Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-08-16
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 16 août 1866 16 août 1866
Description : 1866/08/16 (N120)-1866/08/17. 1866/08/16 (N120)-1866/08/17.
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k47191761
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/11/2017
LA PRESSE ILLUSTREE
5 cent. le numéro.
JOURNAL QUOTIDIEN
. 5 cent. le numéro. i
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris -1» fr. Dir. flSfr.
Départements. fi 11 ££
JEUDI et VENDREDI, 16 et 17 AOUT 1866. — N° 120.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.t:.
ADMINISTRATION : l8, rue Breda.
DÉCORATION DE LA PLACE DE LA CONCORDE DANS LA SOIRÉE DU 15 AOUT.
LES FEUX D'ARTIFICES
On instant j'avais eu l'intention d'écrire en
tête de cet article :
HISTOIRE DES FEUX D'ARTIFICES
depuis
LA CRÉATION DU MONDE JUSQU'A NOS JOURS '
mais j'ai renoncé à ce ti+re pittoresque en
songeant que peut-être il se trouverait des
gens peu disposés à admettre l'usage des
chandelles romaines et des serpentaux dans
les jardins de t'Eden.
Et cependant les feux d'artifices ou — pour
mieux dire — les feux artificiels n'étant,
comme on sait, qu'une transformation des
feux de joie, il ne serait pas impossible de
prouver que nos premiers parents ont eu —
à ce point de vue —■ leurs flammes de. Ben-
gale.
Quoiqu'il en soit, — laissant de côté les
temps et les hommes primitifs, et après avoir
constaté que partout et dans tous les âges,
peuples et rois ont manifesté leur satisfac-
tion en allumant de grands feux.en signe de
réjouissance. — contentons-nous de remon-
ter aux Chinois, aux Egyptiens, aux Grecs et
aux Romains.
Hélas! j'en suis bien fâché pour la mé-
moire du prétendu Schwartz, à qui l'on at-
tribue l'invention de la poudre, mais je dois
LE REVENANT
HISTOIRE DU TEMPS DE LOUIS XV
PAR
PONSON DU TERRAIL
Suite (1)
_Décidément, reprit Ralphen se déshabillant et
continuant son monologue, tout ce que je vois,
tout ce que j'entends est singulier, bizarre... in-
explicable... tout, jusqu'à ce portrait que mes
veux ne pouvaient se lasser de contempler, jus-
qu'à ce nom de Fulmen, qui bruit à mon oreille
avec une mystérieuse harmonie. Quelle étrange
fille ce devait être ? poursuivit le vicomte, quelle
beauté mutine!.... quel sourire d'ange!... quel
regard de démon!...
Et l'œil du vicomte inventoria cette chambre,
qui avait été celle de Fulmen.
- On n'aime cependant point les morts, pen-
sait-il en se glissant dans son lit, surtout d 'a-
près leur portrait... Dormons tranquillement et
tâchons de rêver aux vivants, c'est-à-dire à Mlle
Hermine de Roche-Noire, ma blonde fiancée.
J'ai été fou au bal de l'Opéra. De pareils ser- j
ments portent malheur. Dormons...
Le vicomte Ralph voulut , en effet, dormir ;
mais, en dépit de sa lassitude, le sommeil ne vint
point ; il éteignit Ba. lampe et enfouit sa tête sous
ses draps ;l'image de Fulmen l'y poursuivit... ^
— Corbleu ! s'écria-t-il après une heure d'agi-
Voir les numéros parus depuis le t2 août.
tation et d'insomnie, cela est impossible !... on
ne peut pas devenir amoureux d'une toile repré-
sentant une morte... Passe encore si la morte
sortait de son cercueil...
A ces derniers mots , Ralph tressaillit, se sou-
vint du serment qu'il avait fait à l'Andalouse de
l'aimer au-delà de la tombe, de l'aimer morte .
comme vivante, et sont front se baigna d'une
sueur glacée.
Et au même moment, une lueur se fit à l'ex-
trémité opposée de la pièce , une porte, dont le;
vicomte ne soupçonnait pas l'existence, tourna
lentement et sans bruit sur ses gonds, et une
femme entra, tandis que les bougies se rallu-
maient toutes seules sur la cheminée.
