Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-05-23
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 23 mai 1866 23 mai 1866
Description : 1866/05/23 (N35). 1866/05/23 (N35).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k47190936
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/11/2017
LA PRESSE ILLUSTREÉE
5 cent. le numéro.
ê
JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six moiïC Un an. « ,
%'
Paris * fr. 9 fr.
< Départements. 6 - Il Il \ le ~.
MERCREDI, 23 MAI 1866. — No 35.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 1S, rue Breda.
ECHOS DE PARIS
Vous vous êtes sans doute promene*
dimanche, chers lecteurs. f
Est-ce que, par ce beau soleil et ce
temps clair qui agrandit les lointains,
l'envie de voyager ne vous est pas ve-
nue?
C'est une envie qui vient toujours au
printemps.
Aux uns il est donné de la satisfaire.
C'est aux autres que je dédie cette cau-
serie, — dont le titre sera, si vous le
voulé^, les Poètes en voyage.
Je n'entends pas parler des poètes d'au-
jourd'hui. \
Ceux-là voyagent comme tout le monde.
Ils montent en wagon, partent, fument
ou dorment, arrivent et regardent.
Après avoir regardé, ils écrivent...
Je me trompe!
Ils décrivent ce qu'ils ont vu!
Qu'ils entendaient mieux le voyage,
ces bonnes gens, les poètes d'autrefois !
- Ils partaient, à deux le plus souvent,
. pour chercher aventure. Si la route n'était
pas trop longue, ils allaient à pied, devi-
sant ou tournant des petits vers. Ils écri-
vaient aussi, mais pas au public. Le soir,
après souper, dans quelque salle d'au-
berge, en face de la grande cheminée où
flambait un fagot, ils relevaient un coin
de la nappe, s'installaient de leur mieux,
et griffonnaient quatre pages à l'adresse ,
d'une belle dame ou d'un ami.
De description, pas l'ombre ; ah! bien, .
oui!
Pour vous peindre le pont du Gard,
Ils nous faudrait employer l'art
Et le jargon d'un architecte !...
Ils ne le peignaient pas.'
Non, ils racontaient les petits événements
de la journée: s'ils avaient dormi dans un bon
lit, si la matinée avait été froide, quels propos
ils' avaient tenus, quel vin ils avaient bu, et
quelles rencontres ils avaient faites .....
C'était charmant.
Bras dessus, bras dessous, Chapelle et Ba-
chaumont prennent la route de Sceaux. " - j
Application de la peine du fouet aux étrangleurs de Londres. (D'après les croquis de M. E. Barrère.)
A Lonjumeau, la faim leur conseille une
halte.
Ils s'installent auprès d'une fontaine « dont
l'eau paraissait la plus claire et la plus vive du
monde. »
Là, deux perdrix furent tirées
D'entre les deux croûtes dorées
D'un bon pain rôti, dont le creux
Les avait jusque là serrées;
Et, d'un appétit vigoureux,
Toutes deux furent dévorées.
ils se rendent à Lyon, oÙ ils ont affaire;
c'est pourquoi ils s'arrêtent à Orléans, séjour-
nent à Amboise, vont goûter les pruneaux
d'Agen, ' le miel de Narbonne et le vin de
Côte-Rotie. Ils finissent pourtant par arriver,
et c'est de Lyon qu'ils adressent le récit de
leur voyage
A messieurs les frères Broussins.
Chacun enseignera la rue ;
Car leur demeure est pius connue
Au Marais que les Capucins.
Racine vat à Nismes pour voir son
oncle le chanoine.
La Fontaine va devant lui, pour rien.
« Il est honteux d'avoir tant vécu sans
rien voir. »
Il faudrait citer d'un bout à l'autre sa
correspondance.
