Titre : Le Matin : derniers télégrammes de la nuit
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1915-10-05
Contributeur : Edwards, Alfred (1856-1914). Directeur de publication
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Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 05 octobre 1915 05 octobre 1915
Description : 1915/10/05 (Numéro 11543). 1915/10/05 (Numéro 11543).
Description : Note : édition de Paris. Note : édition de Paris.
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/05/2008
4 BHS
S
-LES MILLE ET UN MATINS
M REPÔyiipRÊfflE
Mme Dolpierre traversa lentement le dor-
toir où s'allongeait, sur deux lignes, une
théorie de lits de fer et, la face souriante,
demande
^-Eh bien, mes petits, on a été sages,
dette tiuit y
Oui, oui, répondirent-ils en choeur.
« Maman » est restée pour tenir la main du
lieutenant, alors, vous comprenez, il n'a pas
braillé et l'on a bien roupillé 1
Elle est ridicule, cette petite, à ne pren-
dre jamais de repos L.. Il faut que je la
gronde Mademoiselle te Maman
--̃Tout au bout du dortoir, venant de der-
rière une sorte de séparation qui isolait un
lit de douleur, une voix fraîche, presque une
voix d'enfant, répondit
Voilà.. Je viens.
Presque aussitôt, enveloppée dans la Ion.
gue blouse blanche d'infirmière, « Maman »
"C'était une toute jeune fille, très menue,
Eres gracile, dont le visage ingénu s'éclai-
taU de deux grands yeux bleus très inno-
cents, et qui semblait devoir s'écrouler sous
le môindre fardeau ou s'évanouir devant le
plus léger bobo Elle avait pourtant sup-
porté, sans faiblir ni défaillir, les plus du-
res fatigues, les plus répugnantes besognes
fit s'était si bien prodiguée, s'était montrée
si douce, si prévenante, si maternelle que
les blessés, malgré sa jeunesse, l'avaient
appelée du nom qui monte du cœur aux
lèvres- lorsqu'on souffre « Maman 1
7-îtt ".Que me disent ces enfants, lança d'une
TOix.' Révère Mme Dolpierre, lorsque vous
êtes de service le jour, vous passez aussi la
noitî.
Jç«*Maman n voila ses yeux de ses paupières
anjç- longs cils et, toute rougissante, pareille
à3CWfe fillette prise en faute, s'excusa
-,Par exception, madame, je me suis
couchée un peu plus tard. Il faisait très
chaud, je n'avais pas sommeil.
-» Tàratata i. C'était pour faire plaisir à
ce grand dadais qui voudrait vous avoir
sans cesse près de son lit, à lui tenir la
Le pauvre garçon souffre et, lorsque je
sœs à ses côtés, il est rassuré, apaisé. Ce
scHn|~]iês seuls instants où il repose.
toute vibrante de plaisir, elle jeta
va mieux, vous savez
T"felon baissé, la menaçant du doigt, Mme
Doïpiçrre l'interrompit
Petite maman, vous aimez votre grand
blessé!
}.:r+ jÈn garde-malade.
:+.Non, non, plus que cela; Vous ne
te -quittez pas.
-Ob 1 madame, protesta-t-elle, voua
voùs'-lrompez Seulement. le lieutenant
est-- si -malade Puis,' personne ne s'in-
téresse à Iul Alors c'est un peu mon de-
voir-de lui donner l'illusion des affections
qni;ltn manquent..
?:.Mmë Dolpierre partie, CI Maman donna
derl&tjsane 1'uh, refit le pansement d'un
autre, '.redressa quelques oreillers, puis, de
son pas 'glissé; pour ne pns le réveiller si.
par_jhfaBard, il dormait, passant derrière la
cloison, elle rejoignit son grand blessé.
,£ji,,jtété tout entourée de bandelettes, il
demeurait immobile sur sa couche, si pâle
que (sç face se confondait avec les linges
-on ne voyait plus, trouant l'oreiller,
iqàe; deux yeux, deux grands yeux noirs
brillants de fièvre
Dès qu'il aperçut l'infirmière, l'officier
Sortit de sa torpeur et l'appela
• -4- .Petite maman ?
-*̃ Ëh bien, demanda-t-elle, rapprochée
Se "son lit, on ne dort donc pas?
̃Il–secoua la tête tristement
Je n'ôi plus le temps de dormir. Il
me reste si peu de jours à vivre.
4~.v0ùé dites-vous?'
3£"-ïe sais.. Aussi, je voudrais vous faire
ace confidence.
La jeune fille rapprochée, il lui prit les
mains et les yeux baissés, ému de ses pa-
.Maman,, j'ai une fiancée, une fiancée
qjâé; j'aime infiniment.
L'infirmière devint pftle, plus pâle qnc
le malade peut-être et, dans un mouvement
de .'recul, elle retira ses mains, ses maiiib
lui avait données durant des nuits
entières et dont la bienfaisante fraîcheur
avait calmé sa fièvre. Elle répéta, stupé-
̃ Vous avez une fiancée
Je ne vous en parlais pas car je vou-
lais vous faire une surprise quand ellr
serait venue vous remercier de vos bons
soins. Je l'attends depuis que je sujs
transporté il. Pambulance, elle a dO être
prévenue par mon capitaine. Seulement
comme je ne sais plus rien d'elle, je m'in,
qiriète. Je crains qu'elle n'ait perdu mon
adresse.
Elle haussa les épauleR.
Perdu votre adresse, c'est invraisem-
blable 1
C'est possible 1. Alors, je désirerais,
ma thère petite maman, que vous lui écri-
viez pour lui dire de venir me voir très
Debout, dans un cri révolté, ëtle jeta
̃ Vous voulez que, moi, j'écrive à votre
,M' vous en prie. Je ne veux pas mou-
rir sans la revoir
• Oui, oui, je comprends, je lui écrirai.
