Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1948-05-10
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 10 mai 1948 10 mai 1948
Description : 1948/05/10 (A3,N643). 1948/05/10 (A3,N643).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599909k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
CUMULATEURS
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ME PVISSANCE
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0 12, RUE D'AGUESSEAU, PARIS (8*)
LUNDI 10
MAI 1948
10, Fg Montmartre
PARIS (9-)
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BRITISH EUROPEAN AIRWAYS . 38, AV DE L’OPERA . TAITBOUT 60-50
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utile (STANIS)
éfléchi, rappelle!
NE VICTOIRE MERITEE MAIS... ARRACHEE
but vainqueur à 4 minutes de la fin : sur
fantastique dégagement de Witkowski,
ratte échappe à Golinski et bat Duttuter
qualité -maîtresse]
a six Polonais d
, d’un Nord-Afric
eint (Duffuler, G
COUPE
Football plus satisfaisant de Lille qui gagne la Coupe
: déblayer les al
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lui lui
et des
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BATTUE
pour la troisième fois consécutive mais... résultat acquis
est pour elle
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une est sortie amoindrie
Lat qu’elle nous offrait
h Colombes en guise d’a-
Yais, qu'on se rassure,
in portera pas plus mal.
Ltfp qui promène. sa ma-
prouve no? cœurs pen-
| la saison ne se soucie
injures que peuvent lui
plus chers de ses enfants.
sans brio ni panache
Jadrejak, défenseur impeccable
Carré
NC Lens (34.3;
Y principal
é voilà 42 ans ; I
t Division 1
s. Il ne faut pas
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match
L reine
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pensera plus au
de la finale 1958.
nous aurons enco
de. la saison pro
ferveur, la même
travailleur
deux buts.
infatigable
Baratte
signe
Courageuse défense de Lens
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sauva déjà bien,
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origine du but.Yep
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it-être à lui que,
ent de jouer d 1
L incontrôlée.
L elle a subi une défaite,
I a eu l’audace de nous
cette année une finale
brée. Et ce n’9st pas pour
ituse, si, en fin de comp-
hatch fut très incertain
186% minute de jeu. On ne
wpas d’avoir aligné dans
ipréme une équipe ve-
Iampionnat de premiè-
Aile LOSC, et une équi-
Iu assez modeste de la
Bmion, le RC Lens.
k G mtraire un
élément
heete opposition inat-
la 1ernier la finale^ de
Iiilnaleterre, qu’on s’ex-
Kf» d’invo-quer en cette
, mettait en présence
éuipe de première di-
Burnley, équipe de deu-
fion, mais qui gagna le
it de cette division. Mais
t devenu cette saison une
| brillantes équipes du
ht d’Angleterre. Il était
issance, la saison passée,
? de premier? division.
nsoise ne nous a pas
er ce visage prometteur.
reFFERKORN.
la suite page 4)
avec des moyens limités ; Duffuler, Stanis
Mellul (en 2 e mi-temps) les meilleurs
Quatre-vingt-sixième minute de jeu : les deux équipes sont
égalité, deux buts partout. Le mastoc Witkowski, à la suite
à toult, u-uA vut paIu.. Le uiasiuv vv InU n.MM. u ld suie
d’un coup franc accordé à Lens à 25 mètres de ses buts, vient
de faire front, solidement campé sur ses jambes, à un puissant
assaut conjugué de Stanis et Habera. Lens a manqué sa. der
nière occasion et dans les tribunes, on en prend son parti : si
elle est attribuée aujourd'hui, la Coupe 1948 ne le sera qu’après
prolongation.
C’est alors que la balle, dégagée très loin par Witkowski,
parvient dans la zone Baratte-
Golinski. L’avant centre inter
national, après s’être débarrassé
de son garde de corps — non sans
avoir usé en l’occurrence d’une lé
gère irrégularité, nous a-t-il semblé !
— file seul en direction des buts de
Duffuler. Le jeune, frêle et blond
gardien lensois tente la sortie mais
Baratte l’évite et, d’un tir du gau-
che, place la balle dans la partie
gauche des buts lensois. .
Un triplé qui n'est sans doute pas
près d’être égalé
Double record à Colombes
Cette finale de Coupe Lille-Lens a
été suivie par 60,739 spectateurs
et a produit 7.356.580 fr. de recette,
ce qui bat le double record précé
demment établi par France-Italie
du 4 avril : 60.074 spectateurs et
7.353.265 fr.
France, égalant ainsi le record établi
par le Red Star en 1921, 1922 et 1923.
A cette triple réussite demeurera at
tachée, historiquement parlant, une
valeur remarquable. Obtenue à une
époque où les compétitions officielles
sont de plus en plus difficiles, où
Pour la troisième fois consécutive, - — -- — .. --—, -
Lille vient de gagner la Coupe de 1 la concurrence est de plus en plus, sé
vère, elle consacre la qualité, la
l’autorité du champion
RDES GAGNE EN 30’
ualifie pour les demi-finales de la Coupe
avec CASTRES, TOULOUSE et BECLES
h envoyé spécial Marcel de LABORDERIE)
[Z — Il a suffi d’une demi-heure de jeu aux Lourdais pour
f la Section Paloise une avance décisive. Durant ce court laps
Prat et ses camarades ont joué avec une parfaite maîtrise,
ation s’affirmait irrésistiblement, sans précipitation, presque
r L’équipe jouait vraiment avec l’autorité d’un champion de
constance, et le mérite de l’équipe qui,
sur l’ensemble des quatre saisons d’a
près guerre, fut la meilleure de Fran
ce."
Pourtant, la manière dont fut ob
tenue la troisième victoire des foot
balleurs lillois n’aura conféré à ces
derniers aucune gloire nouvelle, hor
mis celle qui, pour la postérité, restera
gravée sur le socle de la Coupe. Cette
victoire, il n’est d’ailleurs pas ques
tion de leur en contester un seul ins
tant la légitimité : si l’une des deux
équipes méritait, hier, de gagner la
finale, c’était bien celle de Lille. Mais
justement, parce que Lille était, hier
à Colombes, en train de réaliser un
exploit « historique » et qui n’est sans
Jacques de RYSWJCK.
