Titre : Le Ménestrel : journal de musique
Éditeur : Heugel (Paris)
Date d'édition : 1931-12-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 44462 Nombre total de vues : 44462
Description : 11 décembre 1931 11 décembre 1931
Description : 1931/12/11 (A93,T2,N50)-1931/12/17. 1931/12/11 (A93,T2,N50)-1931/12/17.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5794680h
Source : Bibliothèque nationale de France, TOL Non conservé au département des périodiques
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
LE • MENESTREL
lable une jeune fille qui l'aimait s'est jetée à l'eau, et la
vieille comtesse est morte de frayeur. Comme on voit, cela
n'est pas très joyeux. Tschaïkowsky, cependant, a traité ce
sujet avec beaucoup d'habileté; sa partition n'est assuré-
ment pas fort originale ; les influences les plus diverses s'y
rencontrent, avec, tour à tour, de grandes faiblesses et de
réelles beautés ; mais l'ensemble est plein de vie et d'ani-
mation ; et ce que le sujet a de lugubre et de sombre est
adroitement corrigé par une foule de hors-d'oeuvre, de
danses et d'intermèdes, dont quelques-uns ont une vive
couleur. Il faul louer la Monnaie d'avoir ajouté cette oeuvre
d'un des compositeurs russes les" plus notables, sinon les
plus admirés, à toutes celles qu'elle avait montées précé-
demment, de Moussorgski, de Borodine, de Rimsky-
Korsakoff, de Glazounow, etc. Elle y a apporté, comme
toujours, tous ses soins. L'interprétation est de tous points
remarquable ; M. Rogatschewsky en est l'âme ; il a composé
le rôle du héros de la façon la plus admirable, en grand
chanteur et en grand tragédien. Mmes Jacqueline Blanche et
Ballard^ MM.Colonne, Tontenel, etc.,complètentun ensemble
excellent, encadré d'une mise en scène superbe, avec des
décors dont les esquisses ont été fournies par un peintre
lithuanien de grand talent, ' M. Dobusinski. Tout cela
est extrêmement intéressant et a remporté un vif succès,
dont l'orchestre, dirigé par M. Corneil de Thoran, a pris sa
large part.
Les grands concerts nous ont offert quelques très belles
séances. La plus mémorable a été celle que le Conserva-
toire avait consacrée aux oeuvres de Vincent d'Indy pour
fêter ses quatre-vingts ans. Le maître avait promis d'y
assister : au dernier moment, il écrivit pour s'excuser : un
rhumatisme, disait-il, le retenait à Paris... Hé^as ! trois
jours après, nous apprenions sa mort! Le concert du Con-
servatoire, qui exécutait, sous la direction de M. Defauw,
sa Symphonie Cévenole, avec M. Scharrès au piano, Jour
d'été hia campagne et le Camp de Wallenstein, aura été sa
suprême apothéose. Le monde bruxellois le pleure avec
d'autant plus de raison, que c'est à Bruxelles que furent
créées ses principales oeuvres, Fervaal, VEtranger et le
Chant de la cloche à la Monnaie, et, à la Libre Esthétique,
au temps de Guidé et de Maus, plusieurs de ses composi-
tions'instrumentales.
La Société Philharmonique, qui s'est fondue avec les
Concerts Populaires, avait engagé, pour son premier con-
cert, quelques artistes de Bayreuth, et inscrit au pro-
gramme le deuxième et le troisième acte de Tristan et
Isolde. Cela fut lamentable. Nous avions eu au cours de la
saison dernière, à la Monnaie, d'admirables représen-
tations de Tristan avec MUe Bunlet et M. Urlus ; on se
demande quelle nécessité il y avait de leur opposer cette
médiocre contrefaçon, avec des interprètes qui, peut-être,
à Bayreuth chantaient dans les choeurs, quand il y en avait.
Les Concerts Ysaye, de leur côté, nous ont régalé d'une
séance de musique classique-(Haydn, Brahms et Beetho-
ven) dirigée par M. Weingartner.
D'autre part M. Pierre Monteux est venu, avec son
orchestre, au Palais des Beaux-Arts, remporter un nouveau,
triomphe. Lucien SOLVAY.
ESPAGNE
A l'Association Culturelle de Madrid, José Franco di-
rige ses impressions symphoniques -: En una aldea. Joli
orchestre, musicalité fine, succès des plus flatteurs.
— Magnifique récital, en la'Casa Daniel, du violoniste
Jesûs Cela, qui marche sur les traces de ses glorieux aînés,
et que l'on entendra sans doute prochainement à Paris.
— La Argentina triomphe à Madrid, au Théâtre Espànol.
