Presse et revues
4 pages
Titre : L'Ouest-Éclair
Éditeur : [s.n.] (Rennes)
Date d'édition : 1918-11-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41193642z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 100865 Nombre total de vues : 100865
Description : 19 novembre 1918 19 novembre 1918
Description : 1918/11/19 (Numéro 7049). 1918/11/19 (Numéro 7049).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG14 Collection numérique : BIPFPIG14
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Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque... Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k494193m
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/01/2008
Lt'OuMt-BalAiy
La vie sportive
ISS GRANDS VATCHSS DE FOOTBALL
DOUE DE PARIS LIGUI DE L'OUEST
1 BUT A 1
Ainsi que non» t'avotu annoncé hier, 1a Téunton
QiY&nlaéa dimanche dernier par la Ligue de
1 Ouest a et* un gros sutcè» l'unanimité epl corn,
pltno à Ce sujet la dernière preuve, si besoin
•Malt, nous étant donnée par le confrère de la
Inlm des Anneaux, qui n'a pu cacher son profond
L'équipe de l'Oue&t se présenta handJcapéo par
J'abwnco de Pasoulou. celie de Pari* privée de
PouUaln et lAïudorp qui avaient manqué le train:
«leux i réirrves » «le la I.ljrue de l'Ouest prêtés à
la I.lfrue du Par! y fleurèrent d'ailleurs très lu>no-
rahloment.
l)0s ]v coup d'envoi donné par le Préfet «Tille-
et-Vilaine. Pari» te i>orU> sur lei buts de l'Ouest
où tI se maintjent dangereusement rendant plu-
sieurs minuit. Mais le» « Mario* se reprennent,
remontent eraôuellenient et nous font assister à
de honnes crmili1naljon< qui échouent sur le tan-
dem Muthif'H-RAmy. Cepcntlnnt \inot reprenant
lo contrôle du nnllon. Inné* Mneloura attaque* par
Cirnud-Ilard. mais ce dernier est toujours lioiiclé
nvnnt île pouvoir placer son fameux shoot Toute-
fois. Migrai en possession du hallon fait un dopla-
«vmen <> teii Fur la droite nu milieu du terrain:
Vn«ermt étnnt bom I*. la bail.» arrive a newaquez
(titi F'.TS" à T-indnui'r Ce dernier par un shoot
lilfinire.ini a liattre IXiiipat. utnfi par lo
foleil la joie dos Parisien" et de courte durA?,
rnr l.< but a tbur efyet de stimuler l'Ouest plu-
fleurs descente* «lnnireivMitioi de T>elal.ind'.< ri RI*-
tlfh «ont arrêtées péniblement At riiehère est. fort
il l'ouvrage sur Verlot et Uerreman:
ir Vitryot arMtn notamment trois halles fur coup
fran:. mnis Verlet rendit enfin à «Vrallser ·ur un
wnfjlsrtral lotte.
La mi-temps fut «ifflée tmmi après.
A la re.pH<\ le Jeu continue très vite et l'effort
fourni par les ilenx équine-s est vraiment siipi'Hx.
le balle voynffi» d'un enmn l'antre et les
ïemeiits do Mathieu ont leur relions» ImmWlate
dans ceux de- Stéphane. I.r« l'nri'iens déplacent
onn«i!»mment la ballo, jouant nlulot en l'air, en
i herrhnnt Imposer leur metlimle: le niannue
d'eminrance commence il *i» faire sentir "lin les
blnni's dont la liirru' de demi5 fournit mi tra-
,'ni «-norme. Dans lo ilernicr quart d'heure, Ies
bleu » parviennent dominer plus frani lienien':
la uiiintriple.it/' onVnsIve n'affirme brillante, et
Car.) mare un shoot sur le potenu. Xinot. «Vbar-
ia»ré de Verlet qul s'est trop repli* r*nt nourrir
ta llsnit» <î avants en toute tranquillité, mais Sté-
phane veille au tfiain et rien ne pusse. Au con-
traire. Vaacnu». mi. onnn en de la balle,
trap-nnet ii DelalAtule oui rentr»' au ml Mou <'u ter-
vain. Verlet lance Ristitch et Heremnn. Saucet
nyant bour-lé les arriéres, ratrnt d'un rien le but.
l'ir.coro quelques minutes et c'ar.t la fin.
Pu 1'CI/ football
Ce fut en vérllé du vrai football qui fut produit
la Ligue
ne s'y vrornîje fias, ne quittant pas sa place dans
la nuit tomJiantp. attaChé à la lutte acharnée sur
le terrain.
Iji I..P.F.A. possède une équipe Õe grande va-
Vur: avec Chayriftnes dans lus Ixr.is. bien protégé
par deux bons arriéres, la défense est formidable.
I.a \iftnv inui-mi'-iiaire est de Ixiniie classe sans
t'oint falUlo. Fn attaque, si toute la liîfne est liait-
>w le trio <1<| centre l'est de façon toute .<|>éVascout lui tic l'avoir fait jouer le
niau-h lo Plus (ilfliclk- de *a carrière mais aussi
d'avuir e.\aif«T« la (-Il ciseaux, car
:nv une précision ri*ruarqhabl» et sur les conseil*
de -ou capiiaiiu: a toujours vu la balle l'inter-
ception.
l>nn.s le on*» de la I,.O.F..V. nequévy «nuva des
Filuat'ons difficiles, mais une de ws sorties de la
fwond"' ini-teni|.A faillit coûter un but. T. 'absence
«le l'usmiuu se fil..st-ntii- et de l'avis des
l'arlsli-n.; fut le meilleur «les liarks le lorrain.
il il 1111 invs-«i plus difficiU'nient que îvfatliieu ou
ltiiny Lm trois demis, occupés à un« be^ofrno In
uraw». en raison de 1 incertitude de. laur «le.fnn.se
et «hliKéis d. mai-quor étroitement 1111 Ni', T.nndau8r
et lii-waqnez. no imruivnt pas aussi brillants qu'il
1 iiidinaiiv. Mais on peut detnnnder leurs Impres-
aux Parisiens il on saura qu'ils (̃•̃ii.siilér<>nt
requit*' de la I..O.K..V «omnif «lariKei. no-
tammeni par 11' deux ailiers qui sont de irr.inde
o Ristiich ra prouvé
tes««. la distribution de jeu <*t et la
siboo» torribV. saucet éiant hier irieiUour que Her-
remaa.
CuTl nous foit parmi; de remercier Ici la I..O.
F. do nnus avoir procuré ce beau matrli, dont le
Rpurt. fui v la liaulour do Il Il laissera
si ions ceux qui y ont acslsté 1«' meilleur d»s ^iu
venirs. E.T. F.
^^QnOi»îîl«a«iwr«eîtetlâxtttirj
Dans la Région
La démobilisation dans la marine
lJi-s tnaiiiionani La Mai-inf1 se nréorcupo de
Uienclro dt's mesures en vu" <1" la iK-moliilisa-
tion du i.'«.TSiinnel d'abord, cI, ensuite, des ba-
I! y lieu dr prfvuir lo jour où il sua dtk-i-
«»r- de renvoyé' un certain iiombros d'Iionunes
eeincnt sur les
iuiviri',4 armé.? des mobilisés uar dis hommes
«le Ces mouvements Il(, peuvent sn ffti-
)r qu'un fur et à. înesuro des disponibilités en
jM'isuriricl do remiilai'oinent.
P«iif iMmvolr iMiv iirète le Jour où sera don-
ne l'ordir do dr-mobilisiM-. radinliiistration de
:u va fuir-' |jio.i'r sucei't'sivi'im'nt nu
iti'lianiui.'nn.'Hi, des escadres (Il autres navires
i.endnnt leur rei>vcl dons leur» lovers. aux ser-
,'K'cs à lerio, fronls do mer. arsenaux. tU'pOts.
r-entn's d'aviation, aiir.einerit des bâtiments
Je riiinmcree etc.
Les insniis maritime* dont la urfsence va
levenir n-'cvAsairo r«ur assurer le service de
'a navicnl-ion rotnmprclali; ne pauniloni tar-
1t ii rtrv>
i.adémobi:is]tionde^vi8ille$ classes
Les hommes tles classes 18*8 et 1^80 en sur-
sis sur le territoire de la Il), rétrion doivent
Io Eiivoyt-r par la leurs livrets indivl-
:lue4s it l'Inspci.tton des sursis il Rcniu.»
i" Donner, dans le mûnio envoi, l'itidication
exacte de la localité oit ils comntent fixer leur
résitloiKe après leur libération, de façon que
tHir livret muni des inscriptions nécessaires
ieur soit retourné
3» Joindra dans le cas on 11* se trouvent en
uirsis o plus de 30 kilomètres de cette localité.
ine demande d'ordre de transport fjour s'y
tendre,
ÉPIDÉMIE DE GRIPPE
'Voulez-vous vous préserver de la Grippe 7
SI vous en Êtes ettemt, voulez-vous guérir
Tlte 1
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Salnt-Oouéno. Saint-Brleue. Les 8 flacons
jeure intégrale) franco cont. M. -P. de 18 fr. 60.
M anifestation patriotique
La visite au Grand-Cimetière, organisée di-
manche après-midi, ^ar la municipalité et les
diverse* sociétés du Maria, cour rendre hom-
mage aux tombes des -dals français et al-
liés, a iU' particullèrement imposante.
L'affluence était énorme Toute la ville avait
tenu s'associer a l'accomplissement de ce no-
ble devoir de souvenir et de cratltude envers
ceux qui ont tant contribue h la victoire fina-
le.
La cortège s'était formé dnns l'allée princl-
pale des Jacobins 11 était conduit par la mu-
siquo municipale. une musique militaire amé-
ricaine, et la musique bc'so du camp d'Au-
vours, louant des marches guerrière?.
En tête, avalent pris place M. la préfet de la
Sarthe et M. le maire du Mans, entourés du
conseil municipal et des autorités civiles et
militaires. Venaient ensuite, les président* et
les délégation-' de tou'es IA5 sociétés de la
ville.
MM. les sénateurs et- députés du départe-
ment, retenus pnr leurs devoirs parlementai-
res, s'étaient fait excuser.
