Titre : Le Patriote des Pyrénées : paraissant tous les jours excepté le dimanche
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1921-11-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32834057k
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 10 novembre 1921 10 novembre 1921
Description : 1921/11/10 (A26,N260). 1921/11/10 (A26,N260).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k52541184
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3195
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/03/2020
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Au eoun d'un# bail* me»»# 4# « R#-
élu.® » I lftaueH» auditaient quatre
{U fé» d#l parmi*»* voiiintJi, M. le curé
(j'Arget a prononcé un «ernou émouvant
tprci la chant d’un cantique do circoa»*
(*nee.
.il. le euré de Cabidoi a béni le monu-
puil M le maire prononça une alla*
judos, De* chaut* patriotique* lurent
litsutéi par le* entant* de* écoles, La
Ar ménie te termina par une feeuédietiea
| iu ’i\ S- 8aerement.
BAYONNK
Accident, — Devant l'hôtel Ëxoeliior,
ur cheval attelé à une voiture de place
jurant emballé, a accroché une charrette.
Il dame Narçabai, luitière à 8t-Martin-
-àeignanx, qui se trouvait à proximité
t jté renversée et prise sous la voiture,
[a releva la brave laitière avec une pro-
f-nde blessure au visage et l'on n’a pu
. prononcer sur la gravité de son état.
BIARRITZ
Accident de travail. — Des ouvrier»
tj-rassiers étaient occupé» à creuser une
jranchée lorsque, à la suite d’un eboule-
®ent, l’un d’eux fut enseveli. Dégagé aus-
s .. >t, il fut transporté il la Maison de
Secours, où les soins nécessaires lui fu
rent prodigués
Son état n’inspire aucune inquiétude.
Dans la Région
MASSEUBE (Gers).
Brûlée vive. — Mme Tajan, propriétai
re a La Ribère, commune de Masseube, a
été trouvée carbonisée, au milieu de sa
cuisine. On ne s’explique pas comment
.. ouvre femme n’a pu appeler au se-
eo-rs, ni même comment le feu a pu l’at-
teo ne, car Mme Tajan, qui n’avait que
cir.quante-cinq rus, n était pas infirme, et
j retrouvée loin de la cheminée, sans
qu en autour d’elle ait été touché par
la flamme.
■■■
m-
Ch onique Sportive
football rugby
t’â«i85ioon#t de France Militaire, — La
.. sut liari re du cfimupion-
i»! un ïranca mettra aux prises a F au,
sur ia tan aie de ta Uiuix-du-Prince, ven-
urcui prochain, les équipa* du li* R. 1.
n ou al* it. d Aviation,
deux adversaires présenteront des
équipe* au mieux d» leur forme, possé-
„i.o de brillantes individualités bien
... ues dans le monde sportif. Il est vrai-
me:.: dommage que de telles équipes
.ut opposées en un premier tour et que
. _:.c d'elles disparaisse si tôt de la com-
.ion nationale.
r.o tous cas, les sportsmen palois sont
d’assister à une belle manifesta-
. ) irtive. L’équipe du 31* régiment
. . mon, très en souffle, possède de
s -.iéments dont Jguinitz, de l’Avi-
avonnais ; Rivet, de l'Olympique,
ires par quelques unités de classe:
yji nos et Charles, de la Section Paloi-
t: ..and, le meilleur avant du Lan-
,s donnerons demain quelques ren-
ments sur l’équipe du 18* R. I. ain-
o . les derniers détails sur cette sen
su o.elle rencontre.
c Sporting-Club « Le Béarn ». — Ce sont
/■ de St-Martin, fervents du rugby.
’. i : triomphé de la 2 e d’Orthez par 6 à 0
dure à obtenir, vu le manque
traînement des Palois.
Auu r du match Biarritz-Bayonne. —
A : e nous l’avons annoncé, le match
ipi.mnat Riarritz-Olympique-Avi-
r ' li. muais, a été arbitrée par le sym-
Dupujau, de Pau. Voici en quels
■ M. Jules Bouin, dans la « Ga-
Biarritz » apprécie notre référé e :
terminer, nous dirons que M.
u. - i arbitra cette partie de façon
a la satisfaction des deux pu-
ceri malgré une blessure récen-
ut toute l’énergie, toute la vo-
cet excellent referee pour sur-
z - a douleur d une déchirure mus-
ia re rie la jambe. Nous lui adressons
ici ::ts plus sympathiques félicitations. »
Championnat de 3* série. — Voici les
■ ' “fi appelées à disputer le champion-
:i ie :a Côte Basque en 3* série:
P:ule A. — A.G. Soustons, S.A. Ha-
r tau, A.A.S. Monteux Pau, Coqueli-
’ - Laluque, U.S. Pontacq.
Fuie B. — U.S. St-Palaisienne, U.S.
' arr.bo, Goïzeko Izarra de Saint-Jean-
P -i- ie-Port, A. Donibandarrask de St-
« r e&n-de-Luz, Stade Salisien.
•dre et dates des rencontres :
s Novzmbrs. — Laluque et A.A.E.
jL nteux Pau ; Hagetmau et Pontacq ;
imbo et Saint-Jean-Pied-de-Port ; Doni-
:mdarrak et Stade Salisien.
d7 Noveübez. — Avant-Garde et E.
V"teux Pau; Pontacq et Laluque; Sta-
>. 5 alisien et St-Paîais : St-Jean-Pied-de-
?ort et Donibandarrak.
Dïcimbrb. — A.G. Soustons et Ha-
f-r • r : A.A.E. Monteux et Pontacq :
i Su « Salisien et Cambo ; St-Paiais et
Lfisancarrak.
• " Ianvier 1922. — Hagetmau et Lalu-
p.-* Pontacq et Soustons: Cambo et
ai s : St-Jean-Pied-de-Port ei Sta-
5 * .isien.
13 anvier. — A.A.E. Monteux et Ha-
|p*' : Laluque et Soustons ; Doniban-
.< et Cambo: St-Paîaia et St-Jean-
Pif-d-de-Port.
F -aie le 29 janvier 1922.
Pfs rencontres auront lieu sur le ter-
r «n des Clubs premiers nommé*.
FOOTBALL ASSOCIATION
Union Pyrénéenne
A Pau. — Avant-Garde de Gan (1) bat
|i. Bourbaki (i)» P ar ® but» à 1.
. Partie décevante et piJtot terne entre
D’-.z équipe» dont l’une pratique un jeu
Lavert, massique, agreame et l’autre un
Ièu systématiquement termé, qui ht d aii-
|J8r» merveilie Dimanche dernier 4 cause
r* état du terrain.
I Bourbaki, trop confiant, se présente am-
I ïuté de quelques-uns de ses meilleurs
loueurs. Gan, plua homogène et surtout
|î-i entraîné, réussit en première mi-
I temps deux buts.
I Après le repos, Bourbaki fournit un gros
I *“ort. et marque. Gan, acculé devant ses
K 011 , accentue son jeu d’obstruction et
l|ûai i es shoots adverses viennent se bri-
j«r but le mur des dix arrières gantois.
I Pn résumé, Gan possède une équipe jeu-
IA allante, et le résultat parfaitement
l^’hier qu elle a obtenu est une récom-
IWnse de ses efforts persévérants.
I j “ 0li rbaki, qui dégagera de ce petit acci-
la leçon nécessaire, a commis une
|«‘Usse faute de tactique, impardonnable à
Itou Vie - Ux i° ueurs - Poiircjboi s’obstiner à
‘ Uer beau jeu au lieu de répondre par
I j? en force aux efforts désespérés de
I,. “ mettant toute son énergie — les boD-
[c Rasions sont rares — à conserver son
avance 1
°*X arbitrage 4a M. Salie».
1 ï^tîTcf * (1) blkt BottfbfcW w p»
Partie toute amicale, qù l'on pouvait exi
ger plur de respect de* arbitre»,
Jeanne d Arc (B) bat Luicar (1) par 3
but* I 0. w
Bourbaki (3) bat Avant Gord* de Gan
(1) nar 4 but* à L
Jeanne d Arc ( 4 ) bat Bourbaki |4) par
B but» à 6,
Jeanne d'Are (8) bel Leiear (l), par I
but* h 8, = Vleteife faeile, vu ie æanaue
« entrainement de* Lesearien»,
«T ^imdimne (|) contre « gleueti de
Notre-Dame ( 1 ). -= |ur le terrain de la
Ligue Girondine « Les Bleuets » de Notre-
Daipe battent la Géloaienne de 2 buts à 1,
après une partie bien disputée.
A Jurançon, — U. Jurançonnaise (1) bat
Isards d’Oloron (1), par 5 buts à 2.
Pendant la première mi-temps, jouée à
toute allure, les deux équipes firent jeu
égal, se montrant dangereuses tour à tour.
