Titre : L'Impartial : organe républicain des intérêts de Djidjelli & de la région : paraissant tous les dimanches
Éditeur : [s.n.] (Djidjelli)
Date d'édition : 1898-10-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327888866
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6840 Nombre total de vues : 6840
Description : 30 octobre 1898 30 octobre 1898
Description : 1898/10/30 (A9,N425). 1898/10/30 (A9,N425).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5755874p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-85282
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/01/2011
Neuvième Année. — N<> 425. le Nnméro : tO centimes Dimanche 30 Octobre 1898.
La Chute du Ministère
C'est avec uii profond regret
que nous avons appris la chute
du ministère Brissoii et le vote
desdépulésalgérienS.
Nous n'avons pas,cessé de
croire à la culpabilité de Dreyfus
si énergiquemeitt affirmée par
tous les ministres de la guerre,
mais, après l'aveu du faux,
suivi du suicide du colonel Henri,
après la fuite du commandant
Eslherazy, le ministère ne pou-
vait s'empêcher de saisir la cour
suprême de l'examen d'une af-
faire qui menaçait de perpétuer
en France un état de trouble
regrettable.
C'est pour avoir agi avec une
droiture absolument répupubli-
caineque ce ministère tombe au-
jourd'hui sous la coalition des
réactionnaires qui, sous couleur
de nationalisme ont réussi à en-
traîner avec eux le groupe anti-
sémite.
La France ne sera nullement
menacée dans ses sentiments pa-
triotiques parceque la cour decas-
salion décidera qu'il y a lieu ou
non de réviser le procès Dreyfus.
En volant contre un ministère
composé de républicains honnê-
tes et décidés aux réformes dé-
mocratiques, nos députés ont
fait le jeu des opportunistes con-
tre lesquels l'Algérie s'est nette-
ment prononcée aux dernières
élections.
Ce voie a eu lieu sans même
laisser au ministère le temps
d'expliquer sa conduite et au
moment d'une grave complica-
tion extérieure. N'était-ce pas
l'occasion pour les nationalistes
de prouver leur patriotisme en
faisant voir que, lorsque la
France est menacée, Une saurait
plus être question de divisions
intestines au sujet de la politi-
que ou de là-révision.
Devant les avides prétentions
de l'ennemi séculaire la Cham-
bre doit donner à la France
l'exemple de l'union pour main-
tenir intacts le domaine national
et l'honneur du drapeau.
LA RÉDACTION.
Djidjélli, le 29 Octobre 1898.
Lesbienheurenx citadins, dont
le sommeil n'est jamais troublé
que par la sirène des paquebgts
et le chant des rares noctam-
bules, hausseront certainement
les épaules en voyant ce titre
s'étaler pour la centième fois en
tête du journal.
Mais les colons qui, après
avoir trimé tout le jour ne sont
jamais sûrs de retrouver le
matin à l'écurie les animaux
qu'ils y ont enfermés le soir,
les fermiers qui passent les lon-
gues nuits d'hiver à écouter la
voix des chiens et à s'assurer,
le doigt sur la détente, qu'au-
cun malfaiteur ne rode autour
. des bâtiments; les charretiers
qui, après avoir bataillé depuis
le matin dans le lit des rivières
et les ornières de la route, doi-
vent coucher le soir à la belle
étoile, le revolver au poing,
tous ceux-là vous diront que
nulle question algérienne ne
leur paraît plus digne d'intérêt,
et que le problème de la sécu-
rité n'a pas cessé pour eux d'ê-
tre d'actualité.
Certes notre région a passé,
pendant longtemps, pour une
des plus sûres, mais depuis quel-
ques semaines on nous a signalé
une série de vols qui révèlent
chez leurs auteurs une singu-
lière audace, et l'on peut se de-
mander si -l'insécurité ne de-
viendra pas sous peu aussi
grande auxenvironsde Djidjélli
que sur les hauts plateaux.
A Duquesne, un mulet a été
enlevé dans l'écurie de M. Mar-
cheguet. MM. Péppi et Aiguier
Sauveur ont eu des bêles vo-
lées, sur la roule, pendant la
halle de nuit. Et comme la
justice française est impuissante
contre les bandits arabes, si les
victimes ne veulent pas tout
perdre, les voilà contraintes de
recourir à la honteuse bechara,
celle plaie du pays, que la cour
d'Alger se refuse à réprimer.
