Titre : Alger-étudiant : organe officiel de l'Association générale des étudiants d'Alger
Auteur : Association générale des étudiants d'Algérie. Auteur du texte
Éditeur : Association générale des étudiants d'Alger (Alger)
Date d'édition : 1933-03-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32685365z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3712 Nombre total de vues : 3712
Description : 18 mars 1933 18 mars 1933
Description : 1933/03/18 (A12,N157). 1933/03/18 (A12,N157).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5728463m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-60882
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/01/2011
PRECISIONS
« On lit d'abord les Rua- :
Cocktails », disais-je la semaine {
dernière. Mais on ne lit pas que (
cela, dans notre journal. La (
preuve en est que Les Sports
en Mauritanie ont relevé mon 1
article « Journalistes » dans le- c
quel je morigénais — oh ! bien g
doucement — un de leurs ré- ri
dacteurs. Depuis plus de trois p
ans que Le Rua paraît et que e
je ratiocine en tête de ces co- p
lonnes sur des sujets assez peu p
variés, je pensais que plus per- li
sonne ne se donnait la peine de
me lire. Or je constate qu'il me ti
reste encore un lecteur : je
vous l'avoue, j'en suis tout fier, b:
Voici ce que dit notre grand m
confrère : pj
Vendredi dernier nous avons tr
publié les fragments essentiels de
d'une lettre que nous a adressée di
M. Perriau, secrétaire du RUA. b«
pour protester contre des corn- vi
mentaires formulés ici même à de
propos du match FCB-RUA. fo
. . Or, M. Perriau, qui a de la re
suite dans les idées, a encore
agité la question dans Rua, no- tre
tre sympathique confrère uni- m'
versitaire. fâ<
Nous approuvons le sécrétai- gei
re du RUA lorsqu'il défend ce co]
qu'il croit devoir défendre, sei
mais nous nous demandons toi
pourquoi M. Perriau, qui est en
intelligent, n'hésite pas à nous ses
suspecter de nuire au RUA et
aux frères Couard. Nous avons (
tant de fois prouvé le contraire, sor
qu'il est arnusan tde voir for- dit
muler cette erreur. Je :
Pour en revenir aux com- êtri
mentaires eux-mêmes ,M. Per- lire
riau, à qui nous pouvons dire, et .
malgré son dévouement à la fâc.
cause universitaire, que nous C
vivons au moins autant que lui pu!
la vie du RUA, ne nous fera pas je r.
croire qu'il n'existe pas dans cle.
m- son club, des dissentions aussi
ne graves et aussi insignifiantes
ue que dans n'importe quel autre
La club !
-ts Et quand nous dirons à M.
sn Perriau que l'entrefilet qu'il in- !
[e- crimine a été... suscité par un
si grand... ami des ruaïtes. nous
é- nous demandons s'il ne s'est
lis pas révélé comme un bon gar-
le con imprudent en se fâchant
o- pour quelque chose de laquelle
m précisément il aurait dû se fé-
v- liciter.
[e Allons ! qui aime bien, cliâ- ,
ie tie bien. Monsieur Perriau ! ,
ie Merci tout d'abord pour le ]
r. brevet d'intelligence que l'on :
d m'accorde. H m'est d'autant
plus agréable que je n'ai pas .
s trop l'habitude de me le voir <.
's décerner. Quand on vit quoti- (
e diennement au contact de Bo-||
'.. bette, on fait à soi tout seul, s
> vingt fois par jour, une bande ^
2 de... mettons d'imbéciles. Et ma B
foi, on arrive presque à le croi- e
i re. £
3 Par contre, je proteste con- c
- tre le mauvais caractère qu'on n
- m'attribue. Je ne me suis pas g
fâché du tout. J'ai simplement,
■ gentiment, fait remarquer à un 0]
; confrère qu'il avait été mal ren- p(
, seigné, ce qui peut arriver à m
■• tout le monde, et je le mettais fa
: en garde contre la source de U]
ses informations. fe
** fa
Cette question purement per- n(
sonnelle réglée, voyons ce que es
dit « l'homme des Vestiaires ». eg
Je me demande si je ne vais pas
être obligé de lui apprendre à
lire et ses textes, et les miens : su
et l'on dira encore que je me et
fâche. -ni,
Car le commentaire que nous rjc
publions ne critique que ce que
je n'ai pas écrit dans mon arti- co
cle. J'ai beau le relire, le disse- f0]
bi(
issi quer, je n'y trouve rien de ce
ites qu'on me reproche.
