354 LA VIE PARISIENNE
18 juin 18(14.
UN JEUNE HOMME A MARIER
Mon cher ami,
Il y a quelques jours, un abonné du Monde illustré faisait insérer
une lettre assez bouffonne, et offrait en légitime mariage sa jolie
« taille de lancier « et son caractère cc ennemi de la mélancolie. » Un
autre, a la quatrième page du Siè'cle, 'ofl'çc,, depuis quelques jours ses
cinquante-sept ans et ses ;-J,UOO livres de rente.
Je suis certain que leurs annonces n'ont pas été laites en vain, car
voici ce qui est arrive Ù, lIlI de mes amis :
Il était confiné 1 année dernière à la campagne, et, soit le prin-
temps, soit la fermeture de la chasse, il s'y ennuyait royalement.
P our se distraire, il eut l idee de raire insérer dans les six grands
journaux et le Giilignani l'avis suivant que tout le monde a pu
lire :
« I il jeune homme, riche et bien élevé, désire s'unir à une per-
sonne jeune et, jolie ; de préférence sans fortullo. »
En réponse a son aimonce. il a reçu plus de huit cents lettres,
quelques-unes signées et la plupart accompagnées de cartes photo-
graphiques. Il a du cesser cette plaisanterie, les ports de lettres
devenant une dépense sérieuse. — Il s'est composé ainsi un Jllagniti-
que album de photographies. -Il ne eunnait lIas les noms de la majeure
partie de ces portraits, mais il rencontre tous les jours quelques-uns
des originaux. Il a reçu des lettres de tous les coins de la France
et beaucoup de l 'étranger; les Anglaises surtout ont beaucoup donné.
G est a peine s 'il y a sur toutes ces lettres une vingtaine (['(ilti@t7pes ;
toutes les autres sont sérieuses, souvent signées par des parents ou
amis de la lamille, et même par des cures. Il répondait quelquefois,
en gardant toujours l'anonyme, (lt quand on lui demandait en
échange son portrait, il envoyait la première carte venue, le. plus
souvent celle de Léotard.
J ai cru qu 'il serait peut-être intéressant pour vos lecteurs de
choisir et de publier quelques-unes de ces lettres. C'est une phase
de la vit; parisienne tout comme une autre et non pas la moins
curieuse.
Une Anglaise d'abord; je traduis :
Mon&ieur,
Voici mon portrait. Je voudrais me marier. J'ai vingt ans passés et mon
nom est Mary. Mes amis disent que je suis jolie, bien faite et aimable; quant
à moi je sais que je suis blonde et que j'ai envie de voir Paris. Je suis bonne
musicienne, je dessine à merveille et je sais très bien danser; je sais le français
et l'allemand, outre ma langue maternelle, ainsi que maintes choses nécessaires
dans un ménage. Envoyez-moi votre photographie ; si vous êtes laid, je ne
veux pas de vous.
P. S. J'ai 400 livres sterling de revenu dont j'ai l'entière .disposition.
Celle-ci est d'un aiiii de la famille :
Monsieur,
Si, au lieu d'une jeune fille sans fortune, vous en trouviez une avec 250,000 fr.
de, dot,, est-ce que cela gâterait,i'.ail'aire?
Celle que je viens vous proposer est jolie, d,2 taille moyenne, ayant reçu une
excellente éducation dans un des meilleurs établissements religieux de Paris.
Elle est douée d'un bon caractère et d)humeur douce et facile, elle a d'ex-
cellents principes moraux et, religieux ; e,u un mot ce sera une femme, parfaite
pour soi ; dans le monde c'est souvent le contraire qui arrive.
Elle appartient à une .famille et à un entourage des plus honorables : elle a
un oncle bien placé .et habite nu,.château de.,... qui appartient à sa famille.
Veuillez, monsieur, me répondre avant le 25.
