Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-01-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 janvier 1920 07 janvier 1920
Description : 1920/01/07 (T14,N1345). 1920/01/07 (T14,N1345).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62549116
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRES
DES
AFpMRES ÉTRANGERES
ÈT DE LA GUERRE
N° 1345
Mercredi 7 janvier 1920
!
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
i résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Grande-Bretagne et
Etats-Unis (par Reventlow. Deutsche Ta-
- geszeitung). — Allemagne et Autriche
(Deittscite Tageszeitung). — Une collabo-
ratian militaire entre la France et l'Alle-
magne en Russie (par A. Rechberg. Tä-
, gliche Rundschau). — Allemagne et Rus-
• sie (Hamburger Fremdenblatt). — Le
séquestre des valeurs allemandes en Per-
se (Hamburger Fremdenblatt):
PRESSE AMÉRICAINE. — La ratification du
traité de Versailles (New York World,
Chicago Daily News).
PRESSE ANGLAISE. - Le bolchevisme et les
Alliés (Times).
1 PHIÏSSE ITALIENNE. - La mission du prince
Sixte en 1917 (Idea Nazionale, Giornale
d'Italia, Epoca). — Démenti du général
Cadorna (Idea Nazionale). — L'Italie et
ses alliés (Messaggero).
"PRESSE SUISSE. — « Ligue des Nations ou
alliances particulières ? » (par J. Voeste,
N àtinnal-Zeitung).
-- - -,-..-
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ÈTATS-UN!S
ET LE TRAITÉ DE VERSAILLES
LA RATIFICATION ET LES AFFAIRES.
d LA CHAMBRE DE COMMERCE DE NEW-YORK
dans sa réunion mensuelle a adopté une
résolution demandant la ratification immé-
extraIte d'un rapport présenté à la Cham-
ue par Darwin Kinsley au nom du Comité
J^ecutif et du Comité des finances dont
bornas Lamont et Paul Warburg font par-
a. (( La victoire, déclare Kingsley, nous a
jPPorté des devoirs et des possibilités.
ous avons combattu non pour obtenir les
epouilles des vaincus mais pour défendre
1el, institutions libres et pour supprimer la
guerre. Conformément aux mobiles désin-
tér.essés de notre entrée en guerre nous
fi vans insisté pour qu'un programme paci-
fillt-e spit adopté par toutes les nations li-
re es du monde ; les délégués à la Confé-
1.' Pellee de Versailles ont travaillé à satis-
't faire nos demandes.
d*'-e Sénat des Etats-Unis en présence de
^isPn ositions qui demandaient à chaque na-
et * quelques sacrifices a hésité, discuté
gra eXardé sa décision. Et finalement, à la
grande stupéfaction du pays dans son en-
sem ble il a rejeté le traité sans même pré-
parer un compromis pour les discussions
inulcneures.
Cette politique a entraîné une crise mo-
rale et commerciale. Nous sommes en
train de perdre la direction morale du
monde et le commerce légitime que la vic-
toire nous avait assuré nous échappe. La
prospérité des exportations américaines
dépend en grande partie des crédits que
nous pourrons accorder à nos clients
étrangers et qu'il est difficile d'établir tant
que le traité n'est pas ratifié. L'inquiétude
de tout le monde des affaires au sujet de
ce retard est encore augmentée par la
baisse sans précédent du change presque
aussi gênante pour nous, exportateurs,
que pour les malheureux peuples d'Euro-
pe qui ne peuvent pas nous acheter pro-
duits alimentaires et matières premières
qui leur font tant défaut.
Quels que soient les effets moraux et
économiques de sa défaite, le traité, tel
qu'il est, ne peut pas avoir le nombre de
votes nécessaires à sa ratification mais
la situation créée par ce fait est intoléra-
ble. Si les partis qui s'opposent ne se font
pas de mutuelles concessions, nous donne-
rons au monde le spectacle regrettable de
notre incompétence politique.
Abandonner le traité et conclure une
paix séparée avec l'Allemagne serait non
seulement un acte funeste aux intérêts
américains, mais une lâcheté à l'égard de
nos alliés et de nos principes.
Nous voulons la paix ; nous la voulons
rapidement mais nous voulons une paix
honorable. Alors que plusieurs pays d'Eu-
rope sont dans une situation désespérée,
une paix qui affirmerait notre isolement et
notre égoïsme serait aussi déshonorante
qu'un nouveau délai l'aurait été dans notre
décision d'entrer en guerre le 6 avril 1917.
