Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 août 1922 24 août 1922
Description : 1922/08/24 (T21,N2135). 1922/08/24 (T21,N2135).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62171029
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
i MINISTÈRE
DE8
Maires ÉTRANGÈRES
N 0 2135
Jeudi 24 août 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article*
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PttESSE ALLEMANDE. - Le discours de
M. Poincaré au conseil général de la
Meuse (Vossische Zeitnng, Kölnische
Zeitunu). - Les expulsions d'Alsace-
Lorraine (H. von Gerlach dans \VeU am
montag).- Le voyage de M. Seipel a
Berlin (Deutsche Allgemeine Zeitung).
PRESSE AMÉIUCAINE. - Le contrôle des finan-
ces allemandes (World).
PRESSE ANGLAISE. - Le discours de M. Poin.
caré au conseil général de la Meuse
(Times, Morning Post, Daily Telegraph
Daily Chronicle). - Réparations et det-
tes interalliées : un plan français de
règlement (correspondance de Paris au
Daily News).
PRESSE ITALIENNE. - « L'Italie dans l'En-
tente » (Stalllpa). - Les troupes de
couleur sur le Rhin (F. Nitti dans
Paese).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE M. POINCARE
- CONSEIL GÉNÉRAL DE -la MEUSE (21 AOII)-
PRESSE ALLEMANDE. - « Nous ne sommes
8 'les Bismarck », a déclaré pathétique-
111 en 1, -P'oincaré dans son discoure de Bar. Il
ruisuu Pi"» qu'il ne croit. Si la France
hOll eu un Bismarck après la guerre, un
j 01uine d'une véritable autorité et pose -
dans une vue européenne de lIa. polItique,
r , 1 u,ne vue européenne ul- » r a
n'aurait, pas été aussi n-rémé-
diablement n' empoisonnée et une paix véri-
table eût, succédé à la gueire. Buroarcka
terminé la guerre de 1 :-)(j.(j de façon que
UHi lle (1evir»t Ralliée du vainqueur. Il a
,v'!s,° lu victoire de 1870 pour assurer une
ére de paix qUI 'Il duré plus longtemps et a
(,^re à Europe une période plus béante
~uc~e autre. Bismarck ne voulait que
cnr^sibl°, tandis que Clemenceau et Poin-
Pour- .cle'marident, sciemment l'impossible
oonl -tt0rnis^ la guerre. Le présent du
fli&rv? lançais est un grand orateur, qui
Q. C (e tous le,s t" Dimarie~lie, LI
a ernboucl tous les registres. Dimanche U
a ambouché la trompette des 'liléraut.s de
"ler - Apparemment sous a pres-
le ton Une force plus puissante, il a adopté
1rrne. ccurnodération au moins dans la
forme.Cette rhétorique sert peu. au monde.
nt ql"' les faits restent désastreux pour
nous il importe peu que le président du
conseil français assure qu'il ne veut pas de
conquêtes et qu'il est prêt à être juste en-
vers l'adversaire.
VOSSISCHE ZEITUNG, 22.8, matin.
— Sous le titre : « Un nouveau Poincaré?»
De Paris : Les considérations de la presse
parisienne sur le discours d'hier de Poin-
caré sont rédigées avec une prudence si
marquée qu'on est fortifié dans l'impression
que Poincaré a lui-même prémédité une ma-
nifestation de modération pour faire im-
pression de l'autre côté du détroit et ne pas
mettre en danger le maintien de l'Entente.
Par ailleurs : on voit dans les journaux que,
d'après le discours de Poincaré, un Etat qui
ne veut pas s'isoler ne peut être à la longue
gouverné par une politique purement néga-
tive. C'est vmrqu:oi il a insisté sur la
tie. jrjui^uvi — « -
« grande pensée » de son plan de règlement
qui n'a été mis au second plan que par la
note de Balfour. Mais, de quelque façon que
Poincaré interprète la note Balfour, elle per-
mettait de traiter la question des domma-
ges en liaison avec celle des dettes. Mais là
est le talon d'Achille de Poincare : il doit
montrer bientôt s'il souhaite une solution
pacifique de la question ou ne vise qu à réa-
liser ce que lui conseille l'Echo de Paris :
la mainmise politique et économique sur la
la .mèlIIIUIJ,::;.e I.1UIHl'--1~~ -- ---
Rhénanie et le contrôle de la Ruhr de façon
à ruiner l'industrie métallurgique allemande
ou à l'obliger à s'unir à l'industrie luxem
bourgo-lorraine. En somme, on peut con-
dure des journaux que Poincaré ne vou-
drait pas être impitoyable, mais qu'il faut
que ses alliés restent fermes. Il semble que
c'est le cas de la Belgique. Sans doute ce
serait aller trop loin que de déduire du dis-
cours d'hier la claire ligne d'une nouvelle
politique française dans le sens de la re-
construction européenne. Il peut , avoir re-
connu la vérité, mais il est gaie par son
passé, comme le dit l'Œuvre.