Il faut bien le reconnaître,
lorsque des législateurs coupa-
bles et ignorants décidèrent
l'application en Algérie de no-
tre procédure française, ils n'eu-
rent pas d'autre but que de pro^
: léger les indigènes contre lesoit-
disant arbitraire des premiers
administrateurs eteon Ire la pré-
tendue arabophobie des colons.
Ils. ont si bien réussi dans leur
oeuvre néfaste qu'il n'est pas
aujourd'hui, pour un Arabe, de
métier plus sûr et plus rémuné-
rateur que celui de voleur de
bestiaux et de bêtes de somme.
Loin de moi donc la pensée
de rendre les juges responsables
deleur impuissance. Je me plais
au contraire à rendre hommage
au, dévouement et à l'activité de
la :plupart de nos magistrats ;
mais nul ne peut être tenu au
delà de ses forces, et comme le
législateur a pris soin de retirer
aux juges tout moyen de décou-
vrir les coupables, les voleurs
continuent à opérer à,l'aise,
malgré les plaintes réitérées des
colons.
Le parquet général s'est ému,
et l'année dernière, à l'audience
de rentrée de la cour d'Alger,
M. Durieu de Leyritz a prononcé
un magnifique discours, dans
lequel la question était traitée
de main de maître. Après avoir
exposé le mal, l'éminent avocat
général indiquait le remède.
Sa voix est resiée sans écho. La
Chambre consent bien à sacri-
fier deux ou trois séances à
quelque interpellation retentis-
sante sur les allaires d'Algérie,
mais elle n'a jamais le temps
d'examiner les besoins réels
des colons, qu'elle ne connaît
pas et dont elle se soucie peu.
Puisque la Chambre ne peut
ou ne veut rien faire pour nous,
c'est au gouvernement général
qu'il appartient d'user de tous
les moyens dont il dispose pour
diminuer l'insécurité. Il a en
mains deux armes puissantes :
le droit de révoquer les agents
indigènes qui ne font pas leur
devoir et celui d'interner les
individus réputés dangereux.
Qu'il en fasse plus souvent
usage et l'insécurité ne tardera
pas à diminuer d'une façon no-
table. Je n'en veux pour preuve
que l'anecdote suivante dont je
garantis l'authenticité.
Dans une commune mixte du
déparlement de Conslanline,
les vols se multipliaient d'une
façon inquiétante ; comme de
coutume, la justice connaissait
les coupables, mais elle dut les
relâcher faute de'preuve. L'ad-
ministrateur dévoué et énergi-
que prit alors sur lui de convo-
quer les chéiks et les oualtafs
auxquels il tint le langage sui-
vant : «vous connaissez lés faits
. et gestes de tous vos adminis-
trés, car chez vouSj dans vos
tribus, un homme ne peut pas
faire un pas sans être aperçu
de ses voisins qui se préoccu-
pent immédiatement de ce qu'il
va faire* vous savez donc quels
sont les auteurs des différents
vols qui viennent d'être com-
mis. Je vous donne jusqu'à de-
main pour me livrer tous les
coupables ; et, pour vous oter
l'envie de me dénoncer de pau-
vres diables innocents qui au-
raient eu le "malheur de vous
déplaire, je vous préviens que
si vous cherchez à me tromper,
ou s'il survient d'ici quelque
temps un nouveau vol, vous
serez tous révoqués. »
Le lendemain les coupables
étaient livrés, le gouverneur
autorisait leur internement et
depuis cette époque, on n'en-
tend plus parler de bêtes volées»
les colons dorment tranquilles.
Il a suffi de purger la commune
de cinq ou six bandits de profes-
sion pour y ramener la sécurité.
Ce qui s'est fait à X... peut se
faire partout. Dans le cas qui
nous occupe on connaît les vo-
leurs, on connaît leurs compli-
ces, on connaît les receleurs. Les
côlons sont las des vols et des
déprédations dont ils sont vic-
times.
Il faut que maires et admi-
nistrateurs sortent enfin deleur
inaction et qu'à bref délai, nous
voyons partir pour Ain el Bey
cette demi douzaine de gre-
dins qui, jusqu'à présent, n'ont
échappé à la justice que par la
nonchalance ou l'aveuglement
de ceux qui sont chargés de la
police du pays.
