Presse et revues
4 pages
Titre : La Presse
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1856-11-04
Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication
Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 04 novembre 1856 04 novembre 1856
Description : 1856/11/04. 1856/11/04.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Droits : Consultable en ligne
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/11/2007
quelques instant dans !es ateHël'S dû port de' Lorîent.
Les bat'mens de ]a .fonderie, et des forges sont la
proie des uammes; les toitures s'effondrent, les chemi-
nëes tombent à tout instant.' C'e&tun homMe spectacle.
M Déjà. on pa.rie de'malheurs deux hommes du rëgi-
ment d'artiHerie viennent d'être tues; d'autres, en assez
grand nombre, sont blesses, plusieurs très g-riévement.
? Nous avons suspendu notre tirage pour écrire ces li-
gnes. Il est neuf heures, on est enfin-maître du feu.
< Tout le monde a bien fait sou devoir dMis cette cir-
constance. Les autorités du port ont été admirables de
devoûment. ))
Les journa.uxdeSaint-Jean-de-Terre-Neuve nous
apprennent l'arrivée dans ce port, le 30 septembre
dernier, du steamer ~e/te, de retour de son expédi-
tion de sondage à travers l'Atlantique. Cette expédi-
tion avait pour but de préparer. par des notions pré-
cises, la pose du câble immense qui doit un jour met-
tre en rapport direct les deux mondes.
M. Perrotin .met en vente aujourd'hui le tome ter-
dès M~?Mt?'M du style militaire, la rapidité du récit, la netteté des ju-
gemens, font de ces Mémoires de "véritables commen-
taires~
-–L'institution Massin a fart admettre l'école de
Saint-Cyr les cinq élèves qu'elle y'a présentés ;'eIIe a
fait aussi recevoir cette année 17 bacheliers ès-sciences
et'~1.bacheliers ès-lettres.
Â..Ia demande de ses correspondans des départe-
mens, la Compare ~MBtt~-Cax retarde de cinq
jom'sia clôture do l'émission de ses actions de 100 fr.
J~M COKSe<)'te~e7eHODucocRANT, a57MM~esd!M.'o~.
Pendant le cours.de la Fouscription,, l'administra-
teur-gérant.a triplé l'étendue et le matériel-de sea
usines de 'BeUevDIe et de La Villette, ouvert un dépôt
général de vente en gros dans le centra de Paris, et
établi des succursales dacs beaucoup de'départemens.
–La fabrication de l'~7M!Ga.x Ee,;fâitjour et nuit
pour pouvoir subvenir aux demandes journalières;
ennn, tout vient prouver que cette -entreprise, qui
donne, d'après des calculs certains, 85 p. 100 do bénô-
ûcea sur le capital employé, sera éminemment fruc-'
tueuse pour ceux qui y auront pris part.
On délivre les dernières actions delà Composts
Chaussée-d'Antin, a'Earia. –On verse en-souscrivant
le montant iBtégral.dea actions demandées [100 francs
par action). Expédier les .fonds des~ départemans,
soit par lettre.s chargées, soit par mandata de poste-
ou à vue sur PaMs.
L'émission des actions de lOO'fj'&Bca' au porteur
de la Compote ~ex~aNo~ et BatM 'tinue tous les jours, de'. 10 heures dumatdn a ~heures
aprèa midi. On verse le montant des actions de-
mandées en souscrivant'
Les actions de cette Compagnie offrent aux capita-
listes r
la.fM c~MfM .cef~t'KM de 6~~eg~ ïmpo~aM~, puis-
PB.KEL BE B.& MSNESy&NMOBtSEg t–La. Pfcses~a!< CM B~&NC VEN~T-eSN~ €ESiTïiSaES;–la PFesae coM/mn~aM~ a?sc la €o)Ë!s~KntaoE!îeB, la ~saf~a!' ~es SéS~s, laT'aya, ;le Sîss~ BN Bï&AK~
A~i~cattMM.
mm CMpA~m
Etude de steG!'<~KD. notaire a.Montmorency.
Veatc par.adjudicatiGQ, le dimanche S no-
vembre 1856, a une heure,
D'une grande et belle Maison de~campagne,
~vecjarAm, sise à Montmorency, rue et place
iSerHospiee,C.
Vuemagmagu~ sur.Ja vaH6&.
Miseaprix.S'?.OdOfrane9.'
'Une seuJe enchère adjugera.
Etude de Ma BKoc.MT, avoue à Paris, rue
Neîtve-Saint-Aug'ustin, 60.
Vente en l'audience des criées du tribunal
pivilde la-Sëine, le 29 novembre ~85G, 2 heures
~e relevée, en un seul lot;
D'uœ grande propriété, composée dé deux'
-ïnaisons l'eûmes, sise a-Paris, boulevard S~int-
Martia,I3,etrueMeslay,6.
Cette ;gi'iinde propriété, avant ~3 mètres 28
centimètres de façade sur le boulevard,'et-21
métrés 74 centimètres de façade sur la ru& Mes-
!n.y, comprend une superficie tot?:!e d'envjron
S04 métrer 29 centimètres câpres, et-sc~.J&eve*-
nù, susceptible d'augmentation, s'élève,'d'aptes
les locations actuelles, à 29.020 fr.
Charges annuelles, 3~8 fr.
Mise à prix. 250~000 francs.
S'adresser pour lés renseignemens, à
1< M? Brochot, avoué poursuivant, rue Neuve-
Baint-Augustin,,60;
2" M~ Boudin Deveevres, notaire, rue Mont-
tnartre,131;
S<'M~Fouehe'r, notaire,'rua. de Provence, S8.
m~ so~oT. A PAMS.
Etude de ;M< ÉHtLE Ab, avoue à Pans, rue
deRivoU.HO.
Vente sur surenchère da dixième, au Palais–
de-Justice, à Paris Je jeudi 13 novembre 1856,
deux hcurea de relevée
D'nne maison sise & Paris, rue Soufaot, 16.
Revenu. 10,000 fracea. c.
Mi~e & prix. 135,500 &aDcs.
S'adresser audit Ms Adara, à M''Roche, avoué
& Paria;, boulevard Beaumarchais, 6, et a M<'
Boutet, avoué a Paris, rue TSaiIIbn,2p.
~j nu>, '~p
A PAMS..
Adjudication (même sar une seule enchère),
6 la eR~mbre des notaires de Paris, par le mi-
nistère da Xf mnBcx. l'un d'eux, le mardi 2 dé-
cembre 1~6, uMire de midi,
D'UBetiatscn siSeàBarIs, rueMontorgu.eil~
~'
6'â~i-p~f & M° Dreux, no~ire & Paris rue
t~b~a-M~
Passeas au deuxième système de chauSage etd.e
jt~ntila~oa qui a été élaNi a rhôpital Lariboisiëre,
!Ë'aprè$Iea pïsas de MM. Thomas et Laareas. Ici,
!e chaînage est produitpard&Ia~vapeur d'eau, qui
traverse des peéles ou rése~oirs d'eau, et la vea-
jilâËoa est provoquée par ua agent mécanique.
Le système de .veniuaHon mécanique est bien
supapiecr, selon nous au procédé de ventilation
p9f opp~.Ylestm~s en usagé depuis assez loBg-
temps a la cnstaUene de Baccarat, où Fon a pu
coastater son utile iaûueace sur la santé 'des ou-
vriers. H a été étaMi a !a Chambre des dépatës.
!i fonctionne avec ua sucées admirable à Londres,
dans la saUe de distribution des lettres, dans uae
pièce où quinze cents personnes sont réunies.
C'est celui qui a été adopté déSaitivement dans
les miaea, d~as I§ plupart des hauts-fourneaux et
dans leaforges c'est, en ëHet, avec des machi-
iCes souMantes que l'on porte dans les foye~l'é-
Borme quantité d'air qu'ils consomment. C'est en-
Ëa la méthode qu'adopta la commission scientiS-
gée, par l'administration des hospices, d'indiquer
ïe système à adopter pouï'l'hRpit~ Lariboisière.
Voici en quoi consiste ce système!
Unemachiae a vapeur placée dans une caTe, a
~'extrémité de l'hôpital, met en mouvement un
'ventilateut'âforce centrifuge. Calui-cl aspire, d'un
eôté, l'air-qu'il puise au sommet du clocher de la
~haae~ gousse, l'ange eo~~ dans un
grand, tuyau qai va le porter et le distdbuer aux
'Siffëreotessa~es à~vehStep.'
La vapeur à quatre atmosphères, qHe proamt la
chaudière, fai!. marcher le ventilateHr~ et perd
emsiune partie de sa force élastique, sans perdre
presque rien de sa chaleur. De venue vapeur à basse
pressioa au sortir de la machina, elle est em-
ployée comme moyen do chauffage. Pour cela, elle
est reçue dans ua tuyau spécia!, dest lesramiSca-
tionsse rendentdans les poêles à eau'qui-se trou-
vent placés dans les salles. Cette vapeur se con-
dense en cédantsa chaleur auxpiè.ces qu'elle par-
court. Revenue à l'étatliquide, elle est rapportée
à lamachine, qui lui rendra bientôt spaéta~ga-
<58a&e~n)~6M~t
que le prMIeg'a de !a Compagnie s'étend su? toa-te !a
France et que l'objet de son exploitation rencontra
dans toutes les viûes le plus chaleureux accueil
2" DM eo~difto~ de se'e~n' de ~j'aceme. ~Hco?tfM-
de lioiHbreux immeubles, salies de bains et lavoirs, en
plein rapport;
3° Des aMK~M y<:}'NN'nes subordonnes a ceux des actions de chemina de fer;
le gouvernement accorde une subvention de 33 p. 100
sur les frais de premier établissement, et les.eommu-
nes y ajoutent 15 p. 100 parla -valeur des terrains
qu'elles concèdent,,ce qui f.iit'48 p. 100.
