Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-04-19
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 19 avril 1866 19 avril 1866
Description : 1866/04/19 (N2). 1866/04/19 (N2).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k47190617
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
v JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent.- le numéro.
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mOIs. Six IIIOIS. Un an. S ^ I
Paris 5 fr. 9 fr. f S» tri ■■
Départements . 6 1 t 2%
y JEUDI, 19 AVIUL t86<). — \« 2. ,
: . .~ i --A
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
ECHOS DE PARIS
Après le temps d'arrêt forcé de la saison d'hiver, la pas-
sion qui pntrairH' les parisiens vers les hippodromes vient
naire des courses est do 00,000 r;mcs, et renthousiasuie des
spectateurs dépasse la recette. Sur la route de Longehamps,
les ducs rencontrent leurs tailleurs et les agents de change
leurs bottiers. Pendant que les membres du Jockey-club font
des paris de cent louis dans leur tribune,' les ouvriers, sur
la pelouse, font des poules de quarante sous. Les gamins de
Paris savent maintenant les noms des jockeys, et le mot
performance a passé du vocabulaire rde M. Eugène Chapus
,Ians la langue des faubourgs.
Les courses sont devenues un spectacle populaire : il ap-
partient à un journal"populaire de s'en oècuper.
Les courses sont renouvelées des grecs. Elles sont vieilles
comme les Lapithes qui étaient contemporains d'Hercule.
Plus tard Rome les emprunta à Corinthe, et, plus tard en-
core, Constantinople à Rome.
Cela ne veut pas dire que l'amélioration de la race cltlWrt-
line fùt une préoccupation des grecs et îles romains.
Chez eux, les cavaliers étaient en cause bien plus que les
chevaux. On luttait à qui serait le plus fort, le plus intrépide
et. le plus adroit. Les Cirques ne donnent qu'une tn\s- vai!uc
idée de Longchamps.
Les pre -
mières courses
célèbres en
France eurent
lieu sous
Louis X V L
Parmi les gen-
r.icmun -riders
de ce tomps.
liguraient le
comte (Lh-
tois, depuis
Charlf's X. ci
le duc 'rUr-
léans, depuis*
Philippe- Ega-
lité !
En 1807, titi
décret de X a -
poléon institua
tes courses
d'une fa rond é-
f initive.
Sous la Res-
tauration , les .
evaux de ar-
M. île. liisMAHK. ininislre d'6r;11 du royaume de Prusse.
yll(, générale clr. la villo (10, Port-au-Prince, détruite par un incoil(lic.. — Croquis fait sur nature, par M. Bérard.
ce arabe ou bretonne et ceux de race anglaise couraient à
peu près i), nom 111'(' égal. A partir de. 183(1, les chevaux de
, race anglaise l'ont emporté de beaucoup par le nombre et
les succès, Ce sont eux qui régnent aujourd'hui.
Ce sonl aussi)es mœurs anglaises qui ont prévalu, eu ma-
tière de turf et dl' sport. Il y a quelque trente ans, les mem-
bres du Jockey-club, seuls, pariaient, et un simple specta-
teur (lui eÙt risqué vingt francs sur la tète d'un cheval eût
été considère comme un original des plus boutions. Les pré-
fets réunissaient à grand'peine, quelques centaines de spec-
tateurs, en faisant sonner très-haut l'utilité publique.
Bref, les courses étaient un spectacle aristocratique et peu
suivi.
Manitenant. placez en face de ces souvenirs l'aspect de
l'Hippodrome, dimanche dernier !
Cmtes, les membres des cercles connaissent et appré-
cient, Gladiateur. Mais leur enthousiasme pour ce beau che-
val ne dépasse pas les bornes d'un sourire ou d'un bravo
discret. Le public de la pelouse, au contraire, est pris d'une
sorte de délire à la vue de ce vainqueur. Vingt mille, trente
mille bouches crient son nom; les regards brillent; les
mains s'agitent en battements prolongés... Dimanche, des
fanatiques rescorfaient, le caressant de la voix t1t du geste;
quelques-uns, par derrière, cherchaient à le toucher. Un poil
de sa queue leur eùt semblé le plus précieux des souvenirs!
Je ne parle ni des poules, ni des paris.
l/apoiliéose de Gladiateur amène naturellement le nom -
dn son pro-
priétaire, M.
le comte de
Lagrange.