(Lire la suite page 4)
Le Stade Français
CÈDE
POUR 8 MILLIONS
Ben Barek
et Domingo
acquis voilà trois ans
pour 1.175.000 frs
C’est chose faite : Larbi Ben Ba-
rek et Marcel Domingo joueront,
l’an prochain, à Madrid. Le Stade
Français les a cédés pour 5.500.000
francs — transfert de base — à
l’Atletico. Mais comme il est plus
difficile de transférer les fonds que
les jouiurs, le Stade Français gar
dera pour lui les recettes de deux
matches que son équipe jouera à
Paris contre l’Atletico et une au
tre équipe espagnole, le FC Barce
lone probablement. Ce qui laisse
présager un appréciable bénéfice.
Aussi bien, les deux joueurs peu
vent-ils rapporter environ huit mil
lions au club parisien.
Le Stade Français avait acquis
Ben Bank pour 800.000 francs et
Domingo pour 375.000 en 1955...
L'orgueil de Ben Barek
Larbi Ben Barek ■qVitiér a donc la
France après avoir joué une saison
à Marseille, 1938-39, trois saisons
sous les couleurs stadistes, de 1955
à 1958, et quatorze fois en équipe
de France.
Ben Barek, depuis quelque temps,
sentait que l’on faisait appel à lui
du bout des lèvres pour défendre
les couleurs nationales. Son orgueil
lui interdisait toute attente. Et son
départ pour l’Espagne constitue, à
ses yeux, une sortie par la grande
parte. Lui et les Espagnols, qu’il a
séduits tant à Paris qu’à Madrid,
sont enchantés. Nombreux sont
ceux, ici, qui le seront moins. —
F. A.
DEUXIEME BUT
LENSOIS, 74 e MINUTE
LILLE EST REJOINT
Lens obtient un corner. Sta
nis le tire impeccablem.ent.
Witkowski ne peut que frô
la balle qui pénétrera dans le
coin droit du but. C’est le se
cond but lensois^ l’égalisation.
Mais... On reconnaît, de g à
dr., Dubreucq (Lille), Sotmner-
linck (Lille), Prévost (Lille),
M a n k o (Lens) t Witkowski
(Lille), Vandooren (Lille),
Habèra (Lens).
A TUNIS, RECORD BATTU
MICHELINE OSTERMEYER
13 M. 79 AV POIDS
(13 M. 35)
(Lire les détails en rub. Athlétisme)
ALENÇON : CONDITIONS IDEALES DE TERRAIN ET DE TEMPS
MARCEL HANSENNE et CHEFDHOTEL
DE MANIERE TOUT A FAIT DIFFERENTE
ont plané
110 m. haies : André Marie 14” 7/10, record égalé
Triple saut : Robert Bobin 14 m. 58, record battu
(De notre envoyé spécial Caston MEYER)
ALENÇON — Deux hommes ont nettement émergé de la réunion
préolympique d’Alençon, à des degrés différents : Hansenne et Chef-
dhotel.
Mais, alors que le second nous
Georges Martin s’écroule après Baratin aux « Six-Provinces » et
Production réjouissait les
exécution ne prêtait pas
plus difficiles. Tout était fort bien
6.000 Fr. = 52 m. 87
La 2FA a dépensé plus de 6.000 fr.
pour permettre à Friner de lancer
le javelot... à 52 m. 87
Le Strasbourgeois n’au. alt-11 pu
essayer au stade Tivoli ?
_ A Cl
EDETTES DE - 1
‘ L’ELITE 0U
BALL FRANC
s. 300 photos. Pr’p
venue de 1 opéra
les lignes arrières
"chement lancées dans
fattaques à la main qui,
, ne nous apparaissaient
h tradition lourdaise et
Drenaient d'autant plus
hr-s de Faget et de Ber-
Pt obligé les Lourdais à
"ésentation de leur ligne
nfre Estrade glissait à
t le remplaçant Palavi-
"centre avec Labazuy et
r d droite.
Temps incertain, terrain assoupli
par les ondées. Arbitrage difficile
mais sans erreur de M. Cerroy. Recet
te : 635.000 francs pour 6.000 specta
teurs. Pour Lourdes, 3 essais : Es
trade (13’ m ), Palavicini (23' m.),
Lacrampe (31' m.). Pour Pau, un es
sai : Aristouy (77 m.).
Muveaux
ne faillirent pas
PE DE
Jbs DE
FRANCE
Fl NA LE)
LUSE h. Romans
TRDES b. Pau..
I RES b. Narbonne
11-8
9-3
9-0
Nat EXCELLENCE
"OULES DE 4)
b. Nontélimar— forfait
| !Sî S DE FINALE)
ES BALLON
Tarbes b. BRIVE
"GERAC b. Agen
MONNEUR
FINALE)
3-0
8-0
à la tâche. Ils se montrèrent les
égaux de leurs partnaires. Ainsi, une
attaque partie de la droite aboutit,
après toute une série de passes,
à l’ailier gauche Estrade qui,
après avoir débordé automatiquement
son
Larruyet,
retour au centre, l’arrêt de
par un
'arrière
Carmouze. L’exploit, œuvre de toutes
les lignes arrières', avait été de qua
lité.
(Lire la suite p. 3 rub. Rugby XV)
Bigot avait-il le droit
de ramasser le ballon
après sa rentrée
de touche ?
Bigot, voulant effectuer en 2e mi-
temps une rentrée de touche, lâcha
le ballon avant d’avoir complété son
geste de lancement et il le ramassa
aussitôt, sous les protestations d’une
partie des spectateurs qui récla
maient : coup franc contre Lille.
Mais Bigot n’ayant pas projeté
réglementairement le ballon, celui-ci
n’était pas en jeu, et l’arbitre aurait
fait recommencer la rentrée de tou
che si Bigot n’en avait pris l’initia
tive.
De même, si un avant, au coup
d’envoi, expédie le ballon en arrière,
l’action est à recommencer. Il n’y
a pas de coup franc, parce que le
ballon n’est pas en jeu. S’il y a
récidive, l’arbitre peut expulser le
joueur, sans être en mesure d’appli
quer une autre sanction.
PIERRE MOLINERIS, AUDACIEUX
démontre qu’il sait ne pas « courir au
millimètre »
Hélary 9 Ramoulux, Zaaf
Kebaïli, Roland Danguülaume 9 héros des
deux ultimes étapes
(De notre envoyé spécial Pierre BOURRILLON)
LA BOURSE DES VALEURS
EN HAUSSE DE FOI XTS : Moli-
neris, Carpentier, Zaaf, Kebaïli, Ma
rins Bonnet, Hélary, Pras, Roland
Danguillaume, Orls.
