Titre : La Presse
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1856-11-05
Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication
Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 05 novembre 1856 05 novembre 1856
Description : 1856/11/05. 1856/11/05.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Droits : Consultable en ligne
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/11/2007
à l'Exposition universelle. Cette réunion s'est tèrmi-
née par un joyeux banquet. -;̃>
̃– > Les journaux de Lisbonne annoncent l'ouverture
officielle du chemin de fer de Lisbonne à Carreaado
pour le 29 octobre; Cette .section, de 36 kilomètres
d'étendue, constitue la moitié de la ligne de Lisbon-
ne à Santarem, dont la seconde moitié est fort avan-
cée, et sera achevée "dans le courant de l'année pro-
chaine. Le chemin de fer de Lisbonne à Santarem for-
mera tête commune de deux lignes principales de
Lisbonne à la frontière d'Espagne, et de Lisbonne à
la ville d'Oporto, que le gouvernement portugais se
propose de concéder plus tard.
Beaumarchais et M. Scribe continuent a attirer la
foule au Théâtre-Français Une Chaîne et le Mariage
de Figaro font alternativement salle comble.
Nous annonçons aujourd'hui, a nos lecteurs les
importantes publications <ï& MM* fificàelèt. Génin et
Jtotwemère, que vient; de mettre en vente là maison
Chamerot; ̃
r^- A la demande de ses correspondans des .'départe
mens, la Compagnie des Huiles-Gaz retarde de cinq
jonri la clôture de l'émission de ses actions de 100 fr.
En conséquence,-la souscription ?tera irrévocablement
close le 1© du courâkt, à 5 heures eu soir. ¡
Pendant le cours de la souscription, Paaministra-
teur-gérant a triplé l'étendue et le matériel de ses
usines de Belleville et de La Villette, ouvert utfdépôt
général de vente en gros dans le centre de Faris, et
établi des succursales dans beaucoup de départemens.
La fabrication ,d3 ~l' Huile-Gaz se fait jour, et nuit
pour pouvoir subvenir aux demandes journalières;
enfin, tout vient prouver que cette entreprise, qui
donne, d'après des calculs certains, 85 p. 100 de bé-
néfices sur le capital, l employé, sera: éminemment
fructueuse pour ceux qui y auront pris part.
On délivre les dernières actions de la Compagnie
des Huiles-Gaz chez MM. Le Roy et Ce', 21, rue de la
Chaussêe-d'Antin, à Paris.– On, verse en souscrivant
le montait intégral des actions demandées (100 francs
par action). Expédier les fonda des dêpartemens,
soit par lettres chargées, soit' par mandats de poste
ou à vue sur Paris.
L' Union, compagnie française d'assurances sur
la vie, fondée en 1829 et rétablie à Paris, rue la Ban-
que, 15, constitue des rentes viagères à des conditions
avantageuses.- Les arrérages peuvent être payés dans
les départemens et à l'étranger. »
-ï-TATTBRSALi, rue Beaujon (Champs-Elysées.) –La
vente aux enchères du samedi 8 novembre compren-
dra' notamment plusieurs chevaux provenant desÉcu-
rieS impériales et plusieurs chevaux de pur sang.
Pour tous les faits divers noa signés
-le secrétaire de la rédaction, YINÇABD.
a
i'fl
Châles cachemire, châles de laine, tissus cachemire
pour robes, et châles unis pour deuil.
« i'»Ér»n»i *̃̃ iiiiiii ̃itwii-. .̃̃- -m iiaii.
11
-1 11, paix sa Ui.ULGWBD'âMWOWCB» > La Prcaae séparément UN BSl&WC VIMST-CIW^. CBSTpïSS < la Presse conjointement avec le €efflatltastionaei, le «traraaS des ©é&ato, le Pays, la Slèele > BW ERâRG* :¡r'
1 · _v _1-
~ainaicae~ons:
*̃ CIIiTFlET^PAlPîïOîlFE^B.
Adjudication par suite de baisse de mise à
prix 16 novembre 1856, midi, par Me deloison,
n(J1«ire à Brie-Comte-Robert en son étude
lo Du Chfiteléî de Pampnou, avec serre, parc a
l'anglaise, pièce d'eau et dépendances 2° d'une
petite ferme continue, ajec parc de 10 hectares
clos de murs letout sis à Brie. Mise a-prix
Le Ch'atelet, 37,500 fr.; ferme et parc, 50,000 ir.
Nota. Brie est desservi par des omnibus che-
min de fer de Lyon, station de Brunoy, trajet
en 1 h. 1/2 de Paris et bientôt en 45 minutes-
parle chemin de Vincen'nes prolongée Marches
les lundis et vendredis. /g
V ̃"̃ TOME g BEiUIREPÂÏSE l-d^e.
Adjudication en la chambre des notaires de
t, --i= par le ministère de m« dueux, l'un d eux,
41 AS novembre 185(5, heure (te midi,
ni1,' Tfn, de Beaurepaire, située commune
 I- 'm Renient de Château-Thierry
rte Charly ai ronu. c 4 Paris ,t à 4 Mloraè-
(Aisne), a tb lolomeireb « ,+ ,.AJian|. ;ciiemin
1res de la station de Nogen."1 AXisaa. anémia
de fer~ de l'C·t!.
d cKrena.rt'un corps de ferme, 208, hectares
de terres et prés, le tout afferme net d împSts
S,f'Sfl'ti'sncs.
Un pied à terre et un bois de 5 heetares-en-
virony non conipris dans le bail..
Mise à prix. 13o,000fr.
Iî aura adjudication même sur une seule
e>à^liére.
S'aclre'sser, pour visîtgr la propriété, à M. Gar-
oi^1, fermier
Et pour les renseiernenîens
A M* Drgux, notaire à Paris, rue Lfîuis-ie-
Grand, p°'X
iMWPB0PRlÉTÉATfSA1"
eA>(i~l~fi~9~ g5`tJP~tEiI3J~~7~~A~P.1I: S.
Rue-St-Domiin5ue-Saint,-Germaio, 163, (Tune
contenance de l/4b m. 72 c, a vendre par adju-
dication (même sur une seule enchère), en la
chambre des notaires de Paris, par ai* FOVARD,
i'un d'eux. •
Revenu net. suseeptibls dune grande aug:
snentotion, 14,000 francs..
î/iseàprix 260,000 f?. •-
S'adresser sur 1rs lieux et pour les eondi-
tio'js -audit W J.i'Qvard, notaire à Paris, rue
Gamon,*20. «
>a i'çiyta chaussèTdû Maine, 67, à vendre,
atAIâv?lï à la chambre des- notaires de Pa-
-'̃ ris, le mardi ""1*3 novembre 1856, à midi, par le
iuiâistfire-de }{e-?E8ER-r.
&e\snu, 3,690 fr. Alise a prix, 80,0» fr.
AdJsidâiation même sur une seule enchère.
Sadres&ey à W Sebert, agîaira à Paris, rue
deT.aneteflfi£'Çomédie.4. *̃-
'••'•"
̃̃̃̃ SCÈNE Vï.
'moV&tvi, MWW BB BATOYÉCX»
«pa« ds satoyedx, d'un Ion earettant. Pardonnez-
jiabi d'entrer aùisi en tapinois. Je n'ai pas voula Stre
aononcôe, c'est trop solennel, et, entçe nous, tous
avez banni les cérémonies. {S'a»ttyant.) Ah 1 combien
41 me tarde que toute cette grande affaire soit termi-
née pour me reposer 1 C'est un métier bien fatiguant
que celui d'une mère qui marie sa fille J'ai miile
^bpaes à vous dire, chère baronne, et je tremble d'en
,trablier. Ma tête est si remplie, si troubîéel Je suis si
*6ame! A propos, ma pauvre amie est enchantée 1
Elte ne pouvait croire que M. deVilliers, qui s'est
montré jusqu'à présent si difficile pour la fortune,
se eontentât dô 2» dot de ma fille Il faut, m'a-t-elle
dit, qu'il soit pris d'une passion irrésistible; et les
,passi0B0, anjourd'hui, tfest devenu rare.
g^e d'artbt, wbk leaueoup d'embarras. est cer-
tain qua lea jeunes gens "sont trè3 positifs.
M«» de savoïedx.– Je vous parlais ce matin d'une
̃ 65HÎ*' confidence que je vous destinais chère baron-,
'nerjecroteqS'ilestPrild6Ilt£n° pas la retarder,
quoique le sujet *?« P«.4«icat. -Voici ce dont il
^Sl: M. deViUiers va «tatoaçat vous consul-
e~git:,&t. de Villlers va -bien9 je rolis sup=
,*er sur l'achat de ia corbeille. J^11!
f»lie de lui dire (comme de vous-même, t». J ^ne g
̃désolée de laisser accuser ma fille de coquetterie] H
Hé vert est mal. porté cette année. Figurez-vous que
Marie déteste le vert. Ainsi les châles verts, les ve-
lours verts, 163 émeraudes, je la connais elle ne por-
terait rien de tout cela. Elle aime le bleu, le rosé, le
^violet même le violet la blanchit. V
̃Mme d'artet.– Mais, madame, comme j'avais l'hon-
Éeur de vous le dire ce matin, les choses ne sont pas
encore très avancées. '̃̃
-Comment, madame? Il me se té-
Mo o« «n^ttXo nti.'1"*8 sont sur le point de se ter-
S" Suniïens se c^^ » *»*
miner, Les jeunes gens se conr~ familles,
les fortunes. i. •
Mme d'aktey. Au moment de faire le contrat j n
Relève souvent des difficultés imprévues..
Bme savoyeux, vivement. '̃– M. de ViUiers n'en a
Jldtnftllreauçujaejvisau'ici!
Maison Biétry, boulevard des Capucines, 41.
M. Biétry, fonrnisseur breveté de Lb. MM. IL, est
fllateur et fabricant; chaque objet qui sort de sa mai-
son est revêtu d'un numéro d'ordre, d'une étiquette
du prix fixe, etde la garantie de la désignation.,
Sûr demande, on expédie" en province. Seule mai-
son Biétry, 41, boulevard des Capucines. '»
Alimentation publique,
On lit dans le Moniteur
» farines. Situation de la Halle aux farines, au 4
novembre
x> Farines restant de la veille. r. 12,161 13
» Arrivages du jour. 4,224' 31
» Total des- marchandises a vendre. 16,385 44
>». Ventes du jour 4,599 53 1
» Reste disponible t 11,785 91
»lb oçiurs moyen au jour a la naue est ae ou ir. o c;
le cours moyen de la caisse de la boulangerie est de
51 fr. 14 c; –le cours moyen de. taxe de la caisse est
de. 51 fr. 65 c.>- le cours moyen de la veille est de
-51 fr. ,70 c– La taxe a perdu 05 c. »"
On lit dans le Petit Courrier *des Balles; et Mar-
chés
« mvrdi. Farines.– Les déclarations à la Caisse de
service, dans la journée du 3 novembre, comprennent
» 2,925 sacs de farines 1« qualité, livrables dans les 30
ours, de'IS'à 85 fr.; prix moyen, 80 fr. 93 c. les 157 kil.
(51 fr. 55 c. les 100 kil.);
» Et 2,546 sacs à cuisson.
» Les facteurs ont déclaré aujourd'hui 2,930 sacs de fa-
rines. » ̃'
La journal officiel publie ce qui suit f
« D'après les documens recueillis par le ministère de e
l'agriculture, du commerce et des travaux publics, la
comparaison des prix du pain et de la viande à l'étran-
ger, avec les prix des mêmes denrées à Paris, donne les
résultats suivans pour la deuxième quinzaine de "septem-
bre dernier.