Agréez, etc. si i(,. ,
>• i'
Mon ami ayant demande à un monsieur, qui lui avait proposé
sa niècè, de lui envoyer son portrait, voici la réponse qu'il en a
reçue :
Monsieur,
Je réponds à votre lettre; cependant je ne puis vous envoyer le portrait de
ma niece, car je ne l'ai pas..
Je viens alors vous entretenir d'une autre personne qui est pour moi-ce qu'il
y a de plus précieux ; mais si votre intention, monsieur, est de vous marier
tout de suite, nous ne pourrons pas faire l'affaire, car la personne dont. il s'agit
est encore trop jeune. C'est de ma petite-fille que je viens vous parler, de ma
petitc-iil!e que j'élève depuis sa naissance et de l'éducation de laquelle je
prends le plus grand soin. La nature lui a tout prodigué : esprit et beauté, et
une figure Charmante qui séduit tous ceux qui la voient.
Je puis dire, en toute vérité, qu'elle est très jolie, mais elle n'a que douze
ans. Son portrait est à votre disposition ; si vous désirez le voir, rtlIJOndez-moi,
car, si cette, lettre ne vous ]e porto, pas, c'est que je pense que vous ne voudrez
pas retarder vos intentions de mariage.
•>i Agréez, etc.
La lettre suivante est d'une jeune fille presque aussi jeune :
,1 Monsieur,
-l 'ai appris par ]a voie, des journaux qu'un jeune homme de *** demandait
une jeune personne en mariage. Je vous adresse donc mou portrait; quoique
f photographie enlaidisse beaucoup, cela donne toujours une idée. Voici de
plus une description de ma personne : front rond, yeux gris-nuir, nez moyen,
bouche moyenne, menton rond, visage ovale, teint blanc et frais, cheveux et
sourcils blonds, gorge naissante (sic). Quant à ma taille, comme je n'ai pas
encore quinze ailS, je ne peux pas vous la prêcher, quoique j'aie déjà tin mî'tre
cinquante-cinq. Sans être beHe, on m'a dit déjà. plusieurs fois que je n'étais
pas mal. I'iti reçu une bonne éducation, je suis un peu musicienne et je ne
suis encore jamais sortie seule. Pour les renseignements de famille, mes
parents ont une bonne réputation et sont propriétaires ; sans être très-riches,
ils possèdent de l'aisance. J'ai, de plus, un avenir certain par bonne-maman.
Si j ai chance de succès, veuillez me transmettre des renseignements sur
votre personne. En attendant votre réponse, j'ai l'honneur de vous saluer..
t.
Voici encore une jeune personne :
Monsieur,
Je vous adresse ci-inclus ma photographie. J'ai dix-huit ans; je suis orphe-
line. Quant a ma position de fortune, vous n'y tenez pas, je n'ai donc pas
vous en entretenir. J'ai été élevée dans les premiers pensionnats de Lille et de
Paris. Je suis très-bonne musicienne ; je chante même très-agréablement les
morceaux de nos grands maîtres italiens, tels que : Il Trovulove, III Gazza
Ladra, etc., etc. Je versifie passablement ; j'ai fait quelques poésies légères à
1 occasion de la fête d'une de mes amies, de son départ de la pension, du
mariage d'une autre, etc., etc. Si j'ai le bonheur que vous me distinguiez, je
pourrai charmer i-os loisirs par le récit de ces morceaux, qui sont encore
inédits. Je danse très légèrement, et même j'ose dire qu'on me trouve généra-
lement très-gracieuse.
