Titre : Figaro : journal non politique
Éditeur : Figaro (Paris)
Date d'édition : 1871-07-08
Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication
Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 08 juillet 1871 08 juillet 1871
Description : 1871/07/08 (Numéro 11). 1871/07/08 (Numéro 11).
Description : Note : numérotation incomplète. Note : numérotation incomplète.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG69 Collection numérique : BIPFPIG69
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Description : Collection numérique : France-Brésil Collection numérique : France-Brésil
Droits : Consultable en ligne
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
LE FIGARO .G SAMEDI 8 JUILLET 1871
assez grande pour un tel service, mais per-
sonne ne songe à ce citoyen obscur et mo-
deste qui dans tout autre pays serait comblé
de louanges et d'honneur. Pays oublieux qui
ne sait plus même être juste
L'injustice a été en partie réparée, mais
après l'Etat qui a fait son devoir, il ne me
déplairait pas de voir les citoyens offrir à
M. Ducatel un témoignage de sympathie
et de reconnaissance, ne fùt-ce par exem-
ple qu'une croix d'honneur enrichie de
diamants.
# Le Droit donne de curieux détails
sur l'association de citoyennes patriotes
d'où sont sorties les pétroleuses. Cette as-
sociation, provoquée par des affiches d'une
violence inouie, avait pour inspiratrice
une Russe nommée Olga Dmitrieff; elle
installa dans la mairie du 10° arrondisse-
ment un comité central qui a eu sa part
dans les catastrophes des derniers jours.
A leur entrée dans la capitale, les soldats
'le l'armée régulière trouvèrent partout au
bout de leurs fusils les femmes affiliées à
l'association mystico-guerrière. Le 23 mai, il
en partit cinquante de la mairie du 10« ar-
rondissement pour se rendre aux différents
points menacés.
Elles défendirent notamment les barricades
qu'elles avaient elles-mêmes élevées rue Pi-
galle plusieurs d'entre elles s'y firent tuer;
d'autres furent prises les armes à la main
d'autres furent arrêtées après le rétablisse-
ment de l'ordre.
Olga Dmitrieff a échappé, mais on a
arrêté une certaine Nathalie Du val qui
l'avait aidée dans sa conception. Cette
malheureuse a voulu s'asphyxier, elle
est tombée sur le réchaud allumé par elle
et s'est cruellement brûlée ses cris ont
attiré les voisins; on l'a sauvée, puis on a
pu l'interroger et ses révélations ont été
fort intéressantes.
Pressée de questions par ce magistrat, la
citoyenne Nathalie, qui est originaire de
Brest, finit par avouer le rôle qu'elle avait
joué au comité central. Elle déclare que ce
comité, qui s'était donné pour mission d'at-
tiser les passions révolutionnaires, armait les
femmes décidées à combattre et leur ensei-
gnait le maniement du fusil. Les exercices
avaient lieu tous les jours dans la cour de la
mairie.
Plus tard, c'était le Comité central féminin
qui enrôlait les pétroleuses, leur distribuait
les substances incendiaires et éxplosibles, in-
diauant à chacune d'elles la tâche qui lui
Après une "oerre att«i désaMreufe ft 'a dislocation de presque toutes !e& fortunes de Frinrie, i' Fe\a t îacile de re< onstitm-r r
et fo-iune par un bri'lant mariage av. toutes es co' v-iianecs téui.i'-s; cr. en ntte'gnant ce but si o("rft ation de u de Foy n'aura été st appreciéeel si méritoire que c/nm ces temps critiques. » N ta. A la ? u i e: d'un ici cliao.?. rt-f.iu.iii-,
àt foad en comble une administration comme celle de n. de Fot est un travail ai aidu et une dépeu-e t Ilemem «lippciui-ens",
CU'il tant sou cu'te ponrp.1 profession, kiu déeir d être n'ile à sou prochain, ses anciennes -Hatio s d'ja si cuimuen.
ges 45 années d'expérience et d'actes loyaux irréfragables et, a.tsi, fa fortune pour y perforer.
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Le jonrnal la 8emaine ~lnanciès,~e, fondé il y a s~eize ans, n'â pas int~on~p~ ~p~I~~ilo~'perldau:iége,
ni pendant l'insurrection.
CHAQUE NUMÉRO PARAISSANT LE SAMEDI MATIN CONTIENT
Le résumé' de la situation politique et financière, le bilan de la Banque, la revue de la Bourse de Paris, de Lyon, et des principales places
de l'Europe, les recettes des chemins de fer, les bilans des Sociétés de crédit, des articles d'appréciation sur toutes les valears françaises et
étrangères, les avis aux actionnaires: payements de coupons, versements, assemblées générales;'le tableau des cours de la Bourse pour
chaque jour de la semaine, etc.
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BOURSE DU 6 JUILLET 1871. Précéd | S VALEURS Prem. Plus Plus Dern Précéd | S CP VALEURS Prem. Plus Plus Dern. OBLIGATIONS Précéd Dern. VALEURS Précéd Dero. j^
Le mouvement se poursuit. Il '̃ admirable- clôtur. g g au comptant et àterme. cours", haut.- bas. cours elôtur. § au comptant et à terme. cours. haut. bas. cours. diverses. olôtur. cours. diverses.' clotur. cours.,
Le mouvement se poursuit. Il est admirable- ̃- ̃?, -̃ ̃ ̃ ̃“ -m « •
ment conduit, du reste. On sent la main de la ^~r" ,• •»«, f
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,hSSc^sSt^lS?^m1ot S S 85 :8 :3T^(& 85 Hit '85 95 5* II:: à:: °^!v:=:& t^ Z «••SÇSÇj:}^: | g:: SS^^u^ K:: »»
tantes. On fait des arbitrages en faveur du 81251. 41/2 9/0. terni 8175 82 25 990 50 9 NORD {C t "50 96" 50 100 f. 30/0.. 9\1 92.. 7" SIlésie
^TA£Ld!!rXr!!ZZnrm du ss 50 •̃: :47fc; :{ÎSfe VÏ ̃? 55» 8? T^& S8S 885 = z S8ï:S8fc 85!» 50 Î8Ï? 50 SSï«^uïïïiï«:
30/0 qui tient la corde en ce moment. 99250 9 J. jaùv term ""10' 967.n 500 f. 4 0/o.. 462 50 462 50
3 0/0, qui tient la, corde en ce moment. m 40 os c 0/0 emprunt 1871 jept.. 87 90 87 35 m ,n fCDf 45» }6o 18S3 coupures 500 f 4 0/0 «7 so 455 Jouissance. "1
Hier, ce fonds fermait à 55 85; il est à 56 10 87 40 15 O (non libéré). iterm 87 70 87 75 .5 87 25 gn j ™i iterm Comuninalcs 3 O/o!v;(. 378 75 Bourgogne
après 6 20. On discute le cours rond de 56 fr. & 70 M c 0/0 emprunt 1871 (cpt.. 85 25 8i 80 » san 5- d'obligations 78.. 75.. Jouissance 127 50
comme on a discuté celui de 55 fr. 5 (libéré) Itêrm Ho" 10" '^»™™M'E- & «g g« Foncier colonial (ancien).«?.. ̃̃̃ ̃̃ LWbe .•••••.