La solution unique est un compromis en-
tre le Sénat et le Président, »
NEW YORK WORLD, 5.12.
— Darwin Kingsley a admirable-
ment décrit la situation créée par l'atti-
tude du Sénat à l'égard du traité de paix.
Même des sénateurs comme Calder et
Wadsworth tiendront compte de l'opinion
d'une Chambre de commerce et la résolu-
tion de celle de New-York aura un grand
poids à Washington. Si le peuple améri-
cain veut la ratification du traité, il devra
y travailler lui-même par l'intermédiaire
d'organisations qui peuvent parler avec
autorité.
La Chambre de commerce de New-York
a fait ce que toutes les Chambres de com-
merce devraient faire. Il n'y a pas de rai-
son pour que le traité ne soit pas ratifié,
pourvu que les sénateurs aient assez de
bonne foi pour ne chercher, en imposant
leurs réserves, qu'à sauvegarder les inté-
rêts du pays. — (Ed.)
NEW YORK WORLD, 5.12.
— Dans une résolution vigoureuse adop-
tée par la Chambre de Commerce de New-
York l'attention du pays est attirée sur ce
fait que « le commerce légitime que la vic-
toire nous avait assuré nous échappe ».
Tant que la paix n'est pas signée il ne peut
pas y avoir de bases. fermes pour les re-
lations économiques internationales et on
ne peut rien décider au sujet des crédits
nécessaires à la reconstruction en Europe.
Ainsi, par des retards et des luttes politi-
ques nous détruisons notre propre prospé-
rité. Des témoignages probants nous en
sont donnés chaque jour en particulier par
nos correspondants qui viennent d'étudier
la situation en Allemagne et dans les pays
scandinaves.
Il y a seulement quelques mois une pé-
riode d'activité industrielle et de prospérité
générale sans précédent s'annonçait pour les
Etats-Unis. Notre pays seul avait le capital,
le travail, l'organisation et l'énergie néces-
saires à la reconstruction de l'Europe ap-
pauvrie et épuisée. Nous n'avions qu'à ou-
vrir des crédits très larges aux nations
éprouvées et à stabiliser le change pour
faire immédiatement un chiffre d'affaires
considérable. Où sont aujourd'hui ces bril-
lantes perspectives ? La discorde, les oppo-
sitions personnelles et un gouvernement in-
compétent les ont dans une grande mesure
dissipées.
La paix a été constamment remise —
maintenant même elle n'est pas en vue. De
plus les grèves inutiles de l'acier, du char-
bon, des dockers et la menace de plusieurs
autres sont les causes indéniables de la
crise économique actuelle.
Il n'est pas trop tard cependant pour re'
gagner le terrain perdu. Nos ennemis sont
dans notre maison et les remèdes sont fa-
ciles à trouver. N'y a-t-il pas assez de bon
sens et de virilité dans ce pays pour les
appliquer ? — (Ed.)
CHICAGO DAILY NEWS, 8.12.
« LLOYD GEORGE ET NOTRE ESPRIT
DE PARTI ». — Dans son discours de
Manchester [7 décembre] Lloyd George a
opposé avec raison l'esprit dans, lequel la
France et l'Angleterre ont accepté le Traité
de Paix et la Ligne des Nations et la mes-
quinerie de l'esprit de parti auquel ils ont
servi de prétexte aux Etats-Unis.
Dans leur sincérité, les remarques de
Lloyd George ont blessé l'orgueil américain,
simplement parce qu'elles étaient justes. Au
moment où l'attention des Parlements eu-
ropéens était concentrée sur une situation
alarmante pour le monde entier un petit
groupe de politiciens dans ce pays étu-
diaient les meilleurs moyens de faire servir
le Traité de Paix à leurs fins égoïstes.
Avant l'ouverture des négociations la
campagne contre le Traité et la Ligue était
commencée et son but révélé. Le Comité des
Affaires étrangères du Sénat dès son orga-
nisation est devenu sous la direction du sé-
nateur Lodge le centre de l'opposition répu-
blicaine et ses membres ont volontairement
dressé des obstacles sur la voie du prési-
dent pendant qu'il travaillait à un accord
avec les Alliés européens. C'est dans le mê-
me esprit que Lodge et ses partisans ont
conduit les débats au Sénat. S'il a pu y
avoir quelque doute là-dessus le sénateur
Lodge lui-même les supprime aujourd'hui
quand il déclare ouvertement : « Je com-
bats le président ».
