Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1869-09-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 15 septembre 1869 15 septembre 1869
Description : 1869/09/15 (Numéro 2449). 1869/09/15 (Numéro 2449).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k590500q
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
Le Petit Journal
tre que jamais je n 'ai été chez lui et que jamais
je n'ai envoyé personnes lui demander des docu-
ments.
J'étais donc plein d<* confiance dans mes pie-
ces. Cependant. les observations qui ont été faites
à Florence sur la lettre .de Galilée du 5 novem-
bre 1639, dont j'avais envoyés une photographie,
ont éveillé mon attention et ont commencé à
m'inspirer des craintes qui m'ont porté à certai-
nes retherches et à des mesures de précaution.
J'ai cru devoir même solliciter de M. le préfet de
police une surveillance assez active pour nous
mettre sur la trace du véritable dépôt des pièces
gui m'égaient vendues. Enfin, mes inquiétudes
'etant accrues, j'ai cru devoir adresser a M. le
préfet une demande d'arrestation du voleur; ce
qui a eu lieu.
Mais on n'a trouvé chez lui que quelques papiers
blancs provenant de registres, des plumes, un fla-
con d'encre et quelques fac-simile de 1:1 sog rapine,
quand J'avais espéré que l'on y trouverait la masse
des documents dont il ne m'avait livre que des
copies, et dont une partie m'était encore due.
Il a refusé d'abord de faire connaitre de qui il
tenait les documents qu'il me livrait, mais il a
déclaré ensuite que c'était lui qui les fabriquait.
M. le commissaire instructeur lui a demandé s'il
n'en aurait pas eu du comte de Menou en
Il a répondu « Une soixantaine, » ajoutant
qu'il avait aussi eu un résidu du cabinet de M.
Le Tellier; mais ce cabinet ne renfermait que
des pièces généalogiques qui ont été vendues sans
doute en 1860.
Il déclare donc qu'il a fabriqué depuis 1861
toutes les pièces, plus de 20,000 certainement,
qu'il m'a vendues. Il déclare aussi qu'il m'a
trompé depuis ce temps. Dès jors, on doit croire
qu'il peut tromper encore.
II trompe, eu etfet; car il a dû convenir, con-
trairement à sa première déclaration, qu'it avait
reçu des documents du comte de Menou, mort en
de plus, une note de lui, trouvée dans ses
papiers, porte qu'il a reçu de ce même comte de
Menou des documents précieux au nombre d'une
vingtaine de mille. Le possesseur n'avait pas en-
core eu le temps de bien Ips explorer; il les lui
avait cédés en échange de titres généalogiques et
de travaux exécutés pour lui.
Peut-on admettre, du reste, poursuit M. Chas-
les. qu'un seul individu aurait su composer seul
une masse aussi considérable de documents, sur
toutes sortes de sujets, quand surtout on ne trou-
ve chez lui aucun des matériaux primitifs des
livres, des fragments, des dessins qu'aurait exi-
gés cette fabrication.
Et cependant, les documents dont j'ai eu à en-
tretenir l'Académie ne sont qu'une partie de ceux
qu'il m'a livrés, et il y en a beaucoup d'autres
que je n'ai point eu à faire connaitre, parce que
je devais me renfermer dans la question scienti-
fique.
Voilà donc cette question Galilée-Newton
entrée dans une nouvelle phase.
En aurons-nous jamais le dernier mot?
ÉTRANGER
Le grand duc Nicolas, second frère de l'empe-
reur, vient d'échapper, comme par miracle, à un
3ffrovable accident.
Il revenaient d'Oranienbaum, quand a déraillé,
jrès da Pétersbourg, le train dans lequel il se
;rouvau. Le conducteur a été tué raide, et l'on
:ompte de nombreux blessés parmi les voyageurs.
Un grand malheur, dit la Gazette nationale,
i eu lieu mercredi soir au théâtre Victoria, à
3erlin.
Deux dames des chœurs, habillées en dames
ie la cour, s'étaient rendues au vestiaire pour
tjouter quelque chose à. leur toilette. Trouvant
lu'il r.e faisait pas assez clair, l'une d'elles al-
lùma un bec de gaz avec un morceau de papier
Iu'ella jeta derrière elle.
Les robes prirent feu immédiatement, et les
malheureuses demoiselles descendirent l'escalier
m courant, espérant trouver des secours sur la
scène. Ou parvint, en effet, à éteindre le feu,
niais elles étaient tellement brûlées, que l'une
d'elles est morte jeudi, et l'autre le lendemain.