i L'emprunt est à «7 70. Les primes fin prochain «2 50 50 obugat. Du trésor, j. janv. i cpt J" 10 •• • •• ^nov •–• frm JJ Z vme delarisi^ToTo^ im v. GaTcêntoi0. sôô::
se négocient à des écarts énormes. On n'ose 3200.. 35.BANQCED:EFRANCE.J.]uin.lcpt..3200.3235.. 635 10..MIDI.tcpt.. 605.600.. Ville de Paris 1852 5 0/0 1125 Gazcentral. 500.
se négocient à des écarts énormes. On n'ose 3200.. 35. banque de france. J. juin. cpt.. 3200 3235.. Janv 63125 j Ja'nv -"Iterm ̃̃̃'̃ iffl-18W 18*5-1860 1860 415.. 4lj> •• Gaz général.
pas en vendre. Qui sait ce qui peut arriver «s» comptoIR ^«mpte |cPt 635.. 635.. m_ 10 OT^LL. 520.. 510.. z gg ^75 S8» iSÏefemfcHs:
d'icilàî KJ1!to J'~v; y (/-m •: •; •• 5J250 J. awil (term ̃- Seine 18»' 215 ? 210- Voitures.-Cie des Omnibus 680.. 675..
L'Italien fait 56 75, coupon de 2 50 détache. :««•; 5.: société générale çpt.. 547 50 M5 m (cpt m m -Lille. 92. voitures déplace, 210.. 21750
Voici les coupons qui ont été'd6tachés au- 5iS 75 125 J. avril. iterm 550 U5 M7 50 5.. CHARENTES.Ícpt.t60.t60.. Lille. 9~ voitures de pla~e. 210.. 217
Voiciles coupons qui ont été détachés au- i^75 1S> J.avr.l.. term 550 545.. 54750 «g» 5 w}^ T. Y. '.Y. V. Orléans»» «B Forges-Grand'combe
Jour u. Il importe e en tenir compte dans la ET 18is 1000. Lins.-31aberly
jourd'hui. 11 importe d'en tenir compte dans la 550 •; • •• Tm^?.?™ tePm 87750 50 3 75 autrkh.ens.. (cPt.. 830 836 25 ns 833 75 7- Z \mïbïï.V:™" **™ ï^n^ïëB^q.Y.\Y: 405 iio ..}
comparaison des cours d'unjour à l'autre 4 50' •- *“«“ (r.n, <»i Zl 882 50 • •• 750 J- juillet .(term 835.. 836 25 830.. 835.. central 293 75 Wi oblig.-Cie générale des Eaux 395
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Crédit industriel, 10 fr Midi. _a fr.; Nord, 34 fr.; m ̃ 1 25 crédit agricole |cpt.. 5J875 ms 75 3 75 J. mai [terra 372 »0 370 371 a> *^£fâ ^tVrranéës O/o": sa 50 soo Magasins généraux 425.
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qu^ottomane, 12 50; Crédit foncier d'Autriche, 380 5 crédit foncieh sdusb. | cpt.. 381 25 375.. M ÎZ™ï'r"Z'rZ iZ^à a'e^ïm"Y"
40 fr.; Mobilier espagnol, 80 fr.; Autrichiens, 882 50 «S0 crédit foncier autrichien., fept.. 840 8i5 œ nobd de l Espagne |opt.. 63 63.. 3 0^0 75 3to Emprunt ^'S^Vptien 170
40fr Kst-Hongrois.Gfr.-Nord-Ôuest d'Autri: 882 5» • •• '-1"^ l««™ -•« «a» 7» 5O'"iIU,^gf Hit n M Est i w sô «S vTeT^eCisis?. l" •« 50 •"
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l^JS!S*-r"M11*lH -:î :=:– :ft ~tï~ T. S:: "SWr-& KSK&ft- g S ~O %̃] éàc^SSi^wE ?-
dans leurs prix de la veille. term J' jUin terni Bonslombards r de 187' 50 .t9.) Romam.-Emprunt. 56
dansleurspnx delà veille. 'M'enn J.jum.tterm r. de 1875 9- p,gmont.-0bltsattonsl83a50/0.
1 Tniiteraftpiitioii du marché est ponpflntrpesnr *75 algérienne fept.. 475 475., 183 75 185 ts PAQ0EBOTS-TRA*SATLANTlo.{cpt.. 183 75 185.. ï" de 1876 125 *9î 50 PI • .JW05010–- 3«>
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Sur les autres valeurs, les affaures sont nulles. 5915 .05 J.janv '{term 5690 90 57., 5650 5660 80- 1125 25 J.iuiUet (term 65. 6875Romtins }« i« •• f^gloômmiâet d'Autriche: is*" 253""
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Lescheminssonttrèsfermes.maissansliauœe 44750 190.. s canal desu^z (cpt.. 187 50 195.. 1™?$^™*™ m" ira" Emprunt rai» i 1/2 S*j/â 86."
nouvelle. 460. J.janv.(term 190 r. 750 J.juillet (term 187 SO 197 50 portugais 117" 118 Bu8seî2S 3i9 •• m ••
ILs Gaz est bIen tenu. Ii¡)' 130 5 f~pt.. 130 125 Portugais. 117. _9..
