Titre : Le Charivari : publiant chaque jour un nouveau dessin
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1835-04-12
Contributeur : Philipon, Charles (1800-1862). Directeur de publication
Contributeur : Huart, Louis (1813-1865). Directeur de publication
Contributeur : Véron, Pierre (1831-1900). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34452332k
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 359 Nombre total de vues : 359
Description : 12 avril 1835 12 avril 1835
Description : 1835/04/12 (A4,N92). 1835/04/12 (A4,N92).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k3048227h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Fonds du service reproduction, 4-Lc2-1328
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/05/2019
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rtvart,
URNAL PUBLIAIT CHAQUE JOUR^JN NOUVEAU DESSIN.
REDACTION. — Adresser A M. LOUIS DESNOYERS, REDACTEUR EN CHEF, au l.u-
e iu, rue du Croissant, u. Iii. (Affr.) Les abnnn. n’y seront pas reçus.—Usera rcudu compte,
a is U Caricature et le Charivari, de lotit ouvrage dont trois exempt, auront été déposés.
ADMINISTRATION, —DESSINS, —ENNUIS DE FONDS et AliONNEMl^NS. - Adiesseï
M. Ch. l’HILIPON, directeur, au bureau, galerie "Véro Dodat, aû-dcssi s du grand magasin
lithographies d’Aubert. (Affranchir.} Voir ci-dessus les conditions de l’ahuLinemi
CE N’EST QUE PAR SES ÉCOLES
QUE LE SYSTÈME FAIT ÉCOLE EN EUROPE.
Oui, école ; comme les manches à gigot et les chapeaux de
soie en coton. Allez , n'importe où , dans le fin fond de l’uni
vers : vous y trouverez immanquablement des chapeaux de soie
en coton , des manches à gigot et des ordonnances éminem
ment paternes; le tout, plus ou moins mal imité de ce qui se fa
brique maintenant dans ces genres-là chez nous.
Vous savez de reste avec quelle habileté la Pensée-profonde
manie contre les passans le bâton de la légalité, et le Gisquet de
l’ordre public. Eh bien ! la royauté anglaise paraît vouloir lui
emprunter sa philantropique recette. C’est du moins ce qu’on
doit conclure de la proclamation suivante qui vient d’être affi
chée à Londres :
« L'expérience a prouvé que, lorsque des troupes ont été appelées à
l’aide des autorités civiles pour le maintien de l’ordre public, elles ont
tiré au-dessus des groupes séditieux, pour effrayer le peuple
» Afin de prévenir le retour de cet inconvénient, le général comtnan.
dant eu chef prie les officiers commandant des détachemens, dans toutes
les occasious où ils seront requis de disperser les groupes, de se concer
ter de la manière la plus efficace avec les autorités civiles sous les or
dres desquelles ils pourraient se trouver placés, pour bien expliquer au
peuple que, dans le cas où les troupes recevraient l’ordre de faire feu,
te feu serait sérieux. » ( Globe.)
Comme vous le voyez, S. M. britannique avait deux espèces
de feu : le feu pour rire, et le feu pour tout de bon. Elle n’a
vait employé jusqu’à présent que la première manière de s’en
servir, et quand elle faisait feu sur son peuple , c’était unique
ment pour plaisanter, mais ce sera désormais quelque chose de
très sérieux; c’est-à-dire qu’elle tuera au lieu d’effrayer seule
ment, et que ses pétards, ses obus , ses bombes et sa mitraille,
ne seront plus d’inoffensifs quolibets. J\ul doute que sa majes
té britannique ait été éclairée en cela par ce qui se passe chez sa
voisine la Pensée-profonde. Car, on doit rendre cette justice à
la Pensée-profonde , qu’elle a toujours été excessivement sé
rieuse, quoiqu’elle ait beaucoup fait rire, et quelle n’a jamais
donné dans la facétie du feu par dessus les toits. La Pensée-pro
fonde vise beaucoup mieux.
Cette mètue tendance à l’imitation française,s’observe main
tenant en Espagne où la royauté de juste-milieu que la Pensée-
profonde lui colloque, cherche naturellement à se maintenir par
les exemples qu’elle se voit donner.
Vous savez de même comment la Pensée-piofonde ou, si vous
aimez mieux, le Système entend la répression des grandes é-
meutes lorsqu’il les a provoquées par sa politique. Les ruines
sanglantes de Lyon et les cadavres de la rue Transnonain sont
des objets qui doivent puissamment aider votre mnémonique
en ce point. Vous vous souvenez également qu’après les événe
ments de juin, M. Gisquet, qui est bien moins philantrope que
ses fusils, publia uue 01 dounance prescrivant la délation à tout
médecin, chirurgien et apothicaire qui aurait soigné quelque
blessé. Cette ordonnance était renouvelée , je crois, de déiunt
Dagobert qui n’avaitpasque sa culotte à l’envers.
Eh bien ! des mesures analogues, quoique plus paternes en
core,viennent d’être adoptées en Espagne,et ne contribueraient
pas peu à augmenter le bonheur dont on y jouit. C’est à propos
des provinces Havanaises, lesquelles se sont insurgées, vous sa
vez pourquoi. Ces provinces jouissaient de temps immémorial
de libertés pratiques qu’aucun gouvernement n’avait osé leur
leur ravir, jusqu’à celui de la reinette actuelle.