L'exploitation des Lavoirs et des Bains par le même
calorifère et d'après un système qui présente da 50 à
100 p.'100.d'économie, le'Tessivage~ la vapeur, dont
~application a:eté;ordonnée au blanchissage du linge
.de l'armée, la vulgarisation da prix des bains, qui
sont une nécessité publique tels sont les élémens do
succès- assurés que présentent hs actions de la Co.'K-
;payHMdM.Ba!auo:'r~, et qui en foitt le place-
ment le plus sûr, le plus moral et le plus fructueux.
On souscrit chez MM. CH. DE"<ÉCHAnD et Ce, 21, rue
de la Chaussés-d'Antin, a Paris.Adresser les fonds.
des départemens par lettres chargées la posteou en
espèces par les Messageries et chemins de fer.
Le premter numéro de la SMe~c de CAamp/~Mfy
vient de paraître, pédigée- sans collaborateurs, cette
Revue renfermera chaque mois un article de critique,
un conte, uno nouvelle, une biographie, et les nou-
velle des théâtres et des arts. Sommaire du premier
numéro t/is T'e~~ms~re~e, Lettre ajf.F<'M: ~JeM~M6f~ .B~<ÏC;fS .SMM~OTM de JOM'M!'M,
Gazette du mois. Un vol. in-33..
Pour tcusl~ bits divers non sign&t:
t.e 6ecr6ta!ra de la r~oAction P. YINCAN).
La lutte enire le châle français et le châle étranger
existe toujours, et probablement elle existera long--
temps encore. Ce sont, au resté, deux beaux produits
qui n'appartiennent pas seulement au domaine de la
mode, mais qui font indispenaablemënt partie de la
toilette des dames.
Nous voyons continuellement des maisons impor-
tantes faire savoir, par la voie des journaux, qu'elles
traitent directement a Lahoro avec des fabricans de
chates. Nous trouvons ce moyen tout naturel il est
aussi logique de faire connaître son commerce par'Ia
voie de la publicité que de mettre son nom sur sa
porte ou 'dans l'almanach Didot.
M. Biétry aura rendu _unservlce.éminent & l'indus-
trie du châle français, non-seulement 'psr -les pro-
grès ;qu'il a faits et qu'il a fait f&ire a la fabrication
de ses produits, m~s'aussi en. défendant, a l'aide
.de saccinces nombreux, le travail national, et en fai-
sant l'application du principe da responsabilité, c'est-
à-dire la garantie de la'quatité de l'objet livré à l'a-
'cheteur. Il en résulte qu'aujourd'hui le cachemire
français est admis h titre égal avec le cachemire de
l'Inde par toute femme de goût délicat, et dont la
p i C 8 ~,®fiâ~i9~9®92f' 1S a~v'L9~'û9Éà1 8v~ Z$~°r~'i~ la â f r
mM B~m~E~SE' Msàix.
A vendre par adjudication volontaire, le di-
manche 30 ilôvembra I83G, en l'ët'ude et par le
ministère de )n<' cooR'rnsR, DotaiM, à -Meaux
(S<*ins-et.Marne),u6TrortchOB,
Une tt'ea baHë MAISON bourgeoise, située- &
Meaux.'entre cour et jardin, rue des Ursulin'es
et-rue du CoUëg-e, avec entrée par une porte co-
chëresùr la rtie des.Ursutines jardin plante à
l'anglaise, pavllloa et serre chaude dansj le
jardia.
.On pourra traiter & l'amiable du~riehe mobi-
Her'garùissant la maison.
Miseàprix. GO.OOOfrancs.
Jouissance du l~jantier 1857.
Facilites pour le paiement-du prix.
On adjugera sur une seule enchère.
S'adresser, pour visiter la maison et connaîtra el
les conditions *de la vente, audit M" Courtier, l
notaire. «
m§(M.ET BATI~OLLES
'Etu.deàeM'*9t.4.)ftQMs,avouëàParis,r.GailloB,lI,
successeurdeM~Berthier.
Vente sur publications judiciaires, au Palais-'
de-Justice, & Paris.. le 15 novembre 185C, deux
JieùreadereIévëë,endÉuxIots:
1° D'uneJMaison nouvellement construite, avec
cour, petit ]'ardin et dépendances, sise a Ba.ti-
~noUes-Monceaux (Seine), rue Saint-Geoi'ses,
1H. Su.pera.cie, 152 mètres, environ rapport net,
susceptible d'une augmentation considérable,
l,930fr.en'?iron.
Miseâprt's:16,C08fr.-
8° D'un Terrain avec constructions commen-
cées et-élevées jusqu'au premier ëtag'e.sis à
Bo.tig'noUes, impasse Trëzel, devant porter le
no 31. Superficie, 275 mètres 10 centimètres en-
viron.
Mise à prix 4,000 fr.
S'adresser, pour les renseignemess
1" Audit M" Marquis,
2o A M~ Hardy, avoue, rue Neuve-Saint-Au-
g'ustin,i0;
Ho A M. Lacoste, syndic, rue Chabanna.tB, 8
Et sur les lieux, pour les visiter.
SM§ONA~IJRBEmE.(s.~)..
Etude de M'' posTEt.-Duso.ts, avoue à -Paris,
rue Neuve-des-Capuein.es, n" 8.
Vente au Palais-de-JustiCi', à Paris, Ie2~ no-
vembrel856.
D'une MAISON et dépendances, situëe à Cour-
bevoie,ruedeParis.. 1
Mise à prix 8,000 fr.
S'adresser, pour les rensei~nemens
!<' A' M~ Poatel'Dnbbis, avoue pourauiYa.nt, à
?aris, dépositaire d'une copie dn eatner des
charg'es;
S" Et a Cesp~ux, huissief & Coarbevole.
prêtés sont uUtisées, et uiiUsées avec une perte
minime: la vapeur produit son effet méçaBiqua,
se détend, et cède ensuite sa chalear latente ~n
repaasaat à rétat liquide.
L'air poussé par le ventUat~ar dans le grand
tuyau porte-vent, se divise entre ses ramiRcations,
;et se rend aux salles qu'il doit ventiler mais, a-
vantde se mélàager à l'atmosphère de l'enceinte,
H parcourtnnconduit situé sor la ligne médiane,
et s'échauffe au contact des tuyaux de vapeur et de
retour d'eau il traverse ensuite les poètes, à qsi
il prend encore de la chaleur. L'air sortant des
p8èie&, monte a la partie supérieure de la saH~,
s'étend en nappe et descend ensuite, poussé par
derrière, par de nouvelles couches qnile suivent
et le remplacent. Il arrive bientôt dans la zone
de !a respiration, et, parvenu à la partie infé-
rieure, il s'engage dans les conduits d'évacuation
.qui fegaentdans les murs latéraux et se rendent
tous à une vaste cheminée commune placée à la
partie supérieure du comble, d'où il s'échappe au
dehors. v
L'air qui pénètre dans la.sal!e, y arrive par la li-
gne médiase,eteommeil ea sort par les parois
latérales, après avoir pareourn le trajet que nous
avons indiqué, il est bien forcé de changer conti-
nuellement et complètement l'atmosphère de l'en-
ceiate,
Toat .cet. al:' produit donc ici un effet utile.
Tandis que, dans la ventilation par appel, une bon-
ne'p5r~e de l'ai! dont qa constate l'issue par :a
cheminée, est entré parles joints des croisées, a
rasé le mm'pour serendreal'ouYertHre d'appa!
sans se méiaager h l'air de !a sa!le, ici, aa contrai-
re, tout rah' qui entre, produit une ventUation ef-
fective. Aussi, à volume égal d'air débité, la ven-
tilation mécanique, établie dans les conditions pré-
cédentes, prodnit-eU~ plus d'effet que la ventilation
parappeL e
Voila donc nne des différences capitales dans
lea résultats fourais par les deux systèmes. Ce
n'est pas la seule.
M., Grassi a trouvé que, tandis jque le sys-
tème par 9ppej. jaisa~ .eQtrer par tes po~es 5S
,posiHon fait l&i dans Ie~ quësMoilS de toilettcti 61ê
gantes et d'une hauta distinction.
Actes iïa gaav'M'sfH~est,,
AFFAIRES ÉTRANGÈRES. Pâma décret du 30 sep-
tembre dernier, des médailles d'honneur de 2'' classe,
en or, ont été accordées a .don Ramon Castro, adju-
dant de la marine espagnole, capitaine du port de
Corcubion, et a don Joss Gonzales, ~commandant des'
carabiniers royaux du cap Finistère, qui se sont si-
gnalés par le dévouement avec lequel ils ont porté
recours au navire de commerce français l'jExpofr, qui
se trouvait en danger da .périr, corps et biens, près
du cap Finistère, le 11 décembre de l'année dernière.
Alimentation paMqtec.
On lit 'dans le ~oKt~Mr
<: FAMNES. –Situation de la halle aux farines au
3 novembre
B Farines restant de la veille. 13,186 25.
