LE PETIT JOURNAL
tes «i • -s appartenant an gérant actuel.
L-.i it aiinritlcit^ourcte M. dé Trenqùnl-
̃ Me,i'i il Kit de faire disparaître tout ce qui
poi'v recula pas
dc^'Lit: j\ autorités chinoises, il- a. fait les a-
Yeux • 'us complets, et il vient d'ètroicon-
-daniii '«.i t. On attend 1» ratification i topé-
riaîe un exemple*,
.la >><* r» dernière, son grand bal denuitsur !a
Néva. i 'uxe accoutumé de ce genre de fête s'a-
mérite d'ê-
tre ni. iiieo An milieu de l'enceinte
•aux p i i\ s'élevait un magnifique pavillon
-coiis >ni enlace, dont lesp iwurs avaient' de
quatre • iq 'nôtres d'épaisseur; Tintértatnr en é-
taitsi ii i ment illuminé, et cela faisait véHUî-
bler v- ii l d'un.palais de cristal.
Ci' un n était cependant qu'nne faillie irni-
tatrm, .«moux palais de glace bâti en 1740 dans
les • c- militions,. ibbïs dansndes proportions
véiM *nl 1 grandioses.
A 1 < a, se trouvaient deux*ca noms en glace a^
tpcLvi lt» ontira'Plusieursfoisiàbouet.
mais celle d» Vé-
suve, Ci iHQcée depuis quelques jours, augmente.
Aucun (i' riiiKigftn'a été signalé jusqu'ici.
C'"p'i ^'l'-t la lave, qui s'écoulesar nne seconde
îorioiî' j. ̃iiu- refroidie, menace êïTRf villages.
A C-V-, près de t'Btn», le préfiit a* f«it épuiser
les pini» :̃• U's citernes de la ville: i*L'expéri«mce.a
appris r 'fauter l'eUet terrible du contact.de le
iave et ic eau dans les endroits ressurrés.
La d') r '.le de Messin* rassure ses lecteurs en leur
«nnoii'-iia qu'on était empressé, de vider tous Jès'
^Uits de \¡'posta, que la lave, en s'y précipitant.
»ût «e^ta, îeinuntfait éclater s'ils avaient été rem-
!»lis.d\»au
tflBIÉÏÉS
UNE AFFAIRE D'OR
HISTOIRE CALIFORNIENS!.
(Voit tei'eltt Journal du 14 au 19 février j
':̃̃ Mon »5ïn11 était'toujours incliné
Je )',h;- Ini. même silotice!
Je me Hasardai enfin 'à le tirer par le br.is.
Hais orjis, cédant à mon attpaetionvretpm-
ba Ion.? et, inertesur>Jeplaneher dans-urne lar-
hï-:v iivsiKiç;.
Hor; .;̃̃! y était mort.
Sari' .iwi'e. le < pauvre* Anglais s'était relevé
'rop lût i-i t'uoe des dernières balles, uae telle
;ué rai ̃•:
Au i ri que je poussai^ deux garçons accotkru-
?en}-
D'un record, ils comprirent cet qui venait de
ie rom.er le cadavre pour lui prodiguerquel-
̃ques •;̃;̃ ':s. s'il en- était temps»encore, ou, tout
au Il! curie mettre ensûreté?.
]}('̃• fiez-vous!
lls !s rirent, [hm par la tôle, l'autre par* les
s pieds, sanspiiis'da cérémonie, le jetèrent au
Jjean ,">eu
pu; u'vnme S'il ne se "fût rien passé que
d'onti et de fort naturel, le eoncertrecorn-
.mèn(; i ̃̃{ cii.nu!* reprit-son occupation mornen-
tané î> partie i> cirlés oud'éehecstcrui enfin sa con-
versaa. sur les spéculations du -lendemain.
Ou- ,u Mexicain- -et .-air Yank«»e, tout en
s'olji » '̃- ;;ïîf à distance, ils s'étaient remis, J'un'
à savo' -H' 'a musique, l'autre à rouler entre ses
cigarette.
Pour uioi, féfttis si atterrée si stupéfait de ce
que ) vf.iais de voir, que, sur le pretnicr mo-
iment, k* ne: pustroUver ua seulmotipour expri-
mer wif»i indignation.
EbIîïï !m raison revenant
Vec f;;i.jc me levais eldîunboDd jesautaiidaps
la >rne.
i Le ccT-ps de myiord Cire était>touioupslà,san-
gîant, d^uiiïrô, exposé à être foulé aux pieds
par reiie, îiideusè population qui grouille au2.
beur-es, .aïK-tiirass autourides xnaisonsde jeu.
Mfjiit i'ouiis là Je ne pouvais permettre un tel
sacnk-cic une tel'le profanation. moi,>cme cet
-honmi^ avait, quelques minutes auparavant,
̃straiw V' ."Minie un auii,. moi qui avais misons
,'inaiu tiaus sa «uiinl
Je isoia us à mon hôtelcbercher quelqu'uniqui
voulu-! i;)';nrier à l'emporter, à l'ensevelir.
Au tout d'une demi-heune, j'étais deirelour
avec chmx hommes.
tt.^ Maigre {'obscurité êe .la ~nuit,.cac toutes les
maisons de la place étaientmaintenant fermées
je guidai nies compagnons vers l'endroit où a-
;vais lal-.sé !e corps..
t Hél;isl nous feûaies beau chercher,' «os efforts
pour le retrouver demeurèrent infructueux.