» Au 15 septembre, les prix moyens qui ont servi de
base àla taxe de la viande à Paris étaient de 1 fr. 4B c. le
kilogr. pour le bœuf, de 1 fr. 58 e: pour le veau,- de 1 fr.
54 cent. pour le mouton, et voici quels étaient lés prix
moyens à la même date dans les principales villes étran-
gères
Bœuf. Veau. Mouton.
fr: c. fr. c. fr. c.
Londres..ï: 1 89 2 0l 2 07
Glascow. 1- 72 1 60 1 60
Newcastle. 1 83 n n 1 66
Dublin 1 60 2 06 1 60
Anvers. 1 50 1 50 S x
Amsterdam: 1 69 2. )9 1 48'
FlLel: 1 35 1 30 1 30
Dantzick. l 41- 1 47 1 21
TA¥ ïlî M 1 TP/fW è. Paris, rue de Rivoli,
JULÎfi MâlSTO 92, et rue Pernelle, 9,
bâtie en pierre de taille; en face le square de la
Jour Saint-Jacques, à vendre par adjudication,
sur uns seule enchère, -en la chambre des no-
taires de Paris, lemaïdi 18 novembre 1856.
Produit, 15,355 fr., exempts temporairement
d'impôts. Mise à prix 220,000 francs.
S'adresser, pour visiter, au concierge et pour
les renseignemens, à m* lefébure de saint-
iMAun, notaire, rue fîèuve.-StTEustache, 45. »
U-AIdAllT à^aris, rue Sainte-Ma'rguerite-
fllnLlolIlv Saint-Germain, 26, à vendre (sur
uné-seule enchère), en la chambre des notaires,
le 2 décembre 1836.
Produit, 794 fr. Mise à .prix, 10,000 fr.
S'adresser à m" thouard, notaire, boulevard
de Sébastopol, 9. » D
PROPRIETE Mnr€MT vENADKE.
Etude de Me lijgas, avoué à Nevers.
Vente sur licitation, en un seul lot, en l'au-
dience dès criées du tribunal civil .de Nevers,
d'une propriété.conuue sous le nom de propriété
de Ninchat,
Située commune de Nevers,
Consistant en maison" d'habitation, jardin,
pièce d'eau, moulin et port en chantier.
L'adjudication aura lieu le lundi z% novembre
1866. •.̃̃̃̃-
Mise à prix. -20,000 fr.
S'adresser, pour lès renseignemens
A M'« Lucas, avoué poursuivant, demeurant à
Nevers, place Duealp,, 15;
Et à Mc Rouzê, avoué Golieitant.
TERMIN I CÏÏMIPS-ÊLYSÉES
A vendre par adjudication (même sur une
seule enchère)' en la Chambré des notaires de
Paris, jpar 51e QAgum, le 25 novembre 1856,.
Un Terrain- dé' 554 m. QS c, à Paris, rue du
Chemin de Versailles (Chainps-iilysées).
Mise à prix 38,000 francs.
S'adresser pour- visiter au sieur Bamasse,
cantonnier, rue des Bassins
A M. Colijne.au, boulevard Saint-Martin, 59
Et à ïic Diagui», notajre, rue de la Chaussée-
^4011111,30.
ÎKlT 1 T A^ÏTB D'uiSL'C^xtoNcrRiEyÉ
~T Y ~J .nt.~CTIOi~C!'nlEil&E
IL~~y'`~$.% UEF1ÈCES DE TItEnl~~ ~Py
puis 1550 jusqu'a ee_ jour (la'plupart éditions
originales-, et de Livres de littérature, à ven-
dre, le 17 novembre 1856, maison Sjlvestra, par
Me Charles riLLiïr, conimissâire-pris'eur à Pa-
ris, assisté de M. Lavigne, libraire, rue du-Fg-
Montmartre, 29, qui distribue le catalogue.
rilKVA'ÎIY Q17I 1 Iî ET »''iTTELAQE
liilliWilUÂDE iSliLLU humais.
Vente de chevaux de selle et d'attelage, liar-
nais, aux écuries de M. Chéri, directeur de l'é-
tàblissement spécial pour la vente des chevaux,
autorisé par arrêté de M. le préfet de police, rue
de Ponthieu, 49,
Le mercredi 12 novembre 185G, à deux> heures,
Par le ministère de n" fouchet, coremissaire-
priseur à Paris, successeur de M. Ridel, rue
Saint-Honoré, 217.
On pourra visiter les chevaux et harnais chez
M. Chéri, les 10 et 11 novembre 1856, de midi à
chiq heures.. •
•
i-lTlfi à MM. les actionnaires de l'aneienne
il w lij ̃ Société. des établissemens Cavé.
Par suite de la-dissolution de la Société des
établissemens Cavé, il a été formé, sur les ba-
ses expliquées et acceptées dans l'assemblée
générale des actionnaires du 10 janvier 18Ô6,
une autre Sosiété, à laquelle les liquidateurs
ont fait apport de l'actif de la Société dissoute,
avec condition qu'à l'égard des actions de la So-
ciété nouvelle représentant les.2,7&0,000 fr. qui
complètent le fonds de la nouvelle Société, les
actionnaires auraient le droit de les souscri-
re' par préiérence à tous autres proportionnel-
lement aux actions anciennes possédées par
eux. Cette proportion correspond à 125 fr. par
chaque action ancienne.
MM. les porteurs d'actions dé l'ancienne So-
ciété, sont prévenus que le> droit de préférence
à la souscription ci-aessus leur est réservé en
exécution de la condition qui précède pendant
quinze jours qui expireront le 20 novembre 1856.
S'adresser pour souscrire, chez MM. Béchet
Dethomas et Ce, banquiers à Paris, boulevard
Poissonnière, n° 17, ou. sont déposés les statuts
de la Société nouvelle.'
Le gérant de la Société jusqu'à VhomoUgalion
de la Société jinoniftae,
~.lte U ~E~t:nD'7~- ~1al~~lY~:l9Y/
llDEsti1 j>E FER D'BliJSji Ail {j ilÈM|ii« 1
MM. les actionnaires dé l'ancienne Ce des che-
mins de fer départementaux sonfpriiîs de dêpo
ser à radministration centrale, 22, place Vendô-
mp, oii .^«..Crédit financier. 7. rue delà Bourse.
leâactiQiîs-a.onit ils sont 'plduteOi^ ffieuÊ'sieiîâ
délivré "un récéBissé pvovisdire, èh attendant
Il féohün~e cté~j"~i# qlli âe #'eia,prac>aat~enont.
l'échangé définitif qui ge fera proebainement.
îsâuô "1vitonS MW, les souscripteurs qui n'ont
1\ÛUa 1
pas complété leur vérsefflent à se mettre enme-
sure, dans le plus bref délai, afin d'éviter toute
action ultérieure prescrite par les statuts.. i
Nous rappelons 'à tous les demandeurs d ac-
tions que le&statutsnous enjoignent de regapa-
der comme non avenues toutes"les souscriptions
non accomnagaées dû versement obligatoire.
re directeur général, 1
MB>8 p'aktey. Eh 1 bien 1 tout à l'heure, cepen- >
dant, je vous assure,
Hm« de SAvoYEnx.– Vous m'éto^nez. De grâce, ma-,
dame, parlez, que demande-t-ilT
«me d'aktey.– Je ne sais. un peu plus de fortune.
Il craint que M"? de Savoyeux ait des regrets en se
voyant moins brillante que d'autres jeunes femmes.
Mn>e be savoybus, très sèchement. –.Ma fille moins
brillante 1. Est-ce vous, madame, qui avez cru de-
voir inspirer à M. de Viiliers ces scrupules-là ?
Mme D'ABTEY.–Ahj madame, vous ne le pensez pas.
Les jeunes gens, comme vous le disiez, sont devenus
très positifs. "• `
sime. de sa yoyeux.– Je regrette que M. de Villiers
ne se soit pas adressé à moi-même.
h» d'artey, froidement.– Je le regrette aussi, car,
en pareil cas, te rôle d'un tiers est fort ingrat,
b»* de savot eux.– Aussi on s'en lasse et on aban-
donne souvent les intérêts de ses amis, après les avoir
sollicités de vous les confier.
Mme D'ARTEy. ̃ Je n'ai .rien sollicité, madame;
c'est vous qui m'avez demandé cent "foi?, si je ne con-
naîtrais pas un parti convenable pour mademoiselle
votre fille. J'ai nommé M. de Yilliers, et j'ai mis air
sûrement toute l'obligeance possible dans cette négo-
ciation.
• M»» de sAVOYÉtx. Je ne me souviens point, ma-
q"ne, de vous avoir rien demandé de semblable. Ma
fine Dieu n'®a$ Pas si difficile à marier grâ-
ce à ce malheureux projet, j'ai refusé, depuis un mois,
ce à ce malheüréu~ r oj j p.
quatre propositions .beaucoup plus convenables que
celle-ci Enfin, puls-je molT; madame, les propres
paroles de M. de Villiers?
ume d'artey.– Assurément, tnactoie Js vous dois
toute la vérité et j'ai hâte de finir C6 pénible débat.
Veuillez seulement voua rappeler combien je suis in-
nocente des torts de M. de Villiers. Il trouve M"* Ma-
rie charmante! Elle n'a qu'un défaut à ses yeux, c'est
dé n'être pas assez riche. Malheureusement, on lui
a parïé.d'une autrepersonne moins bien, sans doute,
'Ma dont la dot est plus considérable. Il en est ré-
^7* n "+fe antre le'cœur'et la raison je crains
suite une _iu. «̃ Q L' •
quela raison l'emporfo. w- -^f' Jeunes,
gens d'aujour^u; sont ?i positifs if s
Porto: 1, 30 1 62 1 62
nico: 1 45 1 7J 1 50
Livourne. 1 ~6 I 68 1 47
Palei'me. 1 57 1 61 1 09
Malte. '2 44 2 69 1 94
Canstantinople. 1 35 1 35 1 58
Richmond. 1 74 1 85 1 44
Philadelphie. 1 80 1 -35 1 12
» A Paris, le prix du kilogramme de pain de lr0 qualité,
d'âpres les déclarations d'achats faites à la Caisse de ser-
-vice de la boulangerie, ressortait, pour la deuxième quin-
zaine de septembre, à 0 fr. 51 c. A l'étranger-, le pain de
lr<= qualité coûtait, à la date du 15 septembre 1
1-.
A l.ondres. r~4 e.l/2 A Porto. 64 c.
Glasgow 54 Ni.ce. 50'
Newcastle. 52 Liaoucne. 45
Dublin. 54 Palerinè. 60
Anvers. 'SR Malte. 50
Amsterdam. -66 Constantinople. 55
I~ieL. 82 -Richmond. 70
Dantzick 67 Philadelphie. 60-
Cours dèsjlronîeubles.
CHAMBRE DES NOTAIRES. KISES ` PRIX
-du 4 novembre 1 à daliu-
Séance 'du 4 novembre.' priï. rdicatto»-.
1UTUBB ET SITUATION TES PROPRIÉTÉS.
Maison à Paris, rue du Four-Saint-Ger-
main, 68. 3o;000 41,100
Nécrologie.