On lit dans le Diario, de Barcelone, du 9
Anjourd'hui, l'on ne parle en ville que de ce
ui vient de se passer dans l'hôtel du comte de
1 OBLÏGATIONS Préc' Dern. VALEUR Ue™' SmS'T"' Moutons. lV?\.
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Il parait que des voleurs avaient connu le
projet d'assassiner le comte dan; se» appârte-
ments, après avoir pitlé le coffre-ion. Ils s'é-
taient introduits dans l'hôtel, et quatre d'entre
eux avaient pénétré dans la pièce qui précède
les appartements.
L'autorité prévenue et stationnant dans l'hôtel
les ayant sommés de se rendre, sur leur refus,
une lutte terrible commence.
Le majordome du comte a été tué au pied de
l'escalier; c'était lui qui avait introduit les vo-
leurs il avait été autrefois au service du comte.
Ses camarades et lui étaient armés de revolvers
et de poignards; ils ont été tués les armes à la
main.
Il est étonnant que dans la mêlée, où plusieurs
coups de feu ont été tirés,'les agents de l'autorité
n'aient pas eu un seul homme blessé.
Le comte de Penmver et sa famille ne se trou-
vaient pas dans l'hôtel, qui avait été laissé à la
discrétion absolue de la police, depuis que l'on
avait eu connaissance des projets de vol. Les ca-
davres ont été transportés à l'hôpital de Santa-
Cruz. On a constaté que les voleurs étaient des
hommes de bonne EEivie.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
LE TRIPLE I&MûMlf II
DE SAINT-GYR
j}a>ixiùnie Partie
XI
CIEL ET TERRE
IjS^oirginotte, en se laissant glisser, avait
fait le sacrifice de sa vie.
Dans .notre minute dernière, à la seconde
du suprême danger, tout ce quai nous fut
cher repasse devant nos yeux. Comme un
immense tableau, notre vie s'étale à nos
yeux avec toutes ses joies et to ;tes ses mi-
sères.
La pauvre Champie se voyait, pieds nus,
courant sur la route après la diligence, pour
avoir deux sous; elle se voyait enfant sans
mère, à la sortie de l'école, le soir, allant
apprendre la couture. Au temps des récol-
tes, elle se voyait, se levant par tous les
temps à l'aube et travaillait aux champs jus-
qu'au soir; puis, jeune fille enfin, devenue,
ouvrière, gagnant quinze sous par jour, de
six heures du matin à huit heures du soir.
elle voyait le bal du village, où elle allait
chaque dimanche. le jour où Joannon vio-
lenta sa simplicité naïve; elle se revoyait,
prenant encore pour de l'affection la honte
de sa faute. elle voyait enfin l'amour
vrai de sa vie, qui l'avait sauvée, puis per-
due. Elle aimait Petit-Pierre, il lui était
défendu de l'aimer, et comme elle voulait te-
nir le serment fait, elle s'était faite si mépri-
sable depuis ce jour, que jamais celui qu'elle
aimait ne voudrait d'elle. Qu'avait-elle
.donc à regretterdans cette vie qui, pour elle,
n'était faite que de misère ?. Rien.
Aussi, comme elle devait désirer la mort
lorsqu'elle arriva près la gouttière, dans
les deux secondes que ses doigts mirent à
glisser sur le zinc
Elle se cramponna l'instinct vital se ré-
veillait. Elle voulait vivre, même au prix
du sort qui lui était réservé par les hommes
qui la poursuivaient.
Pauvre fille, il était bien tard!
Les mains crispées sur la gouttière, qui
cédait sous son poids, la malheureuse cher-
chait à se soulever à la force des bras pour
s'accrocher aussi des dents; ses eflorts ne
faisaient qu'approcher la chute. Elle le
comprit et ne bongea plus.
Trois étages sous^ses pieds. c'était hor-
rible
Elle sentit une douleur à la hanche, com-
me si par mie fenêtre quelqu'un la frappait
Elle le crut et regarda. Aussitôt elle re-
prit courage.
Ce qui la frappait ainsi, c'était la branche
de l'arbre dout t le sommet couvrait le bord
du toit.
Une idée hardie lui vint; elle n'avait pas
le choix, la gouttière cédait inévitablement
sous son poids; elle n'avait assurément pas
deux minutes pouvoir s'y tenir.
Il fallait demander du secours et se livrer
ou, au risque de s'écraser au pied de la mai-
son, se jeter dans l'arbre.
