Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-07-30
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 30 juillet 1866 30 juillet 1866
Description : 1866/07/30 (N103). 1866/07/30 (N103).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4719159h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
S cent. le numéro. JOURNAL QUOTIDIEN 5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris A fr. 9fr. 18 fr. .
Départements. 6 Il ge .
LUNDI, JUII,I,ETq 1866. — No 103.
1866.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
VICHY
Par sdn r"
\
antique et u\
niversellere-^
nom m é e
comme sta-
tion ther-
male, autant
qu'en raison
du séjour
annuel qu'y
fait l'Empe-
reur, Vichy
est mainte-
nantune ville
de plaisance
de premier
ordre, et le
moment est
venu de lui
consacrer ici
une courte
notice.
Vichy, mo-
deste petite
ville du dé-
partement de
l'Allier, est
une ancienne
place forte
de troisième
et même de
quatrième
ordre, qui a
vu bien des
combats ;
mais sa célé-
brité ne lui
vient pas de
cette circon-
stance.
La vertu de ses eaux thermales alcalines,
gazeuses fait toute sa gioire dans le passé,
comme toute sa fortune dans le présent.
Aquœ calidœ était déjà célèbre sous les Ro-
mains, grands amateurs de thermes.
Il est avéré que César revenant du siège de
Gergobia, — que les uns pensent être Cler-
mont, et les autres une petite ville près de
PAVILLONS CONSTRUITS POUR L'HABITATION DE SA MAJESTÉ L'EMPEREUR A VICHY. (D'après la photographie de M. Coûtens.)
cette capitale — passa l' Elaver (Allier), sur un
pont. de bois et se reposa à Vichy, pendant
quelques jours de sa campagne contre les
Avernes.
Tout à coup le silence se fait autour de la
cité et de ses sources.
Pendant huit cents ans l'oubli et le dédain
font un linceul à la pauvre ville.
Puis voilà que soudain la cité gallo-ro-
| maine nous apparaît presque puissante, en
pleine féodalité — seulement Aquœ calidœ est
devenue Vichy.
En 1208, la seigneurie de Vichy faisait par-
tie des dix-sept châtellenies du Bourbon-
nais.
Elle était la propriété des Bouchard, sei-
gneurs féodaux, et se divisait en deux quar-
tiers : le Moutier, agglomération qui s'était
formée autour d'un ancien couvent, et le
vieux Vichy , '
composé de
: maisons
groupées au
midi autour
du château
franc, con-
struit sur une
éminence et
dont il reste
encore une
tour.
Il y avait
bien en outre
le quartier
des juifs,
mais il était
situé entre
Cusset et Vi-
chy, et for-
mait, pour
ainsi direune
ville à part.
*
v *
En 1345,
Philippe le
Bel créa à Vi-
chy un gre-
nier à sel,
pour le ser-
vice des qua-
tre-vingts pa-
roisses en-
vironnantes ,
— ainsi qu'un
bureau des
aides.
Vichy
comptait a-
lors 1,400
feux.
C'était ,
comme on le
voit, plutôt une bourgade qu'une ville.—Mais
il ne faut humilier personne.
Le repos et la richesse n'étaient pas encore
venus pour Vichy. Bouleversée, à peu près
rasée même, vers la fin du quatorzième siècle,
pendant la douloureuse période de luttes qui
divisèrent l'Auvergne et le Bourbonnais, elle
se releva au commencement du quinzième
sous l'impulsion généreuse de Louis II de
Bourbon, troisième duc du Bourbonnais, qui
LES CONTES DU DRAPEAU
2e ÉPISODE
LA MÈRE MICHEL
PAR
PONSON DU TERRAIL
VII
Gobert et la Vipérine étaient faits pour se
comprendre. , ...
Celle-ci regardait le garde avec un œil brillant
de cupidité.
Gobert, au contraire, n'était pas pressé de
parler et voulait exciter la convoitise de la bohé-
mienne..
— Ah! dit-elle, vous voudriez donc faire croire
qu'il a tiré sur vous ?
Je voudrais le faire prouver par des témoins,
dit froidement Gobert.
La Vipérine répondit avec cynisme :
— On trouve toujours des témoins quand on
y met le prix.
On payera ce qu'il faut.
C'est différent, reprit la Vipérine, mais un
seul témoin ça ne prouve guère en justice. Il en
faudrait deux...
