Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-01-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 janvier 1920 05 janvier 1920
Description : 1920/01/05 (T14,N1343). 1920/01/05 (T14,N1343).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62549094
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
1
N° 1343
Lundi 5 janvier 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui ml êmt
résumés, il est doanéo ci-dessous des traductions, intégrales on par extraite
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE AMÉRICAINE. — La Société des Na-
, tions. — Une lettre de M. Otto H.
Kahn (New York Tribune). — Les ré-
sistances de l'Allemagne (New York
Tribune). — Grèce et Italie (New
York Times). — Le Sénat américain
et le Mexique (New York Times). —
L'emprunt irlandais aux Etats-Unis
;', (New York World). — L'accusation
contre le sénateur Newberry (New
York Times, New York Call). — Le
trust des produits chimiques en Alle-
magne (New York Times). — Les im-
migrants des Etats-Unis (Philadelphia
lnquirer, New York Call, Times-Pi-
cayune).
PRESSE ANGLAISE. — Les réserves du Sénat
américain et la Grande-Bretagne (Ti-
mes). — Les effectifs de l'armée alle-
mande (Times).
PRESSE ESPAGNOLE. — La circulation fidu-
ciaire en Espagne (Epoca).
t
PRESSE ITALIENNE. — L'Italie à Budapest et
à Vienne (par F. Ciccotti, Tempo).
PRESSE RUSSE. — Le parti communiste
(Pravda).
PRESSE YOUGOSLAVE. — L'autonomie des
Bouches de Cattairo (Hrvat).
0.
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ÉTATS-UNIS ET L'EUROPE
LA SOCIETE DES NATIONS. — UNE
LETTRE DE M. OTTO H. KAHN : Dans une
lettre adressée au sénateur Miles Poindex-
ter et publiée hier, Otto H. Kahn [prési-
dent de divers groupes bancaires] se dé-
clare l'adversaire du pacte de la Société
des Nations tel qu'il se présente aujour.
d'hui.
« Il va sans dire, écrit M. Kahn, que je
suis entièrement en faveur d'un pacte sage
et en vue d'assurer la Daix du monde. Je
suis d'avis que l'Amérique doit assumer sa
pleine part de la responsabilité qui, à juste
titre, est inséparable de la puissance.
Je suis d'avis que nous devons nous
comporter envers les nations aux côtés des-
quelles nous avons combattu pendant la
guerre, non seulement selon la mesure de
notre devoir, mais selon la mesure de nos
bons sentiments à leur égard, de l'admi-
ration pleine de reconnaissance que nous
ont inspirée leur héroïsme et leurs sacri-
fices au cours de la lutte qu'elles ont sou-
tenue afin de sauver le monde du milita-
r,Hine prussien.
Je suis en faveur du projet d'alliance dé-
fensive avec notre République sœur et an-
cienne alliée, la France (à nart la dispo-
SitIOn qui en fait dépendre la durée du juge-
ment de la Société des Nations). Je suis
en faveur de l'entente et de la coopération
les plus cordiales avec la Grande-Bretagne.
Je dirai même qu'à mon avis il n'existe
aucun élément individuel aussi essentiel à
la paix, à la sécurité, à la liberté du monde
que des relations étroites, harmonieuses et
empreintes d'une mutuelle confiance entre
les Etats-Unis et ce grand empire démocra-
tique.
Je suis d'avis que nous devons faire tout
ce qui nous incombe pour assurer et per-
pétuer les objets pour lesquels nous et les
nations alliées nous avons combattu.
Mais je suis fortement opposé au nqae
de la Société des Nations tel qu'il a été
soumis primitivement au Sénat. Bien plus
je réprouve toute la conception sur la-
quelle il est basé. Je partage l'avis exprimé
par le président Nicolas Murray Butler
dans un récent discours où il se déclarait
profondément déçu de voir qu'au lieu d'ins-
tituer un grand tribunal où le droit serait
substitué à la force dans le règlement des
disputes internationales, le traité de paix
« s'en rapporta surtout à la discussion poli-
tique et diplomatique » et à d'autres expé-
dients comme moyens d'empêcher les guer-
res.
Aucun des buts pour lesquels nous avons
combattu ne nous oblige à nous mêler des
intrigues et des disputes séculaires entre
les diverses races de l'Europe et de l'Asie,
ni à devenir à tout jamais les gardiens et
les garants d'un monde reconstitué d'une
manière arbitraire et artificielle, édifié plus
ou moins au mépris de l'évolution des siè-
cles, des qualités et des traits caractéris-
tiques des races, selon le jugement, les for-
mules et les transactions de quelques hom-
mes assemblés en un conclave secret et
complètement en dehors du courant instruc-
tif et vivifiant de l'opinion publique.