Parmi les très nombreuses couronnes, citons
celles offertes pnr M, le préfet et le personnel
de lu Dréfectnre. la municipalité du Mans, le
conseil municipal. In ('• des sapeurs-pompiers.
l'Automobile-CIub de l'Ouest. le comité inter-
ciépartcminial des prisonniers do eueiie, l'en-
trepôt d'effets du Mans, tes cheminots. l'Asso-
ciation Amicale des Anciens élèves du Lycée,
les Médaillés militaires, les Vétérans des ar-
m(es do terre et de mer, la O
du Mans, la Ci. du gaz. le syndicat des Ta-
bacs, le comité des Réfugiés, l'Union des
Chambres syndicale ouvrières de la Sarthe,
etc.
Au cimetière, après avoir salué les tombes,
M. le préfet, M. le maire du Mans et M. Pot-
tier, si'ci'élaire de l'Union des Chambres syn-
dlcat, ouvrières, ont prononcé d'émouvant es
et patriotiques alloctilion«, rnis le covir-^e s>;t
séparé aux accents de la Marseillaise, exécu-
tée par l«s musiques présente?.
OMEN0L-RHIN0
Dans tonte* les bonnes pbarmacla. zitt.it 17. fee
Ambroljo-Tbomas. Parts, contre 6,JS (Impôts compris)
PREVK\TIF CKR'lilS C()\Tlll: A
grippe espagnole
POUR FETER LA VICTOIRE, Organise
par M. le médecin-chef, le dm U'ur Le Mée. un
déjeuner a été offert, en l'honneur de la Vic-
toire aux blessés en traitement il l'annexe de
l'hôpital 1/M
Vn brillant concert a suivi. Y ont nrêté leur
concours et ont été très applaudis. MIIj's Cer-
main MM (iasiiard, Kornet Bazin dVxcul-
lenls artistes nmériciin.s qui ont donné le
Ntnn n/Hinnled bnniT, e* le ténor Dat, oui a
brillamment chanté la Marseillais^.
1^> piano était tenu t«r M. Cliquet, 1" prix
du Conservatoire de Paris. ac.sisti' <\o plusieurs
musiciens .•iinérii-iitiô, aiinahlemeni envoyés
par M. le général Glrnn.
AU THEATRE. Demain soir mercredi, prc-
mier grand gala lyrique la Favorite »,
opéra en diintw actes de Donizetti. avec Mil"
Uerllie Soyer, de l'Opéra MM. Danuélv ci
Castel.
ETA'r CIVIT.. Sahratier: Xéant.
Ortftnp.s jaiiiuin. înnru' «venue T.fnn-
Dollft'IM. '̃̃'• uns; Ah'XiiiMlri! Cliiiinit., ci*llhatalro.
Avenu,' lttil'illui-il. l'.i'i. VI an. SnMno Fnnta!m\
fviniiii- Mnriin. :ivi'iu:n Rulilllant. r.n. "i! ans; (ifor-
K<>s linnscii.jiih: l'iorre niMini-f.iit (('•liliaiaiiv. r.. ru,' Ta-hor.
.M ans; Uenoit Clialzi'. cêlilnitaii'».> me Tasclio-r.
w\ ans: Jiirqurs Diiliiez. oflilintaiiv rue Notr©-l'a-
me. î'i nns; '"Icrto Leinerclor, Jiiarii?. avenue I/on-
BoM6i>. ft«. 4M ans.
Publication,* tir Fernani] Anilië. pro.
PTWkaliv. t.M 'liai T.<'4lrii-nuMiii. <-t Aiitolni'lli- Un-
lanron. s. )1.. 1;.I. quai T.ulru-ltollin: Vimviil linon,
cuntrrniaiti,' la liiMnuf;iiiin<' ilr* taliac. m<- lié
lunKiri'. «t Aili-Hiii' f'ni^sf niivrif-rc aux tnliac.
mi' i!u r.; Antimln f.ay.t. tailleur
d'hanté rue Canxit. et >Iari.' Mailîanl. s. |i..
nu- Sav:^l)leii. 1;fl Isiùore finlller M>llliT, :"i Auvi rs.
l"-llanil'ontli<-iit>. lt(H; (iiistmi I,»|iruiiMontolsi1. S: Aifii'iii1 llu(t»it. Inilrncti'ii! an
Mvrli'ie. Tin» Iv.rti'-Sainti1 Anne, nI; Albert Salaün,
oni'iiloyA «K> chciiiin de Ukv du l'Etat, fi. avenue de
l'onllieuo. il Mar-jiuerile Maillmil. s.. p.. avenue
du Pont do-Fi r, 6: Oilavo Valottc. employé d'iissn-
ninet-i. nu> >ie^ Maillt-t-i. •?. e! Marii' Méiivier,
Imiilnniière. 1. rue Suliit-Vlnri ni: ,Inl«>> Hniiras.
ronimis (U-s |iiistt.-s, il (Aisne), et
Sou'i- <\ni|iliiy6i'Alexandre I-asalle. ninrin. an Mans, et Jeanne Ilnr-
Kun«l, p. p.. à MonUiir (I.'vlri1 Inft'Tleim).
RENTES flAUrnCO
i- riAISSE MOBILIERE, il, B^i* Ca nelnet. Paris
Ecommoy
VOL DE ROIS, VI. Douzard, clmuffournier
aux Quatre-Vents, a déclaré, il la gendarmerie
qu'il lui avait été volé environ in stères de
bois, d'une valeur de 200 francs, au lieu dit,
le tjué-de-Lanne.
Loué
UN « TE DEUM Dimanche, en l'église
de Loué, très bien décorée et ornée de fais-
ceaux de draivcaux, un Te Deuin » a été
chanté, devant une nombreuse assistance,
pour commémorer la victoire de la France et
de ses allies.
♦*♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦
LA FLECHE
UNE ADRESSE. Le Conseil municipal,
dans une réunion extraordinaire, a décidé de
faire parvenir l'adresse suivante au président
du Conseil et au maréchal Kocli
Lu ville de la FUVhc, par la voix de son
Conseil municipal, il l'occasion de la vli-toire
de nos urinées, adresse au gouvernement de
la République et au président du Conseil, mi-
nistre de la guerre, ses plus chaleureuses féli-
citations. et i'll*' prie, le urnnd 1 rryn;rtis Cle-
menceau de vouloir bien transmettre, au ma-
réchal Focli et il nos valeureux soldats, le tri-
but do son admiration et de sn reconnais-
sance. •
♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦
LAVAL
CONCERT Ali KIOSQUE. Hier, des deux
heures et demie, les promenades de Changé
avaient pris un air de fête, et la fcpule se pres-
sait nombreuse aux alentours du kiosque mu-
nicipal pour entendre le concert donn»'' par la
musique russe, avec le concours des clairons
du 124».
A :i h. précises, la « Marseillaise est atta-
quée elle est suivie immédiatement des hym-
lies anglais, américain et belu0- Ces hymnes,
«Voûtés nvec recueillement, sont vivement ap-
plaudis. Puls les différents morcennx figurant
au programme (lequel était affiche dnns le*
environs du kiosque? ont été enlevés avec un
brio remarquable, qui n'a pas étonné les habi-
tué des concerta donnés hebdomadairement
sur lo champ de monrouvre de la caserne
Schneider, r/ar ces artistes de talent.
Disons seulement que cette audition a pro-
voqué parmi la foule sympatnique un enthou-
siasme qui rappelait, Ù s'y méprendre, le con-
cert donne, avant la guerre, 1« Jour de la 'été
nationale, par la musique militaire.
En terminant. remercions la municipalité,
et, surtout M le maire, oui a bien voulu pro-
curer à ses administrés l'occasion d'entendre
ces musiciens, dont le séjour dans notre ville
ne semble pas devoir se prolonger longtemps,
et disons ù leur chef 6minent, M. Fidelman,
que nous garderons bon souvenir des relations
que nous avons entretenues avec lui. L. L.
DANS LES EGLISES. Dans lés églises de
Laval, dos cérémonies ont ou lieu a l'occasion
de la signature de l'armistice et de la suspen-
sion des hostilités. Mais c'est surtout iL la ca-
thédrale. ;i i i,. î/i. ou la cérémonie, présidée
par révoqua, a revêtu le caractère d'une rr.ani-
foslatfon n'iieieiise et nationale. La cathédra-
le était complètement remplie, et beaucoup de
fidèles n'ont :mi pénétrer dans Je vaste édifi-
ce. L'évèqitfi y a prononce un discours élo-
quent, p!ciu de patriotisme, qui Il soulevé
d'enthousiasme la foule qui l'écoutaii.
A L'HOSPICE SAINT.LOUIS, C'était ré-
ioui.'Jsnnce ltiei dimanche fi l'hospico Saint-
Louis A l'occasion r1e la signature de l'armis-
néft i\o son mariage. M. Boi«el. maire et nrf-
sideiit de la Commission administrative des
hospices civils, avait aiouié à l'ordinaire des
vieillards hospitalités, un petit dessert, corn-
piété par une bonne tasse de café avec du
vieux cognac dr 42 nns » affirmait l'un des
bienheureux convives.
Ces bons vieux étalent heureux, et les cris
dans 1rs réfectoires, ordinairement ci naisl-
de vieillards
AU COLLEGE DE JEUNES FILLES. Mlle
Charlotte Civel, surveillante d'externat au col-
lège de jeunes flUes de Lava), e-st nommée
maîtresse primaire nu cours secondaire de
jeunes mies de Chateau-Gontter,
LA GRIPPE
cet immédiatement guérie et enrayée
par l'emploi de la
BOISSON BLANCHE
de l'Abbé MAGNAT
Il'11' dàm /•̃ prmmlmrm mymp-
tânt as, absorba* Quoique» flacon* de e«
précieux romédm, d roua more* guéri.
m* de vente '1 I 22 3 la boîte de C flacon»
(inii.r.trt compris) ( 40 lr. la boite île ij y
DÉPÔT GÉNÉRAL
ri." BBEMONT. 05, JW Mnileiulne, UARBEII.LE.
Vtpôtt P'" Oalulne il Rannei nunct, St-Bri«nc.