Le cadavre avait disparu
Le Jemli'main, bien décidé m'enquérir :par
îoûs les ¡¡!yens possibles de ce qu'était deve»u
je corç-s .JtMiion malheureux ami, je m'achemi-
aai tristeiuent vers Wasliington-street.
•* A itïoï) grand étonnement, je trouvai la rue
tellejircnt encombrée de monde, 'qu'il «e me fut
pas rme rùsi.-ner à prendre place à la queue qui on-
dulait ;<.• le long de !a voie publique, en avan-
çaii» pjs à ptis comme s'it se fût agi d'entrer au
-théâtre.
Etran -2fi théâtre, bêlas I que celui où j'étais
porté p r le reiflux'dë la foule, mais plus étran-
ge encore et plus infâme mille fois le spectacle'
•qui m'y MU'h'dait!
j Qu'y a-t-il donc? aVait-ie essayédedé-
•̃ftiander aux personnes qui m'entouraient.
1 Nous ne savons pas, m'avaU-on répondu:
Quelque, loftur (l),sans doute, 'qui' fait des* sien-
;aesl.
{i} Ce nmt.que nous écrivons à dessein tel qu'on
le pvonti'-cp. servait en Californie à désigner tout.
tes passaient leur temps à boire, àse
aueretier et à jouer du revolver.
Mes voisins n'en savaient pas plus que moi.
Au bout d'une deniiriheure qui me parut un
siècle, je pus enfin .découvrir- la place et aper-
cçyoir la maison qui servait. de. point de mire à
la. -curiosité générale.
Cette maison, attenante à la. Relia Union, ë-
tait cellç d'un marchandée cigares. un?Yan-
Jiee aussi, (;elui-làJ.
Taadisquë je mecreusais.cn vain latéte pour
tâcher de deviner le. mystère que -fêtais' appelé,
à approfondir, mon tour arriva.
Je gravis lentement tes deux degrés de pierre
qui coh/fuisaient à \9 boutique de l'Ani! rfesin.
Mais à peine j'eus mislepiad sur la dernière
nMirebe, que je poiissai!un cri d'hoi'revr et fail-
ta renverse.
L'homme que j'avais fâ.devant.moi. dans
Je comptoir. étendue? sur une
vitrine pleine de oigares. entièrement habillé
de noM', sauf le couqu'étreignait un faux-col
la Yankee.c'était mon pauvre ami, c'était my-
lordCirel.
{La fin à demain) robert utenke.
̃̃̃'̃'[ âGEICyLiTURE
VIEILTJB.UJNE -ET. LKBœ KOTI V^LLE
Au risque d'être fort préju-
gé et de me faire-passer pour un conteur de
sornettes, jecommeiteepar déclarer que je ne
crois pas du tout àlUnDuencede la lunesur k<
le
moins du monde.
Qu'aile ail cet retendre, cet âge sans pi-
tié, «peu favorable aurespeot du bien ci'au-
ti-ui elle nous apparaisse
dans sa, plénitude sphérique, ou que,- décrois-
saut, e! coure, il petites nuits, vers sa période
de vieillesse pourse voiler iiienlôt a nos regards.
l'eu m'importe 1 Et si j'avais faire dessémi-
ou des repiquages de choux,' de laitues, d'o-
gnons; de scorsonères, etc, je laisserais la lurx
parfiiitemenl tranquille et ne m'inquiéterais que
de l'élut- du soi et des conditions atmosphéri-
ques.
Je sais bien. -pourtant, ce que l'on dit.! On
préteod, par exemple, que la lune nouTeile: es
coniiMiire à tout. ce qui doit fournir de belles
racines, de belles feuit les formant pommes et de
bonnes graines; qu'elle aicie à -l'emporlcinani
îles pLintes, trtndis que ta pleiuejuîio ou Ja lune
au décours sont, au -conirairo^très favorables il
la fructification. Et on ne dit pns cela ni d1'au-
jourd'luii, ni d'hier, ni d'avunt-hier; ces accu-
sations semblent être vieilles comme le inonde.
Ce n'est pas aussi sans être -parfaituineni
avoir consulté l'expérience de.-
matîresen agriculture, que je m'avance pour
coinbiil-ire Hn-'préju^'ed'un âyç si respectable.
-Je sais trop ce que l'on doit la routine.
Voici ce qu'a écrit Olivier de Serres sur ce
sujet:
u8 tën plusieurs choses de tné-
¡)age se font en la nouvelle lune, lesMuélles, en
Languedoc, l'on n'oseroit esitrcpreodre qu'en 1;,
vieille. Par exemple, les auix (l'ail; en France
sont semés, pour les faire en la nou-
velle lune, et, pour la môme caiibp, en Lnnj^ue-
doc et Provence,' en la vieiMe, iù si
on veut dire que la liiversii-é des climats, dis-
titnls entre telles provinces de trois à quatre
degrés, cause telle différence, "l'on ne sçaii. que'
respondre sur ceciv que les jardiniers d'Avi-
Huon et ceux des Nisnica, quoique sûus mesme
climat, ne sont pas du tout d'accord -ensemble
faisait heureusement lésons eu' ums lune, ce
.que de inesme tes autres font en une autre.