KOELNlSCHE ZEITUNG, 22.8, soir.
Presse angla.se. - Sous le titre : « La
ligne de moindre résistance ». — Ce qui mi
ponte réell3ement, dans un moment aussi
critique, n'est pas tant l'intention précise
d'un homme d'Iitat responsable que l'effet
possible de ses paroles. Nous craignons que
l'effet du discours de M. Poincaré ne soit
n; ~l A nC~
plutôt d'accentuer le désaccord officiel des
politiques française et britannique, qui s'est
manifesté récemment à la conférence de
Downing Street, que de préparer la voie à
l'acceptation de part et d'autre du projet de
règlement général dont la nécessité s'im-
pose. Si iuaies et si logiques qu aient été in-
contestablement un grand nombre de ses
arguments, M. Poincaré lui-même n'a guère
pu s'attendre que l'ensemble de son dis-
cours pût contribuer à rallier à son point
de vue l'opinion publique des alliés. Elle
provoquait pour ainsi dire une riposte po-
lémique riposte à laquelle nos hommes po-
litiques, espérons-le, auront la sagesse de
ne pas se livrer. Ils ne sont pas sans avoir
commis eux-mêmes l'erreur cardinale de
chercher ce qui semblait devoir être en An-
gleterre la ligne de moindre résistance,
sans en peser les conséquences possibles à
l'étranger. Et si le premier ministre fran-
çais leur a finit, maintenant l'honneur de
suivre leur exemple, ils feront bien, cepen-
dant, de réfléchir avant de lui rendre son
compliment. La simple vérité est qu'un dé-
saccord ouvert, entre la France et l'Angle-
terre doit nécessairement nuire aux intérêts
de l'un et l'autre pays et compromettre au
plus haut degré la stabilité de l'Europe et
du Proche Orient. Une politique d'isolement
n'est ni applicable, ni désirable pour la
Grande-Bretagne, et n'en déplaise aux écri-
vains français distingués qui envisagent
avec indifférence, pour ne pas dire avec
approbation, une politique française d'isole-
ment, nous pensons qu'en accentuant son
indépendance politique, la France s'expo-
serait à des dangers aussi réels pour elle
que pour nous. L'argument qui consiste à
dire que tôt ou tard les événements se char-
geront toujours de rapprocher à nouveau la
France et l'Angleterre, nous semble s'ins-
pirer plutôt d'une conception académique et
objective de l'histoire que de l'étude atten-
tive des réalités présentes.
Même si les hommes d'Etat anglais et
français-n'ont pas le courage de choisir dès
l'abord le sentier qui grimpe vers les som-
mets plutôt que la descente facile le long
de la ligne 'dei moindre résistance, leur sens
politique devrait les amener à faire entrer
en ligne de compte la reconnaissance que
leur voueraient les peuples alliés s'ils tra-
vaillaient ensemble à écarter des dangers
si imminents à l'heure actuelle qu'il semble
presque que l'on puisse les toucher du doigt.