M. Paul Delaroche, membre de l'Institut, est xdé-
cédé le 4 novembre 1856, en son domicile, rue de la
"Tour-des-Damss, 7. Ses obsèques auront lieu le jeudi
6 courant, à onze heures, en "l'église de la Trinité, sa
paroisse-j rue de Clichy. La famille prie ceux de ses-
amis qui n'auraient pas reçu do lettre d'invitation de
considérer comme telle le présent avis.
Viennent de, mourir M. Champeaux, auteur de
plusieurs vaudevilles, a l'âge de cinquante-huit ans
M. le baron 'de Cressac, ancien -membre" du conseil
général et du conseil municipal de Metz, ancien ad-
ministrateur des hospices, civils, à l'âge de soixante-
dix-huit ans M. Lacaille fils, avocat, l'un des se-
crétaires de la conférence, à l'âge de vingt-quatre
ans; sir John Jervis, un des plus célèbres juriscon-
sultes, ang! ai et président des Plaids communs à
Londres, à l'âge de cinquante-quâtre an3 M. Ni-
colas Flugy (TAspremont, général napolitain.
L'un des gérans, B. Rouy.
Il est une œuvre qui jouit d'une faveur bien méri-
tée c'est la Loterie de Cahors, dont le but est lares-
tauration des treize sanctuaires de Notre -Dame-de-
Eoc-Amadour, pèlerinage fondé par Zachéa et béni
par saint Martial au premier siècle, illustré^ par la
visite des rois, des.saints, et, célèbre par d'innombra-
bles miracles..
Avis aux Actionnaires.
LEIOliniXEAU. ̃?.&
/lie fiHEMINS |}sjB|) fl1%T/rlÏIBlITriilrî1
.̃ A-.i'AyREri'f dï-bloïs.
~tE~LEmBTr~n~wnM aT~TMta?
CuG-u§AU0QLS8l'ALG£RIE
Les actionnaires de la Compagnie générale
des alcools de l'Algérie, dont le siège de la So-
ciété estàPari.s, ruedelaChaussée-d'Antm,21, 1,
sont convoqués en assemblée générale extraor-
dinaire pour le mercredi 19 novembre prochain,
au siège cle la Société, à quatre heures précises
de l'après-midi, à l'effet de délibérer sur des
propositions que le gérant a cru devoir faire
dans l'intérêt de la Société à M. Mahaud, -gérant
de la Compagnie méridionale des sucres et al-
cools de sorgno. '̃
̃ Signé, le gérant, des cillecls.
Achats et ventes d'Immeubles de gré à gré.
A ~D~ BELLES FERMES
A \ENIffiK4 BELLES FEUES
situées dans le Tarn-et-Garenne, à 1,000 mètres
d'une gare du chemin de fer du Midi, et d'une
contenance d'environ 160 hectares de terre pre-
mière qualité. Prix fixe de -l'hectare,, 3,00ufr."
Grand-revenu facilités'pour le paiement.– S'a-
dresser à M. Desclaux, allée Bonaparte, 51, à
Toulouse. ̃«'
̃ïiVt ï V MA KSÏK DE campagne meublée
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écuries, remise, etc. Beaux jadins ànelais et
potager. Eaux vives. Vue magnifique.
S'alr. à m» G-tuçHERON, notaire a Bougival. «
fpsceï? paiifS. Acéderûnè'àc-.
ilH/iv3ÔH.PRÈ3 JTiillliji tion de la chasse
de la. forêt de Jouy,près Nangis, station princi-
pale du chemin de fer de Mulhouse* L'action-
naire peut être accompagné par deux personnes
etcha-ser tous les jours. Prix, 750.fr .–2,500 hect.
Sanglier, loup, renard, chevreuil, 'etc.~S'ad.à M.
palifpl,r.Méi)iirnqntanp,22, pr.lé çfrque ^Japoléûn. n.
USMEUYDIlAttLIQijE a vendus
pour entrer en jouissance de suite. Cette usine
entièrement neuve, sise à Oufrebôis, ai-rondis-'
sèment de Cculleus (ëojjîméi, • "•-̃
Jt'pKqL-^O'Cii'îîvATÙx, • ̃̃'̃
S'adr, pour ïesTenselgn.et pour traiter, à m«
allaut, uptaire a Mài«on-Ponthieu (Somme).*
BiMiogi-apIiie et l'ubSieations divcrîses,
i9É« .bSISillito^s
journal littéraire seul illustré de 12 gr. sur acier
"et 40 gr. sur bois; recueil des meil. feuillet, de la
presse contemporaine, paraissant le 15 de-eliaque
mois. La 17e année a comm. le 15 oct. Paris, 8 tr.j
prov., 9 fr. Bureaux, quai Malaquais, 21,;Paris. »
PHASES oe L'HISTOIRE f.^ce.
Faits littérature; pailosophïe P;ii- Achille
Alèses.. 2'ïr, -=r 'Gali^nani, rue Rkpli, 221,
Mme ]>K savovecx. Madame! c'est un procédé
indigne 1 Si M. de Savoyeux vivait, s'il avait; laissé
un fils, cela ne se passerait pas ainsi
sime d'artey. Hélas 1 un éclat quand il.B'aglt d'u-
ne jeune personne, c'est toujours- fâcheux. Madamoir
selle votre fille n'aura pa3 de paina à trouver l"équ le-
valent d'un mariage. qui, aprè3 tout.
M"0 DE savoyed-x,- vivement.– Avait les plus grands
inconvéniens D'abord, M. de Villiers a peu d'esprits,
d'esprit de conduite, surtout. Bien des gans lui trou-
vent l'air d'un coiffeur; ensuite sa famille n'est pas
'sans tache Sa grand-mère a été très légère, et- ses
aventures, quoique anciennes, ne sont pas oubliées..
M»e d'artey. -*̃ On ^e souvient de plus loin Pais
M. de Jouard laissera -certainement beaucoup a'ux
hospices; vous voyez bien?.
̃ Mmn DE savoybux. Je vois, madame, qu'à l'ave-
nir, je ferai mes affaires moi-mêma C8nt- personnes
m'ont déjà complimentée sur ce mariage. Que rêpon-
drai-je maintenant ? je dirai que c'est moi qui l'ai re-
fusé, assurément mais M. de Villiers aura encore
l'impertinence 4e me démentir,
Mm° d'artey.– Peut-Stré saura-t»il se taire 11 nous
doit, au moins, cette compensation. Cependant, je
n'ose rien promettre en son nom. Voici le premier
mariage dont je .me sois occupée j'ai eu la main
malheureuse J'espère que vos autres amies réussi-
ront mieux que moi, et que j'éprendrai bientôt
l'heureux établissement de", mademoiselle votre fille.
Mme de SAVOYEUS. Vous ne l'apprendrez pas par
moi, madame! Vous compreoe? "que nos relations
sont rompues pour jamais je veux essayer d'en baa- I
nir jusqu'au souvenir 1 1
m™ d'artey. Comme il vous plair», madame;
mais, en réalité, cette leçon est faite pour me rendre
plUS égoïste à l'avenir.
sime de SAV0ïpox. Adieu, madame Permettez-
moi seulement de vous donner un 'dernier conseil?
Ne destinez pas monsieur votre fils à la diplomatie
il n'aurait pas de vocation pour rédiger dçs traités de
paix. '̃̃
Mme d'artey.– Madame, il y a des puissances avec
lesquelles il faut, malgré soi, rester en guerre I
(Elle se lève pour reconduire Mme de Savoyeux, celle-ci
ferme brusquement la porte, devant elle, après avoir
coudoyé M«9 le Marsan «pi enire,;
<+
Cette Loterie (dont les avantages août détaillés aux
annonces) a été approuvée pru! un bref du pape, et
l'autorisation accordée -par le gouvernement accorde
une latitude qui permet de faire un appel à toutes
les populations chrétiennes de l'empire français.
Le ministre de l'intérieur à MM. les préfets.
or Monsieur le préfet, j'ai l'honneur de "vous infor-
mer que j'ai autorisé la publicité et l'exploitation,
dans tous les départemens de l'empire, de la. Loterie
organisée pour la restauration des sanctuaires de
Notre-Dame-de-Eoc-Amadour (Lot). '̃;
» Je vous invite, en conséquence, à donner les ins-
tructions nécessaires pour que, dans votre départe-
ment, les autorités locales n'apportent aucun empê-
chement a l'exécution de cette décision.
» Eecevez,etc. » Paris, le 16 juillet 1856. »
Le public, qui sait aujourd'hui que le Ion est le
véritable Ion, marché, s'adresse pour avoir un bon é-
clairage à la maison Neuburger, rue Vivienne, 4, au
coin du passage Colbert. Cette maison, qui a reçu les
plus hautes récompenses pour la grande perfection
apportée à ses lampes, qui éclairent pendant douze
̃heures sans être remontées, fabrique elle-même, dans
ses vastes atelier3, au Marais, tous ses produits, dont
la supériorité a acquis à cette maison la grande ré-
putation dont elle jouit.
-L'huile de foie de morue naturelle, Exp. 1849 et
1855, se vend pi. del'Hô tel-de-Ville, r. Eivoli, à l'Olivier.
ïkéâtees. Speclaciea du jeudi soir 6 novembres
OPtënA.–
fbançais. Une Chaîne (Bressant, Mme Plessy), les
Suites d'un Bal masqué.
opéra-comique. Zampa (Barbot, Jourdan, Mocker,
Mme Ugalde).
odéon. Prem. représ, de Mme de Monlarcy (Tisserant,
Guichard, Mlle Tnuillier).
italiens. II Trovalore (Graziani, Mathieu, Mlles Altio-
ni, Frezzolini). x
théâtre YniQuÊ. La Fanchonnelte (Monjauze, Mme
Miolhan-Çarvalho).
vaudeville. Le Nid d'amour, la Dame aux Camé-
lia$, Quand l'amour s'en ta.
variétés. Un Tyran domestique, lâchasse aux Ecri-
teaux, Mme Roger.
gymnase. Riche de cœur (Geoffroy), Une Femme qui
déteste son mari (Berton, Lesueur, Dupuis, Mme Rose
Chéri), les Toilettes, le Mariage.
palais-royal. La Rue de la Lune, l'Enseignement,–
le Roman, l'Amant.
P0RTE-sAiNT-MAUTi?r.– Le Fils de la Nuit (Fechter, Mmes
Guyon, Laurent, Page).
SAiTE. L' Avocat Ses Pauvres (Mélingue, Surville, Gou-
get Mme Lejars).
ambigu. –-Prem. de Jane Grey (Dumàine, Ca3tellano,
Omer, Coste, Mlles Lèmerle, Constant, Delaistre).
cirque impérial. Le Marin de la Garde (St-Ernest,
Xïlarence, Taillade, Mmes Erantzia, Florence).
bouffes parisiens. Le Cuvier fc- Ba-fa-clan.
emQUE nap'oléon. Exercices équestres.
hippodrome.– Mardis, jeudis, samedis, dimanches, à 3 h.
robert HOUDiN, boulevard des Italiens, 8. –Magie.
Compagnies d'Âssiwanees.
SOMMES PAYABLES AU DÉCÈS
L'IMPÉRIALE, autorisée par décret de l'Em-
pereur, s'engage à payer au décès de tout père
de famille la somme qu'il veut laisser à sa fem-
me et à ses enfans, et en outre à lui servir, sa'
vie durant, une rente croissant d'année en an-
née. Par exemple, un individu âgé de trente
ans verse jLOO fr. par an, la Compagnie lui paiera
la première année, 3 fr. de rente; la deuxième
année, 6 fr.; la troisième, 9 fr. et ainsi de suite
toujours en montant, et a sa mort elle paiera
A ses héritiers 3,262 fr. 60 c, mourût-il quinze
jours après son premier versement.