Il est bien vrai que la paix est mise en
DES
AFpMRES ÉTRANGERES
ÈT DE LA GUERRE
N° 1345
Mercredi 7 janvier 1920
!
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
i résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Grande-Bretagne et
Etats-Unis (par Reventlow. Deutsche Ta-
- geszeitung). — Allemagne et Autriche
(Deittscite Tageszeitung). — Une collabo-
ratian militaire entre la France et l'Alle-
magne en Russie (par A. Rechberg. Tä-
, gliche Rundschau). — Allemagne et Rus-
• sie (Hamburger Fremdenblatt). — Le
séquestre des valeurs allemandes en Per-
se (Hamburger Fremdenblatt):
PRESSE AMÉRICAINE. — La ratification du
traité de Versailles (New York World,
Chicago Daily News).
PRESSE ANGLAISE. - Le bolchevisme et les
Alliés (Times).
1 PHIÏSSE ITALIENNE. - La mission du prince
Sixte en 1917 (Idea Nazionale, Giornale
d'Italia, Epoca). — Démenti du général
Cadorna (Idea Nazionale). — L'Italie et
ses alliés (Messaggero).
"PRESSE SUISSE. — « Ligue des Nations ou
alliances particulières ? » (par J. Voeste,
N àtinnal-Zeitung).
-- - -,-..-
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ÈTATS-UN!S
ET LE TRAITÉ DE VERSAILLES
LA RATIFICATION ET LES AFFAIRES.
d LA CHAMBRE DE COMMERCE DE NEW-YORK
dans sa réunion mensuelle a adopté une
résolution demandant la ratification immé-
ue par Darwin Kinsley au nom du Comité
J^ecutif et du Comité des finances dont
bornas Lamont et Paul Warburg font par-
a. (( La victoire, déclare Kingsley, nous a
jPPorté des devoirs et des possibilités.
ous avons combattu non pour obtenir les
epouilles des vaincus mais pour défendre
1el, institutions libres et pour supprimer la
guerre. Conformément aux mobiles désin-
tér.essés de notre entrée en guerre nous
fi vans insisté pour qu'un programme paci-
fillt-e spit adopté par toutes les nations li-
re es du monde ; les délégués à la Confé-
1.' Pellee de Versailles ont travaillé à satis-
't faire nos demandes.
d*'-e Sénat des Etats-Unis en présence de
^isPn ositions qui demandaient à chaque na-
et * quelques sacrifices a hésité, discuté
gra eXardé sa décision. Et finalement, à la
grande stupéfaction du pays dans son en-
sem ble il a rejeté le traité sans même pré-
parer un compromis pour les discussions
inulcneures.
Cette politique a entraîné une crise mo-
rale et commerciale. Nous sommes en
train de perdre la direction morale du
monde et le commerce légitime que la vic-
toire nous avait assuré nous échappe. La
prospérité des exportations américaines
dépend en grande partie des crédits que
nous pourrons accorder à nos clients
étrangers et qu'il est difficile d'établir tant
que le traité n'est pas ratifié. L'inquiétude
de tout le monde des affaires au sujet de
ce retard est encore augmentée par la
baisse sans précédent du change presque
aussi gênante pour nous, exportateurs,
que pour les malheureux peuples d'Euro-
pe qui ne peuvent pas nous acheter pro-
duits alimentaires et matières premières
qui leur font tant défaut.
Quels que soient les effets moraux et
économiques de sa défaite, le traité, tel
qu'il est, ne peut pas avoir le nombre de
votes nécessaires à sa ratification mais
la situation créée par ce fait est intoléra-
ble. Si les partis qui s'opposent ne se font
pas de mutuelles concessions, nous donne-
rons au monde le spectacle regrettable de
notre incompétence politique.
Abandonner le traité et conclure une
paix séparée avec l'Allemagne serait non
seulement un acte funeste aux intérêts
américains, mais une lâcheté à l'égard de
nos alliés et de nos principes.
Nous voulons la paix ; nous la voulons
rapidement mais nous voulons une paix
honorable. Alors que plusieurs pays d'Eu-
rope sont dans une situation désespérée,
une paix qui affirmerait notre isolement et
notre égoïsme serait aussi déshonorante
qu'un nouveau délai l'aurait été dans notre
décision d'entrer en guerre le 6 avril 1917.
