Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1918-01-29
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 29 janvier 1918 29 janvier 1918
Description : 1918/01/29 (A51,N83). 1918/01/29 (A51,N83).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k52752880
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/04/2020
L’AFFAIRE CASUffi.
' Parte. — Le 24 janvier, les journaux
Ont annoncé que l’expert Doyen « au-
rait évalué les titres saisis à Florence
ainsi- qu’il suit : valeurs des titres ù
l’émission, 4Ô9.000 francs, dont 180.000
gociable actuellement, 220.000 fr. »
" L’exactitude do cette information'
ayant été contestée, l’Association des
informations de la presse judiciaire en
O recherché l’origine afin d’établir sa
t)onne foi, qui ne doit pas être suspec-
itée. Elle a ainsi établi que c’était M.
Ceccaldi, un ( des avocats de M. Cail-
iaux, qui avait fourni ces renseigne-
ments tendancieux, alors que, en réa-
lité, les titres, qui, d’après M* Ceccal-
di, auraient été examinés par l’expert
Doyen ne devaient être extraits du cof-
ïre-fort du capitaine Bouchardon, où
ils sont restés sous scellés, que le 25
janvier.
* L’Association des journalistes judi-
ciaires saisit, en conséquence, la pres-
se et l’opinion du procédé de l’avocat
de M, Çaillaux..
"™LEDISCOURSHERTLINO1*
ET L'OPINION AMEIRCAINE
m
New-York. — Hcrtling a affermi la
résolution des Américains de poursui-
vre la guerre et leur a montré plus
clairement le travail restant à accom-
plir afin d’assurer la sécurité de la dé-
mocratie upnivmolle. On pense aux
*Etats-Vnis que la situation, intérieure
est devenue grave en Autriche-Hon-
grie, sans cependant vouloir compter
que les Austro-Hongrois pourraient à
cette époque de la guerre forcer les Al-
lemands à une paix iiqn|édiate.
Toutefois l’opinion générale est ici
que les troupes austro-hongroises ne
Îmrattront pas en grand nombre sur
e front occidental parce qu’un senti-
ment antiallernand se dessine dans la
monarchio dualiste après les déclara-
. lions du comte Czernin soulignant la
similitude des buts de guerre améri-
cains et austro-hongrois.
• Le publie américain accueille sans
enthousiasme la proposition d’un
. échange de vue?; entre l’Autriche et les
Etats-Unis faite par le ministre autri-
; chien, car, dit-on, s’il a quelque chose
à dire, qu’il le dise publiquement.
Après l’énumération par le prési-
jdent Wilson des quatorze articles de la
jpaix, la parole est à l’Autriche.
• ,Quant ù la presse américaine, elle
• est unanime à constater la différence
Sui existe entre le discours du comte
zernin et celui du chancelier aile-
. mand. Le premier, selon les journaux
, américains, porte les traces indénia-
bles des graves embarras dans les-
quels se débat l’Autriche-Hongrie et la
nécessité pour la monarchie dualiste
de faire la paix.
Ou interprète au contraire le dis-
cours de Hertling comme l’expression
du pangermanisme le plus fourbe, le
plus audacieux ot le plus avide.
OTRE VICTOIRE DE VERDUN
Pifris. — Un document émanant de
première armée allemande, d.até du
2 décembre et intitulé : « Enseigne-
ments tirés des derniers combats de
VèTdun est tombé entre les mains
françaises.
Ce docùmcnt, bien qu’un peu ancien
èôntient dés appréciations intéressan-
tes éur noë procédés d’attaques. Il rè-’
' çdnhalt qlie les Français ont remporté
un «grand.Succès : 284 officiers, 11.000
• hommes, 115 canons et plus de 100
' mitrhijleuses sont tombés entre les
mains des Français ».
; L’enriemi avoue, notons-lc, que tou-
tes ses organisations nous étaient con-
nues ët que toute résistance a été im-
* possible. Eh blême temps qu’un hom-
' mage, adressé à nos soldats, c’est la
•jceonhdiSsanco de la valeur éprouvée
'de l’état-major français.
LE FRONT ANGLAIS
Londres. — Le correspondant de l’a-
f&nce Reuter au front britannique en
rance télégraphie :
. Les Anglais ont pris & leur charge
line autre portion du front ouest et
•depuis 'ftier la ligne britannique s’é-
tend légèrement au sud de Saint-Quen-
tin. . Celte extension s’est faite sans
t>ruit, h, Ja faveur du temps qui, ces
derniers'jours, a été peu propice aux
gsombats. Les Allemands ne s’en sont
gtperçus que l’avant-dernière nuit lors-
flu’ils ont tenté d’exécuter un coup de
jmain contre les positions qu’ils
^croyaient occupées par. des Français.
• BN ALLEMAGNE
U dliooura du ehanoetler.
. Bôrng. — Les télégrammes de l’agence
JKVolff et de l’agence germanophile Sch-
weizer Presse Telegraph, prétendaient
,que le'discours du comte Hertling avait
Veçu un accueil en général favorable ; à
ÿn croire ces .agences officielle et offi-
tteuse, l’opinion allemande aurait été
tlaànime sur un point : c’est que, pour
Ïeu qûé TShtente fût disposée à la paix,
l'discours du comte Herttling lui fourni-
rait l’occasion d’engager la conversation.
.Mais les télégrammes particuliers par-
venus de Berlin aux « Basler Nachrich-
ten montrent gue l’opinion allemande
n’est dos absolument satisfaite et que le
Succès du comte Hcrtîîfl*. reste, en réa-
lité, problématique.
tu trfeqJHes de Berlin.
Londres, 27 janvier. — Des informa-
tions reçues par ie correspondant à Ame
terdam du « Daily Express » apportent
«le nouveaux détails sur les désordres de
Berlin. Le correspondant dit :
« Des nouvelles sensationnelles circu-
lent aujourd’hui à Amsterdam. D’après
«es Informations, de graves désordres ont
tAditàé % Berlin au cours de tes deux dor
hiers Joürt. On rapporte que les émeu-
«ers* ont réclamé la paix et du pain et
jfa'tur grand nombre d'hommes, de fem-
ipes ett (Tentants ont été blessés par la
noUcâ) dont ta répression fut sans pitié.
,*> II ,est Impossible d’obtenir confirma- !
jUop de ige» nouvelles mai» il est* extrême- i
pte stgnilcatif qu'aucun télégramme -
Vàffairés; .de presse ou d’intérêt nrivô :
Jt'ait été expédié de Berlin*aujourd’hui, <
p# quelques dépêches arrivées sont par- ,
venues avec de longs retards et après
beaucoup de détours. Aucun des jour-
naux allemands du matin publiés hier
n’ont, jusqu’à présent, été autorisés à ar-
river en Hollande.
. » A des enquêtes faites à la Bourse
d'Amsterdam cet après-midi, il-a été ré-
pondu que « quelque chose de grave de*
vait se passer à Berlin aujourd'hui. »
lODYELLES LOCALES
et Régionales*
LES EMBUSQUES
La Commission constituée en Dé-
cembre par M. Clemenceau fonctionne
à la satisfaction de tous. Pourquoi a-
t-il fallu tant do temps pour compren-
dre ce que nous - avons dit ici il y a
tant de mois ? Il n'y p, pas que des em-
busqués, il y a surtout des embus-
! queurs. Ce n’est pas par goût de la fa-*
your et de l’injustice, mais surtout par
incurie, apathie, inertie, entêtement
imbécile que des organismes orgueil-
leux et bien faillibles ont soustrait,
comme indispensables, tant d’hom-
mes à la véritable situation qu’ils de-
vaient occuper pendant la guorre.C’est
en haut qu’il faut frapper, et non en
bas. Les favorisés doivent être envoyés
das la zorie des armées. Ceux qui fa-
vorisaient doivent être punis, 'Depuis
plusieurs années nous réclamons
qu’en temps de guerre, on prononce et
on applique des sanctions de guerre.
