Titre : Basket-ball : organe officiel de la Fédération française de basket-ball
Auteur : Fédération française de basket-ball. Auteur du texte
Éditeur : Fédération française de basket-ball (Paris)
Date d'édition : 1949-11-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34387729f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 21659 Nombre total de vues : 21659
Description : 30 novembre 1949 30 novembre 1949
Description : 1949/11/30 (A18,N210). 1949/11/30 (A18,N210).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5818205f
Source : Fédération Française de BasketBall/Musée du Basket, 2009-174754
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
§£? Année. — h|° 210
T?»"^*^ J
lES ORGANISATIONS DE LA F. F. B. B.
LE CHAMPIONNAT DE FRANCE DE DIVISION NATIONALE
|j connaît une aag,ue aahôxinte, due à la qualité de ses acteurs j
fi'A. S. Villeurbanne, tenant du titre, n'a pas, encore connu la défaite, mai& n'eût p.a& itwinciMe
i ■'•■ par notre Rédacteur en Chef : Gilbert BIDEAUX
IE succès du Championnat de France de la division nationale,
s'affirme à chaque tour. Les équipes jouent non seulement pour
gagnçr mais aussi pour satisfaire un public qui est de inoins en
moins profane. La beauté du spectacle l'emporte sur l'esprit de clo-
cher.
; Les nouvelles règles ont rendu certes le basket plus offensif, mais
l'on pouvait craindre que la saison
1949-50 serait une période d'adapta-
tion. Avec facuité, les « natio-
naux », d'ailleurs imités par les
« excellents » et même par les bas-
ketteuses qui ne veulent pas « da-
ter s, ont assimilé les nouvelles ré-
gies. Celles-ci facilitent l'attaque
qui convient parfaitement à notre
tempérament de latin.'
Il fut un temps, pas très éloigné
où.chaque rencontre se résumait
par un classique-cliché •.c'était un
match de championnat !
Actuellement, ce sont encore des
matches de championnat, mais
combien différents. Les acteurs ont
la même hargne, la même soif de
victoire; à la force les plus faibles
opposent la ruse qui est bien proche
du vice, mais tous ont une préfé-
rence marquée pour construire et
non démolir. Le type d'arrière à
l'affût, attendant sa proie, va- pren-
dre place dans le tiroir des souve-
nirs.
Le basket moderne, avec tous ses
avan'ages, montre aux dirigeants
de club leur ligne de conduite. Par
mesure d'économie, la P.F.B.B. a
fixé à huit le nombre de titulaires
par équipe, alors que, dans certains
pays, ce nombre' est porté à dix.
d'ailleurs conforme au règlement in-
ternational.
Bien des équipes, disputant le
Championnat de France de division
nationale,.ont cinq bons joueurs au
maximum, et les trois autres de
classe inférieure. Comme un jour
ou l'autre il faudra venir aux dix
joueurs, les équipes qui présente-
ront le plus d'éléments de valeur
feront la loi.. Dans le nombre, les
phénomènes passeront plus inaper-
çus et seront rapidement étouffés
par le rythme accéléré qui leur se-
ra fatalement imposé par leurs -ad-
versaires plus complets.
Ce. qui revient à dire que fous les
clubs doivent travailler en profon-
deur.
Les arbitres, pour ne pas être en
reste ont également fait des pro-
grès. Ils en feront d'autres, mais se-
ront néanmoins critiqués. La fonc-
tion le veut." Il est réconfortant de
j constater que des équipes battues
n'incriminent pas l'arbitrage. Ce
qui est vrai pour les clubs l'est éga-
lement pour la Commission des Ar-
bitres qui doit sans tarder augmen-
ter ses cadres.
Progrès également dans l'organi-
sation des matches de Champion-,
nat. A Paris, où ies matches sont-
groupes au gymnase Japy, les clubs
réunis en pool obtiennent de bons
résultats et les recettes sont en pro-,
grès. L'adversaire d'un provincial,
n'est pas l'organisateur. Mais il ne
le laisse pas toujours repartir san;
avoir un geste amical à son égard
C'est ainsi que Pont-1'Evêque fut
invité, après le match, par Cham-
pionnet chez l'un de ses supporters.-
Le geste, fort arrosé, toucha les
normands-. Voilà ce que doit être
l'esprit d'un championnat, même
quand il y a un titre en jeu. ;
C'est avec plaisir que l'on salue
l'ouverture d'une salle. Celui-ci es;
plus intense quand il s'agit d'une
grande ville comme Lyon. Pour 'a.
première fois de la saison, les cham-
pions de France ont eu le Eall de
la Métallurgie à leur disposition.