EU toute courbée sous lè poids de la dou-
leur violente qui s'était abattue sur elle d'un
epup brutal, la jeune infirmière se sauva
pj&ïtr rjue les grands yeux de fièvre ne décou.
vrissent point les siens tout embrumés de
la pauvre petite « maman n qui soi-
gnait. ces hommes, dont elle eût été presque
ia fille,' avec un dévouement dans lequel en-
trait plus de tendresse que de pitié, ùnhor-
rjblé calvaire commença. Son cher grand
blessé auquet, sans le vouloir, elle avait
donné tout son coeur d'amour pour mieux
te défendre contre la mort, la confidence,
une' fois faite, ne lui parlait plus que de
VÀûiré, l'autre qui, jusqu'à présent, n'avait
f£H nul effort, non seulement pour lé soi-
gner, ïe guérir, mais même pour savoir s'il
civait encore. La fièvre lui faisant perdre la
riotTôri du temps, une heure après !ui avoir
demandé d'écrire, il s'informait déjà si sa
• bien-àïmée ne lui avait pas répondu et, tons
(es jours, à tous les instants, il réclamait la
lettre attendue, qui n'arrivait jamais.
''Il s'animait, ses pommettes se mar-
Bréiëût de rougeur, ses bras, ses mains
^'agitaient en des mouvements impulsifs
M fébriles. Le délire le prenant, le blessé
«e mit à divaguer et, inquiète, ci maman »
dut demander d'urgence le médecin de
service.
Cesl fini, déclara celui-ci, avec un pe-
tit haussement d'épaules. Je suis même
étonné qu'il ait duré aussi longtemps. Il
vous doit sûrement quelques jours d'exis-
La sentence du major laissa maman »
atterrée. Le cher blessé ne l'aimait point,
a ne se doutait même pas de sa tendresse,
mais il était là et, dans le mystère dé son
cœur, elle nourrissait le vague espoir qu'un
jour, peut-être, il établirait à son avantage
une comparaison entre elle et.' l'autre, si
cruellement indifférente.
Mais, dans la salle, un amputé, de long
en large, essayait ses béquilles. Les coups
secs et réguliers, martelant le parquet, tirè-
rent le malade de la torpeur qui l'envahis-
sait
Suzy, :c'est toi ? demandart-fl. Oh t
ma bien-aimée 1 Tu es bonne. Tu me don-
nes :la joie de ne ,pas mourir abandonné.
Viens, viens vitz 1
La sourde cadence des essais du conva.
lescent s'éloignant davantage, les yeux du
moribond chavirèrent dans une horrible dé-
ception, un sanglot étreignit sa gorge, se
terminant dans un râle, et sa face contrac-
tée. ses lèvres tordues dans un affreux ric-
tus, offrirent soudainement, aux regards de
« maman Il affolée, l'image d'un être expi-
rant dans l'amertume et le désespoir.
Impuissante, elle se tordit les mains. Les
paupières closes sur des larmes ne s'ouvri-
raient-elles dans l'au-delà que sur de déce-
vantes visions, la bouche méchante ne pro-
férerait-elle, dans l'infini, que des blasphè-
mes et l'âme libérée ne garderait-elle, de sa
vie terrestre, que l'affreuse survivance des
rancœurs et des désillusions 1. Non,'non,'
c'était impossible
Alors, se penchant, divinement pitoyable,
elle murmura entre ses pleurs
C'est moi, mon bien-aimé. Je suis là.
Je jure de vous demeurer à jamais fidèle.
Lointaine, comme incrédule, la voix d'an·
goisse soupira
C'est toi; Suzy
C'est moi, voire Suzy.
La magie de ce mot opéra le miracle. Su-
bitement, ce damné, retrouvant sa foi en
l'amour, reconquit le repos des élus.
Le cœur à demi glacé eut un suprême
battement de bonheur. Une beauté sereine
transfigura la face convulsée, irradiant les
traits, imprimant un sourire d'extase à la
bouche, et l'Ame, arrêtée sur les lèvres, s'en-
vola dans ce souffle
Merci.
Daniel Riche
{Traduction réservée.)
TRÈS CHER Q. RUE L/FITTE D U U U A
Teint superbe à 60 ans.
Il est très facile pour toutes les femmes de
50 et même de 60 ans d'avoir le teint frais et
délicat d'un enfant. Les rides, les lignes, les
taches de rousseur, le hâle et, d'une maniére
générale, toutes les marques de la peau n'en
recouvrent que la partie extérieure, sorte
d'enveloppe connue sous le nom d'ép'derme.
Celui-ci est composé d'une infinité d'écaillés
très fines, qui prennent naissance sous la
surface de la peau. Dans la jeunesse, ces
écailles sont très tendres et d'sparaissent
très rapidement mais. avec l'âge, elles de-
viennent plus épaisses et plus dures et, très
fréquemment, chez les femmes de plus de
35 ans, des rides commencent se former
et le teint devient terreux et blême. Sous
cette enveloppe se trouve la peau « vivante »
proprement dite, qui conserve toujours la
beauté et la vitalité de la jeunesse, ne se
ride ni ne s'altère jamais, et c'est précisé-
ment dans cette peau que se trouve la véri-
table source du joli teint. Ce que l'on consi-
dère généralement, en effet, comme des
teints flétris, ne sont en réalité que des
teints recouverts d'une peau épaisse et
morte ainsi peut-on rapidement leur ren-
dre la beauté naturelle de la jeunesse, en
dissolvant les écailles qui forment cette peau
morte. Il suffit pour cela d'appliquer, tous
les soirs, sur .e visage, un peu de cire
aseptine pure, cire végétale, qui possède la
propriété toute particul'ère d'adoucir ou de
dissoudre ces écailles mortes et sèches jus-
qu'à ce qu'il en reste juste assez pour re-
couvrir c. protéger le derme ou peau pro-
prement dite. Le savon, l'eau, les crèmes
n'enlèvent que les couches d'écailles les
mo'ns adhérentes et ne peuvent jamais, en
conséquence, faire ressortir la véritable
beauté du teint comme y réussit rapidement
la cire aseptine. Pour une très modique
somme, vous pouvez vous en procurer en
quantité suffisante pour corriger complète-
ment les défauts de votre teint, eut vous
serez littéralement surprise de l'embellisse-
ment immédiat de votre visage.
