Titre : L'Auto-vélo : automobilisme, cyclisme, athlétisme, yachting, aérostation, escrime, hippisme / directeur Henri Desgrange
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1941-10-06
Contributeur : Desgrange, Henri (1865-1940). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327071375
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 06 octobre 1941 06 octobre 1941
Description : 1941/10/06 (A41,N14931). 1941/10/06 (A41,N14931).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4642933f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-248
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/03/2017
ATHLETISME
Pujazon : de la lignée
des Guillemot et des Rochard !
COURIR POUR GAGNER
(Suite de notre article de 1re page)
Soyons assez raisonnable, en cette
fin de saison, pour ne pas nous
gargariser avec un temps en dessous
des quatre minutes aux 1.500! Le
plus dirigeant est que ce temps
— hé, tnl1t juste en dessous... —
est accompli par un homme de 800
par lin autre homme, Berthaud,
(JlJi hésite encore entre les deux
distances.
Mais soyons assez juste pour re-
connaître que le temps, en l'occur-
reffce, n'a pas compté. Hansenne
oyant décliné l'invite à mener le
cotillon, Berthaud s'y décida molle-
ment. La présence de Chermet et
de Bréans dans les pointes des deux
rivaux à la sortie du dernier virage
est assez significative... Il y eut
après la prudente séance de train
ul, sprint éperdu, tout comme au
vélodrome. Il a manqué un Chatil-
joli, in troisième larron. Sûr, il y
« M. Léo Lagrange
a donné le plus bel
exemple qui soit »
déclare M. Jean Borotra
Avant la réunion d'athlétisme du
stade Jean-Bouin, alors que les athlè-
tes se trouvaient au garde-à-vous, à
oauche et à droite du mât où flot-
taient les couleurs du CG, M. Jean
Borotra, commissaire général aux
sports, prit la parole. Voici les paroles
émues qu'il prononça :
« Athlètes de France !
« Vous êtes assemblés aujourd%ui
pour honorer la mémoire de Léo La-
grange, ancien sous-secrétaire d'Etat
aux Sports, parti aux armées en sep-
tembre 1939 comme lieutenant d'ar-
tilterÎcI, tombé au champ d'honneur
i»ns un petit village de r Aisne, • le
9 juin 1940.
« En votre nom, je salue sa veuve
et son fifs, dont la présence à mes
côtés donne à cette cérémonie toute
M douloureuse signification.
« Celui qui fut votre chef vous a
ifonné, mes camarades, le plus bel
exemple qui soit : celui du devoir,
poussé jusqu'au sacrifice de la vie.
« C'est cet exemple que je vous
ffeflfanrfff de méditer au cours de la
rtfmote de recueillement que nous
,i»ons observer ensemble. »
; en aurait un en finale olympique.
Et un quatrième, et un cinquième,
| C'est pourquoi ' je n'apprécie pas
; beaucoup ces courses: elles ne nous
j préparent pas des athlètes pour ren-
contres internationales.
Hansenne, mon ami, maintenant
que la démonstration est faite, re-
prenez vos risques.
>e-l
Je connais des hommes farcis de
bravoure qui ont peur des fantômes,
l'âme de Roger Rochard est une
ême hantée. Il s*y balade en liberté,
malgré la pénurie de draps, des
i spectre. dont les boulets glissent de
temps à autre, par fâcheuse inad-
t vertance, jusque dans les mollets du
pauvre Rochartd...
Rien ne pourra me laisser croire
jue ce garçon ne pouvait pas rester
"dans la foulée de Pujazon, lorsque
le Marseillais, 'décidé à tout briser
sur place. accéléra sèchement vers
le quatrième kilomètre, fatigué des
agaceries de Lalanne, à moitié re-
trouvé. Il était évident que Rochard
avait pris pour conduite de s'écarter
ds à-coups, de ne pas se laisser
aller à répondre aux attaques, de
compenser au,,> train le retard accepté
à la suite de chacune 'd'elles. Il por-
tait ainsi en lui le souvenir de la
lutte du récent 3.000. empoignade
la plus âpre, la plus brutale qui se
soit vue depuis longtemps sur un
stade français. Ce souvenir, qui en
eût exalté un autre, c'était un /an-
tôme de plus en visite dans l'âme
du malheureux.
Ce jugement, nous le portons.
ainsi que tous les spectateurs de
cette belle réunion parfaitement
-conditionnée, parfaitement menée,
parce que la fin de course de Ro-
chard, du meilleur Rochard, léger,
vaporeux, fut celle d'un athlète de
classe, plein de ressources, plein de
vitalité.
Nous savons, il est vrai, ce que
valent les coups de boutoir de Pu-
jazon, leur rudesse, leur force per-
cutante. On aura d'abord beaucoup
critiqué le style de ce coureur. Evi-
demment, l'efficacité du Marseillais
ne souffrirait aucunement de cer-
taines améliorations qui, pour pa-
raître futilement esthétiques, lui
donneraient une aisance autrement
productive. Plus d'amplitude dans le
balancement des bras, plus de sou-
plesse du tronc, dénouer la nuque
et les épaules, assouplir et dévelop-
per le thorax. C'est là un travail
complémentaire de précision afin
d'atteindre les buts élevés. On re-
marque que, en dessous du tronc,
les choses se présentent plus cor-
rectement. C'est que Pujazon est un
coureur naturel. A l'étranger, c'est
avec des coureurs naturels de cette
nature qu'on fait les champions pa-
tentés. Notre opinion est qu'il ne
serait s inutile de commencer à I
s'occuper sérieusement de Pujazon. 1
notre athlète N° 1. —
J. G.
Le film du 5.000
Neuf concurrents se rendent au dé-
part. Parmi eux, •celui qu'on n'atten-
dait plus, le Bordelaig Lalanne.
Pujazon à la corde, à, ses côtés La-
lanne.
Dès le coup de pistolet du starter,
l'ujazoll prend la tète. Dineur lui sue-
cède, passant aux 500 en 1 m. 22 s. 6/10.
C'est au tour de Lalanne d'être au
commandement. Le kilomètre en 2 m.
51 s. 8/10. Lalaune précède Poharec.
Pujazon, Solan et Baudoin.
Les 1.500 en 4 in. 19 s. 8/10.
Quatre coureurs voguent de conser-
ve : Lplaune-Bochard et Pujazon-Bau-
douin. Dineur est en tête du groupe !
des « lâchés » !
Les 2.000 en 5 m. 51 s. 9/10.
Baudouin lâche pied; tandis que le
champion de France de cross-country
et toujours en tête. Rochard semble
en dedans de son action... 2.500 en
7 m. 24 s. 3/10. !
Un peu après la mi-course, Pu.Ía7.J'1n J
démarre et prend 4 mètres à Lalanne.
3.000 en 8 m. 57 Il., par Pujazon.
Lalanne reprend contact avec Pu-
jazon. Il n'hésite pas et accélère la.
cadence.
I
A environ 1.200 mètres de l'arrivée,
subitement Rochard ralentit, l'ujazon
accélère... Lalanne, lui. également (.oit
céder du terrain. 4.000 en 12 m. 1 s. 1/10.
Les 4.500 m. en 13 m. 28 s. 1/10.
Rochard récupère, revient sur La-
la n n e et s'assure la, seconde place..
Au passage aux 3 milles anglais
(4 m. 827 Íll. 96), Pujaxon bat le record
en 14 m. 17 s. 2/10. record précédent
14 m. 27 s. 8/10. par Rochard. en 1932...
- L. V. L.
« Maintenant... repos ! »
souhaite Pujazon
Pnjaton fft compagnie (If! son
camarade Peyre, et il -nous dit :
« Maintenant, j'atpire au repos
Songez aux efforts que je viens de
fournir depuis un moi.'... Dimanche,
ce géra ma drrniére course,
« Du rrost ?... Cela va dépendre de
l'état ^ dans lequel je vais me sentir ! »
Sur 100 et 200
Scheuring triomphe
d'Osendarp
Toujours en forme Harbig...
1 m. 50 s. 2/10 aux 800 !
imifeîTfcm 5 octobre. - Une grande
fêté sportive de J armée allemande, or-
ïanwee par les PTT allemands et à
^Quelle participaient quelques-uns des
Mi leurs sportifs du Rcich, s'est dé-
troulée aujourd'hui au stade olvmpique
™terdam devant plus de 30.000
IPéeta teurs.
On f, 'attendait à une belle lutte en-
le meilleur sprinter allemand
Mieurinç, de Stuttgart et le sprinter
nOJ1IlDdais Osendarp. de La Pave
deux épreuves, du 100 mètres
v.4.'1 iiiètl,pc-. l'Allemand ç;cbf,,iiriii,
Battit It' Hollandais. Aux 800. Harbig-
1 i ?„ une grande performance sur
Mais Giesen. lui aussi,
prouva sa. grande valeur avec le temps
1 m. 51 s. 1/10.
Résultats
i/i~ L Scheuring (stuttgart). 10 s.
lA Osendarp (La Haye). 10 s. 5'10
n une s, 6/"D; Poitrine); 3. Zielinski IDorstmuth),
4 Meiarovitch (Berlin), 10 s.
Vin •18, 5. Sonntag (Leipzig). 10 s. 7/10; 6
MÎCk* (Berlini. 10 «. 8/10.
1. Scheuring (Stuttgart), 21 s.
8/ln ,' O/Senda.rp (La Haye), 21 s. 6/10;4.
L5elarovitch J (Berlin). 21 s. 7 ilo •
(B^lin); 5. Bœnecke (Berlin):
50* Jn'n-T h- Harblg: 'Dresde). 1 m.
1 4. î îsen (Berlin). 1 m. 51 s.
Gnii 3. Kalndl (Munioh), 1 m. 53 s. 5/10;
(Berlin). 1 m. 54 s. 4/10; 5. Seu-
b*T? ïî iMunich). 1 m. 54 f" 5/10.
L BIRsk (Berlin), 55 m. 54;
i Kohlemann (Berlin), 46 m. 75.
Le sprinter Hendrix
est tombé
au champ d'honneur
bir thlétisme allemand vient de su-
Seudr l est nouveau deuil. Le sprinter
tUr le front e«t au champ d'honneur
in1 partie dp la fameuse
dri»pe„d d'Alleinagne - Koernig. Hen-
;j■». enSP
Jeux
d e lIenrlrix 10 fut PluRieuT8 fois crédité
toatch F,., 100. Il Participa au
France-Allemagne en 1932 et 33.
NOUVELLES DE L'ETRANGER
fefttu A le C Holst Joerensen a
B fi/m-?» danois du 400 m. en
J — et. Be*Vgstrn remporta )e 800 m.
| p^'us Puissant reconstituant.
lltul'Bsthénie combatt"e surmenage, anémie.
ces des e- toutes les conséquen-
«omoriL. reHl'iction de s act neJles, deux
dl"0Bt S, Vig-alose aux repas ren.
10 ioott 14 \'ig-ueur. L'étui-cure de
France û 1 francs. Pharmacie de
toutes 'ni p ace du Ha.vre, Paris, et
: les Pharmacies.
^îfmacie de France...
la place dit .H.avre, Paris, Phar-
î^chahu P ni séripllse. haIS Qualité irré-
HISTORIQUE DU RECORD
DES 3 MILLES
M. S. 10"
16 9 6 J. Bore! (RCF), 1891.
15 53 4 F. Gourdier (RCF).
15 17 2 A. Lermusiaux (RCF), 1895.
15 14 4 H. Déloge (RCF), 1'901.
15 13 2 L. de Fleurât (RCF), 1904,
15 5 4 L. de Fleurac (RCF), 1907
14 3.8 4 J. Bouin (CASG), 1111.
14 33 2 J. Ladoumègue (SF), 1928
14 27 8 R. Rochard ÍEAC), 1932.
14 17 2 R. Pujaxon (USMM), 1941.
GYMNASTIQUE
Longtemps Ben Haïm mena...
(Suite de notre article de 1re page)
Aux anneaux, Touchard remonte;
Vogel, Arnou et Anger se distinguent,
mais Ben Haïm est toujours en tête 1
du classement; Touchard. deuxième;
Anger, troisième; Muller, quatrième; j
Vogel, cinquième; Aubry, sixième.
Le saut de cheval permet à Anger
de remonter à son tour avec 9,50
contre 9,20 à Ben Haïm. Mais ce der-
nier reste en tête. et Touchard passe
troisième. Le meilleur saut est fait
par J. Fourcade.
Les parallèles sont splendides. Ben
Haïm obtient 9 30 ; Touchant, dé-
chaîné, 9.80. Mais Axiger, qui veut
en finir, est superbe et il prend enfin
la tète du classement avec un 9,80.
Après cinq épreuves : 1. Anger,
46,60 ; 2. Touchard, 46.40 ; 3. Ben
Haïm, 46.20; 4. Aubry, Vogel, 44,30;
6. Muller, 44,10.
La. barre fixe termine cette belle
compétition. Elle décidera... Four-
cade, L'Hcnaff. Muller et Vogel bril-
lent. Ben Haïm a 9,40. Touchard est
abattu par la malchance et un 7,10
le fera tomber quatrième. Anger,
impeccable, est le meilleur; 11 réus-
sit 9,80 et devient champion de la
zone occupée.
Parmi les malchanceux, citons
Touchard, Arnou, Floquêt.
Floquet, Dazin, L'Hénaff et Poi-
rier, des révélations, seront à revoir
— A. D.
1. Anser (Pompiere de Paris), 56,20;
2, Ben Hum (US Métra). 55,60 ; 3 J
Aubry (Chartres), 53.76; 4. Touchard ' Puteaux), 53,50; 5. Vogel (Troyes), 53,40;
~ lh (T. Suresn&sj, 52,50; 7. Muller
(St-Germain), 51,80; 8. Fourcade J. (R.
Nogent). 48.70; 9. Duchemin (SM Pu-
teaux), 46,70; 10. Fourbe (Nantes). 46.20;
Il. Dazin ¡TB;, 45.5o; 12. Poirier (PGS
PFI. 45; 13. L. Hénaff (SMPI. Floquet
(Anor, Nord;. 44,30; 15. Lainé \SMP).
42.50; 16. Quitter (RN), 42,40; 17. Péon
'ABI. 40,20; 18. Arnou (SMP1. 39,60: 19
Goubert36; 21. Verchuren, 35,90: 22. Rey, 32,60;
23. Levrat. 31,90; 24. Breton, 30,50; 25.
Vernier, 29,50: 26. Farmarll. 27.80: 27.
Reubrez. 25,80; 26. Péan, 23,50; 29. Blan-
chard,
LE GYMNASE DE PUTEAUX
EST EQUIPE D'APPAREILS
NATIONAL -
DANS 3 JOURS
ON
TIRERA
LA LOTERIE
NATIONALE ,
--~ 1 "
Fin de saison...
" bouquet " un record!
(Suite de notre article de 1re page)
Lalanne lui mena la. vie dure. Ro-
ger Rochard était en grande forme;
ses amis du CAF n'escomptaient-ils
pas la chute du record ?
Mais l'admirable machine qu'est
Roger Rochard se dérégla, durant
trentè secondes, à 1.200 mètres de
l'arrivée... il se reprit, remonta La-
lanne, reprit du terrain à Pujazon.
c'était "','op tard. "
Pujazon est réellement un grand'
Champion de la lignée des Guillemot
et Rochard, mais il a encore des dé-
fauts de style. Entr'autre, sa main
droite et son avant-bras sont trop
crispés.
Lalanne tenta crânement sa
chance, mais le 5.000 semble trop
court pour lui !
Derrière ce trio, Dineur, Baudouin,
qui s'améliore à chaque sortie, et So-
lan, firent de leur mieux.
Enfin, les 4 minutes battues !
Pour la première fois de la. saison,
ainsi que nous le pronostiquions sa-
medi, les 4 minutes furent battues
aux 1.500.
Pourtant, aucun des adversaires ne
s'astreint à mener un train sévère et
le deuxième 500 de ce 1.500 fut bien
lent — 1 m. 25 s. 7/10.
Massemain s'échappa bien dês le
départ, mais Hansenne et Berthaud
se surveillaient et ils ne « sautèrent »
pas dans le sillage de l'uaiste.
Si bien qu'à la. cloche -.450 mè-
tres de l'arrivée — 11 y avait quatre
coureurs ensemble : Berthaud. Han-
j senne, Chermet et Bréans.:
Hansenne ne voulant pas mener
pour tirer son heureux vainqueur du
Kilomètre de L'Auto, il nous fallut
attendre les 200 derniers mètres de
l'épreuve pour assister à un sprint
émouvant et acharné, se terminant
par un léger avantage du Tourquen-
nois en 3 m. 59 s. 2/10. Berthaud éga-
lement bat les 4 minutes.
Le sprint de Bréans semble émous-
eé depuis son Championnat de Fran-
ce. Il est curieux de remarquer que,
depuis le 20 juillet, le sociétaire du
COA jtt-'a plus remporté de « grand »
1.500. Il trouva toujours sur sa route
Chatillon, puis ses deux vainqueurs
d'hier. Le vétéran Chermet défendit
sa chance de façon très habile.
