Presse et revues
4 pages
Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1901-03-26
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 26 mars 1901 26 mars 1901
Description : 1901/03/26 (A34,N137). 1901/03/26 (A34,N137).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k52663127
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 05/04/2020
Il TpouvüillM.
M!, blancs.
I p»rM. BoZIOU, uu il «TB Jb p.ctj.
-Par le jtune Cossou, 10 ans, domeuran
jutain Philipon, au Hameau de Pau, un por
monnaie contenant une certaine somme.
- Par Mme Croharé, rue Préfecture, 39, do:
« Par M. Camps, conoierge Ecole supéricU'
j une breloque, montée sur or.
- Par M. Lassai le, employé aux Galerios,
,te montre de dame.
ÉTRANGERS ARRIVÉS A PAU
Alibert ; comte d’Alsace ; Beguet ; baron de
feaoist ; Béguerie ; Brun , Bridgland ; Betbe-
j«r.‘ Bartlet ; Bonneil et dame; comte de
jernac Cabagnus ; Chamouski ; Casiex ;
jooaert et dame ; Chevalier ; Constantin et
laine ; masquis de Castebajac ; Dureau ; Cu-
sut ; Dalout ; Dupuy ; Drag ; Dugenet ; Do-
(ros ; Durand ; Fheaker ; Filippi ; F’errô :
Nss0 ; Finot Prévost ; Grelet ; Goutaad ; Gi-
jd : Heiwd Huiekins ; Hinnear ; Jummoler ;
tiws , de Juge ; Kahn ; Lustinbricq ; Leyma-
s; Laporte ; Lequin; Lavarrière ; Loubière ;
iioreau , Meller ; Mimiague ; Mèrignac ; Mas-
ic; Martin ; Monfort ; Menjoulou ; Mallet ;
lii Moleg ; Novital ; baron de Nexon; Por-
jjj ; üxeclan ; Ponchan ; Poueham ; Ponsutn ;
felleiigue; Puet ; Hibes ; R*y ; Stiekelen ;
Sabry ; Sauze ; Stewart ; Thomas ; Tarbès ;
inverse ; Tollemaehe ; Tardy ; Vaucluse;
Teillon ; Walkins , Waller.
CH RONIQU ETTE
(OKC « tramways orbatns coostralrout leur» abris
maures et l'alcool auront baissé de prix,
U si priera plus du pauvre Palntte
(un toupir)
P il Conseil muai—clpal de Jéltotle
Sara fait elever trente-deux monuments.
> Tr ituras pourront Iraverier à pas lent*
ii éleau d'Henri IV et le ponl-neuf de üulche,
k taveller du cours Bosquet sera 1res riche,
;« terrains Nord du Pire Beaumont seront vendus,
'.l «I remboursera las Panamas perdus,
tu paiois a l'snv! enantsront dans la villa
Julie Palais d'IHvor au commerce est utile,
kt passages privés suronl le gax et l'eau
!:dn trottoirs bordés alignés au cordeau,
télmabie pereepleur fermera sa boutique,
ks journaux cesseront de parler politique,
L,ullce sera gratuite, les huissiers
tel Plus recherché» que tous les orflcleri,
tarolslne dira du bien de sa voisine,
I: Ms pacifiés, mais morts, par la raclna
fa» maugerons des pissenlits, dss célérls,
leslrimways urbains construiront leurs abris.
BTZANTINI.
SPORTS
COURSES DE F A U
L manche 24 Mart. (1n Réunion du Printemps).
Lu première journée du Printemps favo-
n:e« ;,,r un temps radieux, avait attiré
tut Mérentes enceintes de l’Hippodiome
ci* Pr.i-Long une aülueuce énorme. Au
Peugeot, remarquait tous les sportmen de
la région et de la localité venus pour assis-
ta; à notre épreuve classique la POULK
I *AI, qui était le great-event de ce
- - iug el dont l’allocation entrées et for-
:• compris s’est élevée cette année i
*1100 fr.
.9 ring pendant toutes les opérations du
•• âge a présenté une très grande anima-
■ 'exception de Cancale dans la
Mine a Essai les favoris se sont trouvés k
trrtvée.
le terrain qui était en excel'ent état a
»imis que les épreuves aient été régu-
•8*88.
Les honneurs de la journée ont été pour
Uossmann qui a gagné la Poule d'Esssi
(v®f Lun 0 de Miel une fille de Mme Pouf*
J™ 1ul *vait elle-même enlevée cette
preuve en 1885, sous les couleurs de M.
«Jesuer.
Uno longue ovation a été faite par le
, lc * ‘'i- de Lamothe qui a piloté d’une
remarquable Lune de Miel ainsi qu’à
«traîneur M. Prévôt.
La musique prêtait son concours.
Jj? r^UUI* *'e9t affeclué sans incident au
leu d une quintuple haie de promeneurs.
- 3 000francs- -
Lamothe? kiL' 7‘ 4' à M< U de Ju*e
kil” S' 1' 4 !» de Vil.
62 *ti!- *'2> 10l 1» »u comte Nitot
^uzim aCév-: Tïkis' v® entine, Flambeau,
uzsnçon, Cirlitte, Peccadille.
•fois longueurs. Loin.
r*r> Mutuel. - Unité : 5 francs.
i ’ 7o ,?*K',ant. Il fr. Placés, Bar-îe-
p'V, • veraas, 20 fr. Activité, 10 fr.
W , ,se - Gagnant, 16 fr. Plac. s, Bar-le-
filr. &j 5Ü' Lo Vern#s> 10 fr- 50. Activité,
" 9 ■■ianuiMMw
| Prix ctaa Tribunes, —* 1 000 francs — Dis-
tu-if • 'i Ùuj : è I à
Loiette, 50 kil. 1|2, 4[1, a la marquise de Vil
t laroejor (J. Labordette),
Minos, 52 kil.,3|2,à M.Guestier (Mormaud).
Elherry 52 kil., 2[1, à M. de Saint-Jayme
j (A Barbé)
Non placés : Ladoga,Milk,Moka, Santa Flur,
Ecoutez-Moi Donc, Ardoise.
Demie longueur. Une longueur.
Atutuol. — Pesage : Gagnant, 56 fr. 50. Pla-
cés, Lorette, Il fr. 50. Minos, 8 fr. 50. Elhor-
ry, 9 fr. 50.
Pelouse. — Gagnant, 23 fr. Placés, Lorette,
7 fr. Mimos, 7 fr 50. Elhorry, 8 fr. 50.
Prix do la Société Sportive d’Eocourage-
m??t! ^ 000 francs. — Distance : 2.500 métrés.
Hahguen, 49 kil li2, 2|l, au Vie d’Harcourt
(Bndgcland).
Malpeignô, 54 kil. 6il, à M. Duprat (Cas-
taing).
Electeur, 51 kil. 2[1, au baron de Nexon
(Gooch).
Non placés : Flavius, Lescar, Marmouset.
Demi-longueur. — Six longueurs.
Mutuel Pestge : Gagnant 11 fr.
Placés : Haliguen 8 fr. ; Malpeigné 18 fr. 50.
Pelouse : Gagnant 15 fr. 50.
oo*r*a0fn : Hallguon 8 fr. 60 ; Malpeigné,
fr. 50.
o Suî 1' 0 d'Essai.— 10.0CO francs. — Distance:
2.200 mètres.
