Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1948-05-07
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 07 mai 1948 07 mai 1948
Description : 1948/05/07 (A3,N641). 1948/05/07 (A3,N641).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599907w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
VENDREDI 7
MAI 1948
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PARIS (9-)
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• N 8 641
Afriq. du Nord 7 fr.
Magnifique Tour de Corrèze
construit par seize hommes
PARTI SEUL
au pied de la dernière côte...
ILAM
fée.
mil du '
talents
DÉCOUVERT UN REMARQUABLE FUINTEUR : LUCIEN LAUK PREND 1 ?
andooren, vedette du “cochonnet” à Chapatte, Guégan, Desbats, Brulé
rré, probable, se repose et Lechantre
apprend a conduire sa barque
D'ESPAGNE J
rais pourront
les cheveux
quatre
Le Tour d’Esnal
era du 15 mai
* 50 concurrents!
en dix équipes .1
trois étrangères'
et. française). ■
i sous l'étiquett.
chaires.. C’est 1
•s français (on
ation de F r ï c kl
na, Kallert et E
t les couleurs.. d
mes de rasoir!,
donner l'occasio,
eveux en qua(r e l
L changement en 24 heures! Lorsqu’ils arrivèrent d Maisons-
L mercredi soir, les Lillois étaient nerveux, crispés; le moindre mot,
“petit S cste les agaçaient.
es Nordistes 100 %, Lille, leur capitale, était devenue odieuse, son
[ sur leur organisme une action terriblement déprimante.
L nuit et une journée passées dans le calme de ce coin de ban-
arisienne ont calmé les joueurs du LOSC, les ont. détendus, reposés,
L redonné cette tranquillité d’esprit qu’ils ne possédaient plus .
1 la demi-finale Lille-Nancy.
L plupart des joueurs prendront part à leur quatrième finale
L V e, explique le capitaine Jules Bigot. Ce n’est pas la perspective
ch qui les trouble, mais tous les à-côtés de la. rencontre. Lirrespi-
smosphère qui régnait à Lille depuis trois semaines et que vint
(plus lourde encore notre dé-
st-Etienne leur était insup- i
CE QU’ILS ONT FAIT HIER
MATIN : footing (11 km. a tra.
vers la forêt ; ballon sur les pe
louses du parc.
APRES-MIDI : sieste et jeux di-
vers.
CE QU’ILS FERONT
AUJOURD’HUI
MATIN : à 9 heures, entraîne
ment sur le terrain de Maisons-
Laffitte. Essai de Carré.
APRES-MIDI : sieste et jewx di-
vers.
vous aider et d]
comme Henri Del
g... »
» est, en prit
irmée !
je, évidemment,. I
Ispagne est mal
il convient d
meilleurs élé
on, des routiers
de leurs frontièr
’écent Tour de H
Gual et Emiliol
nt dans le pri
lie. Enfin, l'anné
r d’Espagne, J
pourra servir d‘
bien crue Ton- saq
osera en principe
iers sprinters :
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aussi bien q u* it
u:r roulvurs : Ce
ois a rimyeurs er
cz. .Gelabert et I
reprise du Tor
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repris du service,
son frère Vincent
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i DESGRANGE |
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pst envisagée. fl.
s leurs affinités, leurs goûts,
Mances, nos gaillards se sont
Lj en trois groupes : les bou-
Jean CORNU.
(Lire la suite pare 4)
"cocarde aussi
brairas n’dans !
sré, supporter lillois. et Bap-
supporter lensois, échangent,
«aminet, quelques Vues sur la
L va à l’finale, D’siré?
i j'iro nin à l’finale, Bâtisse,
Lis nin duq c’est q’j’iro. Et
iisse ?
Ii, j'nai nin pu acater m'bil-
lie n’dorais nin un d'trop ?
e n'dai deux, mais ché pour
I min garchon, saite ! S’mèré,
; même r’passé s’plns bielle
Le ch’ti là de
sunion !
