Presse et revues
6 pages
Titre : Excelsior : journal illustré quotidien : informations, littérature, sciences, arts, sports, théâtre, élégances
Éditeur : [s. n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-01-09
Contributeur : Lafitte, Pierre (1872-1938). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32771891w
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 09 janvier 1919 09 janvier 1919
Description : 1919/01/09 (A10,N2973). 1919/01/09 (A10,N2973).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4605797h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-228
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 04/07/2016
LA SEMAINE ÉLÉGANTE
LES ROBES DU SOIR
L'Opéra reprenant ses jours d'abonnement,
Tes dîners, étant fréquents et les soirées dan-
santes nombreuses, nous allons avoir l'occa-
sion de porter des robes décolletées. Les robes
du .soir sont vraiment celles, qui permettent
taux. couturières de déployer le plus facile-
ment toutes les ressources de leur imae-ina-
Les manches sont très
réduites ou Wexistent
pas,
tion ; elles peuvent
dans une même sai-
son s'inspirer de tous
les styles, ,sans que
cela nous étonne, le
moins du monde. Ac-
tuellement, les robes
d,u soir sont longues
.ou courtes, étroites
.Ol¡ Jarges. Toutes
sont charmantes et
toutes sont à la mode.
11 n'y a '■ peut-être
qu'un caractère qui
leur soit commun,
c'est l'absence de
manches ; les manches sont réduites, ou
n'existent pas...
Il n'est pas rare de voir cette saison une
robe très peu décolletée n'ayant pas de man-
ches du tout ce sont les bras bien plus que
l,zb gorge qu'on découvre... Cette tendance se
retrouve du .reste. sur quelques roibes de
jour, et on voit à l'heure du thé des femmes
et des. jeunes filles ayant des mancherons
qui n'ont pas quinze centimètres de lon-
gueur; il est vrai qu'elles suppléent à l'insuf-
fisance de manches en « habillant » leurs
ibras de nombreux bracelets. Ceux-ci, le plus
souvent des anneaux rigides, cerclent le bras
autant que l'avant-bras...
Si la majorité des corsages sont modéré-
ment échancrés devant, il en est quelques-
uns qui sont ouverts derrière, jusqu'à la
taille. Le dos est absolument nu, les bras
sont nus, la robe est réduite autant qu'elle
peut l'être, elle demande peu d'étoffe, n'a
presque pas de garniture, mais, hélas ! le
. prix, lui, n'est- pas .réduit !...
On recommence à voir quelques traînes:
S. M. la reine des Belges nous a ramené la
robe balayant le tapis ; pas màl de femmes
sont disposées à suivre son exemple... quand
il y aura des voitures, naturellement !... Le
plus souvent, ces traînes accompagnent une
robe courte : c'est un panneau souple, et quel-
quefois même deux panneaux, car la traîne
n'est pas forcément derrière, et elle se tor-
tille parfois en queue de serpent sur les côtés,
H faut avouer que cela rend la marche assez
difficile. Peut-être du reste reverrons-nous
la traîne faisant corps avec la jupe' comme
autrefois, si nous adoptons la jupe frôlant
le dessus du pied, comme en fait Chéruit,
cette saison; mais il'nous faudra évidemment
apprendre de ^nouveau à marcher à petits
pas glissés, ce que nous ne faisions plus
avec nos petites robes courtes, si dégagées
et si pratiques. On nous avait dit au début de
la saico.: que nous reverrions quelques rol,s
à taille plus marquée: au contraire, jamais
tes robes n'ont été aussi droites. Les robes
du soir actuelles ressemblent beaucoup à des
déshabillés avec leur ceinture mollement en-
roulée, et, naturellement, elles y ressemblent
encore plus quand elles n'ont pas de ceinture
du tout. Pour accompagner la robe du soir,
et à plus forte raison avec la robe d'après-
midi, le cothurne est démodé; l'escarpin de
satin avec boucles de jais ou d'argent est le
soulier le plus généralement employé. Avec
les grandes robes très habillées des galas et
des réceptions- d'ambassade, le soulier brodé
et perlé, très 'décolleté et sans barrettes ni
bracelets remplacera l'escarpin uni. —
JEANNE FARMANT
Robe de satin noir. Sur la jupe unie
tombe une longue blouse- retournée CM'
satin noir broché de grosses fleurs d'or
rebrodées de perles d'or. — PREMET.
Bobe de panêclu gris argent. Le devant
de la jupe est garni d'une large bande
brodée d'argent ; la même broderie sa
.. 'retrO?;l;7)e au corsage. ■— LANVIN
Robe de satin écaille blonde sans au-
cune garniture. Le corsage décolleté
carré est uni ; la jupe montre un très
joli' mouvement enroulé. — PAQUIN.
Robe de satin noir découvrant large-
ment le buste. Sur cette robe est glissé
un manteau de tulle noir garni de jais
qui atténue le décolletage. — JENNY.
LES DEMI-CAPES
Beaucoup ,de manteaux cette saison, sans
être de véritables rotondes, affectent un mou-
vement de demi-cape. Les manches sont, à
peine 'visibles et se confondent avec la pèle-
rine ou même sont 'supprimées, les bras
émergeant d'une simple fente. Parfois - aussi
ces manches, quand elles existent réellement.
sont - froncées et se
perdent dans l'am-
plèur du vêtement. Ces
manteaux, sans cein-
ture, étroits du bas
avec - cependant pas
mal d'ampleur dans le
haut, sont vraiment les
vêtements nouveaux
de la saison. Celui-ci
est ' particulièrement
amusant avec son ef-
fet de pèlerine for-
mant manches. Il est
en velours de Haine
d'un j oli, ton rouge
chaudron brodé de
laine dit même ton
rehaussée de quelques
fils d'or. L'or em-
ployé discrètement ici
est fort joli et, sur le
ton chaud de ce tissu,
il -ne tranche pas
trop ; car il faut évi-
ter de se montrer
Manteau chaudron
.. .garni de castor.
