If,cîmk et Denikine, di.
JS i Sphl! Par 'a bnnH deLénine : « Les spé-
<çiuiïte* aHomS ? , f pour
allemands ont fait beaucoup pour
e fer r:enrg-nnisnnt l'armée, les chemins
84b fer , md" s, ri e et l'ngri ru lt u re. Ce n'est
Hv ? lniraclp n ar conséquent, si nous
ïé '°ns. Nnn à
s avons des écoles techni-
; ^'r'Pées nades ! instructeurs alle-
mands » j?t , le d6sesp-nir petit ]an-
et8 le' )) Et qllnnd le désespoir peut lan-
etl, n8 ^'eman? iic 1 en rnflqse dans les bras
es, qUI font facilement des prosé-
•!
lytes en Chine, et quand le départ des Amé-
ricains démontre qu'ils se désintéressent
de ce qui peut arriver en Europe, les Alliés
prennent leurs précautions contre le grave
péril qui les menace s'ils n'ont pas derrière
eux la moitié du monde. Ils sonnent le
tocsin pour former ladite Société des Na-
tions ; et nous, hélas ! quand la Suisse, la
faible Suisse, marchande son appui et pose
ses conditions, nous nous apprêtons à don-
ner tête baissée dans le panneau d'une pa-
reille Société.-
Regardez ce que vous faites, messieurs !
— (Armando Guerra.)
DEBATE [de Madrid], 13.1.
L'ADHESION DE LA. HOLLANDE. — Un
projet de loi intitulé : « Réserves quant à
l'habilité à accéder à la Société des Na-
tions » vient d être déposé par le Gouver-
nement. Il est ainsi conçu :
Article premier. — « Nous nous réser-
vons le droit d'adhérer au pacte de la So-
ciété des Nations, dont la copie, accom-
pagnée des treize chapitres du traité de
Paix s'y rapportant, est jointe à la présente
loi. »
Art. 2. — « Nous nous réservons le droit
de conclure les compromis qui peuvent être
signés aux termes des obligations mention-
nées à l'article 13 du pacte de la Société
des Nations, paragraphes 1er et 2. »
Suit un long mémoire explicatif.
La discussion de ce projet à la seconde
Chambre s'ouvrira le 20 janvier.
ALGEMEEN HANDELSBLAD,
['d'Amsterdam], 14.1.
— S'il devenait positivement certain que
l'Amérique ne sera pas membre de la So-
iété des Nations nous croyons qu'alors les
Pays-Bas feraient mieux eux aussi de s'abs-
tenir. Mais la Hollande ne se trouvera
probablement pas placée devant cette alter-
native. Nous avons deux mois pour décla-
er notre volonté d'adhérer à la Société et
au moment de prendre notre décision vrai-
semblablement l'attitude finale de l'Améri-
que ne sera pas encore déterminée.
Dans ces conditions nous croyons qu'il
est de notre devoir d'adhérer à la Société
parce que cette adhésion constituera en ou-
tre un facteur non négligeable pour affai-
blir encore l'opposition américaine, qui a
déjà beaucoup perdu de sa vigueur. Car il
n'est pas sans importance pour les nom-
breux partisans de l'idée de la Société des
Nations, de constater dans quelle mesure,
grâce à l'adhésion des pays neutres, cette
Société perdra le caractère politique qu'elle
possède actuellement du fait de la guerre.
La Conférence internationale du Travail
tenue récemment à Washington peut servir
d'exemple pour démontrer qu'un travail
utile peut être effectué sur les bases du
pacte actuel de la Société.
ALGEMEEN HANDELSBLAD, 14.1.
— Le nouveau pacte de la Société des
Nations pèche par son origine. En réduire
les conséquences à un minimum peut et
doit être la tâche des peuples qui ont es-
sayé pendant la guerre de sauver ce qui
pouvait être sauvé du droit international
codifié.