Les uns tiennent la nouvelle lune propre pHtir
usiiito" îa nouvelle viîi-ne et jftsauues la -vieilli":»
LaQuinlinie, le célëôre.iardiiijerdc Louis XIV.
eoeore plus-explicite iju'Oiivier de Seires,ccri-
va il, en se moquant des jardiniers de son épe-
u Une autre espèce d ignorants sont ceux qui
ne sauroient dire trois pat-oies de leur meuer
sans y laèlër la pleine lune et'ie décours, pre-
teiîdant, et n'en, sachant pourtant aucune rai-
snn,iiue c'est une observation aiçolunieut -né-
cessaire pour le succès de tout le jardinage. ils
croient, ces bonnes gens, nous per.u.der par
de tels mots qu'ils, à point nommé tous
les mystères de l'art; si bien que quune ifurté présomp'-ii'usp, ils utirout avancé en
teur jargonque tout «endrwii pone.déeours.'que
la jour du grand vendredi est infaillible et pousv
sentences, et pour les greffes, et pour le plaql,;
et pour la taille, etc., ils l'l'étendent qu'on sera
trop Heureux de les avoir pour jardiniers. »
Enfin, voici venir un de nos maîtres moder-
nes, îl. Joicneaux.
M. J.oigneau^, dont tout le monde ^connaît le'
talent d'écrivain, dent la science profoiKle et
étendue n'a pour rivale que (le ses
recherchas, aeu à fc prononcer à sun tour suj'
cette question toufeJdo préjugés.
Un de ses abonnes au Journal de, fa Ferme et
a fai.
paraître depuis peu, pour continuer l'œuvre'
grandiose du Livre de ta 7''çrmt (lj, lui a corn-,
uiurii(]ué les deux obsèrvalion'ssuiyjuites, en le
priant d'y répondre
M.-Joignftaux, j'ai semé deux rangs d'ail l'un
en nouvelle lune et t'autre en vieille; tes deux
1 rangs ont également bien profité, ci t'un n'y
pouvait remarquer la moindre ditleiençe. Lors-
que la saison de l'arracher est arrivée, j'ai tmu-
•v« ies tètes également benes'a |!l'ail sente eiiiiouveMeluiie avait lus groins ex-
trf'mement ptitiis.tMtidiS que l'autre lesavait
>très gros. Voilà1 (jour un.
» J'ai fait tailler un rang de rignes en ndu-
veilëlune et'lés autres en vieille iieil réduite
que ce rang. atosi vigoureux que les ;iuue,s,
n'avait que très peu de raisins, ̃ tandis qiw ses
voisins eo étaient chargés I Que conclure de tout,
cela? »
« Avant de nous prononcer d.'sns cette ques-
tion délioate, répond M. JoiguenuK, iuius avons
cru devoir nous livrerpendant plusieurs années
Librairie du Petit Journal.
consécutives adesessais comparatifs dans la
oui). une des jégumes. Or il resulite pour, nous de
ces essais, faits avec soin que la lune, crois-
sante ou décroissante, n'a aucune inituence ap-
préciable sur la végétation. e
En ce qui touche les légumes, la question est
donc parfaitement élucidée, il né reste plus que
̃l'expérience Sur -la vi'gne, et voici ôemaMQt f»
répond le, savant écrivain:
-«Dansinion village, il est «imis que-le^vi-»
gnes de deux trois ans doivent être, ta iFU*»
-inendani la nouvelle lune de, mars,. et que si l'on'
,tendait la vieille lun«-, el'es pousseraient
moins de bois. C'est juste; seulement on voudra-
bien remarquer que l«lune n'est pourriëçrdans
cette affaire Si on les teillaIt dufè-nl la pleine
lune de février, en aurait vr-aMembtablement
nouvelle lunede mars.
» il. est reconnu, ;.pour, la vigne. scomme pour
tous les arbres fruitiers, que tes amputation»
faites de bonne heure favorisent la végétation
et poussent au bois, tandis que tes amputations
tardives, au moment' où la sève s'agite, fati-
vguent les plantes, reculent la. végétation et fa-
vorisent la fructilicttipn aux bois.
.C'est pou i cela qu'on commence toujours la
taille des arbres. fruitiers par les .sujets -vieux
ou faibles, et qu'on leterminepai le» sujet? vi-
goureux et diflioiles Il donipler. Ce sont 1¡¡,de.!
questions de dates, non des questions de luiae.
» Ce qui nous étonne dans la lettre de notre
estimable correspondant.' 'ajoulo en fin M.-Joi-
gneau'X.cen'e.st-pasd-'apprendre que Son'rang
de vignes taillées, en pTemier lieu et en nouvelle
iune au lourni moins dft raisins que le» cep*
taillés plus, lard, c'est qu'ayant fourni moins de
grappes, il n'ait pas /ou nii plus de bois. A-l-p.fi
mesuré et comparé la lonw.ieuf des sarments ?,
Nous sommes lente d'en douter.
» Si, dans les essais comparatifs que l'onicn-
txeprend, on voulait se donner la-peine de ne-
ler exactement tes ri^es des diverses opéra-
tions et l'état de la température jour par pur, il
deviendrait facile de s expliquer les différences
entre les résultats obtenus, et l'on reconnaît! ait
•iromptenient que les influences lunaires n'y
ont aucune part appréciable,
Voilà donc ce que tour à lourdement Oli-
vier de Serres, La Quinlinie et M. Joisneanx"
ie l'influence de la lune sur l'aménagement de
nos cultures.
Après la parole de pareils maître?, je crois
̃îu'il ne me reste plus rien à dire, sinon merci.
On n'a pas toujours Poceasion de combattre un
préjugé avec de têts hommes -pourichefs décrie.
JEAN TAPIE.