chamarrée d'or ou d'argent dans là rue
et dans le jour et réserver pour le soir
et l'intimité les vêtements aux broderies
Jourdes, riches et scintillantes. Un -col
et une large bande de castor ourlant le bas
rendent ce manteau très confortable; la
même fourrure s'aperçoit au bord des man-
ches, donnant 'l'impression que la- pèlerine
est entièrement doublée de fourrure. Les
manteaux fourrés comme des pelisses ne sont
pas rares, cette année, mais il faut être très
mince pour ne pas paraître engoncée avec
ce genre de vêtement toujours un peu épais-
sissant. J'oubliais de vous dire que c'est chez
Andrée, dont je vous ai déjà parlé il y a
quelques jours, que j'ai croqué ce manteau
que j'avais remarqué au Bois un des rares
matins où l'on pouvait s'y risquer sans un.
parapluie, des caoutchoucs et un imper-
méable...
- J. F.
BLOC-NOTES
— Je vous rappelle que la maison Andrée
est 7, rue Montaigne, à deux pas du rond-
point des Champs-Elysées, et qu'elle a des
modèles charmants à des prix abordables.
— Un manchon est souvent bien encom-
brant quand on doit prendre le Métro, et cela,
arrive à beaucoup de femmes, puisque les
taxis sont, hélas! rates. Il est difficile de tenir
son sac, son parapluie, son manchon, et de
relever son manteau pour descendre les mar-
ches ; cousez à l'intérieur de votre manchon
un morceau de ruban de la même teinte que
la doublure et fixez ce ruban à un bracelet
d'écaille que vous glisserez à votre poignet.
Vous n'aurez ainsi plus à vous occuper de
votre manchon, qui restera attaché à votre
bras quand vous aurez besoin de fouiller dans
votre sal; ou de prendre votre billet.
UNE CEINTURE PRATIQUE
Pourquoi hésiter à porter u.ne ceinture si,
votre médecin vous le prescrit, alors q"e votre
santé peut s'en trouver améliorée ? Lorsque la
ceinture est lourde et baleinée, il est évident
qu'elle épaissit et désespère la femme élégante
qui se voit forcée d'en faire
usage. Mais tous les inconvé-
nients qui effraient n'exLLerit
pas avec la. Ceinture-Maillot du
Dr CTarans, puisque, faite d'un
tissu élastique spécial à jours
indéformable, cette ceinture n'a
aucune éDai'aseur ; n'ayant ni
pattes, ni boudes, ni baileinage,
elle ne pèse rien et se porte
même sous le corset. Elle est
très recommandée par le corps
médical pour le rein mobile,
les déplacements d'organes et
les faiblesses résultant d'opéra-
tions, les maladies d'estomac et
d'inte&t.in ; elle réduit l'embonpoint ;sans rú-
gime interne.
La plaquette illustrée sur l'a Ceinture-.M'aiMo,t
du Dl GHrans est envoyée gratuitement sur de-
mande adressée zi .M. C.-A. Claverie, spécialiste
breveté, 234, faubourg Saint-Martin, Paris (10e)
(à l'angle de la rue Lafayet'te : Métro Loui,s-
Bil'anc), H,enseigri,crnents elt conseils tous les
jours, de 9 Il. à 7 Il., par daim es sipéc. pistes et
par corree'ponda.nce. Téléphone : Nord 03-a.
PETITS CONSEILS
(Mme Madeleine de R... répondra à toutes les
questions féminines qui lui seront posées. Tim-
bre pour lettre personnelle.
Indécise. — Ecrivez, 167, boulevard Saint-
Gcr.m.ain, Paris, pour un échantillon gratuit et
recettes de « Frigorine », supprime les œufs
dans les entremets, vous serez très satisfaite
et ferez des économie6.
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.M.....".........M"...../
PROGRAMME DES SPECTACLES
LA JOURNÉE :
EN MATINEE
Comédie-Française, 1 h. 30, le Luthier de Cré-
mone, Esthei, ; Opéra-Comique, 1 Il. 30, la Vie de
bohème, les Amoure\ix de C(ilhei,iiie ; Odéon, 1 h. 30,
te Mariage ae Figaro ; Gaîté-Lyrique, 2 li., la Dame
blanche , Triaijon-L.,rique, 2 h. 15, la Vivandière ;
Vaudeville, 2 II.; Variétés 2 li. 30 ; Palais-Royal,
2 h. 30 ; Châtelet, 2 h.; Réjane. 2 li.; Athénée, 2 h.;
Antoine, 2 li. 30 ; Apollo. 2 il. 30 ; Bouffes-Parisiens,
2 h. 30 , Nouvel-Ambigu, 2 h. 30 ; Porte-St-Martin,
2 h.; Renaissance, 2 li. 30 Sarah-Bernhardt, 2 h.;
Gymnase, 2 h 30 ; Scala, 2 li. 30 ; Cadet-Rousselle,
3 h.; Cluny, 2 li. 30 ; Déjazet, 2 li. 30, même spec-
tacle que le soir.
Folies-Bergère, 2 Il. 30 ; Olympia, 2 h. 30 ; Cirque
Médrano, 2 h.; Ca Üno de Paris, 2 h. 30 ; L'Abri, 3 h.;
Gaumont-Palace, 2 li.; Electric, 2 h., même spectacle
nue le soir.
EN SOIREE
Opéra, 7 Il. 30, Samson et Dalila.
Comédie-Française, 8 h. 30, Amoureuse.
Opéra-Comique, 8 h. 15, nTertner.
Odéon, 7 n. 4 5, Cabotins.
Vaudeville, 8 h. 3U, lu Revue de Paris (Sacha. Guitry).
Variétés, S h. 15, Rhodope
Gaîté-Lyrique, 8 h., les Saltimbanques.