STATIONNAIRES : Ramoulux,
Forget, Sarrin, Juillard, Hougron.
EN,BAISSE : Georges Martin, Ba
ratin, Roi, Valentin, Rondeau, Jodet,
Lucien Lazaridès.
de
LYON. — Le circuit des Six Provinces est terminé. En deux jours,
Chalon-sur-Saône, lieu du jour de repos, à Lyon, en passant par
Montceau-les-Mines et Roanne, cette épreuve, jusque-là un peu décevante,
a trouvé une solution logique en la victoire de Pierre Molineris qui, à
l’issue de la deuxième journée, réussit un coup de théâtre.
Pierre Molineris, hier soir à Lyon, nous
CARCASSONNE ECHOUE ENCORE EN RUGBY XIII
Malgré deux drops de Puig-Aubert
pièce
d’une
façon
Oui.
a rendu la monnaie de. notre
en enlevant de haute lutte,
très intelligente et courageuse
l’épreuve du Progrès de Lyon.
Molineris, que nous avions
jusqu’à Chalon-sur-Saône mener
vu
sa
w • "I — leurs
ont gag” 8 PAeprEU
ALITES SUPENot
RENOMME E ‘ n
, exclusive dans « I
ns d’articles J
^MOTION
I-PINALES)
WHET b. St-Se ver
.. 8. Mont.-les-M.
RANTZ-REICHEL
L FINALE)
"se b. PERPIG...
10-0
8-3
8-5
0-0
MARSEILLE ENLEVE LA COUPE
barque avec une extrême prud.nce. ce
qui nous avait laissé échapper le mot
« courir au millimètre », a voulu mon
trer qu’il était capable d’autre chose.
Hier, dans l’ultime' et difficile éta
pe qui conduisit les rescapés de
Roanne à Lyon, le Stéphanois a pris
des risques. Il s'est battu comme un
(Lire la suite page 2
en rubrique Cyclisme)
Pour avoir voulu vivre sur une maigre avance
les Catiaris sont « Gros-Jean »
ORTING C
en 1946-1947
DE LENS
ISSURES ET sALO
s da choix
des Clubs
Réaumur
ussmann
919"
RE "VALENTIN
(De notre correspondant particulier BORDENAVE)
MARSEILLE B. CARCASSONNE : 5-4 (2-2). — Tem ps pluvieux.
Arbitrage incertain de M. Marting. Carcassonne : 2 drops • puig-
Aubert (39- et 42’ minutes). Marseille : 1 coup franc : Fachan I
essai : Perez. Recette : 1.850.000 francs.
TOULOUSE. — Carcassonne a connu en huit jours deux cruelles
désillusions. Battus par Roanne en finale du Championnat de France,
les « Canaris » ont dû s’incliner à nouveau devant Marseille, en finale
de la Coupe de France. Même écart d’un point, même physionomie d e
match, Carcassonne dominant et devant finalement céder le pas à son
adversaire, ce qui laisse supposer que l’équipe audoise manque de réali
sateurs... ou de tactique. C’est plutôt la deuxième hypothèse qui s’est
trouvée confirmée à Toulouse, caï ¬
COUPE DE FRANCE
FINALE
Marseille b. CARCASSONNE.. 5-4
CHAMPIONNAT FEDERAL
DEMI-FINALE
CARPENTRAS b. Arcachon .. 7-2
EXCELLENCE
FINALE
Cahors b. CARCASSONNE B.. 9-6
a paru très proche de sa meilleure
forme — en fait son poids est plus
bas en ce mois de mai qu’en juillet
dernier — le second a certainement
quelques livres à perdre et l’on doit
attribuer son étonnante production
à une progression sensible dans le
domaine de la résistance.
Cependant, ni Hansenne', ni Chef-
dhotel n'ont battu de record. Cette
tâche était réservée hier, à Robert
Bobin, de l’US Métro-Transports, qui
porta son propre record du triple
saut de 14 m. 42 à 14 m. 58 au second
très de l’arrivée. Peut-être t-ce ha
plus simple explication de cetie pe
formance inattendue, même vour c-^
auteur.
Ces exploits d’excellente "usure ont
été facilités par une piste et des sau
toirs en très bon état, en dépu T un
orage qui éclata juste avant r de-
but de la réunion, alourdissani leve-
renient la. cendré#; les autres 1 coua»
Bally nous a confié, après l’arri
vée du 100 m., qu’il avait couru à
Alençon pour qu’on le laisse tran
quille le 30 mai.
tions
vent,
ment
étaient absolument idéales : le
quasi nul, soufflait très légère-
à l’avantage des sprinters.
performance qui.
être de
premier plan, commence à atteindre
un niveau appréciable. Pourtant, en
Chefdhotel et Hansenne
Revenons à Chefdhotel et à Han
senne ; la façon dont le premier a
gagné son 800 m., eu menant de bout,
en bout — et au train — a parfaite-
Stephan s’est légèrement claqué
dans le 200 m., 15 jours de repos
égalant officiellement, cette fois, le
record de France des 110 m. haies de
Jean-François Brisson avec 14” 7/10,
André Marie s’est situé à un niveau
supérieur encore.
champion de
France' courut absolument- décontrac
té et sans songer au record possible,
il se retourna même à quelques mè-
LEÇONS DE MADRID A RETENIR :
H faut à notre basket
UN CAPITAINE DE RECHANGE
Quand BUSNEL
est sur la touche, nos
internationaux flottent
seul antre, à l’heure nctuelle, mérite
de la considération : Mavordome qui
termina à 6 mètres de- son chef de
file, dans un style encore un peu
trop allongé. Chefdhotel est passé aux
400 m. en 54‘
2/10. aux 500 m. en 1’
9” 4/10 et aux 600 m. en 1‘ 23” 4/10. A
la mi-course, seul Mavordome était
resté dans sa foulée. Si Retières et
Thomas
honorablement
tanj de Jacquier, Ra
cheux bien décevants.
Biny, Da-
Chefdhote, doit, dès maintenant,
prendre garde au surentraînement. .
mais il semble avoir beaucoup gagné
en volonté et désir de bien faire; il
en sera certainement récompensé
Le 3.000 m. fut couru très lentement,
en .raison d’une défaillance inatten-
due de Jean Vernier dont l’éclatante
santé a pris, pour le
pas sur la forme.
Lourd
le
peu
confiant, le champion des 1.500 m. ne
put assurer sa part de train et, dès
lors. Hansenne hésita à courir seul
le premier 3.000 mètres- de sa carrière.