Léger avantage à Jurançon, qui terminera
avec un score de 2 à 1 en sa faveur.
Vite après la reprise, Oloron rentrera
un deuxieme but et quelques instant plus
tard, Jurançon son troisième. Le goal d’O
loron ayant commis une faute, Oloron sem
ble découragé et deux nouveaux buts sont
acquis pour Jurançon après de belles
échappées,, terminées par ae judicieux ef
forts individuels. La fin approche et, réa
gissant, Oloron se montre aangerux, mais
rien ne passe et la fin sera silflée sur ce
résultat.
— Jurançonnaise (2) et Isards d’Oloron
(2) , font match nul, 2 à 2.
Après une partie bien disputée, aucune
équipe ne put s’assurer l’avantage, malgré
le désir de vaincre qui animait les deux
adversaires et ce fut par un match nul que
se termin a la partie.
Demandes de match'es, — Les BleuetB
de Notre-Dame demandent des matches
amicaux avec patronages Pau et environs.
Ecrire : Vicaire de Notre-Dame, 28, rue
Castetnau.
Chronique Agricole
LA MTUAlIUN AGRICOLE
La seufliqvase »vnu we» uuucue j'Mxécu-
Uuu Uw« 14 uvaux un tt(U»UU U auu 4t)8
miaiiip*. u nuu qui u u ti pu* suiuaummuai uuunaul'e lu «tua*
tiuu. iuuwiui», un a usstiyu u uiiU'vpi'vU'
aie .e» iMUeai» et le» ëeuiuiau» iivuu»»»u-
i’e». ii u y u piu» Ue teiup* a ptruie,
cuu ie» maruae», i Uc«,uuuu u«ja uons-
tuiee se uauiieete toujours. cuiuue
ouïe peu ue oie, omn qu eue ait oeaucoup
ue grains uiupouioies. itiie rekisie ae son
uucia a ia naisse, saul uaxrs les Uepaxte-
uiuiia usvastes ou les oatunents necessau-
ios pour emmagasiner les grains iont en
core ueiaut. mais la meunerie et re com
merce oQservent une attitude analogue.
Un aciiete peu. De sorte que maigre la
pénurie Ues ottres les prix se soutiennent
ounenement.
il laut ajouter' que si la meunerie n’a-
cnete pas, c est qu elle a encore des stocks
de tuâmes importants, que la boulangerie
u enlève que par petites quantités, dans
l’espoir d ootentr Dientôt des prix pitus
lavoraoies et aussi parce que la consom
mation du pain, par suite du temps, s’est
plutôt ralentie.
yuoi qu’il en soit, voici un aperçu des
prix pratiques au dernier marene de la
Haine au grains de .Paris Un a coté les
Oies de Touraine de 72 tr. à 72J5Ü ; brés de
Tindre et de .la Vienne 73 £r. à 73.50; blés •
de la Beauce, de T Orléanais, des Deux-
oèvres, de la Vendée, de l’Anjou, de la
Loire-inférieure, 72 fr. à 72.50; blés de
l’Oise, de la Somme et de l’Aisne tib à
70 francs.
Comme on le voit, c’est dans les ré
gions dévastées où les offres ont été les
plus nombreuses, que les prix sont les
plus bas.
Quant aux farines, elles sont offertes
depuis 90 fr. jusqu’à 103 fr., scion qu elles
sont livrées au départ ou rendues en bou
langerie à Paris.
La fabrication des sons demure rédui
te ; on vend eu disponible de 46 à 48 fr. ,
les 100 kilos, en livrable de 43 à 46 fr. *
Les offres d’avoines sont rares, et d'ail
leurs les demandes sont peu actives ; les
avoines de la Plata, d’Irlande, de Suède
et du Danube font une certaine concur
rence au grain national ; on reçoit ausse
du grain d’Algérie Les avoines grises
d’hiver, du Poitou et du Centre valent de
56.50 à 57 fr. ; les noires du Centre de
57.50 à 58 fr. ; les grises de Beauce de 59
à 60 fr. ; les noires de Bretagne de 58 à
58 fr. 50; les grises de Bretagne de 55.50
à 56 fr. et les bigarrées de 54 à 54 fr. 50.
Les seigles ne donnent lieu à aucune af
faire. La tendance est également faible
pour les orges. Aussi les orges d’Ille-et-
Vilaine se vendent au départ 68 fr., celles
de Champagne 75 fr.
La campagne, on le voit, débute dans
de» condition» assez difficiles.
Jean d’Arraules.
LE PLATEAU CENTRAL, par Pierre
Jouve. — Beau volume grand in-8*, de
220 pages ; prix : franco, 6 fr. 60.
Nous ne saurions trop attirer l’attention
de nos lecteurs sur f’importance de ce
livre, que nous vous présentons aujourd’hui
C’est qu’en effet s L’Union des Associa
tions Agricoles du Plateau Central », est
une des plus puissantes de notre pays, et
ses réalisations sociale* font l’admiration
de tou*.
Ce livre nous fait assister, étape par
étape, à l’organisation d’une vaste région
où toutes les œuvres sociales ont été peu
à peu implantées et florissantes.
C’est une magnifique leçon d’énergie
et d’observation, un profond sentiment
des réalités et de» besoins de notre épo
que qui se dégagent de sa lecture.
Les agriculteurs soucieux de travailler
au relèvement et à la propriété du pays,
y trouveront de précieux exemples à sui
vre pour rendre à l’homme de» champs
l’amour de la terre et pour fixer la famine
rurale ru sol de* aïeux.
Adressez vos commandes au Secrétariat
Socialj 64, rue Saint-Rémi, Bordeaux.
Utilisez le compte courant de chèques
postaux Bordeaux : 6.903, au Secrétariat
Social.
Sport & Elevage
NOS PRODUITS
SUR LES HIPPODROMES
Le célèbre mais décevant Héros XII,
fils d’Ex-Voto, vient de faire sa rentrée
sur les hippodromes le 6 novembre, à Au-
teuil, où il est arrivé second dans le Prix
Firino. steeple, 20.000 fr., 6 partants,
derrière Odoacre. Le journal le « Jockey »
dit : « L’excellent cheval de M. Coulon,
Héros XII, a eu contre lui, cette année,
divers accidents ; néanmoins, iil a enlevé
avec 77 kilos, le Prix du Président de la
République, où Odoacre recevait de lui
dix-sept livres et il n’a oontre lui que son
absence remontant au mois de juin. »
A Paris, aux ventes aux enchères pu
bliques de l’Etablissement Chfri, le 24
octobre, la jument Almora, né© en 1918,
iU* 4* K&kalais (St-Siaun) *4 4* Amo-
ryUU, le*u* d'Iîj-Tobo et de Amourette,
par Chlldwick (Bt-Bimon) et du La Ri*-
tori, pur Meilton, a été retirée faute d'on-
ohèro» awee éluvtk» pour la «omuie cU»
35.000 fr, par *on vendeur M. Eknayaa.
Doue la meme vente, le poulain Cerf-Vo
lant, né en 1910, fil* do Jaeobi et d'Arrow
l*»ue de Weber et de Dnreika, par Phœ-
nix, a été également retiré pour âu.000 fr,
La poulinière Amourettu
en Ihéfe *era tltme le propre frère d Auta=
ryMla, wtte dernière née en Jtnu, ehel
M, UibHtoi! SuubUdlo, à M trépida. La pou
linière Arrow est née en 1915, chez M.
Louis Bedout, h Cazaubon (Gers),
Le 27 octobre, toujours chez Chéri, M.
J Henneasy veud à M. H. Blum, pour
4.600 fr., Risette V, fille de Uavarni II et
de RecaJdia, issue de Boudoir et de Rand
Fontein. Jiecaldia, née en 1899, à Saldi-
Chourry, chez M. F. de Saint-Jayme.
Le vainqueur de la Grande Courae de
Haies de Pau en 1921, Cri du Cœur, vient
de gagner à Maison-Laffitte, le 28 ocoto-
bre, le Prix Blingel, 12.500 fr., 6 partants.
Vqici la suite des résultats de septem
bre 1921 :
Le 11 septembre, à Barbezieux, est ar
rivée seconde, dans le Military, 1.600 fr.,
Sainte-Garadine, 9 ans, par 8aint-Cara-
dec et Aiaboma, par Chêne-Royal, née
chez M. GaJiase, à Du*se, qui reçoit 80 fr.
do prime.
L ~
été
Ex-
baron de Curzay, à Montech (H.-G. ), qui
reçoit 100 fr. de prime.