Il n'y a aucun motif pour nous de re-
fuser la tâche de conciliateurs, et si cette
tâche exige de nous que nous fassions dé-
pendre notre adhésion de réserves déter-
minées, réserves de nature purement
idéale, nous devons accepter les consé-
quences qui en découlent comme l'inévi- ,
table.
NIEUWE COURANT
[ de la Haye], 14.1.
»
LES ÉVÉNEMENTS DE RUSSIE
LES ALLIES ET LE BOLCHEVISME. —
Il est certain que la menace pour la Po-
logne et les Etats baltes est extrêmement
sérieuse, et qu'une attaque peut se pro-
duire à tout moment.
Les Alliés doivent adopter des mesures
en vue de leur prêter appui, s'ils n'enten-
dent pas que le traité de Versailles n'abou-
tisse à une comédie pitoyable. La solution
la plus condamnable serait celle qui consis-
terait à céder aux tentations des financiers,
qui demandent aux gouvernements alliés
l'autorisation pour l'Allemagne de pénétrer
en Russie et de renverser le bolchevisme,
moyennant la promesse donnée par cette
puissance de rembourser les dettes de guer-
re des Alliés à l'aide des bénéfices tirés de
l'exploitation de la Russie. Ce serait don-
ner à l'Allemagne la maîtrise du monde et
la force de la victoire ; ce serait rendre
inévitable une guerre nouvelle et plus ter-
rible que la dernière, le jour où l'Allema-
gne aurait assimilé et colonisé la Russie.
Cependant, si les Alliés ne font rien pour
sauver la Russie et les Etats-frontières, les
populations menacées feront appel à l'aide
de l'Allemagne. Personne ne peut douter
qu'elle soit préférable à là tyrannie hideuse
des bolcheviks. (Ed.).
DAILY MAIL, 15.1.
LES RESTAURANTS MUNICIPAUX DE
PETROGRAD. — En octobre il y avait à
Pétrograd 149 restaurants municipaux pour
adultes. Dans un certain nombre on nour-
rissait aussi des enfants. A ces restaurants
étaient rattachés 400.000 citoyens, dont
plus de 100.000 avec carte de travailleurs.
Dans 74 restaurants rattachés à des insti-
tutions il y avait 81.000 citoyens, dont 17.000
repas avec carte de travailleur. En tout
ceci fait 223 restaurants, soit pour adultes,
snit mixtes avec 405.605 bouches dont
120.958 ont la ration de travailleur. Plus de
8.000 personnes reçoivent la nourriture
dans les asiles. Dans les maisons d'arrêt,
plus de 5.000. Dans les hôpitaux 21.000. Le
10h11 est de 499.744 bouches (adultes). En
octobre il y avait 41 restaurants pour en-
1 1 MINISTÈRES
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Pu MHES Ê T HAN GER ES
| T DE LA GUERRE
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N° 1354
Samedi 17 janvier 1920
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
1 p SOMMAIRE
SE AMÉRICAINE. — ,« L'Amérique a ga-
gOé la guerre » (Rapport Pershing sur
Ilîio Cleveland Plain Dealer). — Les
r jrts-Unis et l'Europe Centrale Décla-
mp ns de M. Hoover, A~w Fo~ Ft-
rations de M. Hoover, New York Ti-
TTles). - Les fabricants de conserves
p des Etats-Unis (New York Times).
~SSE ANGLAISE. — Les Alliés et le bolche-
VIsme, (DaHU Mail). — L'Amérique et
les crédits pour l'Europe (Times, Daily
News). Les relations économiques
de la Grande-Bretagne avec l'Allema-
gne (Times).
PAgnolE. — L'adhésion de l'Espa-
- gne à la Société des Nations (par A.
Guerra, Debate). — Le repos domini-
cal dans la presse espagnole (A. B. C.)
RESSP HOLLANDAISE. — L'adhésion de la
Hoii «n«e à la Société des Nations (illge-
rneen Handelsblad, Nieuwe Courant).