1 RENTES VIAGÈRES.
L'IMPERIALE constitue des rentes viagères
immédiates ou différées à tout âge.– Par exem-
ple, pour 100 fr., à 65 ans, elle paie une rente
de 12 fr.; à 70 ans, de 14 fr. -5(J c.; à 75 ans, de
17 fr. 13 c; à 80 ans, de 19 fr. 69 c.
On peut acquérir une rente de 1,000 fe paya^
ble à 60 ans en versant tous les ans, gi le ren-
tier est âgé de 30 ans, 1S7 fr.
GARANTIES OFFERTES AUX ASSURES.
Capital social de l'imper iale. 5.000,000 fi1 l'
Capital de la Compagnie NaJ,io-
nal ass.- and-inv., association 'de
Londres,, affecté p,ar traite spécial ̃
à garamirjtbutes les opérations de
V impériale à -titre de réassurance.. 12,500,000
• 17,500,000 fr.
Indépendamment des fonds provenant des
primes d'assurances et de la constitution, de
rentes viagères.
ISI3?EUBLÈS DÉJÀ ACQUIS PAR L'IMPÉRIALE.
Rue Riehelieu, 98. 0 Qnn ™fr
Itüe de Ivtulh6use,13.. ? e 300 OOO'fr
%e de Mulhouse, 13.. } 2'30O'O00fr-
â'ad. pour toutes demandea d'agences -ou de
ïenseignem;, r. de ~ivoli, laZ, â l'administration.
Cessions de Fonds.– &vls diveja.
M¥ i ÏTïrP 1 "V • rédacteur du çùlletin
•. iji'l'IJ W 18 iî.1 9 "financier delà Presse,
est attaché à laXlaisse, 14, r-. Grange-Batelière,
pour achats, ventes et reports en valeurs fran-
çaises et étrangères. «
Ktf |iijp • 1° Fonds de parfumerie; recet-
ti ~L~~ tes, 40 às de Ÿalbénéfice~l'nets,
EiîIJill tes, 40 à 50 fr.; bénéfices nets,
3,5OJfr.;prix, 6,000 fr. -2<> Lingeries, Modes, j
Débits, Cufés, Hôtels, ete. '̃
M. Boutillier-Demontiéœs, rue Richelieu, 15.
ïiWVIW îi'S'PÏri?lifl7 céder. Loyer,
JHllïIiô II lii ILslilUi 1,000 tr. Affai-
res,' 50,000. Prix, 12,000 fc.
Cerl, rue Crois-des-Petits-Champs, 23.
f
SOENE Vil ET DERNIÈRE,
ame DE MERSAW H^e p'ARTEY.
«apis de mersan {en riant).– Expliquez-moi donc, ma
chère, quelle lubie possède. M«h> de Savoyeux. Elle est
rouge commeune grenade et a failli me renverser, en
passant, d'un coup de manchon ? Vous-mSme4 vous
paraissez bouleversée ?
m^s d'artsy. Ahl Claire, vous me voyez dans
une colère I
MraeDB MERSAs. Vous, en colère? vous ôtea trop
paresseuse pour vou3 donner de ceïfatigues-là Quel
bonheur de respirer Vous voyez que je tiens ma pro-
messe. Vous n'avez rien perdu, assurément en n'al-
lant pas chez Mme de Dampônt c'était pis qu'une
,émeute On manquait d'air, et il y avait des fleurs h
faire évanouir puis les vrais chanteurs étaient ab-
sens, comme toujours. M»e Raveni nous a crié le
« Grâce 1. vieRooert-le-Diable. On aurait pu lui
répondre Grâce pour nous Je croîs que sa bouche
s'est encore agrandie depuis mardi dernier. Eafln,
j'ai soutenu tout cela bravement je n'ai fui que lors-
•que ce poète barbu et chevelu, vous savez"? qui a l'air
d'un sanglier en.chasss, nous a lu des vers sur les
monumens de Rome je me suis sauvée au Capitole,
A propos, que me disiez-vou3 donc, que M'!e Pélagie
de Savoyeux ava.it renoncé au mariage ?. Non seu-
lement elle" sa marie, mais on m;a mémo assuré que
vous étiez pqur beaucoup darçs cette affaire.
arca d'artey. y- Moi, non~certes 'Jq sh'> m..îo.a(,
toujours _t me mêler Corrigée
pour toujours d.9 me mdle* binage Et d'ailleurs,
songer k Mile Pélagie de Savoyeux, cela m'aurait pa-
ru trop ridicule l Quoi, vraiment, elle a découvert un
mapi '? ̃
Mm* de messan. Et un mari charmant, que vous
connaissez, que vous lui avez fait connaître, belle
discrète. C'est M. da Villiers! t
Mme d'artey. M. de Villiers Grand Dieu! Une
me manquait plus que ce dernier coup Non, c'est
impossible! d
m™ de mersan. Impossible Songez donc qtfe je
viens de voir arriver la fiancée, brillante comme un
soleil. Elle lorgnait la porte d'un air distrait tout en
s'éventànt et en feignant de regarderas bergeries de
s.on-é.vep.taii, Yo«§ gaiej g^'Çe çâjèciia
concerts mwsard. Tous les soirs, de 7 à 11 heures
pré catelan (bois de Boulogne). Promenades, Con-
certs, Théâtres, Fêtes tous las jours.
opéra-comique. La première représentation de la
reprise de Jean de Paru, opéra en 2 actes, de Boïeldieu,
aura lieu vendredi 7. Les rôles de cet ouvrage seront
joués par MM. Stockausen qui débutera par le rôle du
Sénéchal Delaunay-Riquier, Lemaire Mlles Boulart,
Henrion et Decroix.
porte-saint-martin. Grand succès. Le Fils de la
Nuit, avec Fechter, Mmes Guyon, Laurent et Page. La
Gallegada par Pètra Camera. Par suite de nouveaux
travaux-, le *rick vire entièrement de bâbord à tribord.
gSïté. On annonce pour lundi prochain une repré-
sentation extraordinaire au bénéfice d'un artiste. Méiia-
gue jouera le rôle qu'il a créé dans Lazare le Pâtre.
Faillites.– Paris, 4 novembre 1856. >
Huniblot (Isidore), marchand de porcelaines et cristaux,-
boulevard de la Madeleine, 1. J. C, M. Drouin'; s. p.
M. Battarel, rue de Bondy, 7. 1
> Desmurs (Laurent), tenant le café Momus, rue dess
Prëtres-Saint-Germain-l'Auxerrois, 19.– J.-c, M. Payen •
s. p., M. Bourbon, rue Richer, 39.
Bertin aîné (Joseph), ancien négociant en vins, boule-»
vard de l'Etoile, 18.– J. c., M. Drouin s, p., M. Sommaire''
rue du Château-d'Eau,.52.
Podevin (Charles), fabricant de chaussures, rue Bona-,
parte, 37. J. c., M. Caillebotte s. p., M. Bourbon, rue
Richer, 39.
Jacquillat (Etienne), marchand de vins, à Batignollès
rue de Chazelle, 86. J. c, M. Payen; s. p., M. Battarel
rue de Bondy, 7. • •̃
Tétard aîné (Jean-François), limonadier, à Charonne
boulevard Fontarabie, 4.-J. c, M. Drouin; s. p., M. Ser-
gent, rue de Choiseul, 6.
Flamand, négociant, rue Bourgtibourg, 12. j; c. M >
Payen s. p., M. Crampel, rue Saint-Marc, 6..
Sraîiia et Fasimes.– Paris, 4 novembre 1856.
(En quint, métr. de 100 kil.) I»marq 621 34 47 15 $3 ka
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breprochain, ~9i.$ysaeus junior,banquier,pla-
ce de la Bourse, 10, à Paris, soit en espèces ou
bonnes valeurs réalisables aux cours cotés, les
sommes qu'elle désire faire valoir, tlura di~c; t g,
une part proportionnelle dans le bénzdcr'desk
opérations du trimestre échéant 1in janvier
prochain, et pourra â cette époç, moyennant;
avis donné un mois d'avance, retirer ses fonds.
augmentes du dividende. ïonds,
Voir, pour plus aanptta ~~agls le journal du.!
Le~ mai dernier. ~<~ Ajournai
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s'adressant a m. querre, agent principal de la
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doivent être envoyées franco: $ accompagnées
du montant toutes les der~a~es par la poste.
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Office du cçawaer«.e'. rue ^VSt-EUstachJ, 34
T
épine, mais il faut avouer qu'elle a les glus belles
dentelles de Paris! Enfin, tout à coug M. de Villiers*
a paru; il a franchi courageusement les obstacles, «
coudoyé même-de jeunes et jolies femmes pour ap-
procher jusqu'à son fauteuil en lui souriant. Je ga^'
ge que c'est comme cela que M. da' Lauzun regardai*
M'ia de Montpensier J r
Mme d'artey.– Ah Claire que vais-je deve^ i
̃"». DÉ MERSAN.-Qu'est-Ce qUi VOUS 't^& j
Ah je devine c'est que vous- avie?, mmf,& un
riage pour M«e Marie de Savoye, et voilà toutes sea
espérances renversées du cOt* de sa tante. Mais corn;
me Mue Pélagie a 80,000 livres de rentes, elle lui fera
peut-être un cadeau de noces.
M«ieD'ARTBY.-Mais ne vous ai-ja pas dit que c'était
M. de Villiers qui devait épouser M"» Marie ? 7
aime de mersan, éclatant de rire. Oh c'est char-
mant. En voulant lui faire épouser la nièce, vous lut
avea.fait innocemment connaître la tante; et tout Mea"
pesé, il a préféré les 80,000 livres de rentes. Sérieuse-
ment, c'est désagréable Mme de Savoyeux va voua
accuser de tout, vous attester fs
Mme d'aetéy. C'est odieux.! Presque toutes nô^
connaissances sont communes. Je ne r$,urrai plus f.p r
re un pas sans rencontrer des vi^g hom^ n n^
me reste plus qu'à partir po^ campagne. Je feraî
valoir, je bâtirai, je planterai; • K
»™ demep^n, Voici bien une autre folie! Lt£
cam2âgne au mois d'avril Jen'aime à voir les fleur*
de pommiers que sur les chapeaux. Habillez^vous,'
vite. Allons faire des. visites. Ce soir, vous irez m
bal. Si on vous parle des Savoyeux, plaidez votra
cause. Les rieurs seront pour vous. Voyons, Laû«
rence, du courage. Demandez à votre miroir si 1$
monde ne vous donnera pas, raison contre Mme? de'
Savoyeux. v
Mme d'artet. •– Allons je suivrai votr.aconsej^4 jav
ferai peut-être mieux d'affronter le fau'dôV^Éûemi T
Mais, quoi qu'il en advienne, je jure Wej» fè^e ûlûâ
songer à marier personne!
Un ton averti en vaut fàuxi t
COMTE DE LÉaffîATi
· ̃'̃(-̃
née par un joyeux banquet. -;̃>
̃– > Les journaux de Lisbonne annoncent l'ouverture
officielle du chemin de fer de Lisbonne à Carreaado
pour le 29 octobre; Cette .section, de 36 kilomètres
d'étendue, constitue la moitié de la ligne de Lisbon-
ne à Santarem, dont la seconde moitié est fort avan-
cée, et sera achevée "dans le courant de l'année pro-
chaine. Le chemin de fer de Lisbonne à Santarem for-
mera tête commune de deux lignes principales de
Lisbonne à la frontière d'Espagne, et de Lisbonne à
la ville d'Oporto, que le gouvernement portugais se
propose de concéder plus tard.