Valmy, puis... Auvray
Sur la piste un peu lourde de Jean-
Bouin, Valmy a aisément remporté
deux nouveaux succès : le 100 m. en
10 s. 8/10 et le 200 en 22 s. 2 /10.
Ses victoires ne faisaient aucun
doutè. Il était un point d'interroga-
tion à résoudre ; Dufour était-il
meilleur qu'Auvray ?
Le puciste a répondu en battant
chaque fois le racingman. qui man-
qua de chance aux 100. mais fit très
bien aux 200, où il était ln tête à la
sortie -du virage.
Auvray, au « finish » excellent. sè
paya même le luxe de remonter
Vàlmy.
Bravo, le junior !
Esprangle, en réalisant '50 secon-
des, réussit à égaler le meilleur temps
de la. saison — 50 s. par Joye à Dijon.
Esprangle domina de bout en bout,
défaisant un Dufar trop noué. Le
Malouin devrait pratiquer une cultu-
re physique d'assouplissement, et
Peyre partit trop lentement.
Joye déçut, mais il a une excuse
valable. Il quitte Paris aujourd'hui
pour Sochaux et depuis une semaine
11 pratique un !Sport, peut-être ré-
commandé pour les poldi et haltères,
mais néfaste fi. l'athlétisme : le démé-
nagement !
Laborieux s'adapte & sa nouvelle
spécialité.
Les autres épreuves
Aux 110 haies, Maignan. accrocheur
et courageux, défit le champion de
France Jacques Sapin. En hauteur,
Lapointe sauta 1 m. 90 « facile »,
échouant à 1 m. 96.
En longueur, Baudry précède Joan-
blancq de 6 centimètres.
Chez les juniors, Wattele-z, dont un
malencontreux claquage « gâta » la
saison, s'assura le 100. Aloysios défit
sur 800 un Annebique qui accuse une
fatigue compréhensible. Bonnefoy
triompha de Thomas.
Notons enfin le beau relais 12 x 225
qui revint au Racing devant son
vieux rival du Stade Français et qui
clôtura fort bien une saison modeste,
mais qui nous laisse entrevoir un
avenir meilleur grâce à l'appoint des
juniors ! —
L. v. L.
Les résultats
SENIORS
100 m. - 1. Valmy (TRrbe,,;), JI) f g/io-
£ Aiit,ray (PUCj ; 3. Dufour iRCfM; 4'
C, Duvernoy Cholet (SEE); (COAL5. (ASU W.
390 m. — 1. Valmy (Tarbes), 22
2 Auvray (PUC); 3, Dufour (RCF¡; 4'
Cholet (COA),,ASULj; 5. Duvernoy lSEE): 6.
490 m. - 1. Esprangle (SEE), 50 s '
2 Dufar (St-Malo), 50 s. 7/10: 3 Pevre
(Marseill(" 1. 51 s.; 4. Joye (CAP). 51 se-
condes 8/10; 5. Laborieux (JF). 52 s • 6.
Gaillard (SEE).
1.500 m. ,— 1. Hansenne (Tourcoing),
3 m. 59 à. 2/10; 2. Berthaud (Lyon), 3 m,
V i Bréans (COA); 4. Cherm«t
(CASG). Gallet «Chartres); 6. Lefebvre
5.000 m. — 1. Pujazon (UST Mars.),
14 m. 53 15. 6/10; 2. Rochard (CAF). 14 m
S. 7/10; 3. Lalanne (CAM Bordeaux l,
15 m. 7 s. 4/10; 4. Dîneur fUSMI. 15 m
L0, 5. Baudouin (COA) ; 6. So;an
'7. Gui&hon 1 MCi ; 8. Poharec
(OOA).
110 m. haies. — 1. H. M&tznan (RCF)
2. Sapin (FCLt; 3. Saliou tUFO
LEP): 4. Maignan. déclassr.
Haut. — 1. Lapointe. 1 m. 9Q;
DtJtJporte.s 1 m. 80; 3. Enfer
tASBI. 1 m. 80; 4. Wittevronghel (PUCI,
1 nt. 75.
Long. — 1. Baudry (RCF). 6 m. 8!; 2
Joanblanq (USNI. 6 m. 75; 3. Breitman
'PUC'. 6 m. 62; 4. Vandenbrsnden (RCFi
6 m. 07; 5. Sel] i ères lUFOLEP), 5 m 75'
Relais 2x225 14 cad., 4 j. 4 S.). 1
RCF; 2. SF; 3. COA: 4. CASG; 5. ÙAI.
JUNIORS
100 m. — 1. Wattelez (PUC), 11 *. 4110;
2. Malville (USN); 3. Renaud (Havre AC);
4. Placé iD(Lxb, 5. Rochepierre iFGSFF):
6 Rochette (FGSPFI.
800 tn. — 1. A'oysioe (US Neverst, 1 m.
59 s. 7/10; 2. Hannebique (VannelEl, 2 m.
1 s. 2/10; 3. Geroud {CASG 1. 2 m. 1 s
5/10; 4. Legra6 (SF). 2 m. 2 s. 7/10; 5.
Na&sie.r (NC): 6. Guilieroux (COA); 7.
Montanier (FSGT).
1.609 m. — 1. Bonnefoy (CASG), 4 tri,
29 2. Thomas ICOAI. 4 m. 31 s. 7/10:
3. Couraient. (CASG). 4 m. 35 5. 4/10;
4. ContâtLorry (RCF).
1. 22 pts; 4. USM, 33 pts.
FEMININES
100 m. cad. — 1. Antonnet (UFOLEPI,
13 s. 2/10: 2. Touchon IFS.) ; 3. Trochet
(ES XV'); 4. Pussey (FSGTI.
150 m. — 1. Debuire IALP), 20 s. 2/10:
2. Pasquier (ALPL 20 s. 5/10; 3. Monny
(AS); 4. Lejezel (COR-FSGT); 5. Lebou-
langer (COP-PSOT) ; 6. Talbot (AS Vi-
roisei.
4x100 m. — 1. ALP.
Epreuves de « Junior »
Saut en longueur. — 1. Pçadié (Bazas),
5 m. 92; 2. Catherine Duchemin iGran-
ville), 5 m. 48; 3. Lsmour (Orléans),
5 m 4(3; 3. Cusenler IPoCI, 5 m. 46.
Cadets. — 60 mètres : 1, Lajournet
(Bordeaux). 7 s. 4/10; 2. Juillard (AvI-
gnon); 3. Carier (Pontivy); 4. Lerlteilu
(Mez)don).
Poids. — 1. Laplc (PUC), 13 m. 91:
2. Saint-Marc (Bègles). 11 m. 76; 3. Meu-
nler (Le Mans), Il m. 48; 4. Payen (CAP),
10 m. 15.
600 mètres, — 1. Bouvet (Lisieux),
1 m. 29 s.; 2. Doidy (Ambarès); 3. Petit
(Liboujne); 4 Crégut (Paris).
Saut en hauteur. — 1. Kaloujiny (CA
SG). 1 m. 63; 2. Vallée (Colombes), 1 mè-
tre 63; 3. Oher (COC)I 1 m. 60; 4. Bri-
gnard
Dans la tribune officielle
Autour de Mme Léo Lagrange, de son
fils et de M. Jean Borotra, on remarquait,
dans l& tribune officielle : MM, Méri-
camp, Ct.-R,. Rodrl. Foulon, Glasser,
Mttsny, Dedet, Dr Chailley-Bert, Jurgen-
son, Rouet, etc.
BASKET
LES BASKETTEURS ONT « OUVERT » LA SAISON
La J. S. P. Issy l'emporte, après un match serré,
tandis que Championnet résiste magnifiquement aux Linnets,
pour la Coupe de L'Auto féminine
Demi-surprise : la nette défaite de la S.S. Amicale
! L'an dernier, lors de l4 première
Coupe de L'Auto, organisée par le
CF Paris, les Linnets de Saint-Maur
éliminaient Championnet, véritable
révélation de la Coupe, par 34-32.
Hier, en huitième de finale, la.
même équipe gagnait par 31-24.
Eh bien, quoique l'écart soit plus
important cette fois, Championnet «
fait montre d'incontestables progrès,
car il ne faut pus oublier qu'aètuel-
lement les championnes de Paris pré-
sentent une formation constellée
d'étoiles qui, lorsque la cohésion sera
obtenue, sera quasiment imbattable.
Devant cette équipe, les élèves de
Jacquard et Lesmayoux se sont dé-
chaînées, conduisant le match pen-
dant les trois quarts de la partie
pour, finalement, baisser les bras,
alors que J. Milot, la meilleure
joueuse sur le terrain, grande par SlL
classe 11ulis petite par sa taille, ce
qui est le plus dommage, était tou-
chée à la suite d'un mauvais choc.
En quart de finale et en toute lo-
gique, Lutèce Olympique « disposé,
d'une équipe du Métro, accrocheuse
en diable.
Première journée de Championnat
On prévoyait une rencontre serrée
entre Issy et la Résidence. Elle le fut
en réalité et si notre favori l'a fina-
lement emporté, les deux équipes ont
démontré que malgré une prépara-
tion déjà, poussée, il restait bien du
travail à faire.
Sans que la défaite de la SS Ami-
cale puisse être considérée comme
une surprise, plus surprenant &ppa~
rait l'écart enregistré en fin de
match.
La JDA Ménilmontant, équipe ra-
pide et énergique, a « contré » d son
propre feu la réputée formation des
* Amicaux ». A moins que ces der-
niers, prudents, effectuent un départ
moins impressionnant que celui
la saison passée.
Le BBC Russes, mais, ce qui ne
diminue en rien le succès du COA,
les Slaves ne présentaient pas, loin
de là, leurs meilleurs éléments. Tou-
tefois, Oulianoff a fait à cette occa-
sion des débuts remarqués.
Relevotm, pour terminer, le beacu
résultat obtenu par l'accrocheuse
phalange de Gargan face au Stade
Français.
Louis Lapeyre.
LA COUPE DE L'AUTO FEMININE
Le « métier » a fait
pencher la balance
Linnets b. Championnet c
3i à 24 (14-15)
LINNETS. — Houel, 3 pts; Laffiteau,
il pu; Colin, 7 pts; Letzïati, 2 pu; Le-
may, 8 pts; Gravier.
CHAMP. SP. — S. Milot. 3 pts; J. Mi-
!ot. 17 pte; Fehrcnbacher, 2 pta; Frilon..
Sàrtfiw," au
Dès l'entrée des joueuse*, l'on constate
une nette 6upériorité athlétique à l'avan-
tage des Linnets qui, d" pl», ee présen-
tent nantis d'un sûr n-&tier.
Mais CShampionnet n'est nullement im-
pressionné et part résolument à l'attaque,
marquant le premier panier par J. Milot.
Puis le jeu .s'équilibre. Mànrncine, Cham-
pionnet réaliens un jeu de meilleure fac-
tm'e. alors qu% les Linnets semblent avoir
fHi jn-al 4 coordonner -les efforts de :!m<;
Joueuses.
En serondle mi-temps, la liaison des
championnes Parie est plus effective
et le « Pâte) *, handicapé par urre ;bæ5-
sure de J. Milot. la meilleure .jooeuste sur
ile ttr-run, baisse 11% br". I>è$ lors. 11a
victoire d«s Linnets ne fait '.plue a-ucùr.
-doute.
Ùhei: les; vainqueurs, Houo,l, Colin et Le-
rniay se signalèretit, tandis qu'à Clram-
ipionnet, en dehows .'J. Milot déià cit'ée,:
¡.il faut relever les tonnes parties de S .
(Milot et Fehreiiba^her. — L. L.
x
ïïuffîèmw: S:e ftntilt. — ï^nvi'n* e*p. ife.
APBOP, 44-IS (20-7k ;\RSAP b. Cham-
pionnet, Sp. 2. "S2-1Î ( tC-3 ).
Quart Se finale. — Latèwe 'Olympique 1
b. USM, 28-12 (12.16>.
Championnat de Paris
POULE
Issy partit pi-M vite
JX&. l*t* fJ. ,¡t;S. RétiduncJe S. ÏM-2
( 17^13)
3M.T. — VfrgmauSi M.. S .pte; Cheval-
lier, 7 Pta; Asstgond, 7 pts; Chocttt, 2 'pts;
Clerget. 1 pt ; ChflmpîfYn, 2 pts.
A.S.R:'S. — G-crbcrt '1:.. 10 pts; I/6SCDT-
nee, 6 ptt; MflmTtiIrr, 9 'pU; GHntr&, 1 :pt;
G1>b:ert 11 pte; Noël, Bubu-yle, Chustu-
,giii,er.
Issy, plus vite en action. ouvre la mar-
que par Choc a t et Ver^niaud junior. (rtI-
rard arrfctfc naei^ats desoentes iktlwi-%Ls
-et lance (avants ' belles O-coxe"nls.
De loin, l'arrière 'Leecornez tente sa
chance "et réussit de beaux paniers. Toutc-,
fois, le Jeune "Vergsniauâ. en excellente
forme, it A«5e£»nTl 'Ctfnc-rét1sM'lt la légère
avance de la JSP Issy,
La Seconde mi-temps sera plus égale et
îssy ne tri.M&phtm finalement qire war
a POi'nt;&. — J. Brice.
POULS J
Plus d'ardeur à Gargan
ES Gurpa-n et St. Français ; 20-20 (11-14)
: ES Gargan : Istria, ,9; Meyer, -5; Jtsssel,
4; Hugues, S; Leli%vre; P"érèB.; 'Ch"&JiGÕ;
Balzet.
SF : Rlfse, AYml. 3: feonnevie, 2;
Rimbourg; Oh-amorel; Contej; Richeman;
Djendaredjan.
Les stadis'tes, supérieurs en technique,
dominèrent en première mi-temps. Après
la reprise. les GariZan-&is constituèrent un
* mur » efficace ét, par d'heureuses con-
_tre-attaquee, parvinrent à égaliser malgré
te brio de Rost.
x
A US Métro 1 b. ASV Otage 61 -1 n
B Racing CF b. Les Menilm 41-26
C JA L6 val lois b. CA Montreuse. 23—19
PUC b. CS Plaisance. 35—-36
D SCPO 'b. Malakoff Sp 28—12
F JSP 'Sssy b. AS Re'sMe'm'e S... 27-22
Clichy Sp. b. ES Colombes 24-21
G JDA Ménil 1 b. SS Ami-cale 1. 48-26
ASCP Nord 1 b. AS Transp. 1. 34—33
1 AS Bon Conseil 'te. US Kremlin. 37-11
J ES Ga.rg&.n et St. français 20—20
K CO Auberv. b. BBC Russes... 38—22
L Champion. Sp. b. CA Rosaire. '6{)- 7
VGA St-Maur b. St. Est ......... 29-14
Matériel pour le
B A S KE T - B A L L
est fabriqué aux
Ets NATIONAL
Jutes Leuii, t2, r. Claude-rtrras&t 4'%,)
RUGBY
Dans la Coupe du Club des XV
toutes les équipes en visite gagnèrent...
(Suite de notre article de 1re page)
Les détails nous manquent mal-
hew"eusem,ent. Tout ce que moue
avons appris, c'est que les homme*
du k petit Sam », qui menaient &éjà
par 47 à 0 à la mi-temps, a/fichè-
rent un brio extraordinaire. 0,., s'en
doutait un peu. 1
Quel dommage — pour làtt beauté
du sport — que ces virtuoses du jeu
et la main ne puissent montrer leur
savoir-faire contre leurs compatrio-
tes de l'Aviron Bayonnais et les au-
tres protagonistes du Challenge du
Club des XV !
Dax, Biarritz et Hendaye
battus chez eux
Dans cette épreuve, non seulement
l'Aviron, mais le Boucau Stade et le
Saint-Jean-de-Luz Olympique réussi-
rent l'exploit de battre respective-
ment le Stade HeruLayais, le Biarritz
Olympique et l'Union Sportive Dac-
quoise à domicile. Voilà des points
qui s'avéreront précieux dans le cou-
rant de la saison.
Les Bordelais ont repris
leurs luttes fraternelles
Par des scores sensiblement égaux,
les étudiants du BEC et les hommes
du Stade Bordelais vainquirent leurs
rivaux locaux du Sport Athlétique
et du CA Réglais. Nos gens ont tout
le temps de se revoir, et s'ils font
comme t'an dernier plus d'un rê-
sultat sera inversé avant qu'il soit
longtemps.
A Paris, seul l'Olympique
de Saint-Denis fit du beau jeu
A. Paris, deux des trois parties que
comportait le Challenge Paul-Assié
furent d'une rare indigence.
A Pantin, match terne haché par
les coups de sifflet de l'arbitre qui
dut pénaliser à qui mieux mieux
pucistes et scufistes.
A Saint-Cuen, si le Métro parvint
à se détacher assez aisément de
l'étreinte du Red Star, cè 1Ul fut
pas pour cela que le3 rares specta-
teurs virent autre chose qu'une ex-
hibition médiocre, maladroite, lente
et heurtée. A ne pas Tecommencer.
