Titre : Figaro : journal non politique
Éditeur : Figaro (Paris)
Date d'édition : 1871-07-06
Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication
Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 06 juillet 1871 06 juillet 1871
Description : 1871/07/06 (Numéro 115). 1871/07/06 (Numéro 115).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG69 Collection numérique : BIPFPIG69
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Description : Collection numérique : France-Brésil Collection numérique : France-Brésil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k274187w
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
Ut FIGAJRO JEUDI « JUILLET 1871
litiques et théoriques, il y a toujours de
petits moyens. nous signalons quelques
lignes du Moniteur du t'uy-de Dôme qui
mettent le daigt sur la plaie et qui ex-
pliquent bien des choses. Après avoir
constaté la défaite de son parti, ce journal
ajoute.
Pendant ces huit derniers jours, plus de
trente nplle numéros de YEclaireur et de la
République des paysans ont été colportés
dans le département, d siribués gratis aux
électeurs, à son de trompes ou de tambou-
rins, lus et commentés, au cabaret, sur les
places publiques, jusqu'au milieu des champs,
par des émissaires envoyés de la ville, et qui
mettaient à la besogne un zèie et une ardeur
-sans pareils. A-t-on rencontré quelque part
un seul délégué des comités conservateurs
libéraux, accomplissant, au nom du parti de
l'ordre, et tians Timéiôt des candidats du
parti de l'ordre une samblable mission? Nous
en doutons. >
Quoi d'étonnant alors que les électeurs ru-
raux de la sorte catéchisés et endoctrinés
n'aient fini à prêter l'oreille aux sollicitations
des sectaires qui ne reculent ni devant les
calomnies les plus lâches ni devant les men-
songes les plus impudents, et faire^carrément
défection ? R
Ce que tout le monde constate, c'est
l'échec absolu, brutal, du parti bonapar-
tiste. M. Rouher échouant devant -M. Mes-
treau, un ex-préfet du 4 septembre; et M. de
-Soubeyran, M. Magae ne passant que
comme conservateurs. C'est avec bien de
la justesse que \a.Gazette de France enterre
les bonapartistes sous un argument fort
net
<*r,.
Ces, partisans du système plébiscitaire in-
voquent toujours le suffrage universel, décla-
rant qu'ils sont résolus d'avance à en accep-
ter le verdict: Le suffrage universel vient de
se prononcer contre-leurs personnes; qu'ils
s'inclinent une fois pour toutes devant sa dé-
cision.
#*# Et pour finir cette promenade élec-
.torâle, une jolie nouvelle à la main de
l'Indépendance belge sur les inconvénients
du scrutin de liste.
Un jour, M. Grévy se promenait dans ses
campagnes du Jura. Il faut savoir que M.
Grévy est autant apprécié dans le Jura que
dans l'Assemblée, et que, bien avant qu'il fût
question de ressusciter le scrutin de liste, sa
recommandation y faisait passer les candi-
dats.
Donc il se promenait et eausait avec un
paysan, commentant une liste de candidats.-
Je crois bien que c'était vers les élections du
8 février.
Ça suffit que votre nom est dessus, mon-
sieur je n'ai pas besoin d'en savoir plus long.
Après- votre nom, vous mettriez ma paire de
bœufs que je voterais tout de même.
Donc, par le scrutin de liste, nous arrivent
toujours un certain nombre de paires de
bœufs.
#% Des télégrammes de New- York don-
nent comme certaine l'arrivée deCluseret
en. Amérique. Ce général en chambre se-
rait parvenu à quitter Paris sous une li-
vrée de domotique. M. Lissagaray, qu'on
avait dit arrêté près de Paris, serait pai-
siblement à Londres où l'on peut rencon-
trer, paraît-il, quinze membres de la Com-
Après une guerre au«i désastreuse et la dislocation Je presque '», utes les fortunes de France, il serait facile de reconstituer
sa ionnoe par un bnlant mariage avec toutes les cooveuances léuDies or en atte!gnaut ce but si épineux « Jamais la mé-
diation de » de Foy n'aura été si appréciée et si méritoire que dans ies temps critiques. » N ta. A la suite d'un tel ebaos, refondre,- h-
de mail eu comble, une administration comme celle de h. de Foy, est un travail si ardu et une dépense tellement dispendieuse,
qu'il faut son cn'te ponr sa profession, (on désir d'être utile à son prochain, ses anciennes relatious déjà si
étendues, ses 45 années d'expérience et d'actes loyaux irréfragable» et, aussi, "ta. fortune, pour y persévérer.
A VENDEE PpnnMfjiTïj1 Tg-d'Antrain, 17,
UNE *olij£ ïkm Mh lit a Rennes.
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VfrKJTfl par suite du décès de M C* rue
Ml M U d'Albe, n» J (Champs-Elysées), les
vendredi 7 et samedi 8 juillet, 6-1 h. précise, de:
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Baudin, 6, square Montholon.
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Exposition publique le jeudi 6 juillet 1871, de
1 heure à 5 heures.
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Im-nl'' n'V «"M ni "A 1 1 1 I L -I* seule reconnue infaillible ;pour
•̃̃H 1 i'Vl"n t H"lï Si H I 9 1 I Fa B embellir et régénérer les
j,uireii%iJ«iNiUjCAJLl JLlJQby %J JM Jr. ̃ cheveux ̃
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COELECTIip]> DB F$0ÉR&
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wwv Septembre 1870. janvier 1871.-
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1°. Collection comprenaat tous les numéros
paruBTÏu ;l« septembre au 28 février;
2° Collection comprenant tous les numéros
parus seulement depuis le 16 septembre.
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s'adresser chez MM. DOLLI1SGEN FILS et C, passage des Princes et à
l'Administration du journal, rue Rossini, 3. ̃
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JI'BU()A.I8.' h.l/2 ~TfiLET,.7,h~1~ :g:~ue~e~tE.~t-M,arc,1 Souriant. Petit
-̃ ̃ 1- ̃ -ïï- le Carier de M^. •̃ V, ,? ..̃ i kenbergr mesd. |. Stlfc» S^ St J
B Il -II Dr. 6 a., Siraudin, 1Delacour et An 2e Rete: Les Fleurs du sé- Bruyère El. Beil\ijard GP-ilevièvre ~3ophr mesd Sieliel et.
~.a;e.umas. Moreau. An 2" acte: Les Fleurs du sé~ Dufoure' PaMde Duchemin champs le père Latreille Paulin Lotçhen Gobert ~'MadeÍ~!U6 ~n
~4wt-r ̃ ̃. LesurqueetDu- ^hZaeimemsnyetseize ^Xt0 ^«ssart Baptiste BucaiUe PS Ubâ?etS Picard Gettmie Vittié Barte RoS ihf
œ fflsr « Jffl» e^i^LéonH™. u.^ • gg, |& S>V. fiST ^£ P >^oa S^&^&^r,. ̃
ofchelieu "Lêrou£'bosc LaeressoIpIiére La Uanne' de Damoclê8 LA',catrdlonnel CoD ~alia JKerkohtr Ferdinand Blanchette-prince qU~U d~èt~ Ho~gtep'OmSI UtlSoIn-
Ma 1zotidie Jérôme -choppard P.-Memer 1 i., Léon M;zury.. Les Papa~zd Aliatole Raoul 0 e Joseph Maillard al, ar fidele que d'entèaetm compositlon
~&~ Jérôme Latouche c.-v. 1 il., Léon M,aury. Auguste Walter Cliosoff Rhéal Rosaftéra P. Lyon F
C Richard Daubaiiton Emmanuel Dormet H ugus e pauvre- un -tapissier Paul la fée Violente Delorme t
MET SSSli l«n gST" gSonami ?oeuUr Rations charge V ;dramat, M=n LtSÙTornet iîfe ^KéresÉS ^P = Brasserie du mDEa^ n W
ais Tronchet Joliquét Lerny lsidore- BonalI!1 Tous.a ques et littéraires, par Lemer. Mme Dufouré.. mesd. Alphonsine la mère Chiendent Jea1Ùt, roi ,la bIère, ,musique de Léon CLUNV, 7 h. OM.