Aucun des buts pour lesquels nous avons
combattu ne nous oblige à abandonner les
principes et les traditions essentiels sur
lesquels est basée notre existence nationale,
ni à tranformer l'aigle américain en un ro-
quet international.
Nous avons puissamment aidé à gagner
la guerre. Seuls de tous les vainqueurs,
nous ne réclamons aucune partie du butin
(et pourtant, me semble-t-il, nous aurions
été fondés à réclamer notre nart dans l'at-
tribution des îles du Pacifique appartenant
jadis à l'Allemagne et qui sont pour nous
d'une importance stratégique). Nous n'a-
vons aucune raison d'apposer notre signa-
ture à un document qui nous laisserait ap-
pauvris en ce qui concerne les avantages
nationaux intangibles que nous avons dé-
fendus jusqu'ici avec un soin jaloux et aux-
quels nous attachons avec raison le plus
grand prix.
Je crains que notre participation à la So-
ciété des Nations,avec sa complexité infinie,
sa rigidité, son pesant mécanisme, loin de
favoriser la paix et la bonne volonté, ten-
drait plutôt à engendrer, pour ce qui est de
l'Amérique, les malentendus, l'irritation et
la mésintelligence.
Déjà dans notre récente incursion dans le
domaine de la politique européenne, nous
avons trouvé moyen en une seule année de
transformer en mésentente et en irritation
les sentiments d'amitié et de confiance d'un
trop grand nombre des nations auxquelles
nous étions associés pendant la guerre.
Nos associés dans la Société des Nations
s'attendraient à nous voir entreprendre des
tâches dont nous ne nous acquitterions pas
bien — peut-être même pas du tout -/ si
elles n'avaient pas l'assentiment, chez nous,
de l'opinion publique.
On s'attendrait à nous voir prendre seuls.
ou en collaboration avec d'autres, des déci-
sions ou des mesures qui, dans bien des
cas, auraient leur répercussion dans notre
politique intérieure, avec des conséquences
faciles à prévoir. Il est permis de se de-
mander, d'ailleurs, si nos représentants au
Conseil de la Société des Nations seraient
toujours choisis en raison de leur capacité et
de leur expérience, ou si parfois leurs
titres ne consisteraient pas surtout à être
des hommes de parti « bien pensants ».
J'avais espéré (et d'autres, dont la com-
pétence en matière de politique internatio-
nale est plus grande que la mienne, parta-
geaient mon espoir) qu'au lieu de créer une
organisation entièrement nouvelle et d'une
vaste complexité, les Etats-Unis, la Grande-
Bretagne, la France et l'Italie feraient une
déclaration brève, simple et formelle, an-
nonçant à l'univers que nous entendons dé-
fendre et conserver les grands bienfaits
pour lesquels nous avons combattu et que
quiconque ose y toucher trouvera ces gran-
des puissances européennes et l'Amérique
1 prêtes à défendre la liberté, la paix et le
droit.
Une telle déclaration n'eût été ni une al-
liance avec ou contre telle nation, ni une
menace envers aucune autre. Il est vrai
qu'elle n'aurait lié personne indéfiniment,
mais la Société des Nations ne lie pas ses
membres indéfiniment, non plus, puisque
chaque membre a le droit de s'en retirer
après un préavis de deux ans.. J'estime
qu'une pareille déclaration, jointe à la mise
en œuvre, le renforcement et le développe-
ment du mécanisme existant du tribunal de
La Haye, accomplirait tout ce que l'on peut
demander de nous sous ce rapport et l'ac-
complirait d'une manière plus efficace que
ne peut le faire un document blindé. »
.1 Cette lettre a été publiée hier par le Ccv
mité des hommes d'affaires américains,
dont George Henry Payne est le secrétaire.
Le sénateur Poindexter. en la faisant par- ,
venir an comité du Sénat, disait que c'était
« la déclaration la plus probante contre
l'adoption du traité de paix sous la forme
où il a été présenté au Sénat » dont il eût
connaissance comme émanant d'un homme
d'affaires américain.
NEW YORK TIMES, 1.12.
L'ATTITUDE DES REPUBLICAINS. —
Les républicains du Sud-Dakota sont d'ac-
cord sur la Ligue des Nations avec ceux
du Massachusetts. Les deux Etats sont
séparés géographiquement ; l'un est in-
dustriel. l'autre est agricole, mais leur
communauté de vues est remarquable.