Beaumarchais et M. Scribe continuent a attirer la
foule au Théâtre-Français Une Chaîne et le Mariage
de Figaro font alternativement salle comble.
Nous annonçons aujourd'hui, a nos lecteurs les
importantes publications <ï& MM* fificàelèt. Génin et
Jtotwemère, que vient; de mettre en vente là maison
Chamerot; ̃
r^- A la demande de ses correspondans des .'départe
mens, la Compagnie des Huiles-Gaz retarde de cinq
jonri la clôture de l'émission de ses actions de 100 fr.
En conséquence,-la souscription ?tera irrévocablement
close le 1© du courâkt, à 5 heures eu soir. ¡
Pendant le cours de la souscription, Paaministra-
teur-gérant a triplé l'étendue et le matériel de ses
usines de Belleville et de La Villette, ouvert utfdépôt
général de vente en gros dans le centre de Faris, et
établi des succursales dans beaucoup de départemens.
La fabrication ,d3 ~l' Huile-Gaz se fait jour, et nuit
pour pouvoir subvenir aux demandes journalières;
enfin, tout vient prouver que cette entreprise, qui
donne, d'après des calculs certains, 85 p. 100 de bé-
néfices sur le capital, l employé, sera: éminemment
fructueuse pour ceux qui y auront pris part.
On délivre les dernières actions de la Compagnie
des Huiles-Gaz chez MM. Le Roy et Ce', 21, rue de la
Chaussêe-d'Antin, à Paris.– On, verse en souscrivant
le montait intégral des actions demandées (100 francs
par action). Expédier les fonda des dêpartemens,
soit par lettres chargées, soit' par mandats de poste
ou à vue sur Paris.
L' Union, compagnie française d'assurances sur
la vie, fondée en 1829 et rétablie à Paris, rue la Ban-
que, 15, constitue des rentes viagères à des conditions
avantageuses.- Les arrérages peuvent être payés dans
les départemens et à l'étranger. »
-ï-TATTBRSALi, rue Beaujon (Champs-Elysées.) –La
vente aux enchères du samedi 8 novembre compren-
dra' notamment plusieurs chevaux provenant desÉcu-
rieS impériales et plusieurs chevaux de pur sang.
Pour tous les faits divers noa signés
-le secrétaire de la rédaction, YINÇABD.
a
i'fl
Châles cachemire, châles de laine, tissus cachemire
pour robes, et châles unis pour deuil.
« i'»Ér»n»i *̃̃ iiiiiii ̃itwii-. .̃̃- -m iiaii.
11
-1 11, paix sa Ui.ULGWBD'âMWOWCB» > La Prcaae séparément UN BSl&WC VIMST-CIW^. CBSTpïSS < la Presse conjointement avec le €efflatltastionaei, le «traraaS des ©é&ato, le Pays, la Slèele > BW ERâRG* :¡r'
1 · _v _1-
~ainaicae~ons:
*̃ CIIiTFlET^PAlPîïOîlFE^B.
Adjudication par suite de baisse de mise à
prix 16 novembre 1856, midi, par Me deloison,
n(J1«ire à Brie-Comte-Robert en son étude
lo Du Chfiteléî de Pampnou, avec serre, parc a
l'anglaise, pièce d'eau et dépendances 2° d'une
petite ferme continue, ajec parc de 10 hectares
clos de murs letout sis à Brie. Mise a-prix
Le Ch'atelet, 37,500 fr.; ferme et parc, 50,000 ir.
Nota. Brie est desservi par des omnibus che-
min de fer de Lyon, station de Brunoy, trajet
en 1 h. 1/2 de Paris et bientôt en 45 minutes-
parle chemin de Vincen'nes prolongée Marches
les lundis et vendredis. /g
V ̃"̃ TOME g BEiUIREPÂÏSE l-d^e.
Adjudication en la chambre des notaires de
t, --i= par le ministère de m« dueux, l'un d eux,
41 AS novembre 185(5, heure (te midi,
ni1,' Tfn, de Beaurepaire, située commune
 I- 'm Renient de Château-Thierry
rte Charly ai ronu. c 4 Paris ,t à 4 Mloraè-
(Aisne), a tb lolomeireb « ,+ ,.AJian|. ;ciiemin
1res de la station de Nogen."1 AXisaa. anémia
de fer~ de l'C·t!.
d cKrena.rt'un corps de ferme, 208, hectares
de terres et prés, le tout afferme net d împSts
S,f'Sfl'ti'sncs.
Un pied à terre et un bois de 5 heetares-en-
virony non conipris dans le bail..
Mise à prix. 13o,000fr.
Iî aura adjudication même sur une seule
e>à^liére.
S'aclre'sser, pour visîtgr la propriété, à M. Gar-
oi^1, fermier
Et pour les renseiernenîens
A M* Drgux, notaire à Paris, rue Lfîuis-ie-
Grand, p°'X
iMWPB0PRlÉTÉATfSA1"
eA>(i~l~fi~9~ g5`tJP~tEiI3J~~7~~A~P.1I: S.
Rue-St-Domiin5ue-Saint,-Germaio, 163, (Tune
contenance de l/4b m. 72 c, a vendre par adju-
dication (même sur une seule enchère), en la
chambre des notaires de Paris, par ai* FOVARD,
i'un d'eux. •
Revenu net. suseeptibls dune grande aug:
snentotion, 14,000 francs..
î/iseàprix 260,000 f?. •-
S'adresser sur 1rs lieux et pour les eondi-
tio'js -audit W J.i'Qvard, notaire à Paris, rue
Gamon,*20. «
>a i'çiyta chaussèTdû Maine, 67, à vendre,
atAIâv?lï à la chambre des- notaires de Pa-
-'̃ ris, le mardi ""1*3 novembre 1856, à midi, par le
iuiâistfire-de }{e-?E8ER-r.
&e\snu, 3,690 fr. Alise a prix, 80,0» fr.
AdJsidâiation même sur une seule enchère.
Sadres&ey à W Sebert, agîaira à Paris, rue
deT.aneteflfi£'Çomédie.4. *̃-
'••'•"
̃̃̃̃ SCÈNE Vï.
'moV&tvi, MWW BB BATOYÉCX»
«pa« ds satoyedx, d'un Ion earettant. Pardonnez-
jiabi d'entrer aùisi en tapinois. Je n'ai pas voula Stre
aononcôe, c'est trop solennel, et, entçe nous, tous
avez banni les cérémonies. {S'a»ttyant.) Ah 1 combien
41 me tarde que toute cette grande affaire soit termi-
née pour me reposer 1 C'est un métier bien fatiguant
que celui d'une mère qui marie sa fille J'ai miile
^bpaes à vous dire, chère baronne, et je tremble d'en
,trablier. Ma tête est si remplie, si troubîéel Je suis si
*6ame! A propos, ma pauvre amie est enchantée 1
Elte ne pouvait croire que M. deVilliers, qui s'est
montré jusqu'à présent si difficile pour la fortune,
se eontentât dô 2» dot de ma fille Il faut, m'a-t-elle
dit, qu'il soit pris d'une passion irrésistible; et les
,passi0B0, anjourd'hui, tfest devenu rare.
g^e d'artbt, wbk leaueoup d'embarras. est cer-
tain qua lea jeunes gens "sont trè3 positifs.
M«» de savoïedx.– Je vous parlais ce matin d'une
̃ 65HÎ*' confidence que je vous destinais chère baron-,
'nerjecroteqS'ilestPrild6Ilt£n° pas la retarder,
quoique le sujet *?« P«.4«icat. -Voici ce dont il
^Sl: M. deViUiers va «tatoaçat vous consul-
e~git:,&t. de Villlers va -bien9 je rolis sup=
,*er sur l'achat de ia corbeille. J^11!
f»lie de lui dire (comme de vous-même, t». J ^ne g
̃désolée de laisser accuser ma fille de coquetterie] H
Hé vert est mal. porté cette année. Figurez-vous que
Marie déteste le vert. Ainsi les châles verts, les ve-
lours verts, 163 émeraudes, je la connais elle ne por-
terait rien de tout cela. Elle aime le bleu, le rosé, le
^violet même le violet la blanchit. V
̃Mme d'artet.– Mais, madame, comme j'avais l'hon-
Éeur de vous le dire ce matin, les choses ne sont pas
encore très avancées. '̃̃
-Comment, madame? Il me se té-
Mo o« «n^ttXo nti.'1"*8 sont sur le point de se ter-
S" Suniïens se c^^ » *»*
miner, Les jeunes gens se conr~ familles,
les fortunes. i. •
Mme d'aktey. Au moment de faire le contrat j n
Relève souvent des difficultés imprévues..
Bme savoyeux, vivement. '̃– M. de ViUiers n'en a
Jldtnftllreauçujaejvisau'ici!
Maison Biétry, boulevard des Capucines, 41.
M. Biétry, fonrnisseur breveté de Lb. MM. IL, est
fllateur et fabricant; chaque objet qui sort de sa mai-
son est revêtu d'un numéro d'ordre, d'une étiquette
du prix fixe, etde la garantie de la désignation.,
Sûr demande, on expédie" en province. Seule mai-
son Biétry, 41, boulevard des Capucines. '»
Alimentation publique,
On lit dans le Moniteur
» farines. Situation de la Halle aux farines, au 4
novembre
x> Farines restant de la veille. r. 12,161 13
» Arrivages du jour. 4,224' 31
» Total des- marchandises a vendre. 16,385 44
>». Ventes du jour 4,599 53 1
» Reste disponible t 11,785 91
»lb oçiurs moyen au jour a la naue est ae ou ir. o c;
le cours moyen de la caisse de la boulangerie est de
51 fr. 14 c; –le cours moyen de. taxe de la caisse est
de. 51 fr. 65 c.>- le cours moyen de la veille est de
-51 fr. ,70 c– La taxe a perdu 05 c. »"
On lit dans le Petit Courrier *des Balles; et Mar-
chés
« mvrdi. Farines.– Les déclarations à la Caisse de
service, dans la journée du 3 novembre, comprennent
» 2,925 sacs de farines 1« qualité, livrables dans les 30
ours, de'IS'à 85 fr.; prix moyen, 80 fr. 93 c. les 157 kil.
(51 fr. 55 c. les 100 kil.);
» Et 2,546 sacs à cuisson.
» Les facteurs ont déclaré aujourd'hui 2,930 sacs de fa-
rines. » ̃'
La journal officiel publie ce qui suit f
« D'après les documens recueillis par le ministère de e
l'agriculture, du commerce et des travaux publics, la
comparaison des prix du pain et de la viande à l'étran-
ger, avec les prix des mêmes denrées à Paris, donne les
résultats suivans pour la deuxième quinzaine de "septem-
bre dernier.
» Au 15 septembre, les prix moyens qui ont servi de
base àla taxe de la viande à Paris étaient de 1 fr. 4B c. le
kilogr. pour le bœuf, de 1 fr. 58 e: pour le veau,- de 1 fr.
54 cent. pour le mouton, et voici quels étaient lés prix
moyens à la même date dans les principales villes étran-
gères
Bœuf. Veau. Mouton.
fr: c. fr. c. fr. c.
