Titre : Journal des débats politiques et littéraires
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1944-02-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 200316 Nombre total de vues : 200316
Description : 22 février 1944 22 février 1944
Description : 1944/02/22 (Numéro 1263). 1944/02/22 (Numéro 1263).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k510881v
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/01/2008
MAMM 22 FEVRIER M44
Pt' ÏMS t5e< ANNEE
Ï FRANC
JOmAL DES DEBATS
POLITIQUES ET LITTÉRAIRES-
Ctermont-Ferrand. le 21 février
V)S)TESBESHAmES
Les maires de la région de
Toulouse étaient reçus avant-
hier par le Maréchal. Le chef de
t'Etat aime à garder le contact
avec les représentants directs
des populations françaises. Des
diverses régions de France, les
magistrats municipaux viennent
tour-à-tour à l'hôtel du Parc
rendre visita à celui qui (l~ieur"
1 expression si ëmouvance d~ la
France glorieuse et d~ ia Fr~a~-e
douloureuse. Ce '~ont des visites
.ntu apparat, d jù e~t absent
tout protocole (dont le grand
chef a horreur) et ce sont des
conversations Intimas qui s'é-
changent dans la plus grande
Stmphctté, avec cette cordialité
bien française, qui met les inter-
locuteurs de plain-pied avec
l'illustre soldat, qui fut et qui
reste la fierté de notre pays.
Seul. un grand chef d~Etat, fut-
U prince ou issu du peuple,
peut se permettre cette famt-
ïiarité affectueuse 'denttée de
tout apprêt, du fait même que} t
sa valeur personneite ou celle
de sa race lui confère une
dignité naturelle qui ne pro-
vient pas d'un titre ou d'une
îotMtion dont il a été investi.
Dans ces entretiens, i! n?
s'agit surtout que de ia France,
puisque, pour des Français pré-
occupés du salut de leur pays,
11 n'est pas de sujet plus cap-
tivant ni de cause plus ur-
gente à servir et a défendre
que celle de la France. Si nous
devons espérer, c'est parce que
notre espoir est en nous, ainsi
qu'a dit le Maréchal, et en nous
seuls. Cet espoir est daiio rutre
attachement à notre sol, dans
notre volonté de vivre, dans la
fraternité étroite qui mus tient
tous solidaires et unis. C'est le
Chef qui est le grand rassem-
bleur de cette fraternité et de
cette union. Car, comme il Ie1
disait, on ne peut pas Sei.vJr
la France contre l'unité fran-
çaise. contre l'unité de la mère-
patrie et de toutes, nos patries
lointaines qui. soudées, he doi- j
vent former qu'un seul et même
bloc. r
De là, les devoirs impr~scrip-
tibies du peuple français, qui
n'a pas à exercer dt*s droits
absolus, dans une irt&sponsa-!
Miite totale. en facd des
plus grands malheurs auxquels
avait pu le conduire la gestion
des mauvais bergers qu'il avait
choisis. Ses droits ne peuvent j
dériver que de devoir:} catégo-
riques.
L'expérience n't-eUe pas
démontré que partout ou des
hommes de bonne foi, même
issus de milieux sociaux diffé-
rents, se rencontrent pour une
explication loyale, les maien-
tendus se dissipent nom faire
place & la compréhensijn puis
à restfme, puis & i amitié. C'est!'
encore le chef de l'Etat qui
énonçait ce fait d'expérience.
C'~st pourquoi il. est heurfux~
de s'entretenir avec cou'; ces
édites qui 'lui apportent de tous
les coins du territoire l'écho
des vœux populaires. A côté
de& principes qui doivent cons-
tituer l'armature du moral de
la nation, il ne cesse de s'inté-
resser à tous les problèmes con-
cernant l'agriculture, le tra-
vaii. la famille, et en général
à. toutes les questions protes-
sionnelles et techniques aux-
quelles sont attachés ses inter-
locuteurs du jour.