Il freina constamment et gagna au
petit trot dans un temps médiocre'
(Lire la suite p. 3 en rubr. Athlétisme)
les « Canaris » ont perdu, devant
Marseille, un match qu’ils avaient à
leur portée, un match qu’ils n’au- '
raient jamais dû perdre
La partie avait débuté dans une
ambiance passionnée, dans un stade
trop étroit, où les spectateurs, débor
dant sur les lignes de touche, gênè
rent souvent les • évolutions des
joueurs.
Le coup d’envoi, donné par Car
cassonne, amenait immédiatement le
jeu dans le camp marseillais, dégagé
par de beaux coups de pied de César
et Hatchondo. On notait successive-
ment une tentative de coup franc in
fructueuse de Puig-Aubert, une splen
dide trouée de Calbète, reprise en
avant par Bergèze, alors que le che
min du but paraissait ouvert; une
magnifique attaque de Carcassonne
enfin échouait sur Trescazes à deux
mètres des buts marseillais 7 . ’
"Les deux équipes s’empoignaient
fermement, Carcassonne affichant une
nette supériorité en mêlée, Marseille
jetant dans le débat toute la puis
sance de son pack, bien emmené par
Negrier et Béraud. Il fallut attendre
la . 387, minute pour que Carcassonne
prît 1 avantage au score grâce à un
drep judicieusement botté par Puig-
Aubert.
Avantage de courte durée, puisque
Fachan égalisait sur coup franc quel
ques secondes plus tard El la m1
temps survenait alors que les deux
équipés étaient à égalité.
Carcassonne s’impose
Après le repos, les Audois prenaient
très nettement l’avantage et, serV15
par une mêlée prolifique, sinste
laient dans le camp phocéen. Une
Passe croisée . Bergèze-Puig-Aubert et
ce dernier réussissait, des 40 mètres,
un drop-goal splendide qui donnait
1 avantage au score à son équipe. Car-
Essonne dominait alors très nette-
ment et lançait de magnifiques of-
lensives, q U i échouaient par suite du
manque de décision de Trescazes, vrai-
ment trop timide. Perez stoppait, au
terme d’un sprint magnifique, une
‘nterception de Bergèze qui semblait
Cecicive. Une splendide passe croisée
uilhem-Bergèze paraissait aboutir,
mais toujours un Marseillais était là
Pour plaquer...
Les Canaris voulurent alors jouer
scnomiquement. espérant atteindre
-d fin de la rencontre avec leur faible
avance. On ouvrit à tout - coup sur
1uig-Aube:., qui botta invariablement
d suivre ou en touche. On limita les
Teàts en a’tendant la 80' minute.
. ais les Marseillais, qui semaient
Irrémédiablement battus, reprirent du
(Lire la suite page 3
en rubrique Rugby Xlii)
’ AUJOURD’HUI COMME
HIER, LES CHAUSSURES
« LEGER » SONT COPIEES
MAIS JAMAIS EGALEES
Les Ets LEGER, 32, rue Gabrielle,
à CHARENTON (Seine), communi
quent :
Il y a quelques mois, une maison
de sports de Paris avait fait repro
duire une chaussure LEGER
Saisi d’une réclamation, M. LE
GER avait mis les détaillants en
garde contre cette contrefaçon.
Sans résultat d’ailleurs, puisque
aujourd’hui, une nouvelle copie des
« RECORD LEGER » circule sur le
marché, fournie par un ancien cou
reur cycliste professionnel qui, pour
tant, porte lui-même les véritables
chaussures des Ets LEGER !
Les « CYCLISTE LEGER » et
« RECORD LEGER » étant des modè
les déposés, M. LEGER fait savoir,
pour la dernière fois, que toute
contrefaçon sera poursuivie, selon
son bon droit.
Fervents de la « PETITE REINE »,
pour votre travail, pour votre plai
sir, pour courir sur les routes de
France ou de Navarre, sur les pistes
ou sur les vélodromes, pour vous
sentir plus légers et pédaler avec
facilité, portez des chaussures LEGER.
En vente dans toutes les bonnes
maisons d’Articles de Sports et de
Vélos.
MAIS DEMANDEZ ET EXIGEZ
la signature
« LEGER » ou « RECORD LEGER »
(De notre envoyé spécial
Louis LAPEYRE)
MADRID. — En battant l'Espagne,
l’équipe de France a accroché à son
palmarès une nouvelle victoire. Mais,
il faut bien le reconnaître, elle ne
figurera pas sur la liste des exploits.
Certes, ce succès est tout à l’hon
neur de nos internationaux qui, dans
une ambiance particulière, sont par
venus à tirer le maximum de leurs
moyens. Il n’en est pas moins vrai
que ce match n’eut pas la tenue et
L’équipe des « provinciaux » en
match démonstration, a rencontré une
formation du Lycée Français de Ma
drid. qui fgürç parmi les meilleures
d’Espagne, et 1 a battue par 52 à 14.
la valeur tactique de ceux du Palais
des Sports face à l’Italie et à la
Hongrie.
A quoi cela a-t-il tenu ?...
Nos joueurs, Busnel et Perrier en
tête — qui, d - habitude sont nos
meilleurs réalisateurs — se sont
plaints de l’extreme légèreté de la
balle neuve avec laquelle ils ont
joué pour expliquer l’impression
d’inefficacité quils produisirent.
A notre avis, cette excuse n’est pas
suffisante, car sur le pi an tactique,
bien des combinaisons échouèrent
par la faute meme des exécutants,
souvent mal places.
(Lire la suite page 3
en rubrique Basket)
POUR LA PREMIE REFOIS)
L’HOMMEEN
ROUGE
DIT TOUT CEQUILSAIT
les mémoines I
PROCUREUR GÉNÉRAL MORNET
L'ACCUSATEUR DE PETAIN ET LAVAL
ET DES TRAITRES DE 1914-1918
France-soir
,LE PLUS FORT TIRAGE ET LA PLUS
FORTE VENTE DE TOUS LES JOURNAUX FRANÇAIS
oui CONTINUE LA PUBLICATION DU
DOCUMENT DONT TOUT LE MONDE PARLE
" 7 ANS DE VIE INTIME AVEC HITLER "
e cZouth té-
d EVA BRAUN
CETTE SEMAINE LES RÉVÉLATIONSLES PLUS SENSATIONNELLES
USL
ME PVISSANCE
pg DEMARRAGE
0 12, RUE D'AGUESSEAU, PARIS (8*)
LUNDI 10
MAI 1948
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1x, aux sertie, 1
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i tireur (PACHU
lensois numéro]
nt cenirp. plus p
utile (STANIS)
éfléchi, rappelle!