Londres..ï: 1 89 2 0l 2 07
Glascow. 1- 72 1 60 1 60
Newcastle. 1 83 n n 1 66
Dublin 1 60 2 06 1 60
Anvers. 1 50 1 50 S x
Amsterdam: 1 69 2. )9 1 48'
FlLel: 1 35 1 30 1 30
Dantzick. l 41- 1 47 1 21
TA¥ ïlî M 1 TP/fW è. Paris, rue de Rivoli,
JULÎfi MâlSTO 92, et rue Pernelle, 9,
bâtie en pierre de taille; en face le square de la
Jour Saint-Jacques, à vendre par adjudication,
sur uns seule enchère, -en la chambre des no-
taires de Paris, lemaïdi 18 novembre 1856.
Produit, 15,355 fr., exempts temporairement
d'impôts. Mise à prix 220,000 francs.
S'adresser, pour visiter, au concierge et pour
les renseignemens, à m* lefébure de saint-
iMAun, notaire, rue fîèuve.-StTEustache, 45. »
U-AIdAllT à^aris, rue Sainte-Ma'rguerite-
fllnLlolIlv Saint-Germain, 26, à vendre (sur
uné-seule enchère), en la chambre des notaires,
le 2 décembre 1836.
Produit, 794 fr. Mise à .prix, 10,000 fr.
S'adresser à m" thouard, notaire, boulevard
de Sébastopol, 9. » D
PROPRIETE Mnr€MT vENADKE.
Etude de Me lijgas, avoué à Nevers.
Vente sur licitation, en un seul lot, en l'au-
dience dès criées du tribunal civil .de Nevers,
d'une propriété.conuue sous le nom de propriété
de Ninchat,
Située commune de Nevers,
Consistant en maison" d'habitation, jardin,
pièce d'eau, moulin et port en chantier.
L'adjudication aura lieu le lundi z% novembre
1866. •.̃̃̃̃-
Mise à prix. -20,000 fr.
S'adresser, pour lès renseignemens
A M'« Lucas, avoué poursuivant, demeurant à
Nevers, place Duealp,, 15;
Et à Mc Rouzê, avoué Golieitant.
TERMIN I CÏÏMIPS-ÊLYSÉES
A vendre par adjudication (même sur une
seule enchère)' en la Chambré des notaires de
Paris, jpar 51e QAgum, le 25 novembre 1856,.
Un Terrain- dé' 554 m. QS c, à Paris, rue du
Chemin de Versailles (Chainps-iilysées).
Mise à prix 38,000 francs.
S'adresser pour- visiter au sieur Bamasse,
cantonnier, rue des Bassins
A M. Colijne.au, boulevard Saint-Martin, 59
Et à ïic Diagui», notajre, rue de la Chaussée-
^4011111,30.
ÎKlT 1 T A^ÏTB D'uiSL'C^xtoNcrRiEyÉ
~T Y ~J .nt.~CTIOi~C!'nlEil&E
IL~~y'`~$.% UEF1ÈCES DE TItEnl~~ ~Py
puis 1550 jusqu'a ee_ jour (la'plupart éditions
originales-, et de Livres de littérature, à ven-
dre, le 17 novembre 1856, maison Sjlvestra, par
Me Charles riLLiïr, conimissâire-pris'eur à Pa-
ris, assisté de M. Lavigne, libraire, rue du-Fg-
Montmartre, 29, qui distribue le catalogue.
rilKVA'ÎIY Q17I 1 Iî ET »''iTTELAQE
liilliWilUÂDE iSliLLU humais.
Vente de chevaux de selle et d'attelage, liar-
nais, aux écuries de M. Chéri, directeur de l'é-
tàblissement spécial pour la vente des chevaux,
autorisé par arrêté de M. le préfet de police, rue
de Ponthieu, 49,
Le mercredi 12 novembre 185G, à deux> heures,
Par le ministère de n" fouchet, coremissaire-
priseur à Paris, successeur de M. Ridel, rue
Saint-Honoré, 217.
On pourra visiter les chevaux et harnais chez
M. Chéri, les 10 et 11 novembre 1856, de midi à
chiq heures.. •
•
i-lTlfi à MM. les actionnaires de l'aneienne
il w lij ̃ Société. des établissemens Cavé.
Par suite de la-dissolution de la Société des
établissemens Cavé, il a été formé, sur les ba-
ses expliquées et acceptées dans l'assemblée
générale des actionnaires du 10 janvier 18Ô6,
une autre Sosiété, à laquelle les liquidateurs
ont fait apport de l'actif de la Société dissoute,
avec condition qu'à l'égard des actions de la So-
ciété nouvelle représentant les.2,7&0,000 fr. qui
complètent le fonds de la nouvelle Société, les
actionnaires auraient le droit de les souscri-
re' par préiérence à tous autres proportionnel-
lement aux actions anciennes possédées par
eux. Cette proportion correspond à 125 fr. par
chaque action ancienne.
MM. les porteurs d'actions dé l'ancienne So-
ciété, sont prévenus que le> droit de préférence
à la souscription ci-aessus leur est réservé en
exécution de la condition qui précède pendant
quinze jours qui expireront le 20 novembre 1856.
S'adresser pour souscrire, chez MM. Béchet
Dethomas et Ce, banquiers à Paris, boulevard
Poissonnière, n° 17, ou. sont déposés les statuts
de la Société nouvelle.'
Le gérant de la Société jusqu'à VhomoUgalion
de la Société jinoniftae,
~.lte U ~E~t:nD'7~- ~1al~~lY~:l9Y/
llDEsti1 j>E FER D'BliJSji Ail {j ilÈM|ii« 1
MM. les actionnaires dé l'ancienne Ce des che-
mins de fer départementaux sonfpriiîs de dêpo
ser à radministration centrale, 22, place Vendô-
mp, oii .^«..Crédit financier. 7. rue delà Bourse.
leâactiQiîs-a.onit ils sont 'plduteOi^ ffieuÊ'sieiîâ
délivré "un récéBissé pvovisdire, èh attendant
Il féohün~e cté~j"~i# qlli âe #'eia,prac>aat~enont.
l'échangé définitif qui ge fera proebainement.
îsâuô "1vitonS MW, les souscripteurs qui n'ont
1\ÛUa 1
pas complété leur vérsefflent à se mettre enme-
sure, dans le plus bref délai, afin d'éviter toute
action ultérieure prescrite par les statuts.. i
Nous rappelons 'à tous les demandeurs d ac-
tions que le&statutsnous enjoignent de regapa-
der comme non avenues toutes"les souscriptions
non accomnagaées dû versement obligatoire.
re directeur général, 1
MB>8 p'aktey. Eh 1 bien 1 tout à l'heure, cepen- >
dant, je vous assure,
Hm« de SAvoYEnx.– Vous m'éto^nez. De grâce, ma-,
dame, parlez, que demande-t-ilT
«me d'aktey.– Je ne sais. un peu plus de fortune.
Il craint que M"? de Savoyeux ait des regrets en se
voyant moins brillante que d'autres jeunes femmes.
Mn>e be savoybus, très sèchement. –.Ma fille moins
brillante 1. Est-ce vous, madame, qui avez cru de-
voir inspirer à M. de Viiliers ces scrupules-là ?
Mme D'ABTEY.–Ahj madame, vous ne le pensez pas.
Les jeunes gens, comme vous le disiez, sont devenus
très positifs. "• `
sime. de sa yoyeux.– Je regrette que M. de Villiers
ne se soit pas adressé à moi-même.
h» d'artey, froidement.– Je le regrette aussi, car,
en pareil cas, te rôle d'un tiers est fort ingrat,
b»* de savot eux.– Aussi on s'en lasse et on aban-
donne souvent les intérêts de ses amis, après les avoir
sollicités de vous les confier.
Mme D'ARTEy. ̃ Je n'ai .rien sollicité, madame;
c'est vous qui m'avez demandé cent "foi?, si je ne con-
naîtrais pas un parti convenable pour mademoiselle
votre fille. J'ai nommé M. de Yilliers, et j'ai mis air
sûrement toute l'obligeance possible dans cette négo-
ciation.
• M»» de sAVOYÉtx. Je ne me souviens point, ma-
q"ne, de vous avoir rien demandé de semblable. Ma
fine Dieu n'®a$ Pas si difficile à marier grâ-
ce à ce malheureux projet, j'ai refusé, depuis un mois,
ce à ce malheüréu~ r oj j p.
quatre propositions .beaucoup plus convenables que
celle-ci Enfin, puls-je molT; madame, les propres
paroles de M. de Villiers?
ume d'artey.– Assurément, tnactoie Js vous dois
toute la vérité et j'ai hâte de finir C6 pénible débat.
Veuillez seulement voua rappeler combien je suis in-
nocente des torts de M. de Villiers. Il trouve M"* Ma-
rie charmante! Elle n'a qu'un défaut à ses yeux, c'est
dé n'être pas assez riche. Malheureusement, on lui
a parïé.d'une autrepersonne moins bien, sans doute,
'Ma dont la dot est plus considérable. Il en est ré-
^7* n "+fe antre le'cœur'et la raison je crains
suite une _iu. «̃ Q L' •
quela raison l'emporfo. w- -^f' Jeunes,
gens d'aujour^u; sont ?i positifs if s
Porto: 1, 30 1 62 1 62
nico: 1 45 1 7J 1 50
Livourne. 1 ~6 I 68 1 47
Palei'me. 1 57 1 61 1 09
Malte. '2 44 2 69 1 94
Canstantinople. 1 35 1 35 1 58
Richmond. 1 74 1 85 1 44
Philadelphie. 1 80 1 -35 1 12
» A Paris, le prix du kilogramme de pain de lr0 qualité,
d'âpres les déclarations d'achats faites à la Caisse de ser-
-vice de la boulangerie, ressortait, pour la deuxième quin-
zaine de septembre, à 0 fr. 51 c. A l'étranger-, le pain de
lr<= qualité coûtait, à la date du 15 septembre 1
1-.
A l.ondres. r~4 e.l/2 A Porto. 64 c.
Glasgow 54 Ni.ce. 50'
Newcastle. 52 Liaoucne. 45
Dublin. 54 Palerinè. 60
Anvers. 'SR Malte. 50
Amsterdam. -66 Constantinople. 55
I~ieL. 82 -Richmond. 70
Dantzick 67 Philadelphie. 60-
Cours dèsjlronîeubles.
CHAMBRE DES NOTAIRES. KISES ` PRIX
-du 4 novembre 1 à daliu-
Séance 'du 4 novembre.' priï. rdicatto»-.
1UTUBB ET SITUATION TES PROPRIÉTÉS.
Maison à Paris, rue du Four-Saint-Ger-
main, 68. 3o;000 41,100
Nécrologie.
M. Paul Delaroche, membre de l'Institut, est xdé-
cédé le 4 novembre 1856, en son domicile, rue de la
"Tour-des-Damss, 7. Ses obsèques auront lieu le jeudi
6 courant, à onze heures, en "l'église de la Trinité, sa
paroisse-j rue de Clichy. La famille prie ceux de ses-
amis qui n'auraient pas reçu do lettre d'invitation de
considérer comme telle le présent avis.
Viennent de, mourir M. Champeaux, auteur de
plusieurs vaudevilles, a l'âge de cinquante-huit ans
M. le baron 'de Cressac, ancien -membre" du conseil
général et du conseil municipal de Metz, ancien ad-
ministrateur des hospices, civils, à l'âge de soixante-
dix-huit ans M. Lacaille fils, avocat, l'un des se-
crétaires de la conférence, à l'âge de vingt-quatre
ans; sir John Jervis, un des plus célèbres juriscon-
sultes, ang! ai et président des Plaids communs à
Londres, à l'âge de cinquante-quâtre an3 M. Ni-
colas Flugy (TAspremont, général napolitain.