~~1~ ~D~ S~ cM~ mend. Alemtti Cléopâtre Prjston- I~î~ ~u~ ~O~
̃̃ mesd. Lafontaine maître de poste Theol LUCl,e mesdAizitfu Henry Monmer (M. Prudhom- Emmeline Pal^e Musfenflùte Lacroix Zerbinette P Avril S Pqssey; légende au roi Gam- ïlon César de Bazau
M» de Prie Ed. Riquet mesd. Lacressonnîére Paulme ViMer Lagneau "«"Mélingne,Bngtoie Morand Justine Bilhault l'Bmeraude Aiiita bnnus, musique d'O. Métra. elhm
Manette, Dewmtre Jeanne mesd, P.Deshayes Pauline t* -Tnoietdes Prunes, par les Suzanne Nordmann Pauuae d'Estrées un Page Lambert Vilmimi.. lMt_ 5 actes.
Jeanne ̃ • ̃̃̃̃ *reres uonnet. le Paon Sophie vaise a Olivier Métra.. •
Bachel, quand du Seigneur. Un plaideur, par un avocat.
,Une. Une idée par jour, par un pu- -Quatre grands ballets nouveaux
CWBEVasip 111 S/4 Annibal Saiat- Aubin buciste. '*f composés et réglés par M. '̃ s–
w»b«^SK, n. 3/4. philomèln Bêlant Hamburger Poésie et roman, par un grand ̃>̃̃' Justament. r.
,> E,e DénicH. da ien Çlodion Noirot grand poète. • GAWWB, 7 h. 0/0 mm ̃
-.L Le Démon du leu Clodion" 'Noirot grand poète. ~i" 'J GARTU 7 h. 0/0 Danseuses FOL.-DB.B4.'I' 7 h.O/O 7 v.
OP.-COMIOra!7h.l/4 c. 5 ac, Barrière et Crusafulli. Benisf ^"mid vluf ™en.éP -eptiqUeS' par m PAI^IS-BOYA1«S7 h. 1/2 • Chatte blanche Danseuses POli.-DB.*JML* 7 h. 0/0 BKACMA»Cîn., 7 h. 6tf
7 h.l/4 Darsrelèa iAndrni mad L'Amour vaincu, ballet-divertis- La Chatte blanche Mesd.Hennecart.Biiisseret.Lu- PJé d F
^?iâ, SZ l^«4'^ ï™e^M?JSS: ̃̃ ^Mli»^ «S,SS La Prêtre fraîches «“ de Fe»M.
.Godelet pSo~ pi6eefant2aHCo~~ Une Vernet, Virginie Magny. 1 J Re d m.EmileJonasetFos.ey' Au~i~it~~er-' v. 1 acte, p. 1 a. de Mirrèle.
oc,Mmn, Raoul '• PuM Biécefant 2a Hmoniort ^ec le concours de Mm« Maï- v. 1 a. J. Renard. m. EmUe Jonas et Fossey Antonia, Petit, Mézama, Mer- v. 1 acte, p. 1 a. de Mirréle.
RELACHS Sain^Amant Trafn J>iece fant. 2 a., H. Cogniard. guérite Avril, Blanche de Va- leroiMatapa Alexandre cèdes, Férus, Clary, Camille, Mf.~dastl
̃̃•̃é ̃• ••̃ 'Saint-Amant Bolstoï SS?ay Bernard Vollet ̃ ÏÏ^'liï*™1' miois> Zoé> Kn Eoamn A~ le roi M^et Graver" Huss, Leontine et Èlodie. G^ton M.e?dasti
>• Bertrand Ulric Reyoused 2 a., H&mbufger My' etC- Blànehede Va- Fb BoalUon d«we heures prince Punpondor Gaillard Cf> Hfnrietti» ™a* ?et£ + Polde»
Carioa ,BtondeI Reyoused Rau]in~° via <~ndin Petitpatappn Grivot Caroline mesd Bury d. 6 a., Ducanre et <-
StSUr ESsis èt^du serai! bonnet ̃ 1 a. Siraudin, Moreau. KS^W. ?S_i. f^f «? d. 6 »., Ducan.e et Pixérécourt.
.̃ -̃ homme Victor, sérail id. Noiroi Vifiippndbs Gaspard Justme Ciémentme
S'joueur Ismaiï id. Videix ̃̃ le Régent -Gaspard AlïBB6îïT.r!««« ih i/o •j'oiaer de Passon
1TAMEIWS, 0 h. 0/0 'un croupier Bîaisot Rodolphe mesd. Daudoird V4.CI65''V8ï s w 1 h t/2 Paris ventre à terre Forte-Echii- Deiorme «m– » ™«j-^wm. i u. i/^ •_ ̃ • tia-on de Stéoyen Franck
^mjMM^a, u u. w/u un earçoû de jeu Wey Nell<«i Milla •AUJk.tiiAB, i n. i/A • BrjUlancoun Colleuille- te Canard à trais becs. gte d Assenfeld i.eonce
,ITA.LIENS, 0 h. un âemeatique Léon ̃"• ICeressà Leontirie c. 3 a. Barrière, Stapléaux. FitiombonpiM-' Mallftt v de nuit S a. Jules Moinaux, *redarick Nevers
un qowestique Léon. Xeressa Leontme, !e.Perroq~}et Lenfant ,mus. E. Jonas, Dmnan F8i'I'è 1
'AméHe mesd Fromeiitin Trembollina Lagneau T'es ]Faux bonshommes de Pontopisé pellarin Fine-Oreille Henry. cir. 1) a., Ed. Bauby. mus. B. Jonas Georges Fabre"
•CLOTURE ANNUELLE ^Klb^^«e, II de nTIne^â^f -• -• Bar^e ct.Capend, gf S^ gjffl?. %£™&: BoU^ -n O8teW Vautnier ^Zn^
CLOTURE ANNUELLE mlle 0,,Iberg Maznier id., marine Jouassant 00111. ,1 ~I. Barl'lère et,Çapendu. Bean,cornet Llwfltler Bourrasque, VlzeutlJll Gottlieb Randoux Van Bonntronch Girardot Guillaume Alexandre Il
CLOTURE A.NNUELI$ re fa Domme Georgina Axanëra- cœS~ Fd~~ ,Adhem.deVél-asoyPrJ8tou TrmqJlefort' Demay Otto Moiitiouis SpanièlIo Girardot un domestique Roblain £
mère la Douane Camille un facteur Cg¡llJla ?Sr Brindeau, de Coffrefer Lassouehe le Grând-Duè Xavier wilhelm S~"S.S Mendasti Ysel 1Uesd Lemiére
'̃' • ̃ ̃ ̃' speck erine ̃ ̃ • » Cnutentas Speck Catherine Nêvers/V
La Rédacteur en chef-Gérant H. DE VELLEMBSSANT.
mune, tous fusillés par les nouvellistes.
La Liberté, toujours bien renseignée,
annonce de nouvelles arrestations, d'a-
bord cflle du sieur May, ex-intendant gé-
néral de la Commune.
Depuis le 22 mai, il se cachait dans une
maison borgne de la rue Serpente, où sa
maîtresse lui apportait à manger. Hier, le
beau temps et l'ennui le décidèrent à sortir,
il s'habilla en femme ainsi que son frère
les communeux aiment beaucoup ce déguise-
ment-là et se mit en route. Tout alla bien
jusqu'au boulevard Saint-Michel. Mais là,
au moment où il allait arriver au coin du
boulevard Saint-Germain, un agent de la
sûreté le reconnut.
Madame est étrangère? dit-il d'un ton
aimable en s'approchant.
