Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-06-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 juin 1918 12 juin 1918
Description : 1918/06/12 (T9,N833). 1918/06/12 (T9,N833).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252359b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
TÈRES DE LA GUERRE
AFFAI ET D]MS
^'HANGÈRes
N° 833
Paris, 12 Juin 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
1
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
MILITAIRES
L'OFFENSE ALLEMANDE
T resse ANOB9laise.
- De même que la vic-
toire de Marne devait précéder nos ten-
que us soyons assez certains de
tenir ù i.q0ccident «vt ?ssez certains de
serons assez certains de notre sécurité sur
ne j ; occidentales Problème que
nous aurons à résoudre sera de trouover la
ne peut éfàite décisive, ce qui
décisif à l'oues COtnpte : 1° sur un sue-
avant qu'e ne perde l'avantage de
périorité numérque ; 21 sur la défec-
\:\-to' SIe., Il s'ensuit que nos chan-
ces de victoire dépendent 1° du maintien
de notre ligne en France 2° du remplace-
IIO!llm ance depend en Partie du nom-
mes, mais plus encore de la supé-
dans les airs, ce qui nous
r/i lignes intérieures et Plus
ahir l'Allemagne et de triompher
sa guerre loin de son pro ~c triompher
¡r'c ï^sonï^1 consistant à faire
développement du matériel de
C'est lui qui économise
',rierit aL Rtlssic cela ne peut se faire
Japon, Inde qu'en dévelop pant les ressour.
Inde et en engagenat les intérêts du
Japon, non pas en SIbérie orientale, ce qUI
guerre un éloi érle orientale, ce qui
,:>i
un effet quelconque , si ce n'est celui
Turquie. On aiderait puissam-
ment ;<1°)1 depUi Paglle en détachant la Bul-
en le ? 0 °nqmes de l'Allema-
Presse italienne. 1 assaut qu'aient
le pus formidable assaut qu'aient
depuis allemandes depuis les in-
nale rot }Plf'i' les Etats elles n'ont jamais
les ont vu affaiblis et chaque fois qu'elles
es f, Ilt
tantôt par les doctri-
troisième siècle à la Réforme et à la guerre
mondiale, c'est toujours le même phénomè-
ne historique. Prendre à la civilisation oc-
cidentale les armes qui permettront de la
frapper à mort, exploiter ses faiblesses sans
scrupule et sans pitié, voilà la gloire à la-
quelle depuis dix-sept siècles aspire la Ger-
manie. Les nations germaniques ne purent
détruire l'Empire romain qu'après avoir
appris à l'école de Rome les éléments de
l'art militaire et de l'organisation politique ;
de même la présente invasion n'aurait pu
être tentée si les Allemands, dans les deux
derniers siècles, n'avaient appris des Fran-
çais à organiser et mouvoir de grandes ar-
mées, des Anglais à travailler le fer, à fa-
briquer les armes et toutes les machines
de la guerre moderne. Après avoir envoyé
en avant les philosophes, philologues, SCI.
vants, banquiers, marchands, espions et
jusqu'aux missionnaires du socialisme
marxiste, Guillaume II à la tête de mil-
lions de soldats donne l'assaut à la Fran-
.ce, colonne ei soutien de tout le monde oc-
cidental. Et — il serait puéril de le nier —
l'Occident tout entier, et l'Italie avec lui,
a vacillé quelques jours. Nous nous sau-
verons, mais seulement parce que l'Améri-
que est intervenue, à temps. Clemenceau
l'a dit et le grand conseil de guerre de
Versailles l'a confirmé. Si les Allemands
n'avaient pas provoqué l'Amérique, ils se-
raient aujourd'hui les maîtres du monde.
Sommes-nous donc moins intelligents,
moins actifs, moins courageux que nos en-
nemis ? Non ; mais nous avons été affai-
blis par nos discordes, discordes intérieu-
res de chaque peuple, discordes entre peu-
ple et peuple. Il ne suffit donc pas de dp-
mander aux Américains de faire vite et, en
attendant, de combattre infatigablement.