La femme, qui entrait et marchait droit au
lit, était enveloppée d'un suaire des pieds à la
tête, et le vicomte, tout brave qu'il était, fris-
sonna et pâlit à cette apparition. Elle marchait
lentement; l'oreille la plus exercée n'aurait pu
distinguer le bruit de ses pas. Elle s'arrêta tout
près du vicomte, haletant et les cheveux héris-
sés ; puis elle rejeta son suaire.
Alors Ralph put voir une jeune fille telle
qu'elle était représentée sur la toile de la salle à
manger, daus le même costume de velours noir,
avec des nœuds de rubans rouges dans ses che-
veux de jais....
Fulmen ! murmura-t-il... le tableau des-
- cendu de son cadré !...
s C'était bien Fulmen, telle qu'elle avait été
peinte ; seulement, au lieu de pétiller de plaisir
■ et de malice, l'œil brillait d'un feu sombre, les
, lèvres étaient pâles et non plusrouges, et toute
cette physionomie agaçante et mutine était de-
venue triste.
On devinait que la mort avait touché du doigt
cette jeune fille.
— Fulmen! répéta le vicomte avec un effroi
où semblait poindre une sorte de joie fiévreuse,
est-ce vous?" .. ■ '
Fulmen s'assit à deux pas du' lit et répondit:
— G'est'moi ! Vous souvenez-vous encore de
votre sermént? On vous l'a dit, 'je suis morte.
Les dents de Ralph claquaient; mais cette
voix qu'il venait d'entendre était si pure, si calme,
si mélodieusement timbrée, que le jeune homme
essaya de secouer la torpeur qui s'était emparée
de lui, et s'écriait :
— Non, vous n'êtes pas morte !
— Je suis morte depuis un an, répondit tris-
tement Fulmen, et j'ai été enterrée dans la cha-
pelle du château, sous la troisième dalle, à gau-
che du maître-autel. Si vous doutez de ma mort
descendez, vous lirez mon épitaphe... Ce n est
point Fulmen que vous avez devant, vous, c'est
son ombre !
Ralph ne pouvait détacher ses yeux ardents
de cette créature étrange et bizarre. Etait-elle
morte ou vivante ? Ne voyait-il qu'une ombre...
ou bien était-elle de chair et d'os... était-ce l'ap-
parenct) ou l'incarnation de Fulmen ?
L'admiration qu'il éprouvait devant cette beauté
merveilleuse dominait en 1 i l effroi qu'il aurait
dû ressentir de cette apparition...
— Hélas ! reprit la morte, en ramassant son
suaire et s'en drapant avec la coquetterie qu'une
jeune fille mettrait à rouler autour de ses épaules
une sortie de bal, hélas,! je suis bien réellement
morte... morte à. seize ans... Quand la vie est
semée de rayons de soleil, de parfums et de
chants d'oiseaux... quand les pleurs sont si doux
encore, qu'ils ressemblent à des sourires, .quand
l'heure présente est si bonne qu'on songe à
peine à lavenir...
Pourtant j'aimais la vie... moi... et puis j'avais
là...
La morte appuya sa main sur son cœur.
— J'avais là votre souvenir... et je croyais à
votre serment, ingrat. Vous m'avez oubliée...
vous êtes venu ici pour épouser ma sœur...
— Fulmen! murmura Ralph qui sentit un re-
mords ardent s'éveiller en son cœur. Fulmen...
je vous aime toujours...
Elle secoua la tète avec tristesse:
— On n'aime pas les morts, dit-elle.
Ralph tressaillit et sentit, à ce mot, son sang
se figer dans ses veines. Il songea à son ser-
ment.
Pourtant Fulmen ne se plaignait point... elle
ne l'accablait point de ses reproches... elle sem-
blait résignée.
Ralph vit la trépassée courber le front, une
larme briller dans ses yeux, tandis qu'un frisson
parcourait tout son corps.
— J'ai froid, dit-elle.
Elle quitta le siége où elle s'était assise, et
alla s'accroupir devant la cheminée, où s'étei-
gnaient les derniers tisons.
— Les morts ont toujours froid... murmura-
t-elle.
