Titre : Figaro : journal non politique
Éditeur : Figaro (Paris)
Date d'édition : 1937-12-28
Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication
Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 28 décembre 1937 28 décembre 1937
Description : 1937/12/28 (Numéro 362). 1937/12/28 (Numéro 362).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG69 Collection numérique : BIPFPIG69
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Description : Collection numérique : France-Brésil Collection numérique : France-Brésil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k409717f
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
LE FIGARO MARDI 28 DECEMBRE 1937
PARLEZ-MOI D'AMOUR. 11 '1
11-i. JI-i 1~ 'i
DISQUE
UNE troupe familiale, amicale et
joyeuse venait de réveillon-
ner: De cette fête gastronomi-
que, les vieux, les mûrs, par excep-
tion, n'avaient pas été bannis, et des
soupeurs de tous les âges avaient
fait honneur aux victuailles et aux
beuveries rituelles. Dansons dirent
les jeunes. Et les assiettes noires et
tournantes des phonographes succé-
dant aux claires porcelaines faites
pour servir les gourmands, se mirent
à détailler des airs faciles, tour à
tour syncopés ou savoureusement
entraînants. Les « vieux se réu-
nirent autour des tables vertes et
des cartes. Les uns se consacrèrent
au bridge avec une attention têtue
et calculatrice, les autres, plus fri-
voles, cherchèrent dans les combi-
naisons des « patiences et des
€ réussites » ainsi nommées par-
ce qu'elles sont toujours manquées
certains présages pour l'année
nouvelle.
Elle et Lui, en face l'un de l'au-
tre mêlaient à mains distraites les
jeux étalés. Cette fois-ci, com-
me toujours, le coeur vous a man-
qué. dit-il d'une voix basse et
rancunière. Elle, le regarda, de ses
yeux restés malicieux, et agitant
ses manches de dentelles noires, de
ses doigts vifs reprit les cartes et
les battit longuement. Il est un
peu tard pour refaire les jeux, dit-
elle. Mais, non pour se plaindre
d'avoir perdu la partie, reprit-il
avec un dépit complimenteur. Sa-
vez-vous que ce soir, vous êtes en-
core joliç, malgré votre âge, que
je sais, vos mèches argentées et vos
faux airs de maturité affectée et de
demi-vieille déguisée ? Je vous re-
vois, sous ces masques, telle que
vous étiez jadis, quand je poursui-
vais en votre personne toutes les
promesses d'amour et de bonheur.
Elle l'interrompit avec un rire
Oh .non mon vieil ami, ne
ressassons pas ces malentendus.
Ne redevenez pas aussi ennuyeux
que quand vous étiez jeune Je
préfère entamer, si vous voulez,
un enragé bézigue, ce jeu de con-
cierges, comme disait, vous en sou-
venez-vous,, ce bon Un Tel. Nous
sommes le portier et la portière.
La maison que nous surveillons,
hélas est la demeure du passé.
N'y laissons pas se réveiller les
vieux rêves. ils n'ont plus droit
au tapage nocturne. Et,
d'une main négligente, levant haut
les cartes serrées, elle les effeuilla,
une à une, sur le petit tapis vert.
Cependant, les disques succédaient
aux disques et, dans l'air alourdi
de la fumée des cigarettes, des par-
fums de femmes et de fleurs, après
COURRIER
DES LETTRES
Une vue générale
sur l'ordre de Cluny
Le nom de Cluny domine toute l'his-
toire du moyen âge. Du x" au xni" siè-
«le principalement, le monachisme clu-
nisien occupe non seulement en France,
mais en Europe, une place diplomatique,
économique, sociale et religieuse de
premier plan qui eut des conséquences
même littéraires puisque c'est aux
nombreux pèlerinages qu'ils organisè-
rent vers Saint-Jacques de Compostelle
que nous devons une grande partie de
nos chansons de (jessete.
Pendant neuf siecles d'autre part, le
nom de Cluny a été pris « tantôt com-
me symbole de la conception la plus
pure et la plus pratique du monachisme
bénédictin, tantôt pour le prototype ds
la dégénérescence produite dans la vie
religieuse par une déformation du vé-
ritable esprit de la règle de saint Bc-
noit ».
Malgré tout cela, si invraisemblable
que ce soit, il ne s'est pas encore trouvé
un historien pour nous donner une his-
toire générale complète et critique de
l'ordre de Cluny. Le travail est, je le
sais, considérable, mais il y a là de quoi
tenter un jeune érudit ayant devant lui
de nombreuses années à y consacrer. La
tâche lui sera d'ailleurs beaucoup plus
aisée maintenant que nous avons ce
qui manquait également le merveil-
leux tableau d'ensemble ,détaillé que le
marquis de Valous vient de publier sous'
le titre Le Monachisme clunisien des
origines au xv. siècle. Vie intérieure des
monastères et organisation de l'ordre,
deux volumees que les moines bénédic-
tins de l'abbaye de Saint-Martin de
Ligttgé ont publié dans teur collection
« Archives de la France monastique »
et dont l'Académie des Inscriptions a
reconnu toute la valeur en lui décer-
nant ces jours-ci le premier prix Go-
bert.
Guy de Valous, qui a consacré quinze
ans à dépouiller toutes les sources, à se
pencher d'une manière critique sur tous
les textes, à vérifier toutes les assertions
expose clairement et d'une manière ex-
tremement vivante, ce qu'étaient la rè-
gle et la vie des moines clunisiens. Il
•Xplique ce qui a donné à ce grand ins-
titut monastique médiéval la place et
l'éclat qui furent les siens pendant des
iiècles.
A la devanture du libraire
Sur les événements d'Espagne, Le
général Franco (Ed. de France), par Joa-
quin Arraras, traduction de J. Sabatier
èt L. Blanco, et En Espagne rouge (Ed.
eu Cerf), par Jean Raynaud.
Les journalistes se prononcent
contre l'affiliation à la C. G. T.
Le syndicat national des journalistes
avait institué parmi ses membres un re-
ferendum sur l'affiliation à la C. ^> T.
Le dépouillement du scrutin a eu lieu,
hier matin. Il a donné les résultats sui-
vants contre l'affiliation, 845 voix ·
pour l'affiliation, 645 bulletins nuls, .12.
On a enregistré de nombreuses absten-
tfeps.
des tangos et des,rumbas, une val-
se naquit, grandit, déroula ses
écharpes mélodieuses. La recon-
naissez-vous ? interrogea-t-il. Nous
l'avons autrefois si tendrement
dansée Cet air caressant et com-
me sucré me revient souvent en mé-
moire et vous apporte sur ses on-
des. Pourquoi penser tristement
à ce qui n'a pas été ? reprit-elle.
Les sentiments inachevés, les pas-
sions qui auraient pu être ont une
douceur que ne gardent pas tou-
jours les amours accomplies. et
défuntes. De toute façon, tout cela,
aujourd'hui, serait fini. Nous au-
rions peut-être été malheureux l'un
par l'autre. Sous mes apparences
légères je cache un sens rigoureux
de la tendresse, un désir d'absolu.
que mon expérience sait mainte-
nant bien vain et bien inutile en
toutes choses humaines; mais qui
a dû être gênant pour ceux
qui m'ont aimée, et que, vous non
plus, n'auriez peut-être pas sup-
porté. Vous auriez- découvert en
moi une femme cachée, très diffé-
rente de celle que vous imaginiez
et que, à l'heure actuelle, vous ne
regretteriez sans doute pas. Or,
cher ami, à nos âges, le regret est
un trésor, tout autant qu'un plus ar-
dent souvenir. Que vous plaidez
une bien mauvaise cause! Et il
écrasa dans le cendrier la cigarette
inachevée. Au moins, cette
valse, cette valse toute imprégnée
d'un vieil espoir, voulez-vous que
nous la dansions, encore une fois ?
Ils se levèrent et le remâcheur
de griefs périmés et la vieille dame
encore élégante et ironique s'enla- j
cèrent et se mirent à tournoyer len-
tement aux applaudissements gen- j
timent railleurs des jeunes. Ils val-
saient ils retrouvaient une grâce
ancienne, un souple instinct d'un
rythme aboli qui scandait mysté-
rieusement leur vertige suranné.
Puis, le disque dont la magie sem-
blait ressusciter les années mortes,
se ralentit, grinça, s'éteignit, et la
vieille histoire, pareille à tant
d'histoires, retomba dans le passé.
Quel est donc le titre de cette
valse ? Le Premier Baiser, n'est-
ce pas ? Mais non, mon oncle,
tu la confonds avec une autre
celle-là, c'est Ne parlons plus
d'amour.
Gérard d'Houville.'