Le match qu'ils devaient jouer
, contre Auboué, fixé au samedi en
; soirée, fut reporté au dimanche en
j fin d'après-midi. Malgré ce contre-
i iemps, les organisateurs durent re-
| fuser du monde, car les installa-
; tions ne sont pas terminées, mais
i portèrent le record de la recette à
I 187.000 francs. Record difficile à
j battre. ;
j La Rochelle et Toulouse restent
les centres les plus pauvres. Défaut :
', d'organisa'ion ou faiblesse des équir.
| pes ? Peut-être un peu des deux.
Les jeux ne sont 1 pas faits
Après les cinq tours du Cham-
pionnat de France, l'on risquerait
fort de se tromper en désignant i
les deux premiers de chaque poule
qui seront qualifiés pour les demi-
finales.
Dans ie premier groupe, i'A.S.
Villeurbanne, la seule équipe »jui
n'a- pas connu la défaite, mène.. de
deux points devant le Racing qu'elle
ne Rencontrera que le 18 décembre.
Auboué et Championnet ne sont
disfancés que de deux points par le
^ ~m~ Suite paye 3
Siant Ucte
,.||IVANS son récent article « Merci
|| 1 Mesdames » notre ami Les-
111/ caret ironisait sur le refus de
là Direction des Sports d'accorder
le bénéfice du collectif à Mme
Boizafd qui accompagnait, à ses
■Irais, son mari et l'équipe de Fran-
ce à Naples.
Cet article nous a valu une vio-
lente protestation de Monsieur le
Colonel Lacabanne.
Sur le fond, je suis d'accord avec
k ki, . .■ ■ -
les fonctionnaires de la Direc-
tion-des Sports ont parfaitement
en raison de refuser le bénéfice du
collectif à ma femme qui en fait,
ne lavait pas demandé.
n y a un contrat qui lie la S.N.
''C.F. et le Secrétariat d'Etat à la
jeunesse et aux Sports. Ce contrat
<>Mt être respecté, aussi peu libéral
soit-U, si nous voulons qu'il soit
reconduit.
Notre ami Lescaret ne voulait, du
'este pas incriminer les fonction-
nes de la Direction des Sports,
rç Wune femme de dirigeant qui,
£ndant 35 ans, a eu sa vie famïlia-
'tjWileversée à cause des activités
wwttves de son mari, ne pouvait
bénéficier de ce léger avantage,
wrs que tont de qens voyagent
vttuitement.
_■ S0* ine remet en mémoire une
ÏÏL htstoire que je ne veux pas
:)r*nquer de vous conter.
Ws~ Voir suite page 2.
ILA\ CHAIERUK
AYANT' LIE:/ CCEUrj
par M. Ch. Boizard
Président de [a F.F.B.B.
«yOUS avons salué avec plaisir le retour de M. André MOR1CE
1^1 au Secrétariat d'Etat à la Jeunesse et aux Sports. H avait au
I \8s* cours de sa première investiture fait preuve d'un esprit réalisa-
teur auquel nous n'étions pas habitués.
Nous ignorons ses projets, mais la Presse nous fait connaître son
intention de rendre l'Education Physique et Sportive obligatoire.
Nous crions Bravo ! quoique
nous ne voyons pas comment con-
cilier l'obligation et la liberté indi-
viduelle. Après tout, la vaccination
et l'enseignement sont bien obli-
gatoires sans que la liberté de
chacun, soit atteinte puisque l'on
peut choisir son médecin et so_i
école.
Ce n'est pas là qu'est l'a pierre
d'achoppement. ——
Pour pratiquer le sport, il faux;
un minimum d'installations, stades,
piscines, salles couvertes, etc. ©r le;
i installations existantes sont déjà
.insuffisantes pour, les actuels prati-
I quants. Que sera-ce quand la masse
d'e la jeunesse se précipitera dans
nos sociétés sportives pour satisfai-
re aux obligations en cours d'élabo-
ration ?
En ce qui concerne le basket,
nous savons trop quel frein. cette.
^53JSe^d&5ïterraiiiS''et"surt6ùt dé
salles met à notre développement.
Je pense en particulier à notre Li-
gne Parisienne et aux tours de
BIT- Suite page 3.
T?»"^*^ J
lES ORGANISATIONS DE LA F. F. B. B.
LE CHAMPIONNAT DE FRANCE DE DIVISION NATIONALE
|j connaît une aag,ue aahôxinte, due à la qualité de ses acteurs j
fi'A. S. Villeurbanne, tenant du titre, n'a pas, encore connu la défaite, mai& n'eût p.a& itwinciMe
i ■'•■ par notre Rédacteur en Chef : Gilbert BIDEAUX
IE succès du Championnat de France de la division nationale,
s'affirme à chaque tour. Les équipes jouent non seulement pour
gagnçr mais aussi pour satisfaire un public qui est de inoins en
moins profane. La beauté du spectacle l'emporte sur l'esprit de clo-
cher.