Ils ne bénéficieraient que d'une bien faible
reconnaissance si le peuple français se
voyait à peu près isolé et obligé de suppor-
ter les charges que l'application de mesu-
res de coercition à l'égard de l'Allemagne
doit nécessairement impliquer en fin de
compte; ou si le peuple anglais s'apercevait
sur la tard que ses seuls collaborateurs ac-
tits en Europe étaient les bolcheviks et les
adversaires allemands de la France. Un
égoïsme bien compris pourrait peut-être
fournir un motif d'action concertée, tel que
jusqu'ici la simple prévoyance n'a pas
réussi à découvrir. La question est à vrai
dire si claire, les avantages de la concorde
sont si évidents. que nous nous refusons à
croire que les hommes d'Etat français et
DE8
Maires ÉTRANGÈRES
N 0 2135
Jeudi 24 août 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article*
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PttESSE ALLEMANDE. - Le discours de
M. Poincaré au conseil général de la
Meuse (Vossische Zeitnng, Kölnische
Zeitunu). - Les expulsions d'Alsace-
Lorraine (H. von Gerlach dans \VeU am
montag).- Le voyage de M. Seipel a
Berlin (Deutsche Allgemeine Zeitung).
PRESSE AMÉIUCAINE. - Le contrôle des finan-
ces allemandes (World).
PRESSE ANGLAISE. - Le discours de M. Poin.
caré au conseil général de la Meuse
(Times, Morning Post, Daily Telegraph
Daily Chronicle). - Réparations et det-
tes interalliées : un plan français de
règlement (correspondance de Paris au
Daily News).
PRESSE ITALIENNE. - « L'Italie dans l'En-
tente » (Stalllpa). - Les troupes de
couleur sur le Rhin (F. Nitti dans
Paese).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE M. POINCARE
- CONSEIL GÉNÉRAL DE -la MEUSE (21 AOII)-
PRESSE ALLEMANDE. - « Nous ne sommes
8 'les Bismarck », a déclaré pathétique-
111 en 1, -P'oincaré dans son discoure de Bar. Il
ruisuu Pi"» qu'il ne croit. Si la France
hOll eu un Bismarck après la guerre, un
j 01uine d'une véritable autorité et pose -
dans une vue européenne de lIa. polItique,
r , 1 u,ne vue européenne ul- » r a
n'aurait, pas été aussi n-rémé-
diablement n' empoisonnée et une paix véri-
table eût, succédé à la gueire. Buroarcka
terminé la guerre de 1 :-)(j.(j de façon que
UHi lle (1evir»t Ralliée du vainqueur. Il a
,v'!s,° lu victoire de 1870 pour assurer une
ére de paix qUI 'Il duré plus longtemps et a
(,^re à Europe une période plus béante
~uc~e autre. Bismarck ne voulait que
cnr^sibl°, tandis que Clemenceau et Poin-
Pour- .cle'marident, sciemment l'impossible
oonl -tt0rnis^ la guerre. Le présent du
fli&rv? lançais est un grand orateur, qui
Q. C (e tous le,s t" Dimarie~lie, LI
a ernboucl tous les registres. Dimanche U
a ambouché la trompette des 'liléraut.s de
"ler - Apparemment sous a pres-
le ton Une force plus puissante, il a adopté
1rrne. ccurnodération au moins dans la
forme.Cette rhétorique sert peu. au monde.
nt ql"' les faits restent désastreux pour
nous il importe peu que le président du
conseil français assure qu'il ne veut pas de
conquêtes et qu'il est prêt à être juste en-
vers l'adversaire.
VOSSISCHE ZEITUNG, 22.8, matin.
— Sous le titre : « Un nouveau Poincaré?»
De Paris : Les considérations de la presse
parisienne sur le discours d'hier de Poin-
caré sont rédigées avec une prudence si
marquée qu'on est fortifié dans l'impression
que Poincaré a lui-même prémédité une ma-
nifestation de modération pour faire im-
pression de l'autre côté du détroit et ne pas
mettre en danger le maintien de l'Entente.
Par ailleurs : on voit dans les journaux que,
d'après le discours de Poincaré, un Etat qui
ne veut pas s'isoler ne peut être à la longue
gouverné par une politique purement néga-
tive. C'est vmrqu:oi il a insisté sur la
tie. jrjui^uvi — « -
« grande pensée » de son plan de règlement
qui n'a été mis au second plan que par la
note de Balfour. Mais, de quelque façon que
Poincaré interprète la note Balfour, elle per-
mettait de traiter la question des domma-
ges en liaison avec celle des dettes. Mais là
est le talon d'Achille de Poincare : il doit
montrer bientôt s'il souhaite une solution
pacifique de la question ou ne vise qu à réa-
liser ce que lui conseille l'Echo de Paris :
la mainmise politique et économique sur la
la .mèlIIIUIJ,::;.e I.1UIHl'--1~~ -- ---
Rhénanie et le contrôle de la Ruhr de façon
à ruiner l'industrie métallurgique allemande
ou à l'obliger à s'unir à l'industrie luxem
bourgo-lorraine. En somme, on peut con-
dure des journaux que Poincaré ne vou-
drait pas être impitoyable, mais qu'il faut
que ses alliés restent fermes. Il semble que
c'est le cas de la Belgique. Sans doute ce
serait aller trop loin que de déduire du dis-
cours d'hier la claire ligne d'une nouvelle
politique française dans le sens de la re-
construction européenne. Il peut , avoir re-
connu la vérité, mais il est gaie par son
passé, comme le dit l'Œuvre.