Mais peu de chefs des formations de
l’arrière, ont consenti, malgré les cir-
culaires qu’ils ne voulaient pas com-
prendre, à sc diminuer cri diminuant
le personnel qu'ils avaient sous leurs
ordres.
Dans les usines do guerre notam-
ment, grâce à la faveur de certains
hommes influents et aussi des chefs
du syndicalisme socialiste, les hom-
mes soustraits à la zone des armées
furent très nombreux. Qu’on enquête
encore et qu’on sévisse.
Pendant qu’un grand nombre d’hom-
mes sans aptitudes et sans spécialités,
de riches oisifs ou des ouvriers, ont
été garé, la rude loi égalitaire* a fait
moissonner par l’ennemi l’élite de la
jennese intellectuelle, polytechniciens,
normaliens, savants et' inventeurs.
Pour ces hommes, dont la perte est ir-
réparable, il n’y a pas eu suffisam-
ment cette intelligente appropriation à
la fonction que les Allemands avaient
prévue avec soin. Soit. Mais pour ceux
oui n’ont d’autres titres à des postes
de sécurité que l’intrigue ou l'impéri-
tie il faut être implacable.
On frémit, on sc lamente vraiment
quand on pen.se qu’il a. fallu attendre
quarante mois et l'arrivée an ministère
de M. Clerhenceau pour faire préva-
loir le bon sens.
O. A.
LES FONDS RUSSES
Lenine a décrété, paraît-il, la sup-
pression de la dette russe tant intérieu-
re qu’extérieure, c’est-à-dire la ban-
queroute.
C’est dans l’ordre révolutionnaire.
Ces messieurs s’imaginent tous que
le monde date d’eux. Ils ne voient pas
que s’ils ont pu naître, se développer
et réaliser leurs conceptions, c’est par-
ce qu’ils bénéficient des longs efforts
grâce auxquels leurs pères sont pas-
sés de la horde sauyage à cette orga-
nisation impériale qu’ils appelaient ty-
rannique, mais qui a fait la Russie. La
justice dont ils se disent les purs repré
sentants devrait suffire à les rendre
comptables de cette dette sans laquel-
le rien de tout cela n’aurait pu se fai-
re, mais la justice envers autrui est le
dernier de leurs soucis.
Au reste, il n’y a pas lieu de discuter
philosophiquement sur cette question,
mais de se demande/ dans quelle me-
sure, le décret spoliateur recevra- son
exécution. A l’intérieur de la Russie,
il est possible qu’il soit maintenu,
mais qu’âdviendra-t-il à l’extérieur ?
Peut-on supposer que là où les Rus-
ses qui existeront une fois la paix con-
clue, pourront vivre sans ‘relations
avec le monde ? C’est invraisemblable,
contraire à la logique des ènoscs.
Donc, il viendra un moment où sous
une forme ou une autre, la Russie
traîtresse à ses alliances, sera qfcjgéc
d’être infidèle à «a signature, et de
causer de nouveau avec le monde pour
les nécessités de son commerce, de son
industrie, de sa vie.
A ce moment que répondra le mon-
de ? Il dira ? —■ Volontiers, mais ré-
glons d’abord les vieilles affairés, il
vous a plu de cesser de payer ce que
Vous déviez à votre créancier. Ce n’est
pas une façon de vous créer du cré-
dit. Ou vous reprendrez la charge dont
vous vous êtes si délibérément débar-
rassée ou nous continuerons de ne pas
vous connaître. Payez les coupons ou
demeurés murés dans votre égoïsme.»
Que feront alors les divers Etats bâtis
sur les débris de la Russie ? Certes,
chacun d'eux tâchera d’assumer la
moindre partie de la charge totale,,
mais soyez sûr que dans l’ensemble,
ils paieront. Ils paieront d’autant plus
que s’ils ne paient pas l’arriéré, ils ne
trouveraient aucune ressource pour
l’avenir au dehors et que ce ri’est pas
ctu£ eux après les ruines accumulées
par la guè"rAE .!& révolution qu’ils
pourraient s’en procuîTf; - ■
5. A. •
«
CARNETS DI SUORS
Mardi 29 Janvier, distribution des car-
nets de sucre aux personnes compéise»
dans les cartes de Dabi numérotées de
1001 à 2.000. *
00 U R DA88I8E8
Liste des affaires inscrites au rôle dé
la prochaine session des assises des Bas-
ses-Pyrénées qui dioit «'ouvrir à Pau, le
4 février 1918, sous la présidence de M.
Pons-Devler, conseiller & la cour, assisté*
Je MM. Triichy.Jboûseiiîer, et Mazoyer,
luge au tribunalTe Pau. „
•• ‘
Lundi 4 février t Pablo Orttt-Zàrrate,
meurtre.
Pierre-Robert Lus&y et Andté Belledo,
tentative d’assassinat.
ALLOCATIONS MILITAIRES
Les allocations militaires seront payées
au bureau de la Perception de Pau, 12,
me d'Orléans, de 9 h. 1/2 à midi «t dé
2 h. h 4 heures, dans l’ordre ei-anrèa :
Mardi J® Janvier, du numéro 2001 A
2.400 et du numéro 3.901 A 4.200.
"cend“,* *du
LA RRPRmNTATION
DI « LA PILLE DI Mm# ANOOT »
Fort belle chambrée hier dimanche, au
théâtre Municipal, pour la reprise de
« La Fille de Mme Angot ».
Avec un entrain sans pareil et une
verve étourdissante, Mme Rachel Da-
mour (Clairette), Mlle Viguier (Mlle Lan-
ge), M. Aibony (Ange Pitou), M. Ringhi
(Pomponnet), M. Shézard (Larivaudière),
M. Laborde (Trénitz) ; Mme Radencz
(Anvaranthe), ont fait triompher, de fa-
çon remarquable, la toujours jeune opé-
rette de Lecocq. -
Dans des rôles secondaires le public a
apprécié Mmes Martin et Graivil, MM.
Villecampe i>t Charbo.
Choeurs et orchestre excellents, mise eh
scène de bon goût, en un mot ensemble
parlait.
Au chef Torfs, dont la baguette règne
sur l’ensemble et dirige admirablement
la troupe, notre habituel compliment.
UNE BONNE 8URPRI8B PROOHAINI
C’est Mlle de Bedts, l’Etoile du Théâtre
du Gymnase, qui va venir Interpréter
« Petite Reine ».
Nous reverrons avec joie dans un rôle
d amoureuse l’espiègle ingénue qui dans
la « Folio Nuit » obtint un succès fou de
talent ot de beauté.
M* parce y, des Variétés, l’admirable
abbé de Fleurange de in « Folle Nuit »,
1 incomparable Prince d* u Occupe-toi
d’Améfie ».
M. Therval des Variétés, l’endiablé
Marcel d’ « Occupe-toi d’Amélie » joue-
ront les deux principaux d’hommes.
Nous n’avons pas souvent l’occasion
d avoir une délicieuse pièce aussi supé-
rieurement interprétée. On nous dit mer-
veille des costumes et décors.
« LA PÀ88ION » AU CINEMA PALAOE
Rappelons à nos lecteurs que c’est de-
maiu mardi 29 janvier (matinée à H h. 30
et soirée à 20 h. 30) que lu troupe com-
plète du « théâtre de l’Evangile » donne-
ra au Cinéma Palace deux séances de
« La Passion » d'Emile Rochard, qui
s’annoncent comme un succès sans précé-
dent. 1
Location ouverte au Cinéma Palace.
NOS BEARNAIS AU FEU
Notre compatriote le caporal Lalanno
(Emile), de la compagnie H. R. du 43»
régiment d’infanterie a mérité la belle
citation suivante :
•Le lieutenant-colonel Carrot, comman-
dant le 43a régiment d’infanterie, cite à
l’Ordre du Régiment le caporal Lalanne
(Emile) : « Caporal d’une bravoure
éprouvée, au front depuis le début de la
Campagne, s’est fait remarquer par sa
belle attitude au feu, plusieurs fois bles-
sé, faisant partie de l’équipe de pionniers
régimentaire, vient de se distinguer du
& au >6 août 1917, en dirigeant avec com-
pétence en première ligne, sous de vio
lents bombardements, des travaux de
préparation d’attaque. »
Tous nos compliments à ce brave pa-
lois.