a Valette est sans reproche
La rentrée au Conservatoire
La rentrée des classes au Conservatoire a
en, lieu hier matin rue de Madrid. En rece-
vant ses élèves, M. Truffier leur a adressé
une chaleureuse alloculion il.a évoqué le
souvenir de leurs jeunes camarades glo-
rieusement tombés sur le champ de ba-
taille Raynal, Garrigues, Rochet et Raoul
Sarcey. Il a terminé par ces mots
Au, cours de la vie un, peu frelatée 'que
vous avez menée dans les coulisses, élevez
sans cesse vos cœurs et vos esprits plus
haut que par le passé vous le devez, nous
le devons aux survivants de la grande ba-
taille et aux morts.
UN MORT VIVANT
Petit-Cœur (Savoie), 3 octobre. Du
correspondant particulier du Il Afalin ».
M. Cafnille Beaupoil, soldat au de ligne,
en convalescence dans sa famille, a reçu un
avis officiel lui annonçant son propre dé-
cès. On juge de sa stupéfaction.
ACADÉMIE DES SCIENCES
M. Bteourdan annonça hier qne M. Sois, direc.
teur de l'observatoire de Barcelone, a découvert une
planète qui parait nouvelle.
M. Emiie Picard présenta une note dont il est
l'auteur, intitulée l'Histoire du sciences et Ut
prétentions allemandes.
Le docteur Roux a fait une communication sur
l'emploi des émanations du radium condensées en
tubes clos. qui peuvent servir en thérapeutique à
la place
La gare du Chevaleret devient la gare
iTlïrï-siir-Seine
Depuis longtemps la Compagnie d'Orléans
demandait que la gare du « Chevaleret » à
Ivry prît le nom de gare d' « Ivry-sur.
Seine n, ce qui était, en effet, logique.
M. Marcel Sembat, ministre des travaux
publics, vient de donner l'autorisation de-
mandée.
LES DÉCLARATIONS DE,CHIENS
Les .déclarations de chiens sont reçues dans
les mairies jusqu'au 15 janvier procuain. Ces
déclarations sont obligatoires non seulement
pjur les imposables qui n'ont pas été compris
dans les rôles de 1915, mais encore pour ceux
qui, bien que figurant sur les rôles, auraient
cessé d'habiter la commune ou le ressort de la
perception où iis sont actuellement imposé».
THHïTRESJJOJlCERTS
La répétition générale d'aujourd'hui Au
théâtre Antoine, à 2 heures, répétition géné·
raie de la Nouvelle revue, de Rip, -suite à
1915 Les-principales scènes seront inter-
prêtées par Mmes Marthe Régnier. Yvonne
Printemps, MM. Prince. A. Lamy.
Comédie-Française. Ce soir, à 8 heures
Grinaoire, la Prittcesse Georae.
Gaité. 11'faut voir Mlle leanné Cheirel et
M. Levesque dans la Marraine de Charley.
Palais-Royal. Mardi, jeudi. samedi. 8 h.30.
la Caonntie. Mat. dim. (Vilbert et Lamy.)
Porte-Saint-Martin. -Ce soir, à 8 h.la Flam-
bée. Mardi, jeudi, samedi, dim., même spect.
Ambigu, Ce soir. 8 h.. le Maître de Forges.
Mardi, jeudi, samedi, dim.. même spectacle.
Théâtre Moncey (Dir. intér.). Relâche. Jeu-
di 7, la Favorite, Location ouverte.
Renaissance. Fred.Séance de auit. Succès.
Théâtre Michel. Feydeau et Rip. 8 h. 30.
Théâtre Réjane. Mat.,soir..F«re de Neptune
Théâtre Moderne. Ça WTouche. gr. revue.
I L'Olympia I donne ua programme sans égal.
Le Trio Eldon. La revue Qui va
là P. Auj. mat. Faut fr. Soirée 2, 3 fr.
Oui, mais on Salles combles tous les soirs
va à la Cigale pour applaudir Faut voir ça l
Chez MayoL 14.Ooe fr. de recettes en trois
jours tel est le chiffre formidable réalisé par
Régina Badet. Ce chiffre colossal est uns précé-
dent dans les annales du théâtre. Voilà qui prouve
le triomphe remporté par la merveilleuse artiste
Régina Badet.
^j» La Pie oai Chante. Fursy, Bastia. Ber-
ka, Germaine, Charley, Bussy; la Revue.
Empire-Music-Hall (41, avenue WaffTam).
Ce soir, débuts: Yrven, Mitai Barthe, Y. Harnold,
Miss Howe, Dourza, Tsom-West, Dariel's, Mona
Gondré, Stim et Stom, Constantin. Fauteuil, fr.
La Chaumière bd Clichy), dir. Weil-TourUl.
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et soir, 8 h. 30, g. actual. Ft.: 3, 2,1 f r. et o fr.jo.
Scala. 8 h. 30, Stade in Scaia: Jane Mamac.
Eldorado. 3 h.,mat.,f t.,o f.50 8 h. 3o,Dranem.
Ba-Ta-Clan. Henriette Leblond. Chic a -l'or,
Moulin de la Chanson, 9 h., ses chansonniers.
Au Caf' Cône*. Ouverture' prochainement.
GROUPES, RÉUNIONS
Tzs Hellènes de Paris se réunissent- aujourd'hui,
à 3 heures de l'après-midi. SS, rue Serpente, à l'hô-
tel des Sociétés savantes.
L'Ecole ),tbre des sciences politiques, rue
Saint-Guillaume, reprendra ses cours réguliers le»
Il., r ovemhM Le registre d'inscriptions sera ouvert
du 25 octobre au novembre.