Je suis Français, riposta May, oubliant
son sexe dans son trouble
Immédiatement arrêté, ainsi que son frère,
May va avoir des comptes étrangement em-
brouillés à rendre sur sa gestion. Il aura à
répondre d'usurpation de fonctions et de
dilapidation des deniers de l'Etat.
V
On aurait également mis la main sur
un certain Barête, notable' seulement par
quelques idées originales. Il avait écrit à
la Commune pour demander la pluralité
des femmes dans le mariage et proposé,
dans un club, un, décret qui prononçait
la suppression de Dieu.
#*# Maintenant, voici une assez grosse
histoire empruntée au Journal de Bruxelles.
Elle mérite un démenti solennel. Nous ne
manquerons pas de tenir nos lecteurs au
courant. Voici la chose que je résume le
plus possible.
M. Laluyé est un ancien avoue la cour
impériale de Paris, qui fut compromis avec
M. Jules Favre dans le fameux procès de cap-
tation qui lui fut intenté par la famille Odiot.
Brouillé plus tard avec son ancien ami, M.
Laluyé lui intenta un procès à son tour à
propos d'une affaire de mur mitoyen.
Dans ce procès, M. Jules Favre accusa M.
Laluyé d'avoir falsifié le contrat sur lequel
il s'appuyait. M. Laluyé, qui n'est pas endu.-
rant, se laissa aller jusqu répliquer :t C'est
vous qui êtes un faussaire et je vous le prou-
verai >, faisant allusion à certains faits de
l'affaire Qdiot. Depuis lors, M. Laluyé, retiré
des affaires et deyenu vieux, ne cessa de
poursuivre d'une haine mortelle .son ancien
ami. En dernier lieu,, il remit à M. Minière
copie des actes authentiques et des lettres
sur lesquels il faisait reposer son accusation
de faux contre l'illustre avocat.
Une partie de «es documents fut publiée
par M. Millière dans le Vengeur; si bien
que M. Laluyé, à un titre ou à un autre,
se rapprocha des gens de Ta Commune, et
que lors de l'entrée des troupes il fut ar-
rêté.
-Un commissaire fit une perquisition an do-
micile de M. Laluyé, et y trouva, outre quel-
ques correspondances insignifiantes avec M.
Minière, d'autres papters plus importants,
parmi lesquels une lettre de M. Jules Favre,
remontant à l'époque du procès Odiot.
Le commissaire de police, se trouvant saisi
de cette lettre, dont il sentit l'importance au
premier coup d'œl, demanda des instruc-
tions en, haut lieu pour savoir ce, qu'il^ fallait
faire de cette lettre.
On fit prier M. Laluyé d'en ordonner là re-
TERRES EN BRETAGNE
A vendre à l'amiable, ensemble ou séparément.
TROIS METAIRIES, situées toutes les trois
de un à deux kilométres de Vannes, savoir
le Une métairie de 18 h. 36 a. 15c, louée 1,500 fr.
2° Une métairie de 19 h. 65 a. 95 c, d'une va-
leur locative de 1,600 fr.
S" Une métairie de 7 h. 50 a. 13 c. louée 600 fr.
On pourrait vendre aussi une autre métairie
en St-Jean-Brévelay (Morbihan), contenance
18 h. 31 a. 08 c., fermage 700 fr.
S'ad. à McL*MiUiY, notaire à Vannes (Morbihan)
POP-"IT-â S à vendre, s'attelant seul et à
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XIU&) ̃ fl&ai neuve. Eue de l'Entrepôt, 4.
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jolie parfumerie, 15,000fr.-S'adr. à M. Liebbe,
-rue du 4 Septembre, 8.
La première collection sera expédiée, par re-
tour du courrier, contre un mandat de 35 fr.;
la seconde ^contre, un mandat de 32 &
Ces chiffres représentent purement et simple-
ment les prix d'abonnement.
Dargelès Landroi Il L'Amour vaincu, ballet-divertis- Il 14esd. Simon Cazassus Dely, Lu- La Première traieheul' ge e emme
Dargelés Landr()l sement, dansé par MUes Léon- Cie, Simon, Féerie en 24 t. Cogniard fréres; Elavid A Vt Ù Hudson' de Femm
Bolstoï Murray Bernard Vollet Solary, etc. 1ja Icouluen d'ouze lieures prince Punpondor Gaillard 1 Henr~ette mesd L.Breton .f.
1 Thérése çamIUe; un facteur ~e~at Poponet Delannoy :.1lchel Valaire le RubIS-Balai'Alexandre F. Hanstrapp Mangin Chutentas Speck Catherlne' Nevers i\.
mise-volontaire à M. Jules Favre, mais l'an-
cien avoué répondit par ces mots peut-être
un peu tragiques pour la circdnsfaiKJe: « Vous
pouvez me fusiller, mais je ne consentirai pas
à la restitution de cette lettre. » Depuis lors,
M Làliiyé est toujours en prison, au secret,
et plusieurs de ses de
la situation faite à un homme que son âge
rend digne d'intérêt, se sont décidés à deman-
der à M. le garde des seeaux sa mise en liber-
té. Il-est probable qu'elle sera accordée, car,
à part ses relations- avec M. Minière, qui lui-
même ne faisait pas partie de la Commune,
M. Laluyé ne s'est rendu coupable d'aucun
fait qualifié crime ou délit. w
N'est-ce pas M. Jules Favre qui a sou-
tenu sous l'Empire la cause de l'avocat
Sandon, dont la situation avec M. Billault
était à peu près analogue à celle de M.
Laluyé?
#\ On parle beaucoup de-Çarl Marx,
qui passait pour le grand inspirateur de
l'Internationale et qui s'est brouillé tout
récemment avec ses amis. Paris-Journal
a eu communication d'une lettre fort
.curieuse où ce Karl Marx condamne
comme prématuré le mouvement commu-
nal de Paris.
Vos amis et-vous, écrivait-il à un des chefs
du mouvement, n'avez pas suffisamment tenu
compte de l'imbécillité chauvinesqué spéciale
au peuple français, et qui, suivant moi, doit
étre un obstacle sérieux au succès de notre
grande cause.
La population des provinces surtout ne"
manquera pas d'attribuer à -Bismarck, cassé
maître en fait de machinations diaboliques
pour nuire à ses ennemis, la révolution du
18 mars, et cela seul peut suffire à rallier au
gouvernement des bourgeois de Versailles
caux-là mêmes qui, en tout autre temps,
eussent marché avec nous sous la bannière de
l'affranchissement des travailleurs.
•.Ne vous le dissimulez pas de même que
Paris, assiégé par Guillaume, ne pouvait rien
sans-le secours du reste de la France, que
cet iMSÊciLii de Gambetta a réussi à désorga-
niser, comme s'il eût été payé pour cela, de
même la Commune de |Pans, assiégée par
Thiers et Jules Favre, est fatalement condam-
née à succomber, si un mouvement irrésisti-
ble de la province né vient la débloquer, mo-
ralement surtout.
Or, les travailleurs français sont encore
les moins intelligents de tous nos affiliés.
Plutôt que de devoir leur émancipation une
apparence de secours de l'étranger, surtout
de l'Allemagne,-ils préféreront rester sous
l'odieux esclavage du capital.
Puis, après avoir démontré que si Paris
triomphait, M. de Bismarck se chargerait
delà pacification de la France, Karl Marx
ajoutait
Je ne puis malheureusement vous dire ni
tout ce que je sais, ni tout ce que je pres-
sens mais si ma voix,. autorisée, je crois,
pouvait être de .quelque influence sur les
membres du Comité central, entre .les mains
de qui la Commune, n'est évidemment qu'une
marionnette, je leur dirais;.
Arrêtez-vous sur cette pente fatale pour
notre cause, qui est celle de l'humanité.
Traitez plutôt avec Versailles. Le, moment
n'est pas-venu, et les éclesions prématurées
n'ont jamais été que des avortements désas-
treux,
Désarmez et recueillez-vous. x
Nous ne sommes encore que trois millions
FORTUNES
VFftITI? par suite de cessation de commerce
flillill de M. Dieust, fabricant de meubles,
et en vertu d'une autorisation du tribunal de
commerce de la Seine,
De BEAUX MEUBLES NEUFS en acajou, pa-
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Rue du Faubourg-Saint-Antoine, n° 86.