D Arrivages du jour. 5,&T3 89-
x Total des marchandises a vendre. 1T,'760 14
? 'Ventes du jour. 5,899 01
)) Reste-disponible. 13,161 13
z Le cours moyen du jour a la halle est de 51 fr. 23
c.; le cours moyen dé la caisse est do 51 fr. 55 c. le
cours moyen de la taxe de la caisse est de 51 fr. 70 c.
le cours moyen de la veille est de 51-fr. '78 c. La taxe
a perdu 05c. D
On lit dans l'Echo s~ftc.o~
((MJXDi.–Les facteurs ont déclaré aujourd'hui 3,566
sacs de farines,'dont
» 3~7 sacs disponibles de '78 à 83 fr.; prix moyen, 80 fr.
43 c. les 151 kilog\'(51 fr. 23 c. les 100 kilog.);
s En revente, 64 sacs de T9fr.aSc.a84-h'
a A livrer, 3,135 sacs de~9à81fr.
B Le restant sur place n'a pas .éprouve de variation
sensible; il est,.ce soir, de 13,161 quintaux..
a. Bien que les marchés, sans doute en raison des tra-
vaux des semailles, n'aient pas été, cette semaine, aussi
largement approvisionnes, circonstance due aussi au dé-
rangement de la. plupart des marehës; à cause de 1~ iëte
de la Toussaint, les blés ont encore fléchi presque géné-
ralement. »
CeaM et TM&HBaax.
Aujourd'hui a. eu Heu, au palais, la rentrée des
cours et tribunaux. Après avoir entendu, en l'église
d&la Sainte-Chapelle, la messe du Samt-E~prit, dite
par M. l'abbé Surat, archidiacre de Sainte-ûeBeviëvs.
la cour de cassation, la -cour impériale de Paris et le
tribunal civil de la Seine ont tenu.. leur audience so-
lennelle, chacun dans sa chambro'respective.
La cour de cassation, réunie sous la présidence de
M. Troplong, premier président, a procédé à l'instal-
mM-A MT!~M.E§ (sEiNE)
Etude de K° CART:EK, avoué a Paris, rue di
Rivoli. n" 81, successeur de M. Mercier.
Vente par suite (le surenchère du sixième, er
raùdienee des saisies immobilicres du tribuna
civil de la Seine, le jeudi 13 novembre 1856.
D'une Maison,. sise à BM'.gnolias-Monceau~
(Seine), avenue de Saint-Ouen, n°.39.
Saperncie' environ 13 ares.
.MMéàprix. S3,in&.
S'adresser.a MM~ Cartier, Gamard et Hardy
avoues a. Paris.
~TI~QO~IB~tj' d'~ne CRÉANCE
i1i§J~°'i['iA~r~i~i.~ RYPOT3ECAIRE.
Adjudication, en l'Étude de M~ MM.HTRE, no-
taire à Paris, rue de Rivoli, 64, le 8 novembre
2856, à midi,
De la Nue-Propriété d'une créance hypothé-
caire de3J,COOfr.
Mise à prix 5,000 francs..
La. rentière est âgée ds quarante-huit ans.
S'adresser a M° Leinaïtre, notaii'o a Paris, rue
de.Rtvol~ 64, et~ M~ Aviat, avoue, rue-Rouge-
mont,6.
~M~RMPTi~ a P~M~ a
4 tWi.Hi&lHetdePicpus.Ai A~i3. 0
Etude de aïs DELACommE avoué a- Pans,
rue des Pyramides,'8.
Vente en l'audience 'des criées du tribunal
civil de la_ Seine au Palais-de-Justice, à Paris,
le mercredi 19 novembre 18:6, deux heures de j
relevée,
D'uùe Grande Propriété sise à'Pc.ris rue de
HeuiHy. 11H, et rus de Picpus, 64, d'une conte-
nance d'environ. 1 hectare 45 ares, comprenant
lo un vaste hëtel avec jardin portant sur la rue
Picpus le n° 61 S" des constructions impor-
tantes formant une cité ouvrière en cours d'éxe-
cution, d'après des plans approuvés par l'Etat,
auxquels avait été attachée une subvention de
243,000 francs.
Mise a. prix. ~llB.COO.francg.
S'adresser, pour les renseignemens
1" A M< Delacourtie, avoue poursuivant, de-
'mëurant à Paris, rue des Pyramides-, 8-;
2° A M" Duché, avoue & Paris, rue Neuve-des- Il
Petits-Cha.mps, 4o
3oEtsurleslieux,àug'àrdieQ.
~mfmm' A MpEm-EN-FER
Pfëcedemment affectés à la navigation du
RHONEetdeIasAO~E,
Vendus par adjudication
En l'étude et par le ministère de M" TCKQUET.
notaire a Paris, rue d'Antin, le jeudi 11 décem-
bre 1336, heurs de midi.-
DÉSIGNATION:
1° t.E pARistE?) ? 1. B:tsse pression, puis-
sance de 60 chevaux; Titesse, 20,0~0 mètres.
S'')LEPAMS!EK ?3.– Basse pression, puis-
e&Rcede 120 eheYaux:.vitesse, S8.000 métrés.
mstres, cubes d'air par heure et par malade, la
ventilation inéoaaique ea doanait 115. Cette
quantité d'air, déjà si graade, fournie par uae
machine faisant marcher un seul, ventilateur,
pourrait encore être augmentes dans uae grande
proportion si des circoastaaces malheureuses,
use épidémie, .par exempt exigeaient une ventila-
tion plus énergique et une augmentation du nom-
bre des lits conteEuadaas les salles.
Le générateur de vapeur sert encore à chauffer
l'eau nécessaire aux malades il dessertie service
des baias ordinaires et des bains de vapeur, et
fournit l'eau chaude qui alimente la buanderie de
l'hôpital. Des.dtspositionsparttCHliërea permettent
d'augmenter l'humidité de l'air iajecté quand il est
trop sec par les grands froids, ou de le rafraîchir
pendant les chaleurs de l'été. On peut, à volonté,
ouvrir ou îermer les croisées sans troubler la ven-
tilation la même quantité.d'a'r pur entre tou-
jours par la partie centrale de la salle.
Le chauffage, dans ce dsrnier système, se pro-
duit avec une régularité parfaite. On réunit ainsi
l'avantage du chauffage à la vapeur, qui résulte
de l'instantaQéitéde l'af~t, à celui da chauffage à
Feau, qui, dans les poêlas, met en réserve de
grandes quantités de chaleur qui se dissipent len-
tement et à mesure des besoins.
~Dass la suite de son mémoire, M. Grassi passe
ea revue les, objections qui ont été faites à chacua
de ces deux systèmes opposes que Bons veaons de
décrtre, (y est une ë~ie expérimentale dans la-
quel'e Bous ne le suivrons pas, aËn d'évHey d,e-
trop longs détails.
M. Grassî coaclut que ïa ventilaHon produite
par un sg6nt mécanique doit être préférée toutes
les fois que l'ea peut utiliser, pour des chauffages
divers, la vapeur qui sert a faire nMrchsr le vea-
tilateur..
Pour termine!' cet exposé des nouveaux procé-
dés de ventilation et de chauffage dss lieux pu-
blics, nous parlerons d'un système vraiment re-
marqHabIs par l'éeonoraie de ses résultats, et qui
est du à un médecin belge, M. le docteur Van
Hecks, de ~uxeHes, L'appareMc-Q~ir~t d'âpre
lationdedeux onseMleM récemment~ nommés, ~IM.
LenoMe et Lascoux. Le discours de rentrée a ensuite
été pronoDcô par M. le procureur-g'énéral de Royer
M. le prpcureur-g'éa.éral appris pour thèse Fêtât de la
législation française sous Louis XIV; il .a parlé du
procès du surintendant Fouquet, et s'est longuement
étendu sur les actes qui caractérisent l'administration
de Colbert. `
MM. les membres du conseil de l'ordre des avocats
près la cour de cassation ont été admis & prêter ser-
ment, puis l'audience solennelle a été levée.
–La cour impériale, présidée par M.'Delang~ë, pre-
mier président, a procédé a l'installation de M. Parta-
-riëu-Lafosse, nommé président de chambre; do M.
Barriat-Saint-Prix, nommé conseiller; de MM. Marie,
substitut de M. le procuEeur-général; Oordoen, pro-
cureur-impérial; Jolly, substitut.
Le discours d'usage a ensuite été prononce par M.
le procureur-général Vaïsso, qui a pris. pour thèse les
institutions actuelles de la. France..
A la ûa, M. le procureur-général a rappelé les longs
services rendus par M. le président Barbou, récem-
ment décédé, et il a rendu hommage a sa méoloire.'
MM. les membres du conseil des avocats près la
cour, et les membres do la cham'bre des avoués, ont
été admis a pEeter-serment, puis l'audience solen-
nelle a été levés.
Z'~K~cM t~s ~H~!cM, me'~o~e aK~-Roter~oK.
~nti-phonographit[ue naturelle-universelle, dite mé-
séances publiques et gratuites, les 4, 6 et 8 novembre,
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de JK(itt~afc'
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GYMNASE. –Relâche, pour le spema.cle.a'Compisgne."
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S" LE PARISIEN ? S. Moyenne pression, puis-
sance de 63 chevaux; vitesse, 17,000 mètres.
4° LE fAMHE't ? 4. Basse pression puis-
sance de 200 chevaux, vitesse, S3,500metres.
5° LE fAMSiEN ? 5. Basse pression puis-
sance de 200 chevaux, vitesse, 23,500 mètres.