tte Je n'ai jamais dit, entre au-
tres, que notre club fût exempt
"+• de dissentions intestines, gra-
m-1 ves ou insignifiantes. On s'y dis-
un. pute souvent, on y crie, on y
ms menace. Et je ne pense pas
est qu'aucun club ait jamais tra-
ar" versé les crises morales qu'a
int connues le RUA., société trop
Mf grande pour son âge. Raison de
'e~ plus pour que, lorsqu'il n'y a
rien, on ne clame pas qu'il y a H
m" quelque chose. Et dans le cas
qui fait l'objet de ce petit sem- A
*e blant de polémique, il n'y avait
311 rien.
nt Je n'ai jamais dit. également,
as — ni voulu dire — que les pr
ir Sports en Mauritanie cher- ke
-1* chaient à nuire au RUA et aux no
°"l frères Couard. Ils nous ont as- Siî
< sez souvent donné des preuves T,
u ,,. , ^ r Ll<
lc d intérêt pour que cette pensée ba
13 n'ait même pas effleuré notre Me
1_ esprit. Et moi-même, chaque frè
fois que j'ai eu besoin de leur Je
1_ concours, je n'ai pas hésité à ,
a m'adresser à eux : et je n'ai eu ^
s qu'à m'en louer. g^
'-> Mais il y a un fait. Les Sports sir<
a ont attribué aux frères Couard, de
l" pour le match RUA-FCB, des 50>
a motifs d'abstention qui étaient 0
s faux. « On n'argue par contre ce (
3 un fait », disait mon vieux pro- I
fesseur de philosophie. Que le spr.
fait ait dépassé l'intention, amî
nous n en doutons pas : il n en °
sem
; est pas moins vrai que le fait cjie]
' est là. tes
> A neiri
1 Quant au « grand ami qui a ,nen
suscité l'entrefilet incriminé », so~c
' * "4. • T, • • reS
et qui parait si nien savoir ma- faut
|nier le pavé de l'ours, nous se- Séri<
rions heureux de le connaître, les ;
Nous manquons souvent de
collaborateurs, au Rua. Ses in-
formations précises seraient les ,
bienvenues dans nos colonnes; ysm
et il pourrait là, tout à son aise, sitai:
manifester l'amour qu'il nous tena
porte. vous
* ment
En résumé, dans mon article, —
j'ai simplement voulu faire re-
marquer qu'un journaliste de- ne, <
vrait toujours vérifier les in- algér
formations qu'il reçoit, car il en M
risque, sans le vouloir, et sou- qu'ui
vent même, alors qu'il a voulu sur L
le contraire, nuire à des collée- fois-c
tivités ou à des personnes à qui suite
il porte de l'intérêt. doute
Ces remarques découlaient amiti
de constatations que nous Ca:
avions faites à différentes re- bien,
prises, en ce qui nous concer-
I «Jeudi 30 Mars 1933
d OR AN
A l'occasion de la Fête du Lycée
Deuxième manche de l'Oxford-Cambridge Nord Africain
Lycée d'Alger
Lycée d'Oran
encadrée de diverses manifestations
as
-ATHLÉTISME
n
Dimanche 12 mars, " il y eut
' moins de monde que le dimanche
;s précédent. Il est vrai que le bas-
r- ket avait retenu quelques-uns de
x nos athlètes au stade du Red
5. Star.
Néanmoins étaient présents :
Llobel, Sconamiglio, Guyot, Sa-
e bâton, Monneret, De Valors,
e Mercadier, Dauternier, Balazard
e frères et quelques jeunes, que
r je félicite pour leur assiduité.
> Chacun s'affaira de son mieux I
dans son rayon et parmi les plus
1 brillants, je dois citer Guyot et
Sabaton. Ces deux athlètes réus-
? sirent notamment des lancers
de poids aux environs de 11 m.
'. 50, ce qui est bien pour un début
de saison. Monneret lança, quo'i-
' que babillé, à près de 11 mètres,
: ce qui est également bien.