/\*’uJne1de kil, 10,1, à M. Clossmann
(M. de Lamothe).
Trïï“(TtaSr)tU' 1| 2' 5| 1' *" da
J’vîiaSSj. "2 ‘| 1' “*
Non placés: Cancale, Pellico, Bônarés, Mos-
kor, Intanta.
Deux longueurs — Cinq longueurs.
Mutuel Pesage : Gagnant 210 fr. 50.
Placés : Lune de Miel 22 fr. ; Ciuna, 9 fr. ;
Su. derland 19 fr. ’ ’
Poiouse : Gagnant 123 fr. 50.
Placés : Lune de Miel 2l ir. , Cinna 13 fr. ;
Sunderland 14 fr.
Prix Régional, (Steaple Chase, 2» série). -
1.5»'0 francs. — Distance : 3.400 mètres.
Jenny 11. 67 kil. 3|2, à M. Nounex (Robert).
/cv i * ^°U 67 kil. 2ilf a \i.de St Jayme
(Swlumagnou).
(Poudré) 1' 1' 8' ^ kü‘ 4tl’ ® M' d® MaD80U
Non placé : Khiva.
Quatre longueurs — Loin.
Mutuel-Pssage : Gagnant : 19 fr.
Placés : Jenny 6 fr. 50 ; Hil dou Diable 6 f-v
Pelouse : Gsguant 16 fr.
Placés : Jenny 7 fr. 50 ; Hil dou Diable
7 fr, 50.
• •
O uvè ne journée du Printemps
MARDI 24 MARS
Damai:!, au ■» imu la seconde réunion du
printemps ou cinq épreuves sont inscrites
au programme
Voici las appréciations de 'dIndépen-
dant.
Prix i s Lauriers : Agha.
Prix du Département : Ecurie de Villame-
jrr ou Locomotive.
1’ x de l'Aveu': : Ecurie d’Harcourl,
Ma peigné.
P.Ü de la 3* série. — Clevtlle ou Lune '■
de Miel.
Prix ou Printemps : Hoêdic ou Fresse-
lines, gsguant : Follow-Me, placé,
• *
Crost-Country
Voici les engagements qui ont été faits
pour la réunion du Cross-Country qui aura
lieu le samedi prochain 30 Mars suri’Hippo-
drome du Pont-Long.
PRIX DU CHENIL
*y The Baker.
Larregain Merrv Tkought.
Tricnu Piccolo.
S. Platt Bim'uash.
G. Roy B„h
de Palaminy Sultan.
Vicomte d’Klva Sslhia.
Miss Hutton Sissy.
Miss Hutton Sauuii r.
PRIX DE LA SOCIÉTÉ DES BTEKPLE-CKASES
Baron d’Este WetL’rmack.
g- Fiatt Borr.k.
Bi ron de (Pa'aminy.... FloravnUtl 11.
Vicomte d’Elva Silver.
w- Landélaro.
Miss Hutton Siisv
Miss Hutton Kêifcll.
PRIX DE LA VILLE
H. Ridgwsy Tho Baker.
P Larregain Merlin.
g- P°y; Régins.
Baron de PsUminy.... Sultan.
Vicomte d’Elva Solhia'
Bagna'l TheEarl.
Miss Hutton Peter
Miss Hutton Tho Gift.
P*NT LONG
• •
Chasse au Renaro
Mercredi 2Ü Mars 1901. - 11 h. 30 - Olorou ;
Ürag-Hound*. — Hatour: Beiair.
Train do Pnu à V heures.
Chevaux rendus à la gare de Pau à 7 heures.
Si le temps lo permet.
I
Automobilisme.
Dam une annonce parue à l’Indépendant
d’hier M. Gabarrouy, 11 rue Bernadotte,
prétend que la maison Darracq vient de
l’informer qu’elle n’est pour rien dans
l’annoDce parue contre lui, et, que ce serait
son concurrent d’Otoron qui en serait
l’auteur.
Tenant à prouver à M. Cabarrouy le mal
fondé de son information qui n’a dû lui
être donnée qu’a titre do simple complai-
sance, le soi disant concurrent met sous
les yeux du public copie de la lettre que la
maison Darracq el C‘- lui a adressée eu son
temps.
Suresno (Seine), 14 Mars 1901
Monsieur (M.) (Oloron).
N.>us avons écrit une lettre recommandée à
M. Cabarrouy pour faire cesser la réclame
qu’il n’a pas lo droit de faire. Nous vous auto-
risons à faire passer dans le journal ce que
vous jugerez unie a la protection de vos inté-
rêts dans .votre contre. Vous pouvez dire que
nus voitures neuves font primo et qre celles
qu’on vend avec des remises, sont probable-
ment do3 voitures réparées et qu’eu outre,
ceux qui prétendent le* livrer dans ces condi-
tions, n’ont aucun traité nvoc notra maison.
Nuus vous prions d’agréer Monsieur, etc. eto.
Si après celte lettre M. Gabarrouy n’est
pas convaincu, le soi-disant concurrent
d’Oloron est à son service pour publier une
deuxième lettre en daio du 20 Ma"S, envoyée
par la mpison Darracq, qui l’informe que
M. Cabarrouy lui a écrit pour lui d're qu’à
| l’avenir il modifiera sa propre publicité et
t u’aunoneera plus qu’il vend les voilures
j Darracq avec remis do 5 0,0.
C’est après l’avui. rie M. GaLui-jouy ue
consentir à so conformer aux régies
i usuelles du commerce en fait de publicité,
qu’ordre a élé donné a l'Indépendant de
supprimer l’annonce contre lui.
—•
Omisse ü s_p..rgi:t de
Séance du 21 'A art 1901
PRMIDBH FAR M. STANISLAS LAVIONS,omxcTBiiR
11 a été versé par 167 déposants
dont 20 nouveaux 38.3)9 00
Il a 6té retiré par 174 déposants
dont 16 comptes soldés 30.570 48
BULLETIN ÜÉTÉORGLQGIQUB
PA U. Le 25 Mars 1901
Oiisnnutions ao M. WZIL, OotiJen.
» heure».... Soleil., f 3°2
*idi . Soleil
3 -ours» . Soleil + 11*
n.lalyia 0* vrr »... q- 11*
La température a baissé dans le sud-est de
l’Europe Elle était ce matin de — 111 à Mos-
cou, zéro à Paris, -f 3- à Madrid, 13- à Athè-
nes. On notait — 6- au t’uy de Dôme, — 13'
au Pic au Midi.
En Fiance, 1H température va se relever et
se r»pprucii«r de la normale. Un ciel nuageux
ou beau est probable.