Lfl VIEJjPOKTIVE
CYCLISME
le Grand Handicap de 50 kilomètres. Cette
épreuve a donné les résultats suivants pour les 10
premiers sur 28 arrivants
1. Louis Fargier (1., 2 m. 40 s.),'en 'i h. U m.
49 s. 3/5 (temps réel, h. 34 s.
Macé (D.N. IX». m. 15-s.J, à longueurs, 3. Geor-
ges Hautin (P.rI.S.; 1 m. 45 s.), en 1 h. 44 m 63 s
5. Georges Mary (H.C.P., en m. 10 s.), a 4 long.;
Ferdinand Chéron (F.R.S., 3 m 30 s.), en I h. 47 m.
29 s. Marcel Durand (I.. 9 m.), en 1 b 18 m.
54 s,; 9 Mtchel Huet (H.C.P., 4 m. 50 sj. en 1 h
49 m. 39 s. 4/5, Edouard Loëw il., 10 m. s. en
I h. 49 m. 57 s.
FOOTBALL ASSOCVriON
Sur le front. Nous recevons d'un blessé la !et-
tre suivante
Je vous envoie le résultat de deux matches joués
sur le front par 3 équipes de la 70e division, dont
vous avez inséré la citation il y a quelques mois
.Match du t5 septembre 1915 contre U»
chasseurs à pied. bat par buts contre
• Match du 18 septembre 1915 contre
chasseurs Pied. S6?« bat 49e par 6 buts contre 0.
Equipe du sous-lieutenant André, Grue.
Holl-Namleau, Dupdnt, Dugenet, Lemée. Vidal,
Thibëaudeau: Sarlinit, Masson.
• P.-S. Blessé d'une balle qui, m'a traversé l'A-
pâule le 24 septembre, c'est la raison pour lauueue
je vous écris de l'hôpital anglais. J. L.
VIE COMMERCIALE
SUCRES Marché plus animé et meilleure de-
manda On a fait du blanc disponible à 76 fr. et du
novembre-décembre à 68 50 et 69 tr., ce dernier prix
reste offert. les cours des granulés américains res-
tent très irrêjruliers. Les raffinés sont sans chan.
gement. HUILE DE UN. Inchangée, fr.
Marché aux bestiaux de la ViUette
Espèces A"?** 'ën Prîï p M i~ 2e 3e
nés dus pilKmes '»̃ q\ê. qté. qté.
Bœufs. 2.562 94 i *2 à i 86 SI» ili «TR
Vaches 90 à 2 36 S 28 2 18 'g M
Weaux. 231 2 14 2 06 if «
N'eaux 1.198 72 s 26 à S 08 2 90i; 66 2 46
Moutons.. t3 SM 1 89 à 3 06 2 2 78 ï 28 2 fts
Porcs
Le marché est bon, les arrivages sont normaux.
Pour le gros bétafi, les moutons et les veaux les
prix sont sans changement; le temps frais main-
tient les cours malgrd beaucoup de demandes Pour
les porcs, hausse de trancs aux 100 kilos.
DERNIERS COURS ÉTRANGERS
LISBONNE. 4 octobre Agio sur l'or 55 o/o.
Change sur Paris, 7 54; sur Londres, 34 7/s.
SITU&TIOHS
BOURSE DE PARIS
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-J9ûbS9| 8760 1199 iM%. 345 COURS DES OHANfiKS
1SC9454 HSerta«SS4% ISIÎSîl. SOI 7S 201
BstaaGLaan, 550 1883,S% 330 334 New-fort. 5 80 5 78
T«re Mrt.4%1 61.. » CtaO. Uire.. 1S75 1*95 2IO%.l 353 361.. Bareatoas. 553 5 53
GLOBÉOL-
réalise la transf usion sanguine
Qui dit surmenage, dit nécessairement intoxication. la fati-
gue sons toutes ses formes se soldant touiours par une produc-
tion de poisons organiques qui se déversent et s'accumulent
dans le torrent circulatoire.
Par le fait, que vous vous soyezéreinté à la chasse, au bal.
& fendre du bois, ou tout au contraire A travailler de tête
comme l'on dit. à faire des chiffres ou des verts, compulser
des dossiers, à préparer un examen, les symptômes et tes sen-
sations sont les mêmes (courbatures, accablement, fièvre, ma-
laise, bouche amère, urines chargées, langue sale, etc.)
comme si vous inauguriez Une maladie.
Le surmenage suppose toujours une flambée, des suroxyda-
tions, une forte dépense de forces, partant une perte de subs-
taace, une dégradation des tissus, dont le résultat obligatoire
est un excès de cendres, suies, déchets, excréta voilà le sang
empoisonné.
La seule différence, à cet égard, entre le surmenage physi-
que et le surmenage intellectuel. c'est que. dans te premier cas
l'on brûle de la pulpe musculaire et, dans le second, de la
substance nerveuse.
C'est également le cas du surmenage moral, consécutif aux
émotions violentes, aux oragps de la passion, aux grands cha-
grms, même à l'abus des plaisirs.
Tout le monde sait que la viande du gibier forcé est im-
mangeable parce qu'elle est saturée de ces poisons qu'on pour-
rait appeler de l' essence de fatigue
Il en est de même de la viande des bêtes qui ont beaucoup
souffert avant de mourir, des bêtes torturées, par exemple, et
aussi de celle des animaux tués -.tous les chasseurs de cerfs
et de chevreuils vous le diront pendant la saison des
amours.
Inutile d'ajouter que. comme il n'y a pas deux physiologies,
l'homme loge à la même enseigne, ceci près que. sauf'de
rares exceptions. sa chair ne se mange pas.
Quel que soit le genre, quelle qu'ait été la cause de la fati-
Il' LE TONIQUE QUI DOIT ÊTRE PRIS PAR TOUST CHAQUE JOUR
BLESSÉS
3 cuillers par jour de
SUC DURUAM
reconstituent le sang
["PARIS -MIDI"
Suspendu 2 jours
par la censure
REPARAIT
AUJOURD'HUI
sur 4 pages
BANQUE GIRON(S3»u».),67,nieRajnbuteau.Pari«.
gue subie, fût-elle même une de ces fatigues que les volup-
tueux qualifient volontiers d'exquises, elle aboutit à un empoi-
sonnement du sang.