Elle était merveilleusement accompagnée par le pianiste
Luis Galve, qui obtint un succès extraordinaire en jouant
l'admirable Chaîne de Valses de Joaquin Nin.
— Angel Grande va diriger à Londres une nouvelle
série de concerts symphoniques au Crystal Palace. Il y
jouera des auteurs anglais et les espagnols : Falla, Turina
et Nin. Henri COLLET.'
ITALIE
Le Teatro Reale de Rome rouvrira ses portes le 26 dé-
cembre et poursuivra sa saison jusqu'au début de mai. Le
nombre et la qualité des artistes engagés font honneur à la
grande scène lyrique. Le directeur musical et principal chef
d'orchestre en reste le maestro Gino Marinuzzi, que secon-
dera Gabriele Santini. Pietro Mascagni et Alfredo Casella
monteront au pupitre pour diriger leurs oeuvres. A Giova-
chino Forzano incombe la tâche de présider à la mise en
scène; les décors et les costumes de Nicola Benois, Caramba
Filomarino, etc. Spectacle d'ouverture : Lorely avec Gina
Cigna et Fransesco Merli; puis i" Maestri Cantori, la
Bohème et Fanciulla del West.
— Saison lyrique à l'Adriano. OEuvres du répertoire :
Aida, Mefistofele, Andréa Chénier. Prochainement, une
nouveauté, Terra Santa, du maestro Paolo Salviucci.
— Les concerts de l'Augusteo ont repris sous l'éminente
direction de Bernardino Molinari. A la seconde séance
Udebrando Pizzetti et Igor Strawinsky figurent au pro-
gramme, l'un avec le Prélude Symphonique de son Aga-
mennone, l'autre avec sa Symphonie de Psaumes.
— Lauritz Melchior chante à l'Accademia di S. Cecilia et
à l'Augusteo. Le succès de l'éminent artiste est considé-
rable. G.-L. GARNIER.
VINCENT D'INDY
1 —.♦.—
La musique française vient de perdre son plus glorieux
ancêtre actuel. Paul-Marie-Théodore-Vincent, comte d'Indy,
est décédé subitement le 3 décembre dans sa quatre-vingt-
unième année, d'une crise cardiaque, en son domicile de
l'avenue de Villars, après avoir passé sa journée à travailler
à un livre sur Parsifal, où il affirmait une fois de plus la
foi wagnérienne qui fit de. lui, en 1876, un des tout pre-
miers pèlerins français de Bayreuth, et qui n'empêcha
jamais, quoi qu'on en ait prétendu, sa puissante personna-
lité de se développer entièrement, Les réconfortantes
manifestations auxquelles avait donné lieu, voici quel-
ques mois, la célébration, du quatre-vingtième anniversaire
du Maître avaient pris la signification non seulement d'un
hommage mérité,/ mais d'une réparation nécessaire. En
effet, malgré son brillant passé, malgré l'étonnante verdeur
créatrice dont témoignent ses derniers ouvrages, — sa Suite
en parties, son Sextuor, son Troisième Quatuor à cordes
où il est tout entier - VincentdTndy n'était plus, aux yeux
de certains un auteur « à la page ». Il n'avait pas eu cure,
de camoufler son art à la sauce du jour. Il osait même
parfois, dans ses écrits, railler assez durement les hanne-
tons du snobisme sans cesse en quête dé nouvelles idoles,
et les musiciens qui semblent plus préoccupés de satis-
faire les exigences éphémères de la mode que d'exprimer
une vraie nature... Il ne tournait pourtant pas le dos à cer-
tains de ses amis ou disciples, même si leurs tempéraments
les poussaient vers des voies qu'il pouvait discuter. Il
trouvait [encore quelque génie à Beethoven, à Wagner, à
son maître César Franck, et leur consacrait de pénétrantes
monographies. Il s'obstinait à défendre, sans souci des com-
mentaires, les idées élevées, désintéressées auxquelles il
avait Consacré sa vie et qui ne l'empêchaient pas d'ailleurs
de rendre un chaleureux hommage aux belles oeuvres dont
l'esprit différait dès siennes: Il suffira de rappeler à cet égard
son amitié agissante pour Emmanuel Chabrier, Gabriel
Fauré, Henri Duparc, Ernest Chausson, Paul Dupas,
Guy Ropartz, Pierre de Bréville, sa vive admiration pour
leurs oeuvres, et le retentissant article qu'il écrivit sur
Pellèas et Mèlisande aussitôt après la répétition générale,
quand tant de debus systés intransigeants de l'avenir s'in-
terrogeaient encore sur leurs sentiments, ou brillaient par
leur absence ! On n'a pas oublié la large,place qu'il fit à la
jeune musique française à la Société Nationale^ dont il tut
l'un des membres prépondérants, et dans ses nombreuses
tournées à l'étranger comme chefd'orchestrè.