Correspondance du Journal n.tusfnS
Ont deviné le râbus seulement du n°
MM. Pathos, DubeHay, Martel, Lecehien-Repou,
Grar.d. 'Guiliver, à t'ercy.– lîowvry, à.Stiateau-
ïirierry. M** Léoiiie i'asfiuier, à Paris. -r Louis
Huiix,-a SfTnitr iiruest Lwitîiiii, à Montinarlfii-
Emile Uii.mtwttc.aAnzin.– i:h. l'oulfliu,à Cré-
l'un, Louv.-uutils. Uii.IffCteur de la p"iiteChi-
:il", ii Mijullevr. Le* habitués
l'oiit-do-Vcyle. Un Mûrtaiuais, il Paris.
MM. Aug. l)ej?ard')u, Langl.'t, Mouaruue, Rénaux
et Pezc, à SaiiU-Uurntin. Lb C.iveau des Cheva-
Ij(.m> de Cupid-ju, à Se«s. Les dessinateurs de ri'
mauul'acii'ire d'Attuecy et Pont, à Apneuy. Eug
i'aul U<: reste "ilil-iblr). a Périsueux. Clamiius
oira.rd,à Lyon.– ïa. Meunier, il Anyiers. Léon
îiloi.'li, à Tliiinn.– M"'lÎMher Vieillehiot, à Loii!>-lf-
Siitiiui'r.– Budillou et Sibut, il Voiruu. A. a
wipjon. l'iman, au ̃)• d'ar-
tiileric, à Strasbourg.– M'u Olympe Picard, à Ton-
aa> (Ghareutej,
MM. Louis à
MooliK'Itit'.r. Alberl Val-;t, à Dunkerqiii: Nort<)-
uiiii et Felifdon, sous-ofticief ¡)Il i" du gcuie, à Ar-
ras.– J. Gbelaye. il Yicoiie (Aulnche). Oiiésiiue
K-. SoIkI, à Sedan. –"Les frères Oudel. 'à Tuiu-
C(,în«. Martin Ataraval, a lHarseilte. Emile K.,
siii-f iaier.ii -Asoièrcs.– G. C, qfticier. 24. rue Blan-
L-i,c Le s clercs de. ni' liliiiel, à Cambrai.
'MM. P. Po. b'Saiiit-Ouenlm.– G. Prévôt, à Croix-
pDlisomnirt. Bcrrarù, K'r^eiit-fourrior au 7(>
Guisb.M"* Juliette l'à Mareiines (vovis avez, bien
r;.ksoti !)>-& Trin canlimère à Laifile.– Lori-
guet aine. il Fiilaise- Le club des Honorables de
f'éroune. Briiikna, à Nuvits. Etienne Lorin. à
Cholot:– Y. F.. à Honleaux.– Les habitués 'de l'ès-
tdiniiu'l Brune!' t, au ('.àleau-tî.-inibresis.– Fefn;>iid
Rob.-rl. de S;m.t-0iî(>r>tun– A Voiturû'r, à Amiens.
LdgrHfadet t> lutou», à* Arscntan.– F-. Wouraud, à
Mit. Auguste Alleauiiia, adjx'daBt à l'école d'An-
jjers.– Utie société de jeunes fiUes. à'Douai.Les-
rhétori-ipris du tvcée de Yesoul. Licoln, il Châ-
•ipauvillinrs.– î-i. T;>cy. à .El-ainpr-s- 'M' ,!Hanche
et lîosv Cnichct, Hciiiinf. Clus»n, Grand-Café,
a Saiiif-Mîtlo.– 11- B., il Dijon.– LelV.-rL a L.i Croix.'
en Chitmpa&i" LOoiice l*i'rê'à Saiijt-l)<"iiys.
MM. Louis Diichesiie.. Juséphine
̃JOurs, à Saint-Quentin.– M"' Marie F., à Bergerac.
-G.- Lèvesaw, à Thibmil'.ei– II. Volet, h Tours.
Elime kt Jules Feirét. à Villepreux– J- FavrP. à
a Anzrin.– l-abadie-
iBr.ti:i>Ue"éf Monuirrvà Bouleaux. Deux apprentis
(".harleville,
à >inur,y.– -Les'riierobrts du cercle des 'Papillons, à
̃
MM 1>p ITras, feapornl'au i""reo;imMit'dn'penie,a
Fo-urnier..yMalzévifle.– M. -Ma-,
Tain.
C Canaille, à Monldidk'.r. G-.rei:il!ot, ;VAn:ieus.
M" J. Ri'diiose, -à l'aris.– :M. Nolliep.'ii Oivors.–
'Aitibroisc Leroy, à Paris.– ? Jules Gerard, à Beims.
MM. L. 'Gaillard, à Orlcnns.. Trois membres de
l'teinnouii*; une voisine de la'.O£il:a; à MuDtbrif-on.
1 h. péb'cûT; Jtil".s RiKS'Jt, MilthVï et Bidenuaiv,
iT.iH'uJi A. Cormy. K. du Cloineiiil.-Hmile Lecom-
Ifs ̃LocsDuini'ret, Jules i1. et ^abpelle. G., Louni
Fai'iajids'tde Caiaib) FerdH-aiiU- H- >iau-
biMc, MiK* M. Jeanne F., Erney OrfcUe, A- J.brJ. Dnrey, Iimile l'agèt, Jus-tin UUbiussori. il Paris.