La solution unique est un compromis en-
tre le Sénat et le Président, »
NEW YORK WORLD, 5.12.
— Darwin Kingsley a admirable-
ment décrit la situation créée par l'atti-
tude du Sénat à l'égard du traité de paix.
Même des sénateurs comme Calder et
Wadsworth tiendront compte de l'opinion
d'une Chambre de commerce et la résolu-
tion de celle de New-York aura un grand
poids à Washington. Si le peuple améri-
cain veut la ratification du traité, il devra
y travailler lui-même par l'intermédiaire
d'organisations qui peuvent parler avec
autorité.
La Chambre de commerce de New-York
a fait ce que toutes les Chambres de com-
merce devraient faire. Il n'y a pas de rai-
son pour que le traité ne soit pas ratifié,
pourvu que les sénateurs aient assez de
bonne foi pour ne chercher, en imposant
leurs réserves, qu'à sauvegarder les inté-
rêts du pays. — (Ed.)
NEW YORK WORLD, 5.12.
— Dans une résolution vigoureuse adop-
tée par la Chambre de Commerce de New-
York l'attention du pays est attirée sur ce
fait que « le commerce légitime que la vic-
toire nous avait assuré nous échappe ».
Tant que la paix n'est pas signée il ne peut
pas y avoir de bases. fermes pour les re-
lations économiques internationales et on
ne peut rien décider au sujet des crédits
nécessaires à la reconstruction en Europe.
Ainsi, par des retards et des luttes politi-
ques nous détruisons notre propre prospé-
rité. Des témoignages probants nous en
sont donnés chaque jour en particulier par
nos correspondants qui viennent d'étudier
la situation en Allemagne et dans les pays
scandinaves.
Il y a seulement quelques mois une pé-
riode d'activité industrielle et de prospérité
générale sans précédent s'annonçait pour les
Etats-Unis. Notre pays seul avait le capital,
le travail, l'organisation et l'énergie néces-
saires à la reconstruction de l'Europe ap-
pauvrie et épuisée. Nous n'avions qu'à ou-
vrir des crédits très larges aux nations
éprouvées et à stabiliser le change pour
faire immédiatement un chiffre d'affaires
considérable. Où sont aujourd'hui ces bril-
lantes perspectives ? La discorde, les oppo-
sitions personnelles et un gouvernement in-
compétent les ont dans une grande mesure
dissipées.
La paix a été constamment remise —
maintenant même elle n'est pas en vue. De
plus les grèves inutiles de l'acier, du char-
bon, des dockers et la menace de plusieurs
autres sont les causes indéniables de la
crise économique actuelle.
Il n'est pas trop tard cependant pour re'
gagner le terrain perdu. Nos ennemis sont
dans notre maison et les remèdes sont fa-
ciles à trouver. N'y a-t-il pas assez de bon
sens et de virilité dans ce pays pour les
appliquer ? — (Ed.)
CHICAGO DAILY NEWS, 8.12.
« LLOYD GEORGE ET NOTRE ESPRIT
DE PARTI ». — Dans son discours de
Manchester [7 décembre] Lloyd George a
opposé avec raison l'esprit dans, lequel la
France et l'Angleterre ont accepté le Traité
de Paix et la Ligne des Nations et la mes-
quinerie de l'esprit de parti auquel ils ont
servi de prétexte aux Etats-Unis.
Dans leur sincérité, les remarques de
Lloyd George ont blessé l'orgueil américain,
simplement parce qu'elles étaient justes. Au
moment où l'attention des Parlements eu-
ropéens était concentrée sur une situation
alarmante pour le monde entier un petit
groupe de politiciens dans ce pays étu-
diaient les meilleurs moyens de faire servir
le Traité de Paix à leurs fins égoïstes.
Avant l'ouverture des négociations la
campagne contre le Traité et la Ligue était
commencée et son but révélé. Le Comité des
Affaires étrangères du Sénat dès son orga-
nisation est devenu sous la direction du sé-
nateur Lodge le centre de l'opposition répu-
blicaine et ses membres ont volontairement
dressé des obstacles sur la voie du prési-
dent pendant qu'il travaillait à un accord
avec les Alliés européens. C'est dans le mê-
me esprit que Lodge et ses partisans ont
conduit les débats au Sénat. S'il a pu y
avoir quelque doute là-dessus le sénateur
Lodge lui-même les supprime aujourd'hui
quand il déclare ouvertement : « Je com-
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