La Bouginotte recommanda son âme à
Dieu, et, ne se tenant que d'une main, elle
saisit de l'autre la branche qui la blessait,
elle lâcha la gouttière
La branche, ployant, l'entraîna rapide.
La malheureuse se crut perdue, elle jeta
un cri terrible, qui alla geler les moelles des
trois misérables.
Le maître dit même
Elle s'est tuée. descendons.
La Bouginotte avait descendu ainsi pres-
que deux étages; elle avait ressenti une se-
c Hisse terrible, puis elle était tombée lente-
ment jusqu'à terre.
La secousse avait brisé la branche près du
tronc. et l'arbre s'écorchant doucement,
la pauvre fille avait été, pour dire juste, dé-
posée au pied de l'arbre.
Mais la malheureuse était en sang
Ses vêtements étaient haillonnés; les mille
petites branches qu'elle avait heurtées pen-
dant ces deux minutes l'avaient blessée, dé-
chirée, meurtrie.
Cependant elle vivait, et elle était valide.
Domptant ses souffrance, car elle com-
prenait qu'on l'allait vite rejoindre, elle se
redressa et courut tout d'une traite dans le
noir du parc. Bientôt elle atteignit la haie
vive qui servait de clôture; elle la franchit.
Entendant du bruit, elle écouta et regarda.
Le vent de décembre avait déshabillé les
arbres.
A travers le squelette du bois, elle vit les
quatre hommes avec lesquels elle avait soupé
le soir.
Celui qui s'était jeté sur elle portait un
candélabre.
Ils cherchèrent au pied de l'arbre.
Bouginotte comprit qu'elle n'avait pas de
temps à perdre pour leur échapper, elle cou-
rut à travers champs.
Après un grand quart d'heure de cette
course, elle s'arrêta, épuisée. Le petit jour
s'annonçait par une longue ligne grise dans
le ciel
Cependant, il faisait trop nuit encore pour
qu'elle pût se rendre compte de l'endroit où
elle était.
Attendre était imprudent.
A une lueur qu'elle vit d'un côté de l'ho-
rizon, elle pensa justement que là était
Effectivement, s'étant remise en marche,
elle se trouva bientôt sur la route de Cre-
mieu à Lyon. Une heure après, elle rencon-
trait une voiture vide elle héla le cocher et
moiua dans le fiacre. Là elle respira, enfin.
elle n'en pouvait plus.
Où allons-nous? dit le cocher.
A la préfecture, répondit-elle.
Comment! fit le cocher ébahi. à la
préfecture. mais c'est pas ouvert, à cette
heure-ci.
Il avait retourné sa lanterne pour voir si
sa cliente n'était pas une folle.
En la voyant échevelée, déchirée, san-
alite
Oh mon Dieu fit-il, on a donc voulu
vous assassiner?
Oui.
Ah mon Dieu. mais vous allez vous
trouver mal.
Non, dit la Bouginotte en arrachant
son corsage pour respirer; ça va mieux, j e-
touffais
Nous allons toujours réveiller un phar-
Tnacien
Non, non, c'est inutile. Menez-moi
chez moi.
Attendez! avant je vas vous donner
quelque chose.
Et le brave homme nrésenta une petitt
bouteille à la Ëouginottê; celle-ci but et fit
la grimace.
Ah! c'est rude, mais ça fait du bien.
Et pour le prouver, il en but lui-même
une gorgée. sans faire la grimace.
Bonne eau-de-vie, ça, allez!
OÙ sommes-nous, ici?. demanda la
Bouginotte.
Nous sommes au cours de Brosses.
-Ah! bien. Quelle heure est-il
Il est quatre heures et demie.
Bon, alors menez-moi chez moi,
Où allons-nous?
Rue Mercière.
Le cocher remonta sur son siége et la vôi
ture partit.
Aussitôt, un homme qui caché dans l'orfl-
bre d'une porte, avait observé toute cette
scène. et s'était penché pour mieux voir
lorsque le cocher avait tourné le rayon de sa
lanterne sur la Bouginotte, un homme, di-
sons-nous, courut après la voiture et s'assit
sur les ressorts de derrière.
(La suite à demain.) ALEXIS BOUVIER.
LiBRAlRIE BEAUX-ARTS AGRICULTURE
LE JOURNAL DE LECTURE
Voir dans notre numéro d'avant-hier la lidte
complèie des articles. contenus dans les seize
premières livraisons. La dix-septième vient de
paraître; on y trouve
De la Méthode DESCARTES.