——/^i——
TRIBUNE PUBLIQUE
Pau, le 28 Janvier 1918.
Comme suite à une récente discussion,
serait-il indiscret de demander à la fer-
vente admiratrice de Nice ce qu’elle pen-
se du ciel de Pau ?
Un Niçois émerveillé.
PAU.ORÔQUET.OLUB
The paragiraph in our last issue rè
subscription should hâve rèad as follows.
Playing members 60 francs (two mem-
bers op the same family 100 francs). NOÛ
pjaying members 15 francs.
SOCIETE DE8 SCIENCES, LETTRES
ET ART* DE PAÜ
Séance du Jeudi 31 Janvier 1918, A
17 heures, à la Halle-Neuve (Salle de
l’Assistance).
Ordre du Jour :
1. ilcctüre du procès-verbal de la séance
précédente ; correspondance ot commun!-
cations diverses ;
2. M. l’abbé V. Dubarat : Vieux papiers
et papiers vieux ;
3. M. P. Poullenot : L’arcade de Nico-
las Flamel et de sa femme Pemelile aux
charniers des Innocens (1407). Etude sur
un panneau peint ;
4- M- G- Andrai : Une eçulpture du
Château de Pau ;
5. Présentation Le Secrétaire : Victor DUCLA.
AGENTS ATTAQUES
Dimanche, aux allées de Morlaàs, unie
dizaine de voyous ont injurié et attaqué
les agents LassUs et Bourg, qui grâce à
des renforts, ont réussi à se retirer in-
demnes. Uno enquête est ouverte.
hjBQQLa
AOOIDENTS
Le nommé Lagarde Pierre, âgé de 46
ans, de la commune de Méritein, canton
de Nrtvofrenx, a été atteint à l’épine dor-
sale par un tronçon d’arbre. On a trans-
porté le blessé à l’hôpital Mixte, cours
Bosquet.
— Jean Tisné, d’Arros, a glissé sous
un char et a eu la jambe gauche fractu-
rée. Tisné est soigné à l’hôpital de notre
ville. v •
— A l’angle de la rue Bellocq, le tram
a heurté et renversé une voiture attelée,,
sur laquelle se trouvaient les frèreuf Lo-
bau, d Ousse. Légèrement contusionnés,
cès derniers ont reçu les premiers soins
rnripf&L r
MATINEE Dff BIENFAISANCE
Nous publierons demain le compta*
rendu de cotte manifestation.
K00T.BAI4. BUOBY
L’équipe première du Club-Olympfqué
Tarb&is a subi, hier dimdnche, sur la
ground de la Crcix.du Prince, une délai?
te et quelle défaite ] !...
I Lés Tarbais étaient venus, Avec l’es-
poir d’une facile victoire, prendre simple-
ment A Pau un galop, un tout petit galop
d’entraînement avant leur dernière ren-
contre avec l’Union Sportive Tarbaise »
en vue de la finale du championnat d’Ar-
inanac-Bigorre. La Section Paipise 2c» a
battus nettement, catégoriquement par
19 pointe (5 essais dont 2 transformés) A
5 points (1 essai transformé).
Aprè la victoire de Dax sur Pau pour le
championnat de la Côte Basque, quelques
esprits chagrins disaient que la Section
n’existait plus. Bravo, des Paioiis, votre
brillant succès sur le C. O,. T. est votre
meilleure réponse. Vous êtes encore un
peu là 1 I
La Partit.
Journée délicieuse. Les tribunes et la
pelouse sont complètement garnies.
A 2 h. 40, «coup d’envoi pour Pau qui
fait une descente magistrale et oblige les
Tarbais à toucher dans leurs bute. Tar-
bes remonte ite terrain. Les verts sé dé-
gagent rapidement et attaquent. Rien ne
passe et les Sectionnistse sont refoulés
dans leurs 22 mètères. Ouverture de Pau ;
Nicoleau intercepte superbement, port à
tout allure, feinte les lignes arrières et va
marquer l’esiai qui est transformé. (Tar-
bés : 5 points. — Pau : 0).
• Un dribbling da Piteu envoie <« le bail »
dans la ligne tarbaise et Cantonnet qui a
bien suivi s’écroule sur l’ustensile. Le but
est raté. (Tarbes : 5 points. Pau :3p.) La
Section menace dur. A qne sortie de mê-
lée des 15 mètres, Lasserre file, feinte et
va marquer pour Pau un essai entre les
poteaux que Pierrot transforme d’un su-
Serbe coup de botte. (Pau : 8 points ; Tar-
es : 5 points).
Les Sectionnâtes mènent la danse.
Pierrot, bien servi, démarque, tous ses
adversaires et fait la passe à Piteu qui
s’écroule sur la ligne tarbaise. Le but
est raté (Pau : 11 points ; Tarbes : 5 p.).
Mi-temps.
Reprise. — Le jeu se maintient pendant
quelques minutes aux 50 mètres. Descente
foudroyante des trois-quarts pnlois. Lom-
bard veut porter le ballon entre les deux
buts de Tarbes et se le laisse « chiper »
au dernier moment. Voilà un essai man-
qué et qui était tout fait cependant. Après
une série de passes magnifiques de Pier-
rot, Lasserre et Domercq, les visiteurs
Sont acculés rlans leurs 22 mètres. Un
dribbling de Piteu conduit à l’essai
transformé par Pierrot. (Pau : 16 points:
Tarbes : 5 points).
Enfin sur une belle série de passes re-
doublées, Lombard va marquer pour la
Section le cinquième essai au coin du
terrain. Le but est manqué de justesse et
la fin est siffléa.
Quelques appréciations.
Club-Olympique Tarbais. — La ligne
d’avants a été moins brillante et moins
active que d’habitude. Les mêlées sont
assez bonnes, quoique manquant d’équili-
bre. Les touches sont bien tenues, mai?
les dribblings sont complètement Incon-
nus des Tarbais. Voilà une lacune qui
leur a coûté et qui pourra leur coûter
cher ! Le talonnage de l’excellent Her-
nandez a été parfait. Estirebois, Nicolaï
et Lasvignassos ont été les meilleurs un
pack.
A la mêlée, Clément, qui remplaçait
Rio, a fourni une honnête partie.
A l’ouverture, le capitaine, le fameux
Ricarte a trop senti 2a supériorité des Pa-
lois pour fournir tout ce qu’on était en
droit d’attendre de lui. H n’a même pas
tenté un drop-goal ! ! !
La ligne de trois-quarts a joué avec
beaucoup de coeur. Nicoleau et Mandré
ont été remarqués.
L’arrière par Intérim, Aguirre, a été
passable.
8*otion Paloise. — La ligne d’avants
de Pau a été excellente, le talonnage est
plus précis et les mêlées mieux soudées.
C’est déjà un grand progrès. Comme par*
le passé les touches sont solidement cons-
tituées et les dribblings bien conduits. Il
manquerait peut-être encore d’un peu de
sciencç et de tactique dans le jeu ouvert.
Cloutzet, Lafitte, Cantonnet, Mauco et
Boy ont été très applaudis. Arramounet,
qui est’un bon pilieir, a fourni hier sa
.meilleure partie de la saison.
Le demi de mêlée, Piteu, a été mer-
veilleux. Grâce à lui trois essais ont été
marqués.
Chateau, à l’ouverture, a bien tenu sa
place.
Inutile de parler de la lijne de trois-
quarts quand elle est composée du ra-
pide ailier Lombard ; des deux interna-
tionaux Pierrot et* Lasserre et du bril-
lant bayonnais Domercq. Le public pa-
lois a applaudi ces quatre splendides
athlètes et c’était justice. Voilà du joli
sport, du beau Rugby ! !
L’arrière Molia, possède un joli coup
de botte.
L’arbitrage a été quelque peu difficile.
Le sympathique M. Impuyau a su hevi-
reusemsnt s’en acquitter avec tact et
autorité.