Les luntii 10, mardi 11, mercredi 12 et jeudi
13 juillet 1871, à une heure.
m« «EMU lechat, commissaire-priseur, rue
Baudin, 6. square Montholon.
Exposition publique le dimanche 9 juillet 1871,
de midi à 5 heures.
VENTE aux enchères publiques, en vertu d'or-
donnance enregistree, et après décès de
Mœo de tU, d'un
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Les mardi 11 mercredi 12 et jeudi 13 juillet
18H, 2 heures très précises.
Exposition publique chaque jour de vente, de
midi à 2 heures, ̃
Par le ministère de M« A. GuittAOSiR Claye,
commissaire -priseur, boulevard Sébastopol, 55.
»CSXI«7
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Va; rué de Provence, Paris (6«on?i««). Prêts
sur Titres, vente et achat au comptant. Ordres
de Bourse. Payement de coupons. Renseigna-
ments sur toutes valeurs, etc., etc.
la mm t. HiîGiif
l *® rne Notre JDan»e des- Victoires
"r' ̃̃̃"̃"̃ '̃̃' · ;Al>AR|8
qui n'a pas cessé de fonctionner, même pendant
lescnses terribles que nons avons iraversées, a
donneur d'informer le public que le service des
Avances sur Titres et des Ordres de Bourse continue
a se faire comme par le passe avec la dIus
grande régularité.
Bureaux et caisse ouverte de 10 à 4 heures.
tout au plus. Dans vingt ans, nous serons cin:
quante, cent millions peut-être. Alors, le
monde nous appartiendra, car ce ne sera pas
seulement Paris, Lyon, Marseille qui se sou-
lèveront contre l'odieux capital; mais Berlin,
Munich, Dresde, Vienne, Londres, Liveipool,
Manchester, Bruxelles, Saint-Pétersbourg,
New-Yoi k, le monde entier enfin.
Et devant cette insurrection universelle,
comme l'histoire n'en a pas encore connue,.
le passé disparailra comme un hideux cau-
chemar, «car l'incendie populaire, allumé sur
cent points à la fois comme une immense au-
rore, en détruira jusqu'au souvenir. »
Communiquez mes vœux et mes appréhen-
sions à nos amis, et méfiez-vous prudemment
des faux frères. Assi, bien que des nôtres,
m'inspire plus particulièrement des doutes. Il
est habile, mais trop habile.
#*«. Le Bien Public donne une nouvelle
qui ferait plaisir aux journaux, si elle se
réalisait.
La question du timbre sur les journaux
n'est pas encore résolue. Nous avons lieu de
croire qu'on s'arrêtera à 3 centimes pour les
journaux publiés à Paris, et que les feuille-
tons ne seront pas frappés d'ùa droit pénal.
On a renoncé à l'impôt sur le papier, à cause
de l'immense difficulté de la perception.
Sur la question des cautionnements –>
auxquels on ne renonce pas il.s'est dit
des choses énormes. M. Picard est cer-
tainement un homme d'esprit, mais je
trouve sa franchise voisine dé l'impudence
quand il déclare, qu'après le 4 septembre,
on a aboli le cautionnement pour flatter
la manie libérale du peuple, pour aider à
la fondation des aimables feuilles qui
nous ont prépare le 18 mars, mais, qu'au
fond, le gouvernement ne croyait pas un
mot de ce qu'il-faisait.
On a- rappelé également que sous l'em-
pire, à propos de la question des caution-
nements, ce fut M. Picard qui déferra M.-
Otentoa mais l'argument le plus comique,
c'est celui de la nécessité du cautionne-
ment pour garantir. "les paiements des
amendes. La bonne farce alors pourquoi
ne pas faire payer 1$ port d'armes cin-
quante mille francs à Paris et trente mille
firaacs en province, sous prétexte de ga-
rantie contre les accidents qui peuvent
résulter du maniement des armes à feu.
La vraie raison des cautionnements, on
la connaît c'est que tous les gouverne-
ments, république ou a anarchie, ont jbe-
soin- d'argent pourquoi ne pas le dire
naïvement, ce serait plus honnête.
e Francis Magnard.
COURRIER DES THEATRES
Ce soir
Concert populaire au Cirque national, sons
la direction de M. Pasdeloup..
Mademoiselle Priola se fera entendre dans
l'air du Frtyschutz. 1
Conversation d'un ministre et d'un direc-
teur de théâtre.
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recteur, je vous demande pardon de vous
avoir dérangé, mais je crois que vous cumu-
lez deux emplois rétribués par le gouverne-
ment. Si je ne me trompe, vous êtes directeur
d'un théâtre subventionné et bibliothécaire
de l'Etat.
LE directeur Cela fl.st vrai, M. la minis-
tre seulement, comme bibliothécaire, j'ai re-
noncé à mes émoluments.
tE ministes. Je dois reconnaître qne
c'est la vérité, je ne vous parlerai donc du
Jogement, du chauffage et de l'éclairage que
pour mémoire. Seulement, comme bibliothé-
caire, vous occupez la place d'un homme de
lettres qui serait bien heureux de ce qui vous
est inutile.
'LE directeur. M. le ministre doit avoir
raison.
LE MINISTRE. J'en suis tellement per-
suadé que je me vois forcé de vous prier
d'opter pour le théâtre ou pour la biblio-
thèque.
LE directeur. Si monsieur le minis-
tre le permet, je resterai à la bibliothèque
de l'arsenal.
LE ministre. Très bien.
r •••• ̃• ̃̃
Personnages
Le ministre. m. j. si mon.
L'administrateur du
Théâtre Français
bibliothécaire' de -'̃•
l'arsenal m. thierry.
On a dit qn' Alexandre Dumas avait laissé
deux pièces; il en existe une troisième en
collaboration avec M. Georges de Chaville.
Titre Le Fils du Forçai cinq actes.
Ce drame avait été bien accueilli, à la lec-
ture, au théâtre de la Porte-Saint-Martin, du
temps de Marc Fournier qui s'y connaissait;
mais, allez donc frapper à cette porte à l'heure
qu'il est.
On nous répondra
Il n'y a plus de portes, et les maîtres
sont absents 1
Cependant, l'œuvre subsiste.
A qui le lot 1
Il est question d'un gros procès que fe-
raient l'Assistance public et la Société des
auteurs, à un directeur d'une de nos grandes
scènes parisiennes.
Depuis dix mois que l'Opéra est fermé, par-
mi les artistes qui ont eu à souffrir, il en est
quelques-uns qui oat été frappés plus parti-
culièrement. Nous voulons parler des dan-
seurs et danseuses du corps de ballet.
En effet, les artistes du chant ont pu, pen-
dant le siège, donner quelques concerts en
société.
Mais les pauvres danseuses, quelle misère,
on ne peut pas se l'imaginer.
Mesdames Beaugrand et Colombier ont eu
la charitable idée de faire une souscription
en faveur des pauvres artistes dont nous ve-
nons de parler.
Nous ne doutons pas que les abonnés et le
public ordinaire de l'Opéra ne répondent à
l'appel de ces deux dames.
<0$:"
X
Maintenant, si j'osais, je dirais à la société
des artistes de l'Opéra
On annonce votre réouverture pour le ven-
dredi 14 juillet, donnez cette première re-
présentation au bénéfice du corps de ballet
Des sommes, variant jusqu'à à 50,000 francs et plus, ont souvent été pqyées comptant par m. de Foy à un iotermôdrams
pour son concours dans la conduite du mariage d'une veuve ou d'une demo seUe. Ce rôle qui, d'usage n'étit rempli que par
de» hommes trilurés aux affaires, peut l'être, aussi, par des dames du monde n'ayant même qu'une aptitude se 'ondairt'
mais toujours guidées, pas à pas, par les lumières de «. de Foy, dont la médiation reste occulte. C'est don. dans «s'
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œuvre qui vous portera bonheur.