'Ces bateaux sont gares à Lyon, où l'on ds-
vra s'adresser, pour les visiter, à M. Desvos–
seaux, 28, rue de Bourbon.
J!<. On traitera f). l'amiable avant le joue de
l'adjudication, s'il est fait des oËros sufn'santës.
Pour Scmialtre tes conditions et prendre tous
renseignemens, s'adresser à Paris
lo Chez M<' Turquet, notaire, rue d'Â;ntin,dë-
posi!aire du cahier des charges;
2° Chez M. Tavenet.boul. Beaumarchais, 80. e
Coaipagnîes d'Assarsaees.
'-M~MV.E~ARBE.'
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Cette Compagnie qui vient da.se former, sous
la. direction de MM. Crab de Walder et Ce, a!
pour objet de donner aux propriétaires et prin-
cipaux locataires, les renseignemens plus
circonst&nsies et les plus certains sur'la solva-
bflitëdeleurs locataires. Par Jour position et leurs
relations MM. Crab de Walder et Ce sont à
même de puiser à des sources authentiques sur
recompte de tout locataire.'
Les bureaux sont ouverts tous les jours de
LO heures à 4 heures.
!~M~'IMÏ~YE' MASCULM. Assuran-
bll~â't916ü~Tl3~ce mufaelle depuis i
ui~ f i5 H 0 ij aj &i'.ÂN ce- mutuelle depuis
la naissance jusqu'à 20 ans, mises annuelles,
dépôts de fonds dans une caisse de l'Etat, resti-
tution en cas de dëcës. Rue de Rivoli, 39.
CeasSess de !Font!s.– Avts d4veM,
~"?S?I~H~V rédacteur du Bulletin
N1) JL'maJWi~iLjL~BnMioier delà Py-MM,
est attaché a. la Caisse, 14, r. Grange-Batelière,
pour axhats, ventes et reports en valeurs fran-
çaises et étrangères. .a «
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m tt~~i~M t ger produit, 5 à 6,000 &, prix,
6,COO fr. 2o Institutions, Charges, Ofnees,
Propriétés, etc.
M. BoutHiier-Damontiërag, tue Richelieu, 15.
les plans de M. Vaa Heeke tonetîeane, depuis
pluaeurs aaaées, dans divers édifices ~Mtes de
Bruxelles. L'admmistratioa des hôpitaux de Paris,
en-ayaat été informée, a fait étaMir par Inven-
teur an de ses 'appareils dans aa des paginons de
soixante ëts de l'hôpital Beaujon, où U a été~où-
mis à diverses expér~Mes.
Le système de M .Van Hecke a pour basa la vea-
iHation mécanique, moyen dont la supéf~rité est
a nos yeux dénaitivement ju~ée. C'est donc là un
point de départ dont la valeur absolue nous sem-
ble acquise. Mais il présente encore une supério-
rité marquée, au point de vue de l'économie, su r
les moyens mécaniques de ventilation adoptés par
MM. Thomas et Laurens. On peut dire qu'avec ce
système, la dépense est réduite à la p}u3 faible
.proportion possible. Voici, d'ailleurs, l'ensemble
des dispositions qui le composent.'
M. le docteur Van Hecke se sert de calorifères
à air chaud comme moyen de chauffage. L'auteur
les combine avec un système de ventilation méca-
nique, dans lequel l'air est mis ea mouvement par
ua venHMeur particulier de son invention, mu par
use petite machine à vapeur. La vapeur qui a ser~ =
vi a faire marcher la machine, est employée au
chauffagede l'eau nécessaire aux besoins des ma-
lades.
Le principe de cet appareil est bon, ëi ses ef-
fets pouvaient étre'prévns d'avance. Aussi les ex-
périences qm~at été faites par ordre de l'admi-
nistration des hospices ont-elles fait coastatër,
dans la chemisée d'évacuation, un débit ~de
~MMK~ tHetfM CM&M d'atf psr~eMre ~parMa~cde.
CerésùUat est surtost remarquable par la force
très mienne qui le produit, caria machine n'em-
ploie, dansées circeEsiances, qu'un quart de
cheval vapeur, et ne brûle pas use quantité de
combustible plus grande que celle que consom-
maient les fourneaux d'oîËce qui existaient avant
son établissement.~
L'appareil de M. Vac necbe est muni d'un dyna-.
nomètre.-doEt le cadran, visiMe à tous les étages
de l'hôpital, mdiqao, a tout moment, l'état de la
ïea~Qn~ Bers~t j~M~~
?o!Guyon, Laurent, Page).
SAMTE. L'jit'ocsS (~s JPftKt'M~ (Mêlingue, S~rvillë, Gou-)
Mlles CamiUo Lemerle, Isabelle Constani').
e~QUE E'):ï'ë:t.:A~ –Le ~ct?*<)t de for. Gftfde (Samt-Eme~
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ce de la Bourse, 10, a. Paris, soit en espeeë~
bonnes valeurs réalisables aux cours cotes~es
sommes qu'elle désira faire valoir, aura, dreit à/
une part proportionnelle dans le bénéfice des 1
opérations du trim&stre échéant fin janvier
prochain, et pourra à cette époque, moyennant.
avis 'donne un mois d'avance, retirer ses fonds,
augmentes du dividende.
~oir.tROMfpitis NBtpiM ~aHs, le journal da
i'~mai-
a~rfE' M.Lëon'Mayer.dcLyon.a l'honneur
ii. W~t3t d'iQforiaersa;nombreuseclienteIe que,
par suite d'une convention ent,re MM. Walichet
tui, SRs magasins de châles des Indes sont trans-
fères dans les magasins de ces messieurs, rue
Saint Cerne, n" S, à Lyon, où il en effectuera Is
vente comme par le passe. Les magasins de
MM. Walich ont pour enseigne A LA COM!*A-
GMEBESMMES.
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instantaaée desesï-ésultais. Ua compteur spécM
permet de déterminer le volume d'air quia ét~
extrait par la machine pendant plusieurs mois coa-
~écutifs, et cela au moyen de deux (dMervatioas
seulement.
Une des différences de ce derBiersys~a~~e~
celui que MM. Thomas et Lanreas oat établi S
l'hôpital Lariboisière réside en ceci le Tentilateus
de MM. Thomas et Laurens pousse rair daas la
salle, tasdis queceM de M. Van Hec&e, placé am
haut de l'édiace, l'aspire par la partie supérieure.
Cette dermère disposition s'est pas bonae, se!o~
nous. EMeprëgeato, en effet, use partie des iocea-
yéBieas qu~ aaus avoBS reproches, avec M. Grasa~
à la Teati!atioQ par "appel. Mais rien ne serait p!s
facile que dé les éviter. Hsufarait de placer le veQ~
iilateup de M. Van HecJke au bas de l'édiace, ?
l'origîBe dacenMt qui apporte rair, au lieu de~
le laisser installé, comme il l'est en ce moment y
au sommet de t'hôpitaL
M. Vas Hecbe, qui avait d'aillears jorëva c~~
convéaiens, se placera très aisément ~aas I,ës ccB-
ditioasque Bous vea~Bs d'indiquer. R.-sera très'
intéressant, alors, d'étudKï'les eSeis produits pà?;
son appareil daas sa aouvëlle si~tion~
DisoEs,pocriersi~aer,qae l'admiaiaih'~onJe `
la guetTe, quifa~stMif'eaaeemaaie~~Vin~~
cermes, u~Mpital de quatre ceBtsKts.etqm s'oc-
cupe avec nB zèle éclaire du bien-être de ses ma-;
lades, a récemment ouvert ua concours auquel oatif `.'
pris parties principaux iavëoteurs des systèmes
de chauffage et de veBtilation. Comme les apha~ v
reilsde ces divers coBstructears ~oactioBBenItoas
sujourd'hui daas TtB des hôpitaux de PaHS, i!s:
seroBt jugés d'après leurs oeuvres, et leur inven-
tion pourra être étudiée sur piace, par l'observa*
lion et l'expénecce directes. Le réstdtstt iq CES~-
cours ouvert par le miBistre de ta guerre pour~
donc 6xer l'état actuel de la science sur l'iia-
porfaBte question d'hygiëae publique qa~coat
vesons d'examiner~
S'et.MmeLpjn.rB). J
FaMiMes.–Paris, 3"n6vembre 1866.
~aites.et Fapises. Parî9, 3 novembre 1858.
OM~EM~~R~ demoisella-
Y~~ ~°" Pourn'etre.occupêe que de'
rà 5 h. 9.' &. par mois. Rue St-Honorë, S~ a~
1~, chez M. GERVAis, chimiste, et inventeur du
rem.ede contre les-Cohs Aux HEDS.
M M~MR °~' ~bricantet.caUba".
~y* ay~'dé 35& 40 miUa
francs,, désire se marier S.- une demoiselle ou
une dame veuve, de vingt-cinq à trente~
ans, possédant à peu près-là même ~mme
ne serait pas uD obstacle au mariaMsi!Î
dame a.Tait des 9nfans. ~sil~
~°°~~ poy iesiantë; aùg initiales J. B..
??' ~?~ pouvant disposer de 20020 6-,
~i9 M désire les placer dans une infustriemi
dans une invpntion.-S'adresser & M~Eousset 5~'
p:aee de. la Bourse, de 9 heuresàSheure~
ÏI~ ?~MN ans désire entrer, en'qua-
qJl ~f~Li~ Mé ttè dame de compabnier
aJi.~iJË~~mSMe de dame de comDa~n!a'
S~ ~"°~ F~ce
-iranger.