À Vic-Bigorre, le Prix des Angloa (50
pour 100 d’arabe), 1.070 fr., a été gagné
par Beûine, 3 ans, par Djebel et Aubergi
ne, par Rominder, née chez M, J. La-
croutz, de Lucgarier, qui reçoit 70 fr. de
prime
Le prix dos Anglos (25 % d’arabe),
3.000 fr., 3 partants, a été gagné par Fa-
ro, 3 ans, par Démon et Flora, par Barek
Allah, né ehe* M H. Labbé, à St-Crkiq-
Villeneuve, qui reçoit 300 fr- de prime,
Le Prix des demi-sang 8,760 fr, 3 partants, a été gagné par
fcians-Cuiotte U, 3 ans, par Maestro et
Guenille (gagnante de il uuo fr. en plat),
par Sourire (demi-sang) et Miranda ip.
s, a,-ar, et propre sœur des étalon» natio
naux Mieieu et Mariua) issue de Frisme,
né olie* Mme Vve Jeaii-Mareelin Planté,
h Artiguelouve, qui reçoit 850 fr, — ilst
arrivé troisième, tâalem, 8 «ns, par Mo
teur (ltoyal Dream) et l’Ami-Querrière.
par Espoir-Charmant, (Chine,Royal), né
chez M. J. Ciuassui, à Bnuuioulou,
Le steeple, 8 000 fr., 3 partant», a été
gagné par Croix d’Arrion, 4 ans, par Ex-
Voto et C>oix-du-Prince. Bon nais*eur re
çoit 200 fr. de prime.
Le Steeple Régional, 2.500 fr., 3 par
tants, a été gagné par Folie, 5 ans, par
Presto et Félicienne, par Ex-Voto, née
chez le curé de Beuste.
A Illiers, ie Steeple, 2.500 fr., 2 par
tants, a été gagné par Viginex, 5 ans, par
Ex-Voto et Virgiuud, né chez M. Maurice
Blanchy, à Bordeaux, qui reçoit 250 fr.
A Libourne, est arrivé Bccond dans le
Prix Le Dauphiné, 2.000 fr., 4 partants,
Vengeur II, 3 ans, par Démon et Ven
geance, par Sobérano, né chez M. Dulau.
A Aucn, le Cross, 3.000 fr., 5 partants,
a été gagné par Nous-les-Aurons, 5 ans,
par Prisme et A-Tire-d’Ailes, par Fils-de
l’Air, né chez MM. Ch. de Salverte et
Toulet, près de l’hippodrome de Pau, qui
reçoivent 150 fr de prime. — Est arrivée
seconde, Rosette, 4 ans, par Vélox et Dé
sirée, par Perchoir, née chez M. Derboy,
à Arberats, qui reçoit 100 fr. de prime. —
Est arrivée troisième, F’égie, 7 ans, par
Mister-Latapy et Espérée, par Fragoîet-
bo, née chez M. Prat, qui reçoit 75 fr. de
prime.
Le Cross Régional, 2.000 fr., 4 partants,
a été çagné par Rouleuse, 4 ans, par Kai-
four (Sauteur-Prisme). Est arrivée secon
de, La Bordelaise, 6 ans, par Presto et
Burkenia, par Burkeguy, nee chez M. E.
Camentron, à Bordeaux, qui reçoit 300
francs de prime
Le 13 septembre, au Tremblay, est arri
vée seconde, dans le Prix Sterling, 4.000
fr., 7 partants, Duchesse de la Victoire,
3 ans. par Amaut-de-Cœur et Duchesse-
de-la-Feuillée, par Valparaiso, née chez
M. Labatut, à St-Palais.
Dans le Prix Isola^-Beïla, 6.000 fr., 15
oartants, est arrivé troisième, Erdaraz.
•3 an.s, par Amant-de-Cœur et Vraie-Bas-
ouaise, par The Condor, né à Saldi-
Chourry.
Le 14 septembre, en Belgique, à Dil-
beck. est arrivée seconde, dans un prix à
vendre, 2 500 fr, 7 partants, Détresse-
Boche, 5 ans. par .Acadir et Déna, par
Boudoir, née à Saldi-Ohourry.
Le 18, à Oroendaël, dans un autre prix
à vendre, 5.000 fr , 6 partants, est arrivée
seconde, T.azarine. t ans, par Ex-Voto et
T,a Lune, par Codoman, née chez M. A.
de Taillac, à Nousty.
l'Anglo-Arabe.
CONCOURS DU CHEVAL DE GUERRE
FRANÇAIS
En cette fin octobre 1921, MM. 1© comte
d’Ideviile, Jean Stern et Christian, de Ca-
theu, commissaires de la Société d’En
couragement à l’élevage du cheval de
guerre, ont pris la décision suivante :
Considérant que le cheval Vainqueur,
par Monterotondo et Lunette a été en
gagé par M Bayron, mandataire de M.
ie vicomte de Curel, en 1920 à Saumur ;
en 1921 à Pau, concours ouvert à tous che
vaux de pur sang ou demi-sang arabe ou
anglo-arabe à 25 % de sang arabe, et im
plicitement. par une situation do fait
constante depuis plusieurs années, aux
chevaux du Limousin qui, sans avoir 25 %
de sang arabe, comptent un auteur de
pur sang anglo-arabe dans leurs six ascen
dants cfiirects ;
Considérant que la responsabilité de la
qualification d’un cheval incombe à son
propriétaire, en concours comme en cour-
scs ;
Attendu que lea réclamation* de con
current* ont été déposées régulièrement
entre nos main* et qu’une enquête s'im
posait et que nou» l’avons faite ;
Considérant qu’il résulte de* pièces
et document* aoumi» aux commissaire*
que les papiers du cheval Vainqueur, ap
partenant a M. do Curel, comportent une
déclaration inexacte, il y a lieu de distan-
cor le cheval Vainqueur dans tous les con
cours soumis au reglement de la Société
du cheval de guerre, auxquels sa qualifi
cation de cheval limousin anglo-arabe lui
aurait conféré le droit de participer, et
où il a obtenu des primes et de procéder
à un classement nouveau de ces différen
tes épreuves :
Pour ces motifs :
Distancent le cheva’ Vainqueur dans les
concours suivants :
1° Saumur en 1920.
2° Pau ©n 1921.
3° Limoges en 1921
4* Saumur er. 1921.
Disent que M. de Curel, son proprié
taire, ayant à tort encaissé les primes,
devra les restituer à la Société qui en ré
partira 1© montant aux ayants-droit :
Pour Saumur en 1920, c’est Inconnue,
par Inops (Prisme), qui passe 10* au lieu
et p 1 ace de Vainqueur. 300 fr. k M. Hey-
rand, à Limoges, 100 fr. au naisseur.
La 11* prime, 400 fr.. revient à Reinc-
O’ga. par Virtuose (Burkeguy) 300 fr. au
U*u 4’ua* K*nti*a à M. 1* **«it* 4* M*-
wmat de Lille, h Tarbee, 1U0 tr, m aaie-
•eur.
Pour Pau «i 1631, c'ost JUiewaie, pur
Argentan et Fripcwm», iMue de Bauioa, à
M. Mu*. Muuruuzaà, d'Auduin», qui tou<
che lue uuo fr. de prix et de prime ou &*i»>
•uur, au lieu du 700 (r.
lk>*etto, par Veiox et Désirée, ieeuo de
Perchoir, 4 M, G Petit, 4 üuudéraa (Üi»
fuiidë), reçut! âge fr, «mit iou fr, k M.
D«rhoy, a Atbérat», au iieu de âO fr,, eu
ikviiiét et 0&u n\ M. Pëkt,
Uwétte. par lithium t»t Relié, lieue rie
AW-umti, h M, LarregaUi, A Pau, Ue d#r=
nter reçoit 8&0 -fr et Su Ir, vont au nai*
st'ur, M, 'Poulet, k Lun»,
Rubis, par liadji 111 et AoWve, issue de
Fanfaron, Menuet, à M 1© vicomte de
Goureuff, à Pau, qui reçoit 1,500 fr. au
lieu do 1.200 fr. Rubis est né chez M. G.
Peyré, à Lussagnct-Luason.
Rivale, par Nibeh et Linotte, issue
d’Avor, à M. J. Larregain, reçoit 1,200 fr.
au liau de 1.000 fr.
Roseraie (précitée), reçoit 600 fr. au
lieu do 500 fr.
A Saumur, Roseraie (précitée), reçoit
800 fr. dont 650 fr. à M. ie capitaine Al-
quier-Bouffar, à qui elle a été vendue
pour 10.000 fr. par son naisseur, M. Mou-
rouzaà, qui reçoit 150 fr. de prime au lieu
de 100 fr.
Rosette (précitée), reçoit 300 fr. dont
60 fr. à M. Derboy (précité) au lieu d’une
mention.
Roseraie (précitée), reçoit 1.600 fr. au
lieu de 1.200 fr. dans l’Epreuve d’Exté-
rieur.