C'est le iils
d'un général
de Napoléon,
ancien minis-
tre de la guer-
• re du roi de
Westphalie.
ancien gou-
vcrneur, de b
Hesse, ancien
pair de FraJl-
ce.
Le généra I
de Lagrange
a laissé trois
lilles; qui son:
duchesse de
Cadore, du-
chessed'Istl'i, '
et comtesse
de la Ferro-
naye. Ain s'
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Prologue
LA BATAILLE DE MONTMIRAIL
On parlera do sa gloire
Sons lu chaume bien loilgleilips.
f,e peuple dans cinquante ans
Ve connaîtra pas d'au Ire histoire.
vB]ir.AKGER.)
II
MAME TOINETTE
Quel âge avait-elle ?
Nul, excepté Quille-en-Bois peut-être, ne le
savait.
Elle était plutôt petite que grande, mince,
fluette, avec des cheveux blonds, et des mains
blanches comme une femme sans état.
Ses yeux bleus étaient d'une douceur incompa-
rable.
Cependant, à de certaines heures, si une émo-
tion agitait ce corps délicat, son regard avait un
éclair.
Puis l'émotion calmée, l'éclair s'éteignait et le
sourire quireposait sur ses lèvres avait un charme
an/éhque.
Dans le faubourg, quand Oï, parlait de marne
Tojiieîte, les, ouvriers a quelque corps d'état qu'ils
.appartinssent se découvraient avec respect.
On eût dit le reflet
d'un rayon de soleil dans
une glace.
Elle était belle comme
la Madeleine, on la vé-
nérait comme la Ma-
done.
Cependant bien des
cœurs battaient pour
elle, dans l'ombre, de-
puis surtout qu'elle était
veuve.
Mais jamais un aveu
n'était monté du coeur
aux lèvres.
Quand les compa-
gnons étaient malades,
elle les soignait avec
la maternelle sollicitude
d'une sœur de charité.
Une nuit que le feu
dévorait une demi-dou-
zaine de maisons, ou
avait vu marne Toinette,
faible créature qu'un
souffle de vent semblait
devoir renverser, passer
dix heures au milieu des
flammes, portant de
l'eau-de-vie aux pom-
piers, et de la charpie aux
blessés; enlevant sur
ses épaules un vieillard
infirme et se lançant
dans l'espace avec ce
>; -,Mi: Tu ! N E l TK
lourd fardeau, au bout
d'une corde à nœuds.
y me Toinette avait
été iariée, elle était
veU\ et n'avait pas
d'enfants.
Mais elle était la mar-
raine de Suzanne, et elle
servait de mère à Satur-
nin , le frère de l'orphe-
line.
Il y avait plus de
dix ans que son mari
était mort à la suite d'un
coup de pied qu'il avait
reçu en ferrant un che-
vai, car il était maré-
chal.
Marne Toinette était
restée veuve.
Cependant ceux qui
se souvenaient du défunt
disaient qu'elle n'avait
pas été très-heureuse.
Le père Joseph était
beaucoup plus âgé
qu'elle; c'était un bon
ouvrier, mais un peu
ivrogne et il avait le
vin mauvais.
MameToinettel'avaitr
elle aimé ? Personne
n'aurait osé l'affirmer.
Pourquoi donc avait-
elle refusé tous les partis qui s'étaient présentes?
Mystère 1
Une légende discrète avait couru dans le fau-
bourg.
Cette légende, la voici :
Mame Toinette était née dans un petit village
de la Champagne, sous les grands arbres d'une
ferme appartenant à une ancienne famille noble
du pays.
La Révolution avait respecté le château qui
était bâti à quelque distance de la ferme.
Cela tenait à ce que ses propriétaires avaient
toujours eu des idées fort libérales.
Le fils du château, Martial de Bernaie, était un
beau jeune homme de vingt-cinq ans, lorsque
Toinette en avait quinze.
Toinette était belle.
Martial avait conçu pour Toinette un amour
violent et profond.
Cet amour avait fait jeter les hauts cris à la
famille de Martial.
Ce dernier avait annoncé qu'il voulait épouser
Toinette.
Mais le père de la jeune fille, ancien soldat de
la monarchie, plein d'un grand respect pour ses
maitres, avait menacé sa fille de la chasser, si
elle ne repoussait pas Martial de toutes ses
forces.
Toinette aimait le jeune homme ; elle ne se
rendait pas bien compte de la distance qui les -
séparait.
Cependant elle obéit à son père.