ü—
(Ü ■? “ ri
< 4 È 4 ÿ# ! I
4) « T, r *IA \ *
ï;a » 5
P •- B , A • >.t ® B
ni ^ •.-> ti — P
À'- V-- |g®
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I ps « x; , \ ' •' . V- « i ta OS
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* 5;"^ itr ' : '•*' -s g
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J3 -L . ïit<: r ...T —
® â V B ri -op-r |'i il -'e,-j?.s r S-
•o »a « 1 mil/b i-’: -.«y., g ? .x
40 « Ê B itt'Finale .. * ■; ! 14/A la te - 0
O 7 & R wrr~-f.!:, • L- r.-- %•§
Ï 5 « U -i-- s ~ 3 n
a »•= l , - ^ o
3*® a I * I “ V
SI; B) Z*
•*-r a a I ‘t-in-'i ••• «*■ . ■- J" Hr
t» c o IJ ►> tb» or * • • ' v . f
t, g -g lw»',aV‘;Liy {.• ““ f-S&'ttv ? M
jp3
P O i. , ’*"'{’jw^Py F
R H US’”1» AH ES
MTE OEITIFIIICE K «0T0T .TOZHUEISISt
AI Ali CD P mr Hôtel ou Pension de f.imi Les,
LUUtn BELLE MAISON sliuée au Midi
vue sur Pyrénées. Adresse au Journal.
convoi lüàiiL .t
LSQUILLOT et leurs enfants prient leurs amis e
connaissances de vouloir bien assister au:
obsèques do leur père
Laurent ESQUILLOT
qui auront lieu en l’Eglise St-Jacques, le Mard
2b courant à 9 heures.
On se réunira à la maison mortuaire, 26, ru<
Castetnau, à 8 heures 1(2.
GUEmSON BETÜOTÊS^
mmm
ef H0HS CONCOURS
BANDAGES SANS RESSORTS. bnnUii. 1.4.»
Que de boniments la réclame n'a-t-elle
pas suscités pour faire croire à l’excellen-
ce de tels ou tels produits, à la supériorité
de telle ou telle méthode concurrente ?
Aussi, le public, devenu sceptique avec
raison, demande-t-il des actes au lieu
de vaines paroles. C’est pour cela que
nous engageons les personnes à venir
voir de leurs yeux le nouveau bandage dû
aux patientes recherches, aux laborieuses
études scientifiques et à la longue expé-
rience pratique de l'éminent spécialiste-
herniaire M. J. GLASER, qui seul a su
résoudre ce problème insoluble jusqu’à
lui, la guérison de la hernie, la plus dan-
gereuse de toutes les infirmités qui attei-
gnent l’humanité
La nouvelle invention de M. J. GLASER
consiste en une ceinture sans ressort
d’acier, qui dépasse tout ce qui s’est fait
jusqu'à ce jour, elle se porte nuit et jour,
sans gêne et ne peut ^placer. La her-
nie étant maintenue ainsi, les muscles de
l’anneau se resserrent et le mal est appelé
à disparaître, surtout chez les sujets
vigoureux. Tels sont les avantages de la
Ceinture Glaser. Nous dirons simplement
à nos lecteurs de ne pas confondre les
appareils de notre spécialiste, avec les
bandages similaires, ces premiers sont
inimitables au point de vue curatif. L’in-
venteur mérite tous nos éloges, toute
notre admiration ; nous lui adressons
notre salut bienveillant.
M. GLASER, dans sa propriété à Hé-
ricourt (Haute-Saône), a déjà rendu d’im-
menses services à l’humantié, il en ren-
dra encore de plus grands à l’avenir et il
vient de le prouver avec éclat. Aussi en-
gageons-nous vivement nos lecteurs inté-
ressés à profiter de son passage en allant
le consulter à Tarbes le 5 Avril, hôtel des
Ambassadeurs ; à Pau le 6, hôtel de l’Eu-
rope; à Bayonne le 7, hôtel du Commerce.
Envoyez GO cent, en timbres-poste, à
M. J. GLASER spécialiste herniaire à
Héricourt (Haute-Saône), pour recevoir
franco à domicile la brochure explicative.
LESSIVE PHÉNIX
na ce vend qu'su paquets de
1* B & fO KILOGR.
EOCÜ & &:»© GRAMMES
fadaiit la ligature J PICOT
Tout produit en sacs toile ou en
vrac, c’est-à-dire non en paquets
signés J, PICOT, n’BCt pas de la
imw PHÉNIX
Chronomètre BARTHETl
tMervoillo de Préoision i
(io BESANÇON
litre me IIIUITIN de 8ARANTIE et de i
RtClAGE île l'Obwrtiloiro de h laiion, j
f%€Sf NICKRL fit TOUT
Catalogue llluetri Franco sur Demande.
mvelle Création ••>»FABRIQ(Jg A.BARTHET S
A1SON DE CONFIANCE I
Terrible Incendie è Marseille.
Deux pompiers tués. Sept Pompiers et (Quatre
Civils blessés.
Marseille, 23 m ns.
Un incendie s’est déclaré, hier soir à hu t
heures, dans une fabrique de cordonnerie, rue
de la Fare, aux environs du cours Belsunce.
Les locataires qui habitant le second et le troi-
sième éUge do 1» maison n’euront que le
temps de se sauver.
Vers minuit, grâce è l’énergie des serours
apportés do tous le* postes de la ville, le sinis-
tre semblait maîtrisé. Des pompiers, cepen-
dant, restèrent sur les lieux pour parer à tout
événement.
- ' P ' uti n n'était pas inutile. En tOtLcs
i matin, vers huit heures et demie, l’incendie
‘ recommença. Les pompiers et des employée de
• la cordonnerie pénétrèrent alors dans les
diverses dépendances de la maison. Le feu prit
des proportions terribles, et tout A coup, dent
. un fracas épouvantable, une muraille mat-
tresse s effondra.
Ce fut de toutes parts une clameur d’efTroi
indescriptible, effroi d’autant plus justifié qu’il
y avait A ce moment beaucoup de monde i
1 intérieur do la maison.
Avec uu véritable courage, de nombreux
citoyens pénétrèrent à l’intérieur, et, à travers
les décombres, retirè-ent successivement les
r alheureux qui venaient d’être surpris par
1 effondrement. Deux pompiers sont morts;
un caporal, un sergent et quatre sapeurs sont
grièvement blessés.
Le contremaître de le maison et deux em-
ployés ont été relevés avec d pffreuses blessu-
res. Un pharmacien établi d ns le voisinage,
qui était venu pour prêter son concours, e eu
la tête fracassée. Son état parait très grave.
Le maire était sur les lieux, ainsi que le
préfet.
DerniAre flinn.
CHAftiBRE DES DÉPUTÉS ^
SUITE
M. Leygue*,ministre de l’instruc-
tion publique, vient ensuite répon-
dre aux discours prononcés par MM.
Aynard et de Mun.
M. Ley gués revendique le droit de
1 Etat ea matière d'enseignement,
quoiqu’il n’ait jamais vie contesté
même sous la monarchie.
En réclamant la liberté de l’ensei-
gnement on veut en réalité détruire
l’Université, mais le devoir de ceux
qui admirent la Révolution française
est de défendre J Université.
La séance continue.
La Guerre au Transvaal.
Kimberley, 24 mars. — Hier soir,
les Boers ont coupé les lignes télé-
graphiques entre Windsopton et
Warenton.
Les communicatons ont été réta-
blies.
Les Boers ont également essayé
de faire sauter la voie ferree,.mais
ils n’ont pas réussi.
Le commando Erasmus qui se
trouvait isole à sept milles de Wind-
sor a été renforcé par des Boers
sous les ordres du commando
Wessel.
Affaires de Chine.
Pékin, 24 mars. — La commission
composée desministresd’Allemagne,
d’Angleterre, de France et du Japon
qui es t chargée d’étudier les res-
sources de la Chine et de présenter
le mode de payement des frais de
guerre, a tecu aujourd’hui sa pre-
mière séance pi-opi-ement dite.