ALENCON
POUR LA VICTOIRE
A I ûglise Notre-Dame
qui rem-
plis.saii l'église, que lui chaut*; le '1'c Ocum
d'aitions Ue grâces que la l'ranci; catholique
JJuns le chœur, une délégation l>flj;e avait
pris |»Lace avec son drapi'iiu. M. l'archlpré-
tre LenuMinit-r, de nombreux prêtres et au-
cérémonie, au cours ili- liiqiu.'lle M. l'ahbé
l'iiéi'in, autnùiiicr des (-lurisses, prononça
uno ;iljocuti pleine de ferveur.
iit entendre dans un cantique
de cinou.st.-inco <'t interpréta un Tnntum
iiH<>, avec beaucoup d'ensemble.
A la sortie, les grandes orgues jouèrent la
nrubunronne.
A l'église de
A Monlsorl. on a bien lait Us thu.sos, et la
un caractère parti-
ciiliéicniiMil soli'iinel et iiu|iosani. Avant Pc
7' IH'ttm, M lo Curé Tcsior, dont le dé-
Vducmeni et h- patriotisiiK' ont. et)'' tantap-
ii sa-
luer lui-mOinn, en sa chaire, la Riandiose
victoire de la franco. « Noire pays catholi-
que, a dit l'orateur, ne pouvait pas périr.
Dieu l'a secouru comme autrefois au temps
des Francs et de Joanno. Le jour de l'armis-
tiri1. ihuis un divine fai-
sail les voiles des veuves moins noirs, il
semblait que des li'uions de soldais français,
morts pour leur pays, passaient pour saluer
l'anu» de la [Kiirlc apaiséo.
Aux premieis rangs do la nef, on remar-
quait M.
ro .iméricai.ne américain:1, M. Paul Ilomel,
conseiller général, et plusieurs conseillers
municipaux.
A la préfecture
En sortant de l'église Notre-Dame, la colo-
nie bclgo, drapeau eu tète, est montée il la
Préfecture, ofi M. lo Préfet l'a reçue avec sou
affabilité habituelle. La cour d'honneur fut
LueiitiM envahie par uno fouie curieuse. En
très heureux formes. M. l'abbé Sutor. au
nom de tous les Relue; qui ont été nos botes
M. Des-
mars de son nctlvilé ^énfrouse et charitable.
« Pour s'être penchée avec commisération
?ur sa sœur de combat, la France s'est au..
quis une reconnaissance qui ne faillira ja-
mais.
Eu termes émus, avec celle voix chaude
qui parle tant au cri.'itr, M. le Préfet salua
le drapeau belge iin-iii; devant lui. « Le
peupli» qui, pftit par In superficie ot si j.rrand
pnr l'àmo a contribué dans une si large
part il payer la liberté du monde, a bien
mérité de l'humanité. »
Avant le départ du cortège, les enfants
belges présents chantèrent la Urabuneonnc
présente salua
avec enthousiasme tes deux hymnes natio-
naux, ct acclama M. Desniais et M. l'abbé
Sutor.
Sur la place d'armes
Avant de se disperser, le cortège belge se
rendit sur !a place d'Armes. M. l'abbé Sutor
réunit autour do lui les Flamands, et pro-
iiiuiça, en leur langue, une courte allocution.
La séparation eut lieu aux cris de « Vive la
Belgique I Vivo la Franco Vivent tes poi-
lus 1
En résumé, journée très édifiant? à la-
uelle tous les Alençonnals, sans distinction
de parti ni d'opiniuii, auraient dû prendre
part. Belle pendant la guerre, l'Union sacrée
sera plus admirable encore pendant !n pnix!
♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦
FCBB8
POUR LA VICTOIRE. Une foute nom-
breuse, parmi laquelle plusieurs conseillers
municipaux pt les snciélés d'anciens militai-
res, a assista dimanche après-midi au Te
nvitni chanté en l'église Saint-Germain,
l'occasion de la victoire. M. l'abbé Bunoust,
curé-doyen, a prononce une brève- allocution
de circonstance Mile MaRdeleine Gilles a
loué la Marseillaise l'orcue. ainsi que les
hymnes des nation» alliées.
Dans l'art ici*! précédent, que nous avons
fait paraître dans ce Journal au sujet de ré-
tablissement Nantes d'une Succursale de !a
Compagnie des Muteurs « NATIONAL >
île Paris,
nous avons parlé exclusivement des Moteurs
à 'ST. et à Essence de sa fabrication.
Nous devons ajouter que cette Maison cons-
truit également des GAZOGENES depuis
10 IIP. jusqu'à 1.000 HP.
Ces Gazogènes sont d'une constiuction très
robuste, et offrent des avantages très appré-
clables aux client en raison des idées qui ont
présidé à leur conception.
Le Générateur de Gaz, dans tous les appa-
reils de petites et. de moyennes forces, est
construit entièrement en fonte, ainsi que la
partie inférieure du laveur et la tuyauterie
reliant celui-ci au générateur. Des dispositifs
spéciaux ont été prévus pour lo réchauffage
prénlahle de l'eau et de l'air destinés a l'ali-
mentation du générateur. Le tout a été fait
en vue d'obtenir un rendement calorifique
maximum.
t.e Vaporisateur est également d'une cons-
truction spéciale, destinée u éviter les incon-
vénients que présentent tes Vaporisateurs
type Chaudière.
la Compagnie « NATIONAL » offre ses Gn-
zotrènes rour briller de l'anthracite, du coke
'môme les grézillotis). du charbon ninlgro.
du charbon de bois, des copeaux de bois, d«?
la sciure, des sarments de \\ziw, des grignons
d'olivps. de la tonnée, et d'autres genres de
résidu*.
F.n dehors de ces spécialité*, la Compagnie
NATIONAL est un très gros Importateur
de tubes de Imite* sortes ffer. acier, cuivre,
été ), dp Petit Outillage ct d'aciers spéciaux
pour out'ls. Elle tient un certain stock de ces
marchandise- dnns ses de \ante:, il
lu disposition de la clientèle de cette région.
Adresser toutes tes demandes
la Compagnie des Moteurs « NATION XL •
Kl bi«. Rue Copernic Nantes.
CAKN
AU CONSEIL. MUNICIPAL
Hommage de la eité
aux libérateurs de la Patrie
Au début de la séance, tenue par le conseil
municipal vendredi dern'er, 15 novembre, M.
Perrotte. inaire dans une alWution vibrnnte,
a célébré la Victoire que nous devons, a-t il dit
a « nos héroïques poilus qui ont suppnorté
̃ans faiblesse toutes les fatiguas, toutes lis
misères de (juativ années tassées <1jiii.-> ics
tranchées et sur le.* charnus de bataille, au
maréchal Foch. l'org-an dateur de cette admi-
rable campagne qui a abouti à la défaite com-
plet*) do nos ennemis, et il cet énertrique vieil-
lard de 78 ans, Georges Clemenceau
Et. après avoir rendu hommage il tous nos
vaillants olliés Belges. Anglais, Italiens, Ser-
bi's. Américains, uni tous se sont levés dout
combattre à nos côtés pour la Justice et le
Droit. ot avoir salué avec émotion tous no#
glorieux mort. le maire a proposé au conseil
muuic.ip.'il de prendre la dél'hération .suivan-
te qui a été ratifiée nu mi!iei des app'audisse-
ments unanimes de 'Assamblée
« Le conseil municipal de Caen adresse au
président du Conseil, ministre de la Guerre,
Georges Clemenceau l'oxpression de son ad-
nurution pour l'énergie inlassable qu'il a dé-
ployée dans la conduite de la guerre et ffràco
laquelle n- us tenons enfin la Victoire.
Et, voulant lui exprimer sa
ne, j?e souvenant, d'autre part, que t» Nouvel-
Hôpital de Caen a été inauguré en 1908, fout}
f;i imVidence, décide de donner, à la routo de
Oui.siioliam oui y conduit, le nom de Ave
nue Georges-Clemenceau.
Puis, aur le proposition de M. le Somptler.
le conseil municipal décide, à l'unanimité,
pour témoigner sa reconnaissance il nos bra-
ves allii s,
Pierre et du Théâtre, e'eist -à-dire depuis le
quai Vendeuvn jusqu'il la phee Gam)x?!ta, le
nom do Boulcvaru des Alliés avec les da-
tes 1914-1918.
TA FETE DU ROI ALBERT. Vendredi
dernier, 15 heures, en l'honne ur de lu féto de
S. M. Albert )«r, les élèves de l'école belge,
sous la ronduitc de k-urs directeurs se sont
rendus l'hue de la République, précèdes de
tambours et de drapeaux alliés, et là, au mi-
̃̃,eillnixe. Avant de se retirer, ils ont nous-sé
rnr trois fols le cr de « Vive !a France »,
auquel la foule enthousiaste a répondu par
celui de « Vive lu Belgique
OT-VT-CIVIL. Xuinmnref. Joan Le Févr«,
l»<> nuutt Paa:n Co<>riyf, rue dn Moulin.
tiret*. i:éi'ii>> [^aniln-rton, • uii. n> tl'Oai.ttr^-
huin: (.'iiarlotte Kaii'on. rt-aimo Iy-ié. 30 ans. plan1
Ik-iiR'-Matiiik! OWmtiRo Dubrouil, veuvo lluval.
xi aiw, rue Saint-Jean Aitci'!i> Do^oulos, Iciumo
)tari)'. 33 ans. bouWaix! I.oroy Oorgtes I.«.1 nn-. jarUinitr rt:o «lOuLstr^liatn Marie Fran-
(̃oit. v«;uve Ol!v!<;r, 't' n ii rue
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réduction absolue do ia tumeur retour de la
santé • de! forces, tels sont les avantages
assurés et garantis à tous les hernieux par
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et sans Ressort de A 0LAVIRIE de Parts
Aussi '-utes les personnps atteinte» de her
nies et qui souffrent sons la presston brutale
et insuffisante des bandages il ressort ordl.
nalre; doivent abandonner tout autre mode
de contention et n'avoir recours qu'il cet Inl.
mitable Appareil, le seul sérieux, scientifique
el rraimrit
Bappe'ons que M A OLAVBRII. nctuelle
ment da nnssajre dans notre contrée, recevra
de 9 h ?t t h. A
LA FLtOHE, Mercredi 20 Novembre. Hôtel de
l'Image.