Par SËRARD D'HOUVILLE
AUJOURD'HUI
Réception. 16 h. 30 Mme Le Cor-
bellier. ̃
Deuils. 9 heures Obsèques du vi-
comte de Rianeey (Saint- Honoré d'Eylau,
cliapelJe de la Selntc-viergc).
9 ht lires Obsèques de M. Guillaume
Delapaline (Notre-Dame d'Auteuil).
11 h. 15: Obsèques de M. Emile
Bayard (Notre-Dame des Champs).
miiiiitiiiiiiiiimiiiiiiiiiiitiiiitiiiiiiiiiimiiiiifiiiiiiiiifiliiiiiimi
COURS
On annonce les prochaines fian-
çailles de S. A. I. la Grande-Duchesse
Kira dé Russie, fille de S. A. I. le Grand-
Duc Cyrille, chef de la Maison impériale
de Russie, et de feu la Grande-Duchesse
Victoria, née Princesse de Saxe-Co-
bourg-Gotha, avec S. A. I. et R. le Prince
Louis-Ferdinand de Prusse, second fils
du Kronprinz et de la Kronprinzessin,
née Princesse Cécile de Mecklembourg-
Schwerin.
La fiancée est âgée de vingt-huit ans
et le Prince Louis-Ferdinand av fêté sa
trentième année le mois dernier.
S. A. R. le Prince Félix de Bour-
bon-Parme et de Luxembourg, venant de
Londres, est arrivé à Luxembourg.
A L'ELYSEE
Le Président de la République a
reçu hier M. Le Beau, gouverneur gé-
néral de l'Algérie M. Bodard, ministre
de France à Téhéran le général d'Ol-
lone.
DANS LE MONDE
Mme Félix Legueu recevra tous les
mercredis de janvier, à seize heures
trente. v
Le baron et la baronne Carton de
Wiart ont offert un dîner en l'honneur
de S. Exc. M. Bargeton, le nouvel ambas-
sadeur de France à Bruxelles, et de Mme
Bargeton. Les autres convives étaient
S. Exe. le ministre d'Argentine, Mme et
Mlle Quintana; le grand maréchal de la Cour
et comtesse Cornet de Ways-Ruart, le mi-
nistre d'Etat et la comtesse Lippens, comte et'
comtesse de Liedekerke, comte de Baillet-
Latour, comte et comtesse A. d'Ansembourg,
Mlles Lily de Liedekerke et R.-V. Carton de
Wiart, vicomte G. du Parc, baron Allard.
Le baron et la baronne Carton de
Wiart ont donné deux autres dîners aux-
quels assistaient notamment
Princesse Hélène de Ligne, comtesse J. et
Mite d'Andigné, comtesse R. et Mlle de Lie-
dekerke, vicomtesse et Mlle Daviguon, Mme
et Mlle Quintana, baronne et Mlle d'Hoogh-
vorst, vicomte et vicomtesse du Parc, Mlles
Kragg, Jaye Kurusu, Lily de Liedekerke,
Marthe de Villers, E. de Marnix de Sainte-
Aldcgonde, Th. de Villers, A. de Hemricourt
dé Grunne, E. papeians de Morchoven, Snoy
d'Oppuers, D. et I. Houtart, B. t'Kint de
Roodenbekc, E. de Woelmont, M. del Marmol,
M.-E. Terlinden, Gaëtane d'Oultremont,
M. d'Alcantara, Nadine de Coninck de Merc-
kem, Nadine Descamps, Anne de Montpellier
de Vedrin, M.-C. et A. Davignon, Bernadette
del Marmol, R.-V. Carton de Wiart; prince
A.-E. de Ligne, princes X. et A. de Merode,
vicomte H. de Villers de Waroux, baron
Lundeh, baron de Vinck de Deux Orp, comtes
Ed. et Gérard de Liedekerke, barons J. et
E. de Selys Longchamps, baron J. de Traux
de Wardin, M. Ch Papeians de Morchoven,
comte H. de Briey, MM. Michel et Thomas
de Bossirre, J. van Wassenhove, comte Th.
de Beauffort, M. F.-X. Simonis, comte A. de
Ribaucor.rt, etc.
BIENFAISANCE
Le vestiaire de l'Assistance privée
à la classe moyenne a, été si rapidement
vidé par les demandes des 1.052 familles
aidées qu'il est indispensable de faire
un appel pressant à la générosité de tous
pour aider à le remplir. La classe
moyenne malheureuse n'a plus l'usage
des habits, redingotes, hauts de; forme
par contre, les vêtements, chauds d'hiver
Le maharadjah de Kapurthala vient de célébrer son jubilé de diamant. A cette occasion, de grandes fêtes ont
été données et voici le groupe des éléphants du cortège princier.
LES ECHOS
La magistrature et les sports
d'hiver.
Les magistrats jouissaient d'un
petit congé d'une dizaine de jours
qu'ils prenaient au moment des fê-
tes de la Pentecôte.
Ils avaient l'habitude d'aller pas-
ser ces loisirs à la mer ou à la cam-
pagne. Beaucoup d'entre eux y pos-
sèdent des installations familiales.
Mais un ministre vint à la Justice,
qui est aussi député des Vosges et, à
ce titre, se montre un propagandiste
acharné des sports d'hiver.
On ne fait de luge ni de ski à la j
Pentecôte. Le Garde des Sceaux sup-
prima les loisirs de printemps et les
remplaça par un bon congé à pren-
dre en hiver, quand il y a de la nei-
ge au versant des montagnes.
La plupart des magistrats sont ré-
fractaires aux exercices violents. Et
tout en regrettant leurs vacances des
beaux jours, ils ne savent actuelle-
ment quoi faire du temps qu'ils ont à
perdre..
La France au travail.
Paris devait connaître, en mai
1936, un grand défilé de « la France
au travail ». Les chars étaient prêts,
les tribunes construites. Mais les pre-
mières grèves s'opposèrent au défilé,
et même à la destruction des tribu-!
nes, lesquelles restèrent pendant un
LE CARNET TS>XJ « FIGAM0)»
pour hommes, femmes et enfants sont
bien nécessaires.
L'appel de cette œuvre a toujours été
entendu avec tant de spontanéité qu'on
espère qu'il le sera cette fois encore.
La réception des dons vestimentaires
se fait tous les matins, de neuf heures
à midi, au secrétariat général, 14, square
de l'Alboni compte chèque postal
Paris 1535-25.
Une intéressante réunion eut lieu
hier, dans les salons du Figaro, où Mme
Luven Danil, présidente de la S. S. B. M.
de Lille, avait organisé une exposition
rétrospective de poupées semblable à
celle qui, par ses soins, avait eu lieu à
Lille en 1936.
De ravissantes poupées de cire, sculp-
tées par M. Marcel-Varley et habillées
à la perfection par les dames de Lille,
évoluent dans des stands peints et déco-
rés évoquant des scènes anciennes, re-
production de tableaux de maîtres.
Dans une allocution pleine d'esprit et
de charme, Mlle Hélène Vacaresco dé-
buta en ces termes
« Les poupées, qui sont les véritables
ambassadrices de la nation, rappellent
par leurs costumes divers que les peu-
ples, ne fût-ce que par curiosité, de-
vraient se mieux connaître. »
L'éminente conférencière ajouta com-
bien il lui était agréable de rendre, une
fois de plus, un « hommage àJa Croix-
Rouge, institution sublime représentée
par sa filiale lilloise dans les salons du
Figaro ».
Mlle Anne-Marie Redard, profes-
seur au collège américain de Céligny
(Suisse), fera, le jeudi 30 décembre, à
vingt heures quarante-cinq, une causerie
sur « Ronsard selon les traditions de
l'époque ». Cette conférence, placée sous
le patronage de l'Association polytech-
nique et que présidera notre confrère
M. Maurice Muret, membre de l'Institut,
aura lieu dans la salle des fêtes de la
mairie de la rue Drouot, Les poèmes de
Ronsard, récités par Mlle Anne-Marie
Redard, seront précédés d'un air ancien
'sur la viole d'amour, remise en honneur
par la conférencière.
CERCLES
Le Comité France-Belgique-Luxem-
bourg donnera son prochain dîner le
samedi 29 janvier, en l'honneur de
S. Exc. M. Bargeton, ambassadeur de
de France à Bruxelles. Cette manifesta-
tion sera présidée par M. Paul-Emik
Janson, premier ministre.
De nombreuses personnalités fran-
çaises, sous la conduite de M. Lucien
Hubert, sénateur des Ardennes, ancien
garde des sceaux, sont attendues, ainsi
qu'une délégation de la section luxem-
bourgeoise.