It ti’ D'siré, t'a-ti
mouchoir ?
Q10 qn'c’est jin
lit brairas n’dans,
Im.
«'première
r'passé tin
fro, d’min
dimanche
L Iiro n’dans, châ c'est sûr :
a «veux, ché plus fort que
adfo que l’LOSC y gagno
lojrayo tondis. J’pouvo nin
dsans braire, saite, Bâtisse.
■ Ao Bigot avec s’Coupe su
rur, qui serré l’main au pré-
ddel République, avec l'mu-
Lni ine le m'tit Quinquin, mi
ntransperce. hein ! Ti z’ot, à
Ile n’peux nin savoir, t’na nin
Inde ed ces cérémonies...
le brairas dins tin mouchoir,
que j’te dis, mais te n’brai-
in comme ché qu’te penses:
liras n’dans pasque l’LOSC y
« qu'ché q'tâ
r sro bâtu ?
vu châ,
J’voudro
ti ?
bin
il y s’ra bâtu ! Te peux
hier comme châ.
L'mu-
h jouera tondis le m'tit Quin
mais châ sra
pour (1...
lions, Bâtisse, l’LOSC y peut
POUR LA SECONDE PLACE DE LA IC DIVISION
COLMAR SE DÉTACHE
.et peut encore gagner 9 points
alors que Rouen et Le Havre
n en espèrent que 7
Valenciennes a provisoirement stoppé
les ambitions normandes
Les chances d'accession à la division nationale de COLMAR sont
depuis hier soir de tout premier ordre. Le onze alsacien a. en effet, battu
Lyon (3-1)', tandis que LE HAVRE était tenu en échec par Valenciennes
(0-0). Ainsi, il possède deux points
mands, ROUEN, victorieux de Douai
la troisième place.
Cinq matches restent maintenant
d’avance sur ses adversaires nor-
(2-1) ayant rejoint LE HAVRE à
à jouer. Voici la tâche des trois
prétendants au second rang avec le nombre de points
croyons capables d'obtenir sur leur forme actuelle :
COLMAR recevra Besancon (2), Béziers (2), Avignon
dra au Mans (2), à Angoulême (1).
DEUXIEME DIVISION
(33* journée)
•NICE (1) et BORDEAUX (5)
•COLMAR (2) b. Lyon (7) ..
•HAVRE (3) et VALENC. (6)
•ROUEN (4) b. Douai (13) . .
•NIMES (14) h. Nantes (8)
♦ANGERS (8) et Angoul. (15)
•Tro.v. (18) b. BESANÇ. (11)
•AMIENS (12) h. Avign. (17)
*CAP (19) et Le Mans (19)
Classement
pi J G N. P
0-0
3-0
2-1
0.0
0-3
0-4
0-3
3-2
que
nous
Soit : 9 points.
LE HAVRE jouera
(2)
chez
et se ren ¬
lui
Douai. (2), Besançon (2), Lyon (2) el
se déplacera à Bord-aux (0), Nantes
(1). Soit. : 7 points.
ROUEN affrontera Valenciennes (2)
Lyon (2),. Besançon (2) aux Bruyères
et ira à Nantes (1), Bordeaux (0)
Soit : 7
Si ces
Colmar
situation
points.
hypothèses sont confirmées
améliorera donc encore sa
et accompagnera NICE er
queurs possib
e préolympig
" bâtu en finale, par
1 ed deuxième division
Grande équipe, l’LOSC.
ché
ités capab
de ma
in pus académique que Lens...
pi. mais Lens y jutent bin
inâmique ! Fais (es maines
tin LOSC ! Tin LOSC y est
Et tin Carré y a eun‘ déchi-
p s’naine. Mi j’tel dis, saite.
i: diminche
nin à
1. NICE
2. Colm.
3. Havre
Rouen
5. Bord.
(1)
(2)
(4) .
as besoin de pré
parmi les plus.
e 21 édition, 1
; sous le patrons
éclat tout par
engagés, 40 nom
s possibles, eue
Re
pà vâ ! châ vâ ! Bâtisse, te
"nin quo qu’ché q’te dis ! On
‘ite m'fais endever, hein!
min va acater m’cocarde...