8t-0ALAl8, Jeudi 31. Hôtel du Commerce jus-
qu'à heure).
LE MANS, Vendredi 22 et Dimanche 2i, H6tel
de Par s.
CHATEAU-DU-LOIR, Samedi 33, Hôtel Or/.
mault.
MAMERS, Lundi 25. Hôtel du Cygne.
LAIOLE, Mardi 26. Hôte) de l'A'gle d'Or.
FLRR8, Mercredi ?7. Hôtel du Orae Oh«ne.
ALBNOON leudi W. HÔUI de France.
VIM0UTIIR8, Vendredi 29, Hôtel du Soleil
d'Or 'de midi 5 h.).
DOMFRONT, Samedi dû. Hôtel Treulllard et
de la Poète,
LA FERTE-MACt, Dimanche l" Décembre,
Hôtel du Cheval Noir (lusquà 1 h.).
SABLÉ. Lundi 2. Hôtel Saint.Mart n.
AR'RFNTAN, Mardi H. Hôtel du Cheval Blanc.
0ARENTAN. Meici.di 4, Hôtel du Commerce.
OHIRROURQ. Jeudi Hét'l Moderne.
VALOONBS, Vendredi C. Hôtel du Louvre.
3AINT-LO, ?nmedi T. Hôtel de Normandie.
«RANVILUB, DlmiiTitho Hôtel du Nord.
OOUTAN0£8, Lundi 0, Hôtel doe Trois Rele.
Le « Tracté de la Hernie par A. 0LAVIRIK
et le Livre d'Or des preuves de gué>ison
sont envoyés gratuitement et discrètement sur
demande il. M. A. OLAVHRII, 234. Faubourg
St-Martin PARIS.
CHIRIOURQ
En l'honneur des morts
Grandiose manifestation
Une pieuse et grandiose manifestation, qu)
restera inoubliable Il Cherbourg, s'est déroa
l(s\ dimanche a.près-midi, pour se rendre al
pcleriiiago au monument, des soldats et ma
tins morts pour la Patrie.
Le cortège, précédé d'une musique compo
*ée pour cette cérémonie, s'est formé place d
Château, où toute la population s'était donnj
rendez-vous.
Dans le cortège offlciul, avaient pris placj
de nombreuses délégations portant des neur»
et des couronne-», offertes par les sociétés pa
triotiques. Souvenir lrançais. société Jes mu
till's de la guerre, voterons îles armées dt
terre et de mer, Combattants de 1S7O, Médail
les militaires et coloniaux;, Coniité officiel d/e>
dons il l'orrnée, les élèves du lycée de garçons
les syndicats agricole-! et horticoles de l'airon
dissi-inent.
Des jeunes gens, des joun^s fdies portaienj
des gerbes de fleurs pour tes déposer en son
venir de ceux qui. héroïquement, sont tombe¡
pour la France. Cette profusion de fleurs d«
Cherbourg, pays où l'on cultive peut-être Il
mieux la clirvsantlii'-ine. avait quelque chosi
desnlfiinel; elles attestaient, on eltet. le culU-,
'̃uiuicninu'iit patriotique, de toute une pupula,
Il,11 qui allait prier pour ci ux qui si.-nt mortj
pour li.s jusil's caus.«.s.
Venaient, ensuite, précédées de leurs dra^
peaux, tes sociétés patriotiques d.> prépara
tion ntilitaile. U-* onf:ii!ts ivc'-e< et Jet
.'̃'ilfs. et onftn Uiuie la population.
Pour se rendre au monument des mort
pour la l\itrii\ lo cortège a traversé la vil!s
par le: iu.s Tribiuiiiiix, liambetta. de I9
Fontaine, Frainois-la ieille. placo la Rénu-
liliqno. pince Napoléon pt lu nii- de l'Ongltt
Sur tout lo parciui" la fi>c,l^ encombrait
les trottoirs, et cp ne fui quo ^ifiee il un si»r!
vlcp d'ordre bivn orsani-^é que le cort^iri* oftt<
cii'l tint arriver nu monum m du Chantier.
IV» nombreux discoure fine, t nrnnoncés pal
M f>>in in. avérât, au pom du Souvenir fran.
mis Doré, «résident de la icuno société des
mutilés ̃!<> la nnerr<» Pttrun. nrésident des
vétérans do-t armées do terri» et de mer Luzeli
adjoint au mai'e de ft enfin, pal
Iti viro-arnfral Unuyor, préfet maritime gou-
verneur.
« La \far.-pillniso fut jotv'e par la musiauj
nuis Mme Dii'llav, de la Comédie française,
di-. lama les commets de notre chant nntional.
Vous renonçons ù dé-neindre la grandeurcotlo maniM-t'ition, qui, disons-le encore, res-
•oru iniiuhliuble.
!.t» îv tour du cnrtt-re sV'ectua par la rae
Kmmanuel-Liais. la plnri- llerirv-Gréville. lej
rues Oanibeiui et des Tribunaux,
HEfllF.» nES ^r/»^^FFS anartt.T te a.
Ù 10 Il *.̃> ni Auionrô'hni IY. haute- mer le matin
;t 8 Il, S. !,̃ soir i 8 Il, -.T.
LF-S Maf-
Tuerite- Anne, femme T. inrulpéo dans les
'iiami'uvr-s aliottivis sur la femme
Troude, a été arrêtée et
eeriiii-'1,'» h !.•> d'arrêt.
VOLS. Unrt-; la nuit du 14 au 15. des pou-
V* pt des tanins ont été Volés au préiud'cp da
Mme I.dlné. T.r>, rue Dotn Pedro de Mme CIi'j-
ment. au 67 de la mf-mo rue de Mme Cal-
vissoii. au 77. Du linge a été dérobé en outre
̃liiiis te jimlin do Mme Calvisson, et dans ce-
lui de Mme Litre, rui.> Malakof, 1<>2. La poliu#
i»nqueio.
«♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦
OOUTANOES
l.'X « IF. DEI'M Selon tes prescription."»
di- grâces a été i-élébré dimanche fiprès-midt
dans chacune des «^lisos et chapelles du dio·
lèse. On y a chanté O salularki. Ave, marlk
Stftlu, l'oraison P<« Pontifia et les invoce
tiens deux fols répétées u nos saints natio
naux. le Detim. U> Tantum erpo, enfin 1*
/)c jiniftitiilii four nus soldat* défunt,
MORTS l'Ol 'R LA ynAXCK. Fulnise Ren^
Poullain Marie-Louis, morts dans une ombu
lance Turpin Marcel, j. etit tll.s de M. Man
quez, ancien pharmacien i Contantes, tué. 19
i octobre, d'une Ivalie en jjlein trom, il la pn
s-.1 de Hnuler* (Uelgiqui'K
OBSÈQUES
KEN.VKP. Mlle Uurrno' Fnntain« et sa f.v
niilli» unt la il,- vi.iii- tair, part de la pi'rtr
(|ii'il.i viiiuiftit «1 éprfuivvr au la [<>r»on7W
Uf MiuiMiii>iSi.'ll<.> .it*.N>r. FONTAINE. «JtiéU*.» en sm
ili-niriiro l, rii.< il K-[rv«< (les Macivnient.i
U,' vu us itriecil U>n<•̃>i^:lrr aux cotiToi.
criviro vt catriT'ment (lui auront lit-il li> mcrcmlï
\>i novc-mhii' n> li.>nri'<. in l'élise Saint-Sauveur
On ̃'i» réunira a la mai-ujn inoriualre a 0 h. 3/4,
I/intiuniatii.,n aura lieu au rimetiC-r^ du Xord. te
pr<.s.-nt avis tient l'eu
AVIS DE DÉCÈS
I.WlRAU.r RENNES. Ni q Mmo Clëmot. Ml
fi Henri L;nij{laU. M Eugeno (jliinot. Mllu
li-anni; r.aiiKlaN. M *>r Etli-nm* Ooln»ui»n* ont
la «iijiilpur «.le viiih faire part de ln perta rrutlli
fpi'iN viennent iIi-uioiivit in la de Mon-
sieur Loris leur ni,. fn>re. «ncl^ et
iK-vcii «oW.it .tu îl.v rtxliik-nt il artilli-rl*, hl*««»
à Dormaas. le 1" Juillet et décéd; ChumMr»
le l novembre tais, dans sa m* nnni-o. Prier Dieu
four lui, I.inliumat'on provi.<
C'iMinihéry. le novoinliro !'J!8 T-l- prient aTi* tival
liau de fairppatt.
F'OnTl.Ot'IS. I.#< famille» Dr«clui. B4W «1
Du lui ont la douleur de vous faire part Ue la perta
cruelle uu'clli > vl.-nni-nt d éprouver en la fK>r»>nnn
«le Madame URECIIi: n. itr.NRiFnc DtHII.. dé«'4-
en <» deiiM'iirr. il iV>rtr.oiii.«. !<> 17 nnretnbra
l.us. iluns -.n ."̃o" ann«-> munie «le-; s.icremirnt* d«
rE|fli«.v La cérémonie Telijtl«.u.-e aura lieu en
l'ét'llie île Port I^ui» 1^ mardi 13 norembre. il
LA CiCERrilF..nE-nRETAf!\E. Mnu> Chuln
.Marchant. n&< Ma7ei< t :\1.
o; Mme rre«ot et tour?
faniilKï ont la prototule douleur de faire part d*
la pèTt»? cruelle qui. viennent «W faire on la per
̃sonne «lu Chef de nntaillon l'ntnus MARCHANT
iiTinmaiulnnt U1 chasseurs alniiw. officier de h
Ijt-lihiu illinnnclr. croix tle suerre, Il citation*.
:.1 moli de i>r&-onre Ininterrumpus au front. tombé
a (le ail, i la tel-' de 'on Iwtalllon au
Ma<*agi< ci., la Sanihro. le novembre toi». l«u:
épouv nis. tendre. frC-rn et Cet atl»
paur tenir lieu de faltr-nart.