< Il n'y a qu'un remède, c'est de changer de sang, le veux
dire de se refaire du sang neuf, frais et pur.
Nul n'ignore aujourd'hui que rien n'est plus facile. puisque
nous avons le Globéol. qui n'est autre chose que de la quintes-
sence de sang vivant, complet et parfait, meilleure même, à uni
certain point de vue, que nature, puisqu'il a été préalablement il
l'objet d'une sélection judicieuse, -H
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Mme Dolpierre traversa lentement le dor-
toir où s'allongeait, sur deux lignes, une
théorie de lits de fer et, la face souriante,
demande
^-Eh bien, mes petits, on a été sages,
dette tiuit y
Oui, oui, répondirent-ils en choeur.
« Maman » est restée pour tenir la main du
lieutenant, alors, vous comprenez, il n'a pas
braillé et l'on a bien roupillé 1
Elle est ridicule, cette petite, à ne pren-
dre jamais de repos L.. Il faut que je la
gronde Mademoiselle te Maman
--̃Tout au bout du dortoir, venant de der-
rière une sorte de séparation qui isolait un
lit de douleur, une voix fraîche, presque une
voix d'enfant, répondit
Voilà.. Je viens.
Presque aussitôt, enveloppée dans la Ion.
gue blouse blanche d'infirmière, « Maman »
"C'était une toute jeune fille, très menue,
Eres gracile, dont le visage ingénu s'éclai-
taU de deux grands yeux bleus très inno-
cents, et qui semblait devoir s'écrouler sous
le môindre fardeau ou s'évanouir devant le
plus léger bobo Elle avait pourtant sup-
porté, sans faiblir ni défaillir, les plus du-
res fatigues, les plus répugnantes besognes
fit s'était si bien prodiguée, s'était montrée
si douce, si prévenante, si maternelle que
les blessés, malgré sa jeunesse, l'avaient
appelée du nom qui monte du cœur aux
lèvres- lorsqu'on souffre « Maman 1
7-îtt ".Que me disent ces enfants, lança d'une
TOix.' Révère Mme Dolpierre, lorsque vous
êtes de service le jour, vous passez aussi la
noitî.
Jç«*Maman n voila ses yeux de ses paupières
anjç- longs cils et, toute rougissante, pareille
à3CWfe fillette prise en faute, s'excusa
-,Par exception, madame, je me suis
couchée un peu plus tard. Il faisait très
chaud, je n'avais pas sommeil.
-» Tàratata i. C'était pour faire plaisir à
ce grand dadais qui voudrait vous avoir
sans cesse près de son lit, à lui tenir la
Le pauvre garçon souffre et, lorsque je
sœs à ses côtés, il est rassuré, apaisé. Ce
scHn|~]iês seuls instants où il repose.
toute vibrante de plaisir, elle jeta
va mieux, vous savez
T"felon baissé, la menaçant du doigt, Mme
Doïpiçrre l'interrompit
Petite maman, vous aimez votre grand
blessé!
}.:r+ jÈn garde-malade.
:+.Non, non, plus que cela; Vous ne
te -quittez pas.
-Ob 1 madame, protesta-t-elle, voua
voùs'-lrompez Seulement. le lieutenant
est-- si -malade Puis,' personne ne s'in-
téresse à Iul Alors c'est un peu mon de-
voir-de lui donner l'illusion des affections
qni;ltn manquent..
?:.Mmë Dolpierre partie, CI Maman donna
derl&tjsane 1'uh, refit le pansement d'un
autre, '.redressa quelques oreillers, puis, de
son pas 'glissé; pour ne pns le réveiller si.
par_jhfaBard, il dormait, passant derrière la
cloison, elle rejoignit son grand blessé.
,£ji,,jtété tout entourée de bandelettes, il
demeurait immobile sur sa couche, si pâle
que (sç face se confondait avec les linges
-on ne voyait plus, trouant l'oreiller,
iqàe; deux yeux, deux grands yeux noirs
brillants de fièvre
Dès qu'il aperçut l'infirmière, l'officier
Sortit de sa torpeur et l'appela
• -4- .Petite maman ?
-*̃ Ëh bien, demanda-t-elle, rapprochée
Se "son lit, on ne dort donc pas?
̃Il–secoua la tête tristement
Je n'ôi plus le temps de dormir. Il
me reste si peu de jours à vivre.
4~.v0ùé dites-vous?'
3£"-ïe sais.. Aussi, je voudrais vous faire
ace confidence.
La jeune fille rapprochée, il lui prit les
mains et les yeux baissés, ému de ses pa-
.Maman,, j'ai une fiancée, une fiancée
qjâé; j'aime infiniment.
L'infirmière devint pftle, plus pâle qnc
le malade peut-être et, dans un mouvement
de .'recul, elle retira ses mains, ses maiiib
lui avait données durant des nuits
entières et dont la bienfaisante fraîcheur
avait calmé sa fièvre. Elle répéta, stupé-
̃ Vous avez une fiancée
Je ne vous en parlais pas car je vou-
lais vous faire une surprise quand ellr
serait venue vous remercier de vos bons
soins. Je l'attends depuis que je sujs
transporté il. Pambulance, elle a dO être
prévenue par mon capitaine. Seulement
comme je ne sais plus rien d'elle, je m'in,
qiriète. Je crains qu'elle n'ait perdu mon
adresse.
Elle haussa les épauleR.
Perdu votre adresse, c'est invraisem-
blable 1
C'est possible 1. Alors, je désirerais,
ma thère petite maman, que vous lui écri-
viez pour lui dire de venir me voir très
Debout, dans un cri révolté, ëtle jeta
̃ Vous voulez que, moi, j'écrive à votre
,M' vous en prie. Je ne veux pas mou-
rir sans la revoir
• Oui, oui, je comprends, je lui écrirai.