Trianon-Lyrique, 8 h. 15, lre (reprise) Mme Boniface.
Palais-Royal, 8 h. 30, le Filon.
Châtelet, 8 li., les Millions de l'oncle Sam.
Reiane, b h. 30, Maiann de danses (Polaire, Yrven).
Athénée, 8 la. 30, le Couché de la mariée (Ro'zenberg'i,
Th Antoine, 8 h. 30, le Traité d'Auteuil.
Apollo, 8 !U, la Veuve joyeuse (J. Marnac, A. Brasseur)
Bouses-Parisiens, 8 h. 15, Plti-Phi.
Nouvel-Ambigu, 8 Il.. la Femme et le Pantin.
Porte-St-Martin, i h., Samson (Lucien Guitry).
Renaissance, 8 h. 15, Chouquelle et son As.
Sarah- Bernhardt, 8 h., l'Aiglon.
Gymnase, 8 Il. 30, la Vérité toute nue.
Capucines (Gut. 5G-.iO), relâche pour répétitions en.
Edouard-VII, 8 Il 80, Daphnis et Chloé.
Scala, 8 n. 15, la Gare régulatrice.
Gd-Guignol, 8 30, le Viol, 1 Homme qui tue la douleur.
Th. Michel, 8 II. 45, le Cochon qui sommeille.
Cadet-Rousselle, 8 h. 30, Et... Vlan, revue.
Th. ctes Arts, 8 h., Monsieur Beulemans à Marseille.
Vieux-Colombiei, rcJ.; clem., la Servante maîtresse,
1 ICrluc ilion manquée.
Cluny 8 n. 30, Où est le chameau ?
DéJazet. 8 a. 30, le, Tarnpon du, Capislon. t
Empire. 8 h. 15, ta 'Mfl.
SPECTACLES DIVERS
Folles-Bergère (Gut. 02-59), 8 h. 30, la revue Zig-Zag.
Olympia (Centr. 44-6S), mat., soir. 20 vod. et attract.
Cirque Médraro, t.;Jes, soirs.-Mat. jeudi, dim. et-fêtes..
Casino de Paris, soir. MtstfngrueU, Chevalier, Dorville.1
Pte qui Chante, 9 h.,'Pie qui' Juse... Balld (revue).: "
Perchoir \J. Bastia), demain, nouveau spectacle.
Chez Jean Péheu (L'Abri), ma.t. 3 il.; soirée 8 h. 30.
CINEMAS
Gaumont, 8 h. 15, Lèvres closes, l'Esclave de Phidias.
Electric, 5, B(I Itai., 2 à 11 n ; te ¡Roman de la-ballerine.
Surtout,
ortez -vous bien
Ultime souhait que les amis s'adressent
au moment de se séparer, formule affectueuse
par quoi se terminent nos missives i ceux qui ■'
ÉmÊÊNous aussi, nous vous dirons ; Surtout, portez-
vous bien ' Gardez-vous de l'anémie, de la
' neurasthénie, de l'épuisement nerveux qu'en- '
traînent après eux les tracas, les fatilues, les
Reconstituez vos forces, revivifiez voIre orga- I
ixlll fllÈ * nisme avec les donnent au sang 1
/ Messe, pureté, vigueur, retrempent les nerfs
el slimu/enl les fmcnm vifa/es.
If M' jÉ Surtout, portez-vous bien!
Les Pilules Pink
f 9§l vous y aideront.
1 S Frs. plus 3.50 la boîte, de taxe frs. 17.50 les dans sIx boites lesfranco, t
0.40 par boîte;
m f pharmacies et au dépôt, pharmacie toutes P. Barrit,
rue
SUITE DE LA LISTE DES BOMBARDEMENTS
13 AVRIL (jour et nuit) : 6 POINTS
(Ni tués, ni blessés.)
79. — Halle aux Vins (jour).
80. — Place du Combat (jour).
81. — 141, boul. Serrurier (nuit.)
82. — 10, rue Lagrange (nuit).
83. — 15, rue de Lyon (nuit).
84. — Cimet. Père=Lachaise (nuit).
14 AVRIL : 3 POINTS DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés.)
85. — 125, rue de Crimée.
86. — 72, rue Botzaris.
87. — Dans la Seine (au pont Neuf).,
15 AVRIL (nuit) : 3 POINTS DE CH.
(Ni tués, ni blessés.)
88. — 293, rue du Faub.=St=Antoine.
89. — 35, quai de l'Horloge.
90. — Voie ferrée de l'Est (en bor='
dure rue du Département.
16 AVRIL (nuit) : 2 POINTS DE CH.
(17 tués. — 114 blessés.)
91. —f 21, qT de l'Oise (canal Ourcq*)
92. — 2, rue François=Bonin (Usine
1 1 Schneider).
19 A VRIL : 1 POINT DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés.)
93. — 61, rue de Lancry.
21 AVRIL : 2 POINTS DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés)
94. Abattoirs de la Villette.
95. — Gare de la Villette.
25 AVRIL : 4 POINTS DE CHUTE
(1 tué)
96.1— 22, rue Sou*flot.
97. — 108, rue Saint-Maur.
98. —'2, place, du Maroc.
99. —-1 143, rue de Flandre (Raffine-
r " rie Sommier). -!
26 AVRIL : 1 POINT DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés)
100. — 8, rue de Meaux.
27 MAI : 7 POINTS DE CHUTE
(4 tués. — 20 blessés)
101.'1, rue Cabanis (As. Ste-Anne).
102. — Bd Jourdan (Dép. de rem.).
103. — 17, rue d'Alésia. "
104. — Rue Saint=Jacques (face le
lycée Louis=le=Grand).
105. — 5, rue Linné.
106. — 67, rue du Montparnasse.
107. — 19, rue Jacob.