Veuillez, Monsieur, ne pas 111" faire attendre trop longtemps votre réponse;
car, assaillie de tous cotes, j'ai besoin de fixer enfin mon choix. Veuillez donc
être assez bon pour m'envoyer, il votre tour, votre portrait, en l'adressant à
mon tuteur, M. X..., rue ..., n1 ....
v Les lettres les plus curieuses sont peut-être celles qui émanent des
parents; nous avons déjà cité celle d'un gmncl-pl'rù, en voici une d'un
père ot une autre, d'une tante :
Monsieur,
Je viens, en conséquence d'une, insertion que j'ai vue par le plus grand des
hasards à la quatrième page d'un journal (car, croycz-le-bien, je ne jette jamais
les yeux sur cette partie , vous entretenir du but qu'elle se propose. —
Nous comprendrez tics bien que la nature de cette affaire demande une grande
circonspection ; par prudence, je ne dois point aujourd'hui envoyer le portrait
de la jeune personne; mais voici ce que je peux vous dire : ma fille a vingt-
deux alts et elle est brune; le physique, la grâce, la prestance ne laissent rien
à désirer; beaucoup d'esprit, une excellente et profonde instruction, élocution
facile; femme de ménage et de salon ; religieuse sans bigoti&me; santé excel-
lente; position sociale, très convenable et bonnes relations; un peu musicienne;
t. voix sympathique. — Copime je dois penser qu'il s'agit d'une affaire sérieuse,
et non d'une plaisanterie, if faut agir sérieusement. je viens donc vous proposer
d'avoir ensemble une entrevue, préalable ; je vous souriiettrai le portrait et vous
donnerai sur le physique et le moral de ma'tille les explications les plus détail-
lées, et. vous mettrai à même de vous assurer de la manière la plus complète de
l'exactitude de ce que j'avance, car je me propose de ne rien vous dissimuler.
— Notre entrevue pourra d'abord être entourée de tout le mystère désirable,
dft manière à ce que nous puissions au besoin nous séparer libres de toute préoc-
cupation. En m'indiquant le nom d'un hôtel olt je pourrais descendre, car je ne
connais, pas votre ville, nous pourrions nous y rencontrer, ou me donner à mon
arrivée un rendez-vous en tout antre lieu, en convenant d'un signe distinctif, tel
qu'une fleur identique à la boutonnière, qui nous permettrait de nous recon-
naître et de nous aborder,.
J'ai l'honneur de. vous présenter mesi hommages, et j'attendrai l'honneur de
votre réponse le plus tôt possible.
18 juin 18(14.
UN JEUNE HOMME A MARIER
Mon cher ami,
Il y a quelques jours, un abonné du Monde illustré faisait insérer
une lettre assez bouffonne, et offrait en légitime mariage sa jolie
« taille de lancier « et son caractère cc ennemi de la mélancolie. » Un
autre, a la quatrième page du Siè'cle, 'ofl'çc,, depuis quelques jours ses
cinquante-sept ans et ses ;-J,UOO livres de rente.
Je suis certain que leurs annonces n'ont pas été laites en vain, car
voici ce qui est arrive Ù, lIlI de mes amis :
Il était confiné 1 année dernière à la campagne, et, soit le prin-
temps, soit la fermeture de la chasse, il s'y ennuyait royalement.
P our se distraire, il eut l idee de raire insérer dans les six grands
journaux et le Giilignani l'avis suivant que tout le monde a pu
lire :
« I il jeune homme, riche et bien élevé, désire s'unir à une per-
sonne jeune et, jolie ; de préférence sans fortullo. »
En réponse a son aimonce. il a reçu plus de huit cents lettres,
quelques-unes signées et la plupart accompagnées de cartes photo-
graphiques. Il a du cesser cette plaisanterie, les ports de lettres
devenant une dépense sérieuse. — Il s'est composé ainsi un Jllagniti-
que album de photographies. -Il ne eunnait lIas les noms de la majeure
partie de ces portraits, mais il rencontre tous les jours quelques-uns
des originaux. Il a reçu des lettres de tous les coins de la France
et beaucoup de l 'étranger; les Anglaises surtout ont beaucoup donné.
G est a peine s 'il y a sur toutes ces lettres une vingtaine (['(ilti@t7pes ;
toutes les autres sont sérieuses, souvent signées par des parents ou
amis de la lamille, et même par des cures. Il répondait quelquefois,
en gardant toujours l'anonyme, (lt quand on lui demandait en
échange son portrait, il envoyait la première carte venue, le. plus
souvent celle de Léotard.