Ch, Cle.rRnt et Al"" Ce«
liai elLeoiiline-lii^ard, a lîar-lo- Duc. Simon
ù'eiU"S. AdloU-Snvcrue, la Ferlé-sous -Jiiuorre.,
Grenoiri'à l.).,â Laiîiiy.–
JiileéGtîrnrd', à-Rtuini,. 'Lt-h cleies de M' Du bois
1 Siio!T«iy. i-'rn'.st Di^illimi, Siiinl-Llienr.e.–
J. Uivieilic, il Ùh> ui' Li-gv-r, a Paris.– Ih. «=j (iran. à Lcnjimii-.au luluiottd Gaultier, a Nan-
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riaîe un exemple*,
.la >><* r» dernière, son grand bal denuitsur !a
Néva. i 'uxe accoutumé de ce genre de fête s'a-
mérite d'ê-
tre ni. iiieo An milieu de l'enceinte
•aux p i i\ s'élevait un magnifique pavillon
-coiis >ni enlace, dont lesp iwurs avaient' de
quatre • iq 'nôtres d'épaisseur; Tintértatnr en é-
taitsi ii i ment illuminé, et cela faisait véHUî-
bler v- ii l d'un.palais de cristal.
Ci' un n était cependant qu'nne faillie irni-
tatrm, .«moux palais de glace bâti en 1740 dans
les • c- militions,. ibbïs dansndes proportions
véiM *nl 1 grandioses.
A 1 < a, se trouvaient deux*ca noms en glace a^
tpcLvi lt» ontira'Plusieursfoisiàbouet.
mais celle d» Vé-
suve, Ci iHQcée depuis quelques jours, augmente.
Aucun (i' riiiKigftn'a été signalé jusqu'ici.
C'"p'i ^'l'-t la lave, qui s'écoulesar nne seconde
îorioiî' j. ̃iiu- refroidie, menace êïTRf villages.
A C-V-, près de t'Btn», le préfiit a* f«it épuiser
les pini» :̃• U's citernes de la ville: i*L'expéri«mce.a
appris r 'fauter l'eUet terrible du contact.de le
iave et ic eau dans les endroits ressurrés.
La d') r '.le de Messin* rassure ses lecteurs en leur
«nnoii'-iia qu'on était empressé, de vider tous Jès'
^Uits de \¡'posta, que la lave, en s'y précipitant.
»ût «e^ta, îeinuntfait éclater s'ils avaient été rem-
!»lis.d\»au
tflBIÉÏÉS
UNE AFFAIRE D'OR
HISTOIRE CALIFORNIENS!.
(Voit tei'eltt Journal du 14 au 19 février j
':̃̃ Mon »5ïn
Je )',h;- Ini. même silotice!
Je me Hasardai enfin 'à le tirer par le br.is.
Hais orjis, cédant à mon attpaetionvretpm-
ba Ion.? et, inertesur>Jeplaneher dans-urne lar-
hï-:v iivsiKiç;.
Hor; .;̃̃! y était mort.
Sari' .iwi'e. le < pauvre* Anglais s'était relevé
'rop lût i-i t'uoe des dernières balles, uae telle
;ué rai ̃•:
Au i ri que je poussai^ deux garçons accotkru-
?en}-
D'un record, ils comprirent cet qui venait de
ie rom.er le cadavre pour lui prodiguerquel-
̃ques •;̃;̃ ':s. s'il en- était temps»encore, ou, tout
au Il! curie mettre ensûreté?.
]}('̃• fiez-vous!
lls !s rirent, [hm par la tôle, l'autre par* les
s pieds, sanspiiis'da cérémonie, le jetèrent au
Jjean ,">eu
pu; u'vnme S'il ne se "fût rien passé que
d'onti et de fort naturel, le eoncertrecorn-
.mèn(; i ̃̃{ cii.nu!* reprit-son occupation mornen-
tané î> partie i> cirlés oud'éehecstcrui enfin sa con-
versaa. sur les spéculations du -lendemain.
Ou- ,u Mexicain- -et .-air Yank«»e, tout en
s'olji » '̃- ;;ïîf à distance, ils s'étaient remis, J'un'
à savo' -H' 'a musique, l'autre à rouler entre ses
cigarette.
Pour uioi, féfttis si atterrée si stupéfait de ce
que ) vf.iais de voir, que, sur le pretnicr mo-
iment, k* ne: pustroUver ua seulmotipour expri-
mer wif»i indignation.
EbIîïï !m raison revenant
Vec f;;i.jc me levais eldîunboDd jesautaiidaps
la >rne.
i Le ccT-ps de myiord Cire était>touioupslà,san-
gîant, d^uiiïrô, exposé à être foulé aux pieds
par reiie, îiideusè population qui grouille au2.
beur-es, .aïK-tiirass autourides xnaisonsde jeu.
Mfjiit i'ouiis là Je ne pouvais permettre un tel
sacnk-cic une tel'le profanation. moi,>cme cet
-honmi^ avait, quelques minutes auparavant,
̃straiw V' ."Minie un auii,. moi qui avais misons
,'inaiu tiaus sa «uiinl
Je isoia us à mon hôtelcbercher quelqu'uniqui
voulu-! i;)';nrier à l'emporter, à l'ensevelir.
Au tout d'une demi-heune, j'étais deirelour
avec chmx hommes.
tt.^ Maigre {'obscurité êe .la ~nuit,.cac toutes les
maisons de la place étaientmaintenant fermées
je guidai nies compagnons vers l'endroit où a-
;vais lal-.sé !e corps..
t Hél;isl nous feûaies beau chercher,' «os efforts
pour le retrouver demeurèrent infructueux.