En recevant les maires que ·
lui présentait 'e préfet régto-
nal de Toulouse, 'e chef de
l'Etat leur exprimait ses féli-
citations pour les services si
utiles qu'ils rendaient à leurs
administrés. & une heure où les j
circonstances malheureuses que i
nous traversons ont aggravé
singulièrement la complexité 1
de leur administration, com-
ptextté que le Maréchal souli-
gnait naguère, en recevant les [
maires de la région lyonnaise. t
Aussi leur exprimait-il sa gra- E
Mtude de leur application et de r
ïcuc conscience dans l'accom- à
plissement de~ Icar devoir, e~ s
de leur fonction a~ourdhui s
t.et fanb aHa*ntértC~i Lapnso!Mne~e
de ia Somme bom~arëée
es} ent!erement déMe
M Par~. M Mvfier. L'tttatt tanwMta de !a Son~tM. L~ tr ~t~n e<<
a«ierMnen<ttavrea do <<*tenu<«fte* ont été Un* eent~tne «tteinta, MM et< hta au~~fM ûnt pu regagner teMr d~ni
cite )ttM'è< avoir re~u dea s~tna.
Let ftufitut ne~ s~ ~&um:twent aet~t'mMtt e/ tt n~athturpu~trent ccft~ que d
Un certtun t<«ttt)r< d< «M)«etM ti
YMttMtt enttomtmajj~et -~iM- tM b~n~M
Un hoepfM *etnn Me ttt~tftt. t.«n
L'eMvahttsement du monde f
par !e! agents soviet!qu«
e ttpatBot
Madrid. 20 Méfier. A !-). seu!~
antiMM&ade en t:olo vi.'nt J Cttvoyer 37 nouveaux t'otic-
McMi'itues.
Le journài madrUèRe tnfo.'nM-
cT.'nas t ccrit & ce ~uj~t
St comtne )e demande Stt!ine'. tom I pay~ reeonuatss~tent left différente* ret)~
bhctUM autonomes, et si ch&cune de ces republi-
que* eoi'oytit autant d'tgcnt~ dt~tomt-
tiqucs que t'U R. S. en Cotombie. )e
monde tcrait Utter&Iemcnt submerge put
12.MO dip!onïates Mvietioucs.
L'EPURATtON CONTINUE
EN AFRIQUE DU NORD
Tanger. 20 février. Le eentirai V~iin,
oui était Jusqu'ici in.'ioeeteureenér~tdeii
organM a.emitmtr~t.th de i'AiKerie. cte
ces jour<-e( l'objet'.ie critiques vtohntes
de Impart des communistes Le comité
d'Aider l'a révoque et mis &t On annonce en même temps que le
comité d'épuration, cédant esatemeNtt à
tapreMioade~Soviets.mretetëd.e.tCit
foneHona le préfet Boujard.
APRES LE BOMBARDEMENT DE LONDRES
LES COMMENTAIRES DE LA PRESSE SUÉDOISE
Stoc)sedeStoc)<.hoftn,cotMntentan)t]9~
domter raid &)!~ttMnd sur LotMtMS,
(tec!m'<'qut'ceUH attaque est co)t
sidft'éef'~mmeiaLptuafDttetftji
ait été effectuée depuis deux [01~.
Le correspondant en Grande H)'c-
tagne du Uagcns KyheKt' <, de-
eiareà.cesujet:
LM.dommtxcs ~'étendent toute ]*
vlUc et t se* ttubour~s. Ij'iu!ens:te et !«
tesu~Ma fie l'fumque
L'ACHARNEMENT DES AVtATEURS ANGLO-AMERtCA!NS
SUR LES RUINES DU MONASTERE DU MONT CASSIN
Mi)an. M février. Dans uoe
interview ac~ot'ctee à l'a~eace St~-
îmu, ]o KevHfp~d Pfre Graxi~st.
bcnédMtin am M<~nt Cassin, &né des (Mi'aUs &aisi.ssantt; ~jr ie
bctmttardwnent du niouas)"'rc par
]~s A))gto.menciHia.
Je pM; o~trmer,9~t yt' at'a<< aMCf/tt ~ott~t ~t'f/)d daMtf MOH~.f/ff~ ft (tKt't;-
tt.* <«.0'~ c/7(:i.ff'L t<'aMC«f)e <')r;ë.
/)' Ct)< ttM ~onf~o'dcmct.! ~ttt
e~C'tm tOUtC ~"tt <«<;~Mt7)c<' t<« j /'f<'ftf)'. 7,~i. fc!e-
~r<'i: fc';<«x dM ~(jrn~t~ <~ <"<
< Putj?ofo"'c oa~ r< 'tt~rMtft'i
m;i.!t f/Mc t't«t~it'se <'OM)p'!<«eH<
/'('ffMte Mc<'[<
LÏRE AUJOURD'HUI
Jf
ttoyer.
M«r
~.R.