P. ¥
OBJETS TROUVE8
Par M. Tàillantou, une plaque d’iden-
tité.
Par Mlle Luscan, rue Porteneuve, ün
chapelet.
Par-Mme Bottelin, 41, rue Bonado, un
portemonnaie.
Par M. Bordenave, 4, rue Bordenave-
d’Abère, une broche.
Par M. Rochange, 8, rue de Poix, un
brassard.
Par Mlle Augé, employée gare, un bra-
celet montre.
Par la Concierge, Villa Marie-Christi-
ne, Avenue des Etats-Unis, un portemor.-
naie.
Par M. Gassiot» 19, rue Castetnau, un
thermomètre.
Par M. Oyhagarray, « Le Hameau »,
un soquin doré.
: Par Mrae Bobet, 17, rue Porteneuve, un
lorgnon.
Par Mlle Jones, 8, Cours Camou, une
broche. ^
Par M. Serres, 11, rue Carnot, un por-
temonnaie.
Par Mlle Bordenave, 37, rue de Bor- ;
deaqx, une chaîne tour de ©ou.
Par M. Sayous, chez Dastas, 24, rue ,
Serviez, une plaque bicyclette. i
Par M. Poullenot, au Planteur de Caïf-
m, un porteroonnaie. (
Par M. Laborde, près le Moulin Rouge, ]
une bicyclette. 6 ,
étage l,^lucl880n, rue Montpetfsier, 1er
Par M. Hanselmann, 28, Boulévard
«arbanègre, un sac à main*
Par M. Claverie, 21, rue Michel-Hou*
nau, une canne.
Par M. de Veuque, Hôtel Continental,
un portemonnaie. ,
Par Mlle.Larcade, 18, rue Viard, bou +
de d’oreille. j
Par M: Laborde, 20, Boulevard' Èarb'a- *e
nègre, une fourrure. a
• Par M. BrunaUj 9, rua Hehrl-IV, un. x
chien, r
1
ML PM LIVRES ET 101 CARTONS
•ont acceptés par la Maison
|GACHI - MARSAN - UQLÀ8p’"
i, Place de la République, PAU ““
ât 30 centimes le kilo rendus à leur domicile.
Les lots de certaine importance pourraient être prie au
des vendeurs moyennant entente préalable.
Miee eu Pilon Garantie. Téléphoné 0.22s
LES ANNALES
Notre confrère « Los Annalês » adres-
se un vibrant appel aux Aisaciens-Lor-
raina, et leur demande de signaler avec
précision les traitements odieux que les
Allemands leur ont fait subir avant et de-
puis la guerre. Nous engageons vivement
nos lecteurs à participer à cette enquête
dont les résultats paraissent dans le nu-
méro d’aujourd'hui.
Partout lo numéro 30 centimes. Abon-
nements d’un an : France, 14 francs :
Etranger, 20 francs.
Abdnnements de 3 mois pour les sol-
dats de la zone des armées : 3 francs avec
envoi gratuit d’un paquet , de livres et
a images, 51, rue Saint-Georges, Paris.
L’UNIVERSITË^DES ANNALES
Toutes les questions qui intéressent la
ive française de demain sont traitées
dans le « Journal de I Université des An-
nales ». Les admirables conférences d’E-
douard Herriot, .< Vouloir », y sont inté-
gralement reproduite».
Le numéro 60 centimes.
On s’abonne, 51, rue Saint-Georges, Pa
ris. Un an, 12 francs.
PLUSM 60.000 KILOS DC VIEUX
PAPIbR8 pour la refonte ont quitté, le
28, la rue Nouvelle-Halte. A 1 heure qu'il
est, tout est déjà réduit en pâts, person-
ne n’a rien à craindre de voir jamais re-
paraître ou traîner la moindre parcelle
de ces papiers, parce que sans les fouil-
ier, ians les trier, ils sont iiommédiate-
ment détruits.
départ de cette importante
quantité, combien d’habitations sont
maintenant assainies, tout danger d’in-
cendia a, de ce chef, disparu, que de place
gagnée et combien de patriotes sont con-
tents de pouvoir se dire qu’ils ont pris
leur part à combattre la crise en vendant
bien leurs inutiles, encombrants et pous-
siéreux vieux papiers ! Bien qu’un ga-
vroche ait fait cette observation . « Pau
a vaincu la crise du papier », la récolte
reprendra, dans ce même but patriotique,
le 4 Février, 28, rue Nouvelle Halle On
prévoit un plus grand succès encore, car
de tous côtés on prépare fiévreusement
aéja des lots de papier à livrer dès la
réouverture AVEO AUGMENTATION
M* r HIXI
■<
La Maison Théodore FOURCADE,
-X), rue des Arts et 15, rue Nouvelle-Halle
a Pau, fait savoir à sa nombreuse clien-
tèle qu’ei 1 e solde en ce moment avec un
rabais de 50 pour oent une grande quan-
tité de lingerie pour dame, et broderies.
Nous engageons vivement nos clientes de
profiter de cette occasion tout à fait ex-
cèpt tonnelle.
Cette vente durera encore 8 à 10 jours
au plus. J
NAY. — A l’honneur. •— Notre compa-
triote, Villecampe Gabriel, vient d’être
cité à l’ordre de la division dans les ter-
mes suivants ;
‘‘ Au cours de l'attaque du 25 octobre
1J17, sur une position dangereusement
battue par le feu de l’artillerie, a fait
prouve d’un dévouement et d’une intrépi-
dité qui ont entraîné ses camarades ; par
son énergie, que Je labeur écrasant n'a
pu abattre, a contribué à sauver de nom-
breux blessés. »
Liguo Française. — Nous apprenons
qu’une section de « La Ligue Française »
est on formation à Nay (Bu3ses-Pyrénées).
Les adhésions à cette Ligue 9i intéres-
sante sont à la portée de tous (Adhérents,
2 fr. ; Sociétaires, 5 fr. ; Donateurs, 20 ir.
par an ; Fondateurs 100 fr.) Versement
unique.
Adresser les adhésions à M. Jear». La-
borde, professeur à l’école primaire supé-
rieure, dél%ué de Ja Ligue Française à
i>ay.
BOEIL-BEZING. — Incendie. — Dans
la nuit du 26 au 27, vers une heure du
matin, un incendie, dont les causes sont
inconnues, s’est déclaré chez M. Nougué-
Laborde.
La maison d'habitation fut détruite
complètement ; rien n’a pu être sauve
heureusement la grange fut épargnée
grâce au temps calme.
EXTRAIT
0M Rtflctrcc de l’Etat Civil.
Naissances.
Benoit-Paul fils de Pascuxil Lapefin,
terrassier et de Maria Zamorano, ména-
gère à Pau.
Oéoès.
Jean Gouardères, garçon de salle, né à
Labastide-Villefranche (B.-P.), 26 ans.
Jean Sinoeux, journalier, né à Arros I
(B.-P.), 77 ans.
PUbiieatlons de Mariages.
Yves-Jean-Jacques Boyianée, mécani-
cien et Marie-Louise Garère, modiste à
Agen.
Marcel-Joseph Sainte-CIuque, zingueur
et Simonne-Anne-Marie Bourt, giletière
à Pau. .
Pierre-Paulin-Félix Fardet, retraité et
Lucie-Marceline Cazaban, s. p. à Nous-
ty.
Louis-Henri Lacaze, valet de chambre
pt Marie-Hélène Bellocq, femme de cham-
bre à Gel.)».
Baptiste-Adolphe Béguèré, (lieutenant,
actuellement prisonnier de guerre et Ma-
•to-Marthe Daban, institutrice à Pau.
Fournitures pour MODES
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ant moitié prix. Se vend sous les deux
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e de lait avec des « oomposés de suif » à
idènr répugnante. — Exiger la nnrquo.