Au Nouveau Cercle, hier lundi
27 décembre, ont été admis membres
permanents
Le général Casanave, commandeur de la
Légion d'honneur, croix de guerre, présenté
par le général Détroyat et le colonel de
Latour-Dejean M. André Rich Delort de
Gléon, officier de la Légion d'honneur, croix
de guerre, présenté par le général Blavier
et le général Détroyat M. Maurice Levert,
présenté par le baron de Langlade et
M. J. Teilhard de Chardin.
NOUVELLES CYNEGETIQUES
Chasse en battues, dernièrement,
au château de Cambron-Casteau, en Bel-
gique, chez le -comte et la comtesse du
Val de Beaulieu. Parmi les invités
Baron de Bogaerde de 'ferbrugge, Mrs
Loebl, M. et Mme H. van Pottelsberghe de
La Potterie, M. et Mme A. de La Croix
d'Ogiiuont, M. et Mme R. de Cambry de Bau-
oimont, M. J. de Cambry d. Baudimont,
B=t<6~~0 -~CTHmi !TES
LES FETES DE KAPURTHALA
mois, bien qu'étant devenues sans 1
objet.
En mai 1937 on tenta, de nouveau,
de sortir les chars qui commençaient
à se disloquer. Mais on n'était pas
encore bien assuré de l'actualité de
ce thème du travail. Le défilé fut
encore remis.
Aussi, le Comité des fêtes de Paris
a-t-il pris, pour le printemps pro-I
chain, une décision qui ne laisse
plus de place à l'imprévu. Le cortège
aura lieu tel qu'il avait été prévu,
avec les mêmes chars, d'ailleurs fort
beaux, les mêmes figurants, les mê-
mes fanfares. Seulement cet ensem-
ble sera baptisé Défilé de la lumiè-
re. Seule une grève des électriciens
serait à craindre.
Trois atouts.
Des produits de premier choix,
Une expérience de plus d'un siècle,
Une technique et une usine modernes
permettent à F. MARQUIS de garan-
tir la qualité inégalable des chocolats
qui ont consacré sa réputation mon-
diale.
59, passage des Panoramas (Gut.11-00)
39, Bd des Capucines (Opér. 60-06).
4, Pl. Victor-Hugo. (Pas. 78-9.7)
Qui n'a pas sa paire de skis ?
Avant de porter les amateurs de
sports d'hiver sur les pistes neigeu-'
M. et Mme J. de La Sema, M. Beauduin,
comte L. de Borchgiave d'Altena.
Au tableau deux cent vingt-cinq
pièces.
NAISSANCES
Le docteur et Mme Jean Meyniard
sont heureux d'annoncer la naissance de
leur fils Philippe. 1" décembre.
M. Pierre Girardin et madame, née
Colette Chancel, sont heureux de faire
part de la naissance de leur fils Jean-
Michel.
FIANÇAILLES
Nous apprenons les fiançailles de
Mlle Anne de Roissy avec M. Maurice
Gerin.
MARIAGES •̃-̃
Dernièrement, en l'église Saint-
Joseph, à Angers, était célébré le ma-
riage de Mlle Maryvonne Morillon avec
.A~
Mlle M. Morillon.
(Studio Martin-Lorelle.)
le lieutenant Hubert de Coux, du 1" ré-
giment de hussards.
Les témoins étaient, pour la mariée
Mme Larrère, sa tante, et M. Hervé du
Bois, son beau-frère pour le marié
le colonel Rabany, commandant le 1" ré-
giment de hussards, et le lieutenant de
Coux, du 11° régiment de cuirassiers.
S. Em. le cardinal Verdier, arche-
vêque de Paris, a béni, en l'église Saint-
François-Xavier, le mariage de Mlle Ge-
neviève Charpentier, fille de M. Eugène
Mlle- Geneviève Charpentier.
'̃̃ (Studio de Parts.)
Charpentier, président du conseil parois-
sial et conseiller municipal de Dry, dé-
cédé, et de madame, née Mancel, avec
M. Kamil Abdulahad, M.A. (Oxford), fils
de M. Yousif Abdulahad, -membre du
Parlement d'Irak, décédé, et de madame,
née Elisa Korbeis Tessi.
Les témoins de la mariée étaient
Mme Louis Charpentier, sa tante, et If
ses, les skis ont envahi Paris. Les éta-
lages en sont pleins. On en voit dans
les taxis, sur les plate-formes des au-
tobus qui vont vers les gares. Les skis
sont partout.
Il n'y a pourtant pas longtemps
que ces instruments ont été révélés
aux Français. Regnard y avait fait
allusion dans son Voyage en Lapo-
nie. Balzac les décrivit dans Sera-
phita. L'armée des Alpes les utilisa
à partir de 1901, mais il n'y a guère
que trente ans que l'on a pu en ache-
ter une paire.
Les skis sont d'origine asiatique
et ont été introduits en Europe par
les immigrations mogales. Hérodote,
dans son Histoire de la Scythie, parle
des « hommes aux pieds de chèvre »
qui étaient vraisemblablement des
Finlandais chaussés de skis an de
raquettes. Mais ils ne servaient alors
qu'à se soutenir sur la neige. Ce sont
lés Suédois qui ont fait de l'usage du
ski un sport de vitesse.
Triomphe du goût français.
Vous aurez exacte idée de ce que
le goût français réalise aujourd'hui,
par les créations, pour cadeaux
d'étrennes, de La Marquise de Sévi-
.qné, 11, boulevard de la Madeleine.
Le Masque de Fer.
chanoine Bélier, son cousin ceux du
marié Mme Villedieu et M. Jean Ville-
dieu, ingénieur des Arts et Manufactures.
La jeune mariée était conduite à
l'autel par son cousin, M. Marcel Char-
pentier.
DEUILS
S. Exc. M.Wladislas Skrzynski, am-
bassadeur de Pologne près le Saint-
Siège, a succombé subitement dimanche
après-midi, alors qu'il se trouvait, en
compagnie de sa femme, en automobile,
à une trentaine de kilomètres de Rome.
Le Souverain Pontife a chargé S. Em.
le cardinal Pacelli, secrétaire d'Etat, de
présenter ses condoléances à Mme W.
Skrzynski et au gouvernement polonais.
M. Wladislas Skrzynski était âgé de
soixante-quatre ans il fut sous-secré-
taire d'Etat aux affaires étrangères en
1919 ministre à Madrid de 1919 à
1921, et il signa le Concordat entre la
Pologne et le Saint-Siège en 1925.
On annonce la mort, survenue hier
à Londres, des suites d'une opération
chirurgicale, de.la duchesse Violet de
Rutland, belle-mère de M. Duff-Cooper,
premier lord de l'Amirauté britannique.
La défunte, artiste peintre bien con-
nue, exposa souvent ses œuvres en
France.
Nous apprenons la mort, à l'âge
de quatre-vingts ans, de M. de Saint-
Etienne, directeur honoraire de l'Eglise
alsacienne.
M. Louis Marin, commissaire gé-
néral de la marine du cadre de réserve,
officier de la Légion d'honneur, vient
de mourir à Paris, à l'âge de soixante-
deux ans.
On annonce de New-York la mort
de M. Newton D. Baker, qui fut secré-
taire à la guerre de 1916 à 1921, sous
le président Wilson, décédé à Cleveland
(Ohio), à l'âge de soixante-six ans.
Nous apprenons la mort de M.
Eugène Fyot, vice-président de l'Acadé-
mie des arts, sciences et belles-lettres
de Dijon, auteur d'ouvrages et études
d'histoire et d'archéologie, lauréat du
prix Montyon.
On annonce de Padoue la mort du
général Lorenzo Fineschi, lieutenant-
général de milice.
Hier ont été célébrées en l'église
du Saint-Esprit, 5, rue Roquépine, les
obsèques de Mme Edouard Patry.
Le service a été célébré à l'église et
au cimetière par le pasteur E. Schlœ-
sing.
Le deuil était conduit par le docteur
André Patry, fils de la défunte; M. Mau-
rice Achener, son gendre M. Jean Le
Royer, M. Gilbert Patry, M. Pierre Ache-
ner, M. Alain Patry, M. Claude Achener
et M. Robert Huchet, ses petits-fils.
Du côté des dames, par Mme Achener,
sa fille Mme Raoul Patry et Mme An-
dré Patry, ses belles-filles Mme Robert
Huchet, Mlle Rosine Achener, ses pe-
tites-filles Mlle Paravicini, Mme Gun-
delach et Mme Rey, ses cousines.
L'inhumation a eu lieu au cimetière
Montmartre.