J ai cru qu 'il serait peut-être intéressant pour vos lecteurs de
choisir et de publier quelques-unes de ces lettres. C'est une phase
de la vit; parisienne tout comme une autre et non pas la moins
curieuse.
Une Anglaise d'abord; je traduis :
Mon&ieur,
Voici mon portrait. Je voudrais me marier. J'ai vingt ans passés et mon
nom est Mary. Mes amis disent que je suis jolie, bien faite et aimable; quant
à moi je sais que je suis blonde et que j'ai envie de voir Paris. Je suis bonne
musicienne, je dessine à merveille et je sais très bien danser; je sais le français
et l'allemand, outre ma langue maternelle, ainsi que maintes choses nécessaires
dans un ménage. Envoyez-moi votre photographie ; si vous êtes laid, je ne
veux pas de vous.
P. S. J'ai 400 livres sterling de revenu dont j'ai l'entière .disposition.
Celle-ci est d'un aiiii de la famille :
Monsieur,
Si, au lieu d'une jeune fille sans fortune, vous en trouviez une avec 250,000 fr.
de, dot,, est-ce que cela gâterait,i'.ail'aire?
Celle que je viens vous proposer est jolie, d,2 taille moyenne, ayant reçu une
excellente éducation dans un des meilleurs établissements religieux de Paris.
Elle est douée d'un bon caractère et d)humeur douce et facile, elle a d'ex-
cellents principes moraux et, religieux ; e,u un mot ce sera une femme, parfaite
pour soi ; dans le monde c'est souvent le contraire qui arrive.
Elle appartient à une .famille et à un entourage des plus honorables : elle a
un oncle bien placé .et habite nu,.château de.,... qui appartient à sa famille.
Veuillez, monsieur, me répondre avant le 25.
Agréez, etc. si i(,. ,
>• i'
Mon ami ayant demande à un monsieur, qui lui avait proposé
sa niècè, de lui envoyer son portrait, voici la réponse qu'il en a
reçue :
Monsieur,
Je réponds à votre lettre; cependant je ne puis vous envoyer le portrait de
ma niece, car je ne l'ai pas..
Je viens alors vous entretenir d'une autre personne qui est pour moi-ce qu'il
y a de plus précieux ; mais si votre intention, monsieur, est de vous marier
tout de suite, nous ne pourrons pas faire l'affaire, car la personne dont. il s'agit
est encore trop jeune. C'est de ma petite-fille que je viens vous parler, de ma
petitc-iil!e que j'élève depuis sa naissance et de l'éducation de laquelle je
prends le plus grand soin. La nature lui a tout prodigué : esprit et beauté, et
une figure Charmante qui séduit tous ceux qui la voient.
Je puis dire, en toute vérité, qu'elle est très jolie, mais elle n'a que douze
ans. Son portrait est à votre disposition ; si vous désirez le voir, rtlIJOndez-moi,
car, si cette, lettre ne vous ]e porto, pas, c'est que je pense que vous ne voudrez
pas retarder vos intentions de mariage.
•>i Agréez, etc.
La lettre suivante est d'une jeune fille presque aussi jeune :
,1 Monsieur,
-l 'ai appris par ]a voie, des journaux qu'un jeune homme de *** demandait
une jeune personne en mariage. Je vous adresse donc mou portrait; quoique
f photographie enlaidisse beaucoup, cela donne toujours une idée. Voici de
plus une description de ma personne : front rond, yeux gris-nuir, nez moyen,
bouche moyenne, menton rond, visage ovale, teint blanc et frais, cheveux et
sourcils blonds, gorge naissante (sic). Quant à ma taille, comme je n'ai pas
encore quinze ailS, je ne peux pas vous la prêcher, quoique j'aie déjà tin mî'tre
cinquante-cinq. Sans être beHe, on m'a dit déjà. plusieurs fois que je n'étais
pas mal. I'iti reçu une bonne éducation, je suis un peu musicienne et je ne
suis encore jamais sortie seule. Pour les renseignements de famille, mes
parents ont une bonne réputation et sont propriétaires ; sans être très-riches,
ils possèdent de l'aisance. J'ai, de plus, un avenir certain par bonne-maman.