I ^^SîSat^te30/0estrestéeà56O, i •"S™ïï IS" ïï • ïï •" ^A '•" '.V. » Y. î__d^J!^EEEE ^Y »V. ^S^^Ey^ ̃«» 25 "S 7:\
L-Empruntafeméà^^L'itaueyst^eo ?- -^ïï£zzz\ Z:\ im .ï>w«yyy.yy:y:yyyyyyM^ & » S» ^I^!y^yyyyyyy.yyyy: K S: ^JH^ff&S.^ "J»j»««
Paul Paul lm"al m PÉRUVM ept~. 7650 li, 50 730 J_ 1450 J. tieml 7.W 730.. M 73:Í. 7W m 50 Suez.1i 0/0 0/0. 300. W8 75 28125
1 1 1 .1- 1- 1
Le Rédaoteur en cte^aérant H. Dfi VILLEMESSANT. ? u
était réservée et le lieu où elle devait l'ac-
complir.
La femme Nathalie Duval est depuis long-
temps séparée de son mari, industriel aussi
honnête qu'habile dans sa profession et jouis-
sani de la considération générale. >
Elle a été mise à la disposition de la jus-
tice.
Beaucoup de journaux, en province
surtout, où une certaine presse a gardé le
ton du Mot d'ordre et du Cri du peuple,
ont nié l'existence des pétroleuses.
Les Parisiens ont la berlue, disent-ils
ils ne voient que pétrole et qu'incendiai-
res, c'est un prétexte pour se débarrasser
des citoyennes bien pensantes. Pour un
rien, ces bons journaux auraient nié les
incendies.
Il laut espérer que ces saints Thomas
communards consentiront maintenant à
être convaincus.
Francis Magnard.
̃ ♦
COURRIER DES THEATRES
:i concours *v- Conservatoire
Les concours annuels du Conservatoire
n'auront pas lieu, comme d'habitude, dans le
courant de ce mois. Les études ont été trop
souvent interrompues, les élèves trop peu
nombreux pour qu'il y ait lieu de décerner
des récompenses cette année.
La réouverture de l'Opéra, que nous avions
annoncée pour vendredi prochain, aura lieu
mercredi 12 juillet.
On jouera la Muette.
Mazaniello MM. Villaret ,'1~
'̃ Pietro Caron
1- Fenella Mlle Fiocre
Les théàtres sont ouverts, très bien, ils
font un peu d'argent, tant mieux; mais ils
ne peuvent que donner des reprises et dame,
on ne va pàs loin avec des vieilleries.
Il est urgent qu'on lève cette interdiction
qui pèse sur les pièces nouvelles.
Si nous devons avoir encore une censure
qa'Anastie– se fasse connaître. Si onlaisse
les directeurs responsables, qu'où le dise.
Chaque jour, M. de Beauplan qui a
trente mille livres de rentes est dérangé
par un directeur qui lui apporte un manus-
crit.
Me permettez-vous de jouer cette ma-
chine-là, dit l'impressario il n'y a aucune
allusion politique.
A VENDRE DBADDIfiTE1 Fg-d'Antrain, 17,
unE dOLIB Ptl~i lliL~ 1~ Fg~d:A)1tI:ain, 11,
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Salles à manger particulières.
Restaurant à la carte.
Billards.
Il Café. Fumoir.
Non, répond M. de Beauplan.
Me la défendez-vous ? 1
Non, répond encore le directeur des
théâtres.
Toujours non, e'est très bien; mais une
fois oui, ce serait mieux.
C'est ce que nous demandons.
Mardi madame Thiers donnait une soirée.
artistique.
L'opéra y était représenté par madame
Gueymard et M. Perrin il y avait aussi MM.
A. Thomas et M. Reber. M. Jules Simon et
plusieurs députés étaient de la petite fête.
Madame Gueymard a chaudement défendu,
près de M. Jules Simon, la subvention de
l'Opéra..
Je ne fais pas ce que je voudrais, a dit
le ministre.
Un député, M. X, s'adressant alors à ma-
dame Gueymard, lui a promis que, comme en
1848. il prendrait la parole à la chambre pour
défendre les intérêts de notre première scène
lyrique.
Bravo! M. X.
Hier, MM. Harmant, Plunkett et Charles
Comte se sont présentés chezM. Husson, pour
protester contre le droit des pauvres qu'on
portait à 5 0[0.
Le directeur de l'Assistance publique a reçu
ces messieurs d'une façon très courtoise et
leur a dit que le droit resterait à 3 010.
Le? trois directeurs se sont retirés enchan-
tés et doivent voir demain MM. Thiers et
J. Simon pour tâcher d'obtenir que le provi-
soire devienne définitif.
Couderc est en ce moment assez souffrant.
C'est pour cette raison que le nom de l'émi-
nent artiste ne figure pas parmi ceux qui
composent la troupe de l'Opéra-Comique. Ce
n'est que vers le mois de septembre que la
réorganisation du théâtre sera complète, en
vue d'une brillante campagne d'hiver,
i
•̃vr
Le premier ouvrage que les artistes du
Théâtre-Lyrique, réfugiés à l'Athénée, vont
donner, c'est Martin.
Le rôle de Lyonel sera rempli par M. Du-
wast, un charmant ténor qui, après avoir dé-
buté chez M. Carvalho dans les Joyeuses
Commères, de Nicolaï, a tenu avec succès son
emploi à Bruxelles et dans les principales
villes de province.
Nous vous avons raconté qu'on avait|dé-
fendu à M. Cogniard de représenter une pan-
tomime, les Infortunes. de Pierrot.