On nous prie d'annoncer la mort
de M. Julien Barois, inspecteur général
des ponts et chaussées en retraite,
membre et ancien président de l'Aca-
démie d'agriculture et membre de l'Aca-
démie des sciences coloniales, officier
de la Légion d'honneur, pieusement dé-
cédé à Paris le 27 décembre, dans sa
quatre-vingt-neuvième année.
Les obsèques auront lieu demain mer-
LES ROBES DE [«MADAME CAPET,» l'
L'émouvante et vivante fresque, qui
retrace avec tant de doigté les heurs et
malheurs de la trop belle Marie-Antoi-
nette, reine de France, nous a valu d'ad-
mirer les plus jolies robes du monde.
Ces robes, étonnamment actuelles, en
dépit de leurs amples jupes et de leurs
paniers opulents, nous prouvent auec
éclat le charme des tissus vékinis, ies
brocatelles dorées, des satins aux te-'
flets liquides appelant dans leurs plis
ombreux la présence d'un carlin frisé
et le murmure badin d'un propos ga-
lant f
Le déshabillé froufroutant, orné de
chutes de dentelles avec lequel « Antoi-
ne », nom intime de la reine, reçoit son
frère incognito, pourrait sans anachro-
nisme douloureux, parer les heures de
A CHAQUE DOIGT SA BAGUE 7
Les mains ont leur personnalité, et,
les doigts, suivant leur conformation,
semblent affinés par le port de certains
bijoux alors que d'autres, au contraire,
les font paraître plus épais. Les pier-
res, elles-mêmes, prennent un éclat plus
ou moins intense suivant la coloration
de l'épiderme, et la finesse de son grain.
Clerc, 4, place de l'Opéra, l'a bien com-
pris et c'est pourquoi il est possible de
trouver chez lui, pour chaque doigt, sa
bague. Ce bijoutier en possède un choix
remarquable pierres uniques, montées
à griffes, qui affinent la main la plus
lourde; leur beauté, qu'elles l'emprun-
tent au diamant, à l'émeraude, au sa-
phir ou au rubis, permet de les porter
pour les cérémonies les plus fastueuses
comme les plus intimes; pierres plus
petites, mais d'une pureté parfaite et
d'une couleur splendide, aux montures
ajourées bien équilibrées qui vont à
toutes les mains; pierres encastrées dans
une chevalière de platine qui semblent
NOTE SUR MON BLOC
3 bonnes idées.
Une belle parure de lingerie, un
coffret de bas Mistigri (exclusivi-
té), quelques napperons de dentelle,
voilà, entre mille autres, trois char-
mantes idées de cadeaux de qualité.
Vous serez sûrs de faire plaisir en
les choisissant. A La Ville du Puy,
36, rue Tronchet (angle rue Au-
ber). Toujours hors de pair. Jamais
hors de prix.
Nuit de Longchamp.
Parfum de grande race, évocateur
de la magnifique soirée où se ren-
contrent les plus jolies femmes de
Paris. Le flacon 65 francs.
Lubin, parfumeur, 11, rue Royale.
LES avis concernant les naissances,
/iançaildes, mariages (avec ou sana
photographie), deuils, etc., sont reçus i
a) 14, Rond-Point des Champs-Ely-
sées (Elys. 98-31 à 98-38).
b) A l'Office spécial de publicité, 29,
Boulevard des Italiens. Téléphone »
Richelieu 69-31.
credi 29 décembre, à onze heures, en
l'église Saint-Pierre de Chaillot. Ni
fleurs ni couronnes. De la part de M.
Armand Barois, ministre plénipoten-
tiaire de France au Venezuela, son fils,
et de Mme Armand Barois, de Mme
Pierre Carlier, sa fille, et du comte Bo-
selli, son gendre.
Nous apprenons la mort de Mme
Le Quen d'Entremeuse, née Joséphine
Le Cour Grandmaison. décédée à Mal-
ville (Loire-Inférieure).
L'inhumation a eu lieu à Nantes le
27 décembre 1937.
On nous prie d'annoncer la mort
de M. Fernand Gallot, industriel, pieu-
sement décédé en son domicile à Paris,
77 bis, rue de Prony. De la part de Mme
Fernand Gallot, née Bastouil, de M. et
Mme Fernand Bastouil, de M. et Mme
Marcel Gallot, de M. et Mme Augustin
Montariol et leur fille, de M. et Mme
Frédéric Bertrand et leurs enfants. Les
obsèques ont été célébrées hier 27 dé-
cembre, dans la plus stricte intimité.
Le présent avis tient lieu de faire part.
Nous apprenons la mort de Mme
Miot, née Karth, veuve du docteur Aris-
tide Miot.
On nous prie d'annoncer la mort
de M. Charles Paillet, sculpteur ani-
malier, membre des Artistes français.
On annonce la mort, survenue à
Paris, de Mme Andrée Alvin-Nekola,
violoniste.
Le service a eu lieu dans la plus
stricte intimité.
Dans l'impossibilité de répondre
aux marques émouvantes de sympathie
qui lui ont été témoignées, le professeur
Pierre Abrami prie to.us ceux qui les
lui ont adressées de trouver ici l'ex-
pression de sa douloureuse gratitude.
On annonce la mort
De Mme Maurice Seegmann, née Natalie
Levinger; de M. Claude Linoissier, à Paris;
de M. Julien Jaudel, à Paris de M. Fernand
Ulmann, à Paris.
PETIT CARNET
Appareillons pour 1938.
Voguez mes vœux vers une année
nouvelle «L'Embarquement pour Lu-
tèce » est une des plus admirées parmi
les créations artistiques et élégantes de
La Marquise de Sévigné,
11, boulevard de la Madeleine.
Les véritables gourmets s'adressent à
Mongelard, 44, rue d'Auteuil. Ils y trou-
vent une cuisine raffinée et une pâtis-
serie fine qui feront le régal de leurs
amis. 44, rue d'Auteuil (Jas. 14-31).
Livraison à domicile.
Les meilleurs bonbons et chocolats
se trouvent chez «Rebattet» qui vous
offre exceptionnellement ses Marrons
glacés exquis à 34 francs le demi-kilog.
Puisque le Café et le Thé
vous sont interdits,
prenez donc à leur place un grand pro-
duit naturel qui a fait ses preuves de-
puis plusieurs siècles en Amérique du
Sud, le Maté Pampéro cette délicieuse
infusion fortifie, désintoxique et n'énerve
pas. Elle se prépare exactement comme
le Thé et se trouve dans toutes les phar-
macies.
loisir d'une élégante d'aujourd'hui, de
même certaine robe pékinée. verte et
blanche, en supprimant seulement ses
paniers (impossibles à caser dans une
voiture surbaissée). Quant à !a longue
redingote rouge aux revers haut croisés
dont Marie-Antoinette recouvre son ccs-
tume de chasse, lors de la célèbre ren-
contre avec Mirabeau, il n'y aurait qu'à
la raccourcir pour aller sans peur ni
reproche arpenter les Acacias. D'ailleurs,
le petit chapeau haut dé forme gris qui
l'accompagne, se ren-iintre quotidienne-
ment dans les parages de la place Ven-
dôme en version revue et approuvée par
1937. Ainsi la mode comme le serpent
de l'Ecriture, poursuit sa ronde où rien
ne se perd ni se crée totalement.
Comtesse de S~.
appeler les doigts pointus, et les mains
nerveuses des sportives. Perles, d'un bel
orient, fixées dans une petite cuvette de
diamants, toujours si parisiennes et si
simples en leur grande beauté. Emë-
raudes et rubis d'Orient, montés avec
beaucoup de fantaisie et de caractère.
Chez Bourguignon, à côté de chez
Clerc, parmi tant de pierres fines et de
fantaisies si seyantes et attirantes, il
n'y a que trop l'embarras du choix
d'admirables aigues-marines, des cabo-
chons de turquoise, de corail, des topa-
zes presque mordorées ou claires comme
une bière blonde, des zircons, toutes
bagues remarquablement montées sur
platine, or ou argent, souvent serties ou
ornées d'onyx ou de diamants.
Voici l'an neuf, c'est l'instant d'obte-
nir de ceux qui vous aiment la bague
qui convient à votre doigt. Chez Clerc
et Bourguignon, vous la trouverez sûre-
ment les plus modestes y sont ravis-
tantes et les plus belles magnifiques.
Cadeaux.
Vous ferez grand plaisir en of-
frant un Miroir-Brot ou un Miro-
phar-Brot, ces deux fameux miroirs
qu'on trouve chez Brot, 8, rue
Boissy-d'Anglas, à tous prix.