De nombreux tours de piste et ,
sprints courts furent, effectués
ainsi que quelques sauts en lon-
gueur et en hauteur. Dans l'en- '
semble, cela va bien. Je repro- «
cherai toutefois à certains athlè-
tes leur, irrégularité aux entraî-
nements. La saison va débuter ,
bientôt. Il faudra que nous t
soyons prêts pour les premiè-
res épreuves. Pour être prêt, il T
faut s'entraîner, et s'entraîner ;
sérieusement. J'espère que tous
les atblètes le comprendront.
R. de V.
P.-S. — Le 2 avril prochain
aura lieu l'annuel Challenge in-
termembres de la Section d'athlé- ^
lisme du RUA. Scolaires, univer-
sitaires. préparez-vous dès main-
si
tenant. Il n'est que temps, si
vous voulez participer brillam- ^
ment à notre petite fête-sportive. ./Y
h
— p»
ne, dans les divers journaux ^
algérois. L'entrefilet des Sports
en Mauritanie n'a été pour nous „
qu'une occasion de les coucher
sur le papier. Pourquoi cette i||
fois-ci plutôt que d'autres ? Par _
suite des circonstances, sans ™
doute, et peut-être aussi, par
amitié.
Car qui aime bien, châtie
bien, n'est-ce pas !
P. PERRIAU. Hll
E DEPLACEMENTS
o
at Le RUA. est en pourparlers
ie pour déplacer son équipe pre-
3- mière de foot-ball à Constanti-
le ne pour les fêtes de Pâques. Un
tournoi aurait lieu entre VUS
. CC.,l'ASC„ le champion du dé-
_ portement de Constantine et le
3, RUA.
d Voici longetmps que nos
e joueurs désirent rencontrer les
footballeurs du « Rocher ».
s L'an dernier, la saison trop
t bien remplie ne leur laissa pas
- un seul dimanche libre pour ef-
s fectuer ce déplacement. Espé-
' rons que, cette année, rien ne
viendra s'y opposer.
Costes, délégué du Commis-
sariat des Sports de l'A.G., se
' charge de la réception. C'est
' \dire que notre équipe revien-
' dra enchantée de son séjour sur
la Brèche.
*
Pendant ce temps nos na-
geurs se paieront quelques pe-
tits voyages. Bône, Constanti-
ne, d'abord. Puis le Maroc.
ESCRIME
Notre nouveau camarade,
Amerigo, vient de se distin-
guer pour sa rentrée. Il se clas-
sa, Dimanche 5 Mars, 2e au
Championnat de sabre d'Alger.
Nous l'en félicitons, et lui sou-
haitons une excellente forme
pour le Championnat d'Algérie
pour lequel il a été désigné.
Nous féliciterons aussi M. Sch-
neider, le brillant champion
a"Alger.
« On lit d'abord les Rua- :
Cocktails », disais-je la semaine {
dernière. Mais on ne lit pas que (
cela, dans notre journal. La (
preuve en est que Les Sports
en Mauritanie ont relevé mon 1
article « Journalistes » dans le- c
quel je morigénais — oh ! bien g
doucement — un de leurs ré- ri
dacteurs. Depuis plus de trois p
ans que Le Rua paraît et que e
je ratiocine en tête de ces co- p
lonnes sur des sujets assez peu p
variés, je pensais que plus per- li
sonne ne se donnait la peine de
me lire. Or je constate qu'il me ti
reste encore un lecteur : je
vous l'avoue, j'en suis tout fier, b:
Voici ce que dit notre grand m
confrère : pj
Vendredi dernier nous avons tr
publié les fragments essentiels de
d'une lettre que nous a adressée di
M. Perriau, secrétaire du RUA. b«
pour protester contre des corn- vi
mentaires formulés ici même à de
propos du match FCB-RUA. fo
. . Or, M. Perriau, qui a de la re
suite dans les idées, a encore
agité la question dans Rua, no- tre
tre sympathique confrère uni- m'
versitaire. fâ<
Nous approuvons le sécrétai- gei
re du RUA lorsqu'il défend ce co]
qu'il croit devoir défendre, sei
mais nous nous demandons toi
pourquoi M. Perriau, qui est en
intelligent, n'hésite pas à nous ses
suspecter de nuire au RUA et
aux frères Couard. Nous avons (
tant de fois prouvé le contraire, sor
qu'il est arnusan tde voir for- dit
muler cette erreur. Je :
Pour en revenir aux com- êtri
mentaires eux-mêmes ,M. Per- lire
riau, à qui nous pouvons dire, et .
malgré son dévouement à la fâc.
cause universitaire, que nous C
vivons au moins autant que lui pu!
la vie du RUA, ne nous fera pas je r.
croire qu'il n'existe pas dans cle.
m- son club, des dissentions aussi
ne graves et aussi insignifiantes
ue que dans n'importe quel autre
La club !