Costumes et décors, tout était prêt.
e U
inPlïTl' après décès de M*8 Desbueitx,
ïliii I II artiste dramatique.
A l'Hôtel des ventes mobilières, salle ne 4.
Le mardi 11 juillet 1871, à 1 heure précise.
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beaux brillants, bracelets, bagues, broches,
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entourage de diamants.
Il y aura exposition le jour de la vente, de
midi à 1 heure.
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Après cette interdiction, le directeur du
Château-d'Eau a réuni ses artistes et leur a
dit
Mes enfants, j'ai voulu vous faire gagner
votre vie, on ne me l'a pas permis; ma pièce
est défendue, je n'ai rien à jouer. Je ferme
donc mon théâtre jusqu'au mois de septem-
bre.
Si vous voulez tenter la fortune par une
reprise, je vous donnerai ma salle pour rien.
Immédiatement les artistes se sont mis en
société et demain ils joueront
La crime de la rue de la Ciseraie, drame en
cinq actes, de M. G. Marot.
Bonne chance.
M. Strange., directeur de l'Alhambra de Lon-
dres, est depuis trois jours à Paris.
Cet impressario anglais vient offrir à la
ville de Paris deux millions cinq cent mille
francs pour l'immeuble du Châtelet.
vww
Dans quelques jours les Variétés donneront
Polichinelle, cette pièce qui obtenu un si
grand succès au Théàtre-Déjazet.
C'est M. Vannoy qui jouera Polichinelle.
On ne pouvait faire un meilleur choix.
M. Vannoy, pendant la Commune de si-
nistre mémoire était â Genève, où il a
donné quelques représentations avec made-
moiselle Vannoy, sa fille, revenue avec lui à
Paris. ̃̃••-
La semaine prochaine M. Gabel débutera
au Palais-Royal dans une pièce de notre con-
frère Quatrelle de la Vie parisienne.
Titre Un sapeur.
Auber, le véritable musicien français, avec
Hérold et Adolphe Adam, avait des antipa-
thies et des sympathies musicales très ac-
centuées.
Il pouvait estimer l'homme et détester ou
ne pas pouvoir souffrir le compositeur.
C'est pour cette raison que Hector Berlioz
et lui ne furent jamais d'accord,
Evidemment les deux génies différaient.
On demanda un jour à Auber pourquoi il
n'ouvrait pas sa porte à Berlioz.
Je ne demanderai pas mieux quand
il aura cuvé son vin.
Cette parole serait dure pour l'auteur des
Troyens- si l'on n'expliquait pas qu'Auber
trouvait la musique de Berlioz trop spiri-
tueuse et montée en couleur.
Nous venons de lire une lettre, perdue sur
le boulevard et ouverte, car nous ne nous
fussions pas permis de la décacheter.
Elle est de cette écriture fine, un peu an-
glaise, qui est celle d'une charmante comé-
Proposition! exceptionnelles
1/TlHTI? après décès de M. L. hôtel Drouot,
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Mes Ph. Lechat et Lebrun, comm.-priseurs.
JOURNAL FINANCIER
Rédacteur en chef: 1. ROUSSET (5e année).
Chaque semaine un numéro contenant L'His-
toire politique et financière de la semaine; le
Récit des mouvements de la Bourse et de leurs
causes; les Listes officielles des tirages de rem-
boursements de primes et lots; l'Annonce des
payements d'interéts et de dividendes les
Bulletins des recettes; les Rapports des Compa-
gnies en un mot, tous les renseignements in-
téressant les détenteurs de valeurs, et, de plus,
un bulletin commercial et agricole.
Prix de l'abonnement pour les 52 numéros de
l'année, 6 fr. pour paris, 8 fr. pour les départe-
ments. Envoyer franco le montant de l'abonne-
ment en mandat sur la poste à M. I. ROUSSET,
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Bourse de Paris ou qui se négocient en banque,
de l'encaissement des coupons, des versements,
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la griffe pointue. I
Voyezplutôt: I
« Mon cher X.
« A partir d'aujourd'hui, ma porte vous se-
« ra ouverte tous les jours de la semaine
précédente! »
Et pour signature, sans salut, X.
Si ce n'est pas une naïveté, c'est une jolie
impertinence.
Qu'en pense le monsieur qui a oublié sur
l'asphalte cette intéressante épitre?
M. Eugène Grangé va publier, chez Michel
Lévy, un recueil des chansons populaires
ayant pour titre les Versaillaises.
Il y en a une dont le refrain se termine
ainsi
« Vlà les communeux t. Serrezl'argenteriel. »
Une triste histoire pour finir.
Hier, nous avons rencontré Laurent, l'ex-
cellent comique de cette pauvre Porte-Saint-
Martin.
Laurent était triste.
Qu'avez-vous donc, lui demandâmes
nous.
-Ne m'en parlez pas, depuis trois jours je
suis tout chose, et ce bon garçon avait des
larmes dans la voix.
-Mais qu'y a-t-il?
Eh bien, figurez-vous que dimanche à
Champs vous savez que j'habite une petite
maisonnette à la campagne j'ai été té-
moin d'une scène horrible.
Un Prussien hussard, je crois prit
une boutique pour un Rambuteau. Le pa-
tron de la maison court à lui et dit
Misérable vous ne voyez donc pas que
ma femme est là.
L'Allemand tire son sabre du fourreau, lève
le bras, l'habitant de Champs fait un pas en
arrière et. c'est sa petite fille, une amour
de quatre ans, qui reçoit le coup. Elle a eu
le crâne fendu.
Laurent, le comique Laurent, avait les
larmes aux yeux en me racontant cela. Riez
si vous le pouvez, j'étais aussi ému que lui.
Gustave Lafargue.