Ecrire, poste restante, aux initiales H. D.
aêtc!s.– Naisoas meaMéca. B.estaa?aB~.
-PR~ MtjBGEojsE, rue Picpus,' 33. Cetf
M~ .e~Mtssement, situé dans un ho-
tei,suivi d un jardin anglais spacieux, oSreaux
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1~ ~pénsionpcursalleamânger,
poreelain° Med ~~snsionpoursalleaman~er~
!connu~S~
tais~St-blart~~ri., Chiû. connus: Détarl. Egp, publ.w:
MGLÂms
JONES et C° parfs, boulv. des Capucinas, 43. Cesr
Brosses sont incomparables pour leur solidité et:
n'ont aucun des mconvéns de celles fabriquées!
jusqn à ce jour. Brosses pour les dents, quai; su-"
peMeure, lu- ou 5 ff.'la. demi-douzaine, ~ecta-
Me et grand choix de coutellerie anglaise. Objets
de fantaisie.Dépôt de'guipures d'Mande.
~A?~?~Mj~~T~ exécution Gt:repr
tes sortes de sujets arttstiques eh b~ufet tm~
reliefs. Portraitë. trophées et attr~bu~ en to~s
genres. Secialité d'ornemens pq~r&dise et cou~
meubles antiques, modernes ttrSuMM~
OJlivier~vastre, n3, f~ourg S~~t~
ï~s.GïjmR.
Les bat'mens de ]a .fonderie, et des forges sont la
proie des uammes; les toitures s'effondrent, les chemi-
nëes tombent à tout instant.' C'e&tun homMe spectacle.
M Déjà. on pa.rie de'malheurs deux hommes du rëgi-
ment d'artiHerie viennent d'être tues; d'autres, en assez
grand nombre, sont blesses, plusieurs très g-riévement.
? Nous avons suspendu notre tirage pour écrire ces li-
gnes. Il est neuf heures, on est enfin-maître du feu.
< Tout le monde a bien fait sou devoir dMis cette cir-
constance. Les autorités du port ont été admirables de
devoûment. ))
Les journa.uxdeSaint-Jean-de-Terre-Neuve nous
apprennent l'arrivée dans ce port, le 30 septembre
dernier, du steamer ~e/te, de retour de son expédi-
tion de sondage à travers l'Atlantique. Cette expédi-
tion avait pour but de préparer. par des notions pré-
cises, la pose du câble immense qui doit un jour met-
tre en rapport direct les deux mondes.
M. Perrotin .met en vente aujourd'hui le tome ter-
dès M~?Mt?'M du style militaire, la rapidité du récit, la netteté des ju-
gemens, font de ces Mémoires de "véritables commen-
taires~
-–L'institution Massin a fart admettre l'école de
Saint-Cyr les cinq élèves qu'elle y'a présentés ;'eIIe a
fait aussi recevoir cette année 17 bacheliers ès-sciences
et'~1.bacheliers ès-lettres.
Â..Ia demande de ses correspondans des départe-
mens, la Compare ~MBtt~-Cax retarde de cinq
jom'sia clôture do l'émission de ses actions de 100 fr.
J~M COKSe<)'t
Pendant le cours.de la Fouscription,, l'administra-
teur-gérant.a triplé l'étendue et le matériel-de sea
usines de 'BeUevDIe et de La Villette, ouvert un dépôt
général de vente en gros dans le centra de Paris, et
établi des succursales dacs beaucoup de'départemens.
–La fabrication de l'~7M!Ga.x Ee,;fâitjour et nuit
pour pouvoir subvenir aux demandes journalières;
ennn, tout vient prouver que cette -entreprise, qui
donne, d'après des calculs certains, 85 p. 100 do bénô-
ûcea sur le capital employé, sera éminemment fruc-'
tueuse pour ceux qui y auront pris part.
On délivre les dernières actions delà Composts
Chaussée-d'Antin, a'Earia. –On verse en-souscrivant
le montant iBtégral.dea actions demandées [100 francs
par action). Expédier les .fonds des~ départemans,
soit par lettre.s chargées, soit par mandata de poste-
ou à vue sur PaMs.
L'émission des actions de lOO'fj'&Bca' au porteur
de la Compote ~ex~aNo~ et BatM 'tinue tous les jours, de'. 10 heures dumatdn a ~heures
aprèa midi. On verse le montant des actions de-
mandées en souscrivant'
Les actions de cette Compagnie offrent aux capita-
listes r
la.fM c~MfM .cef~t'KM de 6~~eg~ ïmpo~aM~, puis-
PB.KEL BE B.& MSNESy&NMOBtSEg t–La. Pfcses~a!< CM B~&NC VEN~T-eSN~ €ESiTïiSaES;–la PFesae coM/mn~aM~ a?sc la €o)Ë!s~KntaoE!îeB, la ~saf~a!' ~es SéS~s, laT'aya, ;le Sîss~ BN Bï&AK~
A~i~cattMM.
mm CMpA~m
Etude de steG!'<~KD. notaire a.Montmorency.
Veatc par.adjudicatiGQ, le dimanche S no-
vembre 1856, a une heure,
D'une grande et belle Maison de~campagne,
~vecjarAm, sise à Montmorency, rue et place
iSerHospiee,C.
Vuemagmagu~ sur.Ja vaH6&.
Miseaprix.S'?.OdOfrane9.'
'Une seuJe enchère adjugera.
Etude de Ma BKoc.MT, avoue à Paris, rue
Neîtve-Saint-Aug'ustin, 60.
Vente en l'audience des criées du tribunal
pivilde la-Sëine, le 29 novembre ~85G, 2 heures
~e relevée, en un seul lot;
D'uœ grande propriété, composée dé deux'
-ïnaisons l'eûmes, sise a-Paris, boulevard S~int-
Martia,I3,etrueMeslay,6.
Cette ;gi'iinde propriété, avant ~3 mètres 28
centimètres de façade sur le boulevard,'et-21
métrés 74 centimètres de façade sur la ru& Mes-
!n.y, comprend une superficie tot?:!e d'envjron
S04 métrer 29 centimètres câpres, et-sc~.J&eve*-
nù, susceptible d'augmentation, s'élève,'d'aptes
les locations actuelles, à 29.020 fr.
Charges annuelles, 3~8 fr.
Mise à prix. 250~000 francs.
S'adresser pour lés renseignemens, à
1< M? Brochot, avoué poursuivant, rue Neuve-
Baint-Augustin,,60;
2" M~ Boudin Deveevres, notaire, rue Mont-
tnartre,131;
S<'M~Fouehe'r, notaire,'rua. de Provence, S8.
m~ so~oT. A PAMS.
Etude de ;M< ÉHtLE Ab, avoue à Pans, rue
deRivoU.HO.
Vente sur surenchère da dixième, au Palais–
de-Justice, à Paris Je jeudi 13 novembre 1856,
deux hcurea de relevée
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Revenu. 10,000 fracea. c.
Mi~e & prix. 135,500 &aDcs.
S'adresser audit Ms Adara, à M''Roche, avoué
& Paria;, boulevard Beaumarchais, 6, et a M<'
Boutet, avoué a Paris, rue TSaiIIbn,2p.
~j nu>, '~p
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Adjudication (même sar une seule enchère),
6 la eR~mbre des notaires de Paris, par le mi-
nistère da Xf mnBcx. l'un d'eux, le mardi 2 dé-
cembre 1~6, uMire de midi,
D'UBetiatscn siSeàBarIs, rueMontorgu.eil~
~'
6'â~i-p~f & M° Dreux, no~ire & Paris rue
t~b~a-M~
Passeas au deuxième système de chauSage etd.e
jt~ntila~oa qui a été élaNi a rhôpital Lariboisiëre,
!Ë'aprè$Iea pïsas de MM. Thomas et Laareas. Ici,
!e chaînage est produitpard&Ia~vapeur d'eau, qui
traverse des peéles ou rése~oirs d'eau, et la vea-
jilâËoa est provoquée par ua agent mécanique.
Le système de .veniuaHon mécanique est bien
supapiecr, selon nous au procédé de ventilation
p9f opp~.Ylestm~s en usagé depuis assez loBg-
temps a la cnstaUene de Baccarat, où Fon a pu
coastater son utile iaûueace sur la santé 'des ou-
vriers. H a été étaMi a !a Chambre des dépatës.
!i fonctionne avec ua sucées admirable à Londres,
dans la saUe de distribution des lettres, dans uae
pièce où quinze cents personnes sont réunies.
C'est celui qui a été adopté déSaitivement dans
les miaea, d~as I§ plupart des hauts-fourneaux et
dans leaforges c'est, en ëHet, avec des machi-
iCes souMantes que l'on porte dans les foye~l'é-
Borme quantité d'air qu'ils consomment. C'est en-
Ëa la méthode qu'adopta la commission scientiS-
ïe système à adopter pouï'l'hRpit~ Lariboisière.
Voici en quoi consiste ce système!
Unemachiae a vapeur placée dans une caTe, a
~'extrémité de l'hôpital, met en mouvement un
'ventilateut'âforce centrifuge. Calui-cl aspire, d'un
eôté, l'air-qu'il puise au sommet du clocher de la
~haae~ gousse, l'ange eo~~ dans un
grand, tuyau qai va le porter et le distdbuer aux
'Siffëreotessa~es à~vehStep.'