Roseraie remporte également le Cham
pionnat des anglo-arabes au lieu et place
de Vainqueur et fait toucher au capitaine
Aiquier-Bouüard, à Saumur, une somme
de 1.Ü0Q fr. de plus.
C’est donc une somme de 8,900 fr. que
Vainqueur avait indûment perçue. C’est
la jument Roseraie, la superbe fille d’Ar
gentan, à qui revient une grande partie
de cette somme. Vainqueur n’avait pas la
qualification voulue des 25 % d’arabe que
l’on exige pour ce genre de oouoour»,
Monterotondo, le père de Vainqueur, n’a-
vait que 25 % d’aaube, étant fais de En
core et de Miss-Lyon, issue de Prisme et
de Mt4einoise|le-Lucie, par Patricien, H
est né chc» M, J, Turon, à Lucgarier, en
1904, et avait gagné en «on temps 0,186 fr,
en course» plate* et fut acheté par Padroi*
mstration de» haras pour e,o(5o fr, Mi»*
ter-Latapy, du haras de Pau, en station
à PonLmq depuis jooa, e»t le propre frè
re de Monterotondo Sa production est
des meilleure».
L'Angln.Arabe,
~ ——-
Sob Marche?
„ ORTHEZ
Marché du 8 novembre. — Froment,
58 fr. ; Haricots, 120 fr. ; Maïs. 58 fr. ;
Avoine, 30 à 36 fr., le tout l’hectolitre;
Pommes de terre, 70 fr. les 100 kilos ;
Paille, 4 fr. 25 ; Foin, 13 fr. 50, les 50 kil.
Œufs, 7 à 7 fr. 25 la douzaine.
Poulets, 12 à 24 fr. ; Poules, 20 fr ; Din
des, 45 à 55 fr. ; Canards, 15 à 25 fr.,
le tout la paire.
Foies gras, 12 à 14 fr. le kilo.
Veaux, 4 a 4 fr. 50 le kilo.
Porcs, 3.75 à 4.25 le kilo.
Bois: Fagots. 1 fr. 40; Rondin de chê
ne. 28 fr. le mètre.
La plus faible.
Si l’on a toujours célébré le charme de
la femme, l’on a toujours aussi déploré
ia fragilité de son organisme. La femme,
a ce point de vue, moins prvilégiée que
l’homme, est, durant, toute son existence
la proie de malaises, de faiblesses fré
quents. Cela tient à ce que son système
nerveux est beaucoup plus faible que ce
lui de l’homme et à ce que son sang a
plus facilement tendance à s’appauvrir.
Les Pilules Pink répondent donc bien
nour la femme à la nécessité absolue de
remédier dans
les meilleures
conditons, c’est-
à-dire sans ré
actions violen
tes, à cet affai
blissement trop
facile du sang
et des nerfs.
Nombreuses
sont les femmes,
du reste, qui
doivent aux Pi
lules Pink d'a
voir retrouvé
une santé com-
promise, sou-
vent très sérieu-
Clicbé_ Cavaroc). sement, par les
Mlle Adrierino Favre. troubles consé
cutifs a l’amoindrissement du sang et du
système nerveux.
L’exemple de M u * Adrienne Favre, cou
turière, 40, rue Hachais, à Lyon, est, pen
sons-nous, de nature à convaincre les
moins crédule* •
« Pendant plusieurs mois, nous a écrit
Mlle Favre, ma santé m’a donné bien des
soucis. Je souffrais beaucoup de migrai
nes. de maux d’estomac, de points de
côté. Avec cela, je n’avais pas d’appétit,
ie dormais^ mal et me sentais toujours
lasse. Plusieurs de mes amies ayant été
guéries par les Pilules Pink, je me déci
dai à en suivre le traitement. Je tiens à
vous dire que j’en ai éprouvé le plus
grand bien, car je suis aujourd’hui entiè
rement satisfaite de mon état de santé. »‘
Il est reconnu que les Pilules Pink ré
pondent remarquablement aux besoins du
tempérament délicat de la.femme et sont
— des médecins ont fait à ce point de vue
des essais concluants — un remède d’une
puissante efficacité contro l’anémie, la
chlorose, la neurasthénie, l’affaiblisse
ment général.
En vente dans toutes les pharmacies et
au dépôt : Pharmacie P. Barret 23, rue
Bnllu, Paris, 4 fr. 50 la botte 84 fr. les
«ix bottes, franco, plu* 0 fr. 50 de taxe
nar botte.
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Que vos cheveux soient clairsemés,
courts, desséchés ou cassants, il ne tient
qu’à vous qu’ils deviennent longs, bril
lants et luxuriants. Vous n’avez qu’à
obtenir un flacon de Lotion Lavona qui
est en vente partout et en faire deux fois
par jour l’application ; non seulement cela
détruira le germe des pellicules, mais, en
outre, augmentera la pousse des cheveux
et les rendra plus soyeux et plus épais, en
alimentant les racines du seul élément,
lequel, d’après les meilleures autorités,
peut seul apporter un remède au cuir
chevelu. Grâce à ses qualités exception
nelles, la Lotion I.avona est vendue avec
ia garantie de faire pousser les cheveux.
Binon votre argent vous sera remboursé.
Ainsi tous ceux qui désirent avoir une
chevelure plus longue, plus épaisse, plus
soyeuse, peuvent faire cet essai, et Bi le«
résultats ne sont pas atteints, cela ne
leur aura rien coûté.
Les malades peuvent maintenant aller
au café sans enfreindre les ordonnance»
médicales nuisqu’ils y trouvent partout le
quart Viehy-Célestin», rifraîchi»»ant et
digestif.
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M- et Mme Pradaire et leurs fille* ont iâ
douleur de faire part à leur» amis et pom
naissance* de la perte qu'il» viennent
d’éprouver en la personne de
Madame Rose CAUHAPÊ
leur mère, belle-mère, grftnd’mère et tante
et ie» prient d'n*»i»ter À ses obsèques qui
auront lieu le jeudi 10 novembre, 4 10 h, }
à l'église Bt-Jeeques,
On »e réunira A la maiion mortuaire,
27, ru» Uasiie», k 10 h. 1/4. (Û-048)
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Mme Paul Courquin, Mme Vve Emile
Courquin, Mme Vve Barrau, les famille»
Courquin, Barrau et Arsaut ont la dou
leur de faire part à leurs amis et connais
sances de la perte cruelle qu’il* viennent
d’éprouver en la personne de
Monsieur Paul COURQUIN
et les prient d’assister à se* obsèques qui
auront lieu le jeudi 10 novembre, en l’é
glise St-Martin, à 10 heures.
On se réunira à la maison mortuaire,
3, rue Henri IV, à 9 h. 30. (D-632)
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table, elle vous donne un litre d’excellent
fin fortifiant. Sa formule est, en effet,
tout à fait spéciale et infiniment supérieu
re aux produits similaires. Le flacon : 2.75.
Arthritiques
votre sang est malade
Si votre peau est abîmée et rongée par
de l’herpès, de l’acné, un eczéma, un pso
riasis, si vos jambe* sont lourde» de viv
rioes ou trouées par de» ulcères, si vos
rems vous font mal et que vos articula
tions sont entravée* par le rhumatisme
ou ia goutte, dites-vous bien que la oause
de vos souffrances se trouve uniquement
dans un sang trop épais et vicié par le*
déohet* d’une combustion incomplète.
C’est donc dans le sang et par le sang
qu’il faut retrouver ia santé. Tel a été
l’heureu*© idée de ce malade guéri dont
le précieux témoignage de reconnaissance
mot à nouveau en valeur la haute effica
cité du DEPURATIF RICHELET dési
gné dopui* longtemps à l’attention de
tous pour agir sur la masse sanguine :
* Souffrant depuis longtemps de rhuma^
trimes et d’une mauvaise circulation du
sang, j’en étais réduit à ne plus pouvoir
marcher. Après avoir inutilement tout
essayé, je fis une euro de votre DEPURA
TIF RTCHELET qui, enfin, m’a apporté
ie soulagement et la guérison.
« M.-L. Durand,
chef de manœuvre, chemin de fer
du Sud, 28, rue du 23 Janvier, à
Dijon (Côte-d’Or.) »
Le DEPURATIF RICHELET réveille
la circulation et pousse tous les déchets
vers les voies naturelles. Ainsi purifié et
reconstitué, le sang nourrit plus copieu
sement, l’organisme Les plaies, les bou
tons les plus rebelles s’effacent sans lais
ser 1a moindre trace ; les varices dimi
nuent et les ulcères se ferment, les dou
leurs disparaissent, les genoux et les che
villes desenflent et les mouvements se
font sans effort. L’arthritique retrouve
ensuite la santé et la joie de vivre.