-ts Et quand nous dirons à M.
sn Perriau que l'entrefilet qu'il in- !
[e- crimine a été... suscité par un
si grand... ami des ruaïtes. nous
é- nous demandons s'il ne s'est
lis pas révélé comme un bon gar-
le con imprudent en se fâchant
o- pour quelque chose de laquelle
m précisément il aurait dû se fé-
v- liciter.
[e Allons ! qui aime bien, cliâ- ,
ie tie bien. Monsieur Perriau ! ,
ie Merci tout d'abord pour le ]
r. brevet d'intelligence que l'on :
d m'accorde. H m'est d'autant
plus agréable que je n'ai pas .
s trop l'habitude de me le voir <.
's décerner. Quand on vit quoti- (
e diennement au contact de Bo-||
'.. bette, on fait à soi tout seul, s
> vingt fois par jour, une bande ^
2 de... mettons d'imbéciles. Et ma B
foi, on arrive presque à le croi- e
i re. £
3 Par contre, je proteste con- c
- tre le mauvais caractère qu'on n
- m'attribue. Je ne me suis pas g
fâché du tout. J'ai simplement,
■ gentiment, fait remarquer à un 0]
; confrère qu'il avait été mal ren- p(
, seigné, ce qui peut arriver à m
■• tout le monde, et je le mettais fa
: en garde contre la source de U]
ses informations. fe
** fa
Cette question purement per- n(
sonnelle réglée, voyons ce que es
dit « l'homme des Vestiaires ». eg
Je me demande si je ne vais pas
être obligé de lui apprendre à
lire et ses textes, et les miens : su
et l'on dira encore que je me et
fâche. -ni,
Car le commentaire que nous rjc
publions ne critique que ce que
je n'ai pas écrit dans mon arti- co
cle. J'ai beau le relire, le disse- f0]
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issi quer, je n'y trouve rien de ce
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tte Je n'ai jamais dit, entre au-
tres, que notre club fût exempt
"+• de dissentions intestines, gra-
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int connues le RUA., société trop
Mf grande pour son âge. Raison de
'e~ plus pour que, lorsqu'il n'y a
rien, on ne clame pas qu'il y a H
m" quelque chose. Et dans le cas
qui fait l'objet de ce petit sem- A
*e blant de polémique, il n'y avait
311 rien.
nt Je n'ai jamais dit. également,
as — ni voulu dire — que les pr
ir Sports en Mauritanie cher- ke
-1* chaient à nuire au RUA et aux no
°"l frères Couard. Ils nous ont as- Siî
< sez souvent donné des preuves T,
u ,,. , ^ r Ll<
lc d intérêt pour que cette pensée ba
13 n'ait même pas effleuré notre Me
1_ esprit. Et moi-même, chaque frè
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1_ concours, je n'ai pas hésité à ,
a m'adresser à eux : et je n'ai eu ^
s qu'à m'en louer. g^
'-> Mais il y a un fait. Les Sports sir<
a ont attribué aux frères Couard, de
l" pour le match RUA-FCB, des 50>
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s faux. « On n'argue par contre ce (
3 un fait », disait mon vieux pro- I
fesseur de philosophie. Que le spr.