Les plus belles perles
de culture au monde
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présentées dans des cartons azurés
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MORT DE M. JULIEN BAROIS
Nous annonçons d'autre part la mort
à Paris, dans sa 89° année, de M. Julien
Barois, inspecteur général des Pont- et
Chaussées en retraite, officier de la Lé-
gion d'honneur, grand cordon de l'or- j
dre de Mccljidieh, membre et ancien
président de l'Académie d'agriculture,
membre de l'Académie des Sciences co-
loniales, de l'Institut d'Egypte, et an- ï
cien directeur des Chemins de Fer égyp-
tiens.
Entré premier à l'Ecole polytechnique,
M. Barois avait fait une longue carrière
en Afrique du Nord, principalement en
Egypte il a publié sur les irrigations
un ouvrage qui fait autorité en la ma-
tière. Conseiller technique de la Mis- •.
sion lilobukowski en Abyssinie, c'est lui
qui avait établi les plans du chemin de
fer de Diré-Daoua à Addis-Abbéba..
Il laisse un fils, M. Armand Barois,
ministre de France au Venezuela une
fille, Mme Pierre Carlier, veuve du ,t
consul général de France à Genève, et
un gendre, le comte Boselli.
M" A. AUCOC
1780 1937 .1
6, rue de la Paix
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postal.) le pays destinataire.
Les abonnements parlent du 1" tt du 15
du mois.
Frais de changement d'adresse 2 francs.
Joindre la bande d'abonnement à toute
demande de renouvellement, changement
d'adresse, réclamation, etc. à défaut de "'j'
bande, rappeler le numéro d'inscription dé l
l'abonnement et sa date d'échéance.
Compte de chèques postaux nO 242-bS.
PARLEZ-MOI D'AMOUR. 11 '1
11-i. JI-i 1~ 'i
DISQUE
UNE troupe familiale, amicale et
joyeuse venait de réveillon-
ner: De cette fête gastronomi-
que, les vieux, les mûrs, par excep-
tion, n'avaient pas été bannis, et des
soupeurs de tous les âges avaient
fait honneur aux victuailles et aux
beuveries rituelles. Dansons dirent
les jeunes. Et les assiettes noires et
tournantes des phonographes succé-
dant aux claires porcelaines faites
pour servir les gourmands, se mirent
à détailler des airs faciles, tour à
tour syncopés ou savoureusement
entraînants. Les « vieux se réu-
nirent autour des tables vertes et
des cartes. Les uns se consacrèrent
au bridge avec une attention têtue
et calculatrice, les autres, plus fri-
voles, cherchèrent dans les combi-
naisons des « patiences et des
€ réussites » ainsi nommées par-
ce qu'elles sont toujours manquées
certains présages pour l'année
nouvelle.
Elle et Lui, en face l'un de l'au-
tre mêlaient à mains distraites les
jeux étalés. Cette fois-ci, com-
me toujours, le coeur vous a man-
qué. dit-il d'une voix basse et
rancunière. Elle, le regarda, de ses
yeux restés malicieux, et agitant
ses manches de dentelles noires, de
ses doigts vifs reprit les cartes et
les battit longuement. Il est un
peu tard pour refaire les jeux, dit-
elle. Mais, non pour se plaindre
d'avoir perdu la partie, reprit-il
avec un dépit complimenteur. Sa-
vez-vous que ce soir, vous êtes en-
core joliç, malgré votre âge, que
je sais, vos mèches argentées et vos
faux airs de maturité affectée et de
demi-vieille déguisée ? Je vous re-
vois, sous ces masques, telle que
vous étiez jadis, quand je poursui-
vais en votre personne toutes les
promesses d'amour et de bonheur.
Elle l'interrompit avec un rire
Oh .non mon vieil ami, ne
ressassons pas ces malentendus.
Ne redevenez pas aussi ennuyeux
que quand vous étiez jeune Je
préfère entamer, si vous voulez,
un enragé bézigue, ce jeu de con-
cierges, comme disait, vous en sou-
venez-vous,, ce bon Un Tel. Nous
sommes le portier et la portière.
La maison que nous surveillons,
hélas est la demeure du passé.
N'y laissons pas se réveiller les
vieux rêves. ils n'ont plus droit
au tapage nocturne. Et,
d'une main négligente, levant haut
les cartes serrées, elle les effeuilla,
une à une, sur le petit tapis vert.
Cependant, les disques succédaient
aux disques et, dans l'air alourdi
de la fumée des cigarettes, des par-
fums de femmes et de fleurs, après
COURRIER
DES LETTRES
Une vue générale
sur l'ordre de Cluny
Le nom de Cluny domine toute l'his-
toire du moyen âge. Du x" au xni" siè-
«le principalement, le monachisme clu-
nisien occupe non seulement en France,
mais en Europe, une place diplomatique,
économique, sociale et religieuse de
premier plan qui eut des conséquences
même littéraires puisque c'est aux
nombreux pèlerinages qu'ils organisè-
rent vers Saint-Jacques de Compostelle
que nous devons une grande partie de
nos chansons de (jessete.
Pendant neuf siecles d'autre part, le
nom de Cluny a été pris « tantôt com-
me symbole de la conception la plus
pure et la plus pratique du monachisme
bénédictin, tantôt pour le prototype ds
la dégénérescence produite dans la vie
religieuse par une déformation du vé-
ritable esprit de la règle de saint Bc-
noit ».
Malgré tout cela, si invraisemblable
que ce soit, il ne s'est pas encore trouvé
un historien pour nous donner une his-
toire générale complète et critique de
l'ordre de Cluny. Le travail est, je le
sais, considérable, mais il y a là de quoi
tenter un jeune érudit ayant devant lui
de nombreuses années à y consacrer. La
tâche lui sera d'ailleurs beaucoup plus
aisée maintenant que nous avons ce
qui manquait également le merveil-
leux tableau d'ensemble ,détaillé que le
marquis de Valous vient de publier sous'
le titre Le Monachisme clunisien des
origines au xv. siècle. Vie intérieure des
monastères et organisation de l'ordre,
deux volumees que les moines bénédic-
tins de l'abbaye de Saint-Martin de
Ligttgé ont publié dans teur collection
« Archives de la France monastique »
et dont l'Académie des Inscriptions a
reconnu toute la valeur en lui décer-
nant ces jours-ci le premier prix Go-
bert.
Guy de Valous, qui a consacré quinze
ans à dépouiller toutes les sources, à se
pencher d'une manière critique sur tous
les textes, à vérifier toutes les assertions
expose clairement et d'une manière ex-
tremement vivante, ce qu'étaient la rè-
gle et la vie des moines clunisiens. Il
•Xplique ce qui a donné à ce grand ins-
titut monastique médiéval la place et
l'éclat qui furent les siens pendant des
iiècles.
A la devanture du libraire
Sur les événements d'Espagne, Le
général Franco (Ed. de France), par Joa-
quin Arraras, traduction de J. Sabatier
èt L. Blanco, et En Espagne rouge (Ed.
eu Cerf), par Jean Raynaud.
Les journalistes se prononcent
contre l'affiliation à la C. G. T.
Le syndicat national des journalistes
avait institué parmi ses membres un re-
ferendum sur l'affiliation à la C. ^> T.
Le dépouillement du scrutin a eu lieu,
hier matin. Il a donné les résultats sui-
vants contre l'affiliation, 845 voix ·
pour l'affiliation, 645 bulletins nuls, .12.
On a enregistré de nombreuses absten-
tfeps.
des tangos et des,rumbas, une val-
se naquit, grandit, déroula ses
écharpes mélodieuses. La recon-
naissez-vous ? interrogea-t-il. Nous
l'avons autrefois si tendrement
dansée Cet air caressant et com-
me sucré me revient souvent en mé-
moire et vous apporte sur ses on-
des. Pourquoi penser tristement
à ce qui n'a pas été ? reprit-elle.
Les sentiments inachevés, les pas-
sions qui auraient pu être ont une
douceur que ne gardent pas tou-
jours les amours accomplies. et
défuntes. De toute façon, tout cela,
aujourd'hui, serait fini. Nous au-
rions peut-être été malheureux l'un
par l'autre. Sous mes apparences
légères je cache un sens rigoureux
de la tendresse, un désir d'absolu.
que mon expérience sait mainte-
nant bien vain et bien inutile en
toutes choses humaines; mais qui
a dû être gênant pour ceux
qui m'ont aimée, et que, vous non
plus, n'auriez peut-être pas sup-
porté. Vous auriez- découvert en
moi une femme cachée, très diffé-
rente de celle que vous imaginiez
et que, à l'heure actuelle, vous ne
regretteriez sans doute pas. Or,
cher ami, à nos âges, le regret est
un trésor, tout autant qu'un plus ar-
dent souvenir. Que vous plaidez
une bien mauvaise cause! Et il
écrasa dans le cendrier la cigarette
inachevée. Au moins, cette
valse, cette valse toute imprégnée
d'un vieil espoir, voulez-vous que
nous la dansions, encore une fois ?