Le flacon ; 8 fr. 75 dans toute» les bon
nes pharmacies. A défaut et pour tous
rensei^ements sur le traitement, écrire
à L. RICHELET, de Sedan, 68, rua «U
Ralfart, Ba*raan* (B.-P.).
CONSEQUENCES DE L’ASTHME
Quoiqu# peu grave pour la vie, i’asthm*
produit h la longue, quand il e»t négiigé,
de* pomplioation* redoutable» du côté du
eœur, On empêche tout accident, et ou
guérit même complètement en faisant ui
usage régulier de la poudre Lpui» LegrM,
ce merveilleux remède qui a obtenu i»
plus haute récompense à l'Exposition
Universelle de JROQ, Une boite est expé?
diée contre un mandat de 8 fr. 86 (it
compris) adressé à Louis LegrM, ifi
Magenta, a Pari»,
Ogeu-les-Bains
« Je serais enchanté ds vou* voix mener
à bon port cette intéressant© entrepris©.
« Les Eaux d’Ogeu, que vou» avez ©u
la bonne fortune ae si heureusement ex
périmenter et apprécier, méritent l'en
thousiasme reconnaissant qu* voua leur
témoignai.
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îIet
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ions
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tilde
von.
(NE
Au eoun d'un# bail* me»»# 4# « R#-
élu.® » I lftaueH» auditaient quatre
{U fé» d#l parmi*»* voiiintJi, M. le curé
(j'Arget a prononcé un «ernou émouvant
tprci la chant d’un cantique do circoa»*
(*nee.
.il. le euré de Cabidoi a béni le monu-
puil M le maire prononça une alla*
judos, De* chaut* patriotique* lurent
litsutéi par le* entant* de* écoles, La
Ar ménie te termina par une feeuédietiea
| iu ’i\ S- 8aerement.
BAYONNK
Accident, — Devant l'hôtel Ëxoeliior,
ur cheval attelé à une voiture de place
jurant emballé, a accroché une charrette.
Il dame Narçabai, luitière à 8t-Martin-
-àeignanx, qui se trouvait à proximité
t jté renversée et prise sous la voiture,
[a releva la brave laitière avec une pro-
f-nde blessure au visage et l'on n’a pu
. prononcer sur la gravité de son état.
BIARRITZ
Accident de travail. — Des ouvrier»
tj-rassiers étaient occupé» à creuser une
jranchée lorsque, à la suite d’un eboule-
®ent, l’un d’eux fut enseveli. Dégagé aus-
s .. >t, il fut transporté il la Maison de
Secours, où les soins nécessaires lui fu
rent prodigués
Son état n’inspire aucune inquiétude.
Dans la Région
MASSEUBE (Gers).
Brûlée vive. — Mme Tajan, propriétai
re a La Ribère, commune de Masseube, a
été trouvée carbonisée, au milieu de sa
cuisine. On ne s’explique pas comment
.. ouvre femme n’a pu appeler au se-
eo-rs, ni même comment le feu a pu l’at-
teo ne, car Mme Tajan, qui n’avait que
cir.quante-cinq rus, n était pas infirme, et
j retrouvée loin de la cheminée, sans
qu en autour d’elle ait été touché par
la flamme.
■■■
m-
Ch onique Sportive
football rugby
t’â«i85ioon#t de France Militaire, — La
.. sut liari re du cfimupion-
i»! un ïranca mettra aux prises a F au,
sur ia tan aie de ta Uiuix-du-Prince, ven-
urcui prochain, les équipa* du li* R. 1.
n ou al* it. d Aviation,
deux adversaires présenteront des
équipe* au mieux d» leur forme, possé-
„i.o de brillantes individualités bien
... ues dans le monde sportif. Il est vrai-
me:.: dommage que de telles équipes
.ut opposées en un premier tour et que
. _:.c d'elles disparaisse si tôt de la com-
.ion nationale.
r.o tous cas, les sportsmen palois sont
d’assister à une belle manifesta-
. ) irtive. L’équipe du 31* régiment
. . mon, très en souffle, possède de
s -.iéments dont Jguinitz, de l’Avi-
avonnais ; Rivet, de l'Olympique,
ires par quelques unités de classe:
yji nos et Charles, de la Section Paloi-
t: ..and, le meilleur avant du Lan-
,s donnerons demain quelques ren-
ments sur l’équipe du 18* R. I. ain-
o . les derniers détails sur cette sen
su o.elle rencontre.
c Sporting-Club « Le Béarn ». — Ce sont
/■ de St-Martin, fervents du rugby.
’. i : triomphé de la 2 e d’Orthez par 6 à 0
dure à obtenir, vu le manque
traînement des Palois.
Auu r du match Biarritz-Bayonne. —
A : e nous l’avons annoncé, le match
ipi.mnat Riarritz-Olympique-Avi-
r ' li. muais, a été arbitrée par le sym-
Dupujau, de Pau. Voici en quels
■ M. Jules Bouin, dans la « Ga-
Biarritz » apprécie notre référé e :
terminer, nous dirons que M.
u. - i arbitra cette partie de façon
a la satisfaction des deux pu-
ceri malgré une blessure récen-
ut toute l’énergie, toute la vo-
cet excellent referee pour sur-
z - a douleur d une déchirure mus-
ia re rie la jambe. Nous lui adressons
ici ::ts plus sympathiques félicitations. »
Championnat de 3* série. — Voici les
■ ' “fi appelées à disputer le champion-
:i ie :a Côte Basque en 3* série:
P:ule A. — A.G. Soustons, S.A. Ha-
r tau, A.A.S. Monteux Pau, Coqueli-
’ - Laluque, U.S. Pontacq.
Fuie B. — U.S. St-Palaisienne, U.S.
' arr.bo, Goïzeko Izarra de Saint-Jean-
P -i- ie-Port, A. Donibandarrask de St-
« r e&n-de-Luz, Stade Salisien.
•dre et dates des rencontres :
s Novzmbrs. — Laluque et A.A.E.
jL nteux Pau ; Hagetmau et Pontacq ;
imbo et Saint-Jean-Pied-de-Port ; Doni-
:mdarrak et Stade Salisien.
d7 Noveübez. — Avant-Garde et E.
V"teux Pau; Pontacq et Laluque; Sta-
>. 5 alisien et St-Paîais : St-Jean-Pied-de-
?ort et Donibandarrak.
Dïcimbrb. — A.G. Soustons et Ha-
f-r • r : A.A.E. Monteux et Pontacq :
i Su « Salisien et Cambo ; St-Paiais et
Lfisancarrak.
• " Ianvier 1922. — Hagetmau et Lalu-
p.-* Pontacq et Soustons: Cambo et
ai s : St-Jean-Pied-de-Port ei Sta-
5 * .isien.
13 anvier. — A.A.E. Monteux et Ha-
|p*' : Laluque et Soustons ; Doniban-
.< et Cambo: St-Paîaia et St-Jean-
Pif-d-de-Port.
F -aie le 29 janvier 1922.
Pfs rencontres auront lieu sur le ter-
r «n des Clubs premiers nommé*.
FOOTBALL ASSOCIATION
Union Pyrénéenne
A Pau. — Avant-Garde de Gan (1) bat
|i. Bourbaki (i)» P ar ® but» à 1.
. Partie décevante et piJtot terne entre
D’-.z équipe» dont l’une pratique un jeu
Lavert, massique, agreame et l’autre un
Ièu systématiquement termé, qui ht d aii-
|J8r» merveilie Dimanche dernier 4 cause
r* état du terrain.
I Bourbaki, trop confiant, se présente am-
I ïuté de quelques-uns de ses meilleurs
loueurs. Gan, plua homogène et surtout
|î-i entraîné, réussit en première mi-
I temps deux buts.
I Après le repos, Bourbaki fournit un gros
I *“ort. et marque. Gan, acculé devant ses
K 011 , accentue son jeu d’obstruction et
l|ûai i es shoots adverses viennent se bri-
j«r but le mur des dix arrières gantois.
I Pn résumé, Gan possède une équipe jeu-
IA allante, et le résultat parfaitement
l^’hier qu elle a obtenu est une récom-
IWnse de ses efforts persévérants.
I j “ 0li rbaki, qui dégagera de ce petit acci-
la leçon nécessaire, a commis une
|«‘Usse faute de tactique, impardonnable à
Itou Vie - Ux i° ueurs - Poiircjboi s’obstiner à
‘ Uer beau jeu au lieu de répondre par
I j? en force aux efforts désespérés de
I,. “ mettant toute son énergie — les boD-
[c Rasions sont rares — à conserver son
avance 1
°*X arbitrage 4a M. Salie».