A peine a-t-il perdu Paris de vue:
« J'ai tout à fait bonne opinion de
notre voyage, s'écrie-t-il ; nous avons
déjà fait trois lieues sans accktent! » \
Il dédie son récit à sa femme :
« Si vous goûtez ce récit, vous en goÙ-
. Jerez après de plus sérieux. Vous ne tra-
vaillez, ni ne vous souciez du ménage;
et, hors le temps que vos bonnes amies
vous donnent par charité, il n'y a que
les romans qui vous divertissent. C'est
un fond bientôt épuisé: : vous avez lu tant
de fois les vieux que vous les savez;
il s'en fait peu de nouveaux, et parmi
' ce peu, tous n,e sont pas bons ; ainsi
vous demeurez souvent à sec. Considé-
rez, je vous prie, l'utilité que ce vous
serait si, en radina:1t) je vous avais ac-
coutumée à l'histoire soit des lieux, soit
des personnes : vous auriez de quoi vous
désennuyer toute votre vie, — pourvu
que ce soit sans intention dé rien re- '
tenir, moins encore de rien citer; ce
n'est pas une bonne qualité pour une
femme d'être savante, et c'en est une très-
' mauvaise d'affecter de paraître telle. >
Cela dit, notre mari commence sa
leçon d'histoire :
« On me conte que beaucoup de Li-
mosines portent des chaperons de drap
rose- sèche sur des cales de velours noir.
Si je trouve quelqu'un de ces chaperons
qui couvre une jolie tête, je pourrai m 'y
amuser en passant, par curiosité seule-
ment...»
Kegnard visite la Normandie.
Gresset est exilé à La Flèche, à cause de son
poème de YeTt- Vert.
La Flèche pourrait être aimable,
S'il était de belles prisons;
Un climat assez agréable,
De petits bois assez mignons,
Un petit vin assez potable,
De petits concerts assez bons,
Un petit monde assez passable;
La Flèche pourrait être aimable,
S'il était de belles prisons.
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Première partie
LA MÈRE DES COMPAGNONS
X
Comment se nommait-il ce jeune homme qui paraissait
être le complice et l'âme damnée du chevalier de Biribi?
Dans le monde, car il y allait, vêtu au goût du jour, un
bout de ruban bleu à sa boutonnière, il passait pour un at-
taché d'ambassade démissionnaire, et se faisait appeler
le vicomte de Montrevel.
Biribi lui donnait un nom moins aristocratique.
Dans l'intimité il l'appelait Coqueluche.
Le vicomte ne s'en fâchait point.
La vraie provenance, l'exacte généalogie de Coqueluche
itait un mystère pour tous, excepté pour Biribi.
Il y avait quinze ans de cela, le chevalier rentrant chez
lui un soir, aperçut de la lumière.
Comme il habitait seul, à cette époque, il n'avait pas eu
un seul instant de doute.
Les voleurs étaient chez lui.
Le chevalier était armé. Il monta l'escalier à pas de loup,
et fit irruption chez lui, un pistolet de thaque main.
Vtir 1M uaéroi para. depuis le iS avril.
C' optait un voleur occupé à forcer tranquillement son secrétaire.
Mais quelle ne fut pas sa surprise en voyant un enfant
de douze ou treize ans, en blouse, tête nue, une pipe a la
bouche, occupé à forcer tranquillement son secrétaire !
Biribi Mais le gïïïin avait également un pistolet, et il en braqua
froidement le canon sur Biribi, en lui disan t:
- Je vois que nous allons faire coup double.
Il v avait un tel sang-froid, une telle résolution dans le re -
gard, * la voix et l'attitude de l'enfant, que Biribi hésita et
abaissa ses pistolets.
Petit misérable! dit-il.
Le gamin répondit avec cynisme :
- Vous arrivez à temps, je n 'ai rien pris.
Ft tu te fais prendre, dit Biribi jouant sur le mot.
' - - Et Oh! pour ça, non, répondit l'enfant.
Il tenait toujours Biribi sous le canon de son pistol( t.
Laissez-moi m 'en aller, dit-il.
Instinctivement, Biribi s'effaça et démasqua la porte.
- Le A gamin la bonne- heure, foi de Coqueluche, vous êtes bon
enfant. Je ne reviendrai pas. _
Tu t'appelles Coqueluche? dit Biribi.
Pour vous servir, mon bourgeois.
- Tu es voleur...
. De profession, comme vous voyez. *
- Quel âge as-tu?
— Quatorze ans.
- Et jïtiens, comme vous voyez. Allons, papa, lais-
sez-moi passer, ou je tire le premier.
Mais Biribi eut un sourire plein d indulgence. •
En même temps, il déposa ses pistolets sur le marbre de
la cheminée...
