Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1867-01-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 29 janvier 1867 29 janvier 1867
Description : 1867/01/29 (Numéro 1450). 1867/01/29 (Numéro 1450).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k589540b
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
:i£
épouvantable Catastrophe
SUR LE
&egtea_ter le PasMon était à, sept milles & peu
très de Bâton-Rouge, sur le Mississipi, aux Etats-
d3nls, lorsqu'un violent incendie, causé par des
s-élincellesqui s'échappaient du tuyau de la chemi-
fSée, se déclara à son bord, où se trouvaient quatre
«cents passagers. Une quantité considérable de bal-,
Ses de coton, évaluée à 2,700, servit d'aliment
,,eu fléau destructeur. Les flammes s'élevaient avec
;»pe telle rapidité, que toute idée de s'en rendre mai-
Are aurait été insensée, et les passagersne durent plus
longer qu'à leur propre -salut par tous les moyens
.possibles en abandonnant le steamer à son mal
Jieureux sort. Une grande partie se composait de
̃aiègres, qui, à la vue de l'incendie, se jetèrent im-
;médiatement à l'eau et cherchèrent leur salut dans
'la faite niais on croit que peu, pour ne pas dire
aucun, ont été assez heureux pour atteindre le ri-
La scène que présentait le pont du navire était.
,des plus effroyables; on voyait les malheureux
avoués à la mort courir d'un bout du steamer à l'au-
:va, se bousculant, se renversant, poussant des cris-
'déchirants jusqu'à ce que, traqués dans leur der-
nier refuge ;par les flammes qui envahissaient tou-
jours, ils étaient obligés de se précipiter dans les
,,flots pour éviter les morsures brûlantes de Tincen-
Le pilote, Thomas Montagne, resta fidèle à son
le jusqu'à ce que les flammes l'en eussent cbas.
5é, et fut alors .forcé de se retirer à barrière mais
an ne l'a pas revu depuis.
M. Fairchild, le mécanicien, s'est tenu tout le
temps près de sa machine; mais, lorsqu'il a voulu
-%enter de fuir, il était trop tard, et il est mort en-
1ièrement brûté.; il en a été de même dU'contre-.
maître.
Le capitaine Pratt a réussi à sauver plusieurs da-
tues du Mississipi en les faisant entrér dans une
,petite chaloupe qu'il a conduite à bon port jusqu'à
Bâton Rouge, après des fatigues inouïes et 'un
'courage' qui ne s'est pas démenti un seul in-
Un matelot nommé Haslings a gagné la rive à la
¡ nage, Une femme a lancé ses trois enfants à la nage
et s'est précipitée après eux; elle et un de ses en-:
fauts ont pu être sauvés, mais les deux autres n'ont.
:pu être retrouvés.
Le nombre des victimes s'élève à plus de trois
cents.
Le steamer a brûlé encore longtemps à fleur
d'eau, puis s'est abîmé ensuite dans les flots, ne
«laissant comme trace de son .passage que des épa-
ïwes -et des cadavres ballottés.çà et là sur le fleuve
immense.
VARIÉTÉS
VARIÉTÉS
ME CRIME D'ORCIVAt
^Voir le Petit Journal depuis le 30 octobre.)
LXXXIX
Après un moment d'hésitation;
J'ai remis mon existence entre vos mains,
monsieur Lecoq, dit le père Plantat, je puis
;bien vous confier mon honneur. Je vous con-
;nais, je sais que, quoi qu'il arrive.
Je me tairai, vous avez ma parole.
Eh bien, le jour où j'ai surprisTrémorél
_ez Laurence, j'ai voulu changer en certitude
les soupçons que j'avais et j'ai brisé l'enveloppe
idela déposition de Sauvresy.
Et vou? ne vous en êtes pas servi?1
–J'étais épouvanté de mon abus de con-
fiance. Puis, avais-je le droit de ravir sa ven-
Pâte de térébenthme-au soleil (Ies4bques), F. 650»»
̃* Jouissance 22 sept. 1866. t 6.. 22. 21 saisondete.n» i, 21 à »» »»; brai clairsaison A ,hi-
̃ • 30.. obiiEations laenicaines Jouissance iuin-docemb.. lis -la 117 50 ver,nM, 20 »» a 2050; dito ai to ordinaire, »» »» a »r
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3M/2 Bons-dn Trésor. je. S 0/0 xo.. Société Autrichienne .c. 390.- 3f>7'50 c/mi||o Vmiuw ty-ilinn» un lirrripc AS
-̃?*•,̃ 3i 52 50 a »» »»; dito mi-larmes, 30 »» a »» »»; dito masse ot)
̃ Jouissance février-août..)).. 775.. 40.. saa-Antrichien Lombard Jouissance mai-novemb.. ic. 390.. 390.. 5o»»à »» »»; cUtoordinaire de four, 34 »» à »» »».