La vapeur à quatre atmosphères, qHe proamt la
chaudière, fai!. marcher le ventilateHr~ et perd
emsiune partie de sa force élastique, sans perdre
presque rien de sa chaleur. De venue vapeur à basse
pressioa au sortir de la machina, elle est em-
ployée comme moyen do chauffage. Pour cela, elle
est reçue dans ua tuyau spécia!, dest lesramiSca-
tionsse rendentdans les poêles à eau'qui-se trou-
vent placés dans les salles. Cette vapeur se con-
dense en cédantsa chaleur auxpiè.ces qu'elle par-
court. Revenue à l'étatliquide, elle est rapportée
à lamachine, qui lui rendra bientôt spaéta~ga-
<58a&e~n)~6M~t
que le prMIeg'a de !a Compagnie s'étend su? toa-te !a
France et que l'objet de son exploitation rencontra
dans toutes les viûes le plus chaleureux accueil
2" DM eo~difto~ de se'e~n' de ~j'aceme. ~Hco?tfM-
plein rapport;
3° Des aMK~M y<:}'NN'
le gouvernement accorde une subvention de 33 p. 100
sur les frais de premier établissement, et les.eommu-
nes y ajoutent 15 p. 100 parla -valeur des terrains
qu'elles concèdent,,ce qui f.iit'48 p. 100.
L'exploitation des Lavoirs et des Bains par le même
calorifère et d'après un système qui présente da 50 à
100 p.'100.d'économie, le'Tessivage~ la vapeur, dont
~application a:eté;ordonnée au blanchissage du linge
.de l'armée, la vulgarisation da prix des bains, qui
sont une nécessité publique tels sont les élémens do
succès- assurés que présentent hs actions de la Co.'K-
;payHMdM.Ba!auo:'r~, et qui en foitt le place-
ment le plus sûr, le plus moral et le plus fructueux.
On souscrit chez MM. CH. DE"<ÉCHAnD et Ce, 21, rue
de la Chaussés-d'Antin, a Paris.Adresser les fonds.
des départemens par lettres chargées la posteou en
espèces par les Messageries et chemins de fer.
Le premter numéro de la SMe~c de CAamp/~Mfy
vient de paraître, pédigée- sans collaborateurs, cette
Revue renfermera chaque mois un article de critique,
un conte, uno nouvelle, une biographie, et les nou-
velle des théâtres et des arts. Sommaire du premier
numéro t/is T'e~~ms~re~e, Lettre ajf.F<'M:
Gazette du mois. Un vol. in-33..
Pour tcusl~ bits divers non sign&t:
t.e 6ecr6ta!ra de la r~oAction P. YINCAN).
La lutte enire le châle français et le châle étranger
existe toujours, et probablement elle existera long--
temps encore. Ce sont, au resté, deux beaux produits
qui n'appartiennent pas seulement au domaine de la
mode, mais qui font indispenaablemënt partie de la
toilette des dames.
Nous voyons continuellement des maisons impor-
tantes faire savoir, par la voie des journaux, qu'elles
traitent directement a Lahoro avec des fabricans de
chates. Nous trouvons ce moyen tout naturel il est
aussi logique de faire connaître son commerce par'Ia
voie de la publicité que de mettre son nom sur sa
porte ou 'dans l'almanach Didot.
M. Biétry aura rendu _unservlce.éminent & l'indus-
trie du châle français, non-seulement 'psr -les pro-
grès ;qu'il a faits et qu'il a fait f&ire a la fabrication
de ses produits, m~s'aussi en. défendant, a l'aide
.de saccinces nombreux, le travail national, et en fai-
sant l'application du principe da responsabilité, c'est-
à-dire la garantie de la'quatité de l'objet livré à l'a-
'cheteur. Il en résulte qu'aujourd'hui le cachemire
français est admis h titre égal avec le cachemire de
l'Inde par toute femme de goût délicat, et dont la
p i C 8 ~,®fiâ~i9~9®92f' 1S a~v'L9~'û9Éà1 8v~ Z$~°r~'i~ la â f r
mM B~m~E~SE' Msàix.
A vendre par adjudication volontaire, le di-
manche 30 ilôvembra I83G, en l'ët'ude et par le
ministère de )n<' cooR'rnsR, DotaiM, à -Meaux
(S<*ins-et.Marne),u6TrortchOB,
Une tt'ea baHë MAISON bourgeoise, située- &
Meaux.'entre cour et jardin, rue des Ursulin'es
et-rue du CoUëg-e, avec entrée par une porte co-
chëresùr la rtie des.Ursutines jardin plante à
l'anglaise, pavllloa et serre chaude dansj le
jardia.
.On pourra traiter & l'amiable du~riehe mobi-
Her'garùissant la maison.
Miseàprix. GO.OOOfrancs.
Jouissance du l~jantier 1857.
Facilites pour le paiement-du prix.
On adjugera sur une seule enchère.
S'adresser, pour visiter la maison et connaîtra el
les conditions *de la vente, audit M" Courtier, l
notaire. «
m§(M.ET BATI~OLLES
'Etu.deàeM'*9t.4.)ftQMs,avouëàParis,r.GailloB,lI,
successeurdeM~Berthier.
Vente sur publications judiciaires, au Palais-'
de-Justice, & Paris.. le 15 novembre 185C, deux
JieùreadereIévëë,endÉuxIots:
1° D'uneJMaison nouvellement construite, avec
cour, petit ]'ardin et dépendances, sise a Ba.ti-
~noUes-Monceaux (Seine), rue Saint-Geoi'ses,
1H. Su.pera.cie, 152 mètres, environ rapport net,
susceptible d'une augmentation considérable,
l,930fr.en'?iron.
Miseâprt's:16,C08fr.-
8° D'un Terrain avec constructions commen-
cées et-élevées jusqu'au premier ëtag'e.sis à
Bo.tig'noUes, impasse Trëzel, devant porter le
no 31. Superficie, 275 mètres 10 centimètres en-
viron.
Mise à prix 4,000 fr.
S'adresser, pour les renseignemess
1" Audit M" Marquis,
2o A M~ Hardy, avoue, rue Neuve-Saint-Au-
g'ustin,i0;
Ho A M. Lacoste, syndic, rue Chabanna.tB, 8
Et sur les lieux, pour les visiter.
SM§ONA~IJRBEmE.(s.~)..
Etude de M'' posTEt.-Duso.ts, avoue à -Paris,
rue Neuve-des-Capuein.es, n" 8.
Vente au Palais-de-JustiCi', à Paris, Ie2~ no-
vembrel856.
D'une MAISON et dépendances, situëe à Cour-
bevoie,ruedeParis.. 1
Mise à prix 8,000 fr.
S'adresser, pour les rensei~nemens
!<' A' M~ Poatel'Dnbbis, avoue pourauiYa.nt, à
?aris, dépositaire d'une copie dn eatner des
charg'es;
S" Et a Cesp~ux, huissief & Coarbevole.
prêtés sont uUtisées, et uiiUsées avec une perte
minime: la vapeur produit son effet méçaBiqua,
se détend, et cède ensuite sa chalear latente ~n
repaasaat à rétat liquide.
L'air poussé par le ventUat~ar dans le grand
tuyau porte-vent, se divise entre ses ramiRcations,
;et se rend aux salles qu'il doit ventiler mais, a-
vantde se mélàager à l'atmosphère de l'enceinte,
H parcourtnnconduit situé sor la ligne médiane,
et s'échauffe au contact des tuyaux de vapeur et de
retour d'eau il traverse ensuite les poètes, à qsi
il prend encore de la chaleur. L'air sortant des
p8èie&, monte a la partie supérieure de la saH~,
s'étend en nappe et descend ensuite, poussé par
derrière, par de nouvelles couches qnile suivent
et le remplacent. Il arrive bientôt dans la zone
de !a respiration, et, parvenu à la partie infé-
rieure, il s'engage dans les conduits d'évacuation
.qui fegaentdans les murs latéraux et se rendent
tous à une vaste cheminée commune placée à la
partie supérieure du comble, d'où il s'échappe au
dehors. v
L'air qui pénètre dans la.sal!e, y arrive par la li-
gne médiase,eteommeil ea sort par les parois
latérales, après avoir pareourn le trajet que nous
avons indiqué, il est bien forcé de changer conti-
nuellement et complètement l'atmosphère de l'en-
ceiate,
Toat .cet. al:' produit donc ici un effet utile.
Tandis que, dans la ventilation par appel, une bon-
ne'p5r~e de l'ai! dont qa constate l'issue par :a
cheminée, est entré parles joints des croisées, a
rasé le mm'pour serendreal'ouYertHre d'appa!
sans se méiaager h l'air de !a sa!le, ici, aa contrai-
re, tout rah' qui entre, produit une ventUation ef-
fective. Aussi, à volume égal d'air débité, la ven-
tilation mécanique, établie dans les conditions pré-
cédentes, prodnit-eU~ plus d'effet que la ventilation
parappeL e
Voila donc nne des différences capitales dans
lea résultats fourais par les deux systèmes. Ce
n'est pas la seule.
M., Grassi a trouvé que, tandis jque le sys-
tème par 9ppej. jaisa~ .eQtrer par tes po~es 5S
,posiHon fait l&i dans Ie~ quësMoilS de toilettcti 61ê
gantes et d'une hauta distinction.