— Mon Dieu 1 exclama Ralph, morte OU vi..
vante, ah! vous êtes belle! oh! belle comme jà,-
mais femme ne le fut avant vous... et je vous aim&
5 cent. le numéro.
JOURNAL QUOTIDIEN
. 5 cent. le numéro. i
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris -1» fr. Dir. flSfr.
Départements. fi 11 ££
JEUDI et VENDREDI, 16 et 17 AOUT 1866. — N° 120.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.t:.
ADMINISTRATION : l8, rue Breda.
DÉCORATION DE LA PLACE DE LA CONCORDE DANS LA SOIRÉE DU 15 AOUT.
LES FEUX D'ARTIFICES
On instant j'avais eu l'intention d'écrire en
tête de cet article :
HISTOIRE DES FEUX D'ARTIFICES
depuis
LA CRÉATION DU MONDE JUSQU'A NOS JOURS '
mais j'ai renoncé à ce ti+re pittoresque en
songeant que peut-être il se trouverait des
gens peu disposés à admettre l'usage des
chandelles romaines et des serpentaux dans
les jardins de t'Eden.
Et cependant les feux d'artifices ou — pour
mieux dire — les feux artificiels n'étant,
comme on sait, qu'une transformation des
feux de joie, il ne serait pas impossible de
prouver que nos premiers parents ont eu —
à ce point de vue —■ leurs flammes de. Ben-
gale.
Quoiqu'il en soit, — laissant de côté les
temps et les hommes primitifs, et après avoir
constaté que partout et dans tous les âges,
peuples et rois ont manifesté leur satisfac-
tion en allumant de grands feux.en signe de
réjouissance. — contentons-nous de remon-
ter aux Chinois, aux Egyptiens, aux Grecs et
aux Romains.
Hélas! j'en suis bien fâché pour la mé-
moire du prétendu Schwartz, à qui l'on at-
tribue l'invention de la poudre, mais je dois
LE REVENANT
HISTOIRE DU TEMPS DE LOUIS XV
PAR
PONSON DU TERRAIL
Suite (1)
_Décidément, reprit Ralphen se déshabillant et
continuant son monologue, tout ce que je vois,
tout ce que j'entends est singulier, bizarre... in-
explicable... tout, jusqu'à ce portrait que mes
veux ne pouvaient se lasser de contempler, jus-
qu'à ce nom de Fulmen, qui bruit à mon oreille
avec une mystérieuse harmonie. Quelle étrange
fille ce devait être ? poursuivit le vicomte, quelle
beauté mutine!.... quel sourire d'ange!... quel
regard de démon!...
Et l'œil du vicomte inventoria cette chambre,
qui avait été celle de Fulmen.
- On n'aime cependant point les morts, pen-
sait-il en se glissant dans son lit, surtout d 'a-
près leur portrait... Dormons tranquillement et
tâchons de rêver aux vivants, c'est-à-dire à Mlle
Hermine de Roche-Noire, ma blonde fiancée.
J'ai été fou au bal de l'Opéra. De pareils ser- j
ments portent malheur. Dormons...
Le vicomte Ralph voulut , en effet, dormir ;
mais, en dépit de sa lassitude, le sommeil ne vint
point ; il éteignit Ba. lampe et enfouit sa tête sous
ses draps ;l'image de Fulmen l'y poursuivit... ^
— Corbleu ! s'écria-t-il après une heure d'agi-
Voir les numéros parus depuis le t2 août.
tation et d'insomnie, cela est impossible !... on
ne peut pas devenir amoureux d'une toile repré-
sentant une morte... Passe encore si la morte
sortait de son cercueil...
A ces derniers mots , Ralph tressaillit, se sou-
vint du serment qu'il avait fait à l'Andalouse de
l'aimer au-delà de la tombe, de l'aimer morte .
comme vivante, et sont front se baigna d'une
sueur glacée.
Et au même moment, une lueur se fit à l'ex-
trémité opposée de la pièce , une porte, dont le;
vicomte ne soupçonnait pas l'existence, tourna
lentement et sans bruit sur ses gonds, et une
femme entra, tandis que les bougies se rallu-
maient toutes seules sur la cheminée.