Il est nécessaire aussi de supprimer tout ce
qui, dans chaque pays, peut irriter les ci-
toyens les uns contre les autres et tout ce
qui peut alimenter défiance et antipathies
entre Alliés. L'ennemi compte sur nos dis-
cordes autant que sur ses canons. — (Gu-
glielmo Ferrero) Secolo. 8.6.
— On admet que le commandement fran-
çais s'est laissé surprendre par l'attaque du
Kronprinz ; le fait n'en reste pas moins
inexplicable. On pouvait s'attendre à une
attaque sur l'Ailette ; les critiques de l'En-
tente déclaraient que ce secteur se prêtait
admirablement à une future contre-offen-
sive ; comment s'étonner de ce que l'enne-
mi ait voulu rectifier le front de ce côté,
et transformer un rentrant en saillant ?
Peut-être a-t-on jugé ce projet trop simple,
s'est-on attendu à quelque combinaison
plus ingénieuse. On comprend mal. du
moins, que les Alliés n'aient pas été aver-
tis à temps de ce qui se préparait. Le plan
ennemi s'est-il complètement révélé ? Rap-
pelons-nous son offensive de 1914. Les Alle-
mands reprennent les opérations au point
où elles étaient restées après la défaite de
la Marne. En août 1914, tout le nord de la
France, y compris la zone côtière, était
abandonné à l'envahisseur. Il commit la
faute de ne pas en prendre possession. Son
aile droite ne dépassa pas Amiens. Si les
Allemands recommencent l'opération qui a
échoué une première fois, ils y apporteront
quelques variantes, pour éviter les incon-
vénients qui ont causé leur échec. L'erreur
de Moltke fut de ne pas penser à une con-
tre-offensive ennemie sur son flanc droit ;
il ne chercha pas à se couvrir de ce côté.
Ludendorff a tenté d'occuper Almiens; il n'y
a pas réussi ; cet échec peut influer sur le
reste de la manoeuvre ; mais il a disposé,
de la Flandre à l'Oise, cinq armées en face
des Anglais, et, de la sorte, a cru pouvoir
passer à la seconde partie de son program-
me, la poussée vers le Sud. On doit s'at-
tendre à une reprise de la bataille entre la
Somme et la mer ; mais la partie décisive
se joue dans la direction de Paris. Le re-
vers allemand de 1914 fut dû, en grande
partie, au retard de l'artillerie lourde. Cet
inconvénient ne peut être éliminé ; les Alle-
mands cherchent à le compenser en multi-
pliant l'artillerie légère qui accompagné les
troupes d'assaut. - Slampa. 8.6.
— Disons-le franchement : l'opinion pu-
blique des pays alliés n'a pas appris sans
une douloureuse stupeur, par les événe-
ments de la dernière bataille en France,
que la supériorité aérienne de l'Entente est
peut-être une phrase plus qu'un fait. Elle
comprend, d'autre part, que le énorme im-
portance ont dans la guerre moderne les
moyens mécaniques et — autre exemple —
ne voit pas sans étonnement que les Alle-
mands ont su tirer le meilleur parti de l'in-
vention anglaise des tanks tandis qu'il ne
semble pas que les Alliés aient fait grand'
chose pour perfectionner cette nouvelle
arme. En somme, on a l'impression que
sur ce terrain aussi, comme sur le terrain
diplomatique et dans toute la politique de
guerre, l'action des Alliés se développe à
travers des difficultés de forme et de fond,
suivant un rythme qui n'est pas adéquat au
cours fébrile de la guerre, alors qu'il est
bien clair que si l'on avait fait plus et
mieux, une écrasante supériorité de moyens
mécaniques pourrait compenser aujourd'hui
sur le front français l'infériorité du nom-
bre. Cette supériorité mécanique sera aussi
nécessaire, le jour où les armées alliées
s'augmenteront du concours américain. —
Corriere d'Italia, 9.6.
Presse suisse. — Le calme qui marque la
fin de chaque offensive s'est établi a nou-
veau. L'accumulation de forces adverses
est devenue si considérable que la question
se pose pour le commandement allemand de
ravoir s'il serait opportun d'engager entre
l'Aisne et la Marne une grande bataille fron-
tale. dont le succès même ne pourrait per
mettre qu'un lent refoulement des armées
alliées, puissamment établies en profondeur.