Jamais commission munici-
pale, jamais conseil municipal
composé de colons français ne
refusera de voter les frais de
séjour à Aïn el Bey d'un mal-
faiteur dont l'internement aura
été réclamé. F. BARBEDETTE
La Chute du Ministère
C'est avec uii profond regret
que nous avons appris la chute
du ministère Brissoii et le vote
desdépulésalgérienS.
Nous n'avons pas,cessé de
croire à la culpabilité de Dreyfus
si énergiquemeitt affirmée par
tous les ministres de la guerre,
mais, après l'aveu du faux,
suivi du suicide du colonel Henri,
après la fuite du commandant
Eslherazy, le ministère ne pou-
vait s'empêcher de saisir la cour
suprême de l'examen d'une af-
faire qui menaçait de perpétuer
en France un état de trouble
regrettable.
C'est pour avoir agi avec une
droiture absolument répupubli-
caineque ce ministère tombe au-
jourd'hui sous la coalition des
réactionnaires qui, sous couleur
de nationalisme ont réussi à en-
traîner avec eux le groupe anti-
sémite.
La France ne sera nullement
menacée dans ses sentiments pa-
triotiques parceque la cour decas-
salion décidera qu'il y a lieu ou
non de réviser le procès Dreyfus.
En volant contre un ministère
composé de républicains honnê-
tes et décidés aux réformes dé-
mocratiques, nos députés ont
fait le jeu des opportunistes con-
tre lesquels l'Algérie s'est nette-
ment prononcée aux dernières
élections.
Ce voie a eu lieu sans même
laisser au ministère le temps
d'expliquer sa conduite et au
moment d'une grave complica-
tion extérieure. N'était-ce pas
l'occasion pour les nationalistes
de prouver leur patriotisme en
faisant voir que, lorsque la
France est menacée, Une saurait
plus être question de divisions
intestines au sujet de la politi-
que ou de là-révision.
Devant les avides prétentions
de l'ennemi séculaire la Cham-
bre doit donner à la France
l'exemple de l'union pour main-
tenir intacts le domaine national
et l'honneur du drapeau.
LA RÉDACTION.
Djidjélli, le 29 Octobre 1898.
Lesbienheurenx citadins, dont
le sommeil n'est jamais troublé
que par la sirène des paquebgts
et le chant des rares noctam-
bules, hausseront certainement
les épaules en voyant ce titre
s'étaler pour la centième fois en
tête du journal.
Mais les colons qui, après
avoir trimé tout le jour ne sont
jamais sûrs de retrouver le
matin à l'écurie les animaux
qu'ils y ont enfermés le soir,
les fermiers qui passent les lon-
gues nuits d'hiver à écouter la
voix des chiens et à s'assurer,
le doigt sur la détente, qu'au-
cun malfaiteur ne rode autour
. des bâtiments; les charretiers
qui, après avoir bataillé depuis
le matin dans le lit des rivières
et les ornières de la route, doi-
vent coucher le soir à la belle
étoile, le revolver au poing,
tous ceux-là vous diront que
nulle question algérienne ne
leur paraît plus digne d'intérêt,
et que le problème de la sécu-
rité n'a pas cessé pour eux d'ê-
tre d'actualité.
Certes notre région a passé,
pendant longtemps, pour une
des plus sûres, mais depuis quel-
ques semaines on nous a signalé
une série de vols qui révèlent
chez leurs auteurs une singu-
lière audace, et l'on peut se de-
mander si -l'insécurité ne de-
viendra pas sous peu aussi
grande auxenvironsde Djidjélli
que sur les hauts plateaux.
A Duquesne, un mulet a été
enlevé dans l'écurie de M. Mar-
cheguet. MM. Péppi et Aiguier
Sauveur ont eu des bêles vo-
lées, sur la roule, pendant la
halle de nuit. Et comme la
justice française est impuissante
contre les bandits arabes, si les
victimes ne veulent pas tout
perdre, les voilà contraintes de
recourir à la honteuse bechara,
celle plaie du pays, que la cour
d'Alger se refuse à réprimer.