Les républicains du Sud-Dakota comme
leurs frères du Massachusetts demandent
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
1
N° 1343
Lundi 5 janvier 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui ml êmt
résumés, il est doanéo ci-dessous des traductions, intégrales on par extraite
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE AMÉRICAINE. — La Société des Na-
, tions. — Une lettre de M. Otto H.
Kahn (New York Tribune). — Les ré-
sistances de l'Allemagne (New York
Tribune). — Grèce et Italie (New
York Times). — Le Sénat américain
et le Mexique (New York Times). —
L'emprunt irlandais aux Etats-Unis
;', (New York World). — L'accusation
contre le sénateur Newberry (New
York Times, New York Call). — Le
trust des produits chimiques en Alle-
magne (New York Times). — Les im-
migrants des Etats-Unis (Philadelphia
lnquirer, New York Call, Times-Pi-
cayune).
PRESSE ANGLAISE. — Les réserves du Sénat
américain et la Grande-Bretagne (Ti-
mes). — Les effectifs de l'armée alle-
mande (Times).
PRESSE ESPAGNOLE. — La circulation fidu-
ciaire en Espagne (Epoca).
t
PRESSE ITALIENNE. — L'Italie à Budapest et
à Vienne (par F. Ciccotti, Tempo).
PRESSE RUSSE. — Le parti communiste
(Pravda).
PRESSE YOUGOSLAVE. — L'autonomie des
Bouches de Cattairo (Hrvat).
0.
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LES ÉTATS-UNIS ET L'EUROPE
LA SOCIETE DES NATIONS. — UNE
LETTRE DE M. OTTO H. KAHN : Dans une
lettre adressée au sénateur Miles Poindex-
ter et publiée hier, Otto H. Kahn [prési-
dent de divers groupes bancaires] se dé-
clare l'adversaire du pacte de la Société
des Nations tel qu'il se présente aujour.
d'hui.
« Il va sans dire, écrit M. Kahn, que je
suis entièrement en faveur d'un pacte sage
et en vue d'assurer la Daix du monde. Je
suis d'avis que l'Amérique doit assumer sa
pleine part de la responsabilité qui, à juste
titre, est inséparable de la puissance.
Je suis d'avis que nous devons nous
comporter envers les nations aux côtés des-
quelles nous avons combattu pendant la
guerre, non seulement selon la mesure de
notre devoir, mais selon la mesure de nos
bons sentiments à leur égard, de l'admi-
ration pleine de reconnaissance que nous
ont inspirée leur héroïsme et leurs sacri-
fices au cours de la lutte qu'elles ont sou-
tenue afin de sauver le monde du milita-
r,Hine prussien.
Je suis en faveur du projet d'alliance dé-
fensive avec notre République sœur et an-
cienne alliée, la France (à nart la dispo-
SitIOn qui en fait dépendre la durée du juge-
ment de la Société des Nations). Je suis
en faveur de l'entente et de la coopération
les plus cordiales avec la Grande-Bretagne.
Je dirai même qu'à mon avis il n'existe
aucun élément individuel aussi essentiel à
la paix, à la sécurité, à la liberté du monde
que des relations étroites, harmonieuses et
empreintes d'une mutuelle confiance entre
les Etats-Unis et ce grand empire démocra-
tique.
Je suis d'avis que nous devons faire tout
ce qui nous incombe pour assurer et per-
pétuer les objets pour lesquels nous et les
nations alliées nous avons combattu.
Mais je suis fortement opposé au nqae
de la Société des Nations tel qu'il a été
soumis primitivement au Sénat. Bien plus
je réprouve toute la conception sur la-
quelle il est basé. Je partage l'avis exprimé
par le président Nicolas Murray Butler
dans un récent discours où il se déclarait
profondément déçu de voir qu'au lieu d'ins-
tituer un grand tribunal où le droit serait
substitué à la force dans le règlement des
disputes internationales, le traité de paix
« s'en rapporta surtout à la discussion poli-
tique et diplomatique » et à d'autres expé-
dients comme moyens d'empêcher les guer-
res.
Aucun des buts pour lesquels nous avons
combattu ne nous oblige à nous mêler des
intrigues et des disputes séculaires entre
les diverses races de l'Europe et de l'Asie,
ni à devenir à tout jamais les gardiens et
les garants d'un monde reconstitué d'une
manière arbitraire et artificielle, édifié plus
ou moins au mépris de l'évolution des siè-
cles, des qualités et des traits caractéris-
tiques des races, selon le jugement, les for-
mules et les transactions de quelques hom-
mes assemblés en un conclave secret et
complètement en dehors du courant instruc-
tif et vivifiant de l'opinion publique.