™. V. ̃ -1>««" JouSrxVjânviëHui.ieV.!?: W. Essence de ter ébeni hine.- Cours du marché, 80 fr.
M&fflS -«BéiUt fonder colonial le. Saragosse à Pampelune Joui.ssaaeejarnier-fuillet. c. 56 50 55.. On a vendu 25 pièces.
=5250 Crédit foncier de France.^ |C 1445.. 25.. Chemins de fer Romains;Jouissance avril-octobre, c; 96..
i. • Jouissanceianvier-juitlet.it. 14-V3 30.. saragosse. Jouissance janvier-juillet, c. ISS 138. Beurres et sa-nfa.– Vente a lacr lee du 2a janvier
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!5 Ouest. S
'.geanoe à ce malheureux. qui s'était laissé mou-
rir pour senœnger ?
Mais vous l'avez rendue à Mm0 de Trémo--
rel, cette dénonciation.
C'est vrai, mais Berthe avait un vague
pressentiment du sort qui lui était réservé.
Quinze jours à peu près avant le crime elle est
venue me confier le manuscrit de son mari,
qu'elle avait pris soin de compléter. Je de-vais
briser les cacbets et lire si elle venait à mou-,
rir de mort violente.
Gemment donc, monsieur lejuge de paix,
n'avez-vous pas parlé Pourquoi m'avoir laissé
chercher, hésiter, tâtonner.
J'aime Laurence, monsieur, et livrer Tré-
môrel c'était creuser entre elle et moi un
abtme. L'agent de la sûreté s'inclina.
Diabie 1 pensai t-il, it est fin, lé juge de
paixd'Orcival, aussi fin.,que moi. Eh bien je
t'a;me, et je vais lui donner un coup,d'épaule
auquel il ne s'attend pas.
Le père Plantât brûlait.d'interroger M. Lecoq,
de savoir de,lui quel était ce moyen unique
d'un succès relativement sûr qu'il avait irouvé
d'empêcher le procès et Se sauver Laurence. Il
n'osait.
L'agent de la sûreté était alors accoudé à son
bureau, le regard-perdu dans le vide. Il tenait
un crayon, et machinalement il traçait sur une
grande feuille de papier blanc des dessins fan-
Tout à coup il parut sortir de sa rêverie. Il
venait de résoudre une dernière difficulté son
plan désormais était entier, complet. Il regar-
da la pendule.
Deux heures! s'écria-4-41, et c'est entre
trois et quatre heures que j'ai donné rendez-.
vous à MmoCharman pour Jenny'Fancy.
Je suis à vos ordres, fit le juge de paix.
Fort bien. Seulement, comme après.Fancy
nous aurons à nous occuper de Trémorel, pre-
nons nos mesures pour en finir aujourd'hui.
Quoi vous espérez dès aujourd'hui me-
ner à bonne fin.
Certainement. C'est dans notre métier
surtout que la rapidité, est indispensable. Il
faut des mois souventpour rattraper une heure
perdue. Nous avons chance, en ce moment, de
gagner Hector en vitesse et de le surprendre
demain il serait trop tard. Ou nous l'aurons
dans vingt-quatre heures, ou nous devrons j
changer nos batteries. Chacun de mes trois
hommes a une voiture attelés d'un bon cheval.
-en une heure ils doivent avoir terminé léur
tournée chez les tapissiers. Si j'ai raisonné
'juste, d'ici aune heure, deux heures au plus,
nous aurons l'adresse et alors nous agirons.
Tout en parlant, il retirait d'un carton une
l'enille de papier timbrée à ses armes –? un coq j
chantant, avec la devise toujours vigilant, j
et rapidement il traçait quelques lignes.
Tenez, dit-il au père Plantat, voici ce quel
.j'écris à un de mes lieutenants
« Monsieur Job,
B 'Réunissez à l'instant même six ou huit de f
nos hommes, et allez à leur tête attendre mes
instructions chez le marchand de vin qui fait le
coin de la rue des Martyrs et de la rue Lamar-
tine. »
Pourquoi la-bas, et non ici, chez vous ?