< - Tu vois que je suis bon enfant, dit-il.
Hein? fit Coqueluche. —
5 cent. le numéro.
ê
JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six moiïC Un an. « ,
%'
Paris * fr. 9 fr.
< Départements. 6 - Il Il \ le ~.
MERCREDI, 23 MAI 1866. — No 35.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 1S, rue Breda.
ECHOS DE PARIS
Vous vous êtes sans doute promene*
dimanche, chers lecteurs. f
Est-ce que, par ce beau soleil et ce
temps clair qui agrandit les lointains,
l'envie de voyager ne vous est pas ve-
nue?
C'est une envie qui vient toujours au
printemps.
Aux uns il est donné de la satisfaire.
C'est aux autres que je dédie cette cau-
serie, — dont le titre sera, si vous le
voulé^, les Poètes en voyage.
Je n'entends pas parler des poètes d'au-
jourd'hui. \
Ceux-là voyagent comme tout le monde.
Ils montent en wagon, partent, fument
ou dorment, arrivent et regardent.
Après avoir regardé, ils écrivent...
Je me trompe!
Ils décrivent ce qu'ils ont vu!
Qu'ils entendaient mieux le voyage,
ces bonnes gens, les poètes d'autrefois !
- Ils partaient, à deux le plus souvent,
. pour chercher aventure. Si la route n'était
pas trop longue, ils allaient à pied, devi-
sant ou tournant des petits vers. Ils écri-
vaient aussi, mais pas au public. Le soir,
après souper, dans quelque salle d'au-
berge, en face de la grande cheminée où
flambait un fagot, ils relevaient un coin
de la nappe, s'installaient de leur mieux,
et griffonnaient quatre pages à l'adresse ,
d'une belle dame ou d'un ami.
De description, pas l'ombre ; ah! bien, .
oui!
Pour vous peindre le pont du Gard,
Ils nous faudrait employer l'art
Et le jargon d'un architecte !...
Ils ne le peignaient pas.'
Non, ils racontaient les petits événements
de la journée: s'ils avaient dormi dans un bon
lit, si la matinée avait été froide, quels propos
ils' avaient tenus, quel vin ils avaient bu, et
quelles rencontres ils avaient faites .....
C'était charmant.
Bras dessus, bras dessous, Chapelle et Ba-
chaumont prennent la route de Sceaux. " - j
Application de la peine du fouet aux étrangleurs de Londres. (D'après les croquis de M. E. Barrère.)
A Lonjumeau, la faim leur conseille une
halte.
Ils s'installent auprès d'une fontaine « dont
l'eau paraissait la plus claire et la plus vive du
monde. »
Là, deux perdrix furent tirées
D'entre les deux croûtes dorées
D'un bon pain rôti, dont le creux
Les avait jusque là serrées;
Et, d'un appétit vigoureux,
Toutes deux furent dévorées.
ils se rendent à Lyon, oÙ ils ont affaire;
c'est pourquoi ils s'arrêtent à Orléans, séjour-
nent à Amboise, vont goûter les pruneaux
d'Agen, ' le miel de Narbonne et le vin de
Côte-Rotie. Ils finissent pourtant par arriver,
et c'est de Lyon qu'ils adressent le récit de
leur voyage
A messieurs les frères Broussins.
Chacun enseignera la rue ;
Car leur demeure est pius connue
Au Marais que les Capucins.
Racine vat à Nismes pour voir son
oncle le chanoine.
La Fontaine va devant lui, pour rien.
« Il est honteux d'avoir tant vécu sans
rien voir. »
Il faudrait citer d'un bout à l'autre sa
correspondance.