/.& B7AMaurice v:U)et.
f.<* p~emfer f/ teMT' ~««mo'~ROM- (j. <]e KMrff
difficile, de maire. <: Vous fai-
tes le bien sans effort, dit -il.
Ainsi vous êtes très~ près de
moi, puisque je songe toujours
à ceu~ qui peinent, à leurs
souffrances qui me meurtris-
sent moi-menK. :t
SUR LES DIVERS FRONTS
Les Muets atta~ent entre !e Pripet et la Béresïna
MAIS ILS SONT REPOUSSES APRÈS DE DURS COMBATS
Grand quartier génial du Fuh-
ret-, "0 ft-vrief. COMf)~n<~toutcomt))
AM M«< de Kri*o< RM. unt termaOtn
«Hemtnxt* < )WM X* t(enM MoetitXtm,
t'Mt emtMrtt d< n«mbrBus'~t«nhtt un< brèch' «u frext. O* part
A )'Mt mit ont ttt ttriiM aprèt <<* *Kt)ent< Mnt-
baM ~< th~r* LM- Se*iet< ent perdu
«n~-Ox Mjn<
Entre tt friptt tt )
La bataiMe contre au sud et sud-est d'Apre
ACCALM!E DANS LA REGION DE CASSINO
L*< temttatt M Mettune ont Mntittut hier m«éM)*"e)*"MaM «'*pri)ia MM a«<'< d** ceMtrt-ftttttauM tnntmiM texttnmx
p«r det <:)«~t.
BMdw b)eur tt «* nfit. tMs eh~ectif) tMr )a ttte
d< ftnt
Oant )M Mw< au )are< <<< Mettune, ttt
Mut-mafuH ent eeut* tfett fMoichtt t <é«M *< MO Mfet, jau<
Bombardement de Lef~zf~or ~owotton ongfo-oméncatne
0)UM )M prmtitrtt htttftt Oh) Mtfttf. «et troftttw sur o« ~MtitM ~< ctMtft t«
<'A)tem«sm. U« i:fan(t ntmttrt
LA PERCÉE DE L'ÉTAU SOVIÉTIQUE D'ENCERCLEMENT
A L'OUEST DE TCHERKASSY
D'axée po)!. !c haut coHtmOK~e-
;M ~«bt'< (CX (<<«f~ CtXifftf)~ .wf t<)' ~beM~f~t < tMtiott tt~tfmaM~te encerctfe à
t't)M''t~ th; 7'c~e~a~~t/, it~cntfaM
(fMi L** «i~Xiem titxrtM ent ftjoint te
BrM dM tfOMt
de<dâfentif hée*iaoe. I" troutite de l'armée
tt* teff* et «« Wttt«n.S.S OMomandtM
f)''f )* ~enëfitt «'ftrt(
AHema.n-d.5 sont en mesure de dëc!~n dM t Aitts puisa~nts contre 1~ Mpi~aic
btnamn~que.
De sort côt~. le j.ourn~ < Svens-
kHLUagbiadet'.ect'it.:
Ce fut uae nu~t t~t'rlfi&nte pour !e&
ha~mni~ de Londres. Utie Y~rit~ttie ptute
de bombas s'est t~aH.Lu& ~uï' t* vîttc e~
d*s incctitdiM très et~udus se son!, dé
ot&r'*s.
A LondfM. an s'attend ~r~c't
& de KonveUe~ Mm~tM~ eHcore ptua v~o-
Icn~es.
't'M'<'C
'va \Il' te cauve·et et trn l r :f·~c
tf'' ~.t K<'«f'0)'tpt~ee o~~t<<)U~fffterc M't'<«t.; ~{Mi~t('n(!W'ti; {{(;
~<<'f'e~.i('{pt;~t('.cont'mMf' tf'tttrcif't.
MX DES ~MR!STES ARRETES CAMS LA BAME
? LYM SOKT COMAMMES A. MORT ET EXÈCRES
t.yon.aon'-n'K'r. –Les terroriste-:
arrêté! hier itVencia et a Eeutty. dan*
ta bantteue tyenna)~. ont été (mmé-
dfxtement déférés dt~ant ta cour mar-
Ottt française. Tous ent reconnu
<tiensterrertste~ et ttu't)! «notent par-
ticipé:) de nombreux *tttntetS)t main
~rntée.