T L’essayer c'est l’adopter»
\ » . 1 • . 9
BULLETIN METEOROLOGIQUE
Observations tft la Maison DAIQNAEC
14, rus Taylor,
Lundi 28 Janvier,
A neuf heures matin (SolciJ).** M
A (Soleil) »*2
A trois heures soir (Soleil) * 10*3
Maxima de la Journée '+ jo-à
Minima de la nuit J*.
t i
CINEMA PALAOE
Représentations du mardi au diman*
CONVOI FUNÈBRE
Mlle Elisabeth Rumeau, M. Louis
meau, les famines Lassus (de Pau),
Agnès (de Morlaàs), Barràdat (de Gubas-
ton) prient leurs urnis et counaissiinces
u assister aux obsèques de
Monsieur Maxime RUMEAU
Coiffeur, 7, rue Gambetta à Pau,
qui auront lieu le Mercredi 30 Janvier, ùt
o heures moins lo quart.
Le convoi partira do !a maison mor-
tuaire, 7, rue Gambetta vers réjriise st-
Miitiii.
L’inhumation aura lion ù Morlaàs.
MitÊÊÊÊÊÊSKKÈÊÊUtMÊkZiSîiilSMiBi
SERVICE FUNÈBRE
Mme Vve Frago et son fi}», M. Antoine
Frago et ses enfants, M. et Mme Adrien
Frago et leurs enfants, M. at Mme .Jeun
Picoulat et leurs enfants et les familles
Espouey prient leurs et amis et connais-
sances d’assister au service qui sera cé'é-
bré le mardi 29 courant, à 9 heures, en
1 église Notre-Dame, pour le repos dé
l ame de
Monsieur •iceeph FRAGO
Caporal au 18» Régiment d’InfariVer-*,
Tombé au Champ d’Honneur
le 27 Décembre 1917.
SERVICE FUNÈBRE
M. et Mm« Doux d'Obersecq prient
leurs amis et connaissances de leur tai-
re l’honneur d’assister nu Service qtrt
sera célébré le mardi 29 Janvier, à ]',)•
heures, à l’église St-Jacque's, pour le rt-,
pos de l’âme de leur fils
Edmond DOUX D’OBERSECQ
, Sergent au 24» de ligne.
Tué ù. l’ennemi, le lrtr Août Î91T.
REMERCIEMENTS ""
M. Michel Labbé ; M Jean-Lcmis Lato
bé (aux armées), M. Joseph Labbé (aux
armées), M. George» Barrol, Mme Vve
Cammde. remercient sincèi'emont les per-
sonnes qui leur ont fait l’honneur d’assister
à la messe de huitaine qui a été célébrée
pour le repos de l’âme d«
Madame Veuve LABBt
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ser au bureau du journal.
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U Gtnat t u MINGBSATTA.
' Parte. — Le 24 janvier, les journaux
Ont annoncé que l’expert Doyen « au-
rait évalué les titres saisis à Florence
ainsi- qu’il suit : valeurs des titres ù
l’émission, 4Ô9.000 francs, dont 180.000
" L’exactitude do cette information'
ayant été contestée, l’Association des
informations de la presse judiciaire en
O recherché l’origine afin d’établir sa
t)onne foi, qui ne doit pas être suspec-
itée. Elle a ainsi établi que c’était M.
Ceccaldi, un ( des avocats de M. Cail-
iaux, qui avait fourni ces renseigne-
ments tendancieux, alors que, en réa-
lité, les titres, qui, d’après M* Ceccal-
di, auraient été examinés par l’expert
Doyen ne devaient être extraits du cof-
ïre-fort du capitaine Bouchardon, où
ils sont restés sous scellés, que le 25
janvier.
* L’Association des journalistes judi-
ciaires saisit, en conséquence, la pres-
se et l’opinion du procédé de l’avocat
de M, Çaillaux..
"™LEDISCOURSHERTLINO1*
ET L'OPINION AMEIRCAINE
m
New-York. — Hcrtling a affermi la
résolution des Américains de poursui-
vre la guerre et leur a montré plus
clairement le travail restant à accom-
plir afin d’assurer la sécurité de la dé-
mocratie upnivmolle. On pense aux
*Etats-Vnis que la situation, intérieure
est devenue grave en Autriche-Hon-
grie, sans cependant vouloir compter
que les Austro-Hongrois pourraient à
cette époque de la guerre forcer les Al-
lemands à une paix iiqn|édiate.
Toutefois l’opinion générale est ici
que les troupes austro-hongroises ne
Îmrattront pas en grand nombre sur
e front occidental parce qu’un senti-
ment antiallernand se dessine dans la
monarchio dualiste après les déclara-
. lions du comte Czernin soulignant la
similitude des buts de guerre améri-
cains et austro-hongrois.
• Le publie américain accueille sans
enthousiasme la proposition d’un
. échange de vue?; entre l’Autriche et les
Etats-Unis faite par le ministre autri-
; chien, car, dit-on, s’il a quelque chose
à dire, qu’il le dise publiquement.
Après l’énumération par le prési-
jdent Wilson des quatorze articles de la
jpaix, la parole est à l’Autriche.
• ,Quant ù la presse américaine, elle
• est unanime à constater la différence
Sui existe entre le discours du comte
zernin et celui du chancelier aile-
. mand. Le premier, selon les journaux
, américains, porte les traces indénia-
bles des graves embarras dans les-
quels se débat l’Autriche-Hongrie et la
nécessité pour la monarchie dualiste
de faire la paix.
Ou interprète au contraire le dis-
cours de Hertling comme l’expression
du pangermanisme le plus fourbe, le
plus audacieux ot le plus avide.
OTRE VICTOIRE DE VERDUN
Pifris. — Un document émanant de
première armée allemande, d.até du
2 décembre et intitulé : « Enseigne-
ments tirés des derniers combats de
VèTdun est tombé entre les mains
françaises.
Ce docùmcnt, bien qu’un peu ancien
èôntient dés appréciations intéressan-
tes éur noë procédés d’attaques. Il rè-’
' çdnhalt qlie les Français ont remporté
un «grand.Succès : 284 officiers, 11.000
• hommes, 115 canons et plus de 100
' mitrhijleuses sont tombés entre les
mains des Français ».
; L’enriemi avoue, notons-lc, que tou-
tes ses organisations nous étaient con-
nues ët que toute résistance a été im-
* possible. Eh blême temps qu’un hom-
' mage, adressé à nos soldats, c’est la
•jceonhdiSsanco de la valeur éprouvée
'de l’état-major français.
LE FRONT ANGLAIS
Londres. — Le correspondant de l’a-
f&nce Reuter au front britannique en
rance télégraphie :
. Les Anglais ont pris & leur charge
line autre portion du front ouest et
•depuis 'ftier la ligne britannique s’é-
tend légèrement au sud de Saint-Quen-
tin. . Celte extension s’est faite sans
t>ruit, h, Ja faveur du temps qui, ces
derniers'jours, a été peu propice aux
gsombats. Les Allemands ne s’en sont
gtperçus que l’avant-dernière nuit lors-
flu’ils ont tenté d’exécuter un coup de
jmain contre les positions qu’ils
^croyaient occupées par. des Français.
• BN ALLEMAGNE
U dliooura du ehanoetler.
. Bôrng. — Les télégrammes de l’agence
JKVolff et de l’agence germanophile Sch-
weizer Presse Telegraph, prétendaient
,que le'discours du comte Hertling avait
Veçu un accueil en général favorable ; à
ÿn croire ces .agences officielle et offi-
tteuse, l’opinion allemande aurait été
tlaànime sur un point : c’est que, pour
Ïeu qûé TShtente fût disposée à la paix,
l'discours du comte Herttling lui fourni-
rait l’occasion d’engager la conversation.
.Mais les télégrammes particuliers par-
venus de Berlin aux « Basler Nachrich-
ten montrent gue l’opinion allemande
n’est dos absolument satisfaite et que le
Succès du comte Hcrtîîfl*. reste, en réa-
lité, problématique.
tu trfeqJHes de Berlin.