28 MAI : 6 POINTS DE CHUTE
(1 tué. — 2 blessés)
108. — Place St=François=Xavier (de..
vant l'église).
109. — 16, rue Cantagrel.
110. — Tuileries (pr. terr. Orangerie).
111. — 170, quai Jemmapes.
112. — 6, rue Bisson.
113. — Av. J.=Jaurès (marché best.).
29 MAI : 5 POINTS DE CHUTE
(1 tué. — 7 blessés)
114. - 97, rue du Bac.
115. — 40, rue Barbet=de=Jouy.
116. — 313, rue de Vaugirard.
117. — 29, rue de Berri.
118. — 10, rue du Plâtre. -
30 MAI : 4 POINTS DE CHUTE
(13 tués. — 5 blessés)
119.— - 4, passage Mioîlis. 1
120. — Rue de la Pointe=d'Ivry.
121. — 65, avenue de Breteuil.
122. — Derr. l'église de la Madeleine.
31 MAI : 1 POINT DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés)
123.] — Bd Macdonald (v. ch. fer Est).
4 JUIN : 4 POINTS DE CHUTE
(4 tués. — 16 blessés)
124. — 247, rue de Crimée.
125. — 79, rue de la Chapelle. ..
126. — 4, rue Demarquay.
127.. —; 18, rue Aumaire.
7 JUIN : 3 POINTS DE CHUTE
(1 tué. — 4 blessés)
128. — 1, rue de Courty.
129. — 102, rue de l'Université.
130. — 13 et 15, boulevard Voltaire.
8 JUIN : 1 POINT DE CHUTE
(3 tués)
131. — Pass. de l'Elvsée=des=Bx=Arts.
9 JUIN : 1 POINT DE CHUTE
(1 tué. — 9 blessés)
132. — Rue de Belleville. ..1 - '
10 JUIN : 2 POINTS DE CHUTE
(3 tués. — 13 blessés)
133. — Cas, Clignancourt (bd Ney).
134. — 5, rue Baudelique.
15 JUILLET : 9 POINTS DE CHUTE
(6 tués. — 9 blessés)
135. — Rue Dupleix.
136. — Quai d'Orsay (bout r. Fédér.).
137. — Rue de Sèvres (sq. Croisic).
138. — 19, rue Tournefort.
139. — Fortifications (entre la porte,
Pantin et can. de l'Ourcq).
140. — 58; rue de Varenne.
141. — 6, r. Luxembourg (lyc. Boss.).
142. — Près pilier Est Tour Eiffel.
143. — Gare St=Lazare (c. du Havre).
16 JUILLET : 4 POINTS DE CHUTE
(3 tués. — 8 blessés)
144. — 50, boulevard de Vaugirard.
145. — Dans la Seine (entre les ponts
de Grenelle et Mirabeau).
146. — 39, rue Raffet.
147. —146, rue de Vaugirard.
5 AOUT : 13 POINTS DE CHUTE
(32 tués. — 61 blessés)
148. — 179, boulev. Saint-Germain.
149. — Esplan. des Invalides (gare).
150. — 44, avenue Marceau.
151. — 214, rue Croix=Nivert.
152. — 50 et 52, rue Bassano.
153. — 46, boulevard des Invalides.
154. — 15, rue du Jura.
155. — 1, rue Darcet.
156. — 87, rue Berger.
157. — 87, avenue de la Muette.
158. — Cour caserne Dupleix.
159. — 353 bis, rue de Vaugirard.
160. — 26, aven. de la Grande-Armée.
(VOIR LA FIN PAGE 6.)
LA DOCUMENTATION SUR LA GUERRE
LA PLUS COMPLETE ET LA PLUS EXACTE
avec TOUS LES NUMÉROS SPÉCIAUX
parus pendant les hostilités
est fournie par la collection d'EXCELSIOR
depuis août 1914. — Quelques-unes peuvent
encore être livrées. — Demander conditions
'~ .. - -- spéciales à "nt>s bureaux.
CHRONIQUE JUDICIAIRE
Le lieutenant Gazier, qui avait terminé
l'instruction concernant ftaymnonid-Louis Pé-
ri cat, Fernand-Désiré Desprès et Jean Ber-
tol'ino, bailleur de: fonds du journal La
Plèbe, dont Desprès, était rédacteur en
chef, l'avait envoyée au gouvernement mi-
litaire en demandant disjonction avec
l'affaire Gu i 1 b c a ux-Ha r tm a n n et conciliant
à un non-lieu.
Le gouvernement militaire a conclu dans
le -iii,êim-e sens. Peri&at reste inculpé d'exci-
tation de militaire à la désobéissance dans
l'affaire de Saint-E'tienne. Bertolino ava.it
été condamné pour infraction à un arrêté
d'expulsion ; sa peine purgée, i-1 a été re-
conduit à la frontière.
I LES VEILLÉES |
| DES CHAUMIÈRES |
= Journal des ,iaun^s Fil/es et de la Famille E
= —corwnenc< nt aujourd'hui =
— la pu: Horion de =
! AU FOND DES BOIS |
= Intéressant et touchant Romain =
=: d ANDRE BRUYÈRE =
— Illustre par IthfrË LhLO.\'G
1 Le Numéro : DIX centimes |
ETn 'Vente "paribiit fa Mercredi et la Samedi. =
1 Les VEILLÉE:S des, CHRUMIÈRES 1
E sont par
E excellence le
E journal du Foyer,
E le journal q i
E fait les del'ces,d
E toute la Maison',
E de l'àifiule à
l'âdolescènte
E On les lit partout,
E et oIns encore
pe t'être âil E
château que dans E
les chaumières. E
mes no donner E
que de l'inedil E
Romans.poesifis, '=
,tiides.canseries E
tout ce qu'elles E
publient inte- E
resse et charme. =
E Les VEILLÉES des CHAUMIÈRES sont la lecture favorite E
E de la vraie famille française dont elles reflètent le E
E goût délicat, les sentiments et les croyances. E 1
E GAUTIER et LANGUEREAU, éditeurs, =
E 55. Quai des Grands-Augustins.. PARIS
<§>iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirimiiiuiiiiiiniii7i(§>
LES ETUDES CHEZ SOI
I L'enseignement par correspondance de
I L'École Universelle
I permet de faire, chez soi, dans le minimum de temps et avec
I le minimum de frais, les études suivantes :
1 Études secondaires complètes. — Études primaires et pri-
! maires supérieure 's. — Préparation aux licences de lettres,
I sciences, droit. — Préparation à toutes les grandes écoles.