On écrit de Vichy
Le Casino continue à jouir de la faveur du
public; les concerts, sous l'habile direction
d'Accursi, sont toujours très suivis, et une
troupe d'artistes qui ne déparerait pas nos
scènes parisiennes, alterne avec les concerts
par un répertoire choisi de comédies, vaude-
villes et opérettes. ̃
nidaeUur «a chef-Girard a. DB ti£LBMW»4IIS
soanm~ nu~e
Des sommes, variant jusqu'à 50,000 franc» et plus, ont souvent été piyées camp tant par m. de Foy à uHX^ntermédjairfc
pour son concours dans la conduite du mariage d'uue veuve ou d'une demoseile. Ce rôle qui, d'usage, n'était rempli que par
des hommes tii-ur<*« aux affaires, peut l'être, aussi, par des dames du monde n'avant infime qu ure aptitude secondaire,
mais toujours guidées, pas à f.as, par les lumières de h. de Foy, dont la médiation reste oceul'e. C'est donc, ijans ces
temps critiquas un do. ble moyen de ressource* pour tous le« intermédiaires en général « Agir san< frais, gagnfr des
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bord de cette période à jamais mémorable, qui
va du 18 septembre 1810 au -29 janvier 1871.
Les six numéros du Siège de Paris en com-
prennent les cent trente-quatre journées.
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vralgie, épilepsie, paralysie, les accidents du retour d'âge,
vice et pauvreté du sang, sueurs diurnes et nocturnes, ny-
assez grande pour un tel service, mais per-
sonne ne songe à ce citoyen obscur et mo-
deste qui dans tout autre pays serait comblé
de louanges et d'honneur. Pays oublieux qui
ne sait plus même être juste
L'injustice a été en partie réparée, mais
après l'Etat qui a fait son devoir, il ne me
déplairait pas de voir les citoyens offrir à
M. Ducatel un témoignage de sympathie
et de reconnaissance, ne fùt-ce par exem-
ple qu'une croix d'honneur enrichie de
diamants.
# Le Droit donne de curieux détails
sur l'association de citoyennes patriotes
d'où sont sorties les pétroleuses. Cette as-
sociation, provoquée par des affiches d'une
violence inouie, avait pour inspiratrice
une Russe nommée Olga Dmitrieff; elle
installa dans la mairie du 10° arrondisse-
ment un comité central qui a eu sa part
dans les catastrophes des derniers jours.
A leur entrée dans la capitale, les soldats
'le l'armée régulière trouvèrent partout au
bout de leurs fusils les femmes affiliées à
l'association mystico-guerrière. Le 23 mai, il
en partit cinquante de la mairie du 10« ar-
rondissement pour se rendre aux différents
points menacés.
Elles défendirent notamment les barricades
qu'elles avaient elles-mêmes élevées rue Pi-
galle plusieurs d'entre elles s'y firent tuer;
d'autres furent prises les armes à la main
d'autres furent arrêtées après le rétablisse-
ment de l'ordre.
Olga Dmitrieff a échappé, mais on a
arrêté une certaine Nathalie Du val qui
l'avait aidée dans sa conception. Cette
malheureuse a voulu s'asphyxier, elle
est tombée sur le réchaud allumé par elle
et s'est cruellement brûlée ses cris ont
attiré les voisins; on l'a sauvée, puis on a
pu l'interroger et ses révélations ont été
fort intéressantes.
Pressée de questions par ce magistrat, la
citoyenne Nathalie, qui est originaire de
Brest, finit par avouer le rôle qu'elle avait
joué au comité central. Elle déclare que ce
comité, qui s'était donné pour mission d'at-
tiser les passions révolutionnaires, armait les
femmes décidées à combattre et leur ensei-
gnait le maniement du fusil. Les exercices
avaient lieu tous les jours dans la cour de la
mairie.
Plus tard, c'était le Comité central féminin
qui enrôlait les pétroleuses, leur distribuait
les substances incendiaires et éxplosibles, in-
diauant à chacune d'elles la tâche qui lui
Après une "oerre att«i désaMreufe ft 'a dislocation de presque toutes !e& fortunes de Frinrie, i' Fe\a t îacile de re< onstitm-r r
et fo-iune par un bri'lant mariage av. toutes es co' v-iianecs téui.i'-s; cr. en ntte'gnant ce but si o("rft ation de u de Foy n'aura été st appreciéeel si méritoire que c/nm ces temps critiques. » N ta. A la ? u i e: d'un ici cliao.?. rt-f.iu.iii-,
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3 0/0, qui tient la, corde en ce moment. m 40 os c 0/0 emprunt 1871 jept.. 87 90 87 35 m ,n fCDf 45» }6o 18S3 coupures 500 f 4 0/0 «7 so 455 Jouissance. "1
Hier, ce fonds fermait à 55 85; il est à 56 10 87 40 15 O (non libéré). iterm 87 70 87 75 .5 87 25 gn j ™i iterm Comuninalcs 3 O/o!v;(. 378 75 Bourgogne
après 6 20. On discute le cours rond de 56 fr. & 70 M c 0/0 emprunt 1871 (cpt.. 85 25 8i 80 » san 5- d'obligations 78.. 75.. Jouissance 127 50
comme on a discuté celui de 55 fr. 5 (libéré) Itêrm Ho" 10" '^»™™M'E- & «g g« Foncier colonial (ancien).«?.. ̃̃̃ ̃̃ LWbe .•••••.
i L'emprunt est à «7 70. Les primes fin prochain «2 50 50 obugat. Du trésor, j. janv. i cpt J" 10 •• • •• ^nov •–• frm JJ Z vme delarisi^ToTo^ im v. GaTcêntoi0. sôô::
se négocient à des écarts énormes. On n'ose 3200.. 35.BANQCED:EFRANCE.J.]uin.lcpt..3200.3235.. 635 10..MIDI.tcpt.. 605.600.. Ville de Paris 1852 5 0/0 1125 Gazcentral. 500.
se négocient à des écarts énormes. On n'ose 3200.. 35. banque de france. J. juin. cpt.. 3200 3235.. Janv 63125 j Ja'nv -"Iterm ̃̃̃'̃ iffl-18W 18*5-1860 1860 415.. 4lj> •• Gaz général.
pas en vendre. Qui sait ce qui peut arriver «s» comptoIR ^«mpte |cPt 635.. 635.. m_ 10 OT^LL. 520.. 510.. z gg ^75 S8» iSÏefemfcHs:
d'icilàî KJ1!to J'~v; y (/-m •: •; •• 5J250 J. awil (term ̃- Seine 18»' 215 ? 210- Voitures.-Cie des Omnibus 680.. 675..