Un jour, on annonça dans le village que Toi-
nette allait se marier.
v JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent.- le numéro.
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mOIs. Six IIIOIS. Un an. S ^ I
Paris 5 fr. 9 fr. f S» tri ■■
Départements . 6 1 t 2%
y JEUDI, 19 AVIUL t86<). — \« 2. ,
: . .~ i --A
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
ECHOS DE PARIS
Après le temps d'arrêt forcé de la saison d'hiver, la pas-
sion qui pntrairH' les parisiens vers les hippodromes vient
naire des courses est do 00,000 r;mcs, et renthousiasuie des
spectateurs dépasse la recette. Sur la route de Longehamps,
les ducs rencontrent leurs tailleurs et les agents de change
leurs bottiers. Pendant que les membres du Jockey-club font
des paris de cent louis dans leur tribune,' les ouvriers, sur
la pelouse, font des poules de quarante sous. Les gamins de
Paris savent maintenant les noms des jockeys, et le mot
performance a passé du vocabulaire rde M. Eugène Chapus
,Ians la langue des faubourgs.
Les courses sont devenues un spectacle populaire : il ap-
partient à un journal"populaire de s'en oècuper.
Les courses sont renouvelées des grecs. Elles sont vieilles
comme les Lapithes qui étaient contemporains d'Hercule.
Plus tard Rome les emprunta à Corinthe, et, plus tard en-
core, Constantinople à Rome.
Cela ne veut pas dire que l'amélioration de la race cltlWrt-
line fùt une préoccupation des grecs et îles romains.
Chez eux, les cavaliers étaient en cause bien plus que les
chevaux. On luttait à qui serait le plus fort, le plus intrépide
et. le plus adroit. Les Cirques ne donnent qu'une tn\s- vai!uc
idée de Longchamps.
Les pre -
mières courses
célèbres en
France eurent
lieu sous
Louis X V L
Parmi les gen-
r.icmun -riders
de ce tomps.
liguraient le
comte (Lh-
tois, depuis
Charlf's X. ci
le duc 'rUr-
léans, depuis*
Philippe- Ega-
lité !
En 1807, titi
décret de X a -
poléon institua
tes courses
d'une fa rond é-
f initive.
Sous la Res-
tauration , les .
evaux de ar-
M. île. liisMAHK. ininislre d'6r;11 du royaume de Prusse.
yll(, générale clr. la villo (10, Port-au-Prince, détruite par un incoil(lic.. — Croquis fait sur nature, par M. Bérard.
ce arabe ou bretonne et ceux de race anglaise couraient à
peu près i), nom 111'(' égal. A partir de. 183(1, les chevaux de
, race anglaise l'ont emporté de beaucoup par le nombre et
les succès, Ce sont eux qui régnent aujourd'hui.
Ce sonl aussi)es mœurs anglaises qui ont prévalu, eu ma-
tière de turf et dl' sport. Il y a quelque trente ans, les mem-
bres du Jockey-club, seuls, pariaient, et un simple specta-
teur (lui eÙt risqué vingt francs sur la tète d'un cheval eût
été considère comme un original des plus boutions. Les pré-
fets réunissaient à grand'peine, quelques centaines de spec-
tateurs, en faisant sonner très-haut l'utilité publique.
Bref, les courses étaient un spectacle aristocratique et peu
suivi.
Manitenant. placez en face de ces souvenirs l'aspect de
l'Hippodrome, dimanche dernier !
Cmtes, les membres des cercles connaissent et appré-
cient, Gladiateur. Mais leur enthousiasme pour ce beau che-
val ne dépasse pas les bornes d'un sourire ou d'un bravo
discret. Le public de la pelouse, au contraire, est pris d'une
sorte de délire à la vue de ce vainqueur. Vingt mille, trente
mille bouches crient son nom; les regards brillent; les
mains s'agitent en battements prolongés... Dimanche, des
fanatiques rescorfaient, le caressant de la voix t1t du geste;
quelques-uns, par derrière, cherchaient à le toucher. Un poil
de sa queue leur eùt semblé le plus précieux des souvenirs!
Je ne parle ni des poules, ni des paris.
l/apoiliéose de Gladiateur amène naturellement le nom -
dn son pro-
priétaire, M.
le comte de
Lagrange.
C'est le iils
d'un général
de Napoléon,
ancien minis-
tre de la guer-
• re du roi de
Westphalie.
ancien gou-
vcrneur, de b
Hesse, ancien
pair de FraJl-
ce.