fait ait dépassé l'intention, amî
nous n en doutons pas : il n en °
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; est pas moins vrai que le fait cjie]
' est là. tes
> A neiri
1 Quant au « grand ami qui a ,nen
suscité l'entrefilet incriminé », so~c
' * "4. • T, • • reS
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|nier le pavé de l'ours, nous se- Séri<
rions heureux de le connaître, les ;
Nous manquons souvent de
collaborateurs, au Rua. Ses in-
formations précises seraient les ,
bienvenues dans nos colonnes; ysm
et il pourrait là, tout à son aise, sitai:
manifester l'amour qu'il nous tena
porte. vous
* ment
En résumé, dans mon article, —
j'ai simplement voulu faire re-
marquer qu'un journaliste de- ne, <
vrait toujours vérifier les in- algér
formations qu'il reçoit, car il en M
risque, sans le vouloir, et sou- qu'ui
vent même, alors qu'il a voulu sur L
le contraire, nuire à des collée- fois-c
tivités ou à des personnes à qui suite
il porte de l'intérêt. doute
Ces remarques découlaient amiti
de constatations que nous Ca:
avions faites à différentes re- bien,
prises, en ce qui nous concer-
I «Jeudi 30 Mars 1933
d OR AN
A l'occasion de la Fête du Lycée
Deuxième manche de l'Oxford-Cambridge Nord Africain
Lycée d'Alger
Lycée d'Oran
encadrée de diverses manifestations
as
-ATHLÉTISME
n
Dimanche 12 mars, " il y eut
' moins de monde que le dimanche
;s précédent. Il est vrai que le bas-
r- ket avait retenu quelques-uns de
x nos athlètes au stade du Red
5. Star.
Néanmoins étaient présents :
Llobel, Sconamiglio, Guyot, Sa-
e bâton, Monneret, De Valors,
e Mercadier, Dauternier, Balazard
e frères et quelques jeunes, que
r je félicite pour leur assiduité.
> Chacun s'affaira de son mieux I
dans son rayon et parmi les plus
1 brillants, je dois citer Guyot et
Sabaton. Ces deux athlètes réus-
? sirent notamment des lancers
de poids aux environs de 11 m.
'. 50, ce qui est bien pour un début
de saison. Monneret lança, quo'i-
' que babillé, à près de 11 mètres,
: ce qui est également bien.
De nombreux tours de piste et ,
sprints courts furent, effectués
ainsi que quelques sauts en lon-
gueur et en hauteur. Dans l'en- '
semble, cela va bien. Je repro- «
cherai toutefois à certains athlè-
tes leur, irrégularité aux entraî-
nements. La saison va débuter ,
bientôt. Il faudra que nous t
soyons prêts pour les premiè-
res épreuves. Pour être prêt, il T
faut s'entraîner, et s'entraîner ;
sérieusement. J'espère que tous
les atblètes le comprendront.
R. de V.
P.-S. — Le 2 avril prochain
aura lieu l'annuel Challenge in-
termembres de la Section d'athlé- ^
lisme du RUA. Scolaires, univer-
sitaires. préparez-vous dès main-
si
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ment à notre petite fête-sportive. ./Y
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— p»
ne, dans les divers journaux ^
algérois. L'entrefilet des Sports
en Mauritanie n'a été pour nous „
qu'une occasion de les coucher
sur le papier. Pourquoi cette i||
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suite des circonstances, sans ™
doute, et peut-être aussi, par
amitié.
Car qui aime bien, châtie
bien, n'est-ce pas !
P. PERRIAU. Hll
E DEPLACEMENTS
o
at Le RUA. est en pourparlers
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3- mière de foot-ball à Constanti-
le ne pour les fêtes de Pâques. Un
tournoi aurait lieu entre VUS
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_ portement de Constantine et le
3, RUA.
d Voici longetmps que nos
e joueurs désirent rencontrer les
footballeurs du « Rocher ».
s L'an dernier, la saison trop
t bien remplie ne leur laissa pas
- un seul dimanche libre pour ef-
s fectuer ce déplacement. Espé-
' rons que, cette année, rien ne
viendra s'y opposer.
Costes, délégué du Commis-
sariat des Sports de l'A.G., se
' charge de la réception. C'est
' \dire que notre équipe revien-
' dra enchantée de son séjour sur
la Brèche.
*
Pendant ce temps nos na-
geurs se paieront quelques pe-
tits voyages. Bône, Constanti-
ne, d'abord. Puis le Maroc.
ESCRIME
Notre nouveau camarade,
Amerigo, vient de se distin-
guer pour sa rentrée. Il se clas-
sa, Dimanche 5 Mars, 2e au
Championnat de sabre d'Alger.
Nous l'en félicitons, et lui sou-
haitons une excellente forme
pour le Championnat d'Algérie
pour lequel il a été désigné.
Nous féliciterons aussi M. Sch-
neider, le brillant champion
a"Alger.
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