C'est que nous avons intérêt, cher mon-
sieur,^ éviterlescourses inutiles. Là-bas,nous
sommes à deux pas de chez Mmo Charman et
tout près de la retraite de Trémorel, car le mi-
sérable a loué son appartement dans le quar-
tier de Notre-Dame-de-Lorette.
Le vieux juge de paix eut un geste de sur-
prise.
QUI Vous 6ùt Supposer cela? demanda-
L'agent de-la sûreté«ourit, comme si la ques-
1 ion -lui .eût semblé naïve.
Vous ne vous rappelez donc pas, mon-
sieur, répondit-il, que lenveloppe de la lettre
adressée par M"4 Courtois sa famille-pouran-
nanceriBon suicide 'portait ,le timbre de Paris,
bureau de la rue Saint-Lazare ? Or, écoutez
bien ceci En quittant la maison de sa tante,
M110 Laurence dû se rendre directement
,1'appartement loué et meublé par Trémorel,
dont il lui avait donné l'adresse et où il hiiavait
promis de la rejoindre le jeudi matin. C'est de
cet appartement qu'elle a écrit. Pouvons-nous
admettre qu'il lui soit venu à l'idée défaire
jeter sa lettre dans un autre quartier que le
sien ? C'est d'autant m'oins probable qu'elle
ignore quelles raisons terribles a son amant de
craindre des recherches et des poursuites. Hec-
tor a-t-il été assez prudent, assez prévoyant
pour lui indiquer cette ruse? Non, car s'il n'é-
tait pas un sot, il lui aurait recommandé de dé-
poser cette lettre ailleurs qu'à Paris. Donc, ils
est impossible que celte lettre n'ait pas été;por-
tée à un,bureau voisin de l'appartement.
Si simples étai nt ces réflexions que le père
Plantat s'étonnait de ne les point avoir laités,
Mais on .ne voit jam lis bien clair dans une af-:
faire où on estpuissamment intéressé la pas-
sion brouille les yeux comme la chaleur d'un
.appartement les lunettes. Avec son sang-froid,
il avait;perdu en partie sa perspicacité. Et son
trouble était immense; il lui semblait que M.
Lecoq prenait de singuliers moyens pour tenir
sa promesse.
Il me semble, monsieur, ne put-il s'em-
pêcher de-remarquer, que si vous désirez sous-,
traire Hector à la cour d'assises, les hommes
que vous réunissez vous embarrasseront bien
plus qu'ils ne vous seront utiles.
La suite à demain. émile gabouuuu.
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épouvantable Catastrophe
SUR LE
&egtea_ter le PasMon était à, sept milles & peu
très de Bâton-Rouge, sur le Mississipi, aux Etats-
d3nls, lorsqu'un violent incendie, causé par des
s-élincellesqui s'échappaient du tuyau de la chemi-
fSée, se déclara à son bord, où se trouvaient quatre
«cents passagers. Une quantité considérable de bal-,
Ses de coton, évaluée à 2,700, servit d'aliment
,,eu fléau destructeur. Les flammes s'élevaient avec
;»pe telle rapidité, que toute idée de s'en rendre mai-
Are aurait été insensée, et les passagersne durent plus
longer qu'à leur propre -salut par tous les moyens
.possibles en abandonnant le steamer à son mal
Jieureux sort. Une grande partie se composait de
̃aiègres, qui, à la vue de l'incendie, se jetèrent im-
;médiatement à l'eau et cherchèrent leur salut dans
'la faite niais on croit que peu, pour ne pas dire
aucun, ont été assez heureux pour atteindre le ri-
La scène que présentait le pont du navire était.
,des plus effroyables; on voyait les malheureux
avoués à la mort courir d'un bout du steamer à l'au-
:va, se bousculant, se renversant, poussant des cris-
'déchirants jusqu'à ce que, traqués dans leur der-
nier refuge ;par les flammes qui envahissaient tou-
jours, ils étaient obligés de se précipiter dans les
,,flots pour éviter les morsures brûlantes de Tincen-
Le pilote, Thomas Montagne, resta fidèle à son
le jusqu'à ce que les flammes l'en eussent cbas.
5é, et fut alors .forcé de se retirer à barrière mais
an ne l'a pas revu depuis.