ENDOMOGME,
t-A PtU-tCE FAtT ECHOUER
MME TEMTATWE OEMLEVEMEMT
Pertgu'eux. 20 ievrier. Quatre terro-
ristes venus en ~tomobit? ttf S*r~td*M
ï*mtentton d'eciever à son tïomiciïe, rue )
Gamhe'tt. M Tt.ouroa. tn~ustriet. ont
<~é cmpech<-s de meure ? exceution teur
dessein t ).t :,uit<: de l'interfention des
forces de g'-nd~rnerie~t de police,
Des cout)ii de feu ont cte échinées.).
Tro«: dM b~ndUt! ent pris )~ fuite, ~ban-
doancmtîevehtcuîo~
–r
M~tt ra)<}te)«t ehaneement dOtrex~
.bf~pMte.' ·
m!.teotM)UtH
Pt' ÏMS t5e< ANNEE
Ï FRANC
JOmAL DES DEBATS
POLITIQUES ET LITTÉRAIRES-
Ctermont-Ferrand. le 21 février
V)S)TESBESHAmES
Les maires de la région de
Toulouse étaient reçus avant-
hier par le Maréchal. Le chef de
t'Etat aime à garder le contact
avec les représentants directs
des populations françaises. Des
diverses régions de France, les
magistrats municipaux viennent
tour-à-tour à l'hôtel du Parc
rendre visita à celui qui (l~ieur"
1 expression si ëmouvance d~ la
France glorieuse et d~ ia Fr~a~-e
douloureuse. Ce '~ont des visites
.ntu apparat, d jù e~t absent
tout protocole (dont le grand
chef a horreur) et ce sont des
conversations Intimas qui s'é-
changent dans la plus grande
Stmphctté, avec cette cordialité
bien française, qui met les inter-
locuteurs de plain-pied avec
l'illustre soldat, qui fut et qui
reste la fierté de notre pays.
Seul. un grand chef d~Etat, fut-
U prince ou issu du peuple,
peut se permettre cette famt-
ïiarité affectueuse 'denttée de
tout apprêt, du fait même que} t
sa valeur personneite ou celle
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dignité naturelle qui ne pro-
vient pas d'un titre ou d'une
îotMtion dont il a été investi.
Dans ces entretiens, i! n?
s'agit surtout que de ia France,
puisque, pour des Français pré-
occupés du salut de leur pays,
11 n'est pas de sujet plus cap-
tivant ni de cause plus ur-
gente à servir et a défendre
que celle de la France. Si nous
devons espérer, c'est parce que
notre espoir est en nous, ainsi
qu'a dit le Maréchal, et en nous
seuls. Cet espoir est daiio rutre
attachement à notre sol, dans
notre volonté de vivre, dans la
fraternité étroite qui mus tient
tous solidaires et unis. C'est le
Chef qui est le grand rassem-
bleur de cette fraternité et de
cette union. Car, comme il Ie1
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la France contre l'unité fran-
çaise. contre l'unité de la mère-
patrie et de toutes, nos patries
lointaines qui. soudées, he doi- j
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De là, les devoirs impr~scrip-
tibies du peuple français, qui
n'a pas à exercer dt*s droits
absolus, dans une irt&sponsa-!
Miite totale. en facd des
plus grands malheurs auxquels
avait pu le conduire la gestion
des mauvais bergers qu'il avait
choisis. Ses droits ne peuvent j
dériver que de devoir:} catégo-
riques.
L'expérience n't-eUe pas
démontré que partout ou des
hommes de bonne foi, même
issus de milieux sociaux diffé-
rents, se rencontrent pour une
explication loyale, les maien-
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encore le chef de l'Etat qui
énonçait ce fait d'expérience.
C'~st pourquoi il. est heurfux~
de s'entretenir avec cou'; ces
édites qui 'lui apportent de tous
les coins du territoire l'écho
des vœux populaires. A côté
de& principes qui doivent cons-
tituer l'armature du moral de
la nation, il ne cesse de s'inté-
resser à tous les problèmes con-
cernant l'agriculture, le tra-
vaii. la famille, et en général
à. toutes les questions protes-
sionnelles et techniques aux-
quelles sont attachés ses inter-
locuteurs du jour.