EU toute courbée sous lè poids de la dou-
leur violente qui s'était abattue sur elle d'un
epup brutal, la jeune infirmière se sauva
pj&ïtr rjue les grands yeux de fièvre ne décou.
vrissent point les siens tout embrumés de
la pauvre petite « maman n qui soi-
gnait. ces hommes, dont elle eût été presque
ia fille,' avec un dévouement dans lequel en-
trait plus de tendresse que de pitié, ùnhor-
rjblé calvaire commença. Son cher grand
blessé auquet, sans le vouloir, elle avait
donné tout son coeur d'amour pour mieux
te défendre contre la mort, la confidence,
une' fois faite, ne lui parlait plus que de
VÀûiré, l'autre qui, jusqu'à présent, n'avait
f£H nul effort, non seulement pour lé soi-
gner, ïe guérir, mais même pour savoir s'il
civait encore. La fièvre lui faisant perdre la
riotTôri du temps, une heure après !ui avoir
demandé d'écrire, il s'informait déjà si sa
• bien-àïmée ne lui avait pas répondu et, tons
(es jours, à tous les instants, il réclamait la
lettre attendue, qui n'arrivait jamais.
''Il s'animait, ses pommettes se mar-
Bréiëût de rougeur, ses bras, ses mains
^'agitaient en des mouvements impulsifs
M fébriles. Le délire le prenant, le blessé
«e mit à divaguer et, inquiète, ci maman »
dut demander d'urgence le médecin de
service.
Cesl fini, déclara celui-ci, avec un pe-
tit haussement d'épaules. Je suis même
étonné qu'il ait duré aussi longtemps. Il
vous doit sûrement quelques jours d'exis-
La sentence du major laissa maman »
atterrée. Le cher blessé ne l'aimait point,
a ne se doutait même pas de sa tendresse,
mais il était là et, dans le mystère dé son
cœur, elle nourrissait le vague espoir qu'un
jour, peut-être, il établirait à son avantage
une comparaison entre elle et.' l'autre, si
cruellement indifférente.
Mais, dans la salle, un amputé, de long
en large, essayait ses béquilles. Les coups
secs et réguliers, martelant le parquet, tirè-
rent le malade de la torpeur qui l'envahis-
sait
Suzy, :c'est toi ? demandart-fl. Oh t
ma bien-aimée 1 Tu es bonne. Tu me don-
nes :la joie de ne ,pas mourir abandonné.
Viens, viens vitz 1
La sourde cadence des essais du conva.
lescent s'éloignant davantage, les yeux du
moribond chavirèrent dans une horrible dé-
ception, un sanglot étreignit sa gorge, se
terminant dans un râle, et sa face contrac-
tée. ses lèvres tordues dans un affreux ric-
tus, offrirent soudainement, aux regards de
« maman Il affolée, l'image d'un être expi-
rant dans l'amertume et le désespoir.
Impuissante, elle se tordit les mains. Les
paupières closes sur des larmes ne s'ouvri-
raient-elles dans l'au-delà que sur de déce-
vantes visions, la bouche méchante ne pro-
férerait-elle, dans l'infini, que des blasphè-
mes et l'âme libérée ne garderait-elle, de sa
vie terrestre, que l'affreuse survivance des
rancœurs et des désillusions 1. Non,'non,'
c'était impossible
Alors, se penchant, divinement pitoyable,
elle murmura entre ses pleurs
C'est moi, mon bien-aimé. Je suis là.
Je jure de vous demeurer à jamais fidèle.
Lointaine, comme incrédule, la voix d'an·
goisse soupira
C'est toi; Suzy
C'est moi, voire Suzy.
La magie de ce mot opéra le miracle. Su-
bitement, ce damné, retrouvant sa foi en
l'amour, reconquit le repos des élus.
Le cœur à demi glacé eut un suprême
battement de bonheur. Une beauté sereine
transfigura la face convulsée, irradiant les
traits, imprimant un sourire d'extase à la
bouche, et l'Ame, arrêtée sur les lèvres, s'en-
vola dans ce souffle
Merci.
Daniel Riche
{Traduction réservée.)
TRÈS CHER Q. RUE L/FITTE D U U U A
Teint superbe à 60 ans.
Il est très facile pour toutes les femmes de
50 et même de 60 ans d'avoir le teint frais et
délicat d'un enfant. Les rides, les lignes, les
taches de rousseur, le hâle et, d'une maniére
générale, toutes les marques de la peau n'en
recouvrent que la partie extérieure, sorte
d'enveloppe connue sous le nom d'ép'derme.
Celui-ci est composé d'une infinité d'écaillés
très fines, qui prennent naissance sous la
surface de la peau. Dans la jeunesse, ces
écailles sont très tendres et d'sparaissent
très rapidement mais. avec l'âge, elles de-
viennent plus épaisses et plus dures et, très
fréquemment, chez les femmes de plus de
35 ans, des rides commencent se former
et le teint devient terreux et blême. Sous
cette enveloppe se trouve la peau « vivante »
proprement dite, qui conserve toujours la
beauté et la vitalité de la jeunesse, ne se
ride ni ne s'altère jamais, et c'est précisé-
ment dans cette peau que se trouve la véri-
table source du joli teint. Ce que l'on consi-
dère généralement, en effet, comme des
teints flétris, ne sont en réalité que des
teints recouverts d'une peau épaisse et
morte ainsi peut-on rapidement leur ren-
dre la beauté naturelle de la jeunesse, en
dissolvant les écailles qui forment cette peau
morte. Il suffit pour cela d'appliquer, tous
les soirs, sur .e visage, un peu de cire
aseptine pure, cire végétale, qui possède la
propriété toute particul'ère d'adoucir ou de
dissoudre ces écailles mortes et sèches jus-
qu'à ce qu'il en reste juste assez pour re-
couvrir c. protéger le derme ou peau pro-
prement dite. Le savon, l'eau, les crèmes
n'enlèvent que les couches d'écailles les
mo'ns adhérentes et ne peuvent jamais, en
conséquence, faire ressortir la véritable
beauté du teint comme y réussit rapidement
la cire aseptine. Pour une très modique
somme, vous pouvez vous en procurer en
quantité suffisante pour corriger complète-
ment les défauts de votre teint, eut vous
serez littéralement surprise de l'embellisse-
ment immédiat de votre visage.