La femme, qui entrait et marchait droit au
lit, était enveloppée d'un suaire des pieds à la
tête, et le vicomte, tout brave qu'il était, fris-
sonna et pâlit à cette apparition. Elle marchait
lentement; l'oreille la plus exercée n'aurait pu
distinguer le bruit de ses pas. Elle s'arrêta tout
près du vicomte, haletant et les cheveux héris-
sés ; puis elle rejeta son suaire.
Alors Ralph put voir une jeune fille telle
qu'elle était représentée sur la toile de la salle à
manger, daus le même costume de velours noir,
avec des nœuds de rubans rouges dans ses che-
veux de jais....
Fulmen ! murmura-t-il... le tableau des-
- cendu de son cadré !...
s C'était bien Fulmen, telle qu'elle avait été
peinte ; seulement, au lieu de pétiller de plaisir
■ et de malice, l'œil brillait d'un feu sombre, les
, lèvres étaient pâles et non plusrouges, et toute
cette physionomie agaçante et mutine était de-
venue triste.
On devinait que la mort avait touché du doigt
cette jeune fille.
— Fulmen! répéta le vicomte avec un effroi
où semblait poindre une sorte de joie fiévreuse,
est-ce vous?" .. ■ '
Fulmen s'assit à deux pas du' lit et répondit:
— G'est'moi ! Vous souvenez-vous encore de
votre sermént? On vous l'a dit, 'je suis morte.
Les dents de Ralph claquaient; mais cette
voix qu'il venait d'entendre était si pure, si calme,
si mélodieusement timbrée, que le jeune homme
essaya de secouer la torpeur qui s'était emparée
de lui, et s'écriait :
— Non, vous n'êtes pas morte !
— Je suis morte depuis un an, répondit tris-
tement Fulmen, et j'ai été enterrée dans la cha-
pelle du château, sous la troisième dalle, à gau-
che du maître-autel. Si vous doutez de ma mort
descendez, vous lirez mon épitaphe... Ce n est
point Fulmen que vous avez devant, vous, c'est
son ombre !
Ralph ne pouvait détacher ses yeux ardents
de cette créature étrange et bizarre. Etait-elle
morte ou vivante ? Ne voyait-il qu'une ombre...
ou bien était-elle de chair et d'os... était-ce l'ap-
parenct) ou l'incarnation de Fulmen ?
L'admiration qu'il éprouvait devant cette beauté
merveilleuse dominait en 1 i l effroi qu'il aurait
dû ressentir de cette apparition...
— Hélas ! reprit la morte, en ramassant son
suaire et s'en drapant avec la coquetterie qu'une
jeune fille mettrait à rouler autour de ses épaules
une sortie de bal, hélas,! je suis bien réellement
morte... morte à. seize ans... Quand la vie est
semée de rayons de soleil, de parfums et de
chants d'oiseaux... quand les pleurs sont si doux
encore, qu'ils ressemblent à des sourires, .quand
l'heure présente est si bonne qu'on songe à
peine à lavenir...
Pourtant j'aimais la vie... moi... et puis j'avais
là...
La morte appuya sa main sur son cœur.
— J'avais là votre souvenir... et je croyais à
votre serment, ingrat. Vous m'avez oubliée...
vous êtes venu ici pour épouser ma sœur...
— Fulmen! murmura Ralph qui sentit un re-
mords ardent s'éveiller en son cœur. Fulmen...
je vous aime toujours...
Elle secoua la tète avec tristesse:
— On n'aime pas les morts, dit-elle.
Ralph tressaillit et sentit, à ce mot, son sang
se figer dans ses veines. Il songea à son ser-
ment.
Pourtant Fulmen ne se plaignait point... elle
ne l'accablait point de ses reproches... elle sem-
blait résignée.
Ralph vit la trépassée courber le front, une
larme briller dans ses yeux, tandis qu'un frisson
parcourait tout son corps.
— J'ai froid, dit-elle.
Elle quitta le siége où elle s'était assise, et
alla s'accroupir devant la cheminée, où s'étei-
gnaient les derniers tisons.
— Les morts ont toujours froid... murmura-
t-elle.
— Mon Dieu 1 exclama Ralph, morte OU vi..
vante, ah! vous êtes belle! oh! belle comme jà,-
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