SERVICE FUNÈBRE
VAXXE.s. Vou» fies prit! d'as*l»t«r au servi*
rcllx'ii>u\ it u! erra c(-Atr{. l« Irudl Ot novembr». a
li.Mii-<. dans Saint-Pntern. pour le fapod
il.' IYuii.' de MaiI.'in.iiHello Adriian; LE GAT.. JXUtV
liilui\te da Fille.4 itc jnus, A la Commu
n aîné de Kermaria. De La part de son p*n». té
mfre, ta seeut et de toute la famille.
REMERCIEMENTS
nOSTRENEN. M. Mme et Nille. My r»m.î>
clent le* personnes qui leur ont témo!irn* de Iv
symMltiie IL l'occasion de la mort de leur flJ» et
frère. Monsieur Jour» ODT.
La vie sportive
ISS GRANDS VATCHSS DE FOOTBALL
DOUE DE PARIS LIGUI DE L'OUEST
1 BUT A 1
Ainsi que non» t'avotu annoncé hier, 1a Téunton
QiY&nlaéa dimanche dernier par la Ligue de
1 Ouest a et* un gros sutcè» l'unanimité epl corn,
pltno à Ce sujet la dernière preuve, si besoin
•Malt, nous étant donnée par le confrère de la
Inlm des Anneaux, qui n'a pu cacher son profond
L'équipe de l'Oue&t se présenta handJcapéo par
J'abwnco de Pasoulou. celie de Pari* privée de
PouUaln et lAïudorp qui avaient manqué le train:
«leux i réirrves » «le la I.ljrue de l'Ouest prêtés à
la I.lfrue du Par! y fleurèrent d'ailleurs très lu>no-
rahloment.
l)0s ]v coup d'envoi donné par le Préfet «Tille-
et-Vilaine. Pari» te i>orU> sur lei buts de l'Ouest
où tI se maintjent dangereusement rendant plu-
sieurs minuit. Mais le» « Mario* se reprennent,
remontent eraôuellenient et nous font assister à
de honnes crmili1naljon< qui échouent sur le tan-
dem Muthif'H-RAmy. Cepcntlnnt \inot reprenant
lo contrôle du nnllon. Inné* Mneloura attaque* par
Cirnud-Ilard. mais ce dernier est toujours lioiiclé
nvnnt île pouvoir placer son fameux shoot Toute-
fois. Migrai en possession du hallon fait un dopla-
«vmen <> teii Fur la droite nu milieu du terrain:
Vn«ermt étnnt bom I*. la bail.» arrive a newaquez
(titi F'.TS" à T-indnui'r Ce dernier par un shoot
lilfinire.ini a liattre IXiiipat. utnfi par lo
foleil la joie dos Parisien" et de courte durA?,
rnr l.< but a tbur efyet de stimuler l'Ouest plu-
fleurs descente* «lnnireivMitioi de T>elal.ind'.< ri RI*-
tlfh «ont arrêtées péniblement At riiehère est. fort
il l'ouvrage sur
ir Vitryot arMtn notamment trois halles fur coup
fran:. mnis Verlet rendit enfin à «Vrallser ·ur un
wnfjlsrtral lotte.
La mi-temps fut «ifflée tmmi après.
A la re.pH<\ le Jeu continue très vite et l'effort
fourni par les ilenx équine-s est vraiment siipi'Hx.
le balle voynffi» d'un enmn l'antre et les
ïemeiits do Mathieu ont leur relions» ImmWlate
dans ceux de- Stéphane. I.r« l'nri'iens déplacent
onn«i!»mment la ballo, jouant nlulot en l'air, en
i herrhnnt Imposer leur metlimle: le niannue
d'eminrance commence il *i» faire sentir "lin les
blnni's dont la liirru' de demi5 fournit mi tra-
,'ni «-norme. Dans lo ilernicr quart d'heure, Ies
bleu » parviennent dominer plus frani lienien':
la uiiintriple.it/' onVnsIve n'affirme brillante, et
Car.) mare un shoot sur le potenu. Xinot. «Vbar-
ia»ré de Verlet qul s'est trop repli* r*nt nourrir
ta llsnit» <î avants en toute tranquillité, mais Sté-
phane veille au tfiain et rien ne pusse. Au con-
traire. Vaacnu». mi. onnn en de la balle,
trap-nnet ii DelalAtule oui rentr»' au ml Mou <'u ter-
vain. Verlet lance Ristitch et Heremnn. Saucet
nyant bour-lé les arriéres, ratrnt d'un rien le but.
l'ir.coro quelques minutes et c'ar.t la fin.
Pu 1'CI/ football
Ce fut en vérllé du vrai football qui fut produit
la Ligue
ne s'y vrornîje fias, ne quittant pas sa place dans
la nuit tomJiantp. attaChé à la lutte acharnée sur
le terrain.
Iji I..P.F.A. possède une équipe Õe grande va-
Vur: avec Chayriftnes dans lus Ixr.is. bien protégé
par deux bons arriéres, la défense est formidable.
I.a \iftnv inui-mi'-iiaire est de Ixiniie classe sans
t'oint falUlo. Fn attaque, si toute la liîfne est liait-
>w le trio <1<| centre l'est de façon toute .<|>é
niau-h lo Plus (ilfliclk- de *a carrière mais aussi
d'avuir e.\aif«T« la (-Il ciseaux, car
:nv une précision ri*ruarqhabl» et sur les conseil*
de -ou capiiaiiu: a toujours vu la balle l'inter-
ception.
l>nn.s le on*» de la I,.O.F..V. nequévy «nuva des
Filuat'ons difficiles, mais une de ws sorties de la
fwond"' ini-teni|.A faillit coûter un but. T. 'absence
«le l'usmiuu se fil..st-ntii- et de l'avis des
l'arlsli-n.; fut le meilleur «les liarks le lorrain.
il il 1111 invs-«i plus difficiU'nient que îvfatliieu ou
ltiiny Lm trois demis, occupés à un« be^ofrno In
uraw». en raison de 1 incertitude de. laur «le.fnn.se
et «hliKéis d. mai-quor étroitement 1111 Ni', T.nndau8r
et lii-waqnez. no imruivnt pas aussi brillants qu'il
1 iiidinaiiv. Mais on peut detnnnder leurs Impres-
aux Parisiens il on saura qu'ils (̃•̃ii.siilér<>nt
requit*' de la I..O.K..V «omnif «lariKei
tammeni par 11' deux ailiers qui sont de irr.inde
tes««. la distribution de jeu <*t et la
siboo» torribV. saucet éiant hier irieiUour que Her-
remaa.
CuTl nous foit parmi; de remercier Ici la I..O.
F. do nnus avoir procuré ce beau matrli, dont le
Rpurt. fui v la liaulour do Il Il laissera
si ions ceux qui y ont acslsté 1«' meilleur d»s ^iu
venirs. E.T. F.
^^QnOi»îîl«a«iwr«eîtetlâxtttirj
Dans la Région
La démobilisation dans la marine
lJi-s tnaiiiionani La Mai-inf1 se nréorcupo de
Uienclro dt's mesures en vu" <1" la iK-moliilisa-
tion du i.'«.TSiinnel d'abord, cI, ensuite, des ba-
I! y lieu dr prfvuir lo jour où il sua dtk-i-
«»r- de renvoyé' un certain iiombros d'Iionunes
iuiviri',4 armé.? des mobilisés uar dis hommes
«le Ces mouvements Il(, peuvent sn ffti-
)r qu'un fur et à. înesuro des disponibilités en
jM'isuriricl do remiilai'oinent.
P«iif iMmvolr iMiv iirète le Jour où sera don-
ne l'ordir do dr-mobilisiM-. radinliiistration de
:u va fuir-' |jio.i'
iti'lianiui.'nn.'Hi, des escadres (Il autres navires
i.endnnt leur rei>vcl dons leur» lovers. aux ser-
,'K'cs à lerio, fronls do mer. arsenaux. tU'pOts.
r-entn's d'aviation, aiir.einerit des bâtiments
Je riiinmcree etc.
Les insniis maritime* dont la urfsence va
levenir n-'cvAsairo r«ur assurer le service de
'a navicnl-ion rotnmprclali; ne pauniloni tar-
1t ii rtrv>
i.adémobi:is]tionde^vi8ille$ classes
Les hommes tles classes 18*8 et 1^80 en sur-
sis sur le territoire de la Il), rétrion doivent
Io Eiivoyt-r par la leurs livrets indivl-
:lue4s it l'Inspci.tton des sursis il Rcniu.»
i" Donner, dans le mûnio envoi, l'itidication
exacte de la localité oit ils comntent fixer leur
résitloiKe après leur libération, de façon que
tHir livret muni des inscriptions nécessaires
ieur soit retourné
3» Joindra dans le cas on 11* se trouvent en
uirsis o plus de 30 kilomètres de cette localité.
ine demande d'ordre de transport fjour s'y
tendre,
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M anifestation patriotique
La visite au Grand-Cimetière, organisée di-
manche après-midi, ^ar la municipalité et les
diverse* sociétés du Maria, cour rendre hom-
mage aux tombes des -dals français et al-
liés, a iU' particullèrement imposante.
L'affluence était énorme Toute la ville avait
tenu s'associer a l'accomplissement de ce no-
ble devoir de souvenir et de cratltude envers
ceux qui ont tant contribue h la victoire fina-
le.
La cortège s'était formé dnns l'allée princl-
pale des Jacobins 11 était conduit par la mu-
siquo municipale. une musique militaire amé-
ricaine, et la musique bc'so du camp d'Au-
vours, louant des marches guerrière?.
En tête, avalent pris place M. la préfet de la
Sarthe et M. le maire du Mans, entourés du
conseil municipal et des autorités civiles et
militaires. Venaient ensuite, les président* et
les délégation-' de tou'es IA5 sociétés de la
ville.
MM. les sénateurs et- députés du départe-
ment, retenus pnr leurs devoirs parlementai-
res, s'étaient fait excuser.