Le généra I
de Lagrange
a laissé trois
lilles; qui son:
duchesse de
Cadore, du-
chessed'Istl'i, '
et comtesse
de la Ferro-
naye. Ain s'
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Prologue
LA BATAILLE DE MONTMIRAIL
On parlera do sa gloire
Sons lu chaume bien loilgleilips.
f,e peuple dans cinquante ans
Ve connaîtra pas d'au Ire histoire.
vB]ir.AKGER.)
II
MAME TOINETTE
Quel âge avait-elle ?
Nul, excepté Quille-en-Bois peut-être, ne le
savait.
Elle était plutôt petite que grande, mince,
fluette, avec des cheveux blonds, et des mains
blanches comme une femme sans état.
Ses yeux bleus étaient d'une douceur incompa-
rable.
Cependant, à de certaines heures, si une émo-
tion agitait ce corps délicat, son regard avait un
éclair.
Puis l'émotion calmée, l'éclair s'éteignait et le
sourire quireposait sur ses lèvres avait un charme
an/éhque.
Dans le faubourg, quand Oï, parlait de marne
Tojiieîte, les, ouvriers a quelque corps d'état qu'ils
.appartinssent se découvraient avec respect.
On eût dit le reflet
d'un rayon de soleil dans
une glace.
Elle était belle comme
la Madeleine, on la vé-
nérait comme la Ma-
done.
Cependant bien des
cœurs battaient pour
elle, dans l'ombre, de-
puis surtout qu'elle était
veuve.
Mais jamais un aveu
n'était monté du coeur
aux lèvres.
Quand les compa-
gnons étaient malades,
elle les soignait avec
la maternelle sollicitude
d'une sœur de charité.
Une nuit que le feu
dévorait une demi-dou-
zaine de maisons, ou
avait vu marne Toinette,
faible créature qu'un
souffle de vent semblait
devoir renverser, passer
dix heures au milieu des
flammes, portant de
l'eau-de-vie aux pom-
piers, et de la charpie aux
blessés; enlevant sur
ses épaules un vieillard
infirme et se lançant
dans l'espace avec ce
>; -,Mi: Tu ! N E l TK
lourd fardeau, au bout
d'une corde à nœuds.
y me Toinette avait
été iariée, elle était
veU\ et n'avait pas
d'enfants.
Mais elle était la mar-
raine de Suzanne, et elle
servait de mère à Satur-
nin , le frère de l'orphe-
line.
Il y avait plus de
dix ans que son mari
était mort à la suite d'un
coup de pied qu'il avait
reçu en ferrant un che-
vai, car il était maré-
chal.
Marne Toinette était
restée veuve.
Cependant ceux qui
se souvenaient du défunt
disaient qu'elle n'avait
pas été très-heureuse.
Le père Joseph était
beaucoup plus âgé
qu'elle; c'était un bon
ouvrier, mais un peu
ivrogne et il avait le
vin mauvais.
MameToinettel'avaitr
elle aimé ? Personne
n'aurait osé l'affirmer.
Pourquoi donc avait-
elle refusé tous les partis qui s'étaient présentes?
Mystère 1
Une légende discrète avait couru dans le fau-
bourg.
Cette légende, la voici :
Mame Toinette était née dans un petit village
de la Champagne, sous les grands arbres d'une
ferme appartenant à une ancienne famille noble
du pays.
La Révolution avait respecté le château qui
était bâti à quelque distance de la ferme.
Cela tenait à ce que ses propriétaires avaient
toujours eu des idées fort libérales.
Le fils du château, Martial de Bernaie, était un
beau jeune homme de vingt-cinq ans, lorsque
Toinette en avait quinze.
Toinette était belle.
Martial avait conçu pour Toinette un amour
violent et profond.
Cet amour avait fait jeter les hauts cris à la
famille de Martial.
Ce dernier avait annoncé qu'il voulait épouser
Toinette.
Mais le père de la jeune fille, ancien soldat de
la monarchie, plein d'un grand respect pour ses
maitres, avait menacé sa fille de la chasser, si
elle ne repoussait pas Martial de toutes ses
forces.
Toinette aimait le jeune homme ; elle ne se
rendait pas bien compte de la distance qui les -
séparait.
Cependant elle obéit à son père.
Un jour, on annonça dans le village que Toi-
nette allait se marier.
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