Tous les fi nanciers competen .n et
autres spécialistes ainsi que sir
Robert Hart, Mgr Favier seront
invites à donner leur avis touchant
la façon dont les indemnités dûes
par la Chine devront être versees.
„ 6 h. 25.
voyage ministéiLl
Rechefort. — Le général André,
ministre de la guerre, est arrivé
dans la nuit ; il voyage incognito.
Le miutstre se rend à Marennés :
il est descendu à l’hôtel.
Lo général Bielle est arrivé égale-
ment pour inspecter l'artillerie.
Affaire des aucres.
Le tribunal de commerce de la
Seine a de nouveau renvoyé au-
jourd’hui au 6 Mai le prochain débat
relatif à l’e flaire Brabant.
M. J&luzot député, m.s en cause
i M. Brabant qui l’a appelé en
garantie assistera au débat.
En Portugal.
Lisbonne. — La police est allée
exécuter l’arrêt dans les maisons
religieuses.
SPORTS
Courses à Vlnoennes, 25 mar*.
Prix du Pncq —2 000 francs
Franoolin, 32,50 et 28,50.
Citoyen, 45.
Prix de l'Abrauxoir. — 4.000 franot.
Kremlin, 51 et 26.
Rmiloar II, 28,50.
£n* IU ~ 3 000
Allier, 53 et 37,50
Albertine, 27.
^s8 que Louis IV témoigna toujours k
Çs:Fle“" rôpoadit’ ^rès
e'votre.majéité m’excusera si je pro-
CrSUàLU.n cerlain Point «onIre l’bn-
«Liïn.!,pub i0 a“ SUJel de ce F8rÇOD- Je
Me* m 9 a3snr*m®nt qu’il ait la voix très
ton s’hnaaiSiSoü chant 1J® P0iiî,ôde pas, à
libre?’ “ement 0 {jas > oa l’écoute avec ravis-
85du ria? 11813 va P»s * l’âme. J’ai en-
harfia ma Je“Desse de simples monta-
ges i/ avec ®8 Casons de leurs ca-
13 Wrrm. H6S l'ar la Datu,,@. vous tiraient
a'esto ? du ccecr. Ou je me trompe foi l
Jaiious ,a m*ic> e)J ce rno
llôAE8vq1U6l
Ei ji ,de Vütre Majesté,
ittoui i ?rQ*cl ver» son valet de chambre,
v ‘ * deux pas du fauteuil :
nnJ'?iC’aveo feeeent langue-
j*m8‘S déP°Qill«. «“ène
«ue pâtre que nous avons vu ce ma-
regimbant avsailôt avec la brns-
quecie familière des anciens domestiques :
Où rnunseigneur veut-il que je le trouve
à présent ? dit-il en haussant les épaules.
— C’est tou aflatre ; si elle était facile,
je ne t’en aurais pas chargé !
Barjae partit en grognant, et le cardinal,
avec cetto bonhomie patriarcale qui s’alliait
si bien è la modestie de ses moeurs, expli-
qua, pendant son absence, à Louis XV,
qu’il s agissait de l’arrière-petit-flifs de sa
nourrice, vivante encore et ceuten.tire, dont
il avt.il reçu la visite a Ver=ailM, le matin
même. Gomme il achevait de cuvier, a ce
Drupes, un détail intime de A enfance,
Barjao parut avec Guilhem. Le chevrter
n avait rien changé a son cestt me ces mon-
tagnes. Msfs ses traits, quo.qje voilés de
tristesse, étalent si beaux, il avait la taille
si élégante et un ai modeste, mais si gra-
cieux maintien, que toute ta cour fut frap-
pée de cette noblesse naturelle. Le ratu-
rant de l'oeil et du geste :
— Hillot, dit familièrement Fleury, tandis
uu il b avaeçait eu tenant bon jjéiet blanc
fl une main, et son bâton ferré de l'autre,
a».w—nuit Milia —. i'-arritmnr. royv:,'Vjn^SKiSSDuenm
voici des amis auxquels j’ai dé>ir de faire
entendre une chanson de nos montagnes.
— Je n’ai rien è vous lefuser, répondit
Simplement Guilhem ; mats je chante bien
' mal.
— Tu veux dire sans doute que tu n’as
pas appris ?...
— Oui, monseigneur.
— Le» rossig joh ne vout pas non plus à
l’école !
Chante connu-: a E-tlos ou comme si nous
étions souri SOUH les vieux hêtres et las
chênes du grand bols de Bélat.
Guilhem soupira, et, posant sort bâton
ferré, se mit é chanter (es couplets sui-
vants d’une voix lente et douce, dont le
timbre, délicieusement sympathique vibrait
au fond de l’âme.
La haütsusltsmuuntagnos, ù pasiou malhurous,
Ségut au pn dou h»ü, nég*t de pions,
Suuyabe aü camb.auiou de sas amous...
I.ahautsurles mont;-gnos,un malheureux pasteur
Assis au pied d’un hêtre et nuyé de pleurs,
Songeait au changement da si s amours.
I Cô leûyo, cô boulaty, disè l’infourtunat
L’estacumen fidet e l’amistat
Soun aco loua rebuts qu’au méritât ?...
Coeur léger, coeur volage disait l’iufortuné.
Mon attachement fidèle et mon amitié
Méritaieut-ils donc ces rebuts ?...
Respuch que tu f.-equantes U yen de coun litiou
Qu’as près il ta haout vol que ma maysou
N’ey prou haûto enta tu dû cabirou.
Depuis que tu fréquentes les gens do condition,
Tu *s pris un vol si haut que ma maison
Est trop basse pour toi d’un chevron.
Eucoucro que sy proube, dens moun petit estât
Qu'aimi iney moun béret toutespelat
Que lou rney beth chapeou bourdat.
Quoique je sois pauvre, d tns mou paît avoir
J’aime mieux mou béret tout pelé
Que le plus beau chapeau bordé d’or.
Ijosrirhessos drümondenou lienqueda turmen,
Et lou mey beth segoou d’ab soun aryen
Nou Ii .ou pas lou pastou qui biou couulen
Les richesses dumonde no donnent que tourment,
Et le plus beau seigneur avec son argent
Ne vout pas le berger qui vit content.
Adiou ! cô de tigresso, pastoure sens amou
Cambia, bé pos cainbia de serbidoo, ’
Yamoy nouu trouberas ù tau coum you !
Adieu ! coeur de tigresse, bergère insensUle,
Changer tu peux, changer de serviteur
Jaunis tu n’en trouveras un comme moi !
L’air et la manière dont il était chanté
firent trouver charmant ce chef d’oeuvre
de Despourrins, bien que les paroles fussent
lellre close pour la plupart des courtisans
Deux personnes en avalent seules bien
compris l’accent désespéré, Fleury oui
était de Lo lève et entendait parfkitement
la vieille langue d’Oc, et la nièce de Ber-
thoumleu Touchée jusqu’au fond du coeur
de cet attachement si vrai, si pur et il
fidèle, qui ue s’etait si rebuté ni affaibli •
depuis l’enfance, Lirotte fondait en larmes
den 1ère a charmille. Son oncle et le musi-
cien voulaient 1 entraîner pour aller fiff.
citer Jélvotte, elle résista passivement A
leurs effort» et continua d’écouler nom ml
9! ed é é retenue par une foroeirrl-
sistiDle. ^
(Lu suite à demain) ,
M!, blancs.