En recevant les maires que ·
lui présentait 'e préfet régto-
nal de Toulouse, 'e chef de
l'Etat leur exprimait ses féli-
citations pour les services si
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administrés. & une heure où les j
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singulièrement la complexité 1
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gnait naguère, en recevant les [
maires de la région lyonnaise. t
Aussi leur exprimait-il sa gra- E
Mtude de leur application et de r
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M Par~. M Mvfier. L'tttatt
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Madrid. 20 Méfier. A !-). seu!~
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Tanger. 20 février. Le eentirai V~iin,
oui était Jusqu'ici in.'ioeeteureenér~tdeii
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ces jour<-e( l'objet'.ie critiques vtohntes
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APRES LE BOMBARDEMENT DE LONDRES
LES COMMENTAIRES DE LA PRESSE SUÉDOISE
Stoc)
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L'ACHARNEMENT DES AVtATEURS ANGLO-AMERtCA!NS
SUR LES RUINES DU MONASTERE DU MONT CASSIN
Mi)an. M février. Dans uoe
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Je pM; o~trmer,
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LÏRE AUJOURD'HUI
Jf
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M«r
~.R.
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Ainsi vous êtes très~ près de
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souffrances qui me meurtris-
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SUR LES DIVERS FRONTS
Les Muets atta~ent entre !e Pripet et la Béresïna
MAIS ILS SONT REPOUSSES APRÈS DE DURS COMBATS
Grand quartier génial du Fuh-
ret-, "0 ft-vrief. COMf)~n<~toutcomt))
AM M«< de Kri*o< RM. unt termaOtn
«Hemtnxt* < )WM X* t(enM MoetitXtm,
t'Mt emtMrtt d< n«mbrBus'~
A )'Mt mit ont ttt ttriiM aprèt <<* *Kt)ent< Mnt-
baM ~< th~r* LM- Se*iet< ent perdu
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Entre tt friptt tt )
La bataiMe contre au sud et sud-est d'Apre
ACCALM!E DANS LA REGION DE CASSINO
L*< temttatt M
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BM
d< ftnt
Oant )M Mw< au )are< <<< Mettune, ttt
Mut-mafuH ent eeut* tfett fMoichtt t
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0)UM )M prmtitrtt htttftt Oh) M
<'A)tem«sm. U« i:fan(t ntmttrt
LA PERCÉE DE L'ÉTAU SOVIÉTIQUE D'ENCERCLEMENT
A L'OUEST DE TCHERKASSY
D'axée po)!. !c haut coHtmOK~e-
;M
t't)M''t~ th; 7'c~e~a~~t/, it~cntfaM
(fMi
BrM dM tfOMt
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tt* teff* et «« Wttt«n.S.S OMomandtM
f)''f )* ~enëfitt «'ftrt(
AHema.n-d.5 sont en mesure de dëc!~n
btnamn~que.
De sort côt~. le j.ourn~ < Svens-
kHLUagbiadet'.ect'it.:
Ce fut uae nu~t t~t'rlfi&nte pour !e&
ha~mni~ de Londres. Utie Y~rit~ttie ptute
de bombas s'est t~aH.Lu& ~uï' t* vîttc e~
d*s incctitdiM très et~udus se son!, dé
ot&r'*s.
A LondfM. an s'attend ~r~c't
& de KonveUe~ Mm~tM~ eHcore ptua v~o-
Icn~es.
't'M'<'C
'va \Il' te cauve·et et trn l r :f·~c
tf'' ~.t
~<<'f'e~.i('{pt;~t('.
MX DES ~MR!STES ARRETES CAMS LA BAME
? LYM SOKT COMAMMES A. MORT ET EXÈCRES
t.yon.aon'-n'K'r. –Les terroriste-:
arrêté! hier itVencia et a Eeutty. dan*
ta bantteue tyenna)~. ont été (mmé-
dfxtement déférés dt~ant ta cour mar-
Ottt française. Tous ent reconnu
<tiensterrertste~ et ttu't)! «notent par-
ticipé:) de nombreux *tttntetS)t main
~rntée.
ENDOMOGME,
t-A PtU-tCE FAtT ECHOUER
MME TEMTATWE OEMLEVEMEMT
Pertgu'eux. 20 ievrier. Quatre terro-
ristes venus en ~tomobit? ttf S*r~td*M
ï*mtentton d'eciever à son tïomiciïe, rue )
Gamhe'tt. M Tt.ouroa. tn~ustriet. ont
<~é cmpech<-s de meure ? exceution teur
dessein t ).t :,uit<: de l'interfention des
forces de g'-nd~rnerie~t de police,
Des cout)ii de feu ont cte échinées.).
Tro«: dM b~ndUt! ent pris )~ fuite, ~ban-
doancmtîevehtcuîo~
–r
M~tt ra)<}te)
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