DneS'SE lrALIFNNE. - Le<; demandes du per-
oonli!l des chemins de fer en Italie
(fp?CQ, Corriere d'Halin). — L'emprunt
italien (par L. Einaudi, Corriere della
Sera) Fanaudi, Corriere délia
f*REssg ROSSE. - Les restaurants munici-
» Paux de Petrograd. — La presse des
So viets (Izueslîa).
[ POLITIQUE GENERALE
, i ET DIPLOMATIE
t.
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
: J?'1* d?^N DE L'ESPAGNE. - Le
p est entré en vigueur. L'Alle.
magne , qu'elle le ve..i!]e ou ¡:, ne pourra
FpvCePtion ri les Journaux allemands, à
}1'rflTlc IOn de la Freihcit, traitent la
'trie
lettre e de Yampire. Ludendorff, dans une
A/,» S à un rédacteur du
i '«tai™' s'«prime lnsi • (( Si notre ruine
totale QUI VA îï1VEn entraîne l'Entente
avec nous, qU'eile n'en accuse personne,
Hx elle-rnelne » vLT s,-f e que c'est là la
^es Chinnî ESI-c'e que c'est là .In
paix? Les Chinois n'ont pas signé le Traité
battu Yondenitch, Kollchak après avoir
b,,,t ty ollden,téll@ °If,cîmk et Denikine, di.
JS i Sphl! Par 'a bnnH deLénine : « Les spé-
<çiuiïte* aHomS ? , f pour
allemands ont fait beaucoup pour
e fer r:enrg-nnisnnt l'armée, les chemins
84b fer , md" s, ri e et l'ngri ru lt u re. Ce n'est
Hv ? lniraclp n ar conséquent, si nous
ïé '°ns. Nnn à
s avons des écoles techni-
; ^'r'Pées nades ! instructeurs alle-
mands » j?t , le d6sesp-nir petit ]an-
et8 le' )) Et qllnnd le désespoir peut lan-
etl, n8 ^'eman? iic 1 en rnflqse dans les bras
es, qUI font facilement des prosé-
•!
lytes en Chine, et quand le départ des Amé-
ricains démontre qu'ils se désintéressent
de ce qui peut arriver en Europe, les Alliés
prennent leurs précautions contre le grave
péril qui les menace s'ils n'ont pas derrière
eux la moitié du monde. Ils sonnent le
tocsin pour former ladite Société des Na-
tions ; et nous, hélas ! quand la Suisse, la
faible Suisse, marchande son appui et pose
ses conditions, nous nous apprêtons à don-
ner tête baissée dans le panneau d'une pa-
reille Société.-
Regardez ce que vous faites, messieurs !
— (Armando Guerra.)
DEBATE [de Madrid], 13.1.
L'ADHESION DE LA. HOLLANDE. — Un
projet de loi intitulé : « Réserves quant à
l'habilité à accéder à la Société des Na-
tions » vient d être déposé par le Gouver-
nement. Il est ainsi conçu :
Article premier. — « Nous nous réser-
vons le droit d'adhérer au pacte de la So-
ciété des Nations, dont la copie, accom-
pagnée des treize chapitres du traité de
Paix s'y rapportant, est jointe à la présente
loi. »
Art. 2. — « Nous nous réservons le droit
de conclure les compromis qui peuvent être
signés aux termes des obligations mention-
nées à l'article 13 du pacte de la Société
des Nations, paragraphes 1er et 2. »
Suit un long mémoire explicatif.
La discussion de ce projet à la seconde
Chambre s'ouvrira le 20 janvier.
ALGEMEEN HANDELSBLAD,
['d'Amsterdam], 14.1.
— S'il devenait positivement certain que
l'Amérique ne sera pas membre de la So-
iété des Nations nous croyons qu'alors les
Pays-Bas feraient mieux eux aussi de s'abs-
tenir. Mais la Hollande ne se trouvera
probablement pas placée devant cette alter-
native. Nous avons deux mois pour décla-
er notre volonté d'adhérer à la Société et
au moment de prendre notre décision vrai-
semblablement l'attitude finale de l'Améri-
que ne sera pas encore déterminée.