— Préparation aux emplois administratifs, etc., etc...
Aucun autre établissement d'enseignement ne peut faire
état d'autant de succès que
L'École Univers e Ue I
I dont les élèves ont été reçus par milliers aux examens et
concours publl*C'S.
L'École Universelle
10, rue Chardin, Paris ( 1 6e), adresse gratuitement, sur
simple -demande,, sa brochure explicative n° 19. |
LES ROBES DU SOIR
L'Opéra reprenant ses jours d'abonnement,
Tes dîners, étant fréquents et les soirées dan-
santes nombreuses, nous allons avoir l'occa-
sion de porter des robes décolletées. Les robes
du .soir sont vraiment celles, qui permettent
taux. couturières de déployer le plus facile-
ment toutes les ressources de leur imae-ina-
Les manches sont très
réduites ou Wexistent
pas,
tion ; elles peuvent
dans une même sai-
son s'inspirer de tous
les styles, ,sans que
cela nous étonne, le
moins du monde. Ac-
tuellement, les robes
d,u soir sont longues
.ou courtes, étroites
.Ol¡ Jarges. Toutes
sont charmantes et
toutes sont à la mode.
11 n'y a '■ peut-être
qu'un caractère qui
leur soit commun,
c'est l'absence de
manches ; les manches sont réduites, ou
n'existent pas...
Il n'est pas rare de voir cette saison une
robe très peu décolletée n'ayant pas de man-
ches du tout ce sont les bras bien plus que
l,zb gorge qu'on découvre... Cette tendance se
retrouve du .reste. sur quelques roibes de
jour, et on voit à l'heure du thé des femmes
et des. jeunes filles ayant des mancherons
qui n'ont pas quinze centimètres de lon-
gueur; il est vrai qu'elles suppléent à l'insuf-
fisance de manches en « habillant » leurs
ibras de nombreux bracelets. Ceux-ci, le plus
souvent des anneaux rigides, cerclent le bras
autant que l'avant-bras...
Si la majorité des corsages sont modéré-
ment échancrés devant, il en est quelques-
uns qui sont ouverts derrière, jusqu'à la
taille. Le dos est absolument nu, les bras
sont nus, la robe est réduite autant qu'elle
peut l'être, elle demande peu d'étoffe, n'a
presque pas de garniture, mais, hélas ! le
. prix, lui, n'est- pas .réduit !...
On recommence à voir quelques traînes:
S. M. la reine des Belges nous a ramené la
robe balayant le tapis ; pas màl de femmes
sont disposées à suivre son exemple... quand
il y aura des voitures, naturellement !... Le
plus souvent, ces traînes accompagnent une
robe courte : c'est un panneau souple, et quel-
quefois même deux panneaux, car la traîne
n'est pas forcément derrière, et elle se tor-
tille parfois en queue de serpent sur les côtés,
H faut avouer que cela rend la marche assez
difficile. Peut-être du reste reverrons-nous
la traîne faisant corps avec la jupe' comme
autrefois, si nous adoptons la jupe frôlant
le dessus du pied, comme en fait Chéruit,
cette saison; mais il'nous faudra évidemment
apprendre de ^nouveau à marcher à petits
pas glissés, ce que nous ne faisions plus
avec nos petites robes courtes, si dégagées
et si pratiques. On nous avait dit au début de
la saico.: que nous reverrions quelques rol,s
à taille plus marquée: au contraire, jamais
tes robes n'ont été aussi droites. Les robes
du soir actuelles ressemblent beaucoup à des
déshabillés avec leur ceinture mollement en-
roulée, et, naturellement, elles y ressemblent
encore plus quand elles n'ont pas de ceinture
du tout. Pour accompagner la robe du soir,
et à plus forte raison avec la robe d'après-
midi, le cothurne est démodé; l'escarpin de
satin avec boucles de jais ou d'argent est le
soulier le plus généralement employé. Avec
les grandes robes très habillées des galas et
des réceptions- d'ambassade, le soulier brodé
et perlé, très 'décolleté et sans barrettes ni
bracelets remplacera l'escarpin uni. —
JEANNE FARMANT
Robe de satin noir. Sur la jupe unie
tombe une longue blouse- retournée CM'
satin noir broché de grosses fleurs d'or
rebrodées de perles d'or. — PREMET.
Bobe de panêclu gris argent. Le devant
de la jupe est garni d'une large bande
brodée d'argent ; la même broderie sa
.. 'retrO?;l;7)e au corsage. ■— LANVIN
Robe de satin écaille blonde sans au-
cune garniture. Le corsage décolleté
carré est uni ; la jupe montre un très
joli' mouvement enroulé. — PAQUIN.
Robe de satin noir découvrant large-
ment le buste. Sur cette robe est glissé
un manteau de tulle noir garni de jais
qui atténue le décolletage. — JENNY.