Seul l'Olympique de Saint-Denis
enchanta adversaires et spectateurs
par la manière élégante dont il
disposa des postiers, qu'entraîne no-
tre ami Eugène Petit.
La « Section » battit le « Stado »
cette fois
De la zone non occupée, nous
n'avons que, deux résultats pour l'ins-
tant.
La Section Patoise battit le vieux
Stadoceste Tarbais de Jules Soulé par
un score (19-15) qui semblerait in-
diquer une partie ouverté et par
conséquent plaisante.
Le méritant Stade Aurillactfts 01,-
tint, contre l'Union Sportive Mon-
tatb,g,naise, un score sévère... ?nais,
encore une fois, nous n'en sommes
qu'au début de la saison. —
M. B.
Z.N.O.
COUPE DES CHAMPIONS
Assauts répétés et variés
des Catalans
U.S.A. Perpignan b. S.U. Agenais
par 14 à 12
Agen, S octobre (de notre corresp.). —
Partie vivement menée. Pët'ptgimn domine
nettement ét principalement par sa liane
M 'attaqu,P, qui menait des assauts variés '
et continuels qui aboutirent quatre foie.
Agen possède une équipe jeutle, assez
bonne en avants, mais tl'OD timide et
trop lente en Arrières. —
Cochet.
CHALLENGE DE L'AMITIE
St. Montluçon b. C.A. Périgueux
par 5 à 0
Montluçon, 5 octobre. — Les locaux.
maîtres dans tous les compartiments du
jeu, obligèrent les lignes arrières de Pé-
rigueux à se cantonner dans la défensive,
Les buts pérlgJJ\lr,1iru;¡ furent franchis par
les trots-quarts mont!iiconnal«.
Bon arbitrage de M. Fé«.
Montfcrrand se déchaîne
après le repos
AS Monf/errandaise h. CS Vienne : 21-6
VIENNE. — A égalité au repos (6 à 6),
-J** équipes srmtotent se -valoirr 4»n 1
seconde mi-temps la rapîditë des Mrmt.-
fèrundl.i'l'; all'Ilit Taire pencher J& balance
en leur f»,-veur.
Jouant à 14, le L.O.U. gagne
L.O.U. b. Macon ; 23-13
LYON. — Les Lyonnais ont présenta
une belle équipe, A la reprise, ils me-
naient 8 à 7 et, malgré l'absence de Va-
nïer, blessé en seconde mi-temps, ite ac-
centuèrent leur .vtl.Rtaie.
Belle seconde mi-temps
F.C. Lyon b. U.S. Bressane : 25-3
LYON. — Aprte une première ml-t«mpÈ
trè* égale, au repos, le scorfe était de
3 (1 essai) à % '(1 but &tdr coup franc),
le FC Lyon, plus rapide, prit nettement
1 «vanta^e, A Bourg, Dëhays fut le meil-
leur; à Lyon, Bamatifl, -Crétin et Minj at.
LE CLASSEMENT
J. G. N. P. Pt,s:
AS b(entferrandaise ... 2 2 » » 4:
Lyon .2 1 1 3;
LOU 1 1 » » 2 :
ÎX3 Grenoble 1 » 1 » i:
OC Vieoa-e 1 11 » 1 »,
CS Jîressaae .............. 1 » » 1 * '
AS Mâoon ................ ~ 2 j> i> 2 > !
MATCHES AMICAUX
..s. Paloise b. S. Tarbal.,; l'9—15
S. Aurillac b. «US Montaub&n... 28— 0
Saint-Girons b. Foix .""" 9 g
Villeneuve b. BTive 3 -0
SC Decazeville b. US Pumel....il—-fi
SO Avignon b. US Romans 11-5
SU Cavaillon b. ASC Béliers 23—8
FC Grenoble b. R C Toulon 14 -8
US Bergerac b. COBO 9 -6
RO Toulousain et PC Auch 3-3
Narbonne b. Montpellier 13-7
Tulle b. Limoges 9 5
Carcafisonne b. Castres 3 -0
Toulouse 01. b. Aïbl Olympique ...... 11-6
Oloron b. Mauléon 2'7-23
RC Catalan b. Lézignan 18 -5
Boéziers b. Stade Toulousain ......... 14-10
Z.O.
Challenge Paul-Assié
.01. St-Denis 1 b. ASPTT 1 45— 5
pue 1 b. »SCUF 1 3- 0
US Métro 1 b. Red Star Ol 18— 3
COUPE DU CLUB DES XV
A. Rayonnais b. "S, Mendayais..,. 32— S
B cm eau fi. b. Biarritz Ol., 7 3
St-Je«,n-d€-Lu*ol b. us 0&x,. ....... 28-21. ,
MATCHES AMICAUX
*8. Nahta.i.s b. Racing CF.; . 21 3
*M¡'deaux EC b. SA Bordeaux... 17— 6
.SRUC b CÁ Bègles 18 7
*Ltt Rochelle b. US Cognac.".'".'.'.'.' 10— 3
.AS Côte Basque b. UA GUJàn..:... 88- 0
GOLF
Les outsiders ont déçu...
(Suite dè notre article de 1er page)
Le jeune prince Murat fut le plus
sérieux adversaire de Michel ; il fit
76 le premier jour et 77 hier. Il était
dans une forme très satisfaisante ; mais
s il fit jeu égal avec Carlhian dans le
grand jeu, il commit des erreurs — et
joua aussi ^ de malchance — sur les
pelouses d'arrivée.
André Gobert finit troisième, prou-
vant qu'il a'avait rien perdu de ses
qualités de régularité. Jean-Paul Bou-
cheron, le tenant du titre de champion
de I rance, manifestement à court d'en-
traînement, a fait une partie sur la-
quelle il convient de ne pas le juger.
Les outsiders Pierre Bouchayer et
Godeau — dont c était le premier
championnat officiel — ont déçu l'un
et l'autre. —
R. P.
Les résultats
1. Carlhian, 74 + 72 = 146.
2. Prince Murât, 76+77 = 153.
3. A. Gobfert, 78 + 83 = 161.
4. tiaveau, 81+83 = 164.
5. Larroze. 166,5; G. de Dampierre.
166; 7. Yan Le Q.uellec, 167; 8. ex lequol
Domango et François, 168; 10. ex equoi
Houctmyfr, Clinrrief, 1". (ioiuhml,
f'eiiwiek. 169; 14. ex asquo 1 A, l'f'un,.t
Ct P. i'rlevir. 171; 16. flccUinan, 17,1; 17
.L.I' lioiH'.lit'ron, Morin, 176, 19. U.
Melamarre-Uehonteville, 178; ZOo V/ln
«phpTn. 182; 21. Laeroix. 183; 22. Favre,
185; 23. ex sequo 1 ,T. Mahé. Quenouulle,
Coquillon, M. Phi nel. 189; 27. Barbier,
190; 28. A. Glaeser, 194.
FOOTBALL
A craindre, les Normands, cette année !...
(Suite de notre article de 1re page)
Reims toujours imbattu !
L-E STADE DE REIMS a de nou-
veau triomphé hier ! Mais sa victoire
sur le HAVRE AC ébranle un peu
l'opinion favorabt'e qui s'était formée
au sujet des leaders, car elle fut ob--
tenue à grand'pei'ne.
L-es Rémois ont trouva devant 'eux
une équipe accrocheuse fet batailleuse
qui, ,sachant qu'elle re pouvait tenir j
un adversaire en resp'ect.par It:!'s iseurs |
moyens dt I-a technique, jou-a l'oura-
ÇjBn ët bouleversa la trop sage or-
donnance de "son j'eu.
Sagesse toute rotative d'ailleurs.
C'est Plutb't, sembte-t-i), dis mol-
lesse qu'on :devrait .par)e'r, si l'on ap-
pelle .'aiftsi l'incapacité de réagir et
d'opposer la méthode à i'a fougue.
Quoi qu'il en -soit, les Remois sont ■
maintenant seuls à n'avoir pas concé- j
dé un seul point. Leur positron àb
leader tst donc as5e~z sol-idt,. Il -est j
possibte que rs dancer qu'ils ont j
couru fiher c-orstîLtè pour ';el»< -une |
utile leçon. I
Un arbitre malheureux
L« match niai des G i RONDINS et ;
du CA PARtS ne peut pas nous !
étonner, puisque c'«st ce 'résultat que '
nous avions pronostiqué. Mais ce à J
quoi nous ne nous attendions pas, !
c'est à ce que les deux buts du j
match fussent contesta'b!es, ' voire ir- !
rég;¡.¡liers. ' |
Ce résultat coûte aux copistes la |
seconde place qu'ils abandonnent j
aux -Rouennais. -Les Girondins ont j
'fai't à Paris moins bonne impression j
que )e saison dernière. Pour expli- j
quer cette différence dans la phy- j
sionomie de leur jeu et dans leur !
allure, il ne suffit pas de dire qu'ils j
ont été amputés dte quelques bonnes
unités. L'an dernier,, les Girondins
avaient à conquérir une réputation
et des titres. Ils respiraient l'ambi-
tion. 'Cette ann'ée ils semblentlement vouloir faire honneur à leur i
réputation en cherchant -l'exploit dis- !
tingué. Cela crée une âutrfe men-
talité.
La première journée en Z.N.O
Le seul comme'nt'aire possible des
résultats de la première journée du
championnat de Z.N.'O. doit 'S'ihs-
pirer du classement de la saison der-
nière.
Par un score assez curieux de
8 buts à 3, l'OLYMPIQUE DE MAR-
SEILLE a battu l'AS ST-.ETlfNNE.
Ce résultat montre une attaque mar-
seillaise en pleine verve. Mais c'est
un début pénible pour le onze sté-
phanoi-s dont la saison se présente
encore sous des auspices assez fâ- I
cheux.
Le TOULOUSE 'FC fait honneur -à
sa réputation en infligeant une dé-
farte sans réplique à NI'M..ËS OLYM- :,
PIQUE qui lui rendait visita. 'Cela
confirme également le classement -de
la saison passée.
Bon début aussi du FC SETE qui
cette fois réussit -à -battre l'OGCI
NICE. On S'e souvient que l'an dêr-J
nier, ni -è I'"aIter -ti: au retour les Sé-
toi*s n'^avoient ipu avoir :ifeisen des
Niçois.
Enfin !ë SO MONTPELL*R en vi-
site ià l'AS CANNES réussit le match
nul avec cet adversaire. Cxploit "mé-
ritoÍre quand on sait fa difficulté
qu'il y 'a à 'forcer les -Cannois en
leurs Hespérides. Le début de; Mont-
.pelli'éreins mérite donc d'.êr cris «h
temid'ératib,m. -
M. P.
Classement Z. O.
5g, |
"1. ïteiMft fl) "4 14 » 't! 1'3 ,a 1
2. «btfM» n '>4 '3 •* "r 6 'Ib t
4. îfavrè - (:<5) 4 -2 « "2 -4 'q'l'O i 4
5. ftii'onrtihS... ('6) '1\ 1 "1 l! 3 % i j
6. Red - (5) 3 1 » 2 $ 1to ^ 1
7. îftgitttes m ^ si > 4 % n |
8. Àttiiens .... re) 5 •» '¡, '3 % 2 15 j
9. RC PewîS:.. (9) 2 « ." "2 ';(J -ï s
Un petit poing... grand effet !
C.A. Paris Girondins A.S.P. :
1-1 (0-1)
O.A.P. — Ti^i'wsWfrlirCbl-meVs, LeT-éh;
%o'chfi, Lcf-brre -(0fc|j.), Arco's- L'rnia,
Qaywo, :Bonyiorni, R'anzoni, 'Rfrphy.
GtftONMNiS. - Wp/rîit'f?, ; N'oll/dr.
"Mmwisiilor t ; Beyi * Ii. o.o/tlr¡¡.
Be'n Arab; Tl'a'rCfë, r;tti};'o'è'r e a.
Pruvot. Bahrim.
x
PAÎîC DBS PRIMES. — On m Wit
trier que la rencontré des rtfuees ca-
et des bleu's Girondins, qui
lieu hier, sur ia belle T>p"Ious& d'Au-
tetiil. ïi été nroUvenvetit^. ;'En éïtet. fe
match fut vivement iiièné. ai,-dèminetit
fli«puté, trou mêfiîB, «t 'émnLmé 'tt'in-
(-,id-eiits *©er-rettables. t-ant, elq ce lotii
concerne la cinalit'é '(¡hl ieu. emi 's'f'!n
ressentit, El n'ê 4a -tentffe des jiouîfen'PS.
Otti ftrt toissi loin du « Pair Mwy »
o-u-e le i-en fnutieiié ^éfcaît à l'onud?^
dti football de it^mière -qualité.
Dans l'ensemble, les Bordelais sie
n)or)t)-è['ent supérieurs à lein-s adver-
saires. mars ils t)arTire'nt avoir une
très -liattt-ip idée de letrr valerir. tft ils
semblèrent, par la recheTche dfe l'at-
t ¡t11IlP,. "vouloir' 'ioufer iec frO'Fesseiriis.
lts eurent bien tort car !ct:r flilet-
tantislFte. leur désir e!'e 'briller tierSon-
nellemeht. leur oonviction QLl'ils tft-
iaient mener 1-e triateh à leur
leur ont coûté la victoire. Et si l'Wh
doit dire tfOie l'àva-titagre t-fchnkure et
t-aotiorre -des Sirondi'fi^ fut «vident
d'au hmit à l'autre du 'match, fl Tatit
•hien itrsrster aiwsi '!;ur l-e ¥att 'tiue.
inftteré leur sffpëH'oritë. ils n'ont miit-
fmé nli'ith I)rt ! !Rnct>re celui-ci nfe^it-il
être contesté, <-a-!- ï^RUVOT. trni le
maraud d'une tfete, sur Pàs?;rP cy,rir-
tizlierea. noirs a paru fen position de
hors i-eu !
Quant 8;(1 C'A Paris, ses joueurs
'Î'!!'11 o1"èrelftcdm co:mpl<èteïfient. Met', qu'ils
avaient eflz.e adversaires 4 Tnarau'®'.
Ils ne S'e soucièrent que de l'atTite'ti-
Q'U'è avant «entre Urtizbéi'ea, indi ne
mouvait faire 'un na'R oit ericiuiSstrr ifn
'l'r'es'te sans se voir bousetiM oti broitei?ë
à 'tene. .pa.r tle'ux ou trois joueurs 'va-
l'isiens.
Dès que le pivot de l'attaque borde-
laise se délaçait, ^es ss'réfes du (;t>Ws
Lefèvre. Oaimels et Derch se coHaient
:.tL lui. ce qui permettait à Pruvot et
I,of)tq, a'opëret- avec d'autant plus
d':aiaance Qu'Us tie -rencontmiènt au-
cume Oppositroii. Mais PNlvot et Lo-
pev'. att He," de jf)uér le -ballon rabi-
deinent. s'évertuaient à lui faire tra-
cer de-s lignée -ereoïn-gtriqnes comtili- |
quées, à décrire des arabesques .iolies j
a 'co-Tiff-mpler mais inutiles, à multi- !
■■frî-ier hes feintes et... à perdre un j
temps précieux. De sorte que les !
avants £irondirrs. constamment dan- !
srereux. furent hri-d'él> par une défense 1
sans grande autorité. mais Jo'llement I
activa. - !
D'autre part, J'éuiiipé eüt)iste fit '
OTeuve d'un tel revi-
cii't ion des actions q,u"elle <-ofKrevait
Souvent de la, meilleure façon, d'ail-
leurs, qlt,elle ne po-tivatt .g'iml'Oser à,
catitse. plus ,sÙr de |
lui, dont les .'ionë'uTs étaient beau- !
coup mieux placés sur le terrain. j
Courir rÀt-'e- ve d&»lftVèr -fe* ÏWis
foncer irw 'fmiç/ù® 'vrim.WCvutforë
m'fris ^épryrdMirrét. m n'wt 'bat fauter
vite %n foo-tball.
^t les ea'pfsttes 4
hier. Mi Parc, Qu'il Vaitit ''flatebSc I
courir le ba..ron que de «temariH» mm l
efforts 'eh courses 'TfctftWs. "ïtofclSfrt J
•IHSwewrte ^prodte««e îk-vâë WrtfcNJ&Hlé. }
Je n'ai pas eu de chance
le btit tl'-réalisation -aocorflë %'u ÔSL
Paris a, profvoqirë nn inoidëlft imi %.
rempli le 'st^dë >de cris m 4l'iînî>ï«*cïi-
Jtiows. ofi lfcrbttrtî tôt srratiffé «b»
'tes 'oualifioatifs tes iptes
cà entendre, sur u'h 'tft fciPlWirts.