Aucun des buts pour lesquels nous avons
combattu ne nous oblige à abandonner les
principes et les traditions essentiels sur
lesquels est basée notre existence nationale,
ni à tranformer l'aigle américain en un ro-
quet international.
Nous avons puissamment aidé à gagner
la guerre. Seuls de tous les vainqueurs,
nous ne réclamons aucune partie du butin
(et pourtant, me semble-t-il, nous aurions
été fondés à réclamer notre nart dans l'at-
tribution des îles du Pacifique appartenant
jadis à l'Allemagne et qui sont pour nous
d'une importance stratégique). Nous n'a-
vons aucune raison d'apposer notre signa-
ture à un document qui nous laisserait ap-
pauvris en ce qui concerne les avantages
nationaux intangibles que nous avons dé-
fendus jusqu'ici avec un soin jaloux et aux-
quels nous attachons avec raison le plus
grand prix.
Je crains que notre participation à la So-
ciété des Nations,avec sa complexité infinie,
sa rigidité, son pesant mécanisme, loin de
favoriser la paix et la bonne volonté, ten-
drait plutôt à engendrer, pour ce qui est de
l'Amérique, les malentendus, l'irritation et
la mésintelligence.
Déjà dans notre récente incursion dans le
domaine de la politique européenne, nous
avons trouvé moyen en une seule année de
transformer en mésentente et en irritation
les sentiments d'amitié et de confiance d'un
trop grand nombre des nations auxquelles
nous étions associés pendant la guerre.
Nos associés dans la Société des Nations
s'attendraient à nous voir entreprendre des
tâches dont nous ne nous acquitterions pas
bien — peut-être même pas du tout -/ si
elles n'avaient pas l'assentiment, chez nous,
de l'opinion publique.
On s'attendrait à nous voir prendre seuls.
ou en collaboration avec d'autres, des déci-
sions ou des mesures qui, dans bien des
cas, auraient leur répercussion dans notre
politique intérieure, avec des conséquences
faciles à prévoir. Il est permis de se de-
mander, d'ailleurs, si nos représentants au
Conseil de la Société des Nations seraient
toujours choisis en raison de leur capacité et
de leur expérience, ou si parfois leurs
titres ne consisteraient pas surtout à être
des hommes de parti « bien pensants ».
J'avais espéré (et d'autres, dont la com-
pétence en matière de politique internatio-
nale est plus grande que la mienne, parta-
geaient mon espoir) qu'au lieu de créer une
organisation entièrement nouvelle et d'une
vaste complexité, les Etats-Unis, la Grande-
Bretagne, la France et l'Italie feraient une
déclaration brève, simple et formelle, an-
nonçant à l'univers que nous entendons dé-
fendre et conserver les grands bienfaits
pour lesquels nous avons combattu et que
quiconque ose y toucher trouvera ces gran-
des puissances européennes et l'Amérique
1 prêtes à défendre la liberté, la paix et le
droit.
Une telle déclaration n'eût été ni une al-
liance avec ou contre telle nation, ni une
menace envers aucune autre. Il est vrai
qu'elle n'aurait lié personne indéfiniment,
mais la Société des Nations ne lie pas ses
membres indéfiniment, non plus, puisque
chaque membre a le droit de s'en retirer
après un préavis de deux ans.. J'estime
qu'une pareille déclaration, jointe à la mise
en œuvre, le renforcement et le développe-
ment du mécanisme existant du tribunal de
La Haye, accomplirait tout ce que l'on peut
demander de nous sous ce rapport et l'ac-
complirait d'une manière plus efficace que
ne peut le faire un document blindé. »
.1 Cette lettre a été publiée hier par le Ccv
mité des hommes d'affaires américains,
dont George Henry Payne est le secrétaire.
Le sénateur Poindexter. en la faisant par- ,
venir an comité du Sénat, disait que c'était
« la déclaration la plus probante contre
l'adoption du traité de paix sous la forme
où il a été présenté au Sénat » dont il eût
connaissance comme émanant d'un homme
d'affaires américain.
NEW YORK TIMES, 1.12.
L'ATTITUDE DES REPUBLICAINS. —
Les républicains du Sud-Dakota sont d'ac-
cord sur la Ligue des Nations avec ceux
du Massachusetts. Les deux Etats sont
séparés géographiquement ; l'un est in-
dustriel. l'autre est agricole, mais leur
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