L'Italien fait 56 75, coupon de 2 50 détache. :««•; 5.: société générale çpt.. 547 50 M5 m (cpt m m -Lille. 92. voitures déplace, 210.. 21750
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Voiciles coupons qui ont été détachés au- i^75 1S> J.avr.l.. term 550 545.. 54750 «g» 5 w}^ T. Y. '.Y. V. Orléans»» «B Forges-Grand'combe
Jour u. Il importe e en tenir compte dans la ET 18is 1000. Lins.-31aberly
jourd'hui. 11 importe d'en tenir compte dans la 550 •; • •• Tm^?.?™ tePm 87750 50 3 75 autrkh.ens.. (cPt.. 830 836 25 ns 833 75 7- Z \mïbïï.V:™" **™ ï^n^ïëB^q.Y.\Y: 405 iio ..}
comparaison des cours d'unjour à l'autre 4 50' •- *“«“ (r.n, <»i Zl 882 50 • •• 750 J- juillet .(term 835.. 836 25 830.. 835.. central 293 75 Wi oblig.-Cie générale des Eaux 395
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Crédit industriel, 10 fr Midi. _a fr.; Nord, 34 fr.; m ̃ 1 25 crédit agricole |cpt.. 5J875 ms 75 3 75 J. mai [terra 372 »0 370 371 a> *^£fâ ^tVrranéës O/o": sa 50 soo Magasins généraux 425.
Espagne. ExtO'lrieure et Intérieure, 11/2; Paga- 626 2~ 123 CRÉDIT AGRICOLE 1 Cpt.. 518 75 5U1 75 373 3 75 J. mai 37250 Lyon-Méditerranée 5 0/0. 5U~ 50 500..
rès,20fr.;Tabacsltaliens,15fr.;Péruvien,S50. ~25 375 .CREDITINDUSIRIELCOMMERC..(CPt.. 620. 620..450..25.NORDoOpEST-AUTRICHE.(CPt.. M 430.. 30;0. 305 ~~50 50
T^S^1S^ Ê* ?» cfn^!f=?=^:[& r- 88:: t:: :&=!̃•{& f?0:: t3?:: !g: g* gî? n^ttum»
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qu^ottomane, 12 50; Crédit foncier d'Autriche, 380 5 crédit foncieh sdusb. | cpt.. 381 25 375.. M ÎZ™ï'r"Z'rZ iZ^à a'e^ïm"Y"
40 fr.; Mobilier espagnol, 80 fr.; Autrichiens, 882 50 «S0 crédit foncier autrichien., fept.. 840 8i5 œ nobd de l Espagne |opt.. 63 63.. 3 0^0 75 3to Emprunt ^'S^Vptien 170
40fr Kst-Hongrois.Gfr.-Nord-Ôuest d'Autri: 882 5» • •• '-1"^ l««™ -•« «a» 7» 5O'"iIU,^gf Hit n M Est i w sô «S vTeT^eCisis?. l" •« 50 •"
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ipi'uï les coupons d'obligations. ™ » 8« •• i. jany.. Wm 165 ,55.. 168 75 «7 50 2 50 pampelune-saragosse i cPt.. *5.. « ̃• fflSS»: J:- îS^feiï"
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dansleurspnx delà veille. 'M'enn J.jum.tterm r. de 1875 9- p,gmont.-0bltsattonsl83a50/0.
1 Tniiteraftpiitioii du marché est ponpflntrpesnr *75 algérienne fept.. 475 475., 183 75 185 ts PAQ0EBOTS-TRA*SATLANTlo.{cpt.. 183 75 185.. ï" de 1876 125 *9î 50 PI • .JW05010–- 3«>
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Sur les autres valeurs, les affaures sont nulles. 5915 .05 J.janv '{term 5690 90 57., 5650 5660 80- 1125 25 J.iuiUet (term 65. 6875Romtins }« i« •• f^gloômmiâet d'Autriche: is*" 253""
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nouvelle. 460. J.janv.(term 190 r. 750 J.juillet (term 187 SO 197 50 portugais 117" 118 Bu8seî2S 3i9 •• m ••
ILs Gaz est bIen tenu. Ii¡)' 130 5 f~pt.. 130 125 Portugais. 117. _9..
I ^^SîSat^te30/0estrestéeà56O, i •"S™ïï IS" ïï • ïï •" ^A '•" '.V. » Y. î__d^J!^EEEE ^Y »V. ^S^^Ey^ ̃«» 25 "S 7:\
L-Empruntafeméà^^L'itaueyst^eo ?- -^ïï£zzz\ Z:\ im .ï>w«yyy.yy:y:yyyyyyM^ & » S» ^I^!y^yyyyyyy.yyyy: K S: ^JH^ff&S.^ "J»j»««
Paul Paul lm"al m PÉRUVM ept~. 7650 li, 50 730 J_ 1450 J. tieml 7.W 730.. M 73:Í. 7W m 50 Suez.1i 0/0 0/0. 300. W8 75 28125
1 1 1 .1- 1- 1
Le Rédaoteur en cte^aérant H. Dfi VILLEMESSANT. ? u
était réservée et le lieu où elle devait l'ac-
complir.
La femme Nathalie Duval est depuis long-
temps séparée de son mari, industriel aussi
honnête qu'habile dans sa profession et jouis-
sani de la considération générale. >
Elle a été mise à la disposition de la jus-
tice.
Beaucoup de journaux, en province
surtout, où une certaine presse a gardé le
ton du Mot d'ordre et du Cri du peuple,
ont nié l'existence des pétroleuses.
Les Parisiens ont la berlue, disent-ils
ils ne voient que pétrole et qu'incendiai-
res, c'est un prétexte pour se débarrasser
des citoyennes bien pensantes. Pour un
rien, ces bons journaux auraient nié les
incendies.