P.ourQllol? Parce que il. -Atfïfee,
^er ,>, là, l'eneontre. fti't Te *eul ftier-
ttrfegrtt criai 'ne Vit î'aviant
•ca'Diste ftAPHY Teprendre le Wlien
avec la main poti'r l'enn'oS''éi' les
buts de Gérard, ile *ii
allant fe A-nteuil. (tf frei-net îno[ii
*de critiquer l'arbîtrairè, &e â^i.i«aïs
ardemment faire la 'Cfail; avefe 'les %r-
bitreS. H. An^e ti'a Ifes peirote ttli'il
én sfoit ainsi. Tl Jfern^a Sonet, (^tetres.
mais il eût tfeffti. "au centrante. *Wh'il
joulfenât, tmtt des Coups 'dfe
tes -nomt*mts^8 -ittfeimlkrfffls M)
wwiiemiwit ïes jb1.1 t!ù 1'\;. ^ «ftit-
T»rfe de -voir a'vefc .'(tue1
m. *nSfft necVptiftft de voir «#1^1-
ier Sous ses veux tonte la cfWtn'ïffte
-coti^w défendus. Yraî-IHent-. si ébtft! 'WB
arbitres de o'/)l'er/1ièJ'e «oatfeerriè «totr't '€%
l'a, classe de W. An«e. :.ie «RtiMs ;1a,
■S F-A... -,ët le football.
Lucien GAMBLIN
La Normandie
ne réussit pas au Red Star
(De notre env. sp. R. COTTEAUX)
Rouen b. Red Star : 4-1 (2-1)
ROUEN. tiioufàet; lB~esa^ tb«ktb
mel; BlonStèl, Êalciy^àJih, Dè'frtftt*;
'Feiler, Le niant, Mtmdalunit, Rt.o.
Lherminé.
fcED STAR, — mi toui; Sefelin. Jrèr.
rertf; Serfreriit, -Èrtiuix, m&urib; kiton,
ËWMruilë; Sirnont/i, Pad'fon. Th®iïkimt.
■ARBITRE. —
M. Lesenne.
Delfour l'animateur
RflKert, .5 octobres (:Par téler)b ). -
Le ^raird défaut •àes «'OweftlMwÉ &,Va|t
été 'd'ett'e faible -en '¡:¡,"1tn,ts
Au stade des Btuyîferes, les K-tôiitàltàtfe
ont paru tran^fiOi'iïiëiî-, StiiTmes
.Volonté solide et du dësîr lém vâ>îïr«£'è;
les cir>q a t ta«i«.a-nts tuizMs jrkT Rio,
Mandaluniï et î.hertainë, ftt HÓIt
'bien jolies-
tière ces hommes se tw»uvai% ïfeiiîto'p,
-un Delfonr en grande fot,"e, »iÇfM «gal-
vantsa.it par le geste, lia'"voi* et 'l'exem-
ïrle, Beis jeunes équipiers.
Le Red Star contracté
Le e-ed St%r, #e son côté, àfoordfc le -
Aiat-ch contï'actjé ; on fi lirait 'cru
lès P&risieftis jïiùaieTit «Éà^ de
Coupé Avec .l'a.p.Pl:enenmiÎ1 i:'lè bËi pas
marquer. Fautes 'àe défense, ti.
morë's, attaquants fariiietoe'n't
voilà et que 5e ïîea Star nom «HMi.
Da Rui !
Devant la fougue et la rëùMtt d*
Rio, il est Jienreui ^ue les Pa%4tàfeâft
aient eu sous la îmaiîi -Da Rui. % >îrk~
lien >, k Ivonen., à fait tn
match. 11 a sauv^ "Son équipe d'ti'îi dé-
sastre. Ses Arrêts décisift
par MoiiMt le'!!; nerfs d'un
c-ontra'ct'é, 'mais t'ieïi n'allait, Mer, A'a.
Red Star. Il y a des jours iè'ôlAttfe AfceVa.
Par contre, en face, % Rotien-, lé
blic Iui-métoe a été surpris pat 'Fa.'t:.
lant de ses joueur^. Rio mime -à été
applaudi à sa rentré aux VèSt%-ïte*.
Simonyi sans balles
Les RouMn-aJs ont marqué ,-4 ^it*.
Le Red Star n'en -a tendu qu'*!*. -Si-
nronyi s'a, pas eu là haUt!, l'àl^atitTè
audonietlne joua étricitré., elle Wfe par-
venait même 'Pas à consèrvet là. Wll%.
Les grands l'es.pohsables ble'SB'e parisienne Sont les demi*!, ri
manque vraiment "un orgtinisatèaï- de
jeu. BraOft. et surtout Stergert't %bht
des briseurs de jeu, mais ils n'ont ^>i»8
été -capables, devant Rouen, 44M t?tfte-
t ru ire. Il ïaaii^ùé un Rbésèief Si^ Red
Star.
Lés buts ont -été marqué par
(2), Lherminé (1h Voiler (1), ïfeur
Rouen. ThëvïnW, àû. Rèà 'Stzat.
i adaiieuî- eti pi-emièr% mi-teî®^.
90 minutes d'orage !
Reims bat Le Havre : 3-2 (2-1)
(De notre envoyé ispéc. R&ger D ÚFER)
K KIMS. — F-rt i;re,- r'A n D-bbYe n, Cb r.
t'nrtt; GilUs, BrëmbÛlà, T'jJ)''n(q¡; S&và,
Ignaç-e, l'uvère, Petit/ils, DeliWV-
L« HAVRK — (insti, Bihel fi,
ll r l'àporVè, tititè, Garcia; [,M: ô nt. e.
A urneur, Bihel l, Bisîort, D€ihàf/è~£.
Reim>, 5 octobre (par tëléph.). —
Reims l'a échappé belle. Celt ïfe Mftfns
qu'on puisse dire d'è vè Taa,tch, à l'is-
sue duquel les leaders du Champion-
nat sortent VAihqucUrS. Leur iperî'or-
manee n'ajoutera rien à là tl'bîrê du
l'ont balï. À bèltlMHlI) {irès 1
Reims laisse jouer
Tl he Suffit pas d'être i%tlr Sfe S»
supériorité teohnimie pour gagner :un
match, La, Volonté dominer !e débat.
Si Je Jeu normand est loin A6 valait
dans l'èilsemblë celui qui fut. lM",
tempS dè règle au Havre, il ëii
pourtant quelques-uns des élêtuèn ts
essentiels ï une bobne téchtii^Uè 'îadt-
viduelle et une ejccellentè vitesse i!'exé-
cution que nous serions même
d'appeler de là I)réèil)itâtlbil. Pk-Ëé
de jeunesse !
Les buts
Après que M. FauquènbergUfe eul
accordé 'ati Havre un &énàïtr jQSte-
ment mérité pour jeu h-M&ùtiM, pe-
nalty qui resta sans ré8ultftt, Reiài*
ouvrit là marque à 1. 36* minuté ;)a.f
DKliinNr. Peu alsfès, slif service de
La porte. Leconte centra Sur BlHÈL,
qui éffalisji de maKniliquft façon. t.
Havre prit l'avantage quelques ifts^
tants â vn nt la mi-temps par ÉÎSSÔN'i
sur service de N'etueur,
liés joueurs de Reims lai«sèrfettt .,'Hi"
se r l'orag'e, mais l'iorate durit ;0 mi"
nutes ! Ce n'est vraiment ottfe tsut Ifc
titi du ;na.tch que l'ébttipè de Vaflfioo-
I,tln ne reprenant éftfin, gaghâ par
PERPRRS, qui marqua stiW;és$iVêmferit
à, la et à lA. 6o- minute dêtt batg
^plètididèS;
Keeettè t 5t.00ô fïàHes»
M. Folliard, vice-président
de la F.F.F.A., est mort
Rennes, S octobre. — Nous apprè.
lions avec tristesse là mort, survémi*
vendredi soir, à Ken nés, de M. Ëi ip(il-
liarégldrt d'¡'hJÍt.
officier rte l'IIt!lltrllctlüR pttbli-
<|Ht», vtte-ftt'ésldenl de la •H'A,
président d'hoiiniMir de t... LOf et
ItI'l'sidèn t rt'lionnetif du Stttde Rési-
liais,
I/At'TO, en cette douloureuse cir-
('ons(m)c<', adresse à Mn.ï l'oitilird et
à toute sa faitillie, ainsi qu'à la (mité'
des footballeurs brPtiHW, qui doivent
tout au reRrettê disparu, l'ê\,'tf!Ulon
(le ses très sincères et bien fîtes
condfdéancwi. Les olisèdues rte M. ,'0]-
liard auront lieu fl Rfnnfs. rtîifdl
matin, paroisse Xotrfe-l)ame. —■
Troprès.
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NATATION
DES RECORDS DU LITTORAL BATTUS A MARSEILLE...
Nakache nage les 100 brasse en 1 m. 12 s. 8/10
Mlle Jouvenel, les 400 libre en 5 m. 46 s. 8/10
Devallet, les 100 dos en 1 m. 12 s. 2/10 !...
Pas de records d'Europe ou de France...
mais d'excellentes performances !
J MARSEILLE, — Une grande réu-
nion organisée pàr le Cerclé des Na-
geurs de Marseille et le Petit Mar.
seillais s'est déroulée hier dans le
rapide bassin des Catalans.
La présence de Lucien Zing. et des
Mouettes de Pa:ris avait fait présager
la chute de quelques records de
France, mais il n'en fut rien. Fatigue
du voyage en eàu salée ?... Chi Ü!I « ?
Tout ce que l'on peut dire, c'est
que quelques belles performances ont
été accomplies par les participants.
C'est ainsi que Mlle Clément amé-
liora le record du Littoral des 100 m.
brasse en 1 m. 41 s., tandis que
compère Devallet, du Chevalier R;oze
•Sports réussissait le temps national
de 1 m. 12 s. 2/10 aux 100 M, dos,
établissant, lui aussi, un nouveau
record du Littoral.
Mayanne Jouvenel approcha de
mo-ins d'une seconde le record de
France eles 400 libre qu'elle escomp-
tait battre et il faut espérer qu'elle
fera une dernière tentative avant
de regagner la capitale.
Nakacll-e est toujours le virtuose
de la brassé papillon, et ses t chro-
nos » sont méritoires.
Résultats
Match Mouettei-Cêrcle dès Nageurs de
Marseille.
400 mètres natte libre. — ï Màynnfte
.Touvent"-! [Mi, 5 m. 46 s. 2/10: 2. ]?rEëtz-
Inftlm IMI. 1; m. 20 s.: 3. P. Hilaire «m
SM), 6 ln 36 s. 2/:0; 4. Avril (CNM),
5 m. le ». 4/lt). 1
100 mètres brasse. — 1. 'C1êment rCN
Avignon I. 1 m. 41 s., record du littoral
battu: ~. PmtMn&ïm (M), 1 in & 3
Denise Eklynd )ONM). 1 m. 45 i. 4.
Yvonne Jeanne (M), 1 m. 4'8 s.
100 ln. dos. - 1. Màyanjiè Iouvenbl
(Mi, 1 m. S» -s.; à JMMct .(M)-. 1 m.
34 s.; 3 F, Gàrriw 1 -'rà. 34 s.
6,\V 4. F- c&fessa), l ». sè s. s/'io.
wo mitrm 'mn. — \ ôô^tdou
(MI, 1 W1. 6. 8/1(0.; .2, 'CiMiaîë (Ml, 1 m.
28 s,; 3. Rîch*td tMv, 1 «i, « 2 10;
4. Veklund :rCNM), ï ifft. «3 s, S/Ï0.
100 mètre* Kmigé libre. — i, Mayanne
Jouv-enel (M), i m. le 1$/l'è; ^ Preetz-
lIJann (M), 1 m. 39 «. 4/10.
Relais 4 fois 100 mè'tre's nttg-è libre. —
1. Mo^tt^S (aouvénèl. PYeeUmàiwi. Dour-
dou. SrnssetK S m, '91 «. 4/10; 2. ce Mar-
EPREUVES StJSSt INVÏTATI-ONS
10e mètr&s brmae. — 1. (Tou-
louse), 1 m. 1:2 è. 8/110; 2, tfemen't (CN
AvignOÍl). 1 m. 19, .s,; l. Rèy fORSMi,
1 m. 26 s. *4/i-ô; 4. Amefte tSC Corniche)
1 m. 29 s.
100 -mètrei nage libre. — 1. Dino Cec-
chini i Avignon), 1 St. 1) 2. Pallard
(Toulouse); 3. LlbsJiig (Mar-eenite).
100 mètres tfos. — I. 2ïfts (Troves),
1 m. 12 s. 2/10; 2. Devait (GHSM), 1 m.'
12 s.. 2/10 (record du Littoral batt-u).
MO métrés bt-ffssc. — 1. Nakache. 2 m.
50 s.; 2. Mofefn) (CNM). N-aknchê Vira
aux 100 mètï-èe en 1 m. le s. 4" lô.
400 mètres n-afre libre. 1 Paîlard
(Toulouse )., 5 M. 25 s. 2 / 1'9 ; 8. Dino Cec-
chini, S M. 2e s. 4/ï»; S. LitShift IGNM),
5 m. 45 S. 8/Td^ 4. Du,iardm ïCNîA), 5 m.
48 e. è/tt). Lutte sftlêndids jusqu'à la fin
entré P*âll*rd Ceechihi qui fut battu
de pfett,
5 ÎÍL 26 s. 6/lQ, S, fâèv^lïèt KSSftSW),'
6 m. 5 s.
LES CONCURRENTS DU GRAND PRIX DE L'Auto
Aussi bien que des licenciés...
(Suite de notre article de 1re pagè)
Et je vous concède que le specta-
cle qu'il offrirait n'est point mer-
veilleu.T parce que fait de contor-
sions et d'«. arrachades » !
01", hier, le lot de tête se dépla-
çait dans l'eau en style, nage bien
coulée et battement nettement vi-
sible. C'est une agréable constata-
tion, qui nous prouve que nos ve-
dettes ne sont pas les Seules à con-
naître les secrets de la nage mo-
derne.
Quant au premier, un jeune gar-
çon fte 16 ans, il réussit l'excellent
temps de 48 secondes en souplesse 1
Le vainqueur ttg notre Grand Prix
est le neveu de Dailhan, qui fut le
sympathique directeur de la piscine
Edouard-Pailleron. Il se nomme
Pierre Gillet — comme l'autre —
et s'applique à apprendre lcdements de l'industdc d u Livre dans
l'école professionnelle Estienne.
Son oncle le confia il un profes-
seur de natation il y a de cela cinq
ans, et le jeune Pierre se dépêtra as-
sez vi+e et nagea bientôt 1(t brasse.
Mais cette nage ne lui plaisait pas,
et il s'adonna finalement au crawl.
Il fréquente régulièrement la piscine.
« Je me sentais bien, nous confia-
t-il, ét j'ai voulu gagner. Mon oncle
en sera enchanté 1 ... »
Hatot et R. Morgen
se préparent... en cachette !
Les 200 mètres libre handicap n'ob-
tint pas le succès espéré du fait de
l'absence de Hatot et R. Margen qui. i
insuffisamment préparas, se sont ex-
cusés ait dernier moment. Nul doute:
nos deux cachottiers se préparent
et nous réservent une prochaine sur-
prise !
Ollivtet. a remporté le 200 brasse
handicap (lan,,; un b01t temps, tandis
que R. Gibel réussissait 2 tn. SS 1. /
Le uxiter-polQ fut plaisant à voir \
grâce tt une grande rapidité d'exè- '•
ctltion de la part des joueurs. Ces i
derniers se dépensèrent sans Wmpo. !
ter, nageant de bout en bout dé lu
partie. Le SCUF réussit finalement
à l'emporter d'un but grâce à un
effort individuel tiu toujours jéunt
Gruaz. —
V. K.
Résultats
Grand Prix He L'Auto. — 66 M. 1"
série ; 1. Lhuillier. 50 .II.: 2. 58 S.
2/io; S. Lacroix, 59 s. — 2' sérié ; 1. fit'
Ion. 50 s.; 2. Ducheffliïi, §8 «. 2/10, 3.
Falgueres, 1 m. 1 a. — 3' série : 1. Gué*
rin; 49 s.; 2. Boulàdoux, 49 s. 2/10. — 4'
série : 1. Gillet, 48 s. 4/10; 2, Ma.rttn.
52 s. — 5' série : 1. Chabot, 60 2,
Bfh&r. 52 à ; 3. de Lannée, 55 s. — 6, flé-
rie : 1. Fernier, 54 s,: 2. Fraule, 1 m. 1 s
— Dames ; 1. Mlle BrunhauM. 1 m. 24 s.;
2. Mlle Roche. 1 m. 37 s.
Demi-linnlri. — 1. muinifr. 4« S. 2/lo;
2. Gillet, 49 s. 2/10; 3. ÎSoulsidtt, 54 S.
—- 1. Salon, 48 s. 2!lO; 2. Chabot, 49 g.
4/10; 3. aupria. 50 fl.
finale. — 1, Gillet. 48 s.: il, Salon, 48 s.
2/10; 3. L.huillier, 49 8, 2/10; 4. Ohàbüt.
49 s. 2/10; 5. Guorin.