D’où cette guerre civile , si horriblement incivile , où mes
vœux ne sont plus pour personne, mais où ils seraient certaine
ment pour les rebelles, si les rebelles n’avaient eu la sottise de
se donner don Carlos pour chef, comme si la cause de la liberté
ne pouvail point se passer d’un protectorat princier.
Or, voici les dernières mesures employées contre eux par la
royauté de Madrid, pour leur prouver apparemment toute son
excellence.
REVUE DES TRIBUNAUX.
POLICE CORRECTIONNELLE.
Z’Anacréon des halles.
Miturielle est de son état scieur de limes pour les bouchers, et, com
me il le dit lui-même, il cultive dans ses momens de loisir les beaux-arts
et la littérature. Or, si les productions poétiques de Maurielle ne sont
pas eucore connues du public lettré, elles ont acquis une certaine répu-
LUion sur le carreau de la Halle, et c’est par suite de sa manie chanson-
nante qu’il comparaissait aujourd’hui devant la police correctionnelle.
Voici donc comment il expose les faits qui l’amènent devant le tri
bunal :
« Vous saurez donc, messieurs, que les écaillères, c’est tout des nor
mandes, des finaudes et des pas grand chose. Alors comme alors, j’ai fait
une chanson sur les écaillères qui touchait tant soit peu sur les Nor
mands. Pour lors, voilà qu’un jour le nommé Tibert avait des raisons
avec un Rapiat, et qu'il lui chante ma chanson; que tout-a-coup le sus
nommé Rapiat s’élance sur moi comme un vrai eocodrille, et m’abime de
sottises a cause de ma chanson...» (Ici Maurielle s’arrête, tire de sa po
che uu paquet de papiers.)
41a chanson, messieurs,la voilà :Hum ! hum !... Les Normands,c’est....
M. le président. — Nous n’avons pas besoin de connaître votre chan
son.
Maurielle. —C’est dans la cause et je demande la parole. Il faut que
vous connaissiez ma chanson, qu’elle est fort agréable et sur l’air de la
Colonne. Hum ! hum !.... Les Normands, c’est...
M. le president. — C’est inutile.
Maurielle, d’une voix suppliante. — Ah ! M. le présideut, rien qu’un
couplet, il n’y a rien dedans de contraire au sexe ou à la politique... Vous
allez voir que c’était l’histoire de plaisanter.... Hum ! hum !.... Les Nor
mands....
C’est à grand peine que Maurielle consent à faire grâce au tribunal de
sa chanson, qu’il remet piteusement dans sa poche.
Les témoins entendus déclarent que c’est Maurielle qui a commencé
la lutte, et il est condamné seulement à 25 fr. d’amende.
Maurielle. — Je peux-t-y maintenant vous chanter ma chanson?....
Les Normands, c’est....
Maurielle, éconduit par l’huissier, se dédommage amplement hors de
de la salle du s lence forcé qu’il a gardé, et il entonne a pleine voix le
refrain de ses couplets.
Pour faire suite à Venlè vement d'Europe.
Bonaventure Gallet est un farceur fini. Quand il a bu, Gallet ale vin
amoureux. Aussi en prit-il mal à l’egriilarJ d’avoir dernièrement ren
contré sur les bords odoraus de l'étang à Loiseau, la demoiselle Rose-
Marie. jardinière des environs. Il voulut embrasser Rose qui prit mal la
plaisanterie, lui détacha quelques soufflets et refusa obstinément d’aller
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e iu, rue du Croissant, u. Iii. (Affr.) Les abnnn. n’y seront pas reçus.—Usera rcudu compte,
a is U Caricature et le Charivari, de lotit ouvrage dont trois exempt, auront été déposés.
ADMINISTRATION, —DESSINS, —ENNUIS DE FONDS et AliONNEMl^NS. - Adiesseï
M. Ch. l’HILIPON, directeur, au bureau, galerie "Véro Dodat, aû-dcssi s du grand magasin
lithographies d’Aubert. (Affranchir.} Voir ci-dessus les conditions de l’ahuLinemi
CE N’EST QUE PAR SES ÉCOLES
QUE LE SYSTÈME FAIT ÉCOLE EN EUROPE.
Oui, école ; comme les manches à gigot et les chapeaux de
soie en coton. Allez , n'importe où , dans le fin fond de l’uni
vers : vous y trouverez immanquablement des chapeaux de soie
en coton , des manches à gigot et des ordonnances éminem
ment paternes; le tout, plus ou moins mal imité de ce qui se fa
brique maintenant dans ces genres-là chez nous.