LES DEMI-CAPES
Beaucoup ,de manteaux cette saison, sans
être de véritables rotondes, affectent un mou-
vement de demi-cape. Les manches sont, à
peine 'visibles et se confondent avec la pèle-
rine ou même sont 'supprimées, les bras
émergeant d'une simple fente. Parfois - aussi
ces manches, quand elles existent réellement.
sont - froncées et se
perdent dans l'am-
plèur du vêtement. Ces
manteaux, sans cein-
ture, étroits du bas
avec - cependant pas
mal d'ampleur dans le
haut, sont vraiment les
vêtements nouveaux
de la saison. Celui-ci
est ' particulièrement
amusant avec son ef-
fet de pèlerine for-
mant manches. Il est
en velours de Haine
d'un j oli, ton rouge
chaudron brodé de
laine dit même ton
rehaussée de quelques
fils d'or. L'or em-
ployé discrètement ici
est fort joli et, sur le
ton chaud de ce tissu,
il -ne tranche pas
trop ; car il faut évi-
ter de se montrer
Manteau chaudron
.. .garni de castor.
chamarrée d'or ou d'argent dans là rue
et dans le jour et réserver pour le soir
et l'intimité les vêtements aux broderies
Jourdes, riches et scintillantes. Un -col
et une large bande de castor ourlant le bas
rendent ce manteau très confortable; la
même fourrure s'aperçoit au bord des man-
ches, donnant 'l'impression que la- pèlerine
est entièrement doublée de fourrure. Les
manteaux fourrés comme des pelisses ne sont
pas rares, cette année, mais il faut être très
mince pour ne pas paraître engoncée avec
ce genre de vêtement toujours un peu épais-
sissant. J'oubliais de vous dire que c'est chez
Andrée, dont je vous ai déjà parlé il y a
quelques jours, que j'ai croqué ce manteau
que j'avais remarqué au Bois un des rares
matins où l'on pouvait s'y risquer sans un.
parapluie, des caoutchoucs et un imper-
méable...
- J. F.
BLOC-NOTES
— Je vous rappelle que la maison Andrée
est 7, rue Montaigne, à deux pas du rond-
point des Champs-Elysées, et qu'elle a des
modèles charmants à des prix abordables.
— Un manchon est souvent bien encom-
brant quand on doit prendre le Métro, et cela,
arrive à beaucoup de femmes, puisque les
taxis sont, hélas! rates. Il est difficile de tenir
son sac, son parapluie, son manchon, et de
relever son manteau pour descendre les mar-
ches ; cousez à l'intérieur de votre manchon
un morceau de ruban de la même teinte que
la doublure et fixez ce ruban à un bracelet
d'écaille que vous glisserez à votre poignet.
Vous n'aurez ainsi plus à vous occuper de
votre manchon, qui restera attaché à votre
bras quand vous aurez besoin de fouiller dans
votre sal; ou de prendre votre billet.
UNE CEINTURE PRATIQUE
Pourquoi hésiter à porter u.ne ceinture si,
votre médecin vous le prescrit, alors q"e votre
santé peut s'en trouver améliorée ? Lorsque la
ceinture est lourde et baleinée, il est évident
qu'elle épaissit et désespère la femme élégante
qui se voit forcée d'en faire
usage. Mais tous les inconvé-
nients qui effraient n'exLLerit
pas avec la. Ceinture-Maillot du
Dr CTarans, puisque, faite d'un
tissu élastique spécial à jours
indéformable, cette ceinture n'a
aucune éDai'aseur ; n'ayant ni
pattes, ni boudes, ni baileinage,
elle ne pèse rien et se porte
même sous le corset. Elle est
très recommandée par le corps
médical pour le rein mobile,
les déplacements d'organes et
les faiblesses résultant d'opéra-
tions, les maladies d'estomac et
d'inte&t.in ; elle réduit l'embonpoint ;sans rú-
gime interne.
La plaquette illustrée sur l'a Ceinture-.M'aiMo,t
du Dl GHrans est envoyée gratuitement sur de-
mande adressée zi .M. C.-A. Claverie, spécialiste
breveté, 234, faubourg Saint-Martin, Paris (10e)
(à l'angle de la rue Lafayet'te : Métro Loui,s-
Bil'anc), H,enseigri,crnents elt conseils tous les
jours, de 9 Il. à 7 Il., par daim es sipéc. pistes et
par corree'ponda.nce. Téléphone : Nord 03-a.
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bre pour lettre personnelle.
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PROGRAMME DES SPECTACLES
LA JOURNÉE :
EN MATINEE
Comédie-Française, 1 h. 30, le Luthier de Cré-
mone, Esthei, ; Opéra-Comique, 1 Il. 30, la Vie de
bohème, les Amoure\ix de C(ilhei,iiie ; Odéon, 1 h. 30,
te Mariage ae Figaro ; Gaîté-Lyrique, 2 li., la Dame
blanche , Triaijon-L.,rique, 2 h. 15, la Vivandière ;
Vaudeville, 2 II.; Variétés 2 li. 30 ; Palais-Royal,
2 h. 30 ; Châtelet, 2 h.; Réjane. 2 li.; Athénée, 2 h.;
Antoine, 2 li. 30 ; Apollo. 2 il. 30 ; Bouffes-Parisiens,
2 h. 30 , Nouvel-Ambigu, 2 h. 30 ; Porte-St-Martin,
2 h.; Renaissance, 2 li. 30 Sarah-Bernhardt, 2 h.;
Gymnase, 2 h 30 ; Scala, 2 li. 30 ; Cadet-Rousselle,
3 h.; Cluny, 2 li. 30 ; Déjazet, 2 li. 30, même spec-
tacle que le soir.
Folies-Bergère, 2 Il. 30 ; Olympia, 2 h. 30 ; Cirque
Médrano, 2 h.; Ca Üno de Paris, 2 h. 30 ; L'Abri, 3 h.;
Gaumont-Palace, 2 li.; Electric, 2 h., même spectacle
nue le soir.
EN SOIREE
Opéra, 7 Il. 30, Samson et Dalila.
Comédie-Française, 8 h. 30, Amoureuse.
Opéra-Comique, 8 h. 15, nTertner.