200 m. brasse hanilfcrt7J. — 1. Ôlllviêf,
3 m. 17 s. 8/10; 2. Bérnsteiri. 3 m. 19 s.
6/10; 3. R. Gibel. 2 m. 58 s.; 4, Jason,
3 m 25 à.; 5. Clerc, 3 m. 33 S.
200 m. libre handicap. — 1. lIuber ét
Lahlbèrt. 2 m. 35 s. 8/10; 3. Jtsum, i m.
34 s.
100 m. libre damés handicap. — 1. MlIè
Féuillèboté; 2. Mlle Lêeoisin; 3. Mlle Hur-
tut.
Éliminatoire aénérslé, — 1. 'Sertftê; 2.
GarCin; 3. V$Lutllrôt.
W(tter'po!R. — aCUï" bat êOP 9-6 (4-2). J'
Pujazon : de la lignée
des Guillemot et des Rochard !
COURIR POUR GAGNER
(Suite de notre article de 1re page)
Soyons assez raisonnable, en cette
fin de saison, pour ne pas nous
gargariser avec un temps en dessous
des quatre minutes aux 1.500! Le
plus dirigeant est que ce temps
— hé, tnl1t juste en dessous... —
est accompli par un homme de 800
par lin autre homme, Berthaud,
(JlJi hésite encore entre les deux
distances.
Mais soyons assez juste pour re-
connaître que le temps, en l'occur-
reffce, n'a pas compté. Hansenne
oyant décliné l'invite à mener le
cotillon, Berthaud s'y décida molle-
ment. La présence de Chermet et
de Bréans dans les pointes des deux
rivaux à la sortie du dernier virage
est assez significative... Il y eut
après la prudente séance de train
ul, sprint éperdu, tout comme au
vélodrome. Il a manqué un Chatil-
joli, in troisième larron. Sûr, il y
« M. Léo Lagrange
a donné le plus bel
exemple qui soit »
déclare M. Jean Borotra
Avant la réunion d'athlétisme du
stade Jean-Bouin, alors que les athlè-
tes se trouvaient au garde-à-vous, à
oauche et à droite du mât où flot-
taient les couleurs du CG, M. Jean
Borotra, commissaire général aux
sports, prit la parole. Voici les paroles
émues qu'il prononça :
« Athlètes de France !
« Vous êtes assemblés aujourd%ui
pour honorer la mémoire de Léo La-
grange, ancien sous-secrétaire d'Etat
aux Sports, parti aux armées en sep-
tembre 1939 comme lieutenant d'ar-
tilterÎcI, tombé au champ d'honneur
i»ns un petit village de r Aisne, • le
9 juin 1940.
« En votre nom, je salue sa veuve
et son fifs, dont la présence à mes
côtés donne à cette cérémonie toute
M douloureuse signification.
« Celui qui fut votre chef vous a
ifonné, mes camarades, le plus bel
exemple qui soit : celui du devoir,
poussé jusqu'au sacrifice de la vie.
« C'est cet exemple que je vous
ffeflfanrfff de méditer au cours de la
rtfmote de recueillement que nous
,i»ons observer ensemble. »
; en aurait un en finale olympique.
Et un quatrième, et un cinquième,
| C'est pourquoi ' je n'apprécie pas
; beaucoup ces courses: elles ne nous
j préparent pas des athlètes pour ren-
contres internationales.
Hansenne, mon ami, maintenant
que la démonstration est faite, re-
prenez vos risques.
>e-l
Je connais des hommes farcis de
bravoure qui ont peur des fantômes,
l'âme de Roger Rochard est une
ême hantée. Il s*y balade en liberté,
malgré la pénurie de draps, des
i spectre. dont les boulets glissent de
temps à autre, par fâcheuse inad-
t vertance, jusque dans les mollets du
pauvre Rochartd...
Rien ne pourra me laisser croire
jue ce garçon ne pouvait pas rester
"dans la foulée de Pujazon, lorsque
le Marseillais, 'décidé à tout briser
sur place. accéléra sèchement vers
le quatrième kilomètre, fatigué des
agaceries de Lalanne, à moitié re-
trouvé. Il était évident que Rochard
avait pris pour conduite de s'écarter
ds à-coups, de ne pas se laisser
aller à répondre aux attaques, de
compenser au,,> train le retard accepté
à la suite de chacune 'd'elles. Il por-
tait ainsi en lui le souvenir de la
lutte du récent 3.000. empoignade
la plus âpre, la plus brutale qui se
soit vue depuis longtemps sur un
stade français. Ce souvenir, qui en
eût exalté un autre, c'était un /an-
tôme de plus en visite dans l'âme
du malheureux.
Ce jugement, nous le portons.
ainsi que tous les spectateurs de
cette belle réunion parfaitement
-conditionnée, parfaitement menée,
parce que la fin de course de Ro-
chard, du meilleur Rochard, léger,
vaporeux, fut celle d'un athlète de
classe, plein de ressources, plein de
vitalité.
Nous savons, il est vrai, ce que
valent les coups de boutoir de Pu-
jazon, leur rudesse, leur force per-
cutante. On aura d'abord beaucoup
critiqué le style de ce coureur. Evi-
demment, l'efficacité du Marseillais
ne souffrirait aucunement de cer-
taines améliorations qui, pour pa-
raître futilement esthétiques, lui
donneraient une aisance autrement
productive. Plus d'amplitude dans le
balancement des bras, plus de sou-
plesse du tronc, dénouer la nuque
et les épaules, assouplir et dévelop-
per le thorax. C'est là un travail
complémentaire de précision afin
d'atteindre les buts élevés. On re-
marque que, en dessous du tronc,
les choses se présentent plus cor-
rectement. C'est que Pujazon est un
coureur naturel. A l'étranger, c'est
avec des coureurs naturels de cette
nature qu'on fait les champions pa-
tentés. Notre opinion est qu'il ne
serait s inutile de commencer à I
s'occuper sérieusement de Pujazon. 1
notre athlète N° 1. —
J. G.
Le film du 5.000
Neuf concurrents se rendent au dé-
part. Parmi eux, •celui qu'on n'atten-
dait plus, le Bordelaig Lalanne.
Pujazon à la corde, à, ses côtés La-
lanne.
Dès le coup de pistolet du starter,
l'ujazoll prend la tète. Dineur lui sue-
cède, passant aux 500 en 1 m. 22 s. 6/10.
C'est au tour de Lalanne d'être au
commandement. Le kilomètre en 2 m.
51 s. 8/10. Lalaune précède Poharec.
Pujazon, Solan et Baudoin.
Les 1.500 en 4 in. 19 s. 8/10.
Quatre coureurs voguent de conser-
ve : Lplaune-Bochard et Pujazon-Bau-
douin. Dineur est en tête du groupe !
des « lâchés » !
Les 2.000 en 5 m. 51 s. 9/10.
Baudouin lâche pied; tandis que le
champion de France de cross-country
et toujours en tête. Rochard semble
en dedans de son action... 2.500 en
7 m. 24 s. 3/10. !
Un peu après la mi-course, Pu.Ía7.J'1n J
démarre et prend 4 mètres à Lalanne.
3.000 en 8 m. 57 Il., par Pujazon.
Lalanne reprend contact avec Pu-
jazon. Il n'hésite pas et accélère la.
cadence.
I
A environ 1.200 mètres de l'arrivée,
subitement Rochard ralentit, l'ujazon
accélère... Lalanne, lui. également (.oit
céder du terrain. 4.000 en 12 m. 1 s. 1/10.
Les 4.500 m. en 13 m. 28 s. 1/10.
Rochard récupère, revient sur La-
la n n e et s'assure la, seconde place..
Au passage aux 3 milles anglais
(4 m. 827 Íll. 96), Pujaxon bat le record
en 14 m. 17 s. 2/10. record précédent
14 m. 27 s. 8/10. par Rochard. en 1932...
- L. V. L.
« Maintenant... repos ! »
souhaite Pujazon
Pnjaton fft compagnie (If! son
camarade Peyre, et il -nous dit :
« Maintenant, j'atpire au repos
Songez aux efforts que je viens de
fournir depuis un moi.'... Dimanche,
ce géra ma drrniére course,
« Du rrost ?... Cela va dépendre de
l'état ^ dans lequel je vais me sentir ! »
Sur 100 et 200
Scheuring triomphe
d'Osendarp
Toujours en forme Harbig...
1 m. 50 s. 2/10 aux 800 !
imifeîTfcm 5 octobre. - Une grande
fêté sportive de J armée allemande, or-
ïanwee par les PTT allemands et à
^Quelle participaient quelques-uns des
Mi leurs sportifs du Rcich, s'est dé-
troulée aujourd'hui au stade olvmpique
™terdam devant plus de 30.000
IPéeta teurs.
On f, 'attendait à une belle lutte en-
le meilleur sprinter allemand
Mieurinç, de Stuttgart et le sprinter
nOJ1IlDdais Osendarp. de La Pave
deux épreuves, du 100 mètres
v.4.'1 iiiètl,pc-. l'Allemand ç;cbf,,iiriii,
Battit It' Hollandais. Aux 800. Harbig-
1 i ?„ une grande performance sur
Mais Giesen. lui aussi,
prouva sa. grande valeur avec le temps
1 m. 51 s. 1/10.
Résultats
i/i~ L Scheuring (stuttgart). 10 s.
lA Osendarp (La Haye). 10 s. 5'10
n une s, 6/"D; Poitrine); 3. Zielinski IDorstmuth),
4 Meiarovitch (Berlin), 10 s.
Vin •18, 5. Sonntag (Leipzig). 10 s. 7/10; 6
MÎCk* (Berlini. 10 «. 8/10.
1. Scheuring (Stuttgart), 21 s.
8/ln ,' O/Senda.rp (La Haye), 21 s. 6/10;4.
L5elarovitch J (Berlin). 21 s. 7 ilo •
(B^lin); 5. Bœnecke (Berlin):
50* Jn'n-T h- Harblg: 'Dresde). 1 m.
1 4. î îsen (Berlin). 1 m. 51 s.
Gnii 3. Kalndl (Munioh), 1 m. 53 s. 5/10;
(Berlin). 1 m. 54 s. 4/10; 5. Seu-
b*T? ïî iMunich). 1 m. 54 f" 5/10.
L BIRsk (Berlin), 55 m. 54;
i Kohlemann (Berlin), 46 m. 75.
Le sprinter Hendrix
est tombé
au champ d'honneur
bir thlétisme allemand vient de su-
Seudr l est nouveau deuil. Le sprinter
tUr le front e«t au champ d'honneur
in1 partie dp la fameuse
dri»pe„d d'Alleinagne - Koernig. Hen-
;j■». enSP
Jeux
d e lIenrlrix 10 fut PluRieuT8 fois crédité
toatch F,., 100. Il Participa au
France-Allemagne en 1932 et 33.
NOUVELLES DE L'ETRANGER
fefttu A le C Holst Joerensen a
B fi/m-?» danois du 400 m. en
J — et. Be*Vgstrn remporta )e 800 m.
| p^'us Puissant reconstituant.
lltul'Bsthénie combatt"e surmenage, anémie.
ces des e- toutes les conséquen-
«omoriL. reHl'iction de s act neJles, deux
dl"0Bt S, Vig-alose aux repas ren.
10 ioott 14 \'ig-ueur. L'étui-cure de
France û 1 francs. Pharmacie de
toutes 'ni p ace du Ha.vre, Paris, et
: les Pharmacies.
^îfmacie de France...
la place dit .H.avre, Paris, Phar-
î^chahu P ni séripllse. haIS Qualité irré-
HISTORIQUE DU RECORD
DES 3 MILLES
M. S. 10"
16 9 6 J. Bore! (RCF), 1891.
15 53 4 F. Gourdier (RCF).
15 17 2 A. Lermusiaux (RCF), 1895.
15 14 4 H. Déloge (RCF), 1'901.
15 13 2 L. de Fleurât (RCF), 1904,
15 5 4 L. de Fleurac (RCF), 1907
14 3.8 4 J. Bouin (CASG), 1111.
14 33 2 J. Ladoumègue (SF), 1928
14 27 8 R. Rochard ÍEAC), 1932.
14 17 2 R. Pujaxon (USMM), 1941.
GYMNASTIQUE
Longtemps Ben Haïm mena...
(Suite de notre article de 1re page)
Aux anneaux, Touchard remonte;
Vogel, Arnou et Anger se distinguent,
mais Ben Haïm est toujours en tête 1
du classement; Touchard. deuxième;
Anger, troisième; Muller, quatrième; j
Vogel, cinquième; Aubry, sixième.
Le saut de cheval permet à Anger
de remonter à son tour avec 9,50
contre 9,20 à Ben Haïm. Mais ce der-
nier reste en tête. et Touchard passe
troisième. Le meilleur saut est fait
par J. Fourcade.
Les parallèles sont splendides. Ben
Haïm obtient 9 30 ; Touchant, dé-
chaîné, 9.80. Mais Axiger, qui veut
en finir, est superbe et il prend enfin
la tète du classement avec un 9,80.
Après cinq épreuves : 1. Anger,
46,60 ; 2. Touchard, 46.40 ; 3. Ben
Haïm, 46.20; 4. Aubry, Vogel, 44,30;
6. Muller, 44,10.
La. barre fixe termine cette belle
compétition. Elle décidera... Four-
cade, L'Hcnaff. Muller et Vogel bril-
lent. Ben Haïm a 9,40. Touchard est
abattu par la malchance et un 7,10
le fera tomber quatrième. Anger,
impeccable, est le meilleur; 11 réus-
sit 9,80 et devient champion de la
zone occupée.
Parmi les malchanceux, citons
Touchard, Arnou, Floquêt.
Floquet, Dazin, L'Hénaff et Poi-
rier, des révélations, seront à revoir
— A. D.
1. Anser (Pompiere de Paris), 56,20;
2, Ben Hum (US Métra). 55,60 ; 3 J
Aubry (Chartres), 53.76; 4. Touchard '
~ lh (T. Suresn&sj, 52,50; 7. Muller
(St-Germain), 51,80; 8. Fourcade J. (R.
Nogent). 48.70; 9. Duchemin (SM Pu-
teaux), 46,70; 10. Fourbe (Nantes). 46.20;
Il. Dazin ¡TB;, 45.5o; 12. Poirier (PGS
PFI. 45; 13. L. Hénaff (SMPI. Floquet
(Anor, Nord;. 44,30; 15. Lainé \SMP).
42.50; 16. Quitter (RN), 42,40; 17. Péon
'ABI. 40,20; 18. Arnou (SMP1. 39,60: 19
Goubert
23. Levrat. 31,90; 24. Breton, 30,50; 25.
Vernier, 29,50: 26. Farmarll. 27.80: 27.
Reubrez. 25,80; 26. Péan, 23,50; 29. Blan-
chard,
LE GYMNASE DE PUTEAUX
EST EQUIPE D'APPAREILS
NATIONAL -
DANS 3 JOURS
ON
TIRERA
LA LOTERIE
NATIONALE ,
--~ 1 "
Fin de saison...
" bouquet " un record!
(Suite de notre article de 1re page)
Lalanne lui mena la. vie dure. Ro-
ger Rochard était en grande forme;
ses amis du CAF n'escomptaient-ils
pas la chute du record ?
Mais l'admirable machine qu'est
Roger Rochard se dérégla, durant
trentè secondes, à 1.200 mètres de
l'arrivée... il se reprit, remonta La-
lanne, reprit du terrain à Pujazon.
c'était "','op tard. "
Pujazon est réellement un grand'
Champion de la lignée des Guillemot
et Rochard, mais il a encore des dé-
fauts de style. Entr'autre, sa main
droite et son avant-bras sont trop
crispés.
Lalanne tenta crânement sa
chance, mais le 5.000 semble trop
court pour lui !
Derrière ce trio, Dineur, Baudouin,
qui s'améliore à chaque sortie, et So-
lan, firent de leur mieux.
Enfin, les 4 minutes battues !
Pour la première fois de la. saison,
ainsi que nous le pronostiquions sa-
medi, les 4 minutes furent battues
aux 1.500.
Pourtant, aucun des adversaires ne
s'astreint à mener un train sévère et
le deuxième 500 de ce 1.500 fut bien
lent — 1 m. 25 s. 7/10.
Massemain s'échappa bien dês le
départ, mais Hansenne et Berthaud
se surveillaient et ils ne « sautèrent »
pas dans le sillage de l'uaiste.
Si bien qu'à la. cloche -.450 mè-
tres de l'arrivée — 11 y avait quatre
coureurs ensemble : Berthaud. Han-
j senne, Chermet et Bréans.:
Hansenne ne voulant pas mener
pour tirer son heureux vainqueur du
Kilomètre de L'Auto, il nous fallut
attendre les 200 derniers mètres de
l'épreuve pour assister à un sprint
émouvant et acharné, se terminant
par un léger avantage du Tourquen-
nois en 3 m. 59 s. 2/10. Berthaud éga-
lement bat les 4 minutes.