L'un des gérans, B. Rouy.
Il est une œuvre qui jouit d'une faveur bien méri-
tée c'est la Loterie de Cahors, dont le but est lares-
tauration des treize sanctuaires de Notre -Dame-de-
Eoc-Amadour, pèlerinage fondé par Zachéa et béni
par saint Martial au premier siècle, illustré^ par la
visite des rois, des.saints, et, célèbre par d'innombra-
bles miracles..
Avis aux Actionnaires.
LEIOliniXEAU. ̃?.&
/lie fiHEMINS |}sjB|) fl1%T/rlÏIBlITriilrî1
.̃ A-.i'AyREri'f dï-bloïs.
~tE~LEmBTr~n~wnM aT~TMta?
CuG-u§AU0QLS8l'ALG£RIE
Les actionnaires de la Compagnie générale
des alcools de l'Algérie, dont le siège de la So-
ciété estàPari.s, ruedelaChaussée-d'Antm,21, 1,
sont convoqués en assemblée générale extraor-
dinaire pour le mercredi 19 novembre prochain,
au siège cle la Société, à quatre heures précises
de l'après-midi, à l'effet de délibérer sur des
propositions que le gérant a cru devoir faire
dans l'intérêt de la Société à M. Mahaud, -gérant
de la Compagnie méridionale des sucres et al-
cools de sorgno. '̃
̃ Signé, le gérant, des cillecls.
Achats et ventes d'Immeubles de gré à gré.
A ~D~ BELLES FERMES
A \ENIffiK4 BELLES FEUES
situées dans le Tarn-et-Garenne, à 1,000 mètres
d'une gare du chemin de fer du Midi, et d'une
contenance d'environ 160 hectares de terre pre-
mière qualité. Prix fixe de -l'hectare,, 3,00ufr."
Grand-revenu facilités'pour le paiement.– S'a-
dresser à M. Desclaux, allée Bonaparte, 51, à
Toulouse. ̃«'
̃ïiVt ï V MA KSÏK DE campagne meublée
~i nç C~1511'.iGirE ~eublée 2
:BJ}LLIVMIlJM)li à vendre a Bougival. 2
salons, salle de billard, 6 chambres de maîtres,
écuries, remise, etc. Beaux jadins ànelais et
potager. Eaux vives. Vue magnifique.
S'alr. à m» G-tuçHERON, notaire a Bougival. «
fpsceï? paiifS. Acéderûnè'àc-.
ilH/iv3ÔH.PRÈ3 JTiillliji tion de la chasse
de la. forêt de Jouy,près Nangis, station princi-
pale du chemin de fer de Mulhouse* L'action-
naire peut être accompagné par deux personnes
etcha-ser tous les jours. Prix, 750.fr .–2,500 hect.
Sanglier, loup, renard, chevreuil, 'etc.~S'ad.à M.
palifpl,r.Méi)iirnqntanp,22, pr.lé çfrque ^Japoléûn. n.
USMEUYDIlAttLIQijE a vendus
pour entrer en jouissance de suite. Cette usine
entièrement neuve, sise à Oufrebôis, ai-rondis-'
sèment de Cculleus (ëojjîméi, • "•-̃
Jt'pKqL-^O'Cii'îîvATÙx, • ̃̃'̃
S'adr, pour ïesTenselgn.et pour traiter, à m«
allaut, uptaire a Mài«on-Ponthieu (Somme).*
BiMiogi-apIiie et l'ubSieations divcrîses,
i9É« .bSISillito^s
journal littéraire seul illustré de 12 gr. sur acier
"et 40 gr. sur bois; recueil des meil. feuillet, de la
presse contemporaine, paraissant le 15 de-eliaque
mois. La 17e année a comm. le 15 oct. Paris, 8 tr.j
prov., 9 fr. Bureaux, quai Malaquais, 21,;Paris. »
PHASES oe L'HISTOIRE f.^ce.
Faits littérature; pailosophïe P;ii- Achille
Alèses.. 2'ïr, -=r 'Gali^nani, rue Rkpli, 221,
Mme ]>K savovecx. Madame! c'est un procédé
indigne 1 Si M. de Savoyeux vivait, s'il avait; laissé
un fils, cela ne se passerait pas ainsi
sime d'artey. Hélas 1 un éclat quand il.B'aglt d'u-
ne jeune personne, c'est toujours- fâcheux. Madamoir
selle votre fille n'aura pa3 de paina à trouver l"équ le-
valent d'un mariage. qui, aprè3 tout.
M"0 DE savoyed-x,- vivement.– Avait les plus grands
inconvéniens D'abord, M. de Villiers a peu d'esprits,
d'esprit de conduite, surtout. Bien des gans lui trou-
vent l'air d'un coiffeur; ensuite sa famille n'est pas
'sans tache Sa grand-mère a été très légère, et- ses
aventures, quoique anciennes, ne sont pas oubliées..
M»e d'artey. -*̃ On ^e souvient de plus loin Pais
M. de Jouard laissera -certainement beaucoup a'ux
hospices; vous voyez bien?.
̃ Mmn DE savoybux. Je vois, madame, qu'à l'ave-
nir, je ferai mes affaires moi-mêma C8nt- personnes
m'ont déjà complimentée sur ce mariage. Que rêpon-
drai-je maintenant ? je dirai que c'est moi qui l'ai re-
fusé, assurément mais M. de Villiers aura encore
l'impertinence 4e me démentir,
Mm° d'artey.– Peut-Stré saura-t»il se taire 11 nous
doit, au moins, cette compensation. Cependant, je
n'ose rien promettre en son nom. Voici le premier
mariage dont je .me sois occupée j'ai eu la main
malheureuse J'espère que vos autres amies réussi-
ront mieux que moi, et que j'éprendrai bientôt
l'heureux établissement de", mademoiselle votre fille.
Mme de SAVOYEUS. Vous ne l'apprendrez pas par
moi, madame! Vous compreoe? "que nos relations
sont rompues pour jamais je veux essayer d'en baa- I
nir jusqu'au souvenir 1 1
m™ d'artey. Comme il vous plair», madame;
mais, en réalité, cette leçon est faite pour me rendre
plUS égoïste à l'avenir.
sime de SAV0ïpox. Adieu, madame Permettez-
moi seulement de vous donner un 'dernier conseil?
Ne destinez pas monsieur votre fils à la diplomatie
il n'aurait pas de vocation pour rédiger dçs traités de
paix. '̃̃
Mme d'artey.– Madame, il y a des puissances avec
lesquelles il faut, malgré soi, rester en guerre I
(Elle se lève pour reconduire Mme de Savoyeux, celle-ci
ferme brusquement la porte, devant elle, après avoir
coudoyé M«9 le Marsan «pi enire,;
<+
Cette Loterie (dont les avantages août détaillés aux
annonces) a été approuvée pru! un bref du pape, et
l'autorisation accordée -par le gouvernement accorde
une latitude qui permet de faire un appel à toutes
les populations chrétiennes de l'empire français.
Le ministre de l'intérieur à MM. les préfets.
or Monsieur le préfet, j'ai l'honneur de "vous infor-
mer que j'ai autorisé la publicité et l'exploitation,
dans tous les départemens de l'empire, de la. Loterie
organisée pour la restauration des sanctuaires de
Notre-Dame-de-Eoc-Amadour (Lot). '̃;
» Je vous invite, en conséquence, à donner les ins-
tructions nécessaires pour que, dans votre départe-
ment, les autorités locales n'apportent aucun empê-
chement a l'exécution de cette décision.
» Eecevez,etc. » Paris, le 16 juillet 1856. »
Le public, qui sait aujourd'hui que le Ion est le
véritable Ion, marché, s'adresse pour avoir un bon é-
clairage à la maison Neuburger, rue Vivienne, 4, au
coin du passage Colbert. Cette maison, qui a reçu les
plus hautes récompenses pour la grande perfection
apportée à ses lampes, qui éclairent pendant douze
̃heures sans être remontées, fabrique elle-même, dans
ses vastes atelier3, au Marais, tous ses produits, dont
la supériorité a acquis à cette maison la grande ré-
putation dont elle jouit.
-L'huile de foie de morue naturelle, Exp. 1849 et
1855, se vend pi. del'Hô tel-de-Ville, r. Eivoli, à l'Olivier.
ïkéâtees. Speclaciea du jeudi soir 6 novembres
OPtënA.–
fbançais. Une Chaîne (Bressant, Mme Plessy), les
Suites d'un Bal masqué.
opéra-comique. Zampa (Barbot, Jourdan, Mocker,
Mme Ugalde).
odéon. Prem. représ, de Mme de Monlarcy (Tisserant,
Guichard, Mlle Tnuillier).
italiens. II Trovalore (Graziani, Mathieu, Mlles Altio-
ni, Frezzolini). x
théâtre YniQuÊ. La Fanchonnelte (Monjauze, Mme
Miolhan-Çarvalho).
vaudeville. Le Nid d'amour, la Dame aux Camé-
lia$, Quand l'amour s'en ta.
variétés. Un Tyran domestique, lâchasse aux Ecri-
teaux, Mme Roger.
gymnase. Riche de cœur (Geoffroy), Une Femme qui
déteste son mari (Berton, Lesueur, Dupuis, Mme Rose
Chéri), les Toilettes, le Mariage.
palais-royal. La Rue de la Lune, l'Enseignement,–
le Roman, l'Amant.
P0RTE-sAiNT-MAUTi?r.– Le Fils de la Nuit (Fechter, Mmes
Guyon, Laurent, Page).
SAiTE. L' Avocat Ses Pauvres (Mélingue, Surville, Gou-
get Mme Lejars).
ambigu. –-Prem. de Jane Grey (Dumàine, Ca3tellano,
Omer, Coste, Mlles Lèmerle, Constant, Delaistre).
cirque impérial. Le Marin de la Garde (St-Ernest,
Xïlarence, Taillade, Mmes Erantzia, Florence).
bouffes parisiens. Le Cuvier fc- Ba-fa-clan.
emQUE nap'oléon. Exercices équestres.
hippodrome.– Mardis, jeudis, samedis, dimanches, à 3 h.
robert HOUDiN, boulevard des Italiens, 8. –Magie.
Compagnies d'Âssiwanees.
SOMMES PAYABLES AU DÉCÈS
L'IMPÉRIALE, autorisée par décret de l'Em-
pereur, s'engage à payer au décès de tout père
de famille la somme qu'il veut laisser à sa fem-
me et à ses enfans, et en outre à lui servir, sa'
vie durant, une rente croissant d'année en an-
née. Par exemple, un individu âgé de trente
ans verse jLOO fr. par an, la Compagnie lui paiera
la première année, 3 fr. de rente; la deuxième
année, 6 fr.; la troisième, 9 fr. et ainsi de suite
toujours en montant, et a sa mort elle paiera
A ses héritiers 3,262 fr. 60 c, mourût-il quinze
jours après son premier versement.
1 RENTES VIAGÈRES.
L'IMPERIALE constitue des rentes viagères
immédiates ou différées à tout âge.– Par exem-
ple, pour 100 fr., à 65 ans, elle paie une rente
de 12 fr.; à 70 ans, de 14 fr. -5(J c.; à 75 ans, de
17 fr. 13 c; à 80 ans, de 19 fr. 69 c.