Voyage imaginaire BéRANGER-
Eloge scttirique de Ro-
bespierre ElVAROIr
Un Ancêtre de Mirabeau GRIMM.
Mirabeau ses accusa-
teurs Mirabeau.'
Des Calomnies de la .1
Presse. LOUSTALOT
Discours sur les mesures
révolutionnaires. DANTON.
Le Comité de clémence Camille DES-
moulins.
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Appel au camp.
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bre 1639, dont j'avais envoyés une photographie,
ont éveillé mon attention et ont commencé à
m'inspirer des craintes qui m'ont porté à certai-
nes retherches et à des mesures de précaution.
J'ai cru devoir même solliciter de M. le préfet de
police une surveillance assez active pour nous
mettre sur la trace du véritable dépôt des pièces
gui m'égaient vendues. Enfin, mes inquiétudes
'etant accrues, j'ai cru devoir adresser a M. le
préfet une demande d'arrestation du voleur; ce
qui a eu lieu.
Mais on n'a trouvé chez lui que quelques papiers
blancs provenant de registres, des plumes, un fla-
con d'encre et quelques fac-simile de 1:1 sog rapine,
quand J'avais espéré que l'on y trouverait la masse
des documents dont il ne m'avait livre que des
copies, et dont une partie m'était encore due.
Il a refusé d'abord de faire connaitre de qui il
tenait les documents qu'il me livrait, mais il a
déclaré ensuite que c'était lui qui les fabriquait.
M. le commissaire instructeur lui a demandé s'il
n'en aurait pas eu du comte de Menou en
Il a répondu « Une soixantaine, » ajoutant
qu'il avait aussi eu un résidu du cabinet de M.
Le Tellier; mais ce cabinet ne renfermait que
des pièces généalogiques qui ont été vendues sans
doute en 1860.
Il déclare donc qu'il a fabriqué depuis 1861
toutes les pièces, plus de 20,000 certainement,
qu'il m'a vendues. Il déclare aussi qu'il m'a
trompé depuis ce temps. Dès jors, on doit croire
qu'il peut tromper encore.
II trompe, eu etfet; car il a dû convenir, con-
trairement à sa première déclaration, qu'it avait
reçu des documents du comte de Menou, mort en
de plus, une note de lui, trouvée dans ses
papiers, porte qu'il a reçu de ce même comte de
Menou des documents précieux au nombre d'une
vingtaine de mille. Le possesseur n'avait pas en-
core eu le temps de bien Ips explorer; il les lui
avait cédés en échange de titres généalogiques et
de travaux exécutés pour lui.
Peut-on admettre, du reste, poursuit M. Chas-
les. qu'un seul individu aurait su composer seul
une masse aussi considérable de documents, sur
toutes sortes de sujets, quand surtout on ne trou-
ve chez lui aucun des matériaux primitifs des
livres, des fragments, des dessins qu'aurait exi-
gés cette fabrication.
Et cependant, les documents dont j'ai eu à en-
tretenir l'Académie ne sont qu'une partie de ceux
qu'il m'a livrés, et il y en a beaucoup d'autres
que je n'ai point eu à faire connaitre, parce que
je devais me renfermer dans la question scienti-
fique.
Voilà donc cette question Galilée-Newton
entrée dans une nouvelle phase.
En aurons-nous jamais le dernier mot?
ÉTRANGER
Le grand duc Nicolas, second frère de l'empe-
reur, vient d'échapper, comme par miracle, à un
3ffrovable accident.
Il revenaient d'Oranienbaum, quand a déraillé,
jrès da Pétersbourg, le train dans lequel il se
;rouvau. Le conducteur a été tué raide, et l'on
:ompte de nombreux blessés parmi les voyageurs.
Un grand malheur, dit la Gazette nationale,
i eu lieu mercredi soir au théâtre Victoria, à
3erlin.
Deux dames des chœurs, habillées en dames
ie la cour, s'étaient rendues au vestiaire pour
tjouter quelque chose à. leur toilette. Trouvant
lu'il r.e faisait pas assez clair, l'une d'elles al-
lùma un bec de gaz avec un morceau de papier
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malheureuses demoiselles descendirent l'escalier
m courant, espérant trouver des secours sur la
scène. Ou parvint, en effet, à éteindre le feu,
niais elles étaient tellement brûlées, que l'une
d'elles est morte jeudi, et l'autre le lendemain.