M. Fairchild, le mécanicien, s'est tenu tout le
temps près de sa machine; mais, lorsqu'il a voulu
-%enter de fuir, il était trop tard, et il est mort en-
1ièrement brûté.; il en a été de même dU'contre-.
maître.
Le capitaine Pratt a réussi à sauver plusieurs da-
tues du Mississipi en les faisant entrér dans une
,petite chaloupe qu'il a conduite à bon port jusqu'à
Bâton Rouge, après des fatigues inouïes et 'un
'courage' qui ne s'est pas démenti un seul in-
Un matelot nommé Haslings a gagné la rive à la
¡ nage, Une femme a lancé ses trois enfants à la nage
et s'est précipitée après eux; elle et un de ses en-:
fauts ont pu être sauvés, mais les deux autres n'ont.
:pu être retrouvés.
Le nombre des victimes s'élève à plus de trois
cents.
Le steamer a brûlé encore longtemps à fleur
d'eau, puis s'est abîmé ensuite dans les flots, ne
«laissant comme trace de son .passage que des épa-
ïwes -et des cadavres ballottés.çà et là sur le fleuve
immense.
VARIÉTÉS
VARIÉTÉS
ME CRIME D'ORCIVAt
^Voir le Petit Journal depuis le 30 octobre.)
LXXXIX
Après un moment d'hésitation;
J'ai remis mon existence entre vos mains,
monsieur Lecoq, dit le père Plantat, je puis
;bien vous confier mon honneur. Je vous con-
;nais, je sais que, quoi qu'il arrive.
Je me tairai, vous avez ma parole.
Eh bien, le jour où j'ai surprisTrémorél
_ez Laurence, j'ai voulu changer en certitude
les soupçons que j'avais et j'ai brisé l'enveloppe
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Et vou? ne vous en êtes pas servi?1
–J'étais épouvanté de mon abus de con-
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̃ • 30.. obiiEations laenicaines Jouissance iuin-docemb.. lis -la 117 50 ver,nM, 20 »» a 2050; dito ai to ordinaire, »» »» a »r
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-̃?*•,̃ 3i 52 50 a »» »»; dito mi-larmes, 30 »» a »» »»; dito masse ot)
̃ Jouissance février-août..)).. 775.. 40.. saa-Antrichien Lombard Jouissance mai-novemb.. ic. 390.. 390.. 5o»»à »» »»; cUtoordinaire de four, 34 »» à »» »».
™. V. ̃ -1>««" JouSrxVjânviëHui.ieV.!?: W. Essence de ter ébeni hine.- Cours du marché, 80 fr.
M&fflS -«BéiUt fonder colonial le. Saragosse à Pampelune Joui.ssaaeejarnier-fuillet. c. 56 50 55.. On a vendu 25 pièces.
=5250 Crédit foncier de France.^ |C 1445.. 25.. Chemins de fer Romains;Jouissance avril-octobre, c; 96..
i. • Jouissanceianvier-juitlet.it. 14-V3 30.. saragosse. Jouissance janvier-juillet, c. ISS 138. Beurres et sa-nfa.– Vente a lacr lee du 2a janvier
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!5 Ouest. S
'.geanoe à ce malheureux. qui s'était laissé mou-
rir pour senœnger ?
Mais vous l'avez rendue à Mm0 de Trémo--
rel, cette dénonciation.
C'est vrai, mais Berthe avait un vague
pressentiment du sort qui lui était réservé.
Quinze jours à peu près avant le crime elle est
venue me confier le manuscrit de son mari,
qu'elle avait pris soin de compléter. Je de-vais
briser les cacbets et lire si elle venait à mou-,
rir de mort violente.
Gemment donc, monsieur lejuge de paix,
n'avez-vous pas parlé Pourquoi m'avoir laissé
chercher, hésiter, tâtonner.
J'aime Laurence, monsieur, et livrer Tré-
môrel c'était creuser entre elle et moi un
abtme. L'agent de la sûreté s'inclina.
Diabie 1 pensai t-il, it est fin, lé juge de
paixd'Orcival, aussi fin.,que moi. Eh bien je
t'a;me, et je vais lui donner un coup,d'épaule
auquel il ne s'attend pas.
Le père Plantât brûlait.d'interroger M. Lecoq,
de savoir de,lui quel était ce moyen unique
d'un succès relativement sûr qu'il avait irouvé
d'empêcher le procès et Se sauver Laurence. Il
n'osait.