Il faut bien le reconnaître,
lorsque des législateurs coupa-
bles et ignorants décidèrent
l'application en Algérie de no-
tre procédure française, ils n'eu-
rent pas d'autre but que de pro^
: léger les indigènes contre lesoit-
disant arbitraire des premiers
administrateurs eteon Ire la pré-
tendue arabophobie des colons.
Ils. ont si bien réussi dans leur
oeuvre néfaste qu'il n'est pas
aujourd'hui, pour un Arabe, de
métier plus sûr et plus rémuné-
rateur que celui de voleur de
bestiaux et de bêtes de somme.
Loin de moi donc la pensée
de rendre les juges responsables
deleur impuissance. Je me plais
au contraire à rendre hommage
au, dévouement et à l'activité de
la :plupart de nos magistrats ;
mais nul ne peut être tenu au
delà de ses forces, et comme le
législateur a pris soin de retirer
aux juges tout moyen de décou-
vrir les coupables, les voleurs
continuent à opérer à,l'aise,
malgré les plaintes réitérées des
colons.
Le parquet général s'est ému,
et l'année dernière, à l'audience
de rentrée de la cour d'Alger,
M. Durieu de Leyritz a prononcé
un magnifique discours, dans
lequel la question était traitée
de main de maître. Après avoir
exposé le mal, l'éminent avocat
général indiquait le remède.
Sa voix est resiée sans écho. La
Chambre consent bien à sacri-
fier deux ou trois séances à
quelque interpellation retentis-
sante sur les allaires d'Algérie,
mais elle n'a jamais le temps
d'examiner les besoins réels
des colons, qu'elle ne connaît
pas et dont elle se soucie peu.
Puisque la Chambre ne peut
ou ne veut rien faire pour nous,
c'est au gouvernement général
qu'il appartient d'user de tous
les moyens dont il dispose pour
diminuer l'insécurité. Il a en
mains deux armes puissantes :
le droit de révoquer les agents
indigènes qui ne font pas leur
devoir et celui d'interner les
individus réputés dangereux.
Qu'il en fasse plus souvent
usage et l'insécurité ne tardera
pas à diminuer d'une façon no-
table. Je n'en veux pour preuve
que l'anecdote suivante dont je
garantis l'authenticité.
Dans une commune mixte du
déparlement de Conslanline,
les vols se multipliaient d'une
façon inquiétante ; comme de
coutume, la justice connaissait
les coupables, mais elle dut les
relâcher faute de'preuve. L'ad-
ministrateur dévoué et énergi-
que prit alors sur lui de convo-
quer les chéiks et les oualtafs
auxquels il tint le langage sui-
vant : «vous connaissez lés faits
. et gestes de tous vos adminis-
trés, car chez vouSj dans vos
tribus, un homme ne peut pas
faire un pas sans être aperçu
de ses voisins qui se préoccu-
pent immédiatement de ce qu'il
va faire* vous savez donc quels
sont les auteurs des différents
vols qui viennent d'être com-
mis. Je vous donne jusqu'à de-
main pour me livrer tous les
coupables ; et, pour vous oter
l'envie de me dénoncer de pau-
vres diables innocents qui au-
raient eu le "malheur de vous
déplaire, je vous préviens que
si vous cherchez à me tromper,
ou s'il survient d'ici quelque
temps un nouveau vol, vous
serez tous révoqués. »
Le lendemain les coupables
étaient livrés, le gouverneur
autorisait leur internement et
depuis cette époque, on n'en-
tend plus parler de bêtes volées»
les colons dorment tranquilles.
Il a suffi de purger la commune
de cinq ou six bandits de profes-
sion pour y ramener la sécurité.
Ce qui s'est fait à X... peut se
faire partout. Dans le cas qui
nous occupe on connaît les vo-
leurs, on connaît leurs compli-
ces, on connaît les receleurs. Les
côlons sont las des vols et des
déprédations dont ils sont vic-
times.
Il faut que maires et admi-
nistrateurs sortent enfin deleur
inaction et qu'à bref délai, nous
voyons partir pour Ain el Bey
cette demi douzaine de gre-
dins qui, jusqu'à présent, n'ont
échappé à la justice que par la
nonchalance ou l'aveuglement
de ceux qui sont chargés de la
police du pays.
Jamais commission munici-
pale, jamais conseil municipal
composé de colons français ne
refusera de voter les frais de
séjour à Aïn el Bey d'un mal-
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