1 ï^tîTcf * (1) blkt BottfbfcW w p»
Partie toute amicale, qù l'on pouvait exi
ger plur de respect de* arbitre»,
Jeanne d Arc (B) bat Luicar (1) par 3
but* I 0. w
Bourbaki (3) bat Avant Gord* de Gan
(1) nar 4 but* à L
Jeanne d Arc ( 4 ) bat Bourbaki |4) par
B but» à 6,
Jeanne d'Are (8) bel Leiear (l), par I
but* h 8, = Vleteife faeile, vu ie æanaue
« entrainement de* Lesearien»,
«T ^imdimne (|) contre « gleueti de
Notre-Dame ( 1 ). -= |ur le terrain de la
Ligue Girondine « Les Bleuets » de Notre-
Daipe battent la Géloaienne de 2 buts à 1,
après une partie bien disputée.
A Jurançon, — U. Jurançonnaise (1) bat
Isards d’Oloron (1), par 5 buts à 2.
Pendant la première mi-temps, jouée à
toute allure, les deux équipes firent jeu
égal, se montrant dangereuses tour à tour.
Léger avantage à Jurançon, qui terminera
avec un score de 2 à 1 en sa faveur.
Vite après la reprise, Oloron rentrera
un deuxieme but et quelques instant plus
tard, Jurançon son troisième. Le goal d’O
loron ayant commis une faute, Oloron sem
ble découragé et deux nouveaux buts sont
acquis pour Jurançon après de belles
échappées,, terminées par ae judicieux ef
forts individuels. La fin approche et, réa
gissant, Oloron se montre aangerux, mais
rien ne passe et la fin sera silflée sur ce
résultat.
— Jurançonnaise (2) et Isards d’Oloron
(2) , font match nul, 2 à 2.
Après une partie bien disputée, aucune
équipe ne put s’assurer l’avantage, malgré
le désir de vaincre qui animait les deux
adversaires et ce fut par un match nul que
se termin a la partie.
Demandes de match'es, — Les BleuetB
de Notre-Dame demandent des matches
amicaux avec patronages Pau et environs.
Ecrire : Vicaire de Notre-Dame, 28, rue
Castetnau.
Chronique Agricole
LA MTUAlIUN AGRICOLE
La seufliqvase »vnu we» uuucue j'Mxécu-
Uuu Uw« 14 uvaux un tt(U»UU U auu 4t)8
miaiiip*. u nuu qui u
tiuu. iuuwiui», un a usstiyu u uiiU'vpi'vU'
aie .e» iMUeai» et le» ëeuiuiau» iivuu»»»u-
i’e». ii u y u piu» Ue teiup* a ptruie,
cuu ie» maruae», i Uc«,uuuu u«ja uons-
tuiee se uauiieete toujours. cuiuue
ouïe peu ue oie, omn qu eue ait oeaucoup
ue grains uiupouioies. itiie rekisie ae son
uucia a ia naisse, saul uaxrs les Uepaxte-
uiuiia usvastes ou les oatunents necessau-
ios pour emmagasiner les grains iont en
core ueiaut. mais la meunerie et re com
merce oQservent une attitude analogue.
Un aciiete peu. De sorte que maigre la
pénurie Ues ottres les prix se soutiennent
ounenement.
il laut ajouter' que si la meunerie n’a-
cnete pas, c est qu elle a encore des stocks
de tuâmes importants, que la boulangerie
u enlève que par petites quantités, dans
l’espoir d ootentr Dientôt des prix pitus
lavoraoies et aussi parce que la consom
mation du pain, par suite du temps, s’est
plutôt ralentie.
yuoi qu’il en soit, voici un aperçu des
prix pratiques au dernier marene de la
Haine au grains de .Paris Un a coté les
Oies de Touraine de 72 tr. à 72J5Ü ; brés de
Tindre et de .la Vienne 73 £r. à 73.50; blés •
de la Beauce, de T Orléanais, des Deux-
oèvres, de la Vendée, de l’Anjou, de la
Loire-inférieure, 72 fr. à 72.50; blés de
l’Oise, de la Somme et de l’Aisne tib à
70 francs.
Comme on le voit, c’est dans les ré
gions dévastées où les offres ont été les
plus nombreuses, que les prix sont les
plus bas.
Quant aux farines, elles sont offertes
depuis 90 fr. jusqu’à 103 fr., scion qu elles
sont livrées au départ ou rendues en bou
langerie à Paris.
La fabrication des sons demure rédui
te ; on vend eu disponible de 46 à 48 fr. ,
les 100 kilos, en livrable de 43 à 46 fr. *
Les offres d’avoines sont rares, et d'ail
leurs les demandes sont peu actives ; les
avoines de la Plata, d’Irlande, de Suède
et du Danube font une certaine concur
rence au grain national ; on reçoit ausse
du grain d’Algérie Les avoines grises
d’hiver, du Poitou et du Centre valent de
56.50 à 57 fr. ; les noires du Centre de
57.50 à 58 fr. ; les grises de Beauce de 59
à 60 fr. ; les noires de Bretagne de 58 à
58 fr. 50; les grises de Bretagne de 55.50
à 56 fr. et les bigarrées de 54 à 54 fr. 50.
Les seigles ne donnent lieu à aucune af
faire. La tendance est également faible
pour les orges. Aussi les orges d’Ille-et-
Vilaine se vendent au départ 68 fr., celles
de Champagne 75 fr.
La campagne, on le voit, débute dans
de» condition» assez difficiles.
Jean d’Arraules.
LE PLATEAU CENTRAL, par Pierre
Jouve. — Beau volume grand in-8*, de
220 pages ; prix : franco, 6 fr. 60.
Nous ne saurions trop attirer l’attention
de nos lecteurs sur f’importance de ce
livre, que nous vous présentons aujourd’hui
C’est qu’en effet s L’Union des Associa
tions Agricoles du Plateau Central », est
une des plus puissantes de notre pays, et
ses réalisations sociale* font l’admiration
de tou*.
Ce livre nous fait assister, étape par
étape, à l’organisation d’une vaste région
où toutes les œuvres sociales ont été peu
à peu implantées et florissantes.
C’est une magnifique leçon d’énergie
et d’observation, un profond sentiment
des réalités et de» besoins de notre épo
que qui se dégagent de sa lecture.
Les agriculteurs soucieux de travailler
au relèvement et à la propriété du pays,
y trouveront de précieux exemples à sui
vre pour rendre à l’homme de» champs
l’amour de la terre et pour fixer la famine
rurale ru sol de* aïeux.
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Socialj 64, rue Saint-Rémi, Bordeaux.
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postaux Bordeaux : 6.903, au Secrétariat
Social.
Sport & Elevage
NOS PRODUITS
SUR LES HIPPODROMES
Le célèbre mais décevant Héros XII,
fils d’Ex-Voto, vient de faire sa rentrée
sur les hippodromes le 6 novembre, à Au-
teuil, où il est arrivé second dans le Prix
Firino. steeple, 20.000 fr., 6 partants,
derrière Odoacre. Le journal le « Jockey »
dit : « L’excellent cheval de M. Coulon,
Héros XII, a eu contre lui, cette année,
divers accidents ; néanmoins, iil a enlevé
avec 77 kilos, le Prix du Président de la
République, où Odoacre recevait de lui
dix-sept livres et il n’a oontre lui que son
absence remontant au mois de juin. »
A Paris, aux ventes aux enchères pu
bliques de l’Etablissement Chfri, le 24
octobre, la jument Almora, né© en 1918,
iU* 4* K&kalais (St-Siaun) *4 4* Amo-
ryUU, le*u* d'Iîj-Tobo et de Amourette,
par Chlldwick (Bt-Bimon) et du La Ri*-
tori, pur Meilton, a été retirée faute d'on-
ohèro» awee éluvtk» pour la «omuie cU»
35.000 fr, par *on vendeur M. Eknayaa.
Doue la meme vente, le poulain Cerf-Vo
lant, né en 1910, fil* do Jaeobi et d'Arrow
l*»ue de Weber et de Dnreika, par Phœ-
nix, a été également retiré pour âu.000 fr,
La poulinière Amourettu
en Ihéfe *era tltme le propre frère d Auta=
ryMla, wtte dernière née en Jtnu, ehel
M, UibHtoi! SuubUdlo, à M trépida. La pou
linière Arrow est née en 1915, chez M.
Louis Bedout, h Cazaubon (Gers),
Le 27 octobre, toujours chez Chéri, M.
J Henneasy veud à M. H. Blum, pour
4.600 fr., Risette V, fille de Uavarni II et
de RecaJdia, issue de Boudoir et de Rand
Fontein. Jiecaldia, née en 1899, à Saldi-
Chourry, chez M. F. de Saint-Jayme.
Le vainqueur de la Grande Courae de
Haies de Pau en 1921, Cri du Cœur, vient
de gagner à Maison-Laffitte, le 28 ocoto-
bre, le Prix Blingel, 12.500 fr., 6 partants.