Le cadavre avait disparu
Le Jemli'main, bien décidé m'enquérir :par
îoûs les ¡¡!yens possibles de ce qu'était deve»u
je corç-s .JtMiion malheureux ami, je m'achemi-
aai tristeiuent vers Wasliington-street.
•* A itïoï) grand étonnement, je trouvai la rue
tellejircnt encombrée de monde, 'qu'il «e me fut
pas rme rùsi.-ner à prendre place à la queue qui on-
dulait ;<.• le long de !a voie publique, en avan-
çaii» pjs à ptis comme s'it se fût agi d'entrer au
-théâtre.
Etran -2fi théâtre, bêlas I que celui où j'étais
porté p r le reiflux'dë la foule, mais plus étran-
ge encore et plus infâme mille fois le spectacle'
•qui m'y MU'h'dait!
j Qu'y a-t-il donc? aVait-ie essayédedé-
•̃ftiander aux personnes qui m'entouraient.
1 Nous ne savons pas, m'avaU-on répondu:
Quelque, loftur (l),sans doute, 'qui' fait des* sien-
;aesl.
{i} Ce nmt.que nous écrivons à dessein tel qu'on
le pvonti'-cp. servait en Californie à désigner tout.
tes passaient leur temps à boire, àse
aueretier et à jouer du revolver.
Mes voisins n'en savaient pas plus que moi.
Au bout d'une deniiriheure qui me parut un
siècle, je pus enfin .découvrir- la place et aper-
cçyoir la maison qui servait. de. point de mire à
la. -curiosité générale.
Cette maison, attenante à la. Relia Union, ë-
tait cellç d'un marchandée cigares. un?Yan-
Jiee aussi, (;elui-làJ.
Taadisquë je mecreusais.cn vain latéte pour
tâcher de deviner le. mystère que -fêtais' appelé,
à approfondir, mon tour arriva.
Je gravis lentement tes deux degrés de pierre
qui coh/fuisaient à \9 boutique de l'Ani! rfesin.
Mais à peine j'eus mislepiad sur la dernière
nMirebe, que je poiissai!un cri d'hoi'revr et fail-
ta renverse.
L'homme que j'avais fâ.devant.moi. dans
Je comptoir. étendue? sur une
vitrine pleine de oigares. entièrement habillé
de noM', sauf le couqu'étreignait un faux-col
la Yankee.c'était mon pauvre ami, c'était my-
lordCirel.
{La fin à demain) robert utenke.
̃̃̃'̃'[ âGEICyLiTURE
VIEILTJB.UJNE -ET. LKBœ KOTI V^LLE
Au risque d'être fort préju-
gé et de me faire-passer pour un conteur de
sornettes, jecommeiteepar déclarer que je ne
crois pas du tout àlUnDuencede la lunesur k<
le
moins du monde.
Qu'aile ail cet retendre, cet âge sans pi-
tié, «peu favorable aurespeot du bien ci'au-
ti-ui elle nous apparaisse
dans sa, plénitude sphérique, ou que,- décrois-
saut, e! coure, il petites nuits, vers sa période
de vieillesse pourse voiler iiienlôt a nos regards.
l'eu m'importe 1 Et si j'avais faire dessémi-
ou des repiquages de choux,' de laitues, d'o-
gnons; de scorsonères, etc, je laisserais la lurx
parfiiitemenl tranquille et ne m'inquiéterais que
de l'élut- du soi et des conditions atmosphéri-
ques.
Je sais bien. -pourtant, ce que l'on dit.! On
préteod, par exemple, que la lune nouTeile: es
coniiMiire à tout. ce qui doit fournir de belles
racines, de belles feuit les formant pommes et de
bonnes graines; qu'elle aicie à -l'emporlcinani
îles pLintes, trtndis que ta pleiuejuîio ou Ja lune
au décours sont, au -conirairo^très favorables il
la fructification. Et on ne dit pns cela ni d1'au-
jourd'luii, ni d'hier, ni d'avunt-hier; ces accu-
sations semblent être vieilles comme le inonde.
Ce n'est pas aussi sans être -parfaituineni
avoir consulté l'expérience de.-
matîresen agriculture, que je m'avance pour
coinbiil-ire Hn-'préju^'ed'un âyç si respectable.
-Je sais trop ce que l'on doit la routine.
Voici ce qu'a écrit Olivier de Serres sur ce
sujet:
u8 tën plusieurs choses de tné-
¡)age se font en la nouvelle lune, lesMuélles, en
Languedoc, l'on n'oseroit esitrcpreodre qu'en 1;,
vieille. Par exemple, les auix (l'ail; en France
sont semés, pour les faire en la nou-
velle lune, et, pour la môme caiibp, en Lnnj^ue-
doc et Provence,' en la vieiMe, iù si
on veut dire que la liiversii-é des climats, dis-
titnls entre telles provinces de trois à quatre
degrés, cause telle différence, "l'on ne sçaii. que'
respondre sur ceciv que les jardiniers d'Avi-
Huon et ceux des Nisnica, quoique sûus mesme
climat, ne sont pas du tout d'accord -ensemble
faisait heureusement lésons eu' ums lune, ce
.que de inesme tes autres font en une autre.