Puis-je passer à la location prendre ma
stalle ? 1
MM. Georges Duval et Albert Richard vien-
nent de îeriainer un drame en cinq actes:
La décadence.
On a tant de fois parlé des engagements de
Caponl sans dire l'exacte vérité que nous
pensons pour ne pas nous tromper qu'il
vaut mieux laisser la parole à l'ex-ténor de
ro.:éra-Comique.
Voilà comment il raconte ses petites affai-
res dans une lettre à un de ses amis
« En effet, j'ai réussi au-delà de mes espé-
rances songez donc un répertoire et une
langue tout nouveaux pour moi.
J'ai signé pour l'Amérique une saison de
six mois, de septembre prochain à fin février
pour la somme ronde de cent mille tranes
Il n'y a vraiment que la carrière italienne
pour atteindre de pareils chiffres.
Je suis engagé pour Drury-Lane pour trois
saisons d'été, et vais traiter pour la Russie.
pour les saisons 72-73.
Comme,vous voyez j'ai du pain sur la
planche. »
Dès demain je file. des sons qui sait! l
On nous raconte une fait assez bizarre que
nous enregistrons sans commentaire.
La femme d'un Prussien, pièce en 3 actes,
fut jouée le 30 mars au théâtre des Célestins,
à Lyon.
Le jour de la première représentation de
ce drame, le théâtre fut brûlé.
La pièce fut portée, une semaine après,
aux Variétés, ayant pour interprètes les ac-
teurs des Célestins.
Le même jour un incendie se déclara en
face le théâtre.
Etait-ce hasard eu vengeance?
Nous savons maintenant pourquoi M. Ar-
nault, de l'Hippodrome, tenait tant à prendre
la direction de l'Opéra.
C'est qu'il voulait monter Zampa ou le
Cheval de bronze.
Gustave Lafargue.
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(consomption), daitres, éruptions, abcès. uicémions Md-
lsncolie, névrose épuisement, d6p6r!8sement,rhuma~sm&'
goutte" fièvre, griPPe~ rhume, catarrhe, échauffement, ne
vralgie, épilepsie paralysie, les ac~idents du retour Q'ÍlR8\.i
litiques et théoriques, il y a toujours de
petits moyens. nous signalons quelques
lignes du Moniteur du t'uy-de Dôme qui
mettent le daigt sur la plaie et qui ex-
pliquent bien des choses. Après avoir
constaté la défaite de son parti, ce journal
ajoute.
Pendant ces huit derniers jours, plus de
trente nplle numéros de YEclaireur et de la
République des paysans ont été colportés
dans le département, d siribués gratis aux
électeurs, à son de trompes ou de tambou-
rins, lus et commentés, au cabaret, sur les
places publiques, jusqu'au milieu des champs,
par des émissaires envoyés de la ville, et qui
mettaient à la besogne un zèie et une ardeur
-sans pareils. A-t-on rencontré quelque part
un seul délégué des comités conservateurs
libéraux, accomplissant, au nom du parti de
l'ordre, et tians Timéiôt des candidats du
parti de l'ordre une samblable mission? Nous
en doutons. >
Quoi d'étonnant alors que les électeurs ru-
raux de la sorte catéchisés et endoctrinés
n'aient fini à prêter l'oreille aux sollicitations
des sectaires qui ne reculent ni devant les
calomnies les plus lâches ni devant les men-
songes les plus impudents, et faire^carrément
défection ? R
Ce que tout le monde constate, c'est
l'échec absolu, brutal, du parti bonapar-
tiste. M. Rouher échouant devant -M. Mes-
treau, un ex-préfet du 4 septembre; et M. de
-Soubeyran, M. Magae ne passant que
comme conservateurs. C'est avec bien de
la justesse que \a.Gazette de France enterre
les bonapartistes sous un argument fort
net
<*r,.
Ces, partisans du système plébiscitaire in-
voquent toujours le suffrage universel, décla-
rant qu'ils sont résolus d'avance à en accep-
ter le verdict: Le suffrage universel vient de
se prononcer contre-leurs personnes; qu'ils
s'inclinent une fois pour toutes devant sa dé-
cision.
#*# Et pour finir cette promenade élec-
.torâle, une jolie nouvelle à la main de
l'Indépendance belge sur les inconvénients
du scrutin de liste.
Un jour, M. Grévy se promenait dans ses
campagnes du Jura. Il faut savoir que M.
Grévy est autant apprécié dans le Jura que
dans l'Assemblée, et que, bien avant qu'il fût
question de ressusciter le scrutin de liste, sa
recommandation y faisait passer les candi-
dats.
Donc il se promenait et eausait avec un
paysan, commentant une liste de candidats.-
Je crois bien que c'était vers les élections du
8 février.
Ça suffit que votre nom est dessus, mon-
sieur je n'ai pas besoin d'en savoir plus long.
Après- votre nom, vous mettriez ma paire de
bœufs que je voterais tout de même.
Donc, par le scrutin de liste, nous arrivent
toujours un certain nombre de paires de
bœufs.
#% Des télégrammes de New- York don-
nent comme certaine l'arrivée deCluseret
en. Amérique. Ce général en chambre se-
rait parvenu à quitter Paris sous une li-
vrée de domotique. M. Lissagaray, qu'on
avait dit arrêté près de Paris, serait pai-
siblement à Londres où l'on peut rencon-
trer, paraît-il, quinze membres de la Com-
Après une guerre au«i désastreuse et la dislocation Je presque '», utes les fortunes de France, il serait facile de reconstituer
sa ionnoe par un bnlant mariage avec toutes les cooveuances léuDies or en atte!gnaut ce but si épineux « Jamais la mé-
diation de » de Foy n'aura été si appréciée et si méritoire que dans ies temps critiques. » N ta. A la suite d'un tel ebaos, refondre,- h-
de mail eu comble, une administration comme celle de h. de Foy, est un travail si ardu et une dépense tellement dispendieuse,
qu'il faut son cn'te ponr sa profession, (on désir d'être utile à son prochain, ses anciennes relatious déjà si
étendues, ses 45 années d'expérience et d'actes loyaux irréfragable» et, aussi, "ta. fortune, pour y persévérer.
A VENDEE PpnnMfjiTïj1 Tg-d'Antrain, 17,
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~4wt-r ̃ ̃. LesurqueetDu- ^hZaeimemsnyetseize ^Xt0 ^«ssart Baptiste BucaiUe PS Ubâ?etS Picard Gettmie Vittié Barte RoS ihf
œ fflsr « Jffl» e^i^LéonH™. u.^ • gg, |& S>V. fiST ^£ P >^oa S^&^&^r,. ̃
ofchelieu "Lêrou£'bosc LaeressoIpIiére La Uanne' de Damoclê8 LA',catrdlonnel CoD ~alia JKerkohtr Ferdinand Blanchette-prince qU~U d~èt~ Ho~gtep'OmSI UtlSoIn-
Ma 1zotidie Jérôme -choppard P.-Memer 1 i., Léon M;zury.. Les Papa~zd Aliatole Raoul 0 e Joseph Maillard al, ar fidele que d'entèaetm compositlon
~&~ Jérôme Latouche c.-v. 1 il., Léon M,aury. Auguste Walter Cliosoff Rhéal Rosaftéra P. Lyon F
C Richard Daubaiiton Emmanuel Dormet H ugus e pauvre- un -tapissier Paul la fée Violente Delorme t
MET SSSli l«n gST" gSonami ?oeuUr Rations charge V ;dramat, M=n LtSÙTornet iîfe ^KéresÉS ^P = Brasserie du mDEa^ n W
ais Tronchet Joliquét Lerny lsidore- BonalI!1 Tous.a ques et littéraires, par Lemer. Mme Dufouré.. mesd. Alphonsine la mère Chiendent Jea1Ùt, roi ,la bIère, ,musique de Léon CLUNV, 7 h. OM.