Si j ai chance de succès, veuillez me transmettre des renseignements sur
votre personne. En attendant votre réponse, j'ai l'honneur de vous saluer..
t.
Voici encore une jeune personne :
Monsieur,
Je vous adresse ci-inclus ma photographie. J'ai dix-huit ans; je suis orphe-
line. Quant a ma position de fortune, vous n'y tenez pas, je n'ai donc pas
vous en entretenir. J'ai été élevée dans les premiers pensionnats de Lille et de
Paris. Je suis très-bonne musicienne ; je chante même très-agréablement les
morceaux de nos grands maîtres italiens, tels que : Il Trovulove, III Gazza
Ladra, etc., etc. Je versifie passablement ; j'ai fait quelques poésies légères à
1 occasion de la fête d'une de mes amies, de son départ de la pension, du
mariage d'une autre, etc., etc. Si j'ai le bonheur que vous me distinguiez, je
pourrai charmer i-os loisirs par le récit de ces morceaux, qui sont encore
inédits. Je danse très légèrement, et même j'ose dire qu'on me trouve généra-
lement très-gracieuse.
Veuillez, Monsieur, ne pas 111" faire attendre trop longtemps votre réponse;
car, assaillie de tous cotes, j'ai besoin de fixer enfin mon choix. Veuillez donc
être assez bon pour m'envoyer, il votre tour, votre portrait, en l'adressant à
mon tuteur, M. X..., rue ..., n1 ....
v Les lettres les plus curieuses sont peut-être celles qui émanent des
parents; nous avons déjà cité celle d'un gmncl-pl'rù, en voici une d'un
père ot une autre, d'une tante :
Monsieur,
Je viens, en conséquence d'une, insertion que j'ai vue par le plus grand des
hasards à la quatrième page d'un journal (car, croycz-le-bien, je ne jette jamais
les yeux sur cette partie , vous entretenir du but qu'elle se propose. —
Nous comprendrez tics bien que la nature de cette affaire demande une grande
circonspection ; par prudence, je ne dois point aujourd'hui envoyer le portrait
de la jeune personne; mais voici ce que je peux vous dire : ma fille a vingt-
deux alts et elle est brune; le physique, la grâce, la prestance ne laissent rien
à désirer; beaucoup d'esprit, une excellente et profonde instruction, élocution
facile; femme de ménage et de salon ; religieuse sans bigoti&me; santé excel-
lente; position sociale, très convenable et bonnes relations; un peu musicienne;
t. voix sympathique. — Copime je dois penser qu'il s'agit d'une affaire sérieuse,
et non d'une plaisanterie, if faut agir sérieusement. je viens donc vous proposer
d'avoir ensemble une entrevue, préalable ; je vous souriiettrai le portrait et vous
donnerai sur le physique et le moral de ma'tille les explications les plus détail-
lées, et. vous mettrai à même de vous assurer de la manière la plus complète de
l'exactitude de ce que j'avance, car je me propose de ne rien vous dissimuler.
— Notre entrevue pourra d'abord être entourée de tout le mystère désirable,
dft manière à ce que nous puissions au besoin nous séparer libres de toute préoc-
cupation. En m'indiquant le nom d'un hôtel olt je pourrais descendre, car je ne
connais, pas votre ville, nous pourrions nous y rencontrer, ou me donner à mon
arrivée un rendez-vous en tout antre lieu, en convenant d'un signe distinctif, tel
qu'une fleur identique à la boutonnière, qui nous permettrait de nous recon-
naître et de nous aborder,.
J'ai l'honneur de. vous présenter mesi hommages, et j'attendrai l'honneur de
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