Actes iïa gaav'M'sfH~est,,
AFFAIRES ÉTRANGÈRES. Pâma décret du 30 sep-
tembre dernier, des médailles d'honneur de 2'' classe,
en or, ont été accordées a .don Ramon Castro, adju-
dant de la marine espagnole, capitaine du port de
Corcubion, et a don Joss Gonzales, ~commandant des'
carabiniers royaux du cap Finistère, qui se sont si-
gnalés par le dévouement avec lequel ils ont porté
recours au navire de commerce français l'jExpofr, qui
se trouvait en danger da .périr, corps et biens, près
du cap Finistère, le 11 décembre de l'année dernière.
Alimentation paMqtec.
On lit 'dans le ~oKt~Mr
<: FAMNES. –Situation de la halle aux farines au
3 novembre
B Farines restant de la veille. 13,186 25.
D Arrivages du jour. 5,&T3 89-
x Total des marchandises a vendre. 1T,'760 14
? 'Ventes du jour. 5,899 01
)) Reste-disponible. 13,161 13
z Le cours moyen du jour a la halle est de 51 fr. 23
c.; le cours moyen dé la caisse est do 51 fr. 55 c. le
cours moyen de la taxe de la caisse est de 51 fr. 70 c.
le cours moyen de la veille est de 51-fr. '78 c. La taxe
a perdu 05c. D
On lit dans l'Echo s~ftc.o~
((MJXDi.–Les facteurs ont déclaré aujourd'hui 3,566
sacs de farines,'dont
» 3~7 sacs disponibles de '78 à 83 fr.; prix moyen, 80 fr.
43 c. les 151 kilog\'(51 fr. 23 c. les 100 kilog.);
s En revente, 64 sacs de T9fr.aSc.a84-h'
a A livrer, 3,135 sacs de~9à81fr.
B Le restant sur place n'a pas .éprouve de variation
sensible; il est,.ce soir, de 13,161 quintaux..
a. Bien que les marchés, sans doute en raison des tra-
vaux des semailles, n'aient pas été, cette semaine, aussi
largement approvisionnes, circonstance due aussi au dé-
rangement de la. plupart des marehës; à cause de 1~ iëte
de la Toussaint, les blés ont encore fléchi presque géné-
ralement. »
CeaM et TM&HBaax.
Aujourd'hui a. eu Heu, au palais, la rentrée des
cours et tribunaux. Après avoir entendu, en l'église
d&la Sainte-Chapelle, la messe du Samt-E~prit, dite
par M. l'abbé Surat, archidiacre de Sainte-ûeBeviëvs.
la cour de cassation, la -cour impériale de Paris et le
tribunal civil de la Seine ont tenu.. leur audience so-
lennelle, chacun dans sa chambro'respective.
La cour de cassation, réunie sous la présidence de
M. Troplong, premier président, a procédé à l'instal-
mM-A MT!~M.E§ (sEiNE)
Etude de K° CART:EK, avoué a Paris, rue di
Rivoli. n" 81, successeur de M. Mercier.
Vente par suite (le surenchère du sixième, er
raùdienee des saisies immobilicres du tribuna
civil de la Seine, le jeudi 13 novembre 1856.
D'une Maison,. sise à BM'.gnolias-Monceau~
(Seine), avenue de Saint-Ouen, n°.39.
Saperncie' environ 13 ares.
.MMéàprix. S3,in&.
S'adresser.a MM~ Cartier, Gamard et Hardy
avoues a. Paris.
~TI~QO~IB~tj' d'~ne CRÉANCE
i1i§J~°'i['iA~r~i~i.~ RYPOT3ECAIRE.
Adjudication, en l'Étude de M~ MM.HTRE, no-
taire à Paris, rue de Rivoli, 64, le 8 novembre
2856, à midi,
De la Nue-Propriété d'une créance hypothé-
caire de3J,COOfr.
Mise à prix 5,000 francs..
La. rentière est âgée ds quarante-huit ans.
S'adresser a M° Leinaïtre, notaii'o a Paris, rue
de.Rtvol~ 64, et~ M~ Aviat, avoue, rue-Rouge-
mont,6.
~M~RMPTi~ a P~M~ a
4 tWi.Hi&lHetdePicpus.Ai A~i3. 0
Etude de aïs DELACommE avoué a- Pans,
rue des Pyramides,'8.
Vente en l'audience 'des criées du tribunal
civil de la_ Seine au Palais-de-Justice, à Paris,
le mercredi 19 novembre 18:6, deux heures de j
relevée,
D'uùe Grande Propriété sise à'Pc.ris rue de
HeuiHy. 11H, et rus de Picpus, 64, d'une conte-
nance d'environ. 1 hectare 45 ares, comprenant
lo un vaste hëtel avec jardin portant sur la rue
Picpus le n° 61 S" des constructions impor-
tantes formant une cité ouvrière en cours d'éxe-
cution, d'après des plans approuvés par l'Etat,
auxquels avait été attachée une subvention de
243,000 francs.
Mise a. prix. ~llB.COO.francg.
S'adresser, pour les renseignemens
1" A M< Delacourtie, avoue poursuivant, de-
'mëurant à Paris, rue des Pyramides-, 8-;
2° A M" Duché, avoue & Paris, rue Neuve-des- Il
Petits-Cha.mps, 4o
3oEtsurleslieux,àug'àrdieQ.
~mfmm' A MpEm-EN-FER
Pfëcedemment affectés à la navigation du
RHONEetdeIasAO~E,
Vendus par adjudication
En l'étude et par le ministère de M" TCKQUET.
notaire a Paris, rue d'Antin, le jeudi 11 décem-
bre 1336, heurs de midi.-
DÉSIGNATION:
1° t.E pARistE?) ? 1. B:tsse pression, puis-
sance de 60 chevaux; Titesse, 20,0~0 mètres.
S'')LEPAMS!EK ?3.– Basse pression, puis-
e&Rcede 120 eheYaux:.vitesse, S8.000 métrés.
mstres, cubes d'air par heure et par malade, la
ventilation inéoaaique ea doanait 115. Cette
quantité d'air, déjà si graade, fournie par uae
machine faisant marcher un seul, ventilateur,
pourrait encore être augmentes dans uae grande
proportion si des circoastaaces malheureuses,
use épidémie, .par exempt exigeaient une ventila-
tion plus énergique et une augmentation du nom-
bre des lits conteEuadaas les salles.
Le générateur de vapeur sert encore à chauffer
l'eau nécessaire aux malades il dessertie service
des baias ordinaires et des bains de vapeur, et
fournit l'eau chaude qui alimente la buanderie de
l'hôpital. Des.dtspositionsparttCHliërea permettent
d'augmenter l'humidité de l'air iajecté quand il est
trop sec par les grands froids, ou de le rafraîchir
pendant les chaleurs de l'été. On peut, à volonté,
ouvrir ou îermer les croisées sans troubler la ven-
tilation la même quantité.d'a'r pur entre tou-
jours par la partie centrale de la salle.
Le chauffage, dans ce dsrnier système, se pro-
duit avec une régularité parfaite. On réunit ainsi
l'avantage du chauffage à la vapeur, qui résulte
de l'instantaQéitéde l'af~t, à celui da chauffage à
Feau, qui, dans les poêlas, met en réserve de
grandes quantités de chaleur qui se dissipent len-
tement et à mesure des besoins.
~Dass la suite de son mémoire, M. Grassi passe
ea revue les, objections qui ont été faites à chacua
de ces deux systèmes opposes que Bons veaons de
décrtre, (y est une ë~ie expérimentale dans la-
quel'e Bous ne le suivrons pas, aËn d'évHey d,e-
trop longs détails.
M. Grassî coaclut que ïa ventilaHon produite
par un sg6nt mécanique doit être préférée toutes
les fois que l'ea peut utiliser, pour des chauffages
divers, la vapeur qui sert a faire nMrchsr le vea-
tilateur..
Pour termine!' cet exposé des nouveaux procé-
dés de ventilation et de chauffage dss lieux pu-
blics, nous parlerons d'un système vraiment re-
marqHabIs par l'éeonoraie de ses résultats, et qui
est du à un médecin belge, M. le docteur Van
Hecks, de ~uxeHes, L'appareMc-Q~ir~t d'âpre
lationdedeux onseMleM récemment~ nommés, ~IM.
LenoMe et Lascoux. Le discours de rentrée a ensuite
été pronoDcô par M. le procureur-g'énéral de Royer
M. le prpcureur-g'éa.éral appris pour thèse Fêtât de la
législation française sous Louis XIV; il .a parlé du
procès du surintendant Fouquet, et s'est longuement
étendu sur les actes qui caractérisent l'administration
de Colbert. `
MM. les membres du conseil de l'ordre des avocats
près la cour de cassation ont été admis & prêter ser-
ment, puis l'audience solennelle a été levée.
–La cour impériale, présidée par M.'Delang~ë, pre-
mier président, a procédé a l'installation de M. Parta-
-riëu-Lafosse, nommé président de chambre; do M.
Barriat-Saint-Prix, nommé conseiller; de MM. Marie,
substitut de M. le procuEeur-général; Oordoen, pro-
cureur-impérial; Jolly, substitut.
Le discours d'usage a ensuite été prononce par M.
le procureur-général Vaïsso, qui a pris. pour thèse les
institutions actuelles de la. France..
A la ûa, M. le procureur-général a rappelé les longs
services rendus par M. le président Barbou, récem-
ment décédé, et il a rendu hommage a sa méoloire.'