Ils se levèrent et le remâcheur
de griefs périmés et la vieille dame
encore élégante et ironique s'enla- j
cèrent et se mirent à tournoyer len-
tement aux applaudissements gen- j
timent railleurs des jeunes. Ils val-
saient ils retrouvaient une grâce
ancienne, un souple instinct d'un
rythme aboli qui scandait mysté-
rieusement leur vertige suranné.
Puis, le disque dont la magie sem-
blait ressusciter les années mortes,
se ralentit, grinça, s'éteignit, et la
vieille histoire, pareille à tant
d'histoires, retomba dans le passé.
Quel est donc le titre de cette
valse ? Le Premier Baiser, n'est-
ce pas ? Mais non, mon oncle,
tu la confonds avec une autre
celle-là, c'est Ne parlons plus
d'amour.
Gérard d'Houville.'
Par SËRARD D'HOUVILLE
AUJOURD'HUI
Réception. 16 h. 30 Mme Le Cor-
bellier. ̃
Deuils. 9 heures Obsèques du vi-
comte de Rianeey (Saint- Honoré d'Eylau,
cliapelJe de la Selntc-viergc).
9 ht lires Obsèques de M. Guillaume
Delapaline (Notre-Dame d'Auteuil).
11 h. 15: Obsèques de M. Emile
Bayard (Notre-Dame des Champs).
miiiiitiiiiiiiiimiiiiiiiiiiitiiiitiiiiiiiiiimiiiiifiiiiiiiiifiliiiiiimi
COURS
On annonce les prochaines fian-
çailles de S. A. I. la Grande-Duchesse
Kira dé Russie, fille de S. A. I. le Grand-
Duc Cyrille, chef de la Maison impériale
de Russie, et de feu la Grande-Duchesse
Victoria, née Princesse de Saxe-Co-
bourg-Gotha, avec S. A. I. et R. le Prince
Louis-Ferdinand de Prusse, second fils
du Kronprinz et de la Kronprinzessin,
née Princesse Cécile de Mecklembourg-
Schwerin.
La fiancée est âgée de vingt-huit ans
et le Prince Louis-Ferdinand av fêté sa
trentième année le mois dernier.
S. A. R. le Prince Félix de Bour-
bon-Parme et de Luxembourg, venant de
Londres, est arrivé à Luxembourg.
A L'ELYSEE
Le Président de la République a
reçu hier M. Le Beau, gouverneur gé-
néral de l'Algérie M. Bodard, ministre
de France à Téhéran le général d'Ol-
lone.
DANS LE MONDE
Mme Félix Legueu recevra tous les
mercredis de janvier, à seize heures
trente. v
Le baron et la baronne Carton de
Wiart ont offert un dîner en l'honneur
de S. Exc. M. Bargeton, le nouvel ambas-
sadeur de France à Bruxelles, et de Mme
Bargeton. Les autres convives étaient
S. Exe. le ministre d'Argentine, Mme et
Mlle Quintana; le grand maréchal de la Cour
et comtesse Cornet de Ways-Ruart, le mi-
nistre d'Etat et la comtesse Lippens, comte et'
comtesse de Liedekerke, comte de Baillet-
Latour, comte et comtesse A. d'Ansembourg,
Mlles Lily de Liedekerke et R.-V. Carton de
Wiart, vicomte G. du Parc, baron Allard.
Le baron et la baronne Carton de
Wiart ont donné deux autres dîners aux-
quels assistaient notamment
Princesse Hélène de Ligne, comtesse J. et
Mite d'Andigné, comtesse R. et Mlle de Lie-
dekerke, vicomtesse et Mlle Daviguon, Mme
et Mlle Quintana, baronne et Mlle d'Hoogh-
vorst, vicomte et vicomtesse du Parc, Mlles
Kragg, Jaye Kurusu, Lily de Liedekerke,
Marthe de Villers, E. de Marnix de Sainte-
Aldcgonde, Th. de Villers, A. de Hemricourt
dé Grunne, E. papeians de Morchoven, Snoy
d'Oppuers, D. et I. Houtart, B. t'Kint de
Roodenbekc, E. de Woelmont, M. del Marmol,
M.-E. Terlinden, Gaëtane d'Oultremont,
M. d'Alcantara, Nadine de Coninck de Merc-
kem, Nadine Descamps, Anne de Montpellier
de Vedrin, M.-C. et A. Davignon, Bernadette
del Marmol, R.-V. Carton de Wiart; prince
A.-E. de Ligne, princes X. et A. de Merode,
vicomte H. de Villers de Waroux, baron
Lundeh, baron de Vinck de Deux Orp, comtes
Ed. et Gérard de Liedekerke, barons J. et
E. de Selys Longchamps, baron J. de Traux
de Wardin, M. Ch Papeians de Morchoven,
comte H. de Briey, MM. Michel et Thomas
de Bossirre, J. van Wassenhove, comte Th.
de Beauffort, M. F.-X. Simonis, comte A. de
Ribaucor.rt, etc.
BIENFAISANCE
Le vestiaire de l'Assistance privée
à la classe moyenne a, été si rapidement
vidé par les demandes des 1.052 familles
aidées qu'il est indispensable de faire
un appel pressant à la générosité de tous
pour aider à le remplir. La classe
moyenne malheureuse n'a plus l'usage
des habits, redingotes, hauts de; forme
par contre, les vêtements, chauds d'hiver
Le maharadjah de Kapurthala vient de célébrer son jubilé de diamant. A cette occasion, de grandes fêtes ont
été données et voici le groupe des éléphants du cortège princier.
LES ECHOS
La magistrature et les sports
d'hiver.
Les magistrats jouissaient d'un
petit congé d'une dizaine de jours
qu'ils prenaient au moment des fê-
tes de la Pentecôte.
Ils avaient l'habitude d'aller pas-
ser ces loisirs à la mer ou à la cam-
pagne. Beaucoup d'entre eux y pos-
sèdent des installations familiales.
Mais un ministre vint à la Justice,
qui est aussi député des Vosges et, à
ce titre, se montre un propagandiste
acharné des sports d'hiver.
On ne fait de luge ni de ski à la j
Pentecôte. Le Garde des Sceaux sup-
prima les loisirs de printemps et les
remplaça par un bon congé à pren-
dre en hiver, quand il y a de la nei-
ge au versant des montagnes.
La plupart des magistrats sont ré-
fractaires aux exercices violents. Et
tout en regrettant leurs vacances des
beaux jours, ils ne savent actuelle-
ment quoi faire du temps qu'ils ont à
perdre..
La France au travail.
Paris devait connaître, en mai
1936, un grand défilé de « la France
au travail ». Les chars étaient prêts,
les tribunes construites. Mais les pre-
mières grèves s'opposèrent au défilé,
et même à la destruction des tribu-!
nes, lesquelles restèrent pendant un
LE CARNET TS>XJ « FIGAM0)»
pour hommes, femmes et enfants sont
bien nécessaires.
L'appel de cette œuvre a toujours été
entendu avec tant de spontanéité qu'on
espère qu'il le sera cette fois encore.
La réception des dons vestimentaires
se fait tous les matins, de neuf heures
à midi, au secrétariat général, 14, square
de l'Alboni compte chèque postal
Paris 1535-25.
Une intéressante réunion eut lieu
hier, dans les salons du Figaro, où Mme
Luven Danil, présidente de la S. S. B. M.
de Lille, avait organisé une exposition
rétrospective de poupées semblable à
celle qui, par ses soins, avait eu lieu à
Lille en 1936.
De ravissantes poupées de cire, sculp-
tées par M. Marcel-Varley et habillées
à la perfection par les dames de Lille,
évoluent dans des stands peints et déco-
rés évoquant des scènes anciennes, re-
production de tableaux de maîtres.
Dans une allocution pleine d'esprit et
de charme, Mlle Hélène Vacaresco dé-
buta en ces termes
« Les poupées, qui sont les véritables
ambassadrices de la nation, rappellent
par leurs costumes divers que les peu-
ples, ne fût-ce que par curiosité, de-
vraient se mieux connaître. »
L'éminente conférencière ajouta com-
bien il lui était agréable de rendre, une
fois de plus, un « hommage àJa Croix-
Rouge, institution sublime représentée
par sa filiale lilloise dans les salons du
Figaro ».