On lit dans le Diario, de Barcelone, du 9
Anjourd'hui, l'on ne parle en ville que de ce
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Il parait que des voleurs avaient connu le
projet d'assassiner le comte dan; se» appârte-
ments, après avoir pitlé le coffre-ion. Ils s'é-
taient introduits dans l'hôtel, et quatre d'entre
eux avaient pénétré dans la pièce qui précède
les appartements.
L'autorité prévenue et stationnant dans l'hôtel
les ayant sommés de se rendre, sur leur refus,
une lutte terrible commence.
Le majordome du comte a été tué au pied de
l'escalier; c'était lui qui avait introduit les vo-
leurs il avait été autrefois au service du comte.
Ses camarades et lui étaient armés de revolvers
et de poignards; ils ont été tués les armes à la
main.
Il est étonnant que dans la mêlée, où plusieurs
coups de feu ont été tirés,'les agents de l'autorité
n'aient pas eu un seul homme blessé.
Le comte de Penmver et sa famille ne se trou-
vaient pas dans l'hôtel, qui avait été laissé à la
discrétion absolue de la police, depuis que l'on
avait eu connaissance des projets de vol. Les ca-
davres ont été transportés à l'hôpital de Santa-
Cruz. On a constaté que les voleurs étaient des
hommes de bonne EEivie.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
LE TRIPLE I&MûMlf II
DE SAINT-GYR
j}a>ixiùnie Partie
XI
CIEL ET TERRE
IjS^oirginotte, en se laissant glisser, avait
fait le sacrifice de sa vie.
Dans .notre minute dernière, à la seconde
du suprême danger, tout ce quai nous fut
cher repasse devant nos yeux. Comme un
immense tableau, notre vie s'étale à nos
yeux avec toutes ses joies et to ;tes ses mi-
sères.
La pauvre Champie se voyait, pieds nus,
courant sur la route après la diligence, pour
avoir deux sous; elle se voyait enfant sans
mère, à la sortie de l'école, le soir, allant
apprendre la couture. Au temps des récol-
tes, elle se voyait, se levant par tous les
temps à l'aube et travaillait aux champs jus-
qu'au soir; puis, jeune fille enfin, devenue,
ouvrière, gagnant quinze sous par jour, de
six heures du matin à huit heures du soir.
elle voyait le bal du village, où elle allait
chaque dimanche. le jour où Joannon vio-
lenta sa simplicité naïve; elle se revoyait,
prenant encore pour de l'affection la honte
de sa faute. elle voyait enfin l'amour
vrai de sa vie, qui l'avait sauvée, puis per-
due. Elle aimait Petit-Pierre, il lui était
défendu de l'aimer, et comme elle voulait te-
nir le serment fait, elle s'était faite si mépri-
sable depuis ce jour, que jamais celui qu'elle
aimait ne voudrait d'elle. Qu'avait-elle
.donc à regretterdans cette vie qui, pour elle,
n'était faite que de misère ?. Rien.
Aussi, comme elle devait désirer la mort
lorsqu'elle arriva près la gouttière, dans
les deux secondes que ses doigts mirent à
glisser sur le zinc
Elle se cramponna l'instinct vital se ré-
veillait. Elle voulait vivre, même au prix
du sort qui lui était réservé par les hommes
qui la poursuivaient.
Pauvre fille, il était bien tard!
Les mains crispées sur la gouttière, qui
cédait sous son poids, la malheureuse cher-
chait à se soulever à la force des bras pour
s'accrocher aussi des dents; ses eflorts ne
faisaient qu'approcher la chute. Elle le
comprit et ne bongea plus.
Trois étages sous^ses pieds. c'était hor-
rible
Elle sentit une douleur à la hanche, com-
me si par mie fenêtre quelqu'un la frappait
Elle le crut et regarda. Aussitôt elle re-
prit courage.
Ce qui la frappait ainsi, c'était la branche
de l'arbre dout t le sommet couvrait le bord
du toit.
Une idée hardie lui vint; elle n'avait pas
le choix, la gouttière cédait inévitablement
sous son poids; elle n'avait assurément pas
deux minutes pouvoir s'y tenir.
Il fallait demander du secours et se livrer
ou, au risque de s'écraser au pied de la mai-
son, se jeter dans l'arbre.
La Bouginotte recommanda son âme à
Dieu, et, ne se tenant que d'une main, elle
saisit de l'autre la branche qui la blessait,
elle lâcha la gouttière
La branche, ployant, l'entraîna rapide.
La malheureuse se crut perdue, elle jeta
un cri terrible, qui alla geler les moelles des
trois misérables.
Le maître dit même
Elle s'est tuée. descendons.