— Ah! ah! ah! fit Gobert. Où donc trouver
le second?
' — Aux gorges d'Aspremont, on en trouvera
dix, si vous voulez.
\ Voir les numéro» parus depuis le 24 jufilet
— C'est peut-être un peu cher, dix.
— Mettriez-vous bien vingt francs pour tous !
— Oui, dit Gobert.
— Tope ! c'est conclu. Le marché est fait. Mais
quel est cet homme?
— C'est ce soldat qui est revenu à la ferme du
grand Jacques.
— Philibert Morin?
— Justement.
Un hideux sourire vint aux lèvres de la Vipé-
rine.
— Faut pas vous demander, dit-elle, pourquoi
vous lui en voulez. C est clair et net, depuis que
I Marie-Madeleine a épousé le grand Jacques.
— C'est encore possible, répondit sèchement
Gobert.
— Son compte ne sera pas long s 'il est prouvé
qu'il a tiré sur un garde, et on le prouvera... I
Les yeux de Gobert étaient brillants d'une
joie sauvage.
La 'Vipérine continua :
— Mais comment ça se fait-il donc qu'il vous
ait pris votre fusil?
Gobert pensa que la franchise ne pouvait que
' le servir auprès de la Vipérine.
Et il lui raconta ce qui s'était passé à la
hutte.
Après l'avoir écouté attentivement, la Vipé-
rine, lui dit :
Faut pas raconter la chose comme ça.
D'abord, il faut recharger votre fusil.
. — Bon ! après ?
— Après pu trouvera un fusil quelque part et
on lfi cachera dans les broussailles.
— Petite, s'écria le garde, tu es un amour de
femme, tu trouves toujours une bonne idée.
— Mais, .reprit la Vipérine, comme le fusil
sera confisqué, faudra le payer.
On le payera, dit Gobert qui, pour assouvir
sa vengeance, ne reculait devant aucun sacrifice
d'argent.
— Et cette cantinière, et le chien, et le mior
che, vous déplaisent-ils aussi, M. Gobert?
— Autant que les Morin.
— On peut leur être désagréable, si ça vous
fait plaisir, monsieur Gobert.
— Mais comment?
— On mettra le feu à la hutte et on les
rôtira.
Gobert regarda ce monstre avec une sorte
d'admiration.
— Mais, dit-il, je ne crois pas qu'ils restent à
la butLe.
— Et où iront-ils donc?
— A la ferme du grand Jacques.
— Ah)rs, ils passeront par ici et par les grot-
tes.
- C'est leur chemin, du moins.
— Monsieur Gobert, dit la Vipérine, je suis,
comme on dit, une bonne fille : ce que j'en vais
faire, c'est pour vous obliger, parce que vous me
plaisez.
- Que vas-tu donc faire, petite ?
— Je vas mettre sur pied tous les amis des
grottes.
— Bon !
Et quand les Morin et la cantinière passe-
ront... yous yerrez... on leur fera un joli ta-
p&gaJ ■
Gobert prit la Vipérine par la taille et l'em-
brassa sur son cou brûlé des rayons du soleil.
Moi aussi, j'en veux aux Morin, continua
la Vipérine, et à tous ceux qui regrettent l'usur-
pateur, vu que, de son temps, on a mis deux fois
le feu aux grottes pour nous enfumer, parce
que nos hommes ne voulaient pas marcher à là
conscription.
Vous allez voir comme je vais les monter.
Gobert écoutait, ravi, cette misérable femme
qui traitait d'un faux témoignage comme de la
vente d'un panier de cerises.
Elle poursuivit :
— Si vous voulez que tout marche bien, mon-.
sieur Gobert, écoutez-moi :
— Parle.
— Vous allez prendre la route aux Corbeaux
et vous descendrez jusque chez Valdoiseau, la
garde.
— Bon !
Vous arriverez chez lui tout effaré. Voua
aurez l'air d'avoir eu une venette épouvantable.
— Après? ^ " ;
Et vous lui direz qu'on a tiré sur vous.
Mais faut pas lui dire qui. Il est nuit, vous n'a-
vez pas pu voir. Seulement, les balles ont sifflé
à vos oreilles et comme vous vous retourniez,
vous avez vu un homme qui se sauvait dans le
bois
— Et si Valdoiseau me demande qui je soup-
çonne?
— Vous répondrez que vous ne soupçonnea
personne.