Mlle Anne-Marie Redard, profes-
seur au collège américain de Céligny
(Suisse), fera, le jeudi 30 décembre, à
vingt heures quarante-cinq, une causerie
sur « Ronsard selon les traditions de
l'époque ». Cette conférence, placée sous
le patronage de l'Association polytech-
nique et que présidera notre confrère
M. Maurice Muret, membre de l'Institut,
aura lieu dans la salle des fêtes de la
mairie de la rue Drouot, Les poèmes de
Ronsard, récités par Mlle Anne-Marie
Redard, seront précédés d'un air ancien
'sur la viole d'amour, remise en honneur
par la conférencière.
CERCLES
Le Comité France-Belgique-Luxem-
bourg donnera son prochain dîner le
samedi 29 janvier, en l'honneur de
S. Exc. M. Bargeton, ambassadeur de
de France à Bruxelles. Cette manifesta-
tion sera présidée par M. Paul-Emik
Janson, premier ministre.
De nombreuses personnalités fran-
çaises, sous la conduite de M. Lucien
Hubert, sénateur des Ardennes, ancien
garde des sceaux, sont attendues, ainsi
qu'une délégation de la section luxem-
bourgeoise.
Au Nouveau Cercle, hier lundi
27 décembre, ont été admis membres
permanents
Le général Casanave, commandeur de la
Légion d'honneur, croix de guerre, présenté
par le général Détroyat et le colonel de
Latour-Dejean M. André Rich Delort de
Gléon, officier de la Légion d'honneur, croix
de guerre, présenté par le général Blavier
et le général Détroyat M. Maurice Levert,
présenté par le baron de Langlade et
M. J. Teilhard de Chardin.
NOUVELLES CYNEGETIQUES
Chasse en battues, dernièrement,
au château de Cambron-Casteau, en Bel-
gique, chez le -comte et la comtesse du
Val de Beaulieu. Parmi les invités
Baron de Bogaerde de 'ferbrugge, Mrs
Loebl, M. et Mme H. van Pottelsberghe de
La Potterie, M. et Mme A. de La Croix
d'Ogiiuont, M. et Mme R. de Cambry de Bau-
oimont, M. J. de Cambry d. Baudimont,
B=t<6~~0 -~CTHmi !TES
LES FETES DE KAPURTHALA
mois, bien qu'étant devenues sans 1
objet.
En mai 1937 on tenta, de nouveau,
de sortir les chars qui commençaient
à se disloquer. Mais on n'était pas
encore bien assuré de l'actualité de
ce thème du travail. Le défilé fut
encore remis.
Aussi, le Comité des fêtes de Paris
a-t-il pris, pour le printemps pro-I
chain, une décision qui ne laisse
plus de place à l'imprévu. Le cortège
aura lieu tel qu'il avait été prévu,
avec les mêmes chars, d'ailleurs fort
beaux, les mêmes figurants, les mê-
mes fanfares. Seulement cet ensem-
ble sera baptisé Défilé de la lumiè-
re. Seule une grève des électriciens
serait à craindre.
Trois atouts.
Des produits de premier choix,
Une expérience de plus d'un siècle,
Une technique et une usine modernes
permettent à F. MARQUIS de garan-
tir la qualité inégalable des chocolats
qui ont consacré sa réputation mon-
diale.
59, passage des Panoramas (Gut.11-00)
39, Bd des Capucines (Opér. 60-06).
4, Pl. Victor-Hugo. (Pas. 78-9.7)
Qui n'a pas sa paire de skis ?
Avant de porter les amateurs de
sports d'hiver sur les pistes neigeu-'
M. et Mme J. de La Sema, M. Beauduin,
comte L. de Borchgiave d'Altena.
Au tableau deux cent vingt-cinq
pièces.
NAISSANCES
Le docteur et Mme Jean Meyniard
sont heureux d'annoncer la naissance de
leur fils Philippe. 1" décembre.
M. Pierre Girardin et madame, née
Colette Chancel, sont heureux de faire
part de la naissance de leur fils Jean-
Michel.
FIANÇAILLES
Nous apprenons les fiançailles de
Mlle Anne de Roissy avec M. Maurice
Gerin.
MARIAGES •̃-̃
Dernièrement, en l'église Saint-
Joseph, à Angers, était célébré le ma-
riage de Mlle Maryvonne Morillon avec
.A~
Mlle M. Morillon.
(Studio Martin-Lorelle.)
le lieutenant Hubert de Coux, du 1" ré-
giment de hussards.
Les témoins étaient, pour la mariée
Mme Larrère, sa tante, et M. Hervé du
Bois, son beau-frère pour le marié
le colonel Rabany, commandant le 1" ré-
giment de hussards, et le lieutenant de
Coux, du 11° régiment de cuirassiers.
S. Em. le cardinal Verdier, arche-
vêque de Paris, a béni, en l'église Saint-
François-Xavier, le mariage de Mlle Ge-
neviève Charpentier, fille de M. Eugène
Mlle- Geneviève Charpentier.
'̃̃ (Studio de Parts.)
Charpentier, président du conseil parois-
sial et conseiller municipal de Dry, dé-
cédé, et de madame, née Mancel, avec
M. Kamil Abdulahad, M.A. (Oxford), fils
de M. Yousif Abdulahad, -membre du
Parlement d'Irak, décédé, et de madame,
née Elisa Korbeis Tessi.
Les témoins de la mariée étaient
Mme Louis Charpentier, sa tante, et If
ses, les skis ont envahi Paris. Les éta-
lages en sont pleins. On en voit dans
les taxis, sur les plate-formes des au-
tobus qui vont vers les gares. Les skis
sont partout.
Il n'y a pourtant pas longtemps
que ces instruments ont été révélés
aux Français. Regnard y avait fait
allusion dans son Voyage en Lapo-
nie. Balzac les décrivit dans Sera-
phita. L'armée des Alpes les utilisa
à partir de 1901, mais il n'y a guère
que trente ans que l'on a pu en ache-
ter une paire.
Les skis sont d'origine asiatique
et ont été introduits en Europe par
les immigrations mogales. Hérodote,
dans son Histoire de la Scythie, parle
des « hommes aux pieds de chèvre »
qui étaient vraisemblablement des
Finlandais chaussés de skis an de
raquettes. Mais ils ne servaient alors
qu'à se soutenir sur la neige. Ce sont
lés Suédois qui ont fait de l'usage du
ski un sport de vitesse.
Triomphe du goût français.
Vous aurez exacte idée de ce que
le goût français réalise aujourd'hui,
par les créations, pour cadeaux
d'étrennes, de La Marquise de Sévi-
.qné, 11, boulevard de la Madeleine.
Le Masque de Fer.
chanoine Bélier, son cousin ceux du
marié Mme Villedieu et M. Jean Ville-
dieu, ingénieur des Arts et Manufactures.
La jeune mariée était conduite à
l'autel par son cousin, M. Marcel Char-
pentier.
DEUILS
S. Exc. M.Wladislas Skrzynski, am-
bassadeur de Pologne près le Saint-
Siège, a succombé subitement dimanche
après-midi, alors qu'il se trouvait, en
compagnie de sa femme, en automobile,
à une trentaine de kilomètres de Rome.
Le Souverain Pontife a chargé S. Em.
le cardinal Pacelli, secrétaire d'Etat, de
présenter ses condoléances à Mme W.
Skrzynski et au gouvernement polonais.
M. Wladislas Skrzynski était âgé de
soixante-quatre ans il fut sous-secré-
taire d'Etat aux affaires étrangères en
1919 ministre à Madrid de 1919 à
1921, et il signa le Concordat entre la
Pologne et le Saint-Siège en 1925.
On annonce la mort, survenue hier
à Londres, des suites d'une opération
chirurgicale, de.la duchesse Violet de
Rutland, belle-mère de M. Duff-Cooper,
premier lord de l'Amirauté britannique.
La défunte, artiste peintre bien con-
nue, exposa souvent ses œuvres en
France.
Nous apprenons la mort, à l'âge
de quatre-vingts ans, de M. de Saint-
Etienne, directeur honoraire de l'Eglise
alsacienne.
M. Louis Marin, commissaire gé-
néral de la marine du cadre de réserve,
officier de la Légion d'honneur, vient
de mourir à Paris, à l'âge de soixante-
deux ans.
On annonce de New-York la mort
de M. Newton D. Baker, qui fut secré-
taire à la guerre de 1916 à 1921, sous
le président Wilson, décédé à Cleveland
(Ohio), à l'âge de soixante-six ans.
Nous apprenons la mort de M.