Il laut espérer que ces saints Thomas
communards consentiront maintenant à
être convaincus.
Francis Magnard.
̃ ♦
COURRIER DES THEATRES
:i concours *v- Conservatoire
Les concours annuels du Conservatoire
n'auront pas lieu, comme d'habitude, dans le
courant de ce mois. Les études ont été trop
souvent interrompues, les élèves trop peu
nombreux pour qu'il y ait lieu de décerner
des récompenses cette année.
La réouverture de l'Opéra, que nous avions
annoncée pour vendredi prochain, aura lieu
mercredi 12 juillet.
On jouera la Muette.
Mazaniello MM. Villaret ,'1~
'̃ Pietro Caron
1- Fenella Mlle Fiocre
Les théàtres sont ouverts, très bien, ils
font un peu d'argent, tant mieux; mais ils
ne peuvent que donner des reprises et dame,
on ne va pàs loin avec des vieilleries.
Il est urgent qu'on lève cette interdiction
qui pèse sur les pièces nouvelles.
Si nous devons avoir encore une censure
qa'Anastie– se fasse connaître. Si onlaisse
les directeurs responsables, qu'où le dise.
Chaque jour, M. de Beauplan qui a
trente mille livres de rentes est dérangé
par un directeur qui lui apporte un manus-
crit.
Me permettez-vous de jouer cette ma-
chine-là, dit l'impressario il n'y a aucune
allusion politique.
A VENDRE DBADDIfiTE1 Fg-d'Antrain, 17,
unE dOLIB Ptl~i lliL~ 1~ Fg~d:A)1tI:ain, 11,
une joue rttUt lULlE à Rennes
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Ililllu hôtel Drouot, salle n° 6,
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modes à dessus de marbre, belles armoires a
portes pleines, bibliothèque vitrée, secrétaire à
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Table d'hôte (200 couverts).
Salles à manger particulières.
Restaurant à la carte.
Billards.
Il Café. Fumoir.
Non, répond M. de Beauplan.
Me la défendez-vous ? 1
Non, répond encore le directeur des
théâtres.
Toujours non, e'est très bien; mais une
fois oui, ce serait mieux.
C'est ce que nous demandons.
Mardi madame Thiers donnait une soirée.
artistique.
L'opéra y était représenté par madame
Gueymard et M. Perrin il y avait aussi MM.
A. Thomas et M. Reber. M. Jules Simon et
plusieurs députés étaient de la petite fête.
Madame Gueymard a chaudement défendu,
près de M. Jules Simon, la subvention de
l'Opéra..
Je ne fais pas ce que je voudrais, a dit
le ministre.
Un député, M. X, s'adressant alors à ma-
dame Gueymard, lui a promis que, comme en
1848. il prendrait la parole à la chambre pour
défendre les intérêts de notre première scène
lyrique.
Bravo! M. X.
Hier, MM. Harmant, Plunkett et Charles
Comte se sont présentés chezM. Husson, pour
protester contre le droit des pauvres qu'on
portait à 5 0[0.
Le directeur de l'Assistance publique a reçu
ces messieurs d'une façon très courtoise et
leur a dit que le droit resterait à 3 010.
Le? trois directeurs se sont retirés enchan-
tés et doivent voir demain MM. Thiers et
J. Simon pour tâcher d'obtenir que le provi-
soire devienne définitif.
Couderc est en ce moment assez souffrant.
C'est pour cette raison que le nom de l'émi-
nent artiste ne figure pas parmi ceux qui
composent la troupe de l'Opéra-Comique. Ce
n'est que vers le mois de septembre que la
réorganisation du théâtre sera complète, en
vue d'une brillante campagne d'hiver,
i
•̃vr
Le premier ouvrage que les artistes du
Théâtre-Lyrique, réfugiés à l'Athénée, vont
donner, c'est Martin.
Le rôle de Lyonel sera rempli par M. Du-
wast, un charmant ténor qui, après avoir dé-
buté chez M. Carvalho dans les Joyeuses
Commères, de Nicolaï, a tenu avec succès son
emploi à Bruxelles et dans les principales
villes de province.
Nous vous avons raconté qu'on avait|dé-
fendu à M. Cogniard de représenter une pan-
tomime, les Infortunes. de Pierrot.
Costumes et décors, tout était prêt.
e U
inPlïTl' après décès de M*8 Desbueitx,
ïliii I II artiste dramatique.
A l'Hôtel des ventes mobilières, salle ne 4.
Le mardi 11 juillet 1871, à 1 heure précise.
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entourage de diamants.
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midi à 1 heure.
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exclusivement à l'Hôtel.
Ecuries. Remises.
Chambres, depuis. 3 fr.
Salons, depuis. 8 fr.
Après cette interdiction, le directeur du
Château-d'Eau a réuni ses artistes et leur a
dit
Mes enfants, j'ai voulu vous faire gagner
votre vie, on ne me l'a pas permis; ma pièce
est défendue, je n'ai rien à jouer. Je ferme
donc mon théâtre jusqu'au mois de septem-
bre.
Si vous voulez tenter la fortune par une
reprise, je vous donnerai ma salle pour rien.
Immédiatement les artistes se sont mis en
société et demain ils joueront
La crime de la rue de la Ciseraie, drame en
cinq actes, de M. G. Marot.
Bonne chance.
M. Strange., directeur de l'Alhambra de Lon-
dres, est depuis trois jours à Paris.
Cet impressario anglais vient offrir à la
ville de Paris deux millions cinq cent mille
francs pour l'immeuble du Châtelet.
vww
Dans quelques jours les Variétés donneront
Polichinelle, cette pièce qui obtenu un si
grand succès au Théàtre-Déjazet.
C'est M. Vannoy qui jouera Polichinelle.
On ne pouvait faire un meilleur choix.
M. Vannoy, pendant la Commune de si-
nistre mémoire était â Genève, où il a
donné quelques représentations avec made-
moiselle Vannoy, sa fille, revenue avec lui à
Paris. ̃̃••-
La semaine prochaine M. Gabel débutera
au Palais-Royal dans une pièce de notre con-
frère Quatrelle de la Vie parisienne.