Odéon, 7 n. 4 5, Cabotins.
Vaudeville, 8 h. 3U, lu Revue de Paris (Sacha. Guitry).
Variétés, S h. 15, Rhodope
Gaîté-Lyrique, 8 h., les Saltimbanques.
Trianon-Lyrique, 8 h. 15, lre (reprise) Mme Boniface.
Palais-Royal, 8 h. 30, le Filon.
Châtelet, 8 li., les Millions de l'oncle Sam.
Reiane, b h. 30, Maiann de danses (Polaire, Yrven).
Athénée, 8 la. 30, le Couché de la mariée (Ro'zenberg'i,
Th Antoine, 8 h. 30, le Traité d'Auteuil.
Apollo, 8 !U, la Veuve joyeuse (J. Marnac, A. Brasseur)
Bouses-Parisiens, 8 h. 15, Plti-Phi.
Nouvel-Ambigu, 8 Il.. la Femme et le Pantin.
Porte-St-Martin, i h., Samson (Lucien Guitry).
Renaissance, 8 h. 15, Chouquelle et son As.
Sarah- Bernhardt, 8 h., l'Aiglon.
Gymnase, 8 Il. 30, la Vérité toute nue.
Capucines (Gut. 5G-.iO), relâche pour répétitions en.
Edouard-VII, 8 Il 80, Daphnis et Chloé.
Scala, 8 n. 15, la Gare régulatrice.
Gd-Guignol, 8 30, le Viol, 1 Homme qui tue la douleur.
Th. Michel, 8 II. 45, le Cochon qui sommeille.
Cadet-Rousselle, 8 h. 30, Et... Vlan, revue.
Th. ctes Arts, 8 h., Monsieur Beulemans à Marseille.
Vieux-Colombiei, rcJ.; clem., la Servante maîtresse,
1 ICrluc ilion manquée.
Cluny 8 n. 30, Où est le chameau ?
DéJazet. 8 a. 30, le, Tarnpon du, Capislon. t
Empire. 8 h. 15, ta 'Mfl.
SPECTACLES DIVERS
Folles-Bergère (Gut. 02-59), 8 h. 30, la revue Zig-Zag.
Olympia (Centr. 44-6S), mat., soir. 20 vod. et attract.
Cirque Médraro, t.;Jes, soirs.-Mat. jeudi, dim. et-fêtes..
Casino de Paris, soir. MtstfngrueU, Chevalier, Dorville.1
Pte qui Chante, 9 h.,'Pie qui' Juse... Balld (revue).: "
Perchoir \J. Bastia), demain, nouveau spectacle.
Chez Jean Péheu (L'Abri), ma.t. 3 il.; soirée 8 h. 30.
CINEMAS
Gaumont, 8 h. 15, Lèvres closes, l'Esclave de Phidias.
Electric, 5, B(I Itai., 2 à 11 n ; te ¡Roman de la-ballerine.
Surtout,
ortez -vous bien
Ultime souhait que les amis s'adressent
au moment de se séparer, formule affectueuse
par quoi se terminent nos missives i ceux qui ■'
ÉmÊÊNous aussi, nous vous dirons ; Surtout, portez-
vous bien ' Gardez-vous de l'anémie, de la
' neurasthénie, de l'épuisement nerveux qu'en- '
traînent après eux les tracas, les fatilues, les
Reconstituez vos forces, revivifiez voIre orga- I
ixlll fllÈ * nisme avec les donnent au sang 1
/ Messe, pureté, vigueur, retrempent les nerfs
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0.40 par boîte;
m f pharmacies et au dépôt, pharmacie toutes P. Barrit,
rue
SUITE DE LA LISTE DES BOMBARDEMENTS
13 AVRIL (jour et nuit) : 6 POINTS
(Ni tués, ni blessés.)
79. — Halle aux Vins (jour).
80. — Place du Combat (jour).
81. — 141, boul. Serrurier (nuit.)
82. — 10, rue Lagrange (nuit).
83. — 15, rue de Lyon (nuit).
84. — Cimet. Père=Lachaise (nuit).
14 AVRIL : 3 POINTS DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés.)
85. — 125, rue de Crimée.
86. — 72, rue Botzaris.
87. — Dans la Seine (au pont Neuf).,
15 AVRIL (nuit) : 3 POINTS DE CH.
(Ni tués, ni blessés.)
88. — 293, rue du Faub.=St=Antoine.
89. — 35, quai de l'Horloge.
90. — Voie ferrée de l'Est (en bor='
dure rue du Département.
16 AVRIL (nuit) : 2 POINTS DE CH.
(17 tués. — 114 blessés.)
91. —f 21, qT de l'Oise (canal Ourcq*)
92. — 2, rue François=Bonin (Usine
1 1 Schneider).
19 A VRIL : 1 POINT DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés.)
93. — 61, rue de Lancry.
21 AVRIL : 2 POINTS DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés)
94. Abattoirs de la Villette.
95. — Gare de la Villette.
25 AVRIL : 4 POINTS DE CHUTE
(1 tué)
96.1— 22, rue Sou*flot.
97. — 108, rue Saint-Maur.
98. —'2, place, du Maroc.
99. —-1 143, rue de Flandre (Raffine-
r " rie Sommier). -!
26 AVRIL : 1 POINT DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés)
100. — 8, rue de Meaux.
27 MAI : 7 POINTS DE CHUTE
(4 tués. — 20 blessés)
101.'1, rue Cabanis (As. Ste-Anne).
102. — Bd Jourdan (Dép. de rem.).
103. — 17, rue d'Alésia. "
104. — Rue Saint=Jacques (face le
lycée Louis=le=Grand).
105. — 5, rue Linné.
106. — 67, rue du Montparnasse.
107. — 19, rue Jacob.
28 MAI : 6 POINTS DE CHUTE
(1 tué. — 2 blessés)
108. — Place St=François=Xavier (de..
vant l'église).