Londres, 27 janvier. — Des informa-
tions reçues par ie correspondant à Ame
terdam du « Daily Express » apportent
«le nouveaux détails sur les désordres de
Berlin. Le correspondant dit :
« Des nouvelles sensationnelles circu-
lent aujourd’hui à Amsterdam. D’après
«es Informations, de graves désordres ont
tAditàé % Berlin au cours de tes deux dor
hiers Joürt. On rapporte que les émeu-
«ers* ont réclamé la paix et du pain et
jfa'tur grand nombre d'hommes, de fem-
ipes ett (Tentants ont été blessés par la
noUcâ) dont ta répression fut sans pitié.
,*> II ,est Impossible d’obtenir confirma- !
jUop de ige» nouvelles mai» il est* extrême- i
pte stgnilcatif qu'aucun télégramme -
Vàffairés; .de presse ou d’intérêt nrivô :
Jt'ait été expédié de Berlin*aujourd’hui, <
p# quelques dépêches arrivées sont par- ,
venues avec de longs retards et après
beaucoup de détours. Aucun des jour-
naux allemands du matin publiés hier
n’ont, jusqu’à présent, été autorisés à ar-
river en Hollande.
. » A des enquêtes faites à la Bourse
d'Amsterdam cet après-midi, il-a été ré-
pondu que « quelque chose de grave de*
vait se passer à Berlin aujourd'hui. »
lODYELLES LOCALES
et Régionales*
LES EMBUSQUES
La Commission constituée en Dé-
cembre par M. Clemenceau fonctionne
à la satisfaction de tous. Pourquoi a-
t-il fallu tant do temps pour compren-
dre ce que nous - avons dit ici il y a
tant de mois ? Il n'y p, pas que des em-
busqués, il y a surtout des embus-
! queurs. Ce n’est pas par goût de la fa-*
your et de l’injustice, mais surtout par
incurie, apathie, inertie, entêtement
imbécile que des organismes orgueil-
leux et bien faillibles ont soustrait,
comme indispensables, tant d’hom-
mes à la véritable situation qu’ils de-
vaient occuper pendant la guorre.C’est
en haut qu’il faut frapper, et non en
bas. Les favorisés doivent être envoyés
das la zorie des armées. Ceux qui fa-
vorisaient doivent être punis, 'Depuis
plusieurs années nous réclamons
qu’en temps de guerre, on prononce et
on applique des sanctions de guerre.
Mais peu de chefs des formations de
l’arrière, ont consenti, malgré les cir-
culaires qu’ils ne voulaient pas com-
prendre, à sc diminuer cri diminuant
le personnel qu'ils avaient sous leurs
ordres.
Dans les usines do guerre notam-
ment, grâce à la faveur de certains
hommes influents et aussi des chefs
du syndicalisme socialiste, les hom-
mes soustraits à la zone des armées
furent très nombreux. Qu’on enquête
encore et qu’on sévisse.
Pendant qu’un grand nombre d’hom-
mes sans aptitudes et sans spécialités,
de riches oisifs ou des ouvriers, ont
été garé, la rude loi égalitaire* a fait
moissonner par l’ennemi l’élite de la
jennese intellectuelle, polytechniciens,
normaliens, savants et' inventeurs.
Pour ces hommes, dont la perte est ir-
réparable, il n’y a pas eu suffisam-
ment cette intelligente appropriation à
la fonction que les Allemands avaient
prévue avec soin. Soit. Mais pour ceux
oui n’ont d’autres titres à des postes
de sécurité que l’intrigue ou l'impéri-
tie il faut être implacable.
On frémit, on sc lamente vraiment
quand on pen.se qu’il a. fallu attendre
quarante mois et l'arrivée an ministère
de M. Clerhenceau pour faire préva-
loir le bon sens.
O. A.
LES FONDS RUSSES
Lenine a décrété, paraît-il, la sup-
pression de la dette russe tant intérieu-
re qu’extérieure, c’est-à-dire la ban-
queroute.
C’est dans l’ordre révolutionnaire.
Ces messieurs s’imaginent tous que
le monde date d’eux. Ils ne voient pas
que s’ils ont pu naître, se développer
et réaliser leurs conceptions, c’est par-
ce qu’ils bénéficient des longs efforts
grâce auxquels leurs pères sont pas-
sés de la horde sauyage à cette orga-
nisation impériale qu’ils appelaient ty-
rannique, mais qui a fait la Russie. La
justice dont ils se disent les purs repré
sentants devrait suffire à les rendre
comptables de cette dette sans laquel-
le rien de tout cela n’aurait pu se fai-
re, mais la justice envers autrui est le
dernier de leurs soucis.
Au reste, il n’y a pas lieu de discuter
philosophiquement sur cette question,
mais de se demande/ dans quelle me-
sure, le décret spoliateur recevra- son
exécution. A l’intérieur de la Russie,
il est possible qu’il soit maintenu,
mais qu’âdviendra-t-il à l’extérieur ?
Peut-on supposer que là où les Rus-
ses qui existeront une fois la paix con-
clue, pourront vivre sans ‘relations
avec le monde ? C’est invraisemblable,
contraire à la logique des ènoscs.
Donc, il viendra un moment où sous
une forme ou une autre, la Russie
traîtresse à ses alliances, sera qfcjgéc
d’être infidèle à «a signature, et de
causer de nouveau avec le monde pour
les nécessités de son commerce, de son
industrie, de sa vie.
A ce moment que répondra le mon-
de ? Il dira ? —■ Volontiers, mais ré-
glons d’abord les vieilles affairés, il
vous a plu de cesser de payer ce que
Vous déviez à votre créancier. Ce n’est
pas une façon de vous créer du cré-
dit. Ou vous reprendrez la charge dont
vous vous êtes si délibérément débar-
rassée ou nous continuerons de ne pas
vous connaître. Payez les coupons ou
demeurés murés dans votre égoïsme.»
Que feront alors les divers Etats bâtis
sur les débris de la Russie ? Certes,
chacun d'eux tâchera d’assumer la
moindre partie de la charge totale,,
mais soyez sûr que dans l’ensemble,
ils paieront. Ils paieront d’autant plus
que s’ils ne paient pas l’arriéré, ils ne
trouveraient aucune ressource pour
l’avenir au dehors et que ce ri’est pas
ctu£ eux après les ruines accumulées
par la guè"rAE .!& révolution qu’ils
pourraient s’en procuîTf; - ■
5. A. •
«
CARNETS DI SUORS
Mardi 29 Janvier, distribution des car-
nets de sucre aux personnes compéise»
dans les cartes de Dabi numérotées de
1001 à 2.000. *
00 U R DA88I8E8
Liste des affaires inscrites au rôle dé
la prochaine session des assises des Bas-
ses-Pyrénées qui dioit «'ouvrir à Pau, le
4 février 1918, sous la présidence de M.
Pons-Devler, conseiller & la cour, assisté*
Je MM. Triichy.Jboûseiiîer, et Mazoyer,
luge au tribunalTe Pau. „
•• ‘
Lundi 4 février t Pablo Orttt-Zàrrate,
meurtre.
Pierre-Robert Lus&y et Andté Belledo,
tentative d’assassinat.
ALLOCATIONS MILITAIRES
Les allocations militaires seront payées
au bureau de la Perception de Pau, 12,
me d'Orléans, de 9 h. 1/2 à midi «t dé
2 h. h 4 heures, dans l’ordre ei-anrèa :
Mardi J® Janvier, du numéro 2001 A
2.400 et du numéro 3.901 A 4.200.
"cend“,* *du
LA RRPRmNTATION
DI « LA PILLE DI Mm# ANOOT »
Fort belle chambrée hier dimanche, au
théâtre Municipal, pour la reprise de
« La Fille de Mme Angot ».
Avec un entrain sans pareil et une
verve étourdissante, Mme Rachel Da-
mour (Clairette), Mlle Viguier (Mlle Lan-
ge), M. Aibony (Ange Pitou), M. Ringhi
(Pomponnet), M. Shézard (Larivaudière),
M. Laborde (Trénitz) ; Mme Radencz
(Anvaranthe), ont fait triompher, de fa-
çon remarquable, la toujours jeune opé-
rette de Lecocq. -
Dans des rôles secondaires le public a
apprécié Mmes Martin et Graivil, MM.