La réponse est aisée. A-t-on par suite raison
AFFAI ET D]MS
^'HANGÈRes
N° 833
Paris, 12 Juin 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
1
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
MILITAIRES
L'OFFENSE ALLEMANDE
T resse ANOB9laise.
- De même que la vic-
toire de Marne devait précéder nos ten-
que us soyons assez certains de
tenir ù i.q0ccident «vt ?ssez certains de
serons assez certains de notre sécurité sur
ne j ; occidentales Problème que
nous aurons à résoudre sera de trouover la
ne peut éfàite décisive, ce qui
décisif à l'oues COtnpte : 1° sur un sue-
avant qu'e ne perde l'avantage de
périorité numérque ; 21 sur la défec-
\:\-to' SIe., Il s'ensuit que nos chan-
ces de victoire dépendent 1° du maintien
de notre ligne en France 2° du remplace-
IIO!llm ance depend en Partie du nom-
mes, mais plus encore de la supé-
dans les airs, ce qui nous
r/i lignes intérieures et Plus
ahir l'Allemagne et de triompher
sa guerre loin de son pro ~c triompher
¡r'c ï^sonï^1 consistant à faire
développement du matériel de
C'est lui qui économise
',rierit aL Rtlssic cela ne peut se faire
Japon, Inde qu'en dévelop pant les ressour.
Inde et en engagenat les intérêts du
Japon, non pas en SIbérie orientale, ce qUI
guerre un éloi érle orientale, ce qui
,:>i
un effet quelconque , si ce n'est celui
Turquie. On aiderait puissam-
ment ;<1°)1 depUi Paglle en détachant la Bul-
en le ? 0 °nqmes de l'Allema-
Presse italienne. 1 assaut qu'aient
le pus formidable assaut qu'aient
depuis allemandes depuis les in-
nale rot }Plf'i' les Etats elles n'ont jamais
les ont vu affaiblis et chaque fois qu'elles
es f, Ilt
tantôt par les doctri-
troisième siècle à la Réforme et à la guerre
mondiale, c'est toujours le même phénomè-
ne historique. Prendre à la civilisation oc-
cidentale les armes qui permettront de la
frapper à mort, exploiter ses faiblesses sans
scrupule et sans pitié, voilà la gloire à la-
quelle depuis dix-sept siècles aspire la Ger-
manie. Les nations germaniques ne purent
détruire l'Empire romain qu'après avoir
appris à l'école de Rome les éléments de
l'art militaire et de l'organisation politique ;
de même la présente invasion n'aurait pu
être tentée si les Allemands, dans les deux
derniers siècles, n'avaient appris des Fran-
çais à organiser et mouvoir de grandes ar-
mées, des Anglais à travailler le fer, à fa-
briquer les armes et toutes les machines
de la guerre moderne. Après avoir envoyé
en avant les philosophes, philologues, SCI.
vants, banquiers, marchands, espions et
jusqu'aux missionnaires du socialisme
marxiste, Guillaume II à la tête de mil-
lions de soldats donne l'assaut à la Fran-
.ce, colonne ei soutien de tout le monde oc-
cidental. Et — il serait puéril de le nier —
l'Occident tout entier, et l'Italie avec lui,
a vacillé quelques jours. Nous nous sau-
verons, mais seulement parce que l'Améri-
que est intervenue, à temps. Clemenceau
l'a dit et le grand conseil de guerre de
Versailles l'a confirmé. Si les Allemands
n'avaient pas provoqué l'Amérique, ils se-
raient aujourd'hui les maîtres du monde.
Sommes-nous donc moins intelligents,
moins actifs, moins courageux que nos en-
nemis ? Non ; mais nous avons été affai-
blis par nos discordes, discordes intérieu-
res de chaque peuple, discordes entre peu-
ple et peuple. Il ne suffit donc pas de dp-
mander aux Américains de faire vite et, en
attendant, de combattre infatigablement.