Le sprint de Bréans semble émous-
eé depuis son Championnat de Fran-
ce. Il est curieux de remarquer que,
depuis le 20 juillet, le sociétaire du
COA jtt-'a plus remporté de « grand »
1.500. Il trouva toujours sur sa route
Chatillon, puis ses deux vainqueurs
d'hier. Le vétéran Chermet défendit
sa chance de façon très habile.
Valmy, puis... Auvray
Sur la piste un peu lourde de Jean-
Bouin, Valmy a aisément remporté
deux nouveaux succès : le 100 m. en
10 s. 8/10 et le 200 en 22 s. 2 /10.
Ses victoires ne faisaient aucun
doutè. Il était un point d'interroga-
tion à résoudre ; Dufour était-il
meilleur qu'Auvray ?
Le puciste a répondu en battant
chaque fois le racingman. qui man-
qua de chance aux 100. mais fit très
bien aux 200, où il était ln tête à la
sortie -du virage.
Auvray, au « finish » excellent. sè
paya même le luxe de remonter
Vàlmy.
Bravo, le junior !
Esprangle, en réalisant '50 secon-
des, réussit à égaler le meilleur temps
de la. saison — 50 s. par Joye à Dijon.
Esprangle domina de bout en bout,
défaisant un Dufar trop noué. Le
Malouin devrait pratiquer une cultu-
re physique d'assouplissement, et
Peyre partit trop lentement.
Joye déçut, mais il a une excuse
valable. Il quitte Paris aujourd'hui
pour Sochaux et depuis une semaine
11 pratique un !Sport, peut-être ré-
commandé pour les poldi et haltères,
mais néfaste fi. l'athlétisme : le démé-
nagement !
Laborieux s'adapte & sa nouvelle
spécialité.
Les autres épreuves
Aux 110 haies, Maignan. accrocheur
et courageux, défit le champion de
France Jacques Sapin. En hauteur,
Lapointe sauta 1 m. 90 « facile »,
échouant à 1 m. 96.
En longueur, Baudry précède Joan-
blancq de 6 centimètres.
Chez les juniors, Wattele-z, dont un
malencontreux claquage « gâta » la
saison, s'assura le 100. Aloysios défit
sur 800 un Annebique qui accuse une
fatigue compréhensible. Bonnefoy
triompha de Thomas.
Notons enfin le beau relais 12 x 225
qui revint au Racing devant son
vieux rival du Stade Français et qui
clôtura fort bien une saison modeste,
mais qui nous laisse entrevoir un
avenir meilleur grâce à l'appoint des
juniors ! —
L. v. L.
Les résultats
SENIORS
100 m. - 1. Valmy (TRrbe,,;), JI) f g/io-
£ Aiit,ray (PUCj ; 3. Dufour iRCfM; 4'
C, Duvernoy Cholet (SEE); (COAL5. (ASU W.
390 m. — 1. Valmy (Tarbes), 22
2 Auvray (PUC); 3, Dufour (RCF¡; 4'
Cholet (COA),,ASULj; 5. Duvernoy lSEE): 6.
490 m. - 1. Esprangle (SEE), 50 s '
2 Dufar (St-Malo), 50 s. 7/10: 3 Pevre
(Marseill(" 1. 51 s.; 4. Joye (CAP). 51 se-
condes 8/10; 5. Laborieux (JF). 52 s • 6.
Gaillard (SEE).
1.500 m. ,— 1. Hansenne (Tourcoing),
3 m. 59 à. 2/10; 2. Berthaud (Lyon), 3 m,
V i Bréans (COA); 4. Cherm«t
(CASG). Gallet «Chartres); 6. Lefebvre
5.000 m. — 1. Pujazon (UST Mars.),
14 m. 53 15. 6/10; 2. Rochard (CAF). 14 m
S. 7/10; 3. Lalanne (CAM Bordeaux l,
15 m. 7 s. 4/10; 4. Dîneur fUSMI. 15 m
L0, 5. Baudouin (COA) ; 6. So;an
'7. Gui&hon 1 MCi ; 8. Poharec
(OOA).
110 m. haies. — 1. H. M&tznan (RCF)
2. Sapin (FCLt; 3. Saliou tUFO
LEP): 4. Maignan. déclassr.
Haut. — 1. Lapointe
DtJtJporte.s 1 m. 80; 3. Enfer
tASBI. 1 m. 80; 4. Wittevronghel (PUCI,
1 nt. 75.
Long. — 1. Baudry (RCF). 6 m. 8!; 2
Joanblanq (USNI. 6 m. 75; 3. Breitman
'PUC'. 6 m. 62; 4. Vandenbrsnden (RCFi
6 m. 07; 5. Sel] i ères lUFOLEP), 5 m 75'
Relais 2x225 14 cad., 4 j. 4 S.). 1
RCF; 2. SF; 3. COA: 4. CASG; 5. ÙAI.
JUNIORS
100 m. — 1. Wattelez (PUC), 11 *. 4110;
2. Malville (USN); 3. Renaud (Havre AC);
4. Placé iD(Lxb, 5. Rochepierre iFGSFF):
6 Rochette (FGSPFI.
800 tn. — 1. A'oysioe (US Neverst, 1 m.
59 s. 7/10; 2. Hannebique (VannelEl, 2 m.
1 s. 2/10; 3. Geroud {CASG 1. 2 m. 1 s
5/10; 4. Legra6 (SF). 2 m. 2 s. 7/10; 5.
Na&sie.r (NC): 6. Guilieroux (COA); 7.
Montanier (FSGT).
1.609 m. — 1. Bonnefoy (CASG), 4 tri,
29 2. Thomas ICOAI. 4 m. 31 s. 7/10:
3. Couraient. (CASG). 4 m. 35 5. 4/10;
4. Contât
1. 22 pts; 4. USM, 33 pts.
FEMININES
100 m. cad. — 1. Antonnet (UFOLEPI,
13 s. 2/10: 2. Touchon IFS.) ; 3. Trochet
(ES XV'); 4. Pussey (FSGTI.
150 m. — 1. Debuire IALP), 20 s. 2/10:
2. Pasquier (ALPL 20 s. 5/10; 3. Monny
(AS); 4. Lejezel (COR-FSGT); 5. Lebou-
langer (COP-PSOT) ; 6. Talbot (AS Vi-
roisei.
4x100 m. — 1. ALP.
Epreuves de « Junior »
Saut en longueur. — 1. Pçadié (Bazas),
5 m. 92; 2. Catherine Duchemin iGran-
ville), 5 m. 48; 3. Lsmour (Orléans),
5 m 4(3; 3. Cusenler IPoCI, 5 m. 46.
Cadets. — 60 mètres : 1, Lajournet
(Bordeaux). 7 s. 4/10; 2. Juillard (AvI-
gnon); 3. Carier (Pontivy); 4. Lerlteilu
(Mez)don).
Poids. — 1. Laplc (PUC), 13 m. 91:
2. Saint-Marc (Bègles). 11 m. 76; 3. Meu-
nler (Le Mans), Il m. 48; 4. Payen (CAP),
10 m. 15.
600 mètres, — 1. Bouvet (Lisieux),
1 m. 29 s.; 2. Doidy (Ambarès); 3. Petit
(Liboujne); 4 Crégut (Paris).
Saut en hauteur. — 1. Kaloujiny (CA
SG). 1 m. 63; 2. Vallée (Colombes), 1 mè-
tre 63; 3. Oher (COC)I 1 m. 60; 4. Bri-
gnard
Dans la tribune officielle
Autour de Mme Léo Lagrange, de son
fils et de M. Jean Borotra, on remarquait,
dans l& tribune officielle : MM, Méri-
camp, Ct.-R,. Rodrl. Foulon, Glasser,
Mttsny, Dedet, Dr Chailley-Bert, Jurgen-
son, Rouet, etc.
BASKET
LES BASKETTEURS ONT « OUVERT » LA SAISON
La J. S. P. Issy l'emporte, après un match serré,
tandis que Championnet résiste magnifiquement aux Linnets,
pour la Coupe de L'Auto féminine
Demi-surprise : la nette défaite de la S.S. Amicale
! L'an dernier, lors de l4 première
Coupe de L'Auto, organisée par le
CF Paris, les Linnets de Saint-Maur
éliminaient Championnet, véritable
révélation de la Coupe, par 34-32.
Hier, en huitième de finale, la.
même équipe gagnait par 31-24.
Eh bien, quoique l'écart soit plus
important cette fois, Championnet «
fait montre d'incontestables progrès,
car il ne faut pus oublier qu'aètuel-
lement les championnes de Paris pré-
sentent une formation constellée
d'étoiles qui, lorsque la cohésion sera
obtenue, sera quasiment imbattable.
Devant cette équipe, les élèves de
Jacquard et Lesmayoux se sont dé-
chaînées, conduisant le match pen-
dant les trois quarts de la partie
pour, finalement, baisser les bras,
alors que J. Milot, la meilleure
joueuse sur le terrain, grande par SlL
classe 11ulis petite par sa taille, ce
qui est le plus dommage, était tou-
chée à la suite d'un mauvais choc.
En quart de finale et en toute lo-
gique, Lutèce Olympique « disposé,
d'une équipe du Métro, accrocheuse
en diable.
Première journée de Championnat
On prévoyait une rencontre serrée
entre Issy et la Résidence. Elle le fut
en réalité et si notre favori l'a fina-
lement emporté, les deux équipes ont
démontré que malgré une prépara-
tion déjà, poussée, il restait bien du
travail à faire.
Sans que la défaite de la SS Ami-
cale puisse être considérée comme
une surprise, plus surprenant &ppa~
rait l'écart enregistré en fin de
match.
La JDA Ménilmontant, équipe ra-
pide et énergique, a « contré » d son
propre feu la réputée formation des
* Amicaux ». A moins que ces der-
niers, prudents, effectuent un départ
moins impressionnant que celui
la saison passée.
Le BBC Russes, mais, ce qui ne
diminue en rien le succès du COA,
les Slaves ne présentaient pas, loin
de là, leurs meilleurs éléments. Tou-
tefois, Oulianoff a fait à cette occa-
sion des débuts remarqués.
Relevotm, pour terminer, le beacu
résultat obtenu par l'accrocheuse
phalange de Gargan face au Stade
Français.
Louis Lapeyre.
LA COUPE DE L'AUTO FEMININE
Le « métier » a fait
pencher la balance
Linnets b. Championnet c
3i à 24 (14-15)
LINNETS. — Houel, 3 pts; Laffiteau,
il pu; Colin, 7 pts; Letzïati, 2 pu; Le-
may, 8 pts; Gravier.
CHAMP. SP. — S. Milot. 3 pts; J. Mi-
!ot. 17 pte; Fehrcnbacher, 2 pta; Frilon..
Sàrtfiw," au
Dès l'entrée des joueuse*, l'on constate
une nette 6upériorité athlétique à l'avan-
tage des Linnets qui, d" pl», ee présen-
tent nantis d'un sûr n-&tier.
Mais CShampionnet n'est nullement im-
pressionné et part résolument à l'attaque,
marquant le premier panier par J. Milot.
Puis le jeu .s'équilibre. Mànrncine, Cham-
pionnet réaliens un jeu de meilleure fac-
tm'e. alors qu% les Linnets semblent avoir
fHi jn-al 4 coordonner -les efforts de :!m<;
Joueuses.
En serondle mi-temps, la liaison des
championnes Parie est plus effective
et le « Pâte) *, handicapé par urre ;bæ5-
sure de J. Milot. la meilleure .jooeuste sur
ile ttr-run, baisse 11% br". I>è$ lors. 11a
victoire d«s Linnets ne fait '.plue a-ucùr.
-doute.
Ùhei: les; vainqueurs, Houo,l, Colin et Le-
rniay se signalèretit, tandis qu'à Clram-
ipionnet, en dehows .'J. Milot déià cit'ée,:
¡.il faut relever les tonnes parties de S .
(Milot et Fehreiiba^her. — L. L.
x
ïïuffîèmw: S:e ftntilt. — ï^nvi'n* e*p. ife.
APBOP, 44-IS (20-7k ;\RSAP b. Cham-
pionnet, Sp. 2. "S2-1Î ( tC-3 ).
Quart Se finale. — Latèwe 'Olympique 1
b. USM, 28-12 (12.16>.
Championnat de Paris
POULE
Issy partit pi-M vite
JX&. l*t* fJ. ,¡t;S. RétiduncJe S. ÏM-2
( 17^13)
3M.T. — VfrgmauSi M.. S .pte; Cheval-
lier, 7 Pta; Asstgond, 7 pts; Chocttt, 2 'pts;
Clerget. 1 pt ; ChflmpîfYn, 2 pts.
A.S.R:'S. — G-crbcrt '1:.. 10 pts; I/6SCDT-
nee, 6 ptt; MflmTtiIrr, 9 'pU; GHntr&, 1 :pt;
G1>b:ert 11 pte; Noël, Bubu-yle, Chustu-
,giii,er.
Issy, plus vite en action. ouvre la mar-
que par Choc a t et Ver^niaud junior. (rtI-
rard arrfctfc naei^ats desoentes iktlwi-%Ls
-et lance (avants '
De loin, l'arrière 'Leecornez tente sa
chance "et réussit de beaux paniers. Toutc-,
fois, le Jeune "Vergsniauâ. en excellente
forme, it A«5e£»nTl 'Ctfnc-rét1sM'lt la légère
avance de la JSP Issy,
La Seconde mi-temps sera plus égale et
îssy ne tri.M&phtm finalement qire war
a POi'nt;&. — J. Brice.
POULS J
Plus d'ardeur à Gargan
ES Gurpa-n et St. Français ; 20-20 (11-14)
: ES Gargan : Istria, ,9; Meyer, -5; Jtsssel,
4; Hugues, S; Leli%vre; P"érèB.; 'Ch"&JiGÕ;
Balzet.
SF : Rlfse, AYml. 3: feonnevie, 2;
Rimbourg; Oh-amorel; Contej; Richeman;
Djendaredjan.
Les stadis'tes, supérieurs en technique,
dominèrent en première mi-temps. Après
la reprise. les GariZan-&is constituèrent un
* mur » efficace ét, par d'heureuses con-
_tre-attaquee, parvinrent à égaliser malgré
te brio de Rost.
x
A US Métro 1 b. ASV Otage 61 -1 n
B Racing CF b. Les Menilm 41-26
C JA L6 val lois b. CA Montreuse. 23—19
PUC b. CS Plaisance. 35—-36
D SCPO 'b. Malakoff Sp 28—12
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Clichy Sp. b. ES Colombes 24-21
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Matériel pour le
B A S KE T - B A L L
est fabriqué aux
Ets NATIONAL
Jutes Leuii, t2, r. Claude-rtrras&t 4'%,)
RUGBY
Dans la Coupe du Club des XV
toutes les équipes en visite gagnèrent...
(Suite de notre article de 1re page)
Les détails nous manquent mal-
hew"eusem,ent. Tout ce que moue
avons appris, c'est que les homme*
du k petit Sam », qui menaient &éjà
par 47 à 0 à la mi-temps, a/fichè-
rent un brio extraordinaire. 0,., s'en
doutait un peu. 1
Quel dommage — pour làtt beauté
du sport — que ces virtuoses du jeu
et la main ne puissent montrer leur
savoir-faire contre leurs compatrio-
tes de l'Aviron Bayonnais et les au-
tres protagonistes du Challenge du
Club des XV !
Dax, Biarritz et Hendaye
battus chez eux
Dans cette épreuve, non seulement
l'Aviron, mais le Boucau Stade et le
Saint-Jean-de-Luz Olympique réussi-
rent l'exploit de battre respective-
ment le Stade HeruLayais, le Biarritz
Olympique et l'Union Sportive Dac-
quoise à domicile. Voilà des points
qui s'avéreront précieux dans le cou-
rant de la saison.
Les Bordelais ont repris
leurs luttes fraternelles
Par des scores sensiblement égaux,
les étudiants du BEC et les hommes
du Stade Bordelais vainquirent leurs
rivaux locaux du Sport Athlétique
et du CA Réglais. Nos gens ont tout
le temps de se revoir, et s'ils font
comme t'an dernier plus d'un rê-
sultat sera inversé avant qu'il soit
longtemps.
A Paris, seul l'Olympique
de Saint-Denis fit du beau jeu
A. Paris, deux des trois parties que
comportait le Challenge Paul-Assié
furent d'une rare indigence.
A Pantin, match terne haché par
les coups de sifflet de l'arbitre qui
dut pénaliser à qui mieux mieux
pucistes et scufistes.
A Saint-Cuen, si le Métro parvint
à se détacher assez aisément de
l'étreinte du Red Star, cè 1Ul fut
pas pour cela que le3 rares specta-
teurs virent autre chose qu'une ex-
hibition médiocre, maladroite, lente
et heurtée. A ne pas Tecommencer.
Seul l'Olympique de Saint-Denis
enchanta adversaires et spectateurs
par la manière élégante dont il
disposa des postiers, qu'entraîne no-
tre ami Eugène Petit.
La « Section » battit le « Stado »
cette fois
De la zone non occupée, nous
n'avons que, deux résultats pour l'ins-
tant.