— Mais alors?...
1 — Le reste me regarde, dU - la Vipérine.
S cent. le numéro. JOURNAL QUOTIDIEN 5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris A fr. 9fr. 18 fr. .
Départements. 6 Il ge .
LUNDI, JUII,I,ETq 1866. — No 103.
1866.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
VICHY
Par sdn r"
\
antique et u\
niversellere-^
nom m é e
comme sta-
tion ther-
male, autant
qu'en raison
du séjour
annuel qu'y
fait l'Empe-
reur, Vichy
est mainte-
nantune ville
de plaisance
de premier
ordre, et le
moment est
venu de lui
consacrer ici
une courte
notice.
Vichy, mo-
deste petite
ville du dé-
partement de
l'Allier, est
une ancienne
place forte
de troisième
et même de
quatrième
ordre, qui a
vu bien des
combats ;
mais sa célé-
brité ne lui
vient pas de
cette circon-
stance.
La vertu de ses eaux thermales alcalines,
gazeuses fait toute sa gioire dans le passé,
comme toute sa fortune dans le présent.
Aquœ calidœ était déjà célèbre sous les Ro-
mains, grands amateurs de thermes.
Il est avéré que César revenant du siège de
Gergobia, — que les uns pensent être Cler-
mont, et les autres une petite ville près de
PAVILLONS CONSTRUITS POUR L'HABITATION DE SA MAJESTÉ L'EMPEREUR A VICHY. (D'après la photographie de M. Coûtens.)
cette capitale — passa l' Elaver (Allier), sur un
pont. de bois et se reposa à Vichy, pendant
quelques jours de sa campagne contre les
Avernes.
Tout à coup le silence se fait autour de la
cité et de ses sources.
Pendant huit cents ans l'oubli et le dédain
font un linceul à la pauvre ville.
Puis voilà que soudain la cité gallo-ro-
| maine nous apparaît presque puissante, en
pleine féodalité — seulement Aquœ calidœ est
devenue Vichy.
En 1208, la seigneurie de Vichy faisait par-
tie des dix-sept châtellenies du Bourbon-
nais.
Elle était la propriété des Bouchard, sei-
gneurs féodaux, et se divisait en deux quar-
tiers : le Moutier, agglomération qui s'était
formée autour d'un ancien couvent, et le
vieux Vichy , '
composé de
: maisons
groupées au
midi autour
du château
franc, con-
struit sur une
éminence et
dont il reste
encore une
tour.
Il y avait
bien en outre
le quartier
des juifs,
mais il était
situé entre
Cusset et Vi-
chy, et for-
mait, pour
ainsi direune
ville à part.
*
v *
En 1345,
Philippe le
Bel créa à Vi-
chy un gre-
nier à sel,
pour le ser-
vice des qua-
tre-vingts pa-
roisses en-
vironnantes ,
— ainsi qu'un
bureau des
aides.
Vichy
comptait a-
lors 1,400
feux.
C'était ,
comme on le
voit, plutôt une bourgade qu'une ville.—Mais
il ne faut humilier personne.
Le repos et la richesse n'étaient pas encore
venus pour Vichy. Bouleversée, à peu près
rasée même, vers la fin du quatorzième siècle,
pendant la douloureuse période de luttes qui
divisèrent l'Auvergne et le Bourbonnais, elle
se releva au commencement du quinzième
sous l'impulsion généreuse de Louis II de
Bourbon, troisième duc du Bourbonnais, qui
LES CONTES DU DRAPEAU
2e ÉPISODE
LA MÈRE MICHEL
PAR
PONSON DU TERRAIL
VII
Gobert et la Vipérine étaient faits pour se
comprendre. , ...
Celle-ci regardait le garde avec un œil brillant
de cupidité.
Gobert, au contraire, n'était pas pressé de
parler et voulait exciter la convoitise de la bohé-
mienne..
— Ah! dit-elle, vous voudriez donc faire croire
qu'il a tiré sur vous ?
Je voudrais le faire prouver par des témoins,
dit froidement Gobert.
La Vipérine répondit avec cynisme :
— On trouve toujours des témoins quand on
y met le prix.
On payera ce qu'il faut.
C'est différent, reprit la Vipérine, mais un
seul témoin ça ne prouve guère en justice. Il en
faudrait deux...
— Ah! ah! ah! fit Gobert. Où donc trouver
le second?