NE VICTOIRE MERITEE MAIS... ARRACHEE
but vainqueur à 4 minutes de la fin : sur
fantastique dégagement de Witkowski,
ratte échappe à Golinski et bat Duttuter
qualité -maîtresse]
a six Polonais d
, d’un Nord-Afric
eint (Duffuler, G
COUPE
Football plus satisfaisant de Lille qui gagne la Coupe
: déblayer les al
nts. L’attaque »
lui lui
et des
parvienne
demis, sa
BATTUE
pour la troisième fois consécutive mais... résultat acquis
est pour elle
régiona’
.ENS
une est sortie amoindrie
Lat qu’elle nous offrait
h Colombes en guise d’a-
Yais, qu'on se rassure,
in portera pas plus mal.
Ltfp qui promène. sa ma-
prouve no? cœurs pen-
| la saison ne se soucie
injures que peuvent lui
plus chers de ses enfants.
sans brio ni panache
Jadrejak, défenseur impeccable
Carré
NC Lens (34.3;
Y principal
é voilà 42 ans ; I
t Division 1
s. Il ne faut pas
। équipe compte
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Siklo,
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elle leur dernière
enant de Rosend
‘RES DU RC 1
Zone Interdite] 11
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(on ne
match
L reine
L début
I méme
pensera plus au
de la finale 1958.
nous aurons enco
de. la saison pro
ferveur, la même
travailleur
deux buts.
infatigable
Baratte
signe
Courageuse défense de Lens
3 A 2
irqui Marceau Son
les tenants de“
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on pourtant rap
sauva déjà bien,
tués pour la dét 3
origine du but.Yep
, édition de - a
it-être à lui que,
ent de jouer d 1
L incontrôlée.
L elle a subi une défaite,
I a eu l’audace de nous
cette année une finale
brée. Et ce n’9st pas pour
ituse, si, en fin de comp-
hatch fut très incertain
186% minute de jeu. On ne
wpas d’avoir aligné dans
ipréme une équipe ve-
Iampionnat de premiè-
Aile LOSC, et une équi-
Iu assez modeste de la
Bmion, le RC Lens.
k G mtraire un
élément
heete opposition inat-
la 1ernier la finale^ de
Iiilnaleterre, qu’on s’ex-
Kf» d’invo-quer en cette
, mettait en présence
éuipe de première di-
Burnley, équipe de deu-
fion, mais qui gagna le
it de cette division. Mais
t devenu cette saison une
| brillantes équipes du
ht d’Angleterre. Il était
issance, la saison passée,
? de premier? division.
nsoise ne nous a pas
er ce visage prometteur.
reFFERKORN.
la suite page 4)
avec des moyens limités ; Duffuler, Stanis
Mellul (en 2 e mi-temps) les meilleurs
Quatre-vingt-sixième minute de jeu : les deux équipes sont
égalité, deux buts partout. Le mastoc Witkowski, à la suite
à toult, u-uA vut paIu.. Le uiasiuv vv InU n.MM. u ld suie
d’un coup franc accordé à Lens à 25 mètres de ses buts, vient
de faire front, solidement campé sur ses jambes, à un puissant
assaut conjugué de Stanis et Habera. Lens a manqué sa. der
nière occasion et dans les tribunes, on en prend son parti : si
elle est attribuée aujourd'hui, la Coupe 1948 ne le sera qu’après
prolongation.
C’est alors que la balle, dégagée très loin par Witkowski,
parvient dans la zone Baratte-
Golinski. L’avant centre inter
national, après s’être débarrassé
de son garde de corps — non sans
avoir usé en l’occurrence d’une lé
gère irrégularité, nous a-t-il semblé !
— file seul en direction des buts de
Duffuler. Le jeune, frêle et blond
gardien lensois tente la sortie mais
Baratte l’évite et, d’un tir du gau-
che, place la balle dans la partie
gauche des buts lensois. .
Un triplé qui n'est sans doute pas
près d’être égalé
Double record à Colombes
Cette finale de Coupe Lille-Lens a
été suivie par 60,739 spectateurs
et a produit 7.356.580 fr. de recette,
ce qui bat le double record précé
demment établi par France-Italie
du 4 avril : 60.074 spectateurs et
7.353.265 fr.
France, égalant ainsi le record établi
par le Red Star en 1921, 1922 et 1923.
A cette triple réussite demeurera at
tachée, historiquement parlant, une
valeur remarquable. Obtenue à une
époque où les compétitions officielles
sont de plus en plus difficiles, où
Pour la troisième fois consécutive, - — -- — .. --—, -
Lille vient de gagner la Coupe de 1 la concurrence est de plus en plus, sé
vère, elle consacre la qualité, la
l’autorité du champion
RDES GAGNE EN 30’
ualifie pour les demi-finales de la Coupe
avec CASTRES, TOULOUSE et BECLES
h envoyé spécial Marcel de LABORDERIE)
[Z — Il a suffi d’une demi-heure de jeu aux Lourdais pour
f la Section Paloise une avance décisive. Durant ce court laps
Prat et ses camarades ont joué avec une parfaite maîtrise,
ation s’affirmait irrésistiblement, sans précipitation, presque
r L’équipe jouait vraiment avec l’autorité d’un champion de
constance, et le mérite de l’équipe qui,
sur l’ensemble des quatre saisons d’a
près guerre, fut la meilleure de Fran
ce."
Pourtant, la manière dont fut ob
tenue la troisième victoire des foot
balleurs lillois n’aura conféré à ces
derniers aucune gloire nouvelle, hor
mis celle qui, pour la postérité, restera
gravée sur le socle de la Coupe. Cette
victoire, il n’est d’ailleurs pas ques
tion de leur en contester un seul ins
tant la légitimité : si l’une des deux
équipes méritait, hier, de gagner la
finale, c’était bien celle de Lille. Mais
justement, parce que Lille était, hier
à Colombes, en train de réaliser un
exploit « historique » et qui n’est sans
Jacques de RYSWJCK.