La Section Patoise battit le vieux
Stadoceste Tarbais de Jules Soulé par
un score (19-15) qui semblerait in-
diquer une partie ouverté et par
conséquent plaisante.
Le méritant Stade Aurillactfts 01,-
tint, contre l'Union Sportive Mon-
tatb,g,naise, un score sévère... ?nais,
encore une fois, nous n'en sommes
qu'au début de la saison. —
M. B.
Z.N.O.
COUPE DES CHAMPIONS
Assauts répétés et variés
des Catalans
U.S.A. Perpignan b. S.U. Agenais
par 14 à 12
Agen, S octobre (de notre corresp.). —
Partie vivement menée. Pët'ptgimn domine
nettement ét principalement par sa liane
M 'attaqu,P, qui menait des assauts variés '
et continuels qui aboutirent quatre foie.
Agen possède une équipe jeutle, assez
bonne en avants, mais tl'OD timide et
trop lente en Arrières. —
Cochet.
CHALLENGE DE L'AMITIE
St. Montluçon b. C.A. Périgueux
par 5 à 0
Montluçon, 5 octobre. — Les locaux.
maîtres dans tous les compartiments du
jeu, obligèrent les lignes arrières de Pé-
rigueux à se cantonner dans la défensive,
Les buts pérlgJJ\lr,1iru;¡ furent franchis par
les trots-quarts mont!iiconnal«.
Bon arbitrage de M. Fé«.
Montfcrrand se déchaîne
après le repos
AS Monf/errandaise h. CS Vienne : 21-6
VIENNE. — A égalité au repos (6 à 6),
-J** équipes srmtotent se -valoirr 4»n 1
seconde mi-temps la rapîditë des Mrmt.-
fèrundl.i'l'; all'Ilit Taire pencher J& balance
en leur f»,-veur.
Jouant à 14, le L.O.U. gagne
L.O.U. b. Macon ; 23-13
LYON. — Les Lyonnais ont présenta
une belle équipe, A la reprise, ils me-
naient 8 à 7 et, malgré l'absence de Va-
nïer, blessé en seconde mi-temps, ite ac-
centuèrent leur .vtl.Rtaie.
Belle seconde mi-temps
F.C. Lyon b. U.S. Bressane : 25-3
LYON. — Aprte une première ml-t«mpÈ
trè* égale, au repos, le scorfe était de
3 (1 essai) à % '(1 but &tdr coup franc),
le FC Lyon, plus rapide, prit nettement
1 «vanta^e, A Bourg, Dëhays fut le meil-
leur; à Lyon, Bamatifl, -Crétin et Minj at.
LE CLASSEMENT
J. G. N. P. Pt,s:
AS b(entferrandaise ... 2 2 » » 4:
Lyon .2 1 1 3;
LOU 1 1 » » 2 :
ÎX3 Grenoble 1 » 1 » i:
OC Vieoa-e 1 11 » 1 »,
CS Jîressaae .............. 1 » » 1 * '
AS Mâoon ................ ~ 2 j> i> 2 > !
MATCHES AMICAUX
..s. Paloise b. S. Tarbal.,; l'9—15
S. Aurillac b. «US Montaub&n... 28— 0
Saint-Girons b. Foix .""" 9 g
Villeneuve b. BTive 3 -0
SC Decazeville b. US Pumel....il—-fi
SO Avignon b. US Romans 11-5
SU Cavaillon b. ASC Béliers 23—8
FC Grenoble b. R C Toulon 14 -8
US Bergerac b. COBO 9 -6
RO Toulousain et PC Auch 3-3
Narbonne b. Montpellier 13-7
Tulle b. Limoges 9 5
Carcafisonne b. Castres 3 -0
Toulouse 01. b. Aïbl Olympique ...... 11-6
Oloron b. Mauléon 2'7-23
RC Catalan b. Lézignan 18 -5
Boéziers b. Stade Toulousain ......... 14-10
Z.O.
Challenge Paul-Assié
.01. St-Denis 1 b. ASPTT 1 45— 5
pue 1 b. »SCUF 1 3- 0
US Métro 1 b. Red Star Ol 18— 3
COUPE DU CLUB DES XV
A. Rayonnais b. "S, Mendayais..,. 32— S
B cm eau fi. b. Biarritz Ol., 7 3
St-Je«,n-d€-Lu*ol b. us 0&x,. ....... 28-21. ,
MATCHES AMICAUX
*8. Nahta.i.s b. Racing CF.; . 21 3
*M¡'deaux EC b. SA Bordeaux... 17— 6
.SRUC b CÁ Bègles 18 7
*Ltt Rochelle b. US Cognac.".'".'.'.'.' 10— 3
.AS Côte Basque b. UA GUJàn..:... 88- 0
GOLF
Les outsiders ont déçu...
(Suite dè notre article de 1er page)
Le jeune prince Murat fut le plus
sérieux adversaire de Michel ; il fit
76 le premier jour et 77 hier. Il était
dans une forme très satisfaisante ; mais
s il fit jeu égal avec Carlhian dans le
grand jeu, il commit des erreurs — et
joua aussi ^ de malchance — sur les
pelouses d'arrivée.
André Gobert finit troisième, prou-
vant qu'il a'avait rien perdu de ses
qualités de régularité. Jean-Paul Bou-
cheron, le tenant du titre de champion
de I rance, manifestement à court d'en-
traînement, a fait une partie sur la-
quelle il convient de ne pas le juger.
Les outsiders Pierre Bouchayer et
Godeau — dont c était le premier
championnat officiel — ont déçu l'un
et l'autre. —
R. P.
Les résultats
1. Carlhian, 74 + 72 = 146.
2. Prince Murât, 76+77 = 153.
3. A. Gobfert, 78 + 83 = 161.
4. tiaveau, 81+83 = 164.
5. Larroze. 166,5; G. de Dampierre.
166; 7. Yan Le Q.uellec, 167; 8. ex lequol
Domango et François, 168; 10. ex equoi
Houctmyfr, Clinrrief, 1". (ioiuhml,
f'eiiwiek. 169; 14. ex asquo 1 A, l'f'un,.t
Ct P. i'rlevir. 171; 16. flccUinan, 17,1; 17
.L.I' lioiH'.lit'ron, Morin, 176, 19. U.
Melamarre-Uehonteville, 178; ZOo V/ln
«phpTn. 182; 21. Laeroix. 183; 22. Favre,
185; 23. ex sequo 1 ,T. Mahé. Quenouulle,
Coquillon, M. Phi nel. 189; 27. Barbier,
190; 28. A. Glaeser, 194.
FOOTBALL
A craindre, les Normands, cette année !...
(Suite de notre article de 1re page)
Reims toujours imbattu !
L-E STADE DE REIMS a de nou-
veau triomphé hier ! Mais sa victoire
sur le HAVRE AC ébranle un peu
l'opinion favorabt'e qui s'était formée
au sujet des leaders, car elle fut ob--
tenue à grand'pei'ne.
L-es Rémois ont trouva devant 'eux
une équipe accrocheuse fet batailleuse
qui, ,sachant qu'elle re pouvait tenir j
un adversaire en resp'ect.par It:!'s iseurs |
moyens dt I-a technique, jou-a l'oura-
ÇjBn ët bouleversa la trop sage or-
donnance de "son j'eu.
Sagesse toute rotative d'ailleurs.
C'est Plutb't, sembte-t-i), dis mol-
lesse qu'on :devrait .par)e'r, si l'on ap-
pelle .'aiftsi l'incapacité de réagir et
d'opposer la méthode à i'a fougue.
Quoi qu'il en -soit, les Remois sont ■
maintenant seuls à n'avoir pas concé- j
dé un seul point. Leur positron àb
leader tst donc as5e~z sol-idt,. Il -est j
possibte que rs dancer qu'ils ont j
couru fiher c-orstîLtè pour ';el»< -une |
utile leçon. I
Un arbitre malheureux
L« match niai des G i RONDINS et ;
du CA PARtS ne peut pas nous !
étonner, puisque c'«st ce 'résultat que '
nous avions pronostiqué. Mais ce à J
quoi nous ne nous attendions pas, !
c'est à ce que les deux buts du j
match fussent contesta'b!es, ' voire ir- !
rég;¡.¡liers. ' |
Ce résultat coûte aux copistes la |
seconde place qu'ils abandonnent j
aux -Rouennais. -Les Girondins ont j
'fai't à Paris moins bonne impression j
que )e saison dernière. Pour expli- j
quer cette différence dans la phy- j
sionomie de leur jeu et dans leur !
allure, il ne suffit pas de dire qu'ils j
ont été amputés dte quelques bonnes
unités. L'an dernier,, les Girondins
avaient à conquérir une réputation
et des titres. Ils respiraient l'ambi-
tion. 'Cette ann'ée ils semblent
réputation en cherchant -l'exploit dis- !
tingué. Cela crée une âutrfe men-
talité.
La première journée en Z.N.O
Le seul comme'nt'aire possible des
résultats de la première journée du
championnat de Z.N.'O. doit 'S'ihs-
pirer du classement de la saison der-
nière.
Par un score assez curieux de
8 buts à 3, l'OLYMPIQUE DE MAR-
SEILLE a battu l'AS ST-.ETlfNNE.
Ce résultat montre une attaque mar-
seillaise en pleine verve. Mais c'est
un début pénible pour le onze sté-
phanoi-s dont la saison se présente
encore sous des auspices assez fâ- I
cheux.
Le TOULOUSE 'FC fait honneur -à
sa réputation en infligeant une dé-
farte sans réplique à NI'M..ËS OLYM- :,
PIQUE qui lui rendait visita. 'Cela
confirme également le classement -de
la saison passée.
Bon début aussi du FC SETE qui
cette fois réussit -à -battre l'OGCI
NICE. On S'e souvient que l'an dêr-J
nier, ni -è I'"aIter -ti: au retour les Sé-
toi*s n'^avoient ipu avoir :ifeisen des
Niçois.
Enfin !ë SO MONTPELL*R en vi-
site ià l'AS CANNES réussit le match
nul avec cet adversaire. Cxploit "mé-
ritoÍre quand on sait fa difficulté
qu'il y 'a à 'forcer les -Cannois en
leurs Hespérides. Le début de; Mont-
.pelli'éreins mérite donc d'.êr cris «h
temid'ératib,m. -
M. P.
Classement Z. O.
5g, |
"1. ïteiMft fl) "4 14 » 't! 1'3 ,a 1
2. «btfM» n '>4 '3 •* "r 6 'Ib t
4. îfavrè - (:<5) 4 -2 « "2 -4 'q'l'O i 4
5. ftii'onrtihS... ('6) '1\ 1 "1 l! 3 % i j
6. Red - (5) 3 1 » 2 $ 1to ^ 1
7. îftgitttes m ^ si > 4 % n |
8. Àttiiens .... re) 5 •» '¡, '3 % 2 15 j
9. RC PewîS:.. (9) 2 « ." "2 ';(J -ï s
Un petit poing... grand effet !
C.A. Paris Girondins A.S.P. :
1-1 (0-1)
O.A.P. — Ti^i'wsWfrlirCbl-meVs, LeT-éh;
%o'chfi, Lcf-brre -(0fc|j.), Arco's- L'rnia,
Qaywo, :Bonyiorni, R'anzoni, 'Rfrphy.
GtftONMNiS. - Wp/rîit'f?, ; N'oll/dr.
"Mmwisiilor t ; Beyi * Ii. o.o/tlr¡¡.
Be'n Arab; Tl'a'rCfë, r;tti};'o'è'r e a.
Pruvot. Bahrim.
x
PAÎîC DBS PRIMES. — On m Wit
trier que la rencontré des rtfuees ca-
et des bleu's Girondins, qui
lieu hier, sur ia belle T>p"Ious& d'Au-
tetiil. ïi été nroUvenvetit^. ;'En éïtet. fe
match fut vivement iiièné. ai,-dèminetit
fli«puté, trou mêfiîB, «t 'émnLmé 'tt'in-
(-,id-eiits *©er-rettables. t-ant, elq ce lotii
concerne la cinalit'é '(¡hl ieu. emi 's'f'!n
ressentit, El n'ê 4a -tentffe des jiouîfen'PS.
Otti ftrt toissi loin du « Pair Mwy »
o-u-e le i-en fnutieiié ^éfcaît à l'onud?^
dti football de it^mière -qualité.
Dans l'ensemble, les Bordelais sie
n)or)t)-è['ent supérieurs à lein-s adver-
saires. mars ils t)arTire'nt avoir une
très -liattt-ip idée de letrr valerir. tft ils
semblèrent, par la recheTche dfe l'at-
t ¡t11IlP,. "vouloir' 'ioufer iec frO'Fesseiriis.
lts eurent bien tort car !ct:r flilet-
tantislFte. leur désir e!'e 'briller tierSon-
nellemeht. leur oonviction QLl'ils tft-
iaient mener 1-e triateh à leur
leur ont coûté la victoire. Et si l'Wh
doit dire tfOie l'àva-titagre t-fchnkure et
t-aotiorre -des Sirondi'fi^ fut «vident
d'au hmit à l'autre du 'match, fl Tatit
•hien itrsrster aiwsi '!;ur l-e ¥att 'tiue.
inftteré leur sffpëH'oritë. ils n'ont miit-
fmé nli'ith I)rt ! !Rnct>re celui-ci nfe^it-il
être contesté, <-a-!- ï^RUVOT. trni le
maraud d'une tfete, sur Pàs?;rP cy,rir-
tizlierea. noirs a paru fen position de
hors i-eu !
Quant 8;(1 C'A Paris, ses joueurs
'Î'!!'11 o1"èrelftcdm co:mpl<èteïfient. Met', qu'ils
avaient eflz.e adversaires 4 Tnarau'®'.
Ils ne S'e soucièrent que de l'atTite'ti-
Q'U'è avant «entre Urtizbéi'ea, indi ne
mouvait faire 'un na'R oit ericiuiSstrr ifn
'l'r'es'te sans se voir bousetiM oti broitei?ë
à 'tene. .pa.r tle'ux ou trois joueurs 'va-
l'isiens.
Dès que le pivot de l'attaque borde-
laise se délaçait, ^es ss'réfes du (;t>Ws
Lefèvre. Oaimels et Derch se coHaient
:.tL lui. ce qui permettait à Pruvot et
I,of)tq, a'opëret- avec d'autant plus
d':aiaance Qu'Us tie -rencontmiènt au-
cume Oppositroii. Mais PNlvot et Lo-
pev'. att He," de jf)uér le -ballon rabi-
deinent. s'évertuaient à lui faire tra-
cer de-s lignée -ereoïn-gtriqnes comtili- |
quées, à décrire des arabesques .iolies j
a 'co-Tiff-mpler mais inutiles, à multi- !
■■frî-ier hes feintes et... à perdre un j
temps précieux. De sorte que les !
avants £irondirrs. constamment dan- !
srereux. furent hri-d'él> par une défense 1
sans grande autorité. mais Jo'llement I
activa. - !
D'autre part, J'éuiiipé eüt)iste fit '
OTeuve d'un tel revi-
cii't ion des actions q,u"elle <-ofKrevait
Souvent de la, meilleure façon, d'ail-
leurs, qlt,elle ne po-tivatt .g'iml'Oser à,
catitse. plus ,sÙr de |
lui, dont les .'ionë'uTs étaient beau- !
coup mieux placés sur le terrain. j
Courir rÀt-'e- ve d&»lftVèr -fe* ÏWis
foncer irw 'fmiç/ù® 'vrim.WCvutforë
m'fris ^épryrdMirrét. m n'wt 'bat fauter
vite %n foo-tball.
^t les ea'pfsttes 4
hier. Mi Parc, Qu'il Vaitit ''flatebSc I
courir le ba..ron que de «temariH» mm l
efforts 'eh courses 'TfctftWs. "ïtofclSfrt J
•IHSwewrte ^prodte««e îk-vâë WrtfcNJ&Hlé. }
Je n'ai pas eu de chance
le btit tl'-réalisation -aocorflë %'u ÔSL
Paris a, profvoqirë nn inoidëlft imi %.
rempli le 'st^dë >de cris m 4l'iînî>ï«*cïi-
Jtiows. ofi lfcrbttrtî tôt srratiffé «b»
'tes 'oualifioatifs tes iptes
cà entendre, sur u'h 'tft fciPlWirts.
P.ourQllol? Parce que il. -Atfïfee,
ttrfegrtt criai 'ne Vit î'aviant
•ca'Diste ftAPHY Teprendre le Wlien
avec la main poti'r l'enn'oS''éi' les
buts de Gérard, ile *ii
allant fe A-nteuil. (tf frei-net îno[ii
*de critiquer l'arbîtrairè, &e â^i.i«aïs
ardemment faire la 'Cfail; avefe 'les %r-
bitreS. H. An^e ti'a Ifes peirote ttli'il
én sfoit ainsi. Tl Jfern^a Sonet, (^tetres.
mais il eût tfeffti. "au centrante. *Wh'il
joulfenât, tmtt des Coups 'dfe
tes -nomt*mts^8 -ittfeimlkrfffls M)
wwiiemiwit ïes jb1.1 t!ù 1'\;. ^ «ftit-
T»rfe de -voir a'vefc .'(tue1
m. *nSfft necVptiftft de voir «#1^1-
ier Sous ses veux tonte la cfWtn'ïffte
-coti^w défendus. Yraî-IHent-. si ébtft! 'WB
arbitres de o'/)l'er/1ièJ'e «oatfeerriè «totr't '€%
l'a, classe de W. An«e. :.ie «RtiMs ;1a,
■S F-A... -,ët le football.