I p»rM. BoZIOU, uu il «TB Jb p.ctj.
-Par le jtune Cossou, 10 ans, domeuran
jutain Philipon, au Hameau de Pau, un por
monnaie contenant une certaine somme.
- Par Mme Croharé, rue Préfecture, 39, do:
« Par M. Camps, conoierge Ecole supéricU'
j une breloque, montée sur or.
- Par M. Lassai le, employé aux Galerios,
,te montre de dame.
ÉTRANGERS ARRIVÉS A PAU
Alibert ; comte d’Alsace ; Beguet ; baron de
feaoist ; Béguerie ; Brun , Bridgland ; Betbe-
j«r.‘ Bartlet ; Bonneil et dame; comte de
jernac Cabagnus ; Chamouski ; Casiex ;
jooaert et dame ; Chevalier ; Constantin et
laine ; masquis de Castebajac ; Dureau ; Cu-
sut ; Dalout ; Dupuy ; Drag ; Dugenet ; Do-
(ros ; Durand ; Fheaker ; Filippi ; F’errô :
Nss0 ; Finot Prévost ; Grelet ; Goutaad ; Gi-
jd : Heiwd Huiekins ; Hinnear ; Jummoler ;
tiws , de Juge ; Kahn ; Lustinbricq ; Leyma-
s; Laporte ; Lequin; Lavarrière ; Loubière ;
iioreau , Meller ; Mimiague ; Mèrignac ; Mas-
ic; Martin ; Monfort ; Menjoulou ; Mallet ;
lii Moleg ; Novital ; baron de Nexon; Por-
jjj ; üxeclan ; Ponchan ; Poueham ; Ponsutn ;
felleiigue; Puet ; Hibes ; R*y ; Stiekelen ;
Sabry ; Sauze ; Stewart ; Thomas ; Tarbès ;
inverse ; Tollemaehe ; Tardy ; Vaucluse;
Teillon ; Walkins , Waller.
CH RONIQU ETTE
(OKC « tramways orbatns coostralrout leur» abris
maures et l'alcool auront baissé de prix,
U si priera plus du pauvre Palntte
(un toupir)
P il Conseil muai—clpal de Jéltotle
Sara fait elever trente-deux monuments.
> Tr ituras pourront Iraverier à pas lent*
ii éleau d'Henri IV et le ponl-neuf de üulche,
k taveller du cours Bosquet sera 1res riche,
;« terrains Nord du Pire Beaumont seront vendus,
'.l «I remboursera las Panamas perdus,
tu paiois a l'snv! enantsront dans la villa
Julie Palais d'IHvor au commerce est utile,
kt passages privés suronl le gax et l'eau
!:dn trottoirs bordés alignés au cordeau,
télmabie pereepleur fermera sa boutique,
ks journaux cesseront de parler politique,
L,ullce sera gratuite, les huissiers
tel Plus recherché» que tous les orflcleri,
tarolslne dira du bien de sa voisine,
I: Ms pacifiés, mais morts, par la raclna
fa» maugerons des pissenlits, dss célérls,
leslrimways urbains construiront leurs abris.
BTZANTINI.
SPORTS
COURSES DE F A U
L manche 24 Mart. (1n Réunion du Printemps).
Lu première journée du Printemps favo-
n:e« ;,,r un temps radieux, avait attiré
tut Mérentes enceintes de l’Hippodiome
ci* Pr.i-Long une aülueuce énorme. Au
Peugeot, remarquait tous les sportmen de
la région et de la localité venus pour assis-
ta; à notre épreuve classique la POULK
I *AI, qui était le great-event de ce
- - iug el dont l’allocation entrées et for-
:• compris s’est élevée cette année i
*1100 fr.
.9 ring pendant toutes les opérations du
•• âge a présenté une très grande anima-
■ 'exception de Cancale dans la
Mine a Essai les favoris se sont trouvés k
trrtvée.
le terrain qui était en excel'ent état a
»imis que les épreuves aient été régu-
•8*88.
Les honneurs de la journée ont été pour
Uossmann qui a gagné la Poule d'Esssi
(v®f Lun 0 de Miel une fille de Mme Pouf*
J™ 1ul *vait elle-même enlevée cette
preuve en 1885, sous les couleurs de M.
«Jesuer.
Uno longue ovation a été faite par le
, lc * ‘'i- de Lamothe qui a piloté d’une
remarquable Lune de Miel ainsi qu’à
«traîneur M. Prévôt.
La musique prêtait son concours.
Jj? r^UUI* *'e9t affeclué sans incident au
leu d une quintuple haie de promeneurs.
- 3 000francs- -
Lamothe? kiL' 7‘ 4' à M< U de Ju*e
kil” S' 1' 4 !» de Vil.
62 *ti!- *'2> 10l 1» »u comte Nitot
^uzim aCév-: Tïkis' v® entine, Flambeau,
uzsnçon, Cirlitte, Peccadille.
•fois longueurs. Loin.
r*r> Mutuel. - Unité : 5 francs.
i ’ 7o ,?*K',ant. Il fr. Placés, Bar-îe-
p'V, • veraas, 20 fr. Activité, 10 fr.
W , ,se - Gagnant, 16 fr. Plac. s, Bar-le-
filr. &j 5Ü' Lo Vern#s> 10 fr- 50. Activité,
" 9 ■■ianuiMMw
| Prix ctaa Tribunes, —* 1 000 francs — Dis-
tu-if • 'i Ùuj : è I à
Loiette, 50 kil. 1|2, 4[1, a la marquise de Vil
t laroejor (J. Labordette),
Minos, 52 kil.,3|2,à M.Guestier (Mormaud).
Elherry 52 kil., 2[1, à M. de Saint-Jayme
j (A Barbé)
Non placés : Ladoga,Milk,Moka, Santa Flur,
Ecoutez-Moi Donc, Ardoise.
Demie longueur. Une longueur.
Atutuol. — Pesage : Gagnant, 56 fr. 50. Pla-
cés, Lorette, Il fr. 50. Minos, 8 fr. 50. Elhor-
ry, 9 fr. 50.
Pelouse. — Gagnant, 23 fr. Placés, Lorette,
7 fr. Mimos, 7 fr 50. Elhorry, 8 fr. 50.
Prix do la Société Sportive d’Eocourage-
m??t! ^ 000 francs. — Distance : 2.500 métrés.
Hahguen, 49 kil li2, 2|l, au Vie d’Harcourt
(Bndgcland).
Malpeignô, 54 kil. 6il, à M. Duprat (Cas-
taing).
Electeur, 51 kil. 2[1, au baron de Nexon
(Gooch).
Non placés : Flavius, Lescar, Marmouset.
Demi-longueur. — Six longueurs.
Mutuel Pestge : Gagnant 11 fr.
Placés : Haliguen 8 fr. ; Malpeigné 18 fr. 50.
Pelouse : Gagnant 15 fr. 50.
oo*r*a0fn : Hallguon 8 fr. 60 ; Malpeigné,
fr. 50.
o Suî 1' 0 d'Essai.— 10.0CO francs. — Distance:
2.200 mètres.
/\*’uJne1de kil, 10,1, à M. Clossmann
(M. de Lamothe).