On peut acquérir une rente de 1,000 fe paya^
ble à 60 ans en versant tous les ans, gi le ren-
tier est âgé de 30 ans, 1S7 fr.
GARANTIES OFFERTES AUX ASSURES.
Capital social de l'imper iale. 5.000,000 fi1 l'
Capital de la Compagnie NaJ,io-
nal ass.- and-inv., association 'de
Londres,, affecté p,ar traite spécial ̃
à garamirjtbutes les opérations de
V impériale à -titre de réassurance.. 12,500,000
• 17,500,000 fr.
Indépendamment des fonds provenant des
primes d'assurances et de la constitution, de
rentes viagères.
ISI3?EUBLÈS DÉJÀ ACQUIS PAR L'IMPÉRIALE.
Rue Riehelieu, 98. 0 Qnn ™fr
Itüe de Ivtulh6use,13.. ? e 300 OOO'fr
%e de Mulhouse, 13.. } 2'30O'O00fr-
â'ad. pour toutes demandea d'agences -ou de
ïenseignem;, r. de ~ivoli, laZ, â l'administration.
Cessions de Fonds.– &vls diveja.
M¥ i ÏTïrP 1 "V • rédacteur du çùlletin
•. iji'l'IJ W 18 iî.1 9 "financier delà Presse,
est attaché à laXlaisse, 14, r-. Grange-Batelière,
pour achats, ventes et reports en valeurs fran-
çaises et étrangères. «
Ktf |iijp • 1° Fonds de parfumerie; recet-
ti ~L~~ tes, 40 às de Ÿalbénéfice~l'nets,
EiîIJill tes, 40 à 50 fr.; bénéfices nets,
3,5OJfr.;prix, 6,000 fr. -2<> Lingeries, Modes, j
Débits, Cufés, Hôtels, ete. '̃
M. Boutillier-Demontiéœs, rue Richelieu, 15.
ïiWVIW îi'S'PÏri?lifl7 céder. Loyer,
JHllïIiô II lii ILslilUi 1,000 tr. Affai-
res,' 50,000. Prix, 12,000 fc.
Cerl, rue Crois-des-Petits-Champs, 23.
f
SOENE Vil ET DERNIÈRE,
ame DE MERSAW H^e p'ARTEY.
«apis de mersan {en riant).– Expliquez-moi donc, ma
chère, quelle lubie possède. M«h> de Savoyeux. Elle est
rouge commeune grenade et a failli me renverser, en
passant, d'un coup de manchon ? Vous-mSme4 vous
paraissez bouleversée ?
m^s d'artsy. Ahl Claire, vous me voyez dans
une colère I
MraeDB MERSAs. Vous, en colère? vous ôtea trop
paresseuse pour vou3 donner de ceïfatigues-là Quel
bonheur de respirer Vous voyez que je tiens ma pro-
messe. Vous n'avez rien perdu, assurément en n'al-
lant pas chez Mme de Dampônt c'était pis qu'une
,émeute On manquait d'air, et il y avait des fleurs h
faire évanouir puis les vrais chanteurs étaient ab-
sens, comme toujours. M»e Raveni nous a crié le
« Grâce 1. vieRooert-le-Diable. On aurait pu lui
répondre Grâce pour nous Je croîs que sa bouche
s'est encore agrandie depuis mardi dernier. Eafln,
j'ai soutenu tout cela bravement je n'ai fui que lors-
•que ce poète barbu et chevelu, vous savez"? qui a l'air
d'un sanglier en.chasss, nous a lu des vers sur les
monumens de Rome je me suis sauvée au Capitole,
A propos, que me disiez-vou3 donc, que M'!e Pélagie
de Savoyeux ava.it renoncé au mariage ?. Non seu-
lement elle" sa marie, mais on m;a mémo assuré que
vous étiez pqur beaucoup darçs cette affaire.
arca d'artey. y- Moi, non~certes 'Jq sh'> m..îo.a(,
toujours _t me mêler Corrigée
pour toujours d.9 me mdle* binage Et d'ailleurs,
songer k Mile Pélagie de Savoyeux, cela m'aurait pa-
ru trop ridicule l Quoi, vraiment, elle a découvert un
mapi '? ̃
Mm* de messan. Et un mari charmant, que vous
connaissez, que vous lui avez fait connaître, belle
discrète. C'est M. da Villiers! t
Mme d'artey. M. de Villiers Grand Dieu! Une
me manquait plus que ce dernier coup Non, c'est
impossible! d
m™ de mersan. Impossible Songez donc qtfe je
viens de voir arriver la fiancée, brillante comme un
soleil. Elle lorgnait la porte d'un air distrait tout en
s'éventànt et en feignant de regarderas bergeries de
s.on-é.vep.taii, Yo«§ gaiej g^'Çe çâjèciia
concerts mwsard. Tous les soirs, de 7 à 11 heures
pré catelan (bois de Boulogne). Promenades, Con-
certs, Théâtres, Fêtes tous las jours.
opéra-comique. La première représentation de la
reprise de Jean de Paru, opéra en 2 actes, de Boïeldieu,
aura lieu vendredi 7. Les rôles de cet ouvrage seront
joués par MM. Stockausen qui débutera par le rôle du
Sénéchal Delaunay-Riquier, Lemaire Mlles Boulart,
Henrion et Decroix.
porte-saint-martin. Grand succès. Le Fils de la
Nuit, avec Fechter, Mmes Guyon, Laurent et Page. La
Gallegada par Pètra Camera. Par suite de nouveaux
travaux-, le *rick vire entièrement de bâbord à tribord.
gSïté. On annonce pour lundi prochain une repré-
sentation extraordinaire au bénéfice d'un artiste. Méiia-
gue jouera le rôle qu'il a créé dans Lazare le Pâtre.
Faillites.– Paris, 4 novembre 1856. >
Huniblot (Isidore), marchand de porcelaines et cristaux,-
boulevard de la Madeleine, 1. J. C, M. Drouin'; s. p.
M. Battarel, rue de Bondy, 7. 1
> Desmurs (Laurent), tenant le café Momus, rue dess
Prëtres-Saint-Germain-l'Auxerrois, 19.– J.-c, M. Payen •
s. p., M. Bourbon, rue Richer, 39.
Bertin aîné (Joseph), ancien négociant en vins, boule-»
vard de l'Etoile, 18.– J. c., M. Drouin s, p., M. Sommaire''
rue du Château-d'Eau,.52.
Podevin (Charles), fabricant de chaussures, rue Bona-,
parte, 37. J. c., M. Caillebotte s. p., M. Bourbon, rue
Richer, 39.
Jacquillat (Etienne), marchand de vins, à Batignollès
rue de Chazelle, 86. J. c, M. Payen; s. p., M. Battarel
rue de Bondy, 7. • •̃
Tétard aîné (Jean-François), limonadier, à Charonne
boulevard Fontarabie, 4.-J. c, M. Drouin; s. p., M. Ser-
gent, rue de Choiseul, 6.
Flamand, négociant, rue Bourgtibourg, 12. j; c. M >
Payen s. p., M. Crampel, rue Saint-Marc, 6..
Sraîiia et Fasimes.– Paris, 4 novembre 1856.
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Toute personnequi enverra; avant le 8 no0em~
breprochain, ~9i.$ysaeus junior,banquier,pla-
ce de la Bourse, 10, à Paris, soit en espèces ou
bonnes valeurs réalisables aux cours cotés, les
sommes qu'elle désire faire valoir, tlura di~c; t g,
une part proportionnelle dans le bénzdcr'desk
opérations du trimestre échéant 1in janvier
prochain, et pourra â cette époç, moyennant;
avis donné un mois d'avance, retirer ses fonds.
augmentes du dividende. ïonds,
Voir, pour plus aanptta ~~agls le journal du.!
Le~ mai dernier. ~<~ Ajournai
MEME BE'CÂEOM,"
POUIi GA nES1'AUnATIOïV DES 13 SANCTUAIn$~
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Un lot de. 18,((1G0 1
Diglots (ohacunj de: 1,
D~g lats de.
Cinquante lots de. 30b
TOUS liliS LOXS HEROÎNT PAYES EN AUSjEÎW. '̃'
Premier tirage irrévocable^
.HUIT BÉCEMBRE PRQCflAIN."
Tout billet concourant Ko® faux urageg
SZ 80900ft FBAM€Smp»c
sacnE t7 ~e
Tout souscripteur, avant le 8 décembre, recevri
fronce» domicile la liste des numéros gagnais
Pour 20 francs on recevra 21 billets asiorïis ea
s'adressant a m. querre, agent principal de la
Loterie, jflace. du Capitolef 9, à Toulouse où •
doivent être envoyées franco: $ accompagnées
du montant toutes les der~a~es par la poste.
to? trouve des à PAIUS > chez M.™ Bre-
ton 30, boulev, i^oiBsonnière M; Sehwartz, rua
de 1 £pero£, g, M. Pages, rue de Trév(ise, 18 M.
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T
épine, mais il faut avouer qu'elle a les glus belles
dentelles de Paris! Enfin, tout à coug M. de Villiers*
a paru; il a franchi courageusement les obstacles, «
coudoyé même-de jeunes et jolies femmes pour ap-
procher jusqu'à son fauteuil en lui souriant. Je ga^'
ge que c'est comme cela que M. da' Lauzun regardai*
M'ia de Montpensier J r
Mme d'artey.– Ah Claire que vais-je deve^ i
̃"». DÉ MERSAN.-Qu'est-Ce qUi VOUS 't^& j
Ah je devine c'est que vous- avie?, mmf,& un
riage pour M«e Marie de Savoye, et voilà toutes sea
espérances renversées du cOt* de sa tante. Mais corn;
me Mue Pélagie a 80,000 livres de rentes, elle lui fera
peut-être un cadeau de noces.
M«ieD'ARTBY.-Mais ne vous ai-ja pas dit que c'était
M. de Villiers qui devait épouser M"» Marie ? 7
aime de mersan, éclatant de rire. Oh c'est char-
mant. En voulant lui faire épouser la nièce, vous lut
avea.fait innocemment connaître la tante; et tout Mea"
pesé, il a préféré les 80,000 livres de rentes. Sérieuse-
ment, c'est désagréable Mme de Savoyeux va voua
accuser de tout, vous attester fs
Mme d'aetéy. C'est odieux.! Presque toutes nô^
connaissances sont communes. Je ne r$,urrai plus f.p r
re un pas sans rencontrer des vi^g hom^ n n^
me reste plus qu'à partir po^ campagne. Je feraî
valoir, je bâtirai, je planterai; • K
»™ demep^n, Voici bien une autre folie! Lt£
cam2âgne au mois d'avril Jen'aime à voir les fleur*
de pommiers que sur les chapeaux. Habillez^vous,'
vite. Allons faire des. visites. Ce soir, vous irez m
bal. Si on vous parle des Savoyeux, plaidez votra
cause. Les rieurs seront pour vous. Voyons, Laû«
rence, du courage. Demandez à votre miroir si 1$
monde ne vous donnera pas, raison contre Mme? de'
Savoyeux. v
Mme d'artet. •– Allons je suivrai votr.aconsej^4 jav
ferai peut-être mieux d'affronter le fau'dôV^Éûemi T
Mais, quoi qu'il en advienne, je jure Wej» fè^e ûlûâ
songer à marier personne!
Un ton averti en vaut fàuxi t
COMTE DE LÉaffîATi
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