Vqici la suite des résultats de septem
bre 1921 :
Le 11 septembre, à Barbezieux, est ar
rivée seconde, dans le Military, 1.600 fr.,
Sainte-Garadine, 9 ans, par 8aint-Cara-
dec et Aiaboma, par Chêne-Royal, née
chez M. GaJiase, à Du*se, qui reçoit 80 fr.
do prime.
L ~
été
Ex-
baron de Curzay, à Montech (H.-G. ), qui
reçoit 100 fr. de prime.
À Vic-Bigorre, le Prix des Angloa (50
pour 100 d’arabe), 1.070 fr., a été gagné
par Beûine, 3 ans, par Djebel et Aubergi
ne, par Rominder, née chez M, J. La-
croutz, de Lucgarier, qui reçoit 70 fr. de
prime
Le prix dos Anglos (25 % d’arabe),
3.000 fr., 3 partants, a été gagné par Fa-
ro, 3 ans, par Démon et Flora, par Barek
Allah, né ehe* M H. Labbé, à St-Crkiq-
Villeneuve, qui reçoit 300 fr- de prime,
Le Prix des demi-sang
fcians-Cuiotte U, 3 ans, par Maestro et
Guenille (gagnante de il uuo fr. en plat),
par Sourire (demi-sang) et Miranda ip.
s, a,-ar, et propre sœur des étalon» natio
naux Mieieu et Mariua) issue de Frisme,
né olie* Mme Vve Jeaii-Mareelin Planté,
h Artiguelouve, qui reçoit 850 fr, — ilst
arrivé troisième, tâalem, 8 «ns, par Mo
teur (ltoyal Dream) et l’Ami-Querrière.
par Espoir-Charmant, (Chine,Royal), né
chez M. J. Ciuassui, à Bnuuioulou,
Le steeple, 8 000 fr., 3 partant», a été
gagné par Croix d’Arrion, 4 ans, par Ex-
Voto et C>oix-du-Prince. Bon nais*eur re
çoit 200 fr. de prime.
Le Steeple Régional, 2.500 fr., 3 par
tants, a été gagné par Folie, 5 ans, par
Presto et Félicienne, par Ex-Voto, née
chez le curé de Beuste.
A Illiers, ie Steeple, 2.500 fr., 2 par
tants, a été gagné par Viginex, 5 ans, par
Ex-Voto et Virgiuud, né chez M. Maurice
Blanchy, à Bordeaux, qui reçoit 250 fr.
A Libourne, est arrivé Bccond dans le
Prix Le Dauphiné, 2.000 fr., 4 partants,
Vengeur II, 3 ans, par Démon et Ven
geance, par Sobérano, né chez M. Dulau.
A Aucn, le Cross, 3.000 fr., 5 partants,
a été gagné par Nous-les-Aurons, 5 ans,
par Prisme et A-Tire-d’Ailes, par Fils-de
l’Air, né chez MM. Ch. de Salverte et
Toulet, près de l’hippodrome de Pau, qui
reçoivent 150 fr de prime. — Est arrivée
seconde, Rosette, 4 ans, par Vélox et Dé
sirée, par Perchoir, née chez M. Derboy,
à Arberats, qui reçoit 100 fr. de prime. —
Est arrivée troisième, F’égie, 7 ans, par
Mister-Latapy et Espérée, par Fragoîet-
bo, née chez M. Prat, qui reçoit 75 fr. de
prime.
Le Cross Régional, 2.000 fr., 4 partants,
a été çagné par Rouleuse, 4 ans, par Kai-
four (Sauteur-Prisme). Est arrivée secon
de, La Bordelaise, 6 ans, par Presto et
Burkenia, par Burkeguy, nee chez M. E.
Camentron, à Bordeaux, qui reçoit 300
francs de prime
Le 13 septembre, au Tremblay, est arri
vée seconde, dans le Prix Sterling, 4.000
fr., 7 partants, Duchesse de la Victoire,
3 ans. par Amaut-de-Cœur et Duchesse-
de-la-Feuillée, par Valparaiso, née chez
M. Labatut, à St-Palais.
Dans le Prix Isola^-Beïla, 6.000 fr., 15
oartants, est arrivé troisième, Erdaraz.
•3 an.s, par Amant-de-Cœur et Vraie-Bas-
ouaise, par The Condor, né à Saldi-
Chourry.
Le 14 septembre, en Belgique, à Dil-
beck. est arrivée seconde, dans un prix à
vendre, 2 500 fr, 7 partants, Détresse-
Boche, 5 ans. par .Acadir et Déna, par
Boudoir, née à Saldi-Ohourry.
Le 18, à Oroendaël, dans un autre prix
à vendre, 5.000 fr , 6 partants, est arrivée
seconde, T.azarine. t ans, par Ex-Voto et
T,a Lune, par Codoman, née chez M. A.
de Taillac, à Nousty.
l'Anglo-Arabe.
CONCOURS DU CHEVAL DE GUERRE
FRANÇAIS
En cette fin octobre 1921, MM. 1© comte
d’Ideviile, Jean Stern et Christian, de Ca-
theu, commissaires de la Société d’En
couragement à l’élevage du cheval de
guerre, ont pris la décision suivante :
Considérant que le cheval Vainqueur,
par Monterotondo et Lunette a été en
gagé par M Bayron, mandataire de M.
ie vicomte de Curel, en 1920 à Saumur ;
en 1921 à Pau, concours ouvert à tous che
vaux de pur sang ou demi-sang arabe ou
anglo-arabe à 25 % de sang arabe, et im
plicitement. par une situation do fait
constante depuis plusieurs années, aux
chevaux du Limousin qui, sans avoir 25 %
de sang arabe, comptent un auteur de
pur sang anglo-arabe dans leurs six ascen
dants cfiirects ;
Considérant que la responsabilité de la
qualification d’un cheval incombe à son
propriétaire, en concours comme en cour-
scs ;
Attendu que lea réclamation* de con
current* ont été déposées régulièrement
entre nos main* et qu’une enquête s'im
posait et que nou» l’avons faite ;
Considérant qu’il résulte de* pièces
et document* aoumi» aux commissaire*
que les papiers du cheval Vainqueur, ap
partenant a M. do Curel, comportent une
déclaration inexacte, il y a lieu de distan-
cor le cheval Vainqueur dans tous les con
cours soumis au reglement de la Société
du cheval de guerre, auxquels sa qualifi
cation de cheval limousin anglo-arabe lui
aurait conféré le droit de participer, et
où il a obtenu des primes et de procéder
à un classement nouveau de ces différen
tes épreuves :
Pour ces motifs :
Distancent le cheva’ Vainqueur dans les
concours suivants :
1° Saumur en 1920.
2° Pau ©n 1921.
3° Limoges en 1921
4* Saumur er. 1921.
Disent que M. de Curel, son proprié
taire, ayant à tort encaissé les primes,
devra les restituer à la Société qui en ré
partira 1© montant aux ayants-droit :
Pour Saumur en 1920, c’est Inconnue,
par Inops (Prisme), qui passe 10* au lieu
et p 1 ace de Vainqueur. 300 fr. k M. Hey-
rand, à Limoges, 100 fr. au naisseur.
La 11* prime, 400 fr.. revient à Reinc-
O’ga. par Virtuose (Burkeguy) 300 fr. au
U*u 4’ua* K*nti*a à M. 1* **«it* 4* M*-
wmat de Lille, h Tarbee, 1U0 tr, m aaie-
•eur.
Pour Pau «i 1631, c'ost JUiewaie, pur
Argentan et Fripcwm», iMue de Bauioa, à
M. Mu*. Muuruuzaà, d'Auduin», qui tou<
che lue uuo fr. de prix et de prime ou &*i»>
•uur, au lieu du 700 (r.
lk>*etto, par Veiox et Désirée, ieeuo de
Perchoir, 4 M, G Petit, 4 üuudéraa (Üi»
fuiidë), reçut! âge fr, «mit iou fr, k M.
D«rhoy, a Atbérat», au iieu de âO fr,, eu
ikviiiét et 0&u n\ M. Pëkt,
Uwétte. par lithium t»t Relié, lieue rie
AW-umti, h M, LarregaUi, A Pau, Ue d#r=
nter reçoit 8&0 -fr et Su Ir, vont au nai*
st'ur, M, 'Poulet, k Lun»,
Rubis, par liadji 111 et AoWve, issue de
Fanfaron, Menuet, à M 1© vicomte de
Goureuff, à Pau, qui reçoit 1,500 fr. au
lieu do 1.200 fr. Rubis est né chez M. G.
Peyré, à Lussagnct-Luason.
Rivale, par Nibeh et Linotte, issue
d’Avor, à M. J. Larregain, reçoit 1,200 fr.
au liau de 1.000 fr.