Parmi les très nombreuses couronnes, citons
celles offertes pnr M, le préfet et le personnel
de lu Dréfectnre. la municipalité du Mans, le
conseil municipal. In ('• des sapeurs-pompiers.
l'Automobile-CIub de l'Ouest. le comité inter-
ciépartcminial des prisonniers do eueiie, l'en-
trepôt d'effets du Mans, tes cheminots. l'Asso-
ciation Amicale des Anciens élèves du Lycée,
les Médaillés militaires, les Vétérans des ar-
m(es do terre et de mer, la O
du Mans, la Ci. du gaz. le syndicat des Ta-
bacs, le comité des Réfugiés, l'Union des
Chambres syndicale ouvrières de la Sarthe,
etc.
Au cimetière, après avoir salué les tombes,
M. le préfet, M. le maire du Mans et M. Pot-
tier, si'ci'élaire de l'Union des Chambres syn-
dlcat, ouvrières, ont prononcé d'émouvant es
et patriotiques alloctilion«, rnis le covir-^e s>;t
séparé aux accents de la Marseillaise, exécu-
tée par l«s musiques présente?.
OMEN0L-RHIN0
Dans tonte* les bonnes pbarmacla. zitt.it 17. fee
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grippe espagnole
POUR FETER LA VICTOIRE, Organise
par M. le médecin-chef, le dm U'ur Le Mée. un
déjeuner a été offert, en l'honneur de la Vic-
toire aux blessés en traitement il l'annexe de
l'hôpital 1/M
Vn brillant concert a suivi. Y ont nrêté leur
concours et ont été très applaudis. MIIj's Cer-
main MM (iasiiard, Kornet Bazin dVxcul-
lenls artistes nmériciin.s qui ont donné le
Ntnn n/Hinnled bnniT, e* le ténor Dat, oui a
brillamment chanté la Marseillais^.
1^> piano était tenu t«r M. Cliquet, 1" prix
du Conservatoire de Paris. ac.sisti' <\o plusieurs
musiciens .•iinérii-iitiô, aiinahlemeni envoyés
par M. le général Glrnn.
AU THEATRE. Demain soir mercredi, prc-
mier grand gala lyrique la Favorite »,
opéra en diintw actes de Donizetti. avec Mil"
Uerllie Soyer, de l'Opéra MM. Danuélv ci
Castel.
ETA'r CIVIT.. Sahratier: Xéant.
Ortftnp.s jaiiiuin. înnru' «venue T.fnn-
Dollft'IM. '̃̃'• uns; Ah'XiiiMlri! Cliiiinit., ci*llhatalro.
Avenu,' lttil'illui-il. l'.i'i. VI an. SnMno Fnnta!m\
fviniiii- Mnriin. :ivi'iu:n Rulilllant. r.n. "i! ans; (ifor-
K<>s linnscii.
.M ans; Uenoit Clialzi'. cêlilnitaii'».> me Tasclio-r.
w\ ans: Jiirqurs Diiliiez. oflilintaiiv rue Notr©-l'a-
me. î'i nns; '"Icrto Leinerclor, Jiiarii?. avenue I/on-
BoM6i>. ft«. 4M ans.
Publication,* tir Fernani] Anilië. pro.
PTWkaliv. t.M 'liai T.<'4lrii-nuMiii. <-t Aiitolni'lli- Un-
lanron. s. )1.. 1;.I. quai T.ulru-ltollin: Vimviil linon,
cuntrrniaiti,' la liiMnuf;iiiin<' ilr* taliac. m<- lié
lunKiri'. «t Aili-Hiii' f'ni^sf niivrif-rc aux tnliac.
mi' i!u r.; Antimln f.ay.t. tailleur
d'hanté rue Canxit. et >Iari.' Mailîanl. s. |i..
nu- Sav:^l)leii. 1;fl Isiùore finlller M>llliT, :"i Auvi rs.
l"-llani
M
oni'iiloyA «K> chciiiin de Ukv du l'Etat, fi. avenue de
l'onllieuo. il Mar-jiuerile Maillmil. s.. p.. avenue
du Pont do-Fi r, 6: Oilavo Valottc. employé d'iissn-
ninet-i. nu> >ie^ Maillt-t-i. •?. e! Marii' Méiivier,
Imiilnniière. 1. rue Suliit-Vlnri ni: ,Inl«>> Hniiras.
ronimis (U-s |iiistt.-s, il (Aisne), et
Sou'i- <\ni|iliiy6i'
Kun«l, p. p.. à MonUiir (I.'vlri1 Inft'Tleim).
RENTES flAUrnCO
i- riAISSE MOBILIERE, il, B^i* Ca nelnet. Paris
Ecommoy
VOL DE ROIS, VI. Douzard, clmuffournier
aux Quatre-Vents, a déclaré, il la gendarmerie
qu'il lui avait été volé environ in stères de
bois, d'une valeur de 200 francs, au lieu dit,
le tjué-de-Lanne.
Loué
UN « TE DEUM Dimanche, en l'église
de Loué, très bien décorée et ornée de fais-
ceaux de draivcaux, un Te Deuin » a été
chanté, devant une nombreuse assistance,
pour commémorer la victoire de la France et
de ses allies.
♦*♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦
LA FLECHE
UNE ADRESSE. Le Conseil municipal,
dans une réunion extraordinaire, a décidé de
faire parvenir l'adresse suivante au président
du Conseil et au maréchal Kocli
Lu ville de la FUVhc, par la voix de son
Conseil municipal, il l'occasion de la vli-toire
de nos urinées, adresse au gouvernement de
la République et au président du Conseil, mi-
nistre de la guerre, ses plus chaleureuses féli-
citations. et i'll*' prie, le urnnd 1 rryn;rtis Cle-
menceau de vouloir bien transmettre, au ma-
réchal Focli et il nos valeureux soldats, le tri-
but do son admiration et de sn reconnais-
sance. •
♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦
LAVAL
CONCERT Ali KIOSQUE. Hier, des deux
heures et demie, les promenades de Changé
avaient pris un air de fête, et la fcpule se pres-
sait nombreuse aux alentours du kiosque mu-
nicipal pour entendre le concert donn»'' par la
musique russe, avec le concours des clairons
du 124».
A :i h. précises, la « Marseillaise est atta-
quée elle est suivie immédiatement des hym-
lies anglais, américain et belu0- Ces hymnes,
«Voûtés nvec recueillement, sont vivement ap-
plaudis. Puls les différents morcennx figurant
au programme (lequel était affiche dnns le*
environs du kiosque? ont été enlevés avec un
brio remarquable, qui n'a pas étonné les habi-
tué des concerta donnés hebdomadairement
sur lo champ de monrouvre de la caserne
Schneider, r/ar ces artistes de talent.
Disons seulement que cette audition a pro-
voqué parmi la foule sympatnique un enthou-
siasme qui rappelait, Ù s'y méprendre, le con-
cert donne, avant la guerre, 1« Jour de la 'été
nationale, par la musique militaire.
En terminant. remercions la municipalité,
et, surtout M le maire, oui a bien voulu pro-
curer à ses administrés l'occasion d'entendre
ces musiciens, dont le séjour dans notre ville
ne semble pas devoir se prolonger longtemps,
et disons ù leur chef 6minent, M. Fidelman,
que nous garderons bon souvenir des relations
que nous avons entretenues avec lui. L. L.
DANS LES EGLISES. Dans lés églises de
Laval, dos cérémonies ont ou lieu a l'occasion
de la signature de l'armistice et de la suspen-
sion des hostilités. Mais c'est surtout iL la ca-
thédrale. ;i i i,. î/i. ou la cérémonie, présidée
par révoqua, a revêtu le caractère d'une rr.ani-
foslatfon n'iieieiise et nationale. La cathédra-
le était complètement remplie, et beaucoup de
fidèles n'ont :mi pénétrer dans Je vaste édifi-
ce. L'évèqitfi y a prononce un discours élo-
quent, p!ciu de patriotisme, qui Il soulevé
d'enthousiasme la foule qui l'écoutaii.
A L'HOSPICE SAINT.LOUIS, C'était ré-
ioui.'Jsnnce ltiei dimanche fi l'hospico Saint-
Louis A l'occasion r1e la signature de l'armis-
néft i\o son mariage. M. Boi«el. maire et nrf-
sideiit de la Commission administrative des
hospices civils, avait aiouié à l'ordinaire des
vieillards hospitalités, un petit dessert, corn-
piété par une bonne tasse de café avec du
vieux cognac dr 42 nns » affirmait l'un des
bienheureux convives.
Ces bons vieux étalent heureux, et les cris
dans 1rs réfectoires, ordinairement ci naisl-
de vieillards
AU COLLEGE DE JEUNES FILLES. Mlle
Charlotte Civel, surveillante d'externat au col-
lège de jeunes flUes de Lava), e-st nommée
maîtresse primaire nu cours secondaire de
jeunes mies de Chateau-Gontter,
LA GRIPPE
cet immédiatement guérie et enrayée
par l'emploi de la
BOISSON BLANCHE
de l'Abbé MAGNAT
Il'11' dàm /•̃ prmmlmrm mymp-
tânt as, absorba* Quoique» flacon* de e«
précieux romédm, d roua more* guéri.
m* de vente '1 I 22 3 la boîte de C flacon»
(inii.r.trt compris) ( 40 lr. la boite île ij y
DÉPÔT GÉNÉRAL
ri." BBEMONT. 05, JW Mnileiulne, UARBEII.LE.
Vtpôtt P'" Oalulne il Rannei nunct, St-Bri«nc.
ALENCON
POUR LA VICTOIRE
A I ûglise Notre-Dame
qui rem-
plis.saii l'église, que lui chaut*; le '1'c Ocum
d'aitions Ue grâces que la l'ranci; catholique
JJuns le chœur, une délégation l>flj;e avait
pris |»Lace avec son drapi'iiu. M. l'archlpré-
tre LenuMinit-r, de nombreux prêtres et au-
cérémonie, au cours ili- liiqiu.'lle M. l'ahbé
l'iiéi'in, autnùiiicr des (-lurisses, prononça
uno ;iljocuti
iit entendre dans un cantique
de cinou.st.-inco <'t interpréta un Tnntum
iiH<>, avec beaucoup d'ensemble.