L'agent de la sûreté était alors accoudé à son
bureau, le regard-perdu dans le vide. Il tenait
un crayon, et machinalement il traçait sur une
grande feuille de papier blanc des dessins fan-
Tout à coup il parut sortir de sa rêverie. Il
venait de résoudre une dernière difficulté son
plan désormais était entier, complet. Il regar-
da la pendule.
Deux heures! s'écria-4-41, et c'est entre
trois et quatre heures que j'ai donné rendez-.
vous à MmoCharman pour Jenny'Fancy.
Je suis à vos ordres, fit le juge de paix.
Fort bien. Seulement, comme après.Fancy
nous aurons à nous occuper de Trémorel, pre-
nons nos mesures pour en finir aujourd'hui.
Quoi vous espérez dès aujourd'hui me-
ner à bonne fin.
Certainement. C'est dans notre métier
surtout que la rapidité, est indispensable. Il
faut des mois souventpour rattraper une heure
perdue. Nous avons chance, en ce moment, de
gagner Hector en vitesse et de le surprendre
demain il serait trop tard. Ou nous l'aurons
dans vingt-quatre heures, ou nous devrons j
changer nos batteries. Chacun de mes trois
hommes a une voiture attelés d'un bon cheval.
-en une heure ils doivent avoir terminé léur
tournée chez les tapissiers. Si j'ai raisonné
'juste, d'ici aune heure, deux heures au plus,
nous aurons l'adresse et alors nous agirons.
Tout en parlant, il retirait d'un carton une
l'enille de papier timbrée à ses armes –? un coq j
chantant, avec la devise toujours vigilant, j
et rapidement il traçait quelques lignes.
Tenez, dit-il au père Plantat, voici ce quel
.j'écris à un de mes lieutenants
« Monsieur Job,
B 'Réunissez à l'instant même six ou huit de f
nos hommes, et allez à leur tête attendre mes
instructions chez le marchand de vin qui fait le
coin de la rue des Martyrs et de la rue Lamar-
tine. »
Pourquoi la-bas, et non ici, chez vous ?
C'est que nous avons intérêt, cher mon-
sieur,^ éviterlescourses inutiles. Là-bas,nous
sommes à deux pas de chez Mmo Charman et
tout près de la retraite de Trémorel, car le mi-
sérable a loué son appartement dans le quar-
tier de Notre-Dame-de-Lorette.
Le vieux juge de paix eut un geste de sur-
prise.
QUI Vous 6ùt Supposer cela? demanda-
L'agent de-la sûreté«ourit, comme si la ques-
1 ion -lui .eût semblé naïve.
Vous ne vous rappelez donc pas, mon-
sieur, répondit-il, que lenveloppe de la lettre
adressée par M"4 Courtois sa famille-pouran-
nanceriBon suicide 'portait ,le timbre de Paris,
bureau de la rue Saint-Lazare ? Or, écoutez
bien ceci En quittant la maison de sa tante,
M110 Laurence dû se rendre directement
,1'appartement loué et meublé par Trémorel,
dont il lui avait donné l'adresse et où il hiiavait
promis de la rejoindre le jeudi matin. C'est de
cet appartement qu'elle a écrit. Pouvons-nous
admettre qu'il lui soit venu à l'idée défaire
jeter sa lettre dans un autre quartier que le
sien ? C'est d'autant m'oins probable qu'elle
ignore quelles raisons terribles a son amant de
craindre des recherches et des poursuites. Hec-
tor a-t-il été assez prudent, assez prévoyant
pour lui indiquer cette ruse? Non, car s'il n'é-
tait pas un sot, il lui aurait recommandé de dé-
poser cette lettre ailleurs qu'à Paris. Donc, ils
est impossible que celte lettre n'ait pas été;por-
tée à un,bureau voisin de l'appartement.
Si simples étai nt ces réflexions que le père
Plantat s'étonnait de ne les point avoir laités,
Mais on .ne voit jam lis bien clair dans une af-:
faire où on estpuissamment intéressé la pas-
sion brouille les yeux comme la chaleur d'un
.appartement les lunettes. Avec son sang-froid,
il avait;perdu en partie sa perspicacité. Et son
trouble était immense; il lui semblait que M.
Lecoq prenait de singuliers moyens pour tenir
sa promesse.
Il me semble, monsieur, ne put-il s'em-
pêcher de-remarquer, que si vous désirez sous-,
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