I* cocarde aussi, te brairas
In verra toudis. Bâtisse. Qno
ti?
Mi, D'siré. j’bô m’même que
6. Valenc. (6)
T. Lyon (6)
Angers (8).
9. Nantes (8).
10. Lens (10) .
11. Besanc. (11)
12. Amiens ( 12)
13. Nîmes (14).
14. Douai (13) .
15. Angoul. (15)
16. Béziers (16)
Mans (19)
45
43
43
39
38
3 fi
35
29
28
33 23
33 20
33 19
33
33
33
33
32
33
33
16
22
33
32
33
33
33
10
9
8
5
4
5
.1
9
9
8
4 91
9
10
16
18
19
66
fit
58
67
65
63
59
30
3 fi
35
49
fit
62
5 fi
50
52
66
43
59
66
59
40
43
66
86
92
69
60
division supérieure.
Nice essoufflé
Le leader n est décidément plus ir
résistible. Les deux matchee nuis qu’il
vient de concéder au Stade St-Augus
tin (dimanche dernier : Nîmes, 1-1 ;
hier, Bordeaux, . 1-1) le prouvent.
Mais le but est proche. Et
il suffit de deux points aux
pour être officiellement des
tionaux »...
Parmi les
33' journée
d’Angoulême
montre que
miner en «
PEDALE
NZAX
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ant l'effort inte9
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CLES TEND
constructMES
uffi, 21 1
UNE SOIREE
r
LES QUATRE RESCAPÉS
d’une échappée de 200 km
Robic et Geminiani, auteurs de la fugue initiale,
n'ont pu aller jusqu’au bout
(De notre envoyé spécial Claude TILLET)
TULLE. — Nous sortons un peu ahuris 1 , avouons-le, de ce
Tout de la Corrèze. C était mieux encore Que ce Que nous avions
pu imaginer en fait de difficultés purement routières. Dix kilo
mètres de plat, tout au plus, sur les 236 km, 500 du parcours.
Le reste en « bosses », en virages, en toboggans, au bas desquels
il ne lestait plus qu'à entreprendre une nouvelle ascension !
Il y avait eu 90 partants. On n'eut d'yeux que pour 16 hom
mes. 14 d entre eux fabriquèrent
de toutes pièces une course ma
gnifique ; les deux autres fu
rent les seuls à se joindre tar
divement aux attaquants, au
prix d’un effort exceptionnellement
dur. C’est là toute l’histoire de cette
journée, mais elle est passionnante,.
vous ne tarderez pas à le voir.
Nous irons cependant au plus
pressé en vous disant quelques mots
du vainqueur, Lucien Lauk, l’un des
routiers français les plus réguliers
que nous ayons connus depuis ■ près
de 15 ans.
(Lire la suite p. 2, en rub. Cyclisme)
1. Lucien LAUK, sur bic. METRO
POLE pn. Dunlop, les 236 km. 500
en 6 h. 30’ (moy. 36 km 380) ;
2. Chapatte, à 1’ ; 3. Guégan (dis
tancé de la seconde place) ; 4. Des
bats, 5. Brulé, tous m. t. ; 6. Chu-
pin, 7. Caffi, 8. Vietto, 9. Louviot,
10. Bernardoni, 11. Le Strat, 12. L.
Teisseire, 13. ex æquo : P. Neri,
Lazaridès Lévêque, Beckman, Mon-
naert, tous m. t. ; 18. Dussault, 19.
Bidart. à 4’ 40" ; 20. Diot. 21. A.
Rolland, 22. Plot, 23. Bonnaventure,
24. Fachleitner. 25. Thuayre, 26.
Geminiani, 27. Dolhats 28. Muller,
à 11’ 50" ; 29. Rebillard, 30. Cathe-
lin, 31. Prévotal, 32. De Muer, 33.