a Valette est sans reproche
La rentrée au Conservatoire
La rentrée des classes au Conservatoire a
en, lieu hier matin rue de Madrid. En rece-
vant ses élèves, M. Truffier leur a adressé
une chaleureuse alloculion il.a évoqué le
souvenir de leurs jeunes camarades glo-
rieusement tombés sur le champ de ba-
taille Raynal, Garrigues, Rochet et Raoul
Sarcey. Il a terminé par ces mots
Au, cours de la vie un, peu frelatée 'que
vous avez menée dans les coulisses, élevez
sans cesse vos cœurs et vos esprits plus
haut que par le passé vous le devez, nous
le devons aux survivants de la grande ba-
taille et aux morts.
UN MORT VIVANT
Petit-Cœur (Savoie), 3 octobre. Du
correspondant particulier du Il Afalin ».
M. Cafnille Beaupoil, soldat au de ligne,
en convalescence dans sa famille, a reçu un
avis officiel lui annonçant son propre dé-
cès. On juge de sa stupéfaction.
ACADÉMIE DES SCIENCES
M. Bteourdan annonça hier qne M. Sois, direc.
teur de l'observatoire de Barcelone, a découvert une
planète qui parait nouvelle.
M. Emiie Picard présenta une note dont il est
l'auteur, intitulée l'Histoire du sciences et Ut
prétentions allemandes.
Le docteur Roux a fait une communication sur
l'emploi des émanations du radium condensées en
tubes clos. qui peuvent servir en thérapeutique à
la place
La gare du Chevaleret devient la gare
iTlïrï-siir-Seine
Depuis longtemps la Compagnie d'Orléans
demandait que la gare du « Chevaleret » à
Ivry prît le nom de gare d' « Ivry-sur.
Seine n, ce qui était, en effet, logique.
M. Marcel Sembat, ministre des travaux
publics, vient de donner l'autorisation de-
mandée.
LES DÉCLARATIONS DE,CHIENS
Les .déclarations de chiens sont reçues dans
les mairies jusqu'au 15 janvier procuain. Ces
déclarations sont obligatoires non seulement
pjur les imposables qui n'ont pas été compris
dans les rôles de 1915, mais encore pour ceux
qui, bien que figurant sur les rôles, auraient
cessé d'habiter la commune ou le ressort de la
perception où iis sont actuellement imposé».
THHïTRESJJOJlCERTS
La répétition générale d'aujourd'hui Au
théâtre Antoine, à 2 heures, répétition géné·
raie de la Nouvelle revue, de Rip, -suite à
1915 Les-principales scènes seront inter-
prêtées par Mmes Marthe Régnier. Yvonne
Printemps, MM. Prince. A. Lamy.
Comédie-Française. Ce soir, à 8 heures
Grinaoire, la Prittcesse Georae.
Gaité. 11'faut voir Mlle leanné Cheirel et
M. Levesque dans la Marraine de Charley.
Palais-Royal. Mardi, jeudi. samedi. 8 h.30.
la Caonntie. Mat. dim. (Vilbert et Lamy.)
Porte-Saint-Martin. -Ce soir, à 8 h.la Flam-
bée. Mardi, jeudi, samedi, dim., même spect.
Ambigu, Ce soir. 8 h.. le Maître de Forges.
Mardi, jeudi, samedi, dim.. même spectacle.
Théâtre Moncey (Dir. intér.). Relâche. Jeu-
di 7, la Favorite, Location ouverte.
Renaissance. Fred.Séance de auit. Succès.
Théâtre Michel. Feydeau et Rip. 8 h. 30.
Théâtre Réjane. Mat.,soir..F«re de Neptune
Théâtre Moderne. Ça WTouche. gr. revue.
I L'Olympia I donne ua programme sans égal.
Le Trio Eldon. La revue Qui va
là P. Auj. mat. Faut fr. Soirée 2, 3 fr.
Oui, mais on Salles combles tous les soirs
va à la Cigale pour applaudir Faut voir ça l
Chez MayoL 14.Ooe fr. de recettes en trois
jours tel est le chiffre formidable réalisé par
Régina Badet. Ce chiffre colossal est uns précé-
dent dans les annales du théâtre. Voilà qui prouve
le triomphe remporté par la merveilleuse artiste
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Tzs Hellènes de Paris se réunissent- aujourd'hui,
à 3 heures de l'après-midi. SS, rue Serpente, à l'hô-
tel des Sociétés savantes.
L'Ecole ),tbre des sciences politiques, rue
Saint-Guillaume, reprendra ses cours réguliers le»
Il., r ovemhM Le registre d'inscriptions sera ouvert
du 25 octobre au novembre.
Lfl VIEJjPOKTIVE
CYCLISME
le Grand Handicap de 50 kilomètres. Cette
épreuve a donné les résultats suivants pour les 10
premiers sur 28 arrivants
1. Louis Fargier (1., 2 m. 40 s.),'en 'i h. U m.
49 s. 3/5 (temps réel, h. 34 s.
Macé (D.N. IX». m. 15-s.J, à longueurs, 3. Geor-
ges Hautin (P.rI.S.; 1 m. 45 s.), en 1 h. 44 m 63 s
5. Georges Mary (H.C.P., en m. 10 s.), a 4 long.;
Ferdinand Chéron (F.R.S., 3 m 30 s.), en I h. 47 m.
29 s. Marcel Durand (I.. 9 m.), en 1 b 18 m.
54 s,; 9 Mtchel Huet (H.C.P., 4 m. 50 sj. en 1 h
49 m. 39 s. 4/5, Edouard Loëw il., 10 m. s. en
I h. 49 m. 57 s.