Villecampe i>t Charbo.
Choeurs et orchestre excellents, mise eh
scène de bon goût, en un mot ensemble
parlait.
Au chef Torfs, dont la baguette règne
sur l’ensemble et dirige admirablement
la troupe, notre habituel compliment.
UNE BONNE 8URPRI8B PROOHAINI
C’est Mlle de Bedts, l’Etoile du Théâtre
du Gymnase, qui va venir Interpréter
« Petite Reine ».
Nous reverrons avec joie dans un rôle
d amoureuse l’espiègle ingénue qui dans
la « Folio Nuit » obtint un succès fou de
talent ot de beauté.
M* parce y, des Variétés, l’admirable
abbé de Fleurange de in « Folle Nuit »,
1 incomparable Prince d* u Occupe-toi
d’Améfie ».
M. Therval des Variétés, l’endiablé
Marcel d’ « Occupe-toi d’Amélie » joue-
ront les deux principaux d’hommes.
Nous n’avons pas souvent l’occasion
d avoir une délicieuse pièce aussi supé-
rieurement interprétée. On nous dit mer-
veille des costumes et décors.
« LA PÀ88ION » AU CINEMA PALAOE
Rappelons à nos lecteurs que c’est de-
maiu mardi 29 janvier (matinée à H h. 30
et soirée à 20 h. 30) que lu troupe com-
plète du « théâtre de l’Evangile » donne-
ra au Cinéma Palace deux séances de
« La Passion » d'Emile Rochard, qui
s’annoncent comme un succès sans précé-
dent. 1
Location ouverte au Cinéma Palace.
NOS BEARNAIS AU FEU
Notre compatriote le caporal Lalanno
(Emile), de la compagnie H. R. du 43»
régiment d’infanterie a mérité la belle
citation suivante :
•Le lieutenant-colonel Carrot, comman-
dant le 43a régiment d’infanterie, cite à
l’Ordre du Régiment le caporal Lalanne
(Emile) : « Caporal d’une bravoure
éprouvée, au front depuis le début de la
Campagne, s’est fait remarquer par sa
belle attitude au feu, plusieurs fois bles-
sé, faisant partie de l’équipe de pionniers
régimentaire, vient de se distinguer du
& au >6 août 1917, en dirigeant avec com-
pétence en première ligne, sous de vio
lents bombardements, des travaux de
préparation d’attaque. »
Tous nos compliments à ce brave pa-
lois.
——/^i——
TRIBUNE PUBLIQUE
Pau, le 28 Janvier 1918.
Comme suite à une récente discussion,
serait-il indiscret de demander à la fer-
vente admiratrice de Nice ce qu’elle pen-
se du ciel de Pau ?
Un Niçois émerveillé.
PAU.ORÔQUET.OLUB
The paragiraph in our last issue rè
subscription should hâve rèad as follows.
Playing members 60 francs (two mem-
bers op the same family 100 francs). NOÛ
pjaying members 15 francs.
SOCIETE DE8 SCIENCES, LETTRES
ET ART* DE PAÜ
Séance du Jeudi 31 Janvier 1918, A
17 heures, à la Halle-Neuve (Salle de
l’Assistance).
Ordre du Jour :
1. ilcctüre du procès-verbal de la séance
précédente ; correspondance ot commun!-
cations diverses ;
2. M. l’abbé V. Dubarat : Vieux papiers
et papiers vieux ;
3. M. P. Poullenot : L’arcade de Nico-
las Flamel et de sa femme Pemelile aux
charniers des Innocens (1407). Etude sur
un panneau peint ;
4- M- G- Andrai : Une eçulpture du
Château de Pau ;
5. Présentation
AGENTS ATTAQUES
Dimanche, aux allées de Morlaàs, unie
dizaine de voyous ont injurié et attaqué
les agents LassUs et Bourg, qui grâce à
des renforts, ont réussi à se retirer in-
demnes. Uno enquête est ouverte.
hjBQQLa
AOOIDENTS
Le nommé Lagarde Pierre, âgé de 46
ans, de la commune de Méritein, canton
de Nrtvofrenx, a été atteint à l’épine dor-
sale par un tronçon d’arbre. On a trans-
porté le blessé à l’hôpital Mixte, cours
Bosquet.
— Jean Tisné, d’Arros, a glissé sous
un char et a eu la jambe gauche fractu-
rée. Tisné est soigné à l’hôpital de notre
ville. v •
— A l’angle de la rue Bellocq, le tram
a heurté et renversé une voiture attelée,,
sur laquelle se trouvaient les frèreuf Lo-
bau, d Ousse. Légèrement contusionnés,
cès derniers ont reçu les premiers soins
rnripf&L r
MATINEE Dff BIENFAISANCE
Nous publierons demain le compta*
rendu de cotte manifestation.
K00T.BAI4. BUOBY
L’équipe première du Club-Olympfqué
Tarb&is a subi, hier dimdnche, sur la
ground de la Crcix.du Prince, une délai?
te et quelle défaite ] !...
I Lés Tarbais étaient venus, Avec l’es-
poir d’une facile victoire, prendre simple-
ment A Pau un galop, un tout petit galop
d’entraînement avant leur dernière ren-
contre avec l’Union Sportive Tarbaise »
en vue de la finale du championnat d’Ar-
inanac-Bigorre. La Section Paipise 2c» a
battus nettement, catégoriquement par
19 pointe (5 essais dont 2 transformés) A
5 points (1 essai transformé).
Aprè la victoire de Dax sur Pau pour le
championnat de la Côte Basque, quelques
esprits chagrins disaient que la Section
n’existait plus. Bravo, des Paioiis, votre
brillant succès sur le C. O,. T. est votre
meilleure réponse. Vous êtes encore un
peu là 1 I
La Partit.
Journée délicieuse. Les tribunes et la
pelouse sont complètement garnies.
A 2 h. 40, «coup d’envoi pour Pau qui
fait une descente magistrale et oblige les
Tarbais à toucher dans leurs bute. Tar-
bes remonte ite terrain. Les verts sé dé-
gagent rapidement et attaquent. Rien ne
passe et les Sectionnistse sont refoulés
dans leurs 22 mètères. Ouverture de Pau ;
Nicoleau intercepte superbement, port à
tout allure, feinte les lignes arrières et va
marquer l’esiai qui est transformé. (Tar-
bés : 5 points. — Pau : 0).
• Un dribbling da Piteu envoie <« le bail »
dans la ligne tarbaise et Cantonnet qui a
bien suivi s’écroule sur l’ustensile. Le but
est raté. (Tarbes : 5 points. Pau :3p.) La
Section menace dur. A qne sortie de mê-
lée des 15 mètres, Lasserre file, feinte et
va marquer pour Pau un essai entre les
poteaux que Pierrot transforme d’un su-
Serbe coup de botte. (Pau : 8 points ; Tar-
es : 5 points).
Les Sectionnâtes mènent la danse.
Pierrot, bien servi, démarque, tous ses
adversaires et fait la passe à Piteu qui
s’écroule sur la ligne tarbaise. Le but
est raté (Pau : 11 points ; Tarbes : 5 p.).
Mi-temps.
Reprise. — Le jeu se maintient pendant
quelques minutes aux 50 mètres. Descente
foudroyante des trois-quarts pnlois. Lom-
bard veut porter le ballon entre les deux
buts de Tarbes et se le laisse « chiper »
au dernier moment. Voilà un essai man-
qué et qui était tout fait cependant. Après
une série de passes magnifiques de Pier-
rot, Lasserre et Domercq, les visiteurs
Sont acculés rlans leurs 22 mètres. Un
dribbling de Piteu conduit à l’essai
transformé par Pierrot. (Pau : 16 points:
Tarbes : 5 points).
Enfin sur une belle série de passes re-
doublées, Lombard va marquer pour la
Section le cinquième essai au coin du
terrain. Le but est manqué de justesse et
la fin est siffléa.
Quelques appréciations.