■— 53o —
lable une jeune fille qui l'aimait s'est jetée à l'eau, et la
vieille comtesse est morte de frayeur. Comme on voit, cela
n'est pas très joyeux. Tschaïkowsky, cependant, a traité ce
sujet avec beaucoup d'habileté; sa partition n'est assuré-
ment pas fort originale ; les influences les plus diverses s'y
rencontrent, avec, tour à tour, de grandes faiblesses et de
réelles beautés ; mais l'ensemble est plein de vie et d'ani-
mation ; et ce que le sujet a de lugubre et de sombre est
adroitement corrigé par une foule de hors-d'oeuvre, de
danses et d'intermèdes, dont quelques-uns ont une vive
couleur. Il faul louer la Monnaie d'avoir ajouté cette oeuvre
d'un des compositeurs russes les" plus notables, sinon les
plus admirés, à toutes celles qu'elle avait montées précé-
demment, de Moussorgski, de Borodine, de Rimsky-
Korsakoff, de Glazounow, etc. Elle y a apporté, comme
toujours, tous ses soins. L'interprétation est de tous points
remarquable ; M. Rogatschewsky en est l'âme ; il a composé
le rôle du héros de la façon la plus admirable, en grand
chanteur et en grand tragédien. Mmes Jacqueline Blanche et
Ballard^ MM.Colonne, Tontenel, etc.,complètentun ensemble
excellent, encadré d'une mise en scène superbe, avec des
décors dont les esquisses ont été fournies par un peintre
lithuanien de grand talent, ' M. Dobusinski. Tout cela
est extrêmement intéressant et a remporté un vif succès,
dont l'orchestre, dirigé par M. Corneil de Thoran, a pris sa
large part.
Les grands concerts nous ont offert quelques très belles
séances. La plus mémorable a été celle que le Conserva-
toire avait consacrée aux oeuvres de Vincent d'Indy pour
fêter ses quatre-vingts ans. Le maître avait promis d'y
assister : au dernier moment, il écrivit pour s'excuser : un
rhumatisme, disait-il, le retenait à Paris... Hé^as ! trois
jours après, nous apprenions sa mort! Le concert du Con-
servatoire, qui exécutait, sous la direction de M. Defauw,
sa Symphonie Cévenole, avec M. Scharrès au piano, Jour
d'été hia campagne et le Camp de Wallenstein, aura été sa
suprême apothéose. Le monde bruxellois le pleure avec
d'autant plus de raison, que c'est à Bruxelles que furent
créées ses principales oeuvres, Fervaal, VEtranger et le
Chant de la cloche à la Monnaie, et, à la Libre Esthétique,
au temps de Guidé et de Maus, plusieurs de ses composi-
tions'instrumentales.
La Société Philharmonique, qui s'est fondue avec les
Concerts Populaires, avait engagé, pour son premier con-
cert, quelques artistes de Bayreuth, et inscrit au pro-
gramme le deuxième et le troisième acte de Tristan et
Isolde. Cela fut lamentable. Nous avions eu au cours de la
saison dernière, à la Monnaie, d'admirables représen-
tations de Tristan avec MUe Bunlet et M. Urlus ; on se
demande quelle nécessité il y avait de leur opposer cette
médiocre contrefaçon, avec des interprètes qui, peut-être,
à Bayreuth chantaient dans les choeurs, quand il y en avait.
Les Concerts Ysaye, de leur côté, nous ont régalé d'une
séance de musique classique-(Haydn, Brahms et Beetho-
ven) dirigée par M. Weingartner.
D'autre part M. Pierre Monteux est venu, avec son
orchestre, au Palais des Beaux-Arts, remporter un nouveau,
triomphe. Lucien SOLVAY.
ESPAGNE
A l'Association Culturelle de Madrid, José Franco di-
rige ses impressions symphoniques -: En una aldea. Joli
orchestre, musicalité fine, succès des plus flatteurs.
— Magnifique récital, en la'Casa Daniel, du violoniste
Jesûs Cela, qui marche sur les traces de ses glorieux aînés,
et que l'on entendra sans doute prochainement à Paris.
— La Argentina triomphe à Madrid, au Théâtre Espànol.
Elle était merveilleusement accompagnée par le pianiste
Luis Galve, qui obtint un succès extraordinaire en jouant
l'admirable Chaîne de Valses de Joaquin Nin.