(Lire la suite page 4)
Le Stade Français
CÈDE
POUR 8 MILLIONS
Ben Barek
et Domingo
acquis voilà trois ans
pour 1.175.000 frs
C’est chose faite : Larbi Ben Ba-
rek et Marcel Domingo joueront,
l’an prochain, à Madrid. Le Stade
Français les a cédés pour 5.500.000
francs — transfert de base — à
l’Atletico. Mais comme il est plus
difficile de transférer les fonds que
les jouiurs, le Stade Français gar
dera pour lui les recettes de deux
matches que son équipe jouera à
Paris contre l’Atletico et une au
tre équipe espagnole, le FC Barce
lone probablement. Ce qui laisse
présager un appréciable bénéfice.
Aussi bien, les deux joueurs peu
vent-ils rapporter environ huit mil
lions au club parisien.
Le Stade Français avait acquis
Ben Bank pour 800.000 francs et
Domingo pour 375.000 en 1955...
L'orgueil de Ben Barek
Larbi Ben Barek ■qVitiér a donc la
France après avoir joué une saison
à Marseille, 1938-39, trois saisons
sous les couleurs stadistes, de 1955
à 1958, et quatorze fois en équipe
de France.
Ben Barek, depuis quelque temps,
sentait que l’on faisait appel à lui
du bout des lèvres pour défendre
les couleurs nationales. Son orgueil
lui interdisait toute attente. Et son
départ pour l’Espagne constitue, à
ses yeux, une sortie par la grande
parte. Lui et les Espagnols, qu’il a
séduits tant à Paris qu’à Madrid,
sont enchantés. Nombreux sont
ceux, ici, qui le seront moins. —
F. A.
DEUXIEME BUT
LENSOIS, 74 e MINUTE
LILLE EST REJOINT
Lens obtient un corner. Sta
nis le tire impeccablem.ent.
Witkowski ne peut que frô
la balle qui pénétrera dans le
coin droit du but. C’est le se
cond but lensois^ l’égalisation.
Mais... On reconnaît, de g à
dr., Dubreucq (Lille), Sotmner-
linck (Lille), Prévost (Lille),
M a n k o (Lens) t Witkowski
(Lille), Vandooren (Lille),
Habèra (Lens).
A TUNIS, RECORD BATTU
MICHELINE OSTERMEYER
13 M. 79 AV POIDS
(13 M. 35)
(Lire les détails en rub. Athlétisme)
ALENÇON : CONDITIONS IDEALES DE TERRAIN ET DE TEMPS
MARCEL HANSENNE et CHEFDHOTEL
DE MANIERE TOUT A FAIT DIFFERENTE
ont plané
110 m. haies : André Marie 14” 7/10, record égalé
Triple saut : Robert Bobin 14 m. 58, record battu
(De notre envoyé spécial Caston MEYER)
ALENÇON — Deux hommes ont nettement émergé de la réunion
préolympique d’Alençon, à des degrés différents : Hansenne et Chef-
dhotel.
Mais, alors que le second nous
Georges Martin s’écroule après Baratin aux « Six-Provinces » et
Production réjouissait les
exécution ne prêtait pas
plus difficiles. Tout était fort bien
6.000 Fr. = 52 m. 87
La 2FA a dépensé plus de 6.000 fr.
pour permettre à Friner de lancer
le javelot... à 52 m. 87
Le Strasbourgeois n’au. alt-11 pu
essayer au stade Tivoli ?
_ A Cl
EDETTES DE - 1
‘ L’ELITE 0U
BALL FRANC
s. 300 photos. Pr’p
venue de 1 opéra
les lignes arrières
"chement lancées dans
fattaques à la main qui,
, ne nous apparaissaient
h tradition lourdaise et
Drenaient d'autant plus
hr-s de Faget et de Ber-
Pt obligé les Lourdais à
"ésentation de leur ligne
nfre Estrade glissait à
t le remplaçant Palavi-
"centre avec Labazuy et
r d droite.
Temps incertain, terrain assoupli
par les ondées. Arbitrage difficile
mais sans erreur de M. Cerroy. Recet
te : 635.000 francs pour 6.000 specta
teurs. Pour Lourdes, 3 essais : Es
trade (13’ m ), Palavicini (23' m.),
Lacrampe (31' m.). Pour Pau, un es
sai : Aristouy (77 m.).
Muveaux
ne faillirent pas
PE DE
Jbs DE
FRANCE
Fl NA LE)
LUSE h. Romans
TRDES b. Pau..
I RES b. Narbonne
11-8
9-3
9-0
Nat EXCELLENCE
"OULES DE 4)
b. Nontélimar— forfait
| !Sî S DE FINALE)
ES BALLON
Tarbes b. BRIVE
"GERAC b. Agen
MONNEUR
FINALE)
3-0
8-0
à la tâche. Ils se montrèrent les
égaux de leurs partnaires. Ainsi, une
attaque partie de la droite aboutit,
après toute une série de passes,
à l’ailier gauche Estrade qui,
après avoir débordé automatiquement
son
Larruyet,
retour au centre, l’arrêt de
par un
'arrière
Carmouze. L’exploit, œuvre de toutes
les lignes arrières', avait été de qua
lité.
(Lire la suite p. 3 rub. Rugby XV)
Bigot avait-il le droit
de ramasser le ballon
après sa rentrée
de touche ?
Bigot, voulant effectuer en 2e mi-
temps une rentrée de touche, lâcha
le ballon avant d’avoir complété son
geste de lancement et il le ramassa
aussitôt, sous les protestations d’une
partie des spectateurs qui récla
maient : coup franc contre Lille.
Mais Bigot n’ayant pas projeté
réglementairement le ballon, celui-ci
n’était pas en jeu, et l’arbitre aurait
fait recommencer la rentrée de tou
che si Bigot n’en avait pris l’initia
tive.
De même, si un avant, au coup
d’envoi, expédie le ballon en arrière,
l’action est à recommencer. Il n’y
a pas de coup franc, parce que le
ballon n’est pas en jeu. S’il y a
récidive, l’arbitre peut expulser le
joueur, sans être en mesure d’appli
quer une autre sanction.
PIERRE MOLINERIS, AUDACIEUX
démontre qu’il sait ne pas « courir au
millimètre »
Hélary 9 Ramoulux, Zaaf
Kebaïli, Roland Danguülaume 9 héros des
deux ultimes étapes
(De notre envoyé spécial Pierre BOURRILLON)
LA BOURSE DES VALEURS
EN HAUSSE DE FOI XTS : Moli-
neris, Carpentier, Zaaf, Kebaïli, Ma
rins Bonnet, Hélary, Pras, Roland
Danguillaume, Orls.