Lucien GAMBLIN
La Normandie
ne réussit pas au Red Star
(De notre env. sp. R. COTTEAUX)
Rouen b. Red Star : 4-1 (2-1)
ROUEN. tiioufàet; lB~esa^ tb«ktb
mel; BlonStèl, Êalciy^àJih, Dè'frtftt*;
'Feiler, Le niant, Mtmdalunit, Rt.o.
Lherminé.
fcED STAR, — mi toui; Sefelin. Jrèr.
rertf; Serfreriit, -Èrtiuix, m&urib; kiton,
ËWMruilë; Sirnont/i, Pad'fon. Th®iïkimt.
■ARBITRE. —
M. Lesenne.
Delfour l'animateur
RflKert, .5 octobres (:Par téler)b ). -
Le ^raird défaut •àes «'OweftlMwÉ &,Va|t
été 'd'ett'e faible -en '¡:¡,"1tn,ts
Au stade des Btuyîferes, les K-tôiitàltàtfe
ont paru tran^fiOi'iïiëiî-, StiiTmes
.Volonté solide et du dësîr lém vâ>îïr«£'è;
les cir>q a t ta«i«.a-nts tuizMs jrkT Rio,
Mandaluniï et î.hertainë, ftt HÓIt
'bien jolies
tière ces hommes se tw»uvai% ïfeiiîto'p,
-un Delfonr en grande fot,"e, »iÇfM «gal-
vantsa.it par le geste, lia'"voi* et 'l'exem-
ïrle, Beis jeunes équipiers.
Le Red Star contracté
Le e-ed St%r, #e son côté, àfoordfc le -
Aiat-ch contï'actjé ; on fi lirait 'cru
lès P&risieftis jïiùaieTit «Éà^ de
Coupé Avec .l'a.p.Pl:enenmiÎ1 i:'lè bËi pas
marquer. Fautes 'àe défense, ti.
morë's, attaquants fariiietoe'n't
voilà et que 5e ïîea Star nom «HMi.
Da Rui !
Devant la fougue et la rëùMtt d*
Rio, il est Jienreui ^ue les Pa%4tàfeâft
aient eu sous la îmaiîi -Da Rui. % >îrk~
lien >, k Ivonen., à fait tn
match. 11 a sauv^ "Son équipe d'ti'îi dé-
sastre. Ses Arrêts décisift
par MoiiMt le'!!; nerfs d'un
c-ontra'ct'é, 'mais t'ieïi n'allait, Mer, A'a.
Red Star. Il y a des jours iè'ôlAttfe AfceVa.
Par contre, en face, % Rotien-, lé
blic Iui-métoe a été surpris pat 'Fa.'t:.
lant de ses joueur^. Rio mime -à été
applaudi à sa rentré aux VèSt%-ïte*.
Simonyi sans balles
Les RouMn-aJs ont marqué ,-4 ^it*.
Le Red Star n'en -a tendu qu'*!*. -Si-
nronyi s'a, pas eu là haUt!, l'àl^atitTè
audonietlne joua étricitré., elle Wfe par-
venait même 'Pas à consèrvet là. Wll%.
Les grands l'es.pohsables
manque vraiment "un orgtinisatèaï- de
jeu. BraOft. et surtout Stergert't %bht
des briseurs de jeu, mais ils n'ont ^>i»8
été -capables, devant Rouen, 44M t?tfte-
t ru ire. Il ïaaii^ùé un Rbésèief Si^ Red
Star.
Lés buts ont -été marqué par
(2), Lherminé (1h Voiler (1), ïfeur
Rouen. ThëvïnW, àû. Rèà 'Stzat.
i adaiieuî- eti pi-emièr% mi-teî®^.
90 minutes d'orage !
Reims bat Le Havre : 3-2 (2-1)
(De notre envoyé ispéc. R&ger D ÚFER)
K KIMS. — F-rt i;re,- r'A n D-bbYe n, Cb r.
t'nrtt; GilUs, BrëmbÛlà, T'jJ)''n(q¡; S&và,
Ignaç-e, l'uvère, Petit/ils, DeliWV-
L« HAVRK — (insti, Bihel fi,
ll r l'àporVè, tititè, Garcia; [,M: ô nt. e.
A urneur, Bihel l, Bisîort, D€ihàf/è~£.
Reim>, 5 octobre (par tëléph.). —
Reims l'a échappé belle. Celt ïfe Mftfns
qu'on puisse dire d'è vè Taa,tch, à l'is-
sue duquel les leaders du Champion-
nat sortent VAihqucUrS. Leur iperî'or-
manee n'ajoutera rien à là tl'bîrê du
l'ont balï. À bèltlMHlI) {irès 1
Reims laisse jouer
Tl he Suffit pas d'être i%tlr Sfe S»
supériorité teohnimie pour gagner :un
match, La, Volonté
Si Je Jeu normand est loin A6 valait
dans l'èilsemblë celui qui fut. lM",
tempS dè règle au Havre, il ëii
pourtant quelques-uns des élêtuèn ts
essentiels ï une bobne téchtii^Uè 'îadt-
viduelle et une ejccellentè vitesse i!'exé-
cution que nous serions même
d'appeler de là I)réèil)itâtlbil. Pk-Ëé
de jeunesse !
Les buts
Après que M. FauquènbergUfe eul
accordé 'ati Havre un &énàïtr jQSte-
ment mérité pour jeu h-M&ùtiM, pe-
nalty qui resta sans ré8ultftt, Reiài*
ouvrit là marque à 1. 36* minuté ;)a.f
DKliinNr. Peu alsfès, slif service de
La porte. Leconte centra Sur BlHÈL,
qui éffalisji de maKniliquft façon. t.
Havre prit l'avantage quelques ifts^
tants â vn nt la mi-temps par ÉÎSSÔN'i
sur service de N'etueur,
liés joueurs de Reims lai«sèrfettt .,'Hi"
se r l'orag'e, mais l'iorate durit ;0 mi"
nutes ! Ce n'est vraiment ottfe tsut Ifc
titi du ;na.tch que l'ébttipè de Vaflfioo-
I,tln ne reprenant éftfin, gaghâ par
PERPRRS, qui marqua stiW;és$iVêmferit
à, la et à lA. 6o- minute dêtt batg
^plètididèS;
Keeettè t 5t.00ô fïàHes»
M. Folliard, vice-président
de la F.F.F.A., est mort
Rennes, S octobre. — Nous apprè.
lions avec tristesse là mort, survémi*
vendredi soir, à Ken nés, de M. Ëi ip(il-
liar
officier rte l'IIt!lltrllctlüR pttbli-
<|Ht», vtte-ftt'ésldenl de la •H'A,
président d'hoiiniMir de t... LOf et
ItI'l'sidèn t rt'lionnetif du Stttde Rési-
liais,
I/At'TO, en cette douloureuse cir-
('ons(m)c<', adresse à Mn.ï l'oitilird et
à toute sa faitillie, ainsi qu'à la (mité'
des footballeurs brPtiHW, qui doivent
tout au reRrettê disparu, l'ê\,'tf!Ulon
(le ses très sincères et bien fîtes
condfdéancwi. Les olisèdues rte M. ,'0]-
liard auront lieu fl Rfnnfs. rtîifdl
matin, paroisse Xotrfe-l)ame. —■
Troprès.
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NATATION
DES RECORDS DU LITTORAL BATTUS A MARSEILLE...
Nakache nage les 100 brasse en 1 m. 12 s. 8/10
Mlle Jouvenel, les 400 libre en 5 m. 46 s. 8/10
Devallet, les 100 dos en 1 m. 12 s. 2/10 !...
Pas de records d'Europe ou de France...
mais d'excellentes performances !
J MARSEILLE, — Une grande réu-
nion organisée pàr le Cerclé des Na-
geurs de Marseille et le Petit Mar.
seillais s'est déroulée hier dans le
rapide bassin des Catalans.
La présence de Lucien Zing. et des
Mouettes de Pa:ris avait fait présager
la chute de quelques records de
France, mais il n'en fut rien. Fatigue
du voyage en eàu salée ?... Chi Ü!I « ?
Tout ce que l'on peut dire, c'est
que quelques belles performances ont
été accomplies par les participants.
C'est ainsi que Mlle Clément amé-
liora le record du Littoral des 100 m.
brasse en 1 m. 41 s., tandis que
compère Devallet, du Chevalier R;oze
•Sports réussissait le temps national
de 1 m. 12 s. 2/10 aux 100 M, dos,
établissant, lui aussi, un nouveau
record du Littoral.
Mayanne Jouvenel approcha de
mo-ins d'une seconde le record de
France eles 400 libre qu'elle escomp-
tait battre et il faut espérer qu'elle
fera une dernière tentative avant
de regagner la capitale.
Nakacll-e est toujours le virtuose
de la brassé papillon, et ses t chro-
nos » sont méritoires.
Résultats
Match Mouettei-Cêrcle dès Nageurs de
Marseille.
400 mètres natte libre. — ï Màynnfte
.Touvent"-! [Mi, 5 m. 46 s. 2/10: 2. ]?rEëtz-
Inftlm IMI. 1; m. 20 s.: 3. P. Hilaire «m
SM), 6 ln 36 s. 2/:0; 4. Avril (CNM),
5 m. le ». 4/lt). 1
100 mètres brasse. — 1. 'C1êment rCN
Avignon I. 1 m. 41 s., record du littoral
battu: ~. PmtMn&ïm (M), 1 in & 3
Denise Eklynd )ONM). 1 m. 45 i. 4.
Yvonne Jeanne (M), 1 m. 4'8 s.
100 ln. dos. - 1. Màyanjiè Iouvenbl
(Mi, 1 m. S» -s.; à JMMct .(M)-. 1 m.
34 s.; 3 F, Gàrriw 1 -'rà. 34 s.
6,\V 4. F- c&fessa), l ». sè s. s/'io.
wo mitrm 'mn. — \ ôô^tdou
(MI, 1 W1. 6. 8/1(0.; .2, 'CiMiaîë (Ml, 1 m.
28 s,; 3. Rîch*td tMv, 1 «i, « 2 10;
4. Veklund :rCNM), ï ifft. «3 s, S/Ï0.
100 mètre* Kmigé libre. — i, Mayanne
Jouv-enel (M), i m. le 1$/l'è; ^ Preetz-
lIJann (M), 1 m. 39 «. 4/10.
Relais 4 fois 100 mè'tre's nttg-è libre. —
1. Mo^tt^S (aouvénèl. PYeeUmàiwi. Dour-
dou. SrnssetK S m, '91 «. 4/10; 2. ce Mar-
EPREUVES StJSSt INVÏTATI-ONS
10e mètr&s brmae. — 1. (Tou-
louse), 1 m. 1:2 è. 8/110; 2, tfemen't (CN
AvignOÍl). 1 m. 19, .s,; l. Rèy fORSMi,
1 m. 26 s. *4/i-ô; 4. Amefte tSC Corniche)
1 m. 29 s.
100 -mètrei nage libre. — 1. Dino Cec-
chini i Avignon), 1 St. 1) 2. Pallard
(Toulouse); 3. LlbsJiig (Mar-eenite).
100 mètres tfos. — I. 2ïfts (Troves),
1 m. 12 s. 2/10; 2. Devait (GHSM), 1 m.'
12 s.. 2/10 (record du Littoral batt-u).
MO métrés bt-ffssc. — 1. Nakache. 2 m.
50 s.; 2. Mofefn) (CNM). N-aknchê Vira
aux 100 mètï-èe en 1 m. le s. 4" lô.
400 mètres n-afre libre. 1 Paîlard
(Toulouse )., 5 M. 25 s. 2 / 1'9 ; 8. Dino Cec-
chini, S M. 2e s. 4/ï»; S. LitShift IGNM),
5 m. 45 S. 8/Td^ 4. Du,iardm ïCNîA), 5 m.
48 e. è/tt). Lutte sftlêndids jusqu'à la fin
entré P*âll*rd Ceechihi qui fut battu
de pfett,
6 m. 5 s.
LES CONCURRENTS DU GRAND PRIX DE L'Auto
Aussi bien que des licenciés...
(Suite de notre article de 1re pagè)
Et je vous concède que le specta-
cle qu'il offrirait n'est point mer-
veilleu.T parce que fait de contor-
sions et d'«. arrachades » !
01", hier, le lot de tête se dépla-
çait dans l'eau en style, nage bien
coulée et battement nettement vi-
sible. C'est une agréable constata-
tion, qui nous prouve que nos ve-
dettes ne sont pas les Seules à con-
naître les secrets de la nage mo-
derne.
Quant au premier, un jeune gar-
çon fte 16 ans, il réussit l'excellent
temps de 48 secondes en souplesse 1
Le vainqueur ttg notre Grand Prix
est le neveu de Dailhan, qui fut le
sympathique directeur de la piscine
Edouard-Pailleron. Il se nomme
Pierre Gillet — comme l'autre —
et s'applique à apprendre lc
l'école professionnelle Estienne.
Son oncle le confia il un profes-
seur de natation il y a de cela cinq
ans, et le jeune Pierre se dépêtra as-
sez vi+e et nagea bientôt 1(t brasse.
Mais cette nage ne lui plaisait pas,
et il s'adonna finalement au crawl.
Il fréquente régulièrement la piscine.
« Je me sentais bien, nous confia-
t-il, ét j'ai voulu gagner. Mon oncle
en sera enchanté 1 ... »
Hatot et R. Morgen
se préparent... en cachette !
Les 200 mètres libre handicap n'ob-
tint pas le succès espéré du fait de
l'absence de Hatot et R. Margen qui. i
insuffisamment préparas, se sont ex-
cusés ait dernier moment. Nul doute:
nos deux cachottiers se préparent
et nous réservent une prochaine sur-
prise !
Ollivtet. a remporté le 200 brasse
handicap (lan,,; un b01t temps, tandis
que R. Gibel réussissait 2 tn. SS 1. /
Le uxiter-polQ fut plaisant à voir \
grâce tt une grande rapidité d'exè- '•
ctltion de la part des joueurs. Ces i
derniers se dépensèrent sans Wmpo. !
ter, nageant de bout en bout dé lu
partie. Le SCUF réussit finalement
à l'emporter d'un but grâce à un
effort individuel tiu toujours jéunt
Gruaz. —
V. K.
Résultats
Grand Prix He L'Auto. — 66 M. 1"
série ; 1. Lhuillier. 50 .II.: 2. 58 S.
2/io; S. Lacroix, 59 s. — 2' sérié ; 1. fit'
Ion. 50 s.; 2. Ducheffliïi, §8 «. 2/10, 3.
Falgueres, 1 m. 1 a. — 3' série : 1. Gué*
rin; 49 s.; 2. Boulàdoux, 49 s. 2/10. — 4'
série : 1. Gillet, 48 s. 4/10; 2, Ma.rttn.
52 s. — 5' série : 1. Chabot, 60 2,
Bfh&r. 52 à ; 3. de Lannée, 55 s. — 6, flé-
rie : 1. Fernier, 54 s,: 2. Fraule, 1 m. 1 s
— Dames ; 1. Mlle BrunhauM. 1 m. 24 s.;
2. Mlle Roche. 1 m. 37 s.
Demi-linnlri. — 1. muinifr. 4« S. 2/lo;
2. Gillet, 49 s. 2/10; 3. ÎSoulsidtt, 54 S.
—- 1. Salon, 48 s. 2!lO; 2. Chabot, 49 g.
4/10; 3. aupria. 50 fl.
finale. — 1, Gillet. 48 s.: il, Salon, 48 s.
2/10; 3. L.huillier, 49 8, 2/10; 4. Ohàbüt.
49 s. 2/10; 5. Guorin.
200 m. brasse hanilfcrt7J. — 1. Ôlllviêf,
3 m. 17 s. 8/10; 2. Bérnsteiri. 3 m. 19 s.
6/10; 3. R. Gibel. 2 m. 58 s.; 4, Jason,
3 m 25 à.; 5. Clerc, 3 m. 33 S.
200 m. libre handicap. — 1. lIuber ét
Lahlbèrt. 2 m. 35 s. 8/10; 3. Jtsum, i m.
34 s.
100 m. libre damés handicap. — 1. MlIè
Féuillèboté; 2. Mlle Lêeoisin; 3. Mlle Hur-
tut.
Éliminatoire aénérslé, — 1. 'Sertftê; 2.
GarCin; 3. V$Lutllrôt.
W(tter'po!R. — aCUï" bat êOP 9-6 (4-2). J'
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