Trïï“(TtaSr)tU' 1| 2' 5| 1' *" da
J’vîiaSSj. "2 ‘| 1' “*
Non placés: Cancale, Pellico, Bônarés, Mos-
kor, Intanta.
Deux longueurs — Cinq longueurs.
Mutuel Pesage : Gagnant 210 fr. 50.
Placés : Lune de Miel 22 fr. ; Ciuna, 9 fr. ;
Su. derland 19 fr. ’ ’
Poiouse : Gagnant 123 fr. 50.
Placés : Lune de Miel 2l ir. , Cinna 13 fr. ;
Sunderland 14 fr.
Prix Régional, (Steaple Chase, 2» série). -
1.5»'0 francs. — Distance : 3.400 mètres.
Jenny 11. 67 kil. 3|2, à M. Nounex (Robert).
/cv i * ^°U 67 kil. 2ilf a \i.de St Jayme
(Swlumagnou).
(Poudré) 1' 1' 8' ^ kü‘ 4tl’ ® M' d® MaD80U
Non placé : Khiva.
Quatre longueurs — Loin.
Mutuel-Pssage : Gagnant : 19 fr.
Placés : Jenny 6 fr. 50 ; Hil dou Diable 6 f-v
Pelouse : Gsguant 16 fr.
Placés : Jenny 7 fr. 50 ; Hil dou Diable
7 fr, 50.
• •
O uvè ne journée du Printemps
MARDI 24 MARS
Damai:!, au ■» imu la seconde réunion du
printemps ou cinq épreuves sont inscrites
au programme
Voici las appréciations de 'dIndépen-
dant.
Prix i s Lauriers : Agha.
Prix du Département : Ecurie de Villame-
jrr ou Locomotive.
1’ x de l'Aveu': : Ecurie d’Harcourl,
Ma peigné.
P.Ü de la 3* série. — Clevtlle ou Lune '■
de Miel.
Prix ou Printemps : Hoêdic ou Fresse-
lines, gsguant : Follow-Me, placé,
• *
Crost-Country
Voici les engagements qui ont été faits
pour la réunion du Cross-Country qui aura
lieu le samedi prochain 30 Mars suri’Hippo-
drome du Pont-Long.
PRIX DU CHENIL
*y The Baker.
Larregain Merrv Tkought.
Tricnu Piccolo.
S. Platt Bim'uash.
G. Roy B„h
de Palaminy Sultan.
Vicomte d’Klva Sslhia.
Miss Hutton Sissy.
Miss Hutton Sauuii r.
PRIX DE LA SOCIÉTÉ DES BTEKPLE-CKASES
Baron d’Este WetL’rmack.
g- Fiatt Borr.k.
Bi ron de (Pa'aminy.... FloravnUtl 11.
Vicomte d’Elva Silver.
w- Landélaro.
Miss Hutton Siisv
Miss Hutton Kêifcll.
PRIX DE LA VILLE
H. Ridgwsy Tho Baker.
P Larregain Merlin.
g- P°y; Régins.
Baron de PsUminy.... Sultan.
Vicomte d’Elva Solhia'
Bagna'l TheEarl.
Miss Hutton Peter
Miss Hutton Tho Gift.
P*NT LONG
• •
Chasse au Renaro
Mercredi 2Ü Mars 1901. - 11 h. 30 - Olorou ;
Ürag-Hound*. — Hatour: Beiair.
Train do Pnu à V heures.
Chevaux rendus à la gare de Pau à 7 heures.
Si le temps lo permet.
I
Automobilisme.
Dam une annonce parue à l’Indépendant
d’hier M. Gabarrouy, 11 rue Bernadotte,
prétend que la maison Darracq vient de
l’informer qu’elle n’est pour rien dans
l’annoDce parue contre lui, et, que ce serait
son concurrent d’Otoron qui en serait
l’auteur.
Tenant à prouver à M. Cabarrouy le mal
fondé de son information qui n’a dû lui
être donnée qu’a titre do simple complai-
sance, le soi disant concurrent met sous
les yeux du public copie de la lettre que la
maison Darracq el C‘- lui a adressée eu son
temps.
Suresno (Seine), 14 Mars 1901
Monsieur (M.) (Oloron).
N.>us avons écrit une lettre recommandée à
M. Cabarrouy pour faire cesser la réclame
qu’il n’a pas lo droit de faire. Nous vous auto-
risons à faire passer dans le journal ce que
vous jugerez unie a la protection de vos inté-
rêts dans .votre contre. Vous pouvez dire que
nus voitures neuves font primo et qre celles
qu’on vend avec des remises, sont probable-
ment do3 voitures réparées et qu’eu outre,
ceux qui prétendent le* livrer dans ces condi-
tions, n’ont aucun traité nvoc notra maison.
Nuus vous prions d’agréer Monsieur, etc. eto.
Si après celte lettre M. Gabarrouy n’est
pas convaincu, le soi-disant concurrent
d’Oloron est à son service pour publier une
deuxième lettre en daio du 20 Ma"S, envoyée
par la mpison Darracq, qui l’informe que
M. Cabarrouy lui a écrit pour lui d're qu’à
| l’avenir il modifiera sa propre publicité et
t u’aunoneera plus qu’il vend les voilures
j Darracq avec remis do 5 0,0.
C’est après l’avui. rie M. GaLui-jouy ue
consentir à so conformer aux régies
i usuelles du commerce en fait de publicité,
qu’ordre a élé donné a l'Indépendant de
supprimer l’annonce contre lui.
—•
Omisse ü s_p..rgi:t de
Séance du 21 'A art 1901
PRMIDBH FAR M. STANISLAS LAVIONS,omxcTBiiR
11 a été versé par 167 déposants
dont 20 nouveaux 38.3)9 00
Il a 6té retiré par 174 déposants
dont 16 comptes soldés 30.570 48
BULLETIN ÜÉTÉORGLQGIQUB
PA U. Le 25 Mars 1901
Oiisnnutions ao M. WZIL, OotiJen.
» heure».... Soleil., f 3°2
*idi . Soleil
3 -ours» . Soleil + 11*
n.lalyia 0* vrr »... q- 11*
La température a baissé dans le sud-est de
l’Europe Elle était ce matin de — 111 à Mos-
cou, zéro à Paris, -f 3- à Madrid, 13- à Athè-
nes. On notait — 6- au t’uy de Dôme, — 13'
au Pic au Midi.
En Fiance, 1H température va se relever et
se r»pprucii«r de la normale. Un ciel nuageux
ou beau est probable.