Les uns tiennent la nouvelle lune propre pHtir
usiiito" îa nouvelle viîi-ne et jftsauues la -vieilli":»
LaQuinlinie, le célëôre.iardiiijerdc Louis XIV.
eoeore plus-explicite iju'Oiivier de Seires,ccri-
va il, en se moquant des jardiniers de son épe-
u Une autre espèce d ignorants sont ceux qui
ne sauroient dire trois pat-oies de leur meuer
sans y laèlër la pleine lune et'ie décours, pre-
teiîdant, et n'en, sachant pourtant aucune rai-
snn,iiue c'est une observation aiçolunieut -né-
cessaire pour le succès de tout le jardinage. ils
croient, ces bonnes gens, nous per.u.der par
de tels mots qu'ils, à point nommé tous
les mystères de l'art; si bien que qu
teur jargonque tout «endrwii pone.déeours.'que
la jour du grand vendredi est infaillible et pousv
sentences, et pour les greffes, et pour le plaql,;
et pour la taille, etc., ils l'l'étendent qu'on sera
trop Heureux de les avoir pour jardiniers. »
Enfin, voici venir un de nos maîtres moder-
nes, îl. Joicneaux.
M. J.oigneau^, dont tout le monde ^connaît le'
talent d'écrivain, dent la science profoiKle et
étendue n'a pour rivale que (le ses
recherchas, aeu à fc prononcer à sun tour suj'
cette question toufeJdo préjugés.
Un de ses abonnes au Journal de, fa Ferme et
a fai.
paraître depuis peu, pour continuer l'œuvre'
grandiose du Livre de ta 7''çrmt (lj, lui a corn-,
uiurii(]ué les deux obsèrvalion'ssuiyjuites, en le
priant d'y répondre
M.-Joignftaux, j'ai semé deux rangs d'ail l'un
en nouvelle lune et t'autre en vieille; tes deux
1 rangs ont également bien profité, ci t'un n'y
pouvait remarquer la moindre ditleiençe. Lors-
que la saison de l'arracher est arrivée, j'ai tmu-
•v« ies tètes également benes'a |!
trf'mement ptitiis.tMtidiS que l'autre lesavait
>très gros. Voilà1 (jour un.
» J'ai fait tailler un rang de rignes en ndu-
veilëlune et'lés autres en vieille iieil réduite
que ce rang. atosi vigoureux que les ;iuue,s,
n'avait que très peu de raisins, ̃ tandis qiw ses
voisins eo étaient chargés I Que conclure de tout,
cela? »
« Avant de nous prononcer d.'sns cette ques-
tion délioate, répond M. JoiguenuK, iuius avons
cru devoir nous livrerpendant plusieurs années
Librairie du Petit Journal.
consécutives adesessais comparatifs dans la
oui). une des jégumes. Or il resulite pour, nous de
ces essais, faits avec soin que la lune, crois-
sante ou décroissante, n'a aucune inituence ap-
préciable sur la végétation. e
En ce qui touche les légumes, la question est
donc parfaitement élucidée, il né reste plus que
̃l'expérience Sur -la vi'gne, et voici ôemaMQt f»
répond le, savant écrivain:
-«Dansinion village, il est «imis que-le^vi-»
gnes de deux trois ans doivent être, ta iFU*»
-inendani la nouvelle lune de, mars,. et que si l'on'
,tendait la vieille lun«-, el'es pousseraient
moins de bois. C'est juste; seulement on voudra-
bien remarquer que l«lune n'est pourriëçrdans
cette affaire Si on les teillaIt dufè-nl la pleine
lune de février, en aurait vr-aMembtablement
nouvelle lunede mars.
» il. est reconnu, ;.pour, la vigne. scomme pour
tous les arbres fruitiers, que tes amputation»
faites de bonne heure favorisent la végétation
et poussent au bois, tandis que tes amputations
tardives, au moment' où la sève s'agite, fati-
vguent les plantes, reculent la. végétation et fa-
vorisent la fructilicttipn aux bois.
.C'est pou i cela qu'on commence toujours la
taille des arbres. fruitiers par les .sujets -vieux
ou faibles, et qu'on leterminepai le» sujet? vi-
goureux et diflioiles Il donipler. Ce sont 1¡¡,de.!
questions de dates, non des questions de luiae.
» Ce qui nous étonne dans la lettre de notre
estimable correspondant.' 'ajoulo en fin M.-Joi-
gneau'X.cen'e.st-pasd-'apprendre que Son'rang
de vignes taillées, en pTemier lieu et en nouvelle
iune au lourni moins dft raisins que le» cep*
taillés plus, lard, c'est qu'ayant fourni moins de
grappes, il n'ait pas /ou nii plus de bois. A-l-p.fi
mesuré et comparé la lonw.ieuf des sarments ?,
Nous sommes lente d'en douter.
» Si, dans les essais comparatifs que l'onicn-
txeprend, on voulait se donner la-peine de ne-
ler exactement tes ri^es des diverses opéra-
tions et l'état de la température jour par pur, il
deviendrait facile de s expliquer les différences
entre les résultats obtenus, et l'on reconnaît! ait
•iromptenient que les influences lunaires n'y
ont aucune part appréciable,
Voilà donc ce que tour à lourdement Oli-
vier de Serres, La Quinlinie et M. Joisneanx"
ie l'influence de la lune sur l'aménagement de
nos cultures.
Après la parole de pareils maître?, je crois
̃îu'il ne me reste plus rien à dire, sinon merci.
On n'a pas toujours Poceasion de combattre un
préjugé avec de têts hommes -pourichefs décrie.
JEAN TAPIE.