109. — 16, rue Cantagrel.
110. — Tuileries (pr. terr. Orangerie).
111. — 170, quai Jemmapes.
112. — 6, rue Bisson.
113. — Av. J.=Jaurès (marché best.).
29 MAI : 5 POINTS DE CHUTE
(1 tué. — 7 blessés)
114. - 97, rue du Bac.
115. — 40, rue Barbet=de=Jouy.
116. — 313, rue de Vaugirard.
117. — 29, rue de Berri.
118. — 10, rue du Plâtre. -
30 MAI : 4 POINTS DE CHUTE
(13 tués. — 5 blessés)
119.— - 4, passage Mioîlis. 1
120. — Rue de la Pointe=d'Ivry.
121. — 65, avenue de Breteuil.
122. — Derr. l'église de la Madeleine.
31 MAI : 1 POINT DE CHUTE
(Ni tués, ni blessés)
123.] — Bd Macdonald (v. ch. fer Est).
4 JUIN : 4 POINTS DE CHUTE
(4 tués. — 16 blessés)
124. — 247, rue de Crimée.
125. — 79, rue de la Chapelle. ..
126. — 4, rue Demarquay.
127.. —; 18, rue Aumaire.
7 JUIN : 3 POINTS DE CHUTE
(1 tué. — 4 blessés)
128. — 1, rue de Courty.
129. — 102, rue de l'Université.
130. — 13 et 15, boulevard Voltaire.
8 JUIN : 1 POINT DE CHUTE
(3 tués)
131. — Pass. de l'Elvsée=des=Bx=Arts.
9 JUIN : 1 POINT DE CHUTE
(1 tué. — 9 blessés)
132. — Rue de Belleville. ..1 - '
10 JUIN : 2 POINTS DE CHUTE
(3 tués. — 13 blessés)
133. — Cas, Clignancourt (bd Ney).
134. — 5, rue Baudelique.
15 JUILLET : 9 POINTS DE CHUTE
(6 tués. — 9 blessés)
135. — Rue Dupleix.
136. — Quai d'Orsay (bout r. Fédér.).
137. — Rue de Sèvres (sq. Croisic).
138. — 19, rue Tournefort.
139. — Fortifications (entre la porte,
Pantin et can. de l'Ourcq).
140. — 58; rue de Varenne.
141. — 6, r. Luxembourg (lyc. Boss.).
142. — Près pilier Est Tour Eiffel.
143. — Gare St=Lazare (c. du Havre).
16 JUILLET : 4 POINTS DE CHUTE
(3 tués. — 8 blessés)
144. — 50, boulevard de Vaugirard.
145. — Dans la Seine (entre les ponts
de Grenelle et Mirabeau).
146. — 39, rue Raffet.
147. —146, rue de Vaugirard.
5 AOUT : 13 POINTS DE CHUTE
(32 tués. — 61 blessés)
148. — 179, boulev. Saint-Germain.
149. — Esplan. des Invalides (gare).
150. — 44, avenue Marceau.
151. — 214, rue Croix=Nivert.
152. — 50 et 52, rue Bassano.
153. — 46, boulevard des Invalides.
154. — 15, rue du Jura.
155. — 1, rue Darcet.
156. — 87, rue Berger.
157. — 87, avenue de la Muette.
158. — Cour caserne Dupleix.
159. — 353 bis, rue de Vaugirard.
160. — 26, aven. de la Grande-Armée.
(VOIR LA FIN PAGE 6.)
LA DOCUMENTATION SUR LA GUERRE
LA PLUS COMPLETE ET LA PLUS EXACTE
avec TOUS LES NUMÉROS SPÉCIAUX
parus pendant les hostilités
est fournie par la collection d'EXCELSIOR
depuis août 1914. — Quelques-unes peuvent
encore être livrées. — Demander conditions
'~ .. - -- spéciales à "nt>s bureaux.
CHRONIQUE JUDICIAIRE
Le lieutenant Gazier, qui avait terminé
l'instruction concernant ftaymnonid-Louis Pé-
ri cat, Fernand-Désiré Desprès et Jean Ber-
tol'ino, bailleur de: fonds du journal La
Plèbe, dont Desprès, était rédacteur en
chef, l'avait envoyée au gouvernement mi-
litaire en demandant disjonction avec
l'affaire Gu i 1 b c a ux-Ha r tm a n n et conciliant
à un non-lieu.
Le gouvernement militaire a conclu dans
le -iii,êim-e sens. Peri&at reste inculpé d'exci-
tation de militaire à la désobéissance dans
l'affaire de Saint-E'tienne. Bertolino ava.it
été condamné pour infraction à un arrêté
d'expulsion ; sa peine purgée, i-1 a été re-
conduit à la frontière.
I LES VEILLÉES |
| DES CHAUMIÈRES |
= Journal des ,iaun^s Fil/es et de la Famille E
= —corwnenc< nt aujourd'hui =
— la pu: Horion de =
! AU FOND DES BOIS |
= Intéressant et touchant Romain =
=: d ANDRE BRUYÈRE =
— Illustre par IthfrË LhLO.\'G
1 Le Numéro : DIX centimes |
ETn 'Vente "paribiit fa Mercredi et la Samedi. =
1 Les VEILLÉE:S des, CHRUMIÈRES 1
E sont par
E excellence le
E journal du Foyer,
E le journal q i
E fait les del'ces,d
E toute la Maison',
E de l'àifiule à
l'âdolescènte
E On les lit partout,
E et oIns encore
pe t'être âil E
château que dans E
les chaumières. E
mes no donner E
que de l'inedil E
Romans.poesifis, '=
,tiides.canseries E
tout ce qu'elles E
publient inte- E
resse et charme. =
E Les VEILLÉES des CHAUMIÈRES sont la lecture favorite E
E de la vraie famille française dont elles reflètent le E
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