Club-Olympique Tarbais. — La ligne
d’avants a été moins brillante et moins
active que d’habitude. Les mêlées sont
assez bonnes, quoique manquant d’équili-
bre. Les touches sont bien tenues, mai?
les dribblings sont complètement Incon-
nus des Tarbais. Voilà une lacune qui
leur a coûté et qui pourra leur coûter
cher ! Le talonnage de l’excellent Her-
nandez a été parfait. Estirebois, Nicolaï
et Lasvignassos ont été les meilleurs un
pack.
A la mêlée, Clément, qui remplaçait
Rio, a fourni une honnête partie.
A l’ouverture, le capitaine, le fameux
Ricarte a trop senti 2a supériorité des Pa-
lois pour fournir tout ce qu’on était en
droit d’attendre de lui. H n’a même pas
tenté un drop-goal ! ! !
La ligne de trois-quarts a joué avec
beaucoup de coeur. Nicoleau et Mandré
ont été remarqués.
L’arrière par Intérim, Aguirre, a été
passable.
8*otion Paloise. — La ligne d’avants
de Pau a été excellente, le talonnage est
plus précis et les mêlées mieux soudées.
C’est déjà un grand progrès. Comme par*
le passé les touches sont solidement cons-
tituées et les dribblings bien conduits. Il
manquerait peut-être encore d’un peu de
sciencç et de tactique dans le jeu ouvert.
Cloutzet, Lafitte, Cantonnet, Mauco et
Boy ont été très applaudis. Arramounet,
qui est’un bon pilieir, a fourni hier sa
.meilleure partie de la saison.
Le demi de mêlée, Piteu, a été mer-
veilleux. Grâce à lui trois essais ont été
marqués.
Chateau, à l’ouverture, a bien tenu sa
place.
Inutile de parler de la lijne de trois-
quarts quand elle est composée du ra-
pide ailier Lombard ; des deux interna-
tionaux Pierrot et* Lasserre et du bril-
lant bayonnais Domercq. Le public pa-
lois a applaudi ces quatre splendides
athlètes et c’était justice. Voilà du joli
sport, du beau Rugby ! !
L’arrière Molia, possède un joli coup
de botte.
L’arbitrage a été quelque peu difficile.
Le sympathique M. Impuyau a su hevi-
reusemsnt s’en acquitter avec tact et
autorité.
P. ¥
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tité.
Par Mlle Luscan, rue Porteneuve, ün
chapelet.
Par-Mme Bottelin, 41, rue Bonado, un
portemonnaie.
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brassard.
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celet montre.
Par la Concierge, Villa Marie-Christi-
ne, Avenue des Etats-Unis, un portemor.-
naie.
Par M. Gassiot» 19, rue Castetnau, un
thermomètre.
Par M. Oyhagarray, « Le Hameau »,
un soquin doré.
: Par Mrae Bobet, 17, rue Porteneuve, un
lorgnon.
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broche. ^
Par M. Serres, 11, rue Carnot, un por-
temonnaie.
Par Mlle Bordenave, 37, rue de Bor- ;
deaqx, une chaîne tour de ©ou.
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Serviez, une plaque bicyclette. i
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m, un porteroonnaie. (
Par M. Laborde, près le Moulin Rouge, ]
une bicyclette. 6 ,
étage l,^lucl880n, rue Montpetfsier, 1er
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ne n’a rien à craindre de voir jamais re-
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ment détruits.
départ de cette importante
quantité, combien d’habitations sont
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tents de pouvoir se dire qu’ils ont pris
leur part à combattre la crise en vendant
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siéreux vieux papiers ! Bien qu’un ga-
vroche ait fait cette observation . « Pau
a vaincu la crise du papier », la récolte
reprendra, dans ce même but patriotique,
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prévoit un plus grand succès encore, car
de tous côtés on prépare fiévreusement
aéja des lots de papier à livrer dès la
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M* r HIXI
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NAY. — A l’honneur. •— Notre compa-
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mes suivants ;
‘‘ Au cours de l'attaque du 25 octobre
1J17, sur une position dangereusement
battue par le feu de l’artillerie, a fait
prouve d’un dévouement et d’une intrépi-
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breux blessés. »
Liguo Française. — Nous apprenons
qu’une section de « La Ligue Française »
est on formation à Nay (Bu3ses-Pyrénées).
Les adhésions à cette Ligue 9i intéres-
sante sont à la portée de tous (Adhérents,
2 fr. ; Sociétaires, 5 fr. ; Donateurs, 20 ir.
par an ; Fondateurs 100 fr.) Versement
unique.
Adresser les adhésions à M. Jear». La-
borde, professeur à l’école primaire supé-
rieure, dél%ué de Ja Ligue Française à
i>ay.
BOEIL-BEZING. — Incendie. — Dans
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matin, un incendie, dont les causes sont
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Laborde.
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heureusement la grange fut épargnée
grâce au temps calme.
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0M Rtflctrcc de l’Etat Civil.
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terrassier et de Maria Zamorano, ména-
gère à Pau.
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Jean Gouardères, garçon de salle, né à
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cien et Marie-Louise Garère, modiste à
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Marcel-Joseph Sainte-CIuque, zingueur
et Simonne-Anne-Marie Bourt, giletière
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Pierre-Paulin-Félix Fardet, retraité et
Lucie-Marceline Cazaban, s. p. à Nous-
ty.
Louis-Henri Lacaze, valet de chambre
pt Marie-Hélène Bellocq, femme de cham-
bre à Gel.)».
Baptiste-Adolphe Béguèré, (lieutenant,
actuellement prisonnier de guerre et Ma-
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T L’essayer c'est l’adopter»
\ » . 1 • . 9
BULLETIN METEOROLOGIQUE
Observations tft la Maison DAIQNAEC
14, rus Taylor,
Lundi 28 Janvier,
A neuf heures matin (SolciJ).** M
A (Soleil) »*2
A trois heures soir (Soleil) * 10*3
Maxima de la Journée '+ jo-à
Minima de la nuit J*.
t i
CINEMA PALAOE
Représentations du mardi au diman*
CONVOI FUNÈBRE
Mlle Elisabeth Rumeau, M. Louis
meau, les famines Lassus (de Pau),
Agnès (de Morlaàs), Barràdat (de Gubas-
ton) prient leurs urnis et counaissiinces
u assister aux obsèques de
Monsieur Maxime RUMEAU
Coiffeur, 7, rue Gambetta à Pau,
qui auront lieu le Mercredi 30 Janvier, ùt
o heures moins lo quart.
Le convoi partira do !a maison mor-
tuaire, 7, rue Gambetta vers réjriise st-
Miitiii.
L’inhumation aura lion ù Morlaàs.
MitÊÊÊÊÊÊSKKÈÊÊUtMÊkZiSîiilSMiBi
SERVICE FUNÈBRE
Mme Vve Frago et son fi}», M. Antoine
Frago et ses enfants, M. et Mme Adrien
Frago et leurs enfants, M. at Mme .Jeun
Picoulat et leurs enfants et les familles
Espouey prient leurs et amis et connais-
sances d’assister au service qui sera cé'é-
bré le mardi 29 courant, à 9 heures, en
1 église Notre-Dame, pour le repos dé
l ame de
Monsieur •iceeph FRAGO
Caporal au 18» Régiment d’InfariVer-*,
Tombé au Champ d’Honneur
le 27 Décembre 1917.
SERVICE FUNÈBRE
M. et Mm« Doux d'Obersecq prient
leurs amis et connaissances de leur tai-
re l’honneur d’assister nu Service qtrt
sera célébré le mardi 29 Janvier, à ]',)•
heures, à l’église St-Jacque's, pour le rt-,
pos de l’âme de leur fils
Edmond DOUX D’OBERSECQ
, Sergent au 24» de ligne.
Tué ù. l’ennemi, le lrtr Août Î91T.
REMERCIEMENTS ""
M. Michel Labbé ; M Jean-Lcmis Lato
bé (aux armées), M. Joseph Labbé (aux
armées), M. George» Barrol, Mme Vve
Cammde. remercient sincèi'emont les per-
sonnes qui leur ont fait l’honneur d’assister
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