~~1~ ~D~ S~ cM~ mend. Alemtti Cléopâtre Prjston- I~î~ ~u~ ~O~
̃̃ mesd. Lafontaine maître de poste Theol LUCl,e mesdAizitfu Henry Monmer (M. Prudhom- Emmeline Pal^e Musfenflùte Lacroix Zerbinette P Avril S Pqssey; légende au roi Gam- ïlon César de Bazau
M» de Prie Ed. Riquet mesd. Lacressonnîére Paulme ViMer Lagneau "«"Mélingne,Bngtoie Morand Justine Bilhault l'Bmeraude Aiiita bnnus, musique d'O. Métra. elhm
Manette, Dewmtre Jeanne mesd, P.Deshayes Pauline t* -Tnoietdes Prunes, par les Suzanne Nordmann Pauuae d'Estrées un Page Lambert Vilmimi.. lMt_ 5 actes.
Jeanne ̃ • ̃̃̃̃ *reres uonnet. le Paon Sophie vaise a Olivier Métra.. •
Bachel, quand du Seigneur. Un plaideur, par un avocat.
,Une. Une idée par jour, par un pu- -Quatre grands ballets nouveaux
CWBEVasip 111 S/4 Annibal Saiat- Aubin buciste. '*f composés et réglés par M. '̃ s–
w»b«^SK, n. 3/4. philomèln Bêlant Hamburger Poésie et roman, par un grand ̃>̃̃' Justament. r.
,> E,e DénicH. da ien Çlodion Noirot grand poète. • GAWWB, 7 h. 0/0 mm ̃
-.L Le Démon du leu Clodion" 'Noirot grand poète. ~i" 'J GARTU 7 h. 0/0 Danseuses FOL.-DB.B4.'I' 7 h.O/O 7 v.
OP.-COMIOra!7h.l/4 c. 5 ac, Barrière et Crusafulli. Benisf ^"mid vluf ™en.éP -eptiqUeS' par m PAI^IS-BOYA1«S7 h. 1/2 • Chatte blanche Danseuses POli.-DB.*JML* 7 h. 0/0 BKACMA»Cîn., 7 h. 6tf
7 h.l/4 Darsrelèa iAndrni mad L'Amour vaincu, ballet-divertis- La Chatte blanche Mesd.Hennecart.Biiisseret.Lu- PJé d F
^?iâ, SZ l^«4'^ ï™e^M?JSS: ̃̃ ^Mli»^ «S,SS La Prêtre fraîches «“ de Fe»M.
.Godelet pSo~ pi6eefant2aHCo~~ Une Vernet, Virginie Magny. 1 J Re d m.EmileJonasetFos.ey' Au~i~it~~er-' v. 1 acte, p. 1 a. de Mirrèle.
oc,Mmn, Raoul '• PuM Biécefant 2a Hmoniort ^ec le concours de Mm« Maï- v. 1 a. J. Renard. m. EmUe Jonas et Fossey Antonia, Petit, Mézama, Mer- v. 1 acte, p. 1 a. de Mirréle.
RELACHS Sain^Amant Trafn J>iece fant. 2 a., H. Cogniard. guérite Avril, Blanche de Va- leroiMatapa Alexandre cèdes, Férus, Clary, Camille, Mf.~dastl
̃̃•̃é ̃• ••̃ 'Saint-Amant Bolstoï SS?ay Bernard Vollet ̃ ÏÏ^'liï*™1' miois> Zoé> Kn Eoamn A~ le roi M^et Graver" Huss, Leontine et Èlodie. G^ton M.e?dasti
>• Bertrand Ulric Reyoused 2 a., H&mbufger My' etC- Blànehede Va- Fb BoalUon d«we heures prince Punpondor Gaillard Cf> Hfnrietti» ™a* ?et£ + Polde»
Carioa ,BtondeI Reyoused Rau]in~° via <~ndin Petitpatappn Grivot Caroline mesd Bury d. 6 a., Ducanre et <-
StSUr ESsis èt^du serai! bonnet ̃ 1 a. Siraudin, Moreau. KS^W. ?S_i. f^f «? d. 6 »., Ducan.e et Pixérécourt.
.̃ -̃ homme Victor, sérail id. Noiroi Vifiippndbs Gaspard Justme Ciémentme
S'joueur Ismaiï id. Videix ̃̃ le Régent -Gaspard AlïBB6îïT.r!««« ih i/o •j'oiaer de Passon
1TAMEIWS, 0 h. 0/0 'un croupier Bîaisot Rodolphe mesd. Daudoird V4.CI65''V8ï s w 1 h t/2 Paris ventre à terre Forte-Echii- Deiorme «m– » ™«j-^wm. i u. i/^ •_ ̃ • tia-on de Stéoyen Franck
^mjMM^a, u u. w/u un earçoû de jeu Wey Nell<«i Milla •AUJk.tiiAB, i n. i/A • BrjUlancoun Colleuille- te Canard à trais becs. gte d Assenfeld i.eonce
,ITA.LIENS, 0 h. un âemeatique Léon ̃"• ICeressà Leontirie c. 3 a. Barrière, Stapléaux. FitiombonpiM-' Mallftt v de nuit S a. Jules Moinaux, *redarick Nevers
un qowestique Léon. Xeressa Leontme, !e.Perroq~}et Lenfant ,mus. E. Jonas, Dmnan F8i'I'è 1
'AméHe mesd Fromeiitin Trembollina Lagneau T'es ]Faux bonshommes de Pontopisé pellarin Fine-Oreille Henry. cir. 1) a., Ed. Bauby. mus. B. Jonas Georges Fabre"
•CLOTURE ANNUELLE ^Klb^^«e, II de nTIne^â^f -• -• Bar^e ct.Capend, gf S^ gjffl?. %£™&: BoU^ -n O8teW Vautnier ^Zn^
CLOTURE ANNUELLE mlle 0,,Iberg Maznier id., marine Jouassant 00111. ,1 ~I. Barl'lère et,Çapendu. Bean,cornet Llwfltler Bourrasque, VlzeutlJll Gottlieb Randoux Van Bonntronch Girardot Guillaume Alexandre Il
CLOTURE A.NNUELI$ re fa Domme Georgina Axanëra- cœS~ Fd~~ ,Adhem.deVél-asoyPrJ8tou TrmqJlefort' Demay Otto Moiitiouis SpanièlIo Girardot un domestique Roblain £
mère la Douane Camille un facteur Cg¡llJla ?Sr Brindeau, de Coffrefer Lassouehe le Grând-Duè Xavier wilhelm S~"S.S Mendasti Ysel 1Uesd Lemiére
'̃' • ̃ ̃ ̃' speck erine ̃ ̃ • » Cnutentas Speck Catherine Nêvers/V
La Rédacteur en chef-Gérant H. DE VELLEMBSSANT.
mune, tous fusillés par les nouvellistes.
La Liberté, toujours bien renseignée,
annonce de nouvelles arrestations, d'a-
bord cflle du sieur May, ex-intendant gé-
néral de la Commune.
Depuis le 22 mai, il se cachait dans une
maison borgne de la rue Serpente, où sa
maîtresse lui apportait à manger. Hier, le
beau temps et l'ennui le décidèrent à sortir,
il s'habilla en femme ainsi que son frère
les communeux aiment beaucoup ce déguise-
ment-là et se mit en route. Tout alla bien
jusqu'au boulevard Saint-Michel. Mais là,
au moment où il allait arriver au coin du
boulevard Saint-Germain, un agent de la
sûreté le reconnut.
Madame est étrangère? dit-il d'un ton
aimable en s'approchant.
Je suis Français, riposta May, oubliant
son sexe dans son trouble
Immédiatement arrêté, ainsi que son frère,
May va avoir des comptes étrangement em-
brouillés à rendre sur sa gestion. Il aura à
répondre d'usurpation de fonctions et de
dilapidation des deniers de l'Etat.