Dans ces conditions nous croyons qu'il
est de notre devoir d'adhérer à la Société
parce que cette adhésion constituera en ou-
tre un facteur non négligeable pour affai-
blir encore l'opposition américaine, qui a
déjà beaucoup perdu de sa vigueur. Car il
n'est pas sans importance pour les nom-
breux partisans de l'idée de la Société des
Nations, de constater dans quelle mesure,
grâce à l'adhésion des pays neutres, cette
Société perdra le caractère politique qu'elle
possède actuellement du fait de la guerre.
La Conférence internationale du Travail
tenue récemment à Washington peut servir
d'exemple pour démontrer qu'un travail
utile peut être effectué sur les bases du
pacte actuel de la Société.
ALGEMEEN HANDELSBLAD, 14.1.
— Le nouveau pacte de la Société des
Nations pèche par son origine. En réduire
les conséquences à un minimum peut et
doit être la tâche des peuples qui ont es-
sayé pendant la guerre de sauver ce qui
pouvait être sauvé du droit international
codifié.
Il n'y a aucun motif pour nous de re-
fuser la tâche de conciliateurs, et si cette
tâche exige de nous que nous fassions dé-
pendre notre adhésion de réserves déter-
minées, réserves de nature purement
idéale, nous devons accepter les consé-
quences qui en découlent comme l'inévi- ,
table.
NIEUWE COURANT
[ de la Haye], 14.1.
»
LES ÉVÉNEMENTS DE RUSSIE
LES ALLIES ET LE BOLCHEVISME. —
Il est certain que la menace pour la Po-
logne et les Etats baltes est extrêmement
sérieuse, et qu'une attaque peut se pro-
duire à tout moment.
Les Alliés doivent adopter des mesures
en vue de leur prêter appui, s'ils n'enten-
dent pas que le traité de Versailles n'abou-
tisse à une comédie pitoyable. La solution
la plus condamnable serait celle qui consis-
terait à céder aux tentations des financiers,
qui demandent aux gouvernements alliés
l'autorisation pour l'Allemagne de pénétrer
en Russie et de renverser le bolchevisme,
moyennant la promesse donnée par cette
puissance de rembourser les dettes de guer-
re des Alliés à l'aide des bénéfices tirés de
l'exploitation de la Russie. Ce serait don-
ner à l'Allemagne la maîtrise du monde et
la force de la victoire ; ce serait rendre
inévitable une guerre nouvelle et plus ter-
rible que la dernière, le jour où l'Allema-
gne aurait assimilé et colonisé la Russie.
Cependant, si les Alliés ne font rien pour
sauver la Russie et les Etats-frontières, les
populations menacées feront appel à l'aide
de l'Allemagne. Personne ne peut douter
qu'elle soit préférable à là tyrannie hideuse
des bolcheviks. (Ed.).
DAILY MAIL, 15.1.
LES RESTAURANTS MUNICIPAUX DE
PETROGRAD. — En octobre il y avait à
Pétrograd 149 restaurants municipaux pour
adultes. Dans un certain nombre on nour-
rissait aussi des enfants. A ces restaurants
étaient rattachés 400.000 citoyens, dont
plus de 100.000 avec carte de travailleurs.
Dans 74 restaurants rattachés à des insti-
tutions il y avait 81.000 citoyens, dont 17.000
repas avec carte de travailleur. En tout
ceci fait 223 restaurants, soit pour adultes,
snit mixtes avec 405.605 bouches dont
120.958 ont la ration de travailleur. Plus de
8.000 personnes reçoivent la nourriture
dans les asiles. Dans les maisons d'arrêt,
plus de 5.000. Dans les hôpitaux 21.000. Le
10h11 est de 499.744 bouches (adultes). En
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