— Angel Grande va diriger à Londres une nouvelle
série de concerts symphoniques au Crystal Palace. Il y
jouera des auteurs anglais et les espagnols : Falla, Turina
et Nin. Henri COLLET.'
ITALIE
Le Teatro Reale de Rome rouvrira ses portes le 26 dé-
cembre et poursuivra sa saison jusqu'au début de mai. Le
nombre et la qualité des artistes engagés font honneur à la
grande scène lyrique. Le directeur musical et principal chef
d'orchestre en reste le maestro Gino Marinuzzi, que secon-
dera Gabriele Santini. Pietro Mascagni et Alfredo Casella
monteront au pupitre pour diriger leurs oeuvres. A Giova-
chino Forzano incombe la tâche de présider à la mise en
scène; les décors et les costumes de Nicola Benois, Caramba
Filomarino, etc. Spectacle d'ouverture : Lorely avec Gina
Cigna et Fransesco Merli; puis i" Maestri Cantori, la
Bohème et Fanciulla del West.
— Saison lyrique à l'Adriano. OEuvres du répertoire :
Aida, Mefistofele, Andréa Chénier. Prochainement, une
nouveauté, Terra Santa, du maestro Paolo Salviucci.
— Les concerts de l'Augusteo ont repris sous l'éminente
direction de Bernardino Molinari. A la seconde séance
Udebrando Pizzetti et Igor Strawinsky figurent au pro-
gramme, l'un avec le Prélude Symphonique de son Aga-
mennone, l'autre avec sa Symphonie de Psaumes.
— Lauritz Melchior chante à l'Accademia di S. Cecilia et
à l'Augusteo. Le succès de l'éminent artiste est considé-
rable. G.-L. GARNIER.
VINCENT D'INDY
1 —.♦.—
La musique française vient de perdre son plus glorieux
ancêtre actuel. Paul-Marie-Théodore-Vincent, comte d'Indy,
est décédé subitement le 3 décembre dans sa quatre-vingt-
unième année, d'une crise cardiaque, en son domicile de
l'avenue de Villars, après avoir passé sa journée à travailler
à un livre sur Parsifal, où il affirmait une fois de plus la
foi wagnérienne qui fit de. lui, en 1876, un des tout pre-
miers pèlerins français de Bayreuth, et qui n'empêcha
jamais, quoi qu'on en ait prétendu, sa puissante personna-
lité de se développer entièrement, Les réconfortantes
manifestations auxquelles avait donné lieu, voici quel-
ques mois, la célébration, du quatre-vingtième anniversaire
du Maître avaient pris la signification non seulement d'un
hommage mérité,/ mais d'une réparation nécessaire. En
effet, malgré son brillant passé, malgré l'étonnante verdeur
créatrice dont témoignent ses derniers ouvrages, — sa Suite
en parties, son Sextuor, son Troisième Quatuor à cordes
où il est tout entier - VincentdTndy n'était plus, aux yeux
de certains un auteur « à la page ». Il n'avait pas eu cure,
de camoufler son art à la sauce du jour. Il osait même
parfois, dans ses écrits, railler assez durement les hanne-
tons du snobisme sans cesse en quête dé nouvelles idoles,
et les musiciens qui semblent plus préoccupés de satis-
faire les exigences éphémères de la mode que d'exprimer
une vraie nature... Il ne tournait pourtant pas le dos à cer-
tains de ses amis ou disciples, même si leurs tempéraments
les poussaient vers des voies qu'il pouvait discuter. Il
trouvait [encore quelque génie à Beethoven, à Wagner, à
son maître César Franck, et leur consacrait de pénétrantes
monographies. Il s'obstinait à défendre, sans souci des com-
mentaires, les idées élevées, désintéressées auxquelles il
avait Consacré sa vie et qui ne l'empêchaient pas d'ailleurs
de rendre un chaleureux hommage aux belles oeuvres dont
l'esprit différait dès siennes: Il suffira de rappeler à cet égard
son amitié agissante pour Emmanuel Chabrier, Gabriel
Fauré, Henri Duparc, Ernest Chausson, Paul Dupas,
Guy Ropartz, Pierre de Bréville, sa vive admiration pour
leurs oeuvres, et le retentissant article qu'il écrivit sur
Pellèas et Mèlisande aussitôt après la répétition générale,
quand tant de debus systés intransigeants de l'avenir s'in-
terrogeaient encore sur leurs sentiments, ou brillaient par
leur absence ! On n'a pas oublié la large,place qu'il fit à la
jeune musique française à la Société Nationale^ dont il tut
l'un des membres prépondérants, et dans ses nombreuses
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