KOELNlSCHE ZEITUNG, 22.8, soir.
Presse angla.se. - Sous le titre : « La
ligne de moindre résistance ». — Ce qui mi
ponte réell3ement, dans un moment aussi
critique, n'est pas tant l'intention précise
d'un homme d'Iitat responsable que l'effet
possible de ses paroles. Nous craignons que
l'effet du discours de M. Poincaré ne soit
n; ~l A nC~
plutôt d'accentuer le désaccord officiel des
politiques française et britannique, qui s'est
manifesté récemment à la conférence de
Downing Street, que de préparer la voie à
l'acceptation de part et d'autre du projet de
règlement général dont la nécessité s'im-
pose. Si iuaies et si logiques qu aient été in-
contestablement un grand nombre de ses
arguments, M. Poincaré lui-même n'a guère
pu s'attendre que l'ensemble de son dis-
cours pût contribuer à rallier à son point
de vue l'opinion publique des alliés. Elle
provoquait pour ainsi dire une riposte po-
lémique riposte à laquelle nos hommes po-
litiques, espérons-le, auront la sagesse de
ne pas se livrer. Ils ne sont pas sans avoir
commis eux-mêmes l'erreur cardinale de
chercher ce qui semblait devoir être en An-
gleterre la ligne de moindre résistance,
sans en peser les conséquences possibles à
l'étranger. Et si le premier ministre fran-
çais leur a finit, maintenant l'honneur de
suivre leur exemple, ils feront bien, cepen-
dant, de réfléchir avant de lui rendre son
compliment. La simple vérité est qu'un dé-
saccord ouvert, entre la France et l'Angle-
terre doit nécessairement nuire aux intérêts
de l'un et l'autre pays et compromettre au
plus haut degré la stabilité de l'Europe et
du Proche Orient. Une politique d'isolement
n'est ni applicable, ni désirable pour la
Grande-Bretagne, et n'en déplaise aux écri-
vains français distingués qui envisagent
avec indifférence, pour ne pas dire avec
approbation, une politique française d'isole-
ment, nous pensons qu'en accentuant son
indépendance politique, la France s'expo-
serait à des dangers aussi réels pour elle
que pour nous. L'argument qui consiste à
dire que tôt ou tard les événements se char-
geront toujours de rapprocher à nouveau la
France et l'Angleterre, nous semble s'ins-
pirer plutôt d'une conception académique et
objective de l'histoire que de l'étude atten-
tive des réalités présentes.
Même si les hommes d'Etat anglais et
français-n'ont pas le courage de choisir dès
l'abord le sentier qui grimpe vers les som-
mets plutôt que la descente facile le long
de la ligne 'dei moindre résistance, leur sens
politique devrait les amener à faire entrer
en ligne de compte la reconnaissance que
leur voueraient les peuples alliés s'ils tra-
vaillaient ensemble à écarter des dangers
si imminents à l'heure actuelle qu'il semble
presque que l'on puisse les toucher du doigt.
Ils ne bénéficieraient que d'une bien faible
reconnaissance si le peuple français se
voyait à peu près isolé et obligé de suppor-
ter les charges que l'application de mesu-
res de coercition à l'égard de l'Allemagne
doit nécessairement impliquer en fin de
compte; ou si le peuple anglais s'apercevait
sur la tard que ses seuls collaborateurs ac-
tits en Europe étaient les bolcheviks et les
adversaires allemands de la France. Un
égoïsme bien compris pourrait peut-être
fournir un motif d'action concertée, tel que
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