V
On aurait également mis la main sur
un certain Barête, notable' seulement par
quelques idées originales. Il avait écrit à
la Commune pour demander la pluralité
des femmes dans le mariage et proposé,
dans un club, un, décret qui prononçait
la suppression de Dieu.
#*# Maintenant, voici une assez grosse
histoire empruntée au Journal de Bruxelles.
Elle mérite un démenti solennel. Nous ne
manquerons pas de tenir nos lecteurs au
courant. Voici la chose que je résume le
plus possible.
M. Laluyé est un ancien avoue la cour
impériale de Paris, qui fut compromis avec
M. Jules Favre dans le fameux procès de cap-
tation qui lui fut intenté par la famille Odiot.
Brouillé plus tard avec son ancien ami, M.
Laluyé lui intenta un procès à son tour à
propos d'une affaire de mur mitoyen.
Dans ce procès, M. Jules Favre accusa M.
Laluyé d'avoir falsifié le contrat sur lequel
il s'appuyait. M. Laluyé, qui n'est pas endu.-
rant, se laissa aller jusqu répliquer :t C'est
vous qui êtes un faussaire et je vous le prou-
verai >, faisant allusion à certains faits de
l'affaire Qdiot. Depuis lors, M. Laluyé, retiré
des affaires et deyenu vieux, ne cessa de
poursuivre d'une haine mortelle .son ancien
ami. En dernier lieu,, il remit à M. Minière
copie des actes authentiques et des lettres
sur lesquels il faisait reposer son accusation
de faux contre l'illustre avocat.
Une partie de «es documents fut publiée
par M. Millière dans le Vengeur; si bien
que M. Laluyé, à un titre ou à un autre,
se rapprocha des gens de Ta Commune, et
que lors de l'entrée des troupes il fut ar-
rêté.
-Un commissaire fit une perquisition an do-
micile de M. Laluyé, et y trouva, outre quel-
ques correspondances insignifiantes avec M.
Minière, d'autres papters plus importants,
parmi lesquels une lettre de M. Jules Favre,
remontant à l'époque du procès Odiot.
Le commissaire de police, se trouvant saisi
de cette lettre, dont il sentit l'importance au
premier coup d'œl, demanda des instruc-
tions en, haut lieu pour savoir ce, qu'il^ fallait
faire de cette lettre.
On fit prier M. Laluyé d'en ordonner là re-
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-rue du 4 Septembre, 8.
La première collection sera expédiée, par re-
tour du courrier, contre un mandat de 35 fr.;
la seconde ^contre, un mandat de 32 &
Ces chiffres représentent purement et simple-
ment les prix d'abonnement.
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Dargelés Landr()l sement, dansé par MUes Léon- Cie, Simon, Féerie en 24 t. Cogniard fréres; Elavid A Vt Ù Hudson' de Femm
Bolstoï Murray Bernard Vollet Solary, etc. 1ja Icouluen d'ouze lieures prince Punpondor Gaillard 1 Henr~ette mesd L.Breton .f.
1 Thérése çamIUe; un facteur ~e~at Poponet Delannoy :.1lchel Valaire le RubIS-Balai'Alexandre F. Hanstrapp Mangin Chutentas Speck Catherlne' Nevers i\.
mise-volontaire à M. Jules Favre, mais l'an-
cien avoué répondit par ces mots peut-être
un peu tragiques pour la circdnsfaiKJe: « Vous
pouvez me fusiller, mais je ne consentirai pas
à la restitution de cette lettre. » Depuis lors,
M Làliiyé est toujours en prison, au secret,
et plusieurs de ses de
la situation faite à un homme que son âge
rend digne d'intérêt, se sont décidés à deman-
der à M. le garde des seeaux sa mise en liber-
té. Il-est probable qu'elle sera accordée, car,
à part ses relations- avec M. Minière, qui lui-
même ne faisait pas partie de la Commune,
M. Laluyé ne s'est rendu coupable d'aucun
fait qualifié crime ou délit. w
N'est-ce pas M. Jules Favre qui a sou-
tenu sous l'Empire la cause de l'avocat
Sandon, dont la situation avec M. Billault
était à peu près analogue à celle de M.
Laluyé?
#\ On parle beaucoup de-Çarl Marx,
qui passait pour le grand inspirateur de
l'Internationale et qui s'est brouillé tout
récemment avec ses amis. Paris-Journal
a eu communication d'une lettre fort
.curieuse où ce Karl Marx condamne
comme prématuré le mouvement commu-
nal de Paris.
Vos amis et-vous, écrivait-il à un des chefs
du mouvement, n'avez pas suffisamment tenu
compte de l'imbécillité chauvinesqué spéciale
au peuple français, et qui, suivant moi, doit
étre un obstacle sérieux au succès de notre
grande cause.
La population des provinces surtout ne"
manquera pas d'attribuer à -Bismarck, cassé
maître en fait de machinations diaboliques
pour nuire à ses ennemis, la révolution du
18 mars, et cela seul peut suffire à rallier au
gouvernement des bourgeois de Versailles
caux-là mêmes qui, en tout autre temps,
eussent marché avec nous sous la bannière de
l'affranchissement des travailleurs.
•.Ne vous le dissimulez pas de même que
Paris, assiégé par Guillaume, ne pouvait rien
sans-le secours du reste de la France, que
cet iMSÊciLii de Gambetta a réussi à désorga-
niser, comme s'il eût été payé pour cela, de
même la Commune de |Pans, assiégée par
Thiers et Jules Favre, est fatalement condam-
née à succomber, si un mouvement irrésisti-
ble de la province né vient la débloquer, mo-
ralement surtout.
Or, les travailleurs français sont encore
les moins intelligents de tous nos affiliés.
Plutôt que de devoir leur émancipation une
apparence de secours de l'étranger, surtout
de l'Allemagne,-ils préféreront rester sous
l'odieux esclavage du capital.
Puis, après avoir démontré que si Paris
triomphait, M. de Bismarck se chargerait
delà pacification de la France, Karl Marx
ajoutait
Je ne puis malheureusement vous dire ni
tout ce que je sais, ni tout ce que je pres-
sens mais si ma voix,. autorisée, je crois,
pouvait être de .quelque influence sur les
membres du Comité central, entre .les mains
de qui la Commune, n'est évidemment qu'une
marionnette, je leur dirais;.
Arrêtez-vous sur cette pente fatale pour
notre cause, qui est celle de l'humanité.
Traitez plutôt avec Versailles. Le, moment
n'est pas-venu, et les éclesions prématurées
n'ont jamais été que des avortements désas-
treux,
Désarmez et recueillez-vous. x
Nous ne sommes encore que trois millions
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donneur d'informer le public que le service des
Avances sur Titres et des Ordres de Bourse continue
a se faire comme par le passe avec la dIus
grande régularité.
Bureaux et caisse ouverte de 10 à 4 heures.
tout au plus. Dans vingt ans, nous serons cin:
quante, cent millions peut-être. Alors, le
monde nous appartiendra, car ce ne sera pas
seulement Paris, Lyon, Marseille qui se sou-
lèveront contre l'odieux capital; mais Berlin,
Munich, Dresde, Vienne, Londres, Liveipool,
Manchester, Bruxelles, Saint-Pétersbourg,
New-Yoi k, le monde entier enfin.
Et devant cette insurrection universelle,
comme l'histoire n'en a pas encore connue,.
le passé disparailra comme un hideux cau-
chemar, «car l'incendie populaire, allumé sur
cent points à la fois comme une immense au-
rore, en détruira jusqu'au souvenir. »
Communiquez mes vœux et mes appréhen-
sions à nos amis, et méfiez-vous prudemment
des faux frères. Assi, bien que des nôtres,
m'inspire plus particulièrement des doutes. Il
est habile, mais trop habile.
#*«. Le Bien Public donne une nouvelle
qui ferait plaisir aux journaux, si elle se
réalisait.