Roseraie (précitée), reçoit 600 fr. au
lieu do 500 fr.
A Saumur, Roseraie (précitée), reçoit
800 fr. dont 650 fr. à M. ie capitaine Al-
quier-Bouffar, à qui elle a été vendue
pour 10.000 fr. par son naisseur, M. Mou-
rouzaà, qui reçoit 150 fr. de prime au lieu
de 100 fr.
Rosette (précitée), reçoit 300 fr. dont
60 fr. à M. Derboy (précité) au lieu d’une
mention.
Roseraie (précitée), reçoit 1.600 fr. au
lieu de 1.200 fr. dans l’Epreuve d’Exté-
rieur.
Roseraie remporte également le Cham
pionnat des anglo-arabes au lieu et place
de Vainqueur et fait toucher au capitaine
Aiquier-Bouüard, à Saumur, une somme
de 1.Ü0Q fr. de plus.
C’est donc une somme de 8,900 fr. que
Vainqueur avait indûment perçue. C’est
la jument Roseraie, la superbe fille d’Ar
gentan, à qui revient une grande partie
de cette somme. Vainqueur n’avait pas la
qualification voulue des 25 % d’arabe que
l’on exige pour ce genre de oouoour»,
Monterotondo, le père de Vainqueur, n’a-
vait que 25 % d’aaube, étant fais de En
core et de Miss-Lyon, issue de Prisme et
de Mt4einoise|le-Lucie, par Patricien, H
est né chc» M, J, Turon, à Lucgarier, en
1904, et avait gagné en «on temps 0,186 fr,
en course» plate* et fut acheté par Padroi*
mstration de» haras pour e,o(5o fr, Mi»*
ter-Latapy, du haras de Pau, en station
à PonLmq depuis jooa, e»t le propre frè
re de Monterotondo Sa production est
des meilleure».
L'Angln.Arabe,
~ ——-
Sob Marche?
„ ORTHEZ
Marché du 8 novembre. — Froment,
58 fr. ; Haricots, 120 fr. ; Maïs. 58 fr. ;
Avoine, 30 à 36 fr., le tout l’hectolitre;
Pommes de terre, 70 fr. les 100 kilos ;
Paille, 4 fr. 25 ; Foin, 13 fr. 50, les 50 kil.
Œufs, 7 à 7 fr. 25 la douzaine.
Poulets, 12 à 24 fr. ; Poules, 20 fr ; Din
des, 45 à 55 fr. ; Canards, 15 à 25 fr.,
le tout la paire.
Foies gras, 12 à 14 fr. le kilo.
Veaux, 4 a 4 fr. 50 le kilo.
Porcs, 3.75 à 4.25 le kilo.
Bois: Fagots. 1 fr. 40; Rondin de chê
ne. 28 fr. le mètre.
La plus faible.
Si l’on a toujours célébré le charme de
la femme, l’on a toujours aussi déploré
ia fragilité de son organisme. La femme,
a ce point de vue, moins prvilégiée que
l’homme, est, durant, toute son existence
la proie de malaises, de faiblesses fré
quents. Cela tient à ce que son système
nerveux est beaucoup plus faible que ce
lui de l’homme et à ce que son sang a
plus facilement tendance à s’appauvrir.
Les Pilules Pink répondent donc bien
nour la femme à la nécessité absolue de
remédier dans
les meilleures
conditons, c’est-
à-dire sans ré
actions violen
tes, à cet affai
blissement trop
facile du sang
et des nerfs.
Nombreuses
sont les femmes,
du reste, qui
doivent aux Pi
lules Pink d'a
voir retrouvé
une santé com-
promise, sou-
vent très sérieu-
Clicbé_ Cavaroc). sement, par les
Mlle Adrierino Favre. troubles consé
cutifs a l’amoindrissement du sang et du
système nerveux.
L’exemple de M u * Adrienne Favre, cou
turière, 40, rue Hachais, à Lyon, est, pen
sons-nous, de nature à convaincre les
moins crédule* •
« Pendant plusieurs mois, nous a écrit
Mlle Favre, ma santé m’a donné bien des
soucis. Je souffrais beaucoup de migrai
nes. de maux d’estomac, de points de
côté. Avec cela, je n’avais pas d’appétit,
ie dormais^ mal et me sentais toujours
lasse. Plusieurs de mes amies ayant été
guéries par les Pilules Pink, je me déci
dai à en suivre le traitement. Je tiens à
vous dire que j’en ai éprouvé le plus
grand bien, car je suis aujourd’hui entiè
rement satisfaite de mon état de santé. »‘
Il est reconnu que les Pilules Pink ré
pondent remarquablement aux besoins du
tempérament délicat de la.femme et sont
— des médecins ont fait à ce point de vue
des essais concluants — un remède d’une
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M- et Mme Pradaire et leurs fille* ont iâ
douleur de faire part à leur» amis et pom
naissance* de la perte qu'il» viennent
d’éprouver en la personne de
Madame Rose CAUHAPÊ
leur mère, belle-mère, grftnd’mère et tante
et ie» prient d'n*»i»ter À ses obsèques qui
auront lieu le jeudi 10 novembre, 4 10 h, }
à l'église Bt-Jeeques,
On »e réunira A la maiion mortuaire,
27, ru» Uasiie», k 10 h. 1/4. (Û-048)
CONVOI FUNÈBRE
Mme Paul Courquin, Mme Vve Emile
Courquin, Mme Vve Barrau, les famille»
Courquin, Barrau et Arsaut ont la dou
leur de faire part à leurs amis et connais
sances de la perte cruelle qu’il* viennent
d’éprouver en la personne de
Monsieur Paul COURQUIN
et les prient d’assister à se* obsèques qui
auront lieu le jeudi 10 novembre, en l’é
glise St-Martin, à 10 heures.
On se réunira à la maison mortuaire,
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votre sang est malade
Si votre peau est abîmée et rongée par
de l’herpès, de l’acné, un eczéma, un pso
riasis, si vos jambe* sont lourde» de viv
rioes ou trouées par de» ulcères, si vos
rems vous font mal et que vos articula
tions sont entravée* par le rhumatisme
ou ia goutte, dites-vous bien que la oause
de vos souffrances se trouve uniquement
dans un sang trop épais et vicié par le*
déohet* d’une combustion incomplète.
C’est donc dans le sang et par le sang
qu’il faut retrouver ia santé. Tel a été
l’heureu*© idée de ce malade guéri dont
le précieux témoignage de reconnaissance
mot à nouveau en valeur la haute effica
cité du DEPURATIF RICHELET dési
gné dopui* longtemps à l’attention de
tous pour agir sur la masse sanguine :
* Souffrant depuis longtemps de rhuma^
trimes et d’une mauvaise circulation du
sang, j’en étais réduit à ne plus pouvoir
marcher. Après avoir inutilement tout
essayé, je fis une euro de votre DEPURA
TIF RTCHELET qui, enfin, m’a apporté
ie soulagement et la guérison.
« M.-L. Durand,
chef de manœuvre, chemin de fer
du Sud, 28, rue du 23 Janvier, à
Dijon (Côte-d’Or.) »
Le DEPURATIF RICHELET réveille
la circulation et pousse tous les déchets
vers les voies naturelles. Ainsi purifié et
reconstitué, le sang nourrit plus copieu
sement, l’organisme Les plaies, les bou
tons les plus rebelles s’effacent sans lais
ser 1a moindre trace ; les varices dimi
nuent et les ulcères se ferment, les dou
leurs disparaissent, les genoux et les che
villes desenflent et les mouvements se
font sans effort. L’arthritique retrouve
ensuite la santé et la joie de vivre.
Le flacon ; 8 fr. 75 dans toute» les bon
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rensei^ements sur le traitement, écrire
à L. RICHELET, de Sedan, 68, rua «U
Ralfart, Ba*raan* (B.-P.).
CONSEQUENCES DE L’ASTHME
Quoiqu# peu grave pour la vie, i’asthm*
produit h la longue, quand il e»t négiigé,
de* pomplioation* redoutable» du côté du
eœur, On empêche tout accident, et ou
guérit même complètement en faisant ui
usage régulier de la poudre Lpui» LegrM,
ce merveilleux remède qui a obtenu i»
plus haute récompense à l'Exposition
Universelle de JROQ, Une boite est expé?
diée contre un mandat de 8 fr. 86 (it
compris) adressé à Louis LegrM, ifi
Magenta, a Pari»,
Ogeu-les-Bains
« Je serais enchanté ds vou* voix mener
à bon port cette intéressant© entrepris©.
« Les Eaux d’Ogeu, que vou» avez ©u
la bonne fortune ae si heureusement ex
périmenter et apprécier, méritent l'en
thousiasme reconnaissant qu* voua leur
témoignai.
« Docteur C... »
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