Londero, 34. Aubry, 35. Galliussi,
36. Huguet, 37. Le Boulanger.
HEROS D'UNE ECHAPPEE DE 239 KILOMETRES
Baratin attaque pour se défendre
mais Georges Martin
GAGNE A CHALON-SUR-SAONE
Ramoulux, Hélary et le vainqueur gagnent des places
(De notre envoyé spécial Pierre BOURRILLON)
CHALON-SUR-SAONE. — Le rideau vient de tomber sur le premier
acte du Circuit des Six Provinces.
A l'arrivée de la troisième étape à Chalon-sur-Saône, ce soir. les posi-
(ions se sont précisées d'une façon très nette: Baratin reste leader devant
Molineris à l’ 30", c'est un fait : mais derrière le Stéphanois s’inscrit,
comme
Niçois
« na-
autres résultats
retenons d’abord
à Angers (0-0).
de la
celui
Tl dé-
les Angevins veulent ter-
roue libre ». Enfin sou-
lignons le net succès d'Amiens aux dé
pens d’Avignon.
Encora un « coup dur » pour cette
pauvre défense vauclusienne.
Max URBINI.
(Lire les détails page 4)
DE LA COUPE
En haut : Ils se tiennent bien
à table, les Lillois, de Bigot
à Bara.tte. On reconnaît (de
g. à dr.) Bigot, Vandooren,
Garcia, Tempowski. Prévost,
Dubreucq, Jadréjak (qui sem
ble présider), Carré, Wittowski,
Cheuva, Lechantre, Baratte.
En bas : Après un bon repas,
c’est la courte veillée. La ra
dio diffuse : « Seul depuis
toujours », de Charles Trenet.
Garcia, le ténor > mime le
« fou chantant » pour le plus
SUCCES DU RUGBY BASQUE: 14-11
A l’ouverture, Arrizabalaga
plus "perçant" qu’Alvarez
Dauger, Dizabo, Junquas dignes de leur réputation
Siné et Duthen meilleurs Parisiens
STADE FRANÇAIS A REVELE
l’Espagne le football français
NE PAS ETRE
EN RESTE
C.ParisàSt-Ouen
^CLASSE
leconde mi-temps
rasshoppers
Zurich : 3-1
"t. de Gabriel HANOT
en page 4)
CHEVAL A LA MOTO...
p pour courir...
B BOL D’OR
"TOCYCLISTE
p Jean d’Orgeix
"gagné à Rome
grand
( en
( en
plaisir de Wittowski
habit ) et Somerlinck
survêtement).
sérieux, semble ne
Prévost,
prêter
qu’une oreille distraite à la
radio. Il préfère la lecture.
BARATTE PARISIEN?
Nous voulons bien convenir que la* rencontre Paris-Côte Basque n’a
pas été un mauvais match, mais nous n’en avons pas moins quitté le
stade Buffalo avec une impression de déception. Ni les Basques, ni les
Parisiens n'ont, en effet, fourni la grande production que l’on attendait
du renom de certains d’entre eux.
Evidemment, il est bien tard pour exiger de chacun qu’il soit encore
dans sa meilleure forme ; avec le mois de mai, il en est qui ont perdu
le contact, ou qui sont las et fati
gués, ou qui ne brûlent plus de la P ...
Meilleurs tacticiens et plus mobiles, les Parisiens
ont dominé PAtletico de Madrid : 4-2 (2-1^
en présence de 65.000 spectateurs étonnés...
(De notre envoyé spécial Louis LAPEYRE)
MADRID. — Victorieux à Paris, le Stade Français s’était déplacé à
Madrid, certes, pour rendre la visite faite par l’Atletico, mais aussi, mal
gré maints commentaires sceptiques pour confirmer son 'succès de Paris
(2-1). Il n’y avait parmi les 65.000 spectateurs qui se massaient au Stade
du Métropolitain, que de rares supporters français, parmi lesquels les
joueurs de l’équipe de France de basket-ball.