La Bouginotte avait descendu ainsi pres-
que deux étages; elle avait ressenti une se-
c Hisse terrible, puis elle était tombée lente-
ment jusqu'à terre.
La secousse avait brisé la branche près du
tronc. et l'arbre s'écorchant doucement,
la pauvre fille avait été, pour dire juste, dé-
posée au pied de l'arbre.
Mais la malheureuse était en sang
Ses vêtements étaient haillonnés; les mille
petites branches qu'elle avait heurtées pen-
dant ces deux minutes l'avaient blessée, dé-
chirée, meurtrie.
Cependant elle vivait, et elle était valide.
Domptant ses souffrance, car elle com-
prenait qu'on l'allait vite rejoindre, elle se
redressa et courut tout d'une traite dans le
noir du parc. Bientôt elle atteignit la haie
vive qui servait de clôture; elle la franchit.
Entendant du bruit, elle écouta et regarda.
Le vent de décembre avait déshabillé les
arbres.
A travers le squelette du bois, elle vit les
quatre hommes avec lesquels elle avait soupé
le soir.
Celui qui s'était jeté sur elle portait un
candélabre.
Ils cherchèrent au pied de l'arbre.
Bouginotte comprit qu'elle n'avait pas de
temps à perdre pour leur échapper, elle cou-
rut à travers champs.
Après un grand quart d'heure de cette
course, elle s'arrêta, épuisée. Le petit jour
s'annonçait par une longue ligne grise dans
le ciel
Cependant, il faisait trop nuit encore pour
qu'elle pût se rendre compte de l'endroit où
elle était.
Attendre était imprudent.
A une lueur qu'elle vit d'un côté de l'ho-
rizon, elle pensa justement que là était
Effectivement, s'étant remise en marche,
elle se trouva bientôt sur la route de Cre-
mieu à Lyon. Une heure après, elle rencon-
trait une voiture vide elle héla le cocher et
moiua dans le fiacre. Là elle respira, enfin.
elle n'en pouvait plus.
Où allons-nous? dit le cocher.
A la préfecture, répondit-elle.
Comment! fit le cocher ébahi. à la
préfecture. mais c'est pas ouvert, à cette
heure-ci.
Il avait retourné sa lanterne pour voir si
sa cliente n'était pas une folle.
En la voyant échevelée, déchirée, san-
alite
Oh mon Dieu fit-il, on a donc voulu
vous assassiner?
Oui.
Ah mon Dieu. mais vous allez vous
trouver mal.
Non, dit la Bouginotte en arrachant
son corsage pour respirer; ça va mieux, j e-
touffais
Nous allons toujours réveiller un phar-
Tnacien
Non, non, c'est inutile. Menez-moi
chez moi.
Attendez! avant je vas vous donner
quelque chose.
Et le brave homme nrésenta une petitt
bouteille à la Ëouginottê; celle-ci but et fit
la grimace.
Ah! c'est rude, mais ça fait du bien.
Et pour le prouver, il en but lui-même
une gorgée. sans faire la grimace.
Bonne eau-de-vie, ça, allez!
OÙ sommes-nous, ici?. demanda la
Bouginotte.
Nous sommes au cours de Brosses.
-Ah! bien. Quelle heure est-il
Il est quatre heures et demie.
Bon, alors menez-moi chez moi,
Où allons-nous?
Rue Mercière.
Le cocher remonta sur son siége et la vôi
ture partit.
Aussitôt, un homme qui caché dans l'orfl-
bre d'une porte, avait observé toute cette
scène. et s'était penché pour mieux voir
lorsque le cocher avait tourné le rayon de sa
lanterne sur la Bouginotte, un homme, di-
sons-nous, courut après la voiture et s'assit
sur les ressorts de derrière.
(La suite à demain.) ALEXIS BOUVIER.
LiBRAlRIE BEAUX-ARTS AGRICULTURE
LE JOURNAL DE LECTURE
Voir dans notre numéro d'avant-hier la lidte
complèie des articles. contenus dans les seize
premières livraisons. La dix-septième vient de
paraître; on y trouve
De la Méthode DESCARTES.
Voyage imaginaire BéRANGER-
Eloge scttirique de Ro-
bespierre ElVAROIr
Un Ancêtre de Mirabeau GRIMM.
Mirabeau ses accusa-
teurs Mirabeau.'
Des Calomnies de la .1
Presse. LOUSTALOT
Discours sur les mesures
révolutionnaires. DANTON.
Le Comité de clémence Camille DES-
moulins.
La Chute des Titans Quinault.
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