A la sortie, les grandes orgues jouèrent la
nrubunronne.
A l'église de
A Monlsorl. on a bien lait Us thu.sos, et la
un caractère parti-
ciiliéicniiMil soli'iinel et iiu|iosani. Avant Pc
7' IH'ttm, M lo Curé Tcsior, dont le dé-
Vducmeni et h- patriotisiiK' ont. et)'' tantap-
ii sa-
luer lui-mOinn, en sa chaire, la Riandiose
victoire de la franco. « Noire pays catholi-
que, a dit l'orateur, ne pouvait pas périr.
Dieu l'a secouru comme autrefois au temps
des Francs et de Joanno. Le jour de l'armis-
tiri1. ihuis un divine fai-
sail les voiles des veuves moins noirs, il
semblait que des li'uions de soldais français,
morts pour leur pays, passaient pour saluer
l'anu» de la [Kiirlc apaiséo.
Aux premieis rangs do la nef, on remar-
quait M.
ro .iméricai.ne américain:1, M. Paul Ilomel,
conseiller général, et plusieurs conseillers
municipaux.
A la préfecture
En sortant de l'église Notre-Dame, la colo-
nie bclgo, drapeau eu tète, est montée il la
Préfecture, ofi M. lo Préfet l'a reçue avec sou
affabilité habituelle. La cour d'honneur fut
LueiitiM envahie par uno fouie curieuse. En
très heureux formes. M. l'abbé Sutor. au
nom de tous les Relue; qui ont été nos botes
M. Des-
mars de son nctlvilé ^énfrouse et charitable.
« Pour s'être penchée avec commisération
?ur sa sœur de combat, la France s'est au..
quis une reconnaissance qui ne faillira ja-
mais.
Eu termes émus, avec celle voix chaude
qui parle tant au cri.'itr, M. le Préfet salua
le drapeau belge iin-iii; devant lui. « Le
peupli» qui, pftit par In superficie ot si j.rrand
pnr l'àmo a contribué dans une si large
part il payer la liberté du monde, a bien
mérité de l'humanité. »
Avant le départ du cortège, les enfants
belges présents chantèrent la Urabuneonnc
présente salua
avec enthousiasme tes deux hymnes natio-
naux, ct acclama M. Desniais et M. l'abbé
Sutor.
Sur la place d'armes
Avant de se disperser, le cortège belge se
rendit sur !a place d'Armes. M. l'abbé Sutor
réunit autour do lui les Flamands, et pro-
iiiuiça, en leur langue, une courte allocution.
La séparation eut lieu aux cris de « Vive la
Belgique I Vivo la Franco Vivent tes poi-
lus 1
En résumé, journée très édifiant? à la-
uelle tous les Alençonnals, sans distinction
de parti ni d'opiniuii, auraient dû prendre
part. Belle pendant la guerre, l'Union sacrée
sera plus admirable encore pendant !n pnix!
♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦
FCBB8
POUR LA VICTOIRE. Une foute nom-
breuse, parmi laquelle plusieurs conseillers
municipaux pt les snciélés d'anciens militai-
res, a assista dimanche après-midi au Te
nvitni chanté en l'église Saint-Germain,
l'occasion de la victoire. M. l'abbé Bunoust,
curé-doyen, a prononce une brève- allocution
de circonstance Mile MaRdeleine Gilles a
loué la Marseillaise l'orcue. ainsi que les
hymnes des nation» alliées.
Dans l'art ici*! précédent, que nous avons
fait paraître dans ce Journal au sujet de ré-
tablissement Nantes d'une Succursale de !a
Compagnie des Muteurs « NATIONAL >
île Paris,
nous avons parlé exclusivement des Moteurs
à 'ST. et à Essence de sa fabrication.
Nous devons ajouter que cette Maison cons-
truit également des GAZOGENES depuis
10 IIP. jusqu'à 1.000 HP.
Ces Gazogènes sont d'une constiuction très
robuste, et offrent des avantages très appré-
clables aux client en raison des idées qui ont
présidé à leur conception.
Le Générateur de Gaz, dans tous les appa-
reils de petites et. de moyennes forces, est
construit entièrement en fonte, ainsi que la
partie inférieure du laveur et la tuyauterie
reliant celui-ci au générateur. Des dispositifs
spéciaux ont été prévus pour lo réchauffage
prénlahle de l'eau et de l'air destinés a l'ali-
mentation du générateur. Le tout a été fait
en vue d'obtenir un rendement calorifique
maximum.
t.e Vaporisateur est également d'une cons-
truction spéciale, destinée u éviter les incon-
vénients que présentent tes Vaporisateurs
type Chaudière.
la Compagnie « NATIONAL » offre ses Gn-
zotrènes rour briller de l'anthracite, du coke
'môme les grézillotis). du charbon ninlgro.
du charbon de bois, des copeaux de bois, d«?
la sciure, des sarments de \\ziw, des grignons
d'olivps. de la tonnée, et d'autres genres de
résidu*.
F.n dehors de ces spécialité*, la Compagnie
NATIONAL est un très gros Importateur
de tubes de Imite* sortes ffer. acier, cuivre,
été ), dp Petit Outillage ct d'aciers spéciaux
pour out'ls. Elle tient un certain stock de ces
marchandise- dnns ses de \ante:, il
lu disposition de la clientèle de cette région.
Adresser toutes tes demandes
la Compagnie des Moteurs « NATION XL •
Kl bi«. Rue Copernic Nantes.
CAKN
AU CONSEIL. MUNICIPAL
Hommage de la eité
aux libérateurs de la Patrie
Au début de la séance, tenue par le conseil
municipal vendredi dern'er, 15 novembre, M.
Perrotte. inaire dans une alWution vibrnnte,
a célébré la Victoire que nous devons, a-t il dit
a « nos héroïques poilus qui ont suppnorté
̃ans faiblesse toutes les fatiguas, toutes lis
misères de (juativ années tassées <1jiii.-> ics
tranchées et sur le.* charnus de bataille, au
maréchal Foch. l'org-an dateur de cette admi-
rable campagne qui a abouti à la défaite com-
plet*) do nos ennemis, et il cet énertrique vieil-
lard de 78 ans, Georges Clemenceau
Et. après avoir rendu hommage il tous nos
vaillants olliés Belges. Anglais, Italiens, Ser-
bi's. Américains, uni tous se sont levés dout
combattre à nos côtés pour la Justice et le
Droit. ot avoir salué avec émotion tous no#
glorieux mort. le maire a proposé au conseil
muuic.ip.'il de prendre la dél'hération .suivan-
te qui a été ratifiée nu mi!iei des app'audisse-
ments unanimes de 'Assamblée
« Le conseil municipal de Caen adresse au
président du Conseil, ministre de la Guerre,
Georges Clemenceau l'oxpression de son ad-
nurution pour l'énergie inlassable qu'il a dé-
ployée dans la conduite de la guerre et ffràco
laquelle n- us tenons enfin la Victoire.
Et, voulant lui exprimer sa
ne, j?e souvenant, d'autre part, que t» Nouvel-
Hôpital de Caen a été inauguré en 1908, fout}
f;i imVidence, décide de donner, à la routo de
Oui.siioliam oui y conduit, le nom de Ave
nue Georges-Clemenceau.
Puis, aur le proposition de M. le Somptler.
le conseil municipal décide, à l'unanimité,
pour témoigner sa reconnaissance il nos bra-
ves allii s,
Pierre et du Théâtre, e'eist -à-dire depuis le
quai Vendeuvn jusqu'il la phee Gam)x?!ta, le
nom do Boulcvaru des Alliés avec les da-
tes 1914-1918.
TA FETE DU ROI ALBERT. Vendredi
dernier, 15 heures, en l'honne ur de lu féto de
S. M. Albert )«r, les élèves de l'école belge,
sous la ronduitc de k-urs directeurs se sont
rendus l'hue de la République, précèdes de
tambours et de drapeaux alliés, et là, au mi-
̃̃,eillnixe. Avant de se retirer, ils ont nous-sé
rnr trois fols le cr de « Vive !a France »,
auquel la foule enthousiaste a répondu par
celui de « Vive lu Belgique
OT-VT-CIVIL. Xuinmnref. Joan Le Févr«,
l»<> nuutt Paa:n Co<>riyf, rue dn Moulin.
tiret*. i:éi'ii>> [^aniln-rton, • uii. n> tl'Oai.ttr^-
huin: (.'iiarlotte Kaii'on. rt-aimo Iy-ié. 30 ans. plan1
Ik-iiR'-Matiiik! OWmtiRo Dubrouil, veuvo lluval.
xi aiw, rue Saint-Jean Aitci'!i> Do^oulos, Iciumo
)tari)'. 33 ans. bouWaix! I.oroy Oorgtes I.«
(̃oit. v«;uve Ol!v!<;r, 't' n ii rue
LA HERNIE
nten-ctre immédiat, soulanement complet.
réduction absolue do ia tumeur retour de la
santé • de! forces, tels sont les avantages
assurés et garantis à tous les hernieux par
i usage du merveilleux Appareil pneumatique
et sans Ressort de A 0LAVIRIE de Parts
Aussi '-utes les personnps atteinte» de her
nies et qui souffrent sons la presston brutale
et insuffisante des bandages il ressort ordl.
nalre; doivent abandonner tout autre mode
de contention et n'avoir recours qu'il cet Inl.
mitable Appareil, le seul sérieux, scientifique
el rraimrit
Bappe'ons que M A OLAVBRII. nctuelle
ment da nnssajre dans notre contrée, recevra
de 9 h ?t t h. A
LA FLtOHE, Mercredi 20 Novembre. Hôtel de
l'Image.
8t-0ALAl8, Jeudi 31. Hôtel du Commerce jus-
qu'à heure).
LE MANS, Vendredi 22 et Dimanche 2i, H6tel
de Par s.
CHATEAU-DU-LOIR, Samedi 33, Hôtel Or/.
mault.
MAMERS, Lundi 25. Hôtel du Cygne.
LAIOLE, Mardi 26. Hôte) de l'A'gle d'Or.