Le début de la rencontre fut nettement à l’avantage des Madrilènes
qui opposaient au WM stadiste une
Le RC Paris se préoccupant de
la saison prochaine songeait à se
procurer un inter de classe.
Le nom de Baratte fut avancé.
Un chiffre lancé au hasard : 7
millions ne parut pas effrayer
certains dirigeants de la rue Am
père.
Cette rumeur « monta » jus
qu’à Lille. Baratte y prêta une
oreille attentive.
L’avant-centre du LOSC et de
l'équipe de France se transfor
merait volontiers en inter pour
venir jouer dans la capitale.
« Stade ou Racing, dit-il, Je
n’ai pas de préférence. »
Le Stade, rappelons-le, aurait
manifesté l’intention de se sépa
rer de Ben Barek et Nyers...
flamme qui les a animés dans
grandes épreuves.
Alvarez souffrant
les
été
Le cas le plus typique nous a
fourni par Alvarez, De son association
Dans le match, agréablement et
largement arbitré par M. Prost,
onze coups francs seulement ont été
sifflés, dont dix en faveur des Bas.
ques. La recette du match a atteint
544.000 francs.
formation avec deux
demis, cinq avants.
Pendant quelque»
réalisèrent, malgré le
arriéres, trois
minutes, ils
vent qui leur
était contraire, un football aérien
bien fait pour mettre en relief leurs
Domingo jouerait
en 1948-49 à Madrid
MADRID. — Le stade Français
et l’Atletic de Madrid ont con
clu un accord au sujet de Do-
mingo. Celui-ci finira la saison
au Stade Français, mais jouerait
en 1948-1949 dans les buts du
grand club espagnol. — L. L.
A MADRID. CE SOIR. ESPAGNE - FRANCE
Turbulents et adroits, les Espagnols
PEUVENT TROUBLER LES FRANÇAIS
mais non pas les vaincre !
plus menaçant que jamais, le vain
queur de l’étape d'aujourd'hui, Geor
ges Martin.
De terribles défaillances ont mar
qué également cette troisième et rude
journée. Carpentier a disparu. Berrini
a abandonné. Sarrin recule nettement,
Bordin, de deux minutes qu’il avait,
ce matin, à Bourg, recule à près de
huit minutes ! Par
perd dés minutes
classement...
contre, Ramoulux
mais remonte au
Une étape méconnue
La raison de ce revirement complet
dans les positions acquises s’explique
facilement. D’emblée, 1-s deux premiè
res journées, on s'est dépensé sans
compter, pensant que, de Lyon à Aix
et d'Aix à Bourg, le plus dur était
fait. Ce fut là. à notre avis, que résida
la principale des erreurs commises par
ceux qui, ce soir, ont pleuré sur leur
dé farte.
On annonçait un seul classement au
sommet du col de la Savine, au kilo
mètre 122 d'une course qui en comp-
tait 241. Ce qui pouvait laisser suppo-
ser que la bagarre allait, isolément,
entrer dans sa phase active.
(Lire la suit» p. 2, en rub, .Cyclisme)
Aux travaux forcés du Rugby XIII
CARCASSONNE RISQUE
LE VINGT-CINQUIEME
PREMIER PAS DUNLOP
Trop de métier
DECAUX
pour un débutant !
... Il gêne le Lorrain
Menanteau et est déclassé
au profit de ce dernier
(De notre envoyé spécial
Jean MAZIER)
MARSEILLE.
Ce n'est pas le
•XURHREOIL#"*
P à » Tuitter Paris pour te
ov,"ome, le Chevalier d’Or-
443 confiait :
Cbrenim intéresse le plus dans
L dasre compétition interna-
ga armée, c'est la possibi-
1,4i tner une moto italienne.
IModers. pour me l'octroyer et
do-aen rentrant à Paris. »
"hdg"ele, oue »on succès dans
r ' plapreuve individuelle ro-
l/hj c au premier rano des
rousaliers mavