Titre : Regnabit : revue universelle du Sacré-Coeur
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1924-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32850416j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 8483 Nombre total de vues : 8483
Description : 01 janvier 1924 01 janvier 1924
Description : 1924/01/01 (A3,T6,N8)-1924/01/31. 1924/01/01 (A3,T6,N8)-1924/01/31.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5476249p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, D-91018
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/01/2009
Les faits
177
Une séance littéraire et musicale clôtura toutes ces fêtes.
Les RR. PP. Augustins Récollets ont bien mérité de Mani- '
zales. Visiblement bénis par le Sacré-Coeur de Jésus, leur zèle
et leur dévoûment ont mené à bonne fin la construction de cette
belle église, qui chante la gloire du Sacré-Coeur et qui fait honneur
à notre ville. -.,-..
. MERCI AU SACRÉ-COEUR.
Guérison d'un enfant.
Lettre d'une lectrice de Régnabit.
Notre petit Alain sort d'une fièvre typhoïde de trois semaines.
Je n'ai pas quitté le chevet du petit, le jour, et la nuit (quand elle était
mauvaise). Comme j'ai eu peur de le voir partir... Le docteur hochait
si souvent la tête. Il y a huit jours c'était désespéré. Alors je l'ai voué
au Sacré-Coeur. Le lendemain vendredi il a eu une syncope. Le docteur
mandé en toute hâte assurait que c'était la fin. Le pauvre chéri est
resté deux heures inerte, livide, les yeux clos, la petite bouche
entr'ouverte. Le mal faisait crise. C'était l'après-midi. A trois heures,
il a ouvert les yeux ; son regard était vif, comme en bonne santé,
Le trésor a souri ; puis il a demandé à boire. C'était une résurrection.
Ensuite il a retiré de dessous son oreiller la Carte du Sacré-Coeur Enfant
que vous m'avez envoyée pour modèle, et comme en un geste de recon-
naissance il l'a baisée tendrement de toute sa petite âme et a demandé
de l'épingler au tulle de son rideau de berceau, bien en face, « pour
mieux le voir ». Depuis, le danger est conjuré. Le soir même il s'était
fait apporter ses jouets. Plus que quelques jours et on pourra le lever.
Oh ! je suis sûre que c'est Lui qui l'a guéri !
La Paix dans un ménage.
Le Sacré-Coeur exauce dans sa miséricorde les désirs de ceux
qui se confient en lui. Le fait suivant, témoigne de cette tendresse
de Jésus. Il a eu lieu dans la famille d'un lecteur assidu de Regnabi
Un jeune ménage par suite de mauvaise interprétation de part
et d'autre et faute de se comprendre, vivait en mauvaise intelligence.
Les discussions étaient fréquentes et on parlait déjà de recourir au
divorce. Sur un conseil très autorisé les parents du mari s'adressèrent
au Sacré-Coeur qui répondit tout de suite à leurs supplications. Leur
fils se trouva subitement atteint d'une violente fièvre typhoïde com-
pliquée de paludisme. Le docteur désespérait de le sauver. Le Sacré-
Coeur lui conserva la vie et transforma totalement le coeur de sa femme.
Pendant 48 jours et nuits, celle-ci oubliant tout et s'oubliant elle-
même, soigna son mari avec le plus entier dévouement et contribua
dans une large mesure à la guérison de son mari.
Le mari a repris depuis quelques mois son travail et le ménage
jouit d'une paix qu'il n'avait jamais connue auparavant.
177
Une séance littéraire et musicale clôtura toutes ces fêtes.
Les RR. PP. Augustins Récollets ont bien mérité de Mani- '
zales. Visiblement bénis par le Sacré-Coeur de Jésus, leur zèle
et leur dévoûment ont mené à bonne fin la construction de cette
belle église, qui chante la gloire du Sacré-Coeur et qui fait honneur
à notre ville. -.,-..
. MERCI AU SACRÉ-COEUR.
Guérison d'un enfant.
Lettre d'une lectrice de Régnabit.
Notre petit Alain sort d'une fièvre typhoïde de trois semaines.
Je n'ai pas quitté le chevet du petit, le jour, et la nuit (quand elle était
mauvaise). Comme j'ai eu peur de le voir partir... Le docteur hochait
si souvent la tête. Il y a huit jours c'était désespéré. Alors je l'ai voué
au Sacré-Coeur. Le lendemain vendredi il a eu une syncope. Le docteur
mandé en toute hâte assurait que c'était la fin. Le pauvre chéri est
resté deux heures inerte, livide, les yeux clos, la petite bouche
entr'ouverte. Le mal faisait crise. C'était l'après-midi. A trois heures,
il a ouvert les yeux ; son regard était vif, comme en bonne santé,
Le trésor a souri ; puis il a demandé à boire. C'était une résurrection.
Ensuite il a retiré de dessous son oreiller la Carte du Sacré-Coeur Enfant
que vous m'avez envoyée pour modèle, et comme en un geste de recon-
naissance il l'a baisée tendrement de toute sa petite âme et a demandé
de l'épingler au tulle de son rideau de berceau, bien en face, « pour
mieux le voir ». Depuis, le danger est conjuré. Le soir même il s'était
fait apporter ses jouets. Plus que quelques jours et on pourra le lever.
Oh ! je suis sûre que c'est Lui qui l'a guéri !
La Paix dans un ménage.
Le Sacré-Coeur exauce dans sa miséricorde les désirs de ceux
qui se confient en lui. Le fait suivant, témoigne de cette tendresse
de Jésus. Il a eu lieu dans la famille d'un lecteur assidu de Regnabi
Un jeune ménage par suite de mauvaise interprétation de part
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Les discussions étaient fréquentes et on parlait déjà de recourir au
divorce. Sur un conseil très autorisé les parents du mari s'adressèrent
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fils se trouva subitement atteint d'une violente fièvre typhoïde com-
pliquée de paludisme. Le docteur désespérait de le sauver. Le Sacré-
Coeur lui conserva la vie et transforma totalement le coeur de sa femme.
Pendant 48 jours et nuits, celle-ci oubliant tout et s'oubliant elle-
même, soigna son mari avec le plus entier dévouement et contribua
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