A peine a-t-il perdu Paris de vue:
« J'ai tout à fait bonne opinion de
notre voyage, s'écrie-t-il ; nous avons
déjà fait trois lieues sans accktent! » \
Il dédie son récit à sa femme :
« Si vous goûtez ce récit, vous en goÙ-
. Jerez après de plus sérieux. Vous ne tra-
vaillez, ni ne vous souciez du ménage;
et, hors le temps que vos bonnes amies
vous donnent par charité, il n'y a que
les romans qui vous divertissent. C'est
un fond bientôt épuisé: : vous avez lu tant
de fois les vieux que vous les savez;
il s'en fait peu de nouveaux, et parmi
' ce peu, tous n,e sont pas bons ; ainsi
vous demeurez souvent à sec. Considé-
rez, je vous prie, l'utilité que ce vous
serait si, en radina:1t) je vous avais ac-
coutumée à l'histoire soit des lieux, soit
des personnes : vous auriez de quoi vous
désennuyer toute votre vie, — pourvu
que ce soit sans intention dé rien re- '
tenir, moins encore de rien citer; ce
n'est pas une bonne qualité pour une
femme d'être savante, et c'en est une très-
' mauvaise d'affecter de paraître telle. >
Cela dit, notre mari commence sa
leçon d'histoire :
« On me conte que beaucoup de Li-
mosines portent des chaperons de drap
rose- sèche sur des cales de velours noir.
Si je trouve quelqu'un de ces chaperons
qui couvre une jolie tête, je pourrai m 'y
amuser en passant, par curiosité seule-
ment...»
Kegnard visite la Normandie.
Gresset est exilé à La Flèche, à cause de son
poème de YeTt- Vert.
La Flèche pourrait être aimable,
S'il était de belles prisons;
Un climat assez agréable,
De petits bois assez mignons,
Un petit vin assez potable,
De petits concerts assez bons,
Un petit monde assez passable;
La Flèche pourrait être aimable,
S'il était de belles prisons.
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Première partie
LA MÈRE DES COMPAGNONS
X
Comment se nommait-il ce jeune homme qui paraissait
être le complice et l'âme damnée du chevalier de Biribi?
Dans le monde, car il y allait, vêtu au goût du jour, un
bout de ruban bleu à sa boutonnière, il passait pour un at-
taché d'ambassade démissionnaire, et se faisait appeler
le vicomte de Montrevel.
Biribi lui donnait un nom moins aristocratique.
Dans l'intimité il l'appelait Coqueluche.
Le vicomte ne s'en fâchait point.
La vraie provenance, l'exacte généalogie de Coqueluche
itait un mystère pour tous, excepté pour Biribi.
Il y avait quinze ans de cela, le chevalier rentrant chez
lui un soir, aperçut de la lumière.
Comme il habitait seul, à cette époque, il n'avait pas eu
un seul instant de doute.
Les voleurs étaient chez lui.
Le chevalier était armé. Il monta l'escalier à pas de loup,
et fit irruption chez lui, un pistolet de thaque main.
Vtir 1M uaéroi para. depuis le iS avril.
C' optait un voleur occupé à forcer tranquillement son secrétaire.
Mais quelle ne fut pas sa surprise en voyant un enfant
de douze ou treize ans, en blouse, tête nue, une pipe a la
bouche, occupé à forcer tranquillement son secrétaire !
Biribi Mais le gïïïin avait également un pistolet, et il en braqua
froidement le canon sur Biribi, en lui disan t:
- Je vois que nous allons faire coup double.
Il v avait un tel sang-froid, une telle résolution dans le re -
gard, * la voix et l'attitude de l'enfant, que Biribi hésita et
abaissa ses pistolets.
Petit misérable! dit-il.
Le gamin répondit avec cynisme :
- Vous arrivez à temps, je n 'ai rien pris.
Ft tu te fais prendre, dit Biribi jouant sur le mot.
' - - Et Oh! pour ça, non, répondit l'enfant.
Il tenait toujours Biribi sous le canon de son pistol( t.
Laissez-moi m 'en aller, dit-il.
Instinctivement, Biribi s'effaça et démasqua la porte.
- Le A gamin la bonne- heure, foi de Coqueluche, vous êtes bon
enfant. Je ne reviendrai pas. _
Tu t'appelles Coqueluche? dit Biribi.
Pour vous servir, mon bourgeois.
- Tu es voleur...
. De profession, comme vous voyez. *
- Quel âge as-tu?
— Quatorze ans.
- Et jïtiens, comme vous voyez. Allons, papa, lais-
sez-moi passer, ou je tire le premier.
Mais Biribi eut un sourire plein d indulgence. •
En même temps, il déposa ses pistolets sur le marbre de
la cheminée...
< - Tu vois que je suis bon enfant, dit-il.
Hein? fit Coqueluche. —
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