' — Aux gorges d'Aspremont, on en trouvera
dix, si vous voulez.
\ Voir les numéro» parus depuis le 24 jufilet
— C'est peut-être un peu cher, dix.
— Mettriez-vous bien vingt francs pour tous !
— Oui, dit Gobert.
— Tope ! c'est conclu. Le marché est fait. Mais
quel est cet homme?
— C'est ce soldat qui est revenu à la ferme du
grand Jacques.
— Philibert Morin?
— Justement.
Un hideux sourire vint aux lèvres de la Vipé-
rine.
— Faut pas vous demander, dit-elle, pourquoi
vous lui en voulez. C est clair et net, depuis que
I Marie-Madeleine a épousé le grand Jacques.
— C'est encore possible, répondit sèchement
Gobert.
— Son compte ne sera pas long s 'il est prouvé
qu'il a tiré sur un garde, et on le prouvera... I
Les yeux de Gobert étaient brillants d'une
joie sauvage.
La 'Vipérine continua :
— Mais comment ça se fait-il donc qu'il vous
ait pris votre fusil?
Gobert pensa que la franchise ne pouvait que
' le servir auprès de la Vipérine.
Et il lui raconta ce qui s'était passé à la
hutte.
Après l'avoir écouté attentivement, la Vipé-
rine, lui dit :
Faut pas raconter la chose comme ça.
D'abord, il faut recharger votre fusil.
. — Bon ! après ?
— Après pu trouvera un fusil quelque part et
on lfi cachera dans les broussailles.
— Petite, s'écria le garde, tu es un amour de
femme, tu trouves toujours une bonne idée.
— Mais, .reprit la Vipérine, comme le fusil
sera confisqué, faudra le payer.
On le payera, dit Gobert qui, pour assouvir
sa vengeance, ne reculait devant aucun sacrifice
d'argent.
— Et cette cantinière, et le chien, et le mior
che, vous déplaisent-ils aussi, M. Gobert?
— Autant que les Morin.
— On peut leur être désagréable, si ça vous
fait plaisir, monsieur Gobert.
— Mais comment?
— On mettra le feu à la hutte et on les
rôtira.
Gobert regarda ce monstre avec une sorte
d'admiration.
— Mais, dit-il, je ne crois pas qu'ils restent à
la butLe.
— Et où iront-ils donc?
— A la ferme du grand Jacques.
— Ah)rs, ils passeront par ici et par les grot-
tes.
- C'est leur chemin, du moins.
— Monsieur Gobert, dit la Vipérine, je suis,
comme on dit, une bonne fille : ce que j'en vais
faire, c'est pour vous obliger, parce que vous me
plaisez.
- Que vas-tu donc faire, petite ?
— Je vas mettre sur pied tous les amis des
grottes.
— Bon !
Et quand les Morin et la cantinière passe-
ront... yous yerrez... on leur fera un joli ta-
p&gaJ ■
Gobert prit la Vipérine par la taille et l'em-
brassa sur son cou brûlé des rayons du soleil.
Moi aussi, j'en veux aux Morin, continua
la Vipérine, et à tous ceux qui regrettent l'usur-
pateur, vu que, de son temps, on a mis deux fois
le feu aux grottes pour nous enfumer, parce
que nos hommes ne voulaient pas marcher à là
conscription.
Vous allez voir comme je vais les monter.
Gobert écoutait, ravi, cette misérable femme
qui traitait d'un faux témoignage comme de la
vente d'un panier de cerises.
Elle poursuivit :
— Si vous voulez que tout marche bien, mon-.
sieur Gobert, écoutez-moi :
— Parle.
— Vous allez prendre la route aux Corbeaux
et vous descendrez jusque chez Valdoiseau, la
garde.
— Bon !
Vous arriverez chez lui tout effaré. Voua
aurez l'air d'avoir eu une venette épouvantable.
— Après? ^ " ;
Et vous lui direz qu'on a tiré sur vous.
Mais faut pas lui dire qui. Il est nuit, vous n'a-
vez pas pu voir. Seulement, les balles ont sifflé
à vos oreilles et comme vous vous retourniez,
vous avez vu un homme qui se sauvait dans le
bois
— Et si Valdoiseau me demande qui je soup-
çonne?
— Vous répondrez que vous ne soupçonnea
personne.
— Mais alors?...
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