STATIONNAIRES : Ramoulux,
Forget, Sarrin, Juillard, Hougron.
EN,BAISSE : Georges Martin, Ba
ratin, Roi, Valentin, Rondeau, Jodet,
Lucien Lazaridès.
de
LYON. — Le circuit des Six Provinces est terminé. En deux jours,
Chalon-sur-Saône, lieu du jour de repos, à Lyon, en passant par
Montceau-les-Mines et Roanne, cette épreuve, jusque-là un peu décevante,
a trouvé une solution logique en la victoire de Pierre Molineris qui, à
l’issue de la deuxième journée, réussit un coup de théâtre.
Pierre Molineris, hier soir à Lyon, nous
CARCASSONNE ECHOUE ENCORE EN RUGBY XIII
Malgré deux drops de Puig-Aubert
pièce
d’une
façon
Oui.
a rendu la monnaie de. notre
en enlevant de haute lutte,
très intelligente et courageuse
l’épreuve du Progrès de Lyon.
Molineris, que nous avions
jusqu’à Chalon-sur-Saône mener
vu
sa
w • "I — leurs
ont gag” 8 PAeprEU
ALITES SUPENot
RENOMME E ‘ n
, exclusive dans « I
ns d’articles J
^MOTION
I-PINALES)
WHET b. St-Se ver
.. 8. Mont.-les-M.
RANTZ-REICHEL
L FINALE)
"se b. PERPIG...
10-0
8-3
8-5
0-0
MARSEILLE ENLEVE LA COUPE
barque avec une extrême prud.nce. ce
qui nous avait laissé échapper le mot
« courir au millimètre », a voulu mon
trer qu’il était capable d’autre chose.
Hier, dans l’ultime' et difficile éta
pe qui conduisit les rescapés de
Roanne à Lyon, le Stéphanois a pris
des risques. Il s'est battu comme un
(Lire la suite page 2
en rubrique Cyclisme)
Pour avoir voulu vivre sur une maigre avance
les Catiaris sont « Gros-Jean »
ORTING C
en 1946-1947
DE LENS
ISSURES ET sALO
s da choix
des Clubs
Réaumur
ussmann
919"
RE "VALENTIN
(De notre correspondant particulier BORDENAVE)
MARSEILLE B. CARCASSONNE : 5-4 (2-2). — Tem ps pluvieux.
Arbitrage incertain de M. Marting. Carcassonne : 2 drops • puig-
Aubert (39- et 42’ minutes). Marseille : 1 coup franc : Fachan I
essai : Perez. Recette : 1.850.000 francs.
TOULOUSE. — Carcassonne a connu en huit jours deux cruelles
désillusions. Battus par Roanne en finale du Championnat de France,
les « Canaris » ont dû s’incliner à nouveau devant Marseille, en finale
de la Coupe de France. Même écart d’un point, même physionomie d e
match, Carcassonne dominant et devant finalement céder le pas à son
adversaire, ce qui laisse supposer que l’équipe audoise manque de réali
sateurs... ou de tactique. C’est plutôt la deuxième hypothèse qui s’est
trouvée confirmée à Toulouse, caï ¬
COUPE DE FRANCE
FINALE
Marseille b. CARCASSONNE.. 5-4
CHAMPIONNAT FEDERAL
DEMI-FINALE
CARPENTRAS b. Arcachon .. 7-2
EXCELLENCE
FINALE
Cahors b. CARCASSONNE B.. 9-6
a paru très proche de sa meilleure
forme — en fait son poids est plus
bas en ce mois de mai qu’en juillet
dernier — le second a certainement
quelques livres à perdre et l’on doit
attribuer son étonnante production
à une progression sensible dans le
domaine de la résistance.
Cependant, ni Hansenne', ni Chef-
dhotel n'ont battu de record. Cette
tâche était réservée hier, à Robert
Bobin, de l’US Métro-Transports, qui
porta son propre record du triple
saut de 14 m. 42 à 14 m. 58 au second
très de l’arrivée. Peut-être t-ce ha
plus simple explication de cetie pe
formance inattendue, même vour c-^
auteur.
Ces exploits d’excellente "usure ont
été facilités par une piste et des sau
toirs en très bon état, en dépu T un
orage qui éclata juste avant r de-
but de la réunion, alourdissani leve-
renient la. cendré#; les autres 1 coua»
Bally nous a confié, après l’arri
vée du 100 m., qu’il avait couru à
Alençon pour qu’on le laisse tran
quille le 30 mai.
tions
vent,
ment
étaient absolument idéales : le
quasi nul, soufflait très légère-
à l’avantage des sprinters.
performance qui.
être de
premier plan, commence à atteindre
un niveau appréciable. Pourtant, en
Chefdhotel et Hansenne
Revenons à Chefdhotel et à Han
senne ; la façon dont le premier a
gagné son 800 m., eu menant de bout,
en bout — et au train — a parfaite-
Stephan s’est légèrement claqué
dans le 200 m., 15 jours de repos
égalant officiellement, cette fois, le
record de France des 110 m. haies de
Jean-François Brisson avec 14” 7/10,
André Marie s’est situé à un niveau
supérieur encore.
champion de
France' courut absolument- décontrac
té et sans songer au record possible,
il se retourna même à quelques mè-
LEÇONS DE MADRID A RETENIR :
H faut à notre basket
UN CAPITAINE DE RECHANGE
Quand BUSNEL
est sur la touche, nos
internationaux flottent
seul antre, à l’heure nctuelle, mérite
de la considération : Mavordome qui
termina à 6 mètres de- son chef de
file, dans un style encore un peu
trop allongé. Chefdhotel est passé aux
400 m. en 54‘
2/10. aux 500 m. en 1’
9” 4/10 et aux 600 m. en 1‘ 23” 4/10. A
la mi-course, seul Mavordome était
resté dans sa foulée. Si Retières et
Thomas
honorablement
tanj de Jacquier, Ra
cheux bien décevants.
Biny, Da-
Chefdhote, doit, dès maintenant,
prendre garde au surentraînement. .
mais il semble avoir beaucoup gagné
en volonté et désir de bien faire; il
en sera certainement récompensé
Le 3.000 m. fut couru très lentement,
en .raison d’une défaillance inatten-
due de Jean Vernier dont l’éclatante
santé a pris, pour le
pas sur la forme.