FOOTBALL ASSOCVriON
Sur le front. Nous recevons d'un blessé la !et-
tre suivante
Je vous envoie le résultat de deux matches joués
sur le front par 3 équipes de la 70e division, dont
vous avez inséré la citation il y a quelques mois
.Match du t5 septembre 1915 contre U»
chasseurs à pied. bat par buts contre
• Match du 18 septembre 1915 contre
chasseurs Pied. S6?« bat 49e par 6 buts contre 0.
Equipe du sous-lieutenant André, Grue.
Holl-Namleau, Dupdnt, Dugenet, Lemée. Vidal,
Thibëaudeau: Sarlinit, Masson.
• P.-S. Blessé d'une balle qui, m'a traversé l'A-
pâule le 24 septembre, c'est la raison pour lauueue
je vous écris de l'hôpital anglais. J. L.
VIE COMMERCIALE
SUCRES Marché plus animé et meilleure de-
manda On a fait du blanc disponible à 76 fr. et du
novembre-décembre à 68 50 et 69 tr., ce dernier prix
reste offert. les cours des granulés américains res-
tent très irrêjruliers. Les raffinés sont sans chan.
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nés dus pilKmes '»̃ q\ê. qté. qté.
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Vaches 90 à 2 36 S 28 2 18 'g M
Weaux. 231 2 14 2 06 if «
N'eaux 1.198 72 s 26 à S 08 2 90i; 66 2 46
Moutons.. t3 SM 1 89 à 3 06 2 2 78 ï 28 2 fts
Porcs
Le marché est bon, les arrivages sont normaux.
Pour le gros bétafi, les moutons et les veaux les
prix sont sans changement; le temps frais main-
tient les cours malgrd beaucoup de demandes Pour
les porcs, hausse de trancs aux 100 kilos.
DERNIERS COURS ÉTRANGERS
LISBONNE. 4 octobre Agio sur l'or 55 o/o.
Change sur Paris, 7 54; sur Londres, 34 7/s.
SITU&TIOHS
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DU LUNDI 4 OCTOBRE 1915.
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18863% «9IÎÎ9%. 350.. ̃«"» •- U6
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GLOBÉOL-
réalise la transf usion sanguine
Qui dit surmenage, dit nécessairement intoxication. la fati-
gue sons toutes ses formes se soldant touiours par une produc-
tion de poisons organiques qui se déversent et s'accumulent
dans le torrent circulatoire.
Par le fait, que vous vous soyezéreinté à la chasse, au bal.
& fendre du bois, ou tout au contraire A travailler de tête
comme l'on dit. à faire des chiffres ou des verts, compulser
des dossiers, à préparer un examen, les symptômes et tes sen-
sations sont les mêmes (courbatures, accablement, fièvre, ma-
laise, bouche amère, urines chargées, langue sale, etc.)
comme si vous inauguriez Une maladie.
Le surmenage suppose toujours une flambée, des suroxyda-
tions, une forte dépense de forces, partant une perte de subs-
taace, une dégradation des tissus, dont le résultat obligatoire
est un excès de cendres, suies, déchets, excréta voilà le sang
empoisonné.
La seule différence, à cet égard, entre le surmenage physi-
que et le surmenage intellectuel. c'est que. dans te premier cas
l'on brûle de la pulpe musculaire et, dans le second, de la
substance nerveuse.
C'est également le cas du surmenage moral, consécutif aux
émotions violentes, aux oragps de la passion, aux grands cha-
grms, même à l'abus des plaisirs.
Tout le monde sait que la viande du gibier forcé est im-
mangeable parce qu'elle est saturée de ces poisons qu'on pour-
rait appeler de l' essence de fatigue
Il en est de même de la viande des bêtes qui ont beaucoup
souffert avant de mourir, des bêtes torturées, par exemple, et
aussi de celle des animaux tués -.tous les chasseurs de cerfs
et de chevreuils vous le diront pendant la saison des
amours.
Inutile d'ajouter que. comme il n'y a pas deux physiologies,
l'homme loge à la même enseigne, ceci près que. sauf'de
rares exceptions. sa chair ne se mange pas.
Quel que soit le genre, quelle qu'ait été la cause de la fati-
Il' LE TONIQUE QUI DOIT ÊTRE PRIS PAR TOUST CHAQUE JOUR
BLESSÉS
3 cuillers par jour de
SUC DURUAM
reconstituent le sang
["PARIS -MIDI"
Suspendu 2 jours
par la censure
REPARAIT
AUJOURD'HUI
sur 4 pages
BANQUE GIRON(S3»u».),67,nieRajnbuteau.Pari«.
gue subie, fût-elle même une de ces fatigues que les volup-
tueux qualifient volontiers d'exquises, elle aboutit à un empoi-
sonnement du sang.
< Il n'y a qu'un remède, c'est de changer de sang, le veux
dire de se refaire du sang neuf, frais et pur.
Nul n'ignore aujourd'hui que rien n'est plus facile. puisque
nous avons le Globéol. qui n'est autre chose que de la quintes-
sence de sang vivant, complet et parfait, meilleure même, à uni
certain point de vue, que nature, puisqu'il a été préalablement il
l'objet d'une sélection judicieuse, -H
Une cure de Globéol équivaut, en fin de compte. une cure,
de grand air et de repos (également recommandée pour la réno-
vation du sang appauvri ou vicié), avec cet avantage qu'on la
fait chez soi, sans quitter ses affaires.
Le Globéol est à la fatigue (quelle qu'elle soit) ce que l'Uro-
donal est au rhumatisme, le Pagéol A l'avarie, la Filudine à
la fièvre.
Le Globéol est donc le tonique par excellence, le fortifiant,
le régénérateur sans rival du sang.et par éonséqueut de l'orga.
nisme tout entier Ii doit être pris par tous chaque jour, par-
tout, mais surtout dans les pays où la chaleur anémie si vite
les constitutions les plus robustes.
Il a fait l'objet d'une communication retentissante à l'Acadé-
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