Vous savez de reste avec quelle habileté la Pensée-profonde
manie contre les passans le bâton de la légalité, et le Gisquet de
l’ordre public. Eh bien ! la royauté anglaise paraît vouloir lui
emprunter sa philantropique recette. C’est du moins ce qu’on
doit conclure de la proclamation suivante qui vient d’être affi
chée à Londres :
« L'expérience a prouvé que, lorsque des troupes ont été appelées à
l’aide des autorités civiles pour le maintien de l’ordre public, elles ont
tiré au-dessus des groupes séditieux, pour effrayer le peuple
» Afin de prévenir le retour de cet inconvénient, le général comtnan.
dant eu chef prie les officiers commandant des détachemens, dans toutes
les occasious où ils seront requis de disperser les groupes, de se concer
ter de la manière la plus efficace avec les autorités civiles sous les or
dres desquelles ils pourraient se trouver placés, pour bien expliquer au
peuple que, dans le cas où les troupes recevraient l’ordre de faire feu,
te feu serait sérieux. » ( Globe.)
Comme vous le voyez, S. M. britannique avait deux espèces
de feu : le feu pour rire, et le feu pour tout de bon. Elle n’a
vait employé jusqu’à présent que la première manière de s’en
servir, et quand elle faisait feu sur son peuple , c’était unique
ment pour plaisanter, mais ce sera désormais quelque chose de
très sérieux; c’est-à-dire qu’elle tuera au lieu d’effrayer seule
ment, et que ses pétards, ses obus , ses bombes et sa mitraille,
ne seront plus d’inoffensifs quolibets. J\ul doute que sa majes
té britannique ait été éclairée en cela par ce qui se passe chez sa
voisine la Pensée-profonde. Car, on doit rendre cette justice à
la Pensée-profonde , qu’elle a toujours été excessivement sé
rieuse, quoiqu’elle ait beaucoup fait rire, et quelle n’a jamais
donné dans la facétie du feu par dessus les toits. La Pensée-pro
fonde vise beaucoup mieux.
Cette mètue tendance à l’imitation française,s’observe main
tenant en Espagne où la royauté de juste-milieu que la Pensée-
profonde lui colloque, cherche naturellement à se maintenir par
les exemples qu’elle se voit donner.
Vous savez de même comment la Pensée-piofonde ou, si vous
aimez mieux, le Système entend la répression des grandes é-
meutes lorsqu’il les a provoquées par sa politique. Les ruines
sanglantes de Lyon et les cadavres de la rue Transnonain sont
des objets qui doivent puissamment aider votre mnémonique
en ce point. Vous vous souvenez également qu’après les événe
ments de juin, M. Gisquet, qui est bien moins philantrope que
ses fusils, publia uue 01 dounance prescrivant la délation à tout
médecin, chirurgien et apothicaire qui aurait soigné quelque
blessé. Cette ordonnance était renouvelée , je crois, de déiunt
Dagobert qui n’avaitpasque sa culotte à l’envers.
Eh bien ! des mesures analogues, quoique plus paternes en
core,viennent d’être adoptées en Espagne,et ne contribueraient
pas peu à augmenter le bonheur dont on y jouit. C’est à propos
des provinces Havanaises, lesquelles se sont insurgées, vous sa
vez pourquoi. Ces provinces jouissaient de temps immémorial
de libertés pratiques qu’aucun gouvernement n’avait osé leur
leur ravir, jusqu’à celui de la reinette actuelle.
D’où cette guerre civile , si horriblement incivile , où mes
vœux ne sont plus pour personne, mais où ils seraient certaine
ment pour les rebelles, si les rebelles n’avaient eu la sottise de
se donner don Carlos pour chef, comme si la cause de la liberté
ne pouvail point se passer d’un protectorat princier.
Or, voici les dernières mesures employées contre eux par la
royauté de Madrid, pour leur prouver apparemment toute son
excellence.
REVUE DES TRIBUNAUX.
POLICE CORRECTIONNELLE.
Z’Anacréon des halles.
Miturielle est de son état scieur de limes pour les bouchers, et, com
me il le dit lui-même, il cultive dans ses momens de loisir les beaux-arts
et la littérature. Or, si les productions poétiques de Maurielle ne sont
pas eucore connues du public lettré, elles ont acquis une certaine répu-
LUion sur le carreau de la Halle, et c’est par suite de sa manie chanson-
nante qu’il comparaissait aujourd’hui devant la police correctionnelle.
Voici donc comment il expose les faits qui l’amènent devant le tri
bunal :
« Vous saurez donc, messieurs, que les écaillères, c’est tout des nor
mandes, des finaudes et des pas grand chose. Alors comme alors, j’ai fait
une chanson sur les écaillères qui touchait tant soit peu sur les Nor
mands. Pour lors, voilà qu’un jour le nommé Tibert avait des raisons
avec un Rapiat, et qu'il lui chante ma chanson; que tout-a-coup le sus
nommé Rapiat s’élance sur moi comme un vrai eocodrille, et m’abime de
sottises a cause de ma chanson...» (Ici Maurielle s’arrête, tire de sa po
che uu paquet de papiers.)
41a chanson, messieurs,la voilà :Hum ! hum !... Les Normands,c’est....
M. le président. — Nous n’avons pas besoin de connaître votre chan
son.
Maurielle. —C’est dans la cause et je demande la parole. Il faut que
vous connaissiez ma chanson, qu’elle est fort agréable et sur l’air de la
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