Lourd
le
peu
confiant, le champion des 1.500 m. ne
put assurer sa part de train et, dès
lors. Hansenne hésita à courir seul
le premier 3.000 mètres- de sa carrière.
Il freina constamment et gagna au
petit trot dans un temps médiocre'
(Lire la suite p. 3 en rubr. Athlétisme)
les « Canaris » ont perdu, devant
Marseille, un match qu’ils avaient à
leur portée, un match qu’ils n’au- '
raient jamais dû perdre
La partie avait débuté dans une
ambiance passionnée, dans un stade
trop étroit, où les spectateurs, débor
dant sur les lignes de touche, gênè
rent souvent les • évolutions des
joueurs.
Le coup d’envoi, donné par Car
cassonne, amenait immédiatement le
jeu dans le camp marseillais, dégagé
par de beaux coups de pied de César
et Hatchondo. On notait successive-
ment une tentative de coup franc in
fructueuse de Puig-Aubert, une splen
dide trouée de Calbète, reprise en
avant par Bergèze, alors que le che
min du but paraissait ouvert; une
magnifique attaque de Carcassonne
enfin échouait sur Trescazes à deux
mètres des buts marseillais 7 . ’
"Les deux équipes s’empoignaient
fermement, Carcassonne affichant une
nette supériorité en mêlée, Marseille
jetant dans le débat toute la puis
sance de son pack, bien emmené par
Negrier et Béraud. Il fallut attendre
la . 387, minute pour que Carcassonne
prît 1 avantage au score grâce à un
drep judicieusement botté par Puig-
Aubert.
Avantage de courte durée, puisque
Fachan égalisait sur coup franc quel
ques secondes plus tard El la m1
temps survenait alors que les deux
équipés étaient à égalité.
Carcassonne s’impose
Après le repos, les Audois prenaient
très nettement l’avantage et, serV15
par une mêlée prolifique, sinste
laient dans le camp phocéen. Une
Passe croisée . Bergèze-Puig-Aubert et
ce dernier réussissait, des 40 mètres,
un drop-goal splendide qui donnait
1 avantage au score à son équipe. Car-
Essonne dominait alors très nette-
ment et lançait de magnifiques of-
lensives, q U i échouaient par suite du
manque de décision de Trescazes, vrai-
ment trop timide. Perez stoppait, au
terme d’un sprint magnifique, une
‘nterception de Bergèze qui semblait
Cecicive. Une splendide passe croisée
uilhem-Bergèze paraissait aboutir,
mais toujours un Marseillais était là
Pour plaquer...
Les Canaris voulurent alors jouer
scnomiquement. espérant atteindre
-d fin de la rencontre avec leur faible
avance. On ouvrit à tout - coup sur
1uig-Aube:., qui botta invariablement
d suivre ou en touche. On limita les
Teàts en a’tendant la 80' minute.
. ais les Marseillais, qui semaient
Irrémédiablement battus, reprirent du
(Lire la suite page 3
en rubrique Rugby Xlii)
’ AUJOURD’HUI COMME
HIER, LES CHAUSSURES
« LEGER » SONT COPIEES
MAIS JAMAIS EGALEES
Les Ets LEGER, 32, rue Gabrielle,
à CHARENTON (Seine), communi
quent :
Il y a quelques mois, une maison
de sports de Paris avait fait repro
duire une chaussure LEGER
Saisi d’une réclamation, M. LE
GER avait mis les détaillants en
garde contre cette contrefaçon.
Sans résultat d’ailleurs, puisque
aujourd’hui, une nouvelle copie des
« RECORD LEGER » circule sur le
marché, fournie par un ancien cou
reur cycliste professionnel qui, pour
tant, porte lui-même les véritables
chaussures des Ets LEGER !
Les « CYCLISTE LEGER » et
« RECORD LEGER » étant des modè
les déposés, M. LEGER fait savoir,
pour la dernière fois, que toute
contrefaçon sera poursuivie, selon
son bon droit.
Fervents de la « PETITE REINE »,
pour votre travail, pour votre plai
sir, pour courir sur les routes de
France ou de Navarre, sur les pistes
ou sur les vélodromes, pour vous
sentir plus légers et pédaler avec
facilité, portez des chaussures LEGER.
En vente dans toutes les bonnes
maisons d’Articles de Sports et de
Vélos.
MAIS DEMANDEZ ET EXIGEZ
la signature
« LEGER » ou « RECORD LEGER »
(De notre envoyé spécial
Louis LAPEYRE)
MADRID. — En battant l'Espagne,
l’équipe de France a accroché à son
palmarès une nouvelle victoire. Mais,
il faut bien le reconnaître, elle ne
figurera pas sur la liste des exploits.
Certes, ce succès est tout à l’hon
neur de nos internationaux qui, dans
une ambiance particulière, sont par
venus à tirer le maximum de leurs
moyens. Il n’en est pas moins vrai
que ce match n’eut pas la tenue et
L’équipe des « provinciaux » en
match démonstration, a rencontré une
formation du Lycée Français de Ma
drid. qui fgürç parmi les meilleures
d’Espagne, et 1 a battue par 52 à 14.
la valeur tactique de ceux du Palais
des Sports face à l’Italie et à la
Hongrie.
A quoi cela a-t-il tenu ?...
Nos joueurs, Busnel et Perrier en
tête — qui, d - habitude sont nos
meilleurs réalisateurs — se sont
plaints de l’extreme légèreté de la
balle neuve avec laquelle ils ont
joué pour expliquer l’impression
d’inefficacité quils produisirent.
A notre avis, cette excuse n’est pas
suffisante, car sur le pi an tactique,
bien des combinaisons échouèrent
par la faute meme des exécutants,
souvent mal places.
(Lire la suite page 3
en rubrique Basket)
POUR LA PREMIE REFOIS)
L’HOMMEEN
ROUGE
DIT TOUT CEQUILSAIT
les mémoines I
PROCUREUR GÉNÉRAL MORNET
L'ACCUSATEUR DE PETAIN ET LAVAL
ET DES TRAITRES DE 1914-1918
France-soir
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FORTE VENTE DE TOUS LES JOURNAUX FRANÇAIS
oui CONTINUE LA PUBLICATION DU
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" 7 ANS DE VIE INTIME AVEC HITLER "
e cZouth té-
d EVA BRAUN
CETTE SEMAINE LES RÉVÉLATIONSLES PLUS SENSATIONNELLES
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