FLRR8, Mercredi ?7. Hôtel du Orae Oh«ne.
ALBNOON leudi W. HÔUI de France.
VIM0UTIIR8, Vendredi 29, Hôtel du Soleil
d'Or 'de midi 5 h.).
DOMFRONT, Samedi dû. Hôtel Treulllard et
de la Poète,
LA FERTE-MACt, Dimanche l" Décembre,
Hôtel du Cheval Noir (lusquà 1 h.).
SABLÉ. Lundi 2. Hôtel Saint.Mart n.
AR'RFNTAN, Mardi H. Hôtel du Cheval Blanc.
0ARENTAN. Meici.di 4, Hôtel du Commerce.
OHIRROURQ. Jeudi Hét'l Moderne.
VALOONBS, Vendredi C. Hôtel du Louvre.
3AINT-LO, ?nmedi T. Hôtel de Normandie.
«RANVILUB, DlmiiTitho Hôtel du Nord.
OOUTAN0£8, Lundi 0, Hôtel doe Trois Rele.
Le « Tracté de la Hernie par A. 0LAVIRIK
et le Livre d'Or des preuves de gué>ison
sont envoyés gratuitement et discrètement sur
demande il. M. A. OLAVHRII, 234. Faubourg
St-Martin PARIS.
CHIRIOURQ
En l'honneur des morts
Grandiose manifestation
Une pieuse et grandiose manifestation, qu)
restera inoubliable Il Cherbourg, s'est déroa
l(s\ dimanche a.près-midi, pour se rendre al
pcleriiiago au monument, des soldats et ma
tins morts pour la Patrie.
Le cortège, précédé d'une musique compo
*ée pour cette cérémonie, s'est formé place d
Château, où toute la population s'était donnj
rendez-vous.
Dans le cortège offlciul, avaient pris placj
de nombreuses délégations portant des neur»
et des couronne-», offertes par les sociétés pa
triotiques. Souvenir lrançais. société Jes mu
till's de la guerre, voterons îles armées dt
terre et de mer, Combattants de 1S7O, Médail
les militaires et coloniaux;, Coniité officiel d/e>
dons il l'orrnée, les élèves du lycée de garçons
les syndicats agricole-! et horticoles de l'airon
dissi-inent.
Des jeunes gens, des joun^s fdies portaienj
des gerbes de fleurs pour tes déposer en son
venir de ceux qui. héroïquement, sont tombe¡
pour la France. Cette profusion de fleurs d«
Cherbourg, pays où l'on cultive peut-être Il
mieux la clirvsantlii'-ine. avait quelque chosi
desnlfiinel; elles attestaient, on eltet. le culU-,
'̃uiuicninu'iit patriotique, de toute une pupula,
Il,11 qui allait prier pour ci ux qui si.-nt mortj
pour li.s jusil's caus.«.s.
Venaient, ensuite, précédées de leurs dra^
peaux, tes sociétés patriotiques d.> prépara
tion ntilitaile. U-* onf:ii!t
.'̃'ilfs. et onftn Uiuie la population.
Pour se rendre au monument des mort
pour la l\itrii\ lo cortège a traversé la vil!s
par le: iu.s Tribiuiiiiix, liambetta. de I9
Fontaine, Frainois-la ieille. placo la Rénu-
liliqno. pince Napoléon pt lu nii- de l'Ongltt
Sur tout lo parciui" la fi>c,l^ encombrait
les trottoirs, et cp ne fui quo ^ifiee il un si»r!
vlcp d'ordre bivn orsani-^é que le cort^iri* oftt<
cii'l tint arriver nu monum m du Chantier.
IV» nombreux discoure fine, t nrnnoncés pal
M f>>in in. avérât, au pom du Souvenir fran.
mis Doré, «résident de la icuno société des
mutilés ̃!<> la nnerr<» Pttrun. nrésident des
vétérans do-t armées do terri» et de mer Luzeli
adjoint au mai'e de ft enfin, pal
Iti viro-arnfral Unuyor, préfet maritime gou-
verneur.
« La \far.-pillniso fut jotv'e par la musiauj
nuis Mme Dii'llav, de la Comédie française,
di-. lama les commets de notre chant nntional.
Vous renonçons ù dé-neindre la grandeur
•oru iniiuhliuble.
!.t» îv tour du cnrtt-re sV'ectua par la rae
Kmmanuel-Liais. la plnri- llerirv-Gréville. lej
rues Oanibeiui et des Tribunaux,
HEfllF.» nES ^r/»^^FFS anartt.T te a.
Ù 10 Il *.̃> ni Auionrô'hni IY. haute- mer le matin
;t 8 Il, S. !,̃ soir i 8 Il, -.T.
LF-S Maf-
Tuerite- Anne, femme T. inrulpéo dans les
'iiami'uvr-s aliottivis sur la femme
Troude, a été arrêtée et
eeriiii-'1,'» h !.•> d'arrêt.
VOLS. Unrt-; la nuit du 14 au 15. des pou-
V* pt des tanins ont été Volés au préiud'cp da
Mme I.dlné. T.r>, rue Dotn Pedro de Mme CIi'j-
ment. au 67 de la mf-mo rue de Mme Cal-
vissoii. au 77. Du linge a été dérobé en outre
̃liiiis te jimlin do Mme Calvisson, et dans ce-
lui de Mme Litre, rui.> Malakof, 1<>2. La poliu#
i»nqueio.
«♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦
OOUTANOES
l.'X « IF. DEI'M Selon tes prescription."»
dans chacune des «^lisos et chapelles du dio·
lèse. On y a chanté O salularki. Ave, marlk
Stftlu, l'oraison P<« Pontifia et les invoce
tiens deux fols répétées u nos saints natio
naux. le Detim. U> Tantum erpo, enfin 1*
/)c jiniftitiilii four nus soldat* défunt,
MORTS l'Ol 'R LA ynAXCK. Fulnise Ren^
Poullain Marie-Louis, morts dans une ombu
lance Turpin Marcel, j. etit tll.s de M. Man
quez, ancien pharmacien i Contantes, tué. 19
i octobre, d'une Ivalie en jjlein trom, il la pn
s-.1 de Hnuler* (Uelgiqui'K
OBSÈQUES
KEN.VKP. Mlle Uurrno' Fnntain« et sa f.v
niilli» unt la il,- vi.iii- tair, part de la pi'rtr
(|ii'il.i viiiuiftit «1 éprfuivvr au la [<>r»on7W
Uf MiuiMiii>iSi.'ll<.> .it*.N>r. FONTAINE. «JtiéU*.» en sm
ili-niriiro l, rii.< il K-[rv«< (les Macivnient.i
U,' vu us itriecil U>n<•̃>i^:lrr aux cotiToi.
criviro vt catriT'ment (lui auront lit-il li> mcrcmlï
\>i novc-mhii' n> li.>nri'<. in l'élise Saint-Sauveur
On ̃'i» réunira a la mai-ujn inoriualre a 0 h. 3/4,
I/intiuniatii.,n aura lieu au rimetiC-r^ du Xord. te
pr<.s.-nt avis tient l'eu
AVIS DE DÉCÈS
I.WlRAU.r RENNES. Ni q Mmo Clëmot. Ml
fi Henri L;nij{laU. M Eugeno (jliinot. Mllu
li-anni; r.aiiKlaN. M *>r Etli-nm* Ooln»ui»n* ont
la «iijiilpur «.le viiih faire part de ln perta rrutlli
fpi'iN viennent iIi-uioiivit in la de Mon-
sieur Loris leur ni,. fn>re. «ncl^ et
iK-vcii «oW.it .tu îl.v rtxliik-nt il artilli-rl*, hl*««»
à Dormaas. le 1" Juillet et décéd; ChumMr»
le l novembre tais, dans sa m* nnni-o. Prier Dieu
four lui, I.inliumat'on provi.<
C'iMinihéry. le novoinliro !'J!8 T-l- prient aTi* tival
liau de fairppatt.
F'OnTl.Ot'IS. I.#< famille» Dr«clui. B4W «1
Du lui ont la douleur de vous faire part Ue la perta
cruelle uu'clli > vl.-nni-nt d éprouver en la fK>r»>nnn
«le Madame URECIIi: n. itr.NRiFnc DtHII.. dé«'4-
en <» deiiM'iirr. il iV>rtr.oiii.«. !<> 17 nnretnbra
l.us. iluns -.n ."̃o" ann«-> munie «le-; s.icremirnt* d«
rE|fli«.v La cérémonie Telijtl«.u.-e aura lieu en
l'ét'llie île Port I^ui» 1^ mardi 13 norembre. il
LA CiCERrilF..nE-nRETAf!\E. Mnu> Chuln
.Marchant. n&< Ma7ei< t :\1.
o; Mme rre«ot et tour?
faniilKï ont la prototule douleur de faire part d*
la pèTt»? cruelle qui. viennent «W faire on la per
̃sonne «lu Chef de nntaillon l'ntnus MARCHANT
iiTinmaiulnnt U1 chasseurs alniiw. officier de h
Ijt-lihiu illinnnclr. croix tle suerre, Il citation*.
:.1 moli de i>r&-onre Ininterrumpus au front. tombé
a (le ail, i la tel-' de 'on Iwtalllon au
Ma<*agi< ci., la Sanihro. le novembre toi». l«u:
épouv nis. tendre. frC-rn et Cet atl»
paur tenir lieu de faltr-nart.
SERVICE FUNÈBRE
VAXXE.s. Vou» fies prit! d'as*l»t«r au servi*
rcllx'ii>u\ it u! erra c(-Atr{. l« Irudl Ot novembr». a
li.Mii-<. dans Saint-Pntern. pour le fapod
il.' IYuii.' de MaiI.'in.iiHello Adriian; LE GAT.. JXUtV
liilui\te da Fille.4 itc jnus, A la Commu
n aîné de Kermaria. De La part de son p*n». té
mfre, ta seeut et de toute la famille.
REMERCIEMENTS
nOSTRENEN. M. Mme et Nille. My r»m.î>
clent le* personnes qui leur ont témo!irn* de Iv
symMltiie IL l'occasion de la mort de leur flJ» et
frère. Monsieur Jour» ODT.
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