Eugène Fyot, vice-président de l'Acadé-
mie des arts, sciences et belles-lettres
de Dijon, auteur d'ouvrages et études
d'histoire et d'archéologie, lauréat du
prix Montyon.
On annonce de Padoue la mort du
général Lorenzo Fineschi, lieutenant-
général de milice.
Hier ont été célébrées en l'église
du Saint-Esprit, 5, rue Roquépine, les
obsèques de Mme Edouard Patry.
Le service a été célébré à l'église et
au cimetière par le pasteur E. Schlœ-
sing.
Le deuil était conduit par le docteur
André Patry, fils de la défunte; M. Mau-
rice Achener, son gendre M. Jean Le
Royer, M. Gilbert Patry, M. Pierre Ache-
ner, M. Alain Patry, M. Claude Achener
et M. Robert Huchet, ses petits-fils.
Du côté des dames, par Mme Achener,
sa fille Mme Raoul Patry et Mme An-
dré Patry, ses belles-filles Mme Robert
Huchet, Mlle Rosine Achener, ses pe-
tites-filles Mlle Paravicini, Mme Gun-
delach et Mme Rey, ses cousines.
L'inhumation a eu lieu au cimetière
Montmartre.
On nous prie d'annoncer la mort
de M. Julien Barois, inspecteur général
des ponts et chaussées en retraite,
membre et ancien président de l'Aca-
démie d'agriculture et membre de l'Aca-
démie des sciences coloniales, officier
de la Légion d'honneur, pieusement dé-
cédé à Paris le 27 décembre, dans sa
quatre-vingt-neuvième année.
Les obsèques auront lieu demain mer-
LES ROBES DE [«MADAME CAPET,» l'
L'émouvante et vivante fresque, qui
retrace avec tant de doigté les heurs et
malheurs de la trop belle Marie-Antoi-
nette, reine de France, nous a valu d'ad-
mirer les plus jolies robes du monde.
Ces robes, étonnamment actuelles, en
dépit de leurs amples jupes et de leurs
paniers opulents, nous prouvent auec
éclat le charme des tissus vékinis, ies
brocatelles dorées, des satins aux te-'
flets liquides appelant dans leurs plis
ombreux la présence d'un carlin frisé
et le murmure badin d'un propos ga-
lant f
Le déshabillé froufroutant, orné de
chutes de dentelles avec lequel « Antoi-
ne », nom intime de la reine, reçoit son
frère incognito, pourrait sans anachro-
nisme douloureux, parer les heures de
A CHAQUE DOIGT SA BAGUE 7
Les mains ont leur personnalité, et,
les doigts, suivant leur conformation,
semblent affinés par le port de certains
bijoux alors que d'autres, au contraire,
les font paraître plus épais. Les pier-
res, elles-mêmes, prennent un éclat plus
ou moins intense suivant la coloration
de l'épiderme, et la finesse de son grain.
Clerc, 4, place de l'Opéra, l'a bien com-
pris et c'est pourquoi il est possible de
trouver chez lui, pour chaque doigt, sa
bague. Ce bijoutier en possède un choix
remarquable pierres uniques, montées
à griffes, qui affinent la main la plus
lourde; leur beauté, qu'elles l'emprun-
tent au diamant, à l'émeraude, au sa-
phir ou au rubis, permet de les porter
pour les cérémonies les plus fastueuses
comme les plus intimes; pierres plus
petites, mais d'une pureté parfaite et
d'une couleur splendide, aux montures
ajourées bien équilibrées qui vont à
toutes les mains; pierres encastrées dans
une chevalière de platine qui semblent
NOTE SUR MON BLOC
3 bonnes idées.
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sées (Elys. 98-31 à 98-38).
b) A l'Office spécial de publicité, 29,
Boulevard des Italiens. Téléphone »
Richelieu 69-31.
credi 29 décembre, à onze heures, en
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Armand Barois, ministre plénipoten-
tiaire de France au Venezuela, son fils,
et de Mme Armand Barois, de Mme
Pierre Carlier, sa fille, et du comte Bo-
selli, son gendre.
Nous apprenons la mort de Mme
Le Quen d'Entremeuse, née Joséphine
Le Cour Grandmaison. décédée à Mal-
ville (Loire-Inférieure).
L'inhumation a eu lieu à Nantes le
27 décembre 1937.
On nous prie d'annoncer la mort
de M. Fernand Gallot, industriel, pieu-
sement décédé en son domicile à Paris,
77 bis, rue de Prony. De la part de Mme
Fernand Gallot, née Bastouil, de M. et
Mme Fernand Bastouil, de M. et Mme
Marcel Gallot, de M. et Mme Augustin
Montariol et leur fille, de M. et Mme
Frédéric Bertrand et leurs enfants. Les
obsèques ont été célébrées hier 27 dé-
cembre, dans la plus stricte intimité.
Le présent avis tient lieu de faire part.
Nous apprenons la mort de Mme
Miot, née Karth, veuve du docteur Aris-
tide Miot.
On nous prie d'annoncer la mort
de M. Charles Paillet, sculpteur ani-
malier, membre des Artistes français.
On annonce la mort, survenue à
Paris, de Mme Andrée Alvin-Nekola,
violoniste.
Le service a eu lieu dans la plus
stricte intimité.
Dans l'impossibilité de répondre
aux marques émouvantes de sympathie
qui lui ont été témoignées, le professeur
Pierre Abrami prie to.us ceux qui les
lui ont adressées de trouver ici l'ex-
pression de sa douloureuse gratitude.
On annonce la mort
De Mme Maurice Seegmann, née Natalie
Levinger; de M. Claude Linoissier, à Paris;
de M. Julien Jaudel, à Paris de M. Fernand
Ulmann, à Paris.
PETIT CARNET
Appareillons pour 1938.
Voguez mes vœux vers une année
nouvelle «L'Embarquement pour Lu-
tèce » est une des plus admirées parmi
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La Marquise de Sévigné,
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loisir d'une élégante d'aujourd'hui, de
même certaine robe pékinée. verte et
blanche, en supprimant seulement ses
paniers (impossibles à caser dans une
voiture surbaissée). Quant à !a longue
redingote rouge aux revers haut croisés
dont Marie-Antoinette recouvre son ccs-
tume de chasse, lors de la célèbre ren-
contre avec Mirabeau, il n'y aurait qu'à
la raccourcir pour aller sans peur ni
reproche arpenter les Acacias. D'ailleurs,
le petit chapeau haut dé forme gris qui
l'accompagne, se ren-iintre quotidienne-
ment dans les parages de la place Ven-
dôme en version revue et approuvée par
1937. Ainsi la mode comme le serpent
de l'Ecriture, poursuit sa ronde où rien
ne se perd ni se crée totalement.
Comtesse de S~.
appeler les doigts pointus, et les mains
nerveuses des sportives. Perles, d'un bel
orient, fixées dans une petite cuvette de
diamants, toujours si parisiennes et si
simples en leur grande beauté. Emë-
raudes et rubis d'Orient, montés avec
beaucoup de fantaisie et de caractère.
Chez Bourguignon, à côté de chez
Clerc, parmi tant de pierres fines et de
fantaisies si seyantes et attirantes, il
n'y a que trop l'embarras du choix
d'admirables aigues-marines, des cabo-
chons de turquoise, de corail, des topa-
zes presque mordorées ou claires comme
une bière blonde, des zircons, toutes
bagues remarquablement montées sur
platine, or ou argent, souvent serties ou
ornées d'onyx ou de diamants.
Voici l'an neuf, c'est l'instant d'obte-
nir de ceux qui vous aiment la bague
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MORT DE M. JULIEN BAROIS
Nous annonçons d'autre part la mort
à Paris, dans sa 89° année, de M. Julien
Barois, inspecteur général des Pont- et
Chaussées en retraite, officier de la Lé-
gion d'honneur, grand cordon de l'or- j
dre de Mccljidieh, membre et ancien
président de l'Académie d'agriculture,
membre de l'Académie des Sciences co-
loniales, de l'Institut d'Egypte, et an- ï
cien directeur des Chemins de Fer égyp-
tiens.
Entré premier à l'Ecole polytechnique,
M. Barois avait fait une longue carrière
en Afrique du Nord, principalement en
Egypte il a publié sur les irrigations
un ouvrage qui fait autorité en la ma-
tière. Conseiller technique de la Mis- •.
sion lilobukowski en Abyssinie, c'est lui
qui avait établi les plans du chemin de
fer de Diré-Daoua à Addis-Abbéba..
Il laisse un fils, M. Armand Barois,
ministre de France au Venezuela une
fille, Mme Pierre Carlier, veuve du ,t
consul général de France à Genève, et
un gendre, le comte Boselli.
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