Titre Un sapeur.
Auber, le véritable musicien français, avec
Hérold et Adolphe Adam, avait des antipa-
thies et des sympathies musicales très ac-
centuées.
Il pouvait estimer l'homme et détester ou
ne pas pouvoir souffrir le compositeur.
C'est pour cette raison que Hector Berlioz
et lui ne furent jamais d'accord,
Evidemment les deux génies différaient.
On demanda un jour à Auber pourquoi il
n'ouvrait pas sa porte à Berlioz.
Je ne demanderai pas mieux quand
il aura cuvé son vin.
Cette parole serait dure pour l'auteur des
Troyens- si l'on n'expliquait pas qu'Auber
trouvait la musique de Berlioz trop spiri-
tueuse et montée en couleur.
Nous venons de lire une lettre, perdue sur
le boulevard et ouverte, car nous ne nous
fussions pas permis de la décacheter.
Elle est de cette écriture fine, un peu an-
glaise, qui est celle d'une charmante comé-
Proposition! exceptionnelles
1/TlHTI? après décès de M. L. hôtel Drouot,
V'Iinlllt salle no 6,
Le jeudi 13 juillet 1871, à une heure et demie.
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commodes, tables de nuit, chiffonnier, table à
ouvrage, chaises et fauteuils, coffre à bois,
buffet-étagère, desservoir, tables et chaises de
salle à manger, lampes, suspension, cartel;
meuble de salon acajou et velours rouvre de
neuf pièces; belle garniture de cheminée, jolies
pendules Louis XVI et autres, glaces, rideaux;
bureau en palissandre, table, cartonnier, coffre-
fort bon lingè de ménage, literie porcelaine et
cristaux, batterie de cuisine, débarras; argen-
terie, 14 kilog.; bijoux montre et chaîne en or,
épingles à cheveux en brillants et en roses,
broche et boutons en diamants.
Mes Ph. Lechat et Lebrun, comm.-priseurs.
JOURNAL FINANCIER
Rédacteur en chef: 1. ROUSSET (5e année).
Chaque semaine un numéro contenant L'His-
toire politique et financière de la semaine; le
Récit des mouvements de la Bourse et de leurs
causes; les Listes officielles des tirages de rem-
boursements de primes et lots; l'Annonce des
payements d'interéts et de dividendes les
Bulletins des recettes; les Rapports des Compa-
gnies en un mot, tous les renseignements in-
téressant les détenteurs de valeurs, et, de plus,
un bulletin commercial et agricole.
Prix de l'abonnement pour les 52 numéros de
l'année, 6 fr. pour paris, 8 fr. pour les départe-
ments. Envoyer franco le montant de l'abonne-
ment en mandat sur la poste à M. I. ROUSSET,
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la vente et de l'achat des valeurs cotée.» à la
Bourse de Paris ou qui se négocient en banque,
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2« classe 25 Ir. BO «ch. B doll.
3e classe 20 fr. 16 sch. 4 doll.
dienne, qui, pour n'avoir pas de prétention, a I
la griffe pointue. I
Voyezplutôt: I
« Mon cher X.
« A partir d'aujourd'hui, ma porte vous se-
« ra ouverte tous les jours de la semaine
précédente! »
Et pour signature, sans salut, X.
Si ce n'est pas une naïveté, c'est une jolie
impertinence.
Qu'en pense le monsieur qui a oublié sur
l'asphalte cette intéressante épitre?
M. Eugène Grangé va publier, chez Michel
Lévy, un recueil des chansons populaires
ayant pour titre les Versaillaises.
Il y en a une dont le refrain se termine
ainsi
« Vlà les communeux t. Serrezl'argenteriel. »
Une triste histoire pour finir.
Hier, nous avons rencontré Laurent, l'ex-
cellent comique de cette pauvre Porte-Saint-
Martin.
Laurent était triste.
Qu'avez-vous donc, lui demandâmes
nous.
-Ne m'en parlez pas, depuis trois jours je
suis tout chose, et ce bon garçon avait des
larmes dans la voix.
-Mais qu'y a-t-il?
Eh bien, figurez-vous que dimanche à
Champs vous savez que j'habite une petite
maisonnette à la campagne j'ai été té-
moin d'une scène horrible.
Un Prussien hussard, je crois prit
une boutique pour un Rambuteau. Le pa-
tron de la maison court à lui et dit
Misérable vous ne voyez donc pas que
ma femme est là.
L'Allemand tire son sabre du fourreau, lève
le bras, l'habitant de Champs fait un pas en
arrière et. c'est sa petite fille, une amour
de quatre ans, qui reçoit le coup. Elle a eu
le crâne fendu.
Laurent, le comique Laurent, avait les
larmes aux yeux en me racontant cela. Riez
si vous le pouvez, j'étais aussi ému que lui.
Gustave Lafargue.
On écrit de Vichy
Le Casino continue à jouir de la faveur du
public; les concerts, sous l'habile direction
d'Accursi, sont toujours très suivis, et une
troupe d'artistes qui ne déparerait pas nos
scènes parisiennes, alterne avec les concerts
par un répertoire choisi de comédies, vaude-
villes et opérettes. ̃
nidaeUur «a chef-Girard a. DB ti£LBMW»4IIS
soanm~ nu~e
Des sommes, variant jusqu'à 50,000 franc» et plus, ont souvent été piyées camp tant par m. de Foy à uHX^ntermédjairfc
pour son concours dans la conduite du mariage d'uue veuve ou d'une demoseile. Ce rôle qui, d'usage, n'était rempli que par
des hommes tii-ur<*« aux affaires, peut l'être, aussi, par des dames du monde n'avant infime qu ure aptitude secondaire,
mais toujours guidées, pas à f.as, par les lumières de h. de Foy, dont la médiation reste oceul'e. C'est donc, ijans ces
temps critiquas un do. ble moyen de ressource* pour tous le« intermédiaires en général « Agir san< frais, gagnfr des
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