Il est nécessaire aussi de supprimer tout ce
qui, dans chaque pays, peut irriter les ci-
toyens les uns contre les autres et tout ce
qui peut alimenter défiance et antipathies
entre Alliés. L'ennemi compte sur nos dis-
cordes autant que sur ses canons. — (Gu-
glielmo Ferrero) Secolo. 8.6.
— On admet que le commandement fran-
çais s'est laissé surprendre par l'attaque du
Kronprinz ; le fait n'en reste pas moins
inexplicable. On pouvait s'attendre à une
attaque sur l'Ailette ; les critiques de l'En-
tente déclaraient que ce secteur se prêtait
admirablement à une future contre-offen-
sive ; comment s'étonner de ce que l'enne-
mi ait voulu rectifier le front de ce côté,
et transformer un rentrant en saillant ?
Peut-être a-t-on jugé ce projet trop simple,
s'est-on attendu à quelque combinaison
plus ingénieuse. On comprend mal. du
moins, que les Alliés n'aient pas été aver-
tis à temps de ce qui se préparait. Le plan
ennemi s'est-il complètement révélé ? Rap-
pelons-nous son offensive de 1914. Les Alle-
mands reprennent les opérations au point
où elles étaient restées après la défaite de
la Marne. En août 1914, tout le nord de la
France, y compris la zone côtière, était
abandonné à l'envahisseur. Il commit la
faute de ne pas en prendre possession. Son
aile droite ne dépassa pas Amiens. Si les
Allemands recommencent l'opération qui a
échoué une première fois, ils y apporteront
quelques variantes, pour éviter les incon-
vénients qui ont causé leur échec. L'erreur
de Moltke fut de ne pas penser à une con-
tre-offensive ennemie sur son flanc droit ;
il ne chercha pas à se couvrir de ce côté.
Ludendorff a tenté d'occuper Almiens; il n'y
a pas réussi ; cet échec peut influer sur le
reste de la manoeuvre ; mais il a disposé,
de la Flandre à l'Oise, cinq armées en face
des Anglais, et, de la sorte, a cru pouvoir
passer à la seconde partie de son program-
me, la poussée vers le Sud. On doit s'at-
tendre à une reprise de la bataille entre la
Somme et la mer ; mais la partie décisive
se joue dans la direction de Paris. Le re-
vers allemand de 1914 fut dû, en grande
partie, au retard de l'artillerie lourde. Cet
inconvénient ne peut être éliminé ; les Alle-
mands cherchent à le compenser en multi-
pliant l'artillerie légère qui accompagné les
troupes d'assaut. - Slampa. 8.6.
— Disons-le franchement : l'opinion pu-
blique des pays alliés n'a pas appris sans
une douloureuse stupeur, par les événe-
ments de la dernière bataille en France,
que la supériorité aérienne de l'Entente est
peut-être une phrase plus qu'un fait. Elle
comprend, d'autre part, que le énorme im-
portance ont dans la guerre moderne les
moyens mécaniques et — autre exemple —
ne voit pas sans étonnement que les Alle-
mands ont su tirer le meilleur parti de l'in-
vention anglaise des tanks tandis qu'il ne
semble pas que les Alliés aient fait grand'
chose pour perfectionner cette nouvelle
arme. En somme, on a l'impression que
sur ce terrain aussi, comme sur le terrain
diplomatique et dans toute la politique de
guerre, l'action des Alliés se développe à
travers des difficultés de forme et de fond,
suivant un rythme qui n'est pas adéquat au
cours fébrile de la guerre, alors qu'il est
bien clair que si l'on avait fait plus et
mieux, une écrasante supériorité de moyens
mécaniques pourrait compenser aujourd'hui
sur le front français l'infériorité du nom-
bre. Cette supériorité mécanique sera aussi
nécessaire, le jour où les armées alliées
s'augmenteront du concours américain. —
Corriere d'Italia, 9.6.
Presse suisse. — Le calme qui marque la
fin de chaque offensive s'est établi a nou-
veau. L'accumulation de forces adverses
est devenue si considérable que la question
se pose pour le commandement allemand de
ravoir s'il serait opportun d'engager entre
l'Aisne et la Marne une grande bataille fron-
tale. dont le succès même ne pourrait per
mettre qu'un lent refoulement des armées
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