; Les nouvelles règles ont rendu certes le basket plus offensif, mais
l'on pouvait craindre que la saison
1949-50 serait une période d'adapta-
tion. Avec facuité, les « natio-
naux », d'ailleurs imités par les
« excellents » et même par les bas-
ketteuses qui ne veulent pas « da-
ter s, ont assimilé les nouvelles ré-
gies. Celles-ci facilitent l'attaque
qui convient parfaitement à notre
tempérament de latin.'
Il fut un temps, pas très éloigné
où.chaque rencontre se résumait
par un classique-cliché •.c'était un
match de championnat !
Actuellement, ce sont encore des
matches de championnat, mais
combien différents. Les acteurs ont
la même hargne, la même soif de
victoire; à la force les plus faibles
opposent la ruse qui est bien proche
du vice, mais tous ont une préfé-
rence marquée pour construire et
non démolir. Le type d'arrière à
l'affût, attendant sa proie, va- pren-
dre place dans le tiroir des souve-
nirs.
Le basket moderne, avec tous ses
avan'ages, montre aux dirigeants
de club leur ligne de conduite. Par
mesure d'économie, la P.F.B.B. a
fixé à huit le nombre de titulaires
par équipe, alors que, dans certains
pays, ce nombre' est porté à dix.
d'ailleurs conforme au règlement in-
ternational.
Bien des équipes, disputant le
Championnat de France de division
nationale,.ont cinq bons joueurs au
maximum, et les trois autres de
classe inférieure. Comme un jour
ou l'autre il faudra venir aux dix
joueurs, les équipes qui présente-
ront le plus d'éléments de valeur
feront la loi.. Dans le nombre, les
phénomènes passeront plus inaper-
çus et seront rapidement étouffés
par le rythme accéléré qui leur se-
ra fatalement imposé par leurs -ad-
versaires plus complets.
Ce. qui revient à dire que fous les
clubs doivent travailler en profon-
deur.
Les arbitres, pour ne pas être en
reste ont également fait des pro-
grès. Ils en feront d'autres, mais se-
ront néanmoins critiqués. La fonc-
tion le veut." Il est réconfortant de
j constater que des équipes battues
n'incriminent pas l'arbitrage. Ce
qui est vrai pour les clubs l'est éga-
lement pour la Commission des Ar-
bitres qui doit sans tarder augmen-
ter ses cadres.
Progrès également dans l'organi-
sation des matches de Champion-,
nat. A Paris, où ies matches sont-
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réunis en pool obtiennent de bons
résultats et les recettes sont en pro-,
grès. L'adversaire d'un provincial,
n'est pas l'organisateur. Mais il ne
le laisse pas toujours repartir san;
avoir un geste amical à son égard
C'est ainsi que Pont-1'Evêque fut
invité, après le match, par Cham-
pionnet chez l'un de ses supporters.-
Le geste, fort arrosé, toucha les
normands-. Voilà ce que doit être
l'esprit d'un championnat, même
quand il y a un titre en jeu. ;
C'est avec plaisir que l'on salue
l'ouverture d'une salle. Celui-ci es;
plus intense quand il s'agit d'une
grande ville comme Lyon. Pour 'a.
première fois de la saison, les cham-
pions de France ont eu le Eall de
la Métallurgie à leur disposition.
Le match qu'ils devaient jouer
, contre Auboué, fixé au samedi en
; soirée, fut reporté au dimanche en
j fin d'après-midi. Malgré ce contre-
i iemps, les organisateurs durent re-
| fuser du monde, car les installa-
; tions ne sont pas terminées, mais
i portèrent le record de la recette à
I 187.000 francs. Record difficile à
j battre. ;
j La Rochelle et Toulouse restent
les centres les plus pauvres. Défaut :
', d'organisa'ion ou faiblesse des équir.
| pes ? Peut-être un peu des deux.
Les jeux ne sont 1 pas faits
Après les cinq tours du Cham-
pionnat de France, l'on risquerait
fort de se tromper en désignant i
les deux premiers de chaque poule
qui seront qualifiés pour les demi-
finales.
Dans ie premier groupe, i'A.S.
Villeurbanne, la seule équipe »jui
n'a- pas connu la défaite, mène.. de
deux points devant le Racing qu'elle
ne Rencontrera que le 18 décembre.
Auboué et Championnet ne sont
disfancés que de deux points par le
^ ~m~ Suite paye 3
Siant Ucte
,.||IVANS son récent article « Merci
|| 1 Mesdames » notre ami Les-
111/ caret ironisait sur le refus de
là Direction des Sports d'accorder
le bénéfice du collectif à Mme
Boizafd qui accompagnait, à ses
■Irais, son mari et l'équipe de Fran-
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Cet article nous a valu une vio-
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Colonel Lacabanne.
Sur le fond, je suis d'accord avec
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Notre ami Lescaret ne voulait, du
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par M. Ch. Boizard
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