MM. les membres du conseil des avocats près la
cour, et les membres do la cham'bre des avoués, ont
été admis a pEeter-serment, puis l'audience solen-
nelle a été levés.
Z'~K~cM t~s ~H~!cM, me'~o~e aK~-Roter~oK.
~nti-phonographit[ue naturelle-universelle, dite mé-
à 8 h. du soir, ch. le professeur, 36, rue de Richelieu, 36.
La DsMM des ~a!oK~, enseig'nêe par Philippe
&a'wIikow~i,ruedel'Ancienne-Comûdie, ]8.
Cours et leçons particulières (tous les jours). B
–Magasin spécial de TnÈs da choix, a prix très
modères.–Maison CARON, 8, rue de la Bourse. Paris.
TMâta-es.–Spectacles du mercredi soir 5 novembre.
orëRA. Les T'eues sMKeMM (Gueymard,-Gbin, Bon-
nehëe, Mlle Moreau Sa.!nti).
FRANÇAIS. ~.mp/K<)'oR (Beauvallet, Samson),– le 'F<
!N9'e, le TMaf~ ds !ft 1~Mt;e.
QpERA-coMKyuE. L'jE
ODÉoN.–Relâche,'pour les répétitions générales de .Mme
de JK(itt~afc'
THÉÂTRE LYRIQUE. Les J)ra~on~ de 7
VADMiVHjLE. Le ~'d d'amoMP,– la ~ame
VARIÉTÉS. ~K T(eaMz(Leclére);–J~osedMBo~. .(
GYMNASE. –Relâche, pour le spema.cle.a'Compisgne."
pALAis-ROYAt,. La R«e de !? iMKe, l'~aM~MeMeK~–
–leJRo?K(tM. Il
S" LE PARISIEN ? S. Moyenne pression, puis-
sance de 63 chevaux; vitesse, 17,000 mètres.
4° LE fAMHE't ? 4. Basse pression puis-
sance de 200 chevaux, vitesse, S3,500metres.
5° LE fAMSiEN ? 5. Basse pression puis-
sance de 200 chevaux, vitesse, 23,500 mètres.
'Ces bateaux sont gares à Lyon, où l'on ds-
vra s'adresser, pour les visiter, à M. Desvos–
seaux, 28, rue de Bourbon.
J!<. On traitera f). l'amiable avant le joue de
l'adjudication, s'il est fait des oËros sufn'santës.
Pour Scmialtre tes conditions et prendre tous
renseignemens, s'adresser à Paris
lo Chez M<' Turquet, notaire, rue d'Â;ntin,dë-
posi!aire du cahier des charges;
2° Chez M. Tavenet.boul. Beaumarchais, 80. e
Coaipagnîes d'Assarsaees.
'-M~MV.E~ARBE.'
ME SE mvoLi, ri" 116.
Cette Compagnie qui vient da.se former, sous
la. direction de MM. Crab de Walder et Ce, a!
pour objet de donner aux propriétaires et prin-
cipaux locataires, les renseignemens plus
circonst&nsies et les plus certains sur'la solva-
bflitëdeleurs locataires. Par Jour position et leurs
relations MM. Crab de Walder et Ce sont à
même de puiser à des sources authentiques sur
recompte de tout locataire.'
Les bureaux sont ouverts tous les jours de
LO heures à 4 heures.
!~M~'IMÏ~YE' MASCULM. Assuran-
bll~â't916ü~Tl3~ce mufaelle depuis i
ui~ f i5 H 0 ij aj &i'.ÂN ce- mutuelle depuis
la naissance jusqu'à 20 ans, mises annuelles,
dépôts de fonds dans une caisse de l'Etat, resti-
tution en cas de dëcës. Rue de Rivoli, 39.
CeasSess de !Font!s.– Avts d4veM,
~"?S?I~H~V rédacteur du Bulletin
N1) JL'maJWi~iLjL~BnMioier delà Py-MM,
est attaché a. la Caisse, 14, r. Grange-Batelière,
pour axhats, ventes et reports en valeurs fran-
çaises et étrangères. .a «
a y~M ) 1° Externat d& garçons, 92 élè-
fKUBtSJ'i'jMt ves (jardin); produit, 5,000 fr.;
prix, 5,COO fr.– 20 Maisons d'éducation des deux
sexes à. tous prix.
M. Bou.tillier-De:nonti"res, rue Richelieu, 13.
f~D~ hôtel meu.blë près la made-
A ~BD'I'jMleihe, peu de loyer, long bail
bénéfice net, 10,000 fr., prix 80,000 fr.
MM. Cantin et Fournaise, r.'des Jeûneurs, 42.
a f~~E'IS 1° Administration facile à diri-
1 C-Pe"~DER. 10 Administration à facile fi, t)rix,
m tt~~i~M t ger produit, 5 à 6,000 &, prix,
6,COO fr. 2o Institutions, Charges, Ofnees,
Propriétés, etc.
M. BoutHiier-Damontiërag, tue Richelieu, 15.
les plans de M. Vaa Heeke tonetîeane, depuis
pluaeurs aaaées, dans divers édifices ~Mtes de
Bruxelles. L'admmistratioa des hôpitaux de Paris,
en-ayaat été informée, a fait étaMir par Inven-
teur an de ses 'appareils dans aa des paginons de
soixante ëts de l'hôpital Beaujon, où U a été~où-
mis à diverses expér~Mes.
Le système de M .Van Hecke a pour basa la vea-
iHation mécanique, moyen dont la supéf~rité est
a nos yeux dénaitivement ju~ée. C'est donc là un
point de départ dont la valeur absolue nous sem-
ble acquise. Mais il présente encore une supério-
rité marquée, au point de vue de l'économie, su r
les moyens mécaniques de ventilation adoptés par
MM. Thomas et Laurens. On peut dire qu'avec ce
système, la dépense est réduite à la p}u3 faible
.proportion possible. Voici, d'ailleurs, l'ensemble
des dispositions qui le composent.'
M. le docteur Van Hecke se sert de calorifères
à air chaud comme moyen de chauffage. L'auteur
les combine avec un système de ventilation méca-
nique, dans lequel l'air est mis ea mouvement par
ua venHMeur particulier de son invention, mu par
use petite machine à vapeur. La vapeur qui a ser~ =
vi a faire marcher la machine, est employée au
chauffagede l'eau nécessaire aux besoins des ma-
lades.
Le principe de cet appareil est bon, ëi ses ef-
fets pouvaient étre'prévns d'avance. Aussi les ex-
périences qm~at été faites par ordre de l'admi-
nistration des hospices ont-elles fait coastatër,
dans la chemisée d'évacuation, un débit ~de
~MMK~ tHetfM CM&M d'atf psr~eMre ~parMa~cde.
CerésùUat est surtost remarquable par la force
très mienne qui le produit, caria machine n'em-
ploie, dansées circeEsiances, qu'un quart de
cheval vapeur, et ne brûle pas use quantité de
combustible plus grande que celle que consom-
maient les fourneaux d'oîËce qui existaient avant
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~écutifs, et cela au moyen de deux (dMervatioas
seulement.
Une des différences de ce derBiersys~a~~e~
celui que MM. Thomas et Lanreas oat établi S
l'hôpital Lariboisière réside en ceci le Tentilateus
de MM. Thomas et Laurens pousse rair daas la
salle, tasdis queceM de M. Van Hec&e, placé am
haut de l'édiace, l'aspire par la partie supérieure.
Cette dermère disposition s'est pas bonae, se!o~
nous. EMeprëgeato, en effet, use partie des iocea-
yéBieas qu~ aaus avoBS reproches, avec M. Grasa~
à la Teati!atioQ par "appel. Mais rien ne serait p!s
facile que dé les éviter. Hsufarait de placer le veQ~
iilateup de M. Van HecJke au bas de l'édiace, ?
l'origîBe dacenMt qui apporte rair, au lieu de~
le laisser installé, comme il l'est en ce moment y
au sommet de t'hôpitaL
M. Vas Hecbe, qui avait d'aillears jorëva c~~
convéaiens, se placera très aisément ~aas I,ës ccB-
ditioasque Bous vea~Bs d'indiquer. R.-sera très'
intéressant, alors, d'étudKï'les eSeis produits pà?;
son appareil daas sa aouvëlle si~tion~
DisoEs,pocriersi~aer,qae l'admiaiaih'~onJe `
la guetTe, quifa~stMif'eaaeemaaie~~Vin~~
cermes, u~Mpital de quatre ceBtsKts.etqm s'oc-
cupe avec nB zèle éclaire du bien-être de ses ma-;
lades, a récemment ouvert ua concours auquel oatif `.'
pris parties principaux iavëoteurs des systèmes
de chauffage et de veBtilation. Comme les apha~ v
reilsde ces divers coBstructears ~oactioBBenItoas
sujourd'hui daas TtB des hôpitaux de PaHS, i!s:
seroBt jugés d'après leurs oeuvres, et leur inven-
tion pourra être étudiée sur piace, par l'observa*
lion et l'expénecce directes. Le réstdtstt iq CES~-
cours ouvert par le miBistre de ta guerre pour~
donc 6xer l'état actuel de la science sur l'iia-
porfaBte question d'hygiëae publique qa~coat
vesons d'examiner~
S'et.MmeLpjn.rB). J
FaMiMes.–Paris, 3"n6vembre 1866.
~aites.et Fapises. Parî9, 3 novembre 1858.
OM~EM~~R~ demoisella-
Y~~ ~°" Pourn'etre.occupêe que de'
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