Correspondance du Journal n.tusfnS
Ont deviné le râbus seulement du n°
MM. Pathos, DubeHay, Martel, Lecehien-Repou,
Grar.d. 'Guiliver, à t'ercy.– lîowvry, à.Stiateau-
ïirierry. M** Léoiiie i'asfiuier, à Paris. -r Louis
Huiix,-a SfTnitr iiruest Lwitîiiii, à Montinarlfii-
Emile Uii.mtwttc.aAnzin.– i:h. l'oulfliu,à Cré-
l'un, Louv.-uutils. Uii.IffCteur de la p"iiteChi-
:il", ii Mijullevr. Le* habitués
l'oiit-do-Vcyle. Un Mûrtaiuais, il Paris.
MM. Aug. l)ej?ard')u, Langl.'t, Mouaruue, Rénaux
et Pezc, à SaiiU-Uurntin. Lb C.iveau des Cheva-
Ij(.m> de Cupid-ju, à Se«s. Les dessinateurs de ri'
mauul'acii'ire d'Attuecy et Pont, à Apneuy. Eug
i'aul U<: reste "ilil-iblr). a Périsueux. Clamiius
oira.rd,à Lyon.– ïa. Meunier, il Anyiers. Léon
îiloi.'li, à Tliiinn.– M"'lÎMher Vieillehiot, à Loii!>-lf-
Siitiiui'r.– Budillou et Sibut, il Voiruu. A. a
wipjon. l'iman, au ̃)• d'ar-
tiileric, à Strasbourg.– M'u Olympe Picard, à Ton-
aa> (Ghareutej,
MM. Louis à
MooliK'Itit'.r. Alberl Val-;t, à Dunkerqiii: Nort<)-
uiiii et Felifdon, sous-ofticief ¡)Il i" du gcuie, à Ar-
ras.– J. Gbelaye. il Yicoiie (Aulnche). Oiiésiiue
K-. SoIkI, à Sedan. –"Les frères Oudel. 'à Tuiu-
C(,în«. Martin Ataraval, a lHarseilte. Emile K.,
siii-f iaier.ii -Asoièrcs.– G. C, qfticier. 24. rue Blan-
L-i,c Le s clercs de. ni' liliiiel, à Cambrai.
'MM. P. Po. b'Saiiit-Ouenlm.– G. Prévôt, à Croix-
pDlisomnirt. Bcrrarù, K'r^eiit-fourrior au 7(>
Guisb.M"* Juliette l'à Mareiines (vovis avez, bien
r;.ksoti !)>-& Trin canlimère à Laifile.– Lori-
guet aine. il Fiilaise- Le club des Honorables de
f'éroune. Briiikna, à Nuvits. Etienne Lorin. à
Cholot:– Y. F.. à Honleaux.– Les habitués 'de l'ès-
tdiniiu'l Brune!' t, au ('.àleau-tî.-inibresis.– Fefn;>iid
Rob.-rl. de S;m.t-0iî(>r>tun– A Voiturû'r, à Amiens.
LdgrHfadet t> lutou», à* Arscntan.– F-. Wouraud, à
Mit. Auguste Alleauiiia, adjx'daBt à l'école d'An-
jjers.– Utie société de jeunes fiUes. à'Douai.Les-
rhétori-ipris du tvcée de Yesoul. Licoln, il Châ-
•ipauvillinrs.– î-i. T;>cy. à .El-ainpr-s- 'M' ,!Hanche
et lîosv Cnichct, Hciiiinf. Clus»n, Grand-Café,
a Saiiif-Mîtlo.– 11- B., il Dijon.– LelV.-rL a L.i Croix.'
en Chitmpa&i" LOoiice l*i'rê'à Saiijt-l)<"iiys.
MM. Louis Diichesiie.. Juséphine
̃JOurs, à Saint-Quentin.– M"' Marie F., à Bergerac.
-G.- Lèvesaw, à Thibmil'.ei– II. Volet, h Tours.
Elime kt Jules Feirét. à Villepreux– J- FavrP. à
a Anzrin.– l-abadie-
iBr.ti:i>Ue"éf Monuirrvà Bouleaux. Deux apprentis
(".harleville,
à >inur,y.– -Les'riierobrts du cercle des 'Papillons, à
̃
MM 1>p ITras, feapornl'au i""reo;imMit'dn'penie,a
Fo-urnier..yMalzévifle.– M. -Ma-,
Tain.
C Canaille, à Monldidk'.r. G-.rei:il!ot, ;VAn:ieus.
M" J. Ri'diiose, -à l'aris.– :M. Nolliep.'ii Oivors.–
'Aitibroisc Leroy, à Paris.– ? Jules Gerard, à Beims.
MM. L. 'Gaillard, à Orlcnns.. Trois membres de
l'teinnouii*; une voisine de la'.O£il:a; à MuDtbrif-on.
1 h. péb'cûT; Jtil".s RiKS'Jt, MilthVï et Bidenuaiv,
iT.iH'uJi A. Cormy. K. du Cloineiiil.-Hmile Lecom-
Ifs ̃LocsDuini'ret, Jules i1. et ^abpelle. G., Louni
Fai'iajids'tde Caiaib) FerdH-aiiU- H- >iau-
biMc, MiK* M. Jeanne F., Erney OrfcUe, A- J.br
Ch, Cle.rRnt et Al"" Ce«
liai elLeoiiline-lii^ard, a lîar-lo- Duc. Simon
ù'eiU"S. AdloU-Snvcrue, la Ferlé-sous -Jiiuorre.,
Grenoiri'à l.).,â Laiîiiy.–
JiileéGtîrnrd', à-Rtuini,. 'Lt-h cleies de M' Du bois
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