ü—
(Ü ■? “ ri
< 4 È 4 ÿ# ! I
4) « T, r *IA \ *
ï;a » 5
P •- B , A • >.t ® B
ni ^ •.-> ti — P
À'- V-- |g®
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I ps « x; , \ ' •' . V- « i ta OS
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* 5;"^ itr ' : '•*' -s g
■, - - § a
st -'J f. - o g
J3 -L . ïit<: r ...T —
® â V B ri -op-r |'i il -'e,-j?.s r S-
•o »a « 1 mil/b i-’: -.«y., g ? .x
40 « Ê B itt'Finale .. * ■; ! 14/A la te - 0
O 7 & R wrr~-f.!:, • L- r.-- %•§
Ï 5 « U -i-- s ~ 3 n
a »•= l , - ^ o
3*® a I * I “ V
SI; B) Z*
•*-r a a I ‘t-in-'i ••• «*■ . ■- J" Hr
t» c o IJ ►> tb» or * • • ' v . f
t, g -g lw»',aV‘;Liy {.• ““ f-S&'ttv ? M
jp3
P O i. , ’*"'{’jw^Py F
R H US’”1» AH ES
MTE OEITIFIIICE K «0T0T .TOZHUEISISt
AI Ali CD P mr Hôtel ou Pension de f.imi Les,
LUUtn BELLE MAISON sliuée au Midi
vue sur Pyrénées. Adresse au Journal.
convoi lüàiiL .t
LSQUILLOT et leurs enfants prient leurs amis e
connaissances de vouloir bien assister au:
obsèques do leur père
Laurent ESQUILLOT
qui auront lieu en l’Eglise St-Jacques, le Mard
2b courant à 9 heures.
On se réunira à la maison mortuaire, 26, ru<
Castetnau, à 8 heures 1(2.
GUEmSON BETÜOTÊS^
mmm
ef H0HS CONCOURS
BANDAGES SANS RESSORTS. bnnUii. 1.4.»
Que de boniments la réclame n'a-t-elle
pas suscités pour faire croire à l’excellen-
ce de tels ou tels produits, à la supériorité
de telle ou telle méthode concurrente ?
Aussi, le public, devenu sceptique avec
raison, demande-t-il des actes au lieu
de vaines paroles. C’est pour cela que
nous engageons les personnes à venir
voir de leurs yeux le nouveau bandage dû
aux patientes recherches, aux laborieuses
études scientifiques et à la longue expé-
rience pratique de l'éminent spécialiste-
herniaire M. J. GLASER, qui seul a su
résoudre ce problème insoluble jusqu’à
lui, la guérison de la hernie, la plus dan-
gereuse de toutes les infirmités qui attei-
gnent l’humanité
La nouvelle invention de M. J. GLASER
consiste en une ceinture sans ressort
d’acier, qui dépasse tout ce qui s’est fait
jusqu'à ce jour, elle se porte nuit et jour,
sans gêne et ne peut ^placer. La her-
nie étant maintenue ainsi, les muscles de
l’anneau se resserrent et le mal est appelé
à disparaître, surtout chez les sujets
vigoureux. Tels sont les avantages de la
Ceinture Glaser. Nous dirons simplement
à nos lecteurs de ne pas confondre les
appareils de notre spécialiste, avec les
bandages similaires, ces premiers sont
inimitables au point de vue curatif. L’in-
venteur mérite tous nos éloges, toute
notre admiration ; nous lui adressons
notre salut bienveillant.
M. GLASER, dans sa propriété à Hé-
ricourt (Haute-Saône), a déjà rendu d’im-
menses services à l’humantié, il en ren-
dra encore de plus grands à l’avenir et il
vient de le prouver avec éclat. Aussi en-
gageons-nous vivement nos lecteurs inté-
ressés à profiter de son passage en allant
le consulter à Tarbes le 5 Avril, hôtel des
Ambassadeurs ; à Pau le 6, hôtel de l’Eu-
rope; à Bayonne le 7, hôtel du Commerce.
Envoyez GO cent, en timbres-poste, à
M. J. GLASER spécialiste herniaire à
Héricourt (Haute-Saône), pour recevoir
franco à domicile la brochure explicative.
LESSIVE PHÉNIX
na ce vend qu'su paquets de
1* B & fO KILOGR.
EOCÜ & &:»© GRAMMES
fadaiit la ligature J PICOT
Tout produit en sacs toile ou en
vrac, c’est-à-dire non en paquets
signés J, PICOT, n’BCt pas de la
imw PHÉNIX
Chronomètre BARTHETl
tMervoillo de Préoision i
(io BESANÇON
litre me IIIUITIN de 8ARANTIE et de i
RtClAGE île l'Obwrtiloiro de h laiion, j
f%€Sf NICKRL fit TOUT
Catalogue llluetri Franco sur Demande.
mvelle Création ••>»FABRIQ(Jg A.BARTHET S
A1SON DE CONFIANCE I
Terrible Incendie è Marseille.
Deux pompiers tués. Sept Pompiers et (Quatre
Civils blessés.
Marseille, 23 m ns.
Un incendie s’est déclaré, hier soir à hu t
heures, dans une fabrique de cordonnerie, rue
de la Fare, aux environs du cours Belsunce.
Les locataires qui habitant le second et le troi-
sième éUge do 1» maison n’euront que le
temps de se sauver.
Vers minuit, grâce è l’énergie des serours
apportés do tous le* postes de la ville, le sinis-
tre semblait maîtrisé. Des pompiers, cepen-
dant, restèrent sur les lieux pour parer à tout
événement.
- ' P ' uti n n'était pas inutile. En tOtLcs
i matin, vers huit heures et demie, l’incendie
‘ recommença. Les pompiers et des employée de
• la cordonnerie pénétrèrent alors dans les
diverses dépendances de la maison. Le feu prit
des proportions terribles, et tout A coup, dent
. un fracas épouvantable, une muraille mat-
tresse s effondra.
Ce fut de toutes parts une clameur d’efTroi
indescriptible, effroi d’autant plus justifié qu’il
y avait A ce moment beaucoup de monde i
1 intérieur do la maison.
Avec uu véritable courage, de nombreux
citoyens pénétrèrent à l’intérieur, et, à travers
les décombres, retirè-ent successivement les
r alheureux qui venaient d’être surpris par
1 effondrement. Deux pompiers sont morts;
un caporal, un sergent et quatre sapeurs sont
grièvement blessés.
Le contremaître de le maison et deux em-
ployés ont été relevés avec d pffreuses blessu-
res. Un pharmacien établi d ns le voisinage,
qui était venu pour prêter son concours, e eu
la tête fracassée. Son état parait très grave.
Le maire était sur les lieux, ainsi que le
préfet.
DerniAre flinn.
CHAftiBRE DES DÉPUTÉS ^
SUITE
M. Leygue*,ministre de l’instruc-
tion publique, vient ensuite répon-
dre aux discours prononcés par MM.
Aynard et de Mun.
M. Ley gués revendique le droit de
1 Etat ea matière d'enseignement,
quoiqu’il n’ait jamais vie contesté
même sous la monarchie.
En réclamant la liberté de l’ensei-
gnement on veut en réalité détruire
l’Université, mais le devoir de ceux
qui admirent la Révolution française
est de défendre J Université.
La séance continue.
La Guerre au Transvaal.
Kimberley, 24 mars. — Hier soir,
les Boers ont coupé les lignes télé-
graphiques entre Windsopton et
Warenton.
Les communicatons ont été réta-
blies.
Les Boers ont également essayé
de faire sauter la voie ferree,.mais
ils n’ont pas réussi.
Le commando Erasmus qui se
trouvait isole à sept milles de Wind-
sor a été renforcé par des Boers
sous les ordres du commando
Wessel.
Affaires de Chine.
Pékin, 24 mars. — La commission
composée desministresd’Allemagne,
d’Angleterre, de France et du Japon
qui es t chargée d’étudier les res-
sources de la Chine et de présenter
le mode de payement des frais de
guerre, a tecu aujourd’hui sa pre-
mière séance pi-opi-ement dite.