La question du timbre sur les journaux
n'est pas encore résolue. Nous avons lieu de
croire qu'on s'arrêtera à 3 centimes pour les
journaux publiés à Paris, et que les feuille-
tons ne seront pas frappés d'ùa droit pénal.
On a renoncé à l'impôt sur le papier, à cause
de l'immense difficulté de la perception.
Sur la question des cautionnements –>
auxquels on ne renonce pas il.s'est dit
des choses énormes. M. Picard est cer-
tainement un homme d'esprit, mais je
trouve sa franchise voisine dé l'impudence
quand il déclare, qu'après le 4 septembre,
on a aboli le cautionnement pour flatter
la manie libérale du peuple, pour aider à
la fondation des aimables feuilles qui
nous ont prépare le 18 mars, mais, qu'au
fond, le gouvernement ne croyait pas un
mot de ce qu'il-faisait.
On a- rappelé également que sous l'em-
pire, à propos de la question des caution-
nements, ce fut M. Picard qui déferra M.-
Otentoa mais l'argument le plus comique,
c'est celui de la nécessité du cautionne-
ment pour garantir. "les paiements des
amendes. La bonne farce alors pourquoi
ne pas faire payer 1$ port d'armes cin-
quante mille francs à Paris et trente mille
firaacs en province, sous prétexte de ga-
rantie contre les accidents qui peuvent
résulter du maniement des armes à feu.
La vraie raison des cautionnements, on
la connaît c'est que tous les gouverne-
ments, république ou a anarchie, ont jbe-
soin- d'argent pourquoi ne pas le dire
naïvement, ce serait plus honnête.
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3e «lasse 20 fr. le soh. A doll.
recteur, je vous demande pardon de vous
avoir dérangé, mais je crois que vous cumu-
lez deux emplois rétribués par le gouverne-
ment. Si je ne me trompe, vous êtes directeur
d'un théâtre subventionné et bibliothécaire
de l'Etat.
LE directeur Cela fl.st vrai, M. la minis-
tre seulement, comme bibliothécaire, j'ai re-
noncé à mes émoluments.
tE ministes. Je dois reconnaître qne
c'est la vérité, je ne vous parlerai donc du
Jogement, du chauffage et de l'éclairage que
pour mémoire. Seulement, comme bibliothé-
caire, vous occupez la place d'un homme de
lettres qui serait bien heureux de ce qui vous
est inutile.
'LE directeur. M. le ministre doit avoir
raison.
LE MINISTRE. J'en suis tellement per-
suadé que je me vois forcé de vous prier
d'opter pour le théâtre ou pour la biblio-
thèque.
LE directeur. Si monsieur le minis-
tre le permet, je resterai à la bibliothèque
de l'arsenal.
LE ministre. Très bien.
r •••• ̃• ̃̃
Personnages
Le ministre. m. j. si mon.
L'administrateur du
Théâtre Français
bibliothécaire' de -'̃•
l'arsenal m. thierry.
On a dit qn' Alexandre Dumas avait laissé
deux pièces; il en existe une troisième en
collaboration avec M. Georges de Chaville.
Titre Le Fils du Forçai cinq actes.
Ce drame avait été bien accueilli, à la lec-
ture, au théâtre de la Porte-Saint-Martin, du
temps de Marc Fournier qui s'y connaissait;
mais, allez donc frapper à cette porte à l'heure
qu'il est.
On nous répondra
Il n'y a plus de portes, et les maîtres
sont absents 1
Cependant, l'œuvre subsiste.
A qui le lot 1
Il est question d'un gros procès que fe-
raient l'Assistance public et la Société des
auteurs, à un directeur d'une de nos grandes
scènes parisiennes.
Depuis dix mois que l'Opéra est fermé, par-
mi les artistes qui ont eu à souffrir, il en est
quelques-uns qui oat été frappés plus parti-
culièrement. Nous voulons parler des dan-
seurs et danseuses du corps de ballet.
En effet, les artistes du chant ont pu, pen-
dant le siège, donner quelques concerts en
société.
Mais les pauvres danseuses, quelle misère,
on ne peut pas se l'imaginer.
Mesdames Beaugrand et Colombier ont eu
la charitable idée de faire une souscription
en faveur des pauvres artistes dont nous ve-
nons de parler.
Nous ne doutons pas que les abonnés et le
public ordinaire de l'Opéra ne répondent à
l'appel de ces deux dames.
<0$:"
X
Maintenant, si j'osais, je dirais à la société
des artistes de l'Opéra
On annonce votre réouverture pour le ven-
dredi 14 juillet, donnez cette première re-
présentation au bénéfice du corps de ballet
Des sommes, variant jusqu'à à 50,000 francs et plus, ont souvent été pqyées comptant par m. de Foy à un iotermôdrams
pour son concours dans la conduite du mariage d'une veuve ou d'une demo seUe. Ce rôle qui, d'usage n'étit rempli que par
de» hommes trilurés aux affaires, peut l'être, aussi, par des dames du monde n'ayant même qu'une aptitude se 'ondairt'
mais toujours guidées, pas à pas, par les lumières de «. de Foy, dont la médiation reste occulte. C'est don. dans «s'
temps critiques, un double moyen de ressources pour tous les iotermédiairrs eu général: Agir sans frais 'oaanîr IV*
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et de la classe de danse, ce sera une bonne
œuvre qui vous portera bonheur.
Puis-je passer à la location prendre ma
stalle ? 1
MM. Georges Duval et Albert Richard vien-
nent de îeriainer un drame en cinq actes:
La décadence.
On a tant de fois parlé des engagements de
Caponl sans dire l'exacte vérité que nous
pensons pour ne pas nous tromper qu'il
vaut mieux laisser la parole à l'ex-ténor de
ro.:éra-Comique.
Voilà comment il raconte ses petites affai-
res dans une lettre à un de ses amis
« En effet, j'ai réussi au-delà de mes espé-
rances songez donc un répertoire et une
langue tout nouveaux pour moi.
J'ai signé pour l'Amérique une saison de
six mois, de septembre prochain à fin février
pour la somme ronde de cent mille tranes
Il n'y a vraiment que la carrière italienne
pour atteindre de pareils chiffres.
Je suis engagé pour Drury-Lane pour trois
saisons d'été, et vais traiter pour la Russie.
pour les saisons 72-73.
Comme,vous voyez j'ai du pain sur la
planche. »
Dès demain je file. des sons qui sait! l
On nous raconte une fait assez bizarre que
nous enregistrons sans commentaire.
La femme d'un Prussien, pièce en 3 actes,
fut jouée le 30 mars au théâtre des Célestins,
à Lyon.
Le jour de la première représentation de
ce drame, le théâtre fut brûlé.
La pièce fut portée, une semaine après,
aux Variétés, ayant pour interprètes les ac-
teurs des Célestins.
Le même jour un incendie se déclara en
face le théâtre.
Etait-ce hasard eu vengeance?
Nous savons maintenant pourquoi M. Ar-
nault, de l'Hippodrome, tenait tant à prendre
la direction de l'Opéra.
C'est qu'il voulait monter Zampa ou le
Cheval de bronze.
Gustave Lafargue.
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Couverture immédiate.
Le président du conseil d'administration,
J. RANDOING,
̃ ̃ a Officier de la Légion d'honneur
ancien président du conseil
général de la Somme.
M. RÏ.OCH, dentiste, rue de Bondy, 22,
actuellement en face, plaoe du Château-
d'Eau, 21.
U Réû&stevr «s ehtf-Gérant s. db thxkmkssaN*
'CEITOES SOIS ABDOMINALES.
de Mm) MESSAGER, maîtrpsffi sage-femme;
auteur du Manuel de la Jeune-Mère et de IUm
critique. Chaque volume 6 ir. N° 67, rue de
Rivoli, où elle r coit des pensionnaires.
Ces ceintures, soumises àl'Acalémie de mé-
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