Tous les fi nanciers competen .n et
autres spécialistes ainsi que sir
Robert Hart, Mgr Favier seront
invites à donner leur avis touchant
la façon dont les indemnités dûes
par la Chine devront être versees.
„ 6 h. 25.
voyage ministéiLl
Rechefort. — Le général André,
ministre de la guerre, est arrivé
dans la nuit ; il voyage incognito.
Le miutstre se rend à Marennés :
il est descendu à l’hôtel.
Lo général Bielle est arrivé égale-
ment pour inspecter l'artillerie.
Affaire des aucres.
Le tribunal de commerce de la
Seine a de nouveau renvoyé au-
jourd’hui au 6 Mai le prochain débat
relatif à l’e flaire Brabant.
M. J&luzot député, m.s en cause
i M. Brabant qui l’a appelé en
garantie assistera au débat.
En Portugal.
Lisbonne. — La police est allée
exécuter l’arrêt dans les maisons
religieuses.
SPORTS
Courses à Vlnoennes, 25 mar*.
Prix du Pncq —2 000 francs
Franoolin, 32,50 et 28,50.
Citoyen, 45.
Prix de l'Abrauxoir. — 4.000 franot.
Kremlin, 51 et 26.
Rmiloar II, 28,50.
£n* IU ~ 3 000
Allier, 53 et 37,50
Albertine, 27.
^s8 que Louis IV témoigna toujours k
Çs:Fle“" rôpoadit’ ^rès
e'votre.majéité m’excusera si je pro-
CrSUàLU.n cerlain Point «onIre l’bn-
«Liïn.!,pub i0 a“ SUJel de ce F8rÇOD- Je
Me* m 9 a3snr*m®nt qu’il ait la voix très
ton s’hnaaiSiSoü chant 1J® P0iiî,ôde pas, à
libre?’ “
85du ria? 11813 va P»s * l’âme. J’ai en-
harfia ma Je“Desse de simples monta-
ges i/ avec ®8 Casons de leurs ca-
13 Wrrm. H6S l'ar la Datu,,@. vous tiraient
a'esto ? du ccecr. Ou je me trompe foi l
Jaiious ,a m*ic> e)J ce rno
llôAE8vq1U6l
Ei ji ,de Vütre Majesté,
ittoui i ?rQ*cl ver» son valet de chambre,
v ‘ * deux pas du fauteuil :
nnJ'?iC’aveo feeeent langue-
j*m8‘S déP°Qill«. «“ène
«ue pâtre que nous avons vu ce ma-
regimbant avsailôt avec la brns-
quecie familière des anciens domestiques :
Où rnunseigneur veut-il que je le trouve
à présent ? dit-il en haussant les épaules.
— C’est tou aflatre ; si elle était facile,
je ne t’en aurais pas chargé !
Barjae partit en grognant, et le cardinal,
avec cetto bonhomie patriarcale qui s’alliait
si bien è la modestie de ses moeurs, expli-
qua, pendant son absence, à Louis XV,
qu’il s agissait de l’arrière-petit-flifs de sa
nourrice, vivante encore et ceuten.tire, dont
il avt.il reçu la visite a Ver=ailM, le matin
même. Gomme il achevait de cuvier, a ce
Drupes, un détail intime de A enfance,
Barjao parut avec Guilhem. Le chevrter
n avait rien changé a son cestt me ces mon-
tagnes. Msfs ses traits, quo.qje voilés de
tristesse, étalent si beaux, il avait la taille
si élégante et un ai modeste, mais si gra-
cieux maintien, que toute ta cour fut frap-
pée de cette noblesse naturelle. Le ratu-
rant de l'oeil et du geste :
— Hillot, dit familièrement Fleury, tandis
uu il b avaeçait eu tenant bon jjéiet blanc
fl une main, et son bâton ferré de l'autre,
a».w—nuit Milia —. i'-arritmnr. royv:,'Vjn^SKiSSDuenm
voici des amis auxquels j’ai dé>ir de faire
entendre une chanson de nos montagnes.
— Je n’ai rien è vous lefuser, répondit
Simplement Guilhem ; mats je chante bien
' mal.
— Tu veux dire sans doute que tu n’as
pas appris ?...
— Oui, monseigneur.
— Le» rossig joh ne vout pas non plus à
l’école !
Chante connu-: a E-tlos ou comme si nous
étions souri SOUH les vieux hêtres et las
chênes du grand bols de Bélat.
Guilhem soupira, et, posant sort bâton
ferré, se mit é chanter (es couplets sui-
vants d’une voix lente et douce, dont le
timbre, délicieusement sympathique vibrait
au fond de l’âme.
La haütsusltsmuuntagnos, ù pasiou malhurous,
Ségut au pn dou h»ü, nég*t de pions,
Suuyabe aü camb.auiou de sas amous...
I.ahautsurles mont;-gnos,un malheureux pasteur
Assis au pied d’un hêtre et nuyé de pleurs,
Songeait au changement da si s amours.
I Cô leûyo, cô boulaty, disè l’infourtunat
L’estacumen fidet e l’amistat
Soun aco loua rebuts qu’au méritât ?...
Coeur léger, coeur volage disait l’iufortuné.
Mon attachement fidèle et mon amitié
Méritaieut-ils donc ces rebuts ?...
Respuch que tu f.-equantes U yen de coun litiou
Qu’as près il ta haout vol que ma maysou
N’ey prou haûto enta tu dû cabirou.
Depuis que tu fréquentes les gens do condition,
Tu *s pris un vol si haut que ma maison
Est trop basse pour toi d’un chevron.
Eucoucro que sy proube, dens moun petit estât
Qu'aimi iney moun béret toutespelat
Que lou rney beth chapeou bourdat.
Quoique je sois pauvre, d tns mou paît avoir
J’aime mieux mou béret tout pelé
Que le plus beau chapeau bordé d’or.
Ijosrirhessos drümondenou lienqueda turmen,
Et lou mey beth segoou d’ab soun aryen
Nou Ii .ou pas lou pastou qui biou couulen
Les richesses dumonde no donnent que tourment,
Et le plus beau seigneur avec son argent
Ne vout pas le berger qui vit content.
Adiou ! cô de tigresso, pastoure sens amou
Cambia, bé pos cainbia de serbidoo, ’
Yamoy nouu trouberas ù tau coum you !
Adieu ! coeur de tigresse, bergère insensUle,
Changer tu peux, changer de serviteur
Jaunis tu n’en trouveras un comme moi !
L’air et la manière dont il était chanté
firent trouver charmant ce chef d’oeuvre
de Despourrins, bien que les paroles fussent
lellre close pour la plupart des courtisans
Deux personnes en avalent seules bien
compris l’accent désespéré, Fleury oui
était de Lo lève et entendait parfkitement
la vieille langue d’Oc, et la nièce de Ber-
thoumleu Touchée jusqu’au fond du coeur
de cet attachement si vrai, si pur et il
fidèle, qui ue s’etait si rebuté ni affaibli •
depuis l’enfance, Lirotte fondait en larmes
den 1ère a charmille. Son oncle et le musi-
cien voulaient 1 entraîner pour aller fiff.
citer Jélvotte, elle résista passivement A
leurs effort» et continua d’écouler nom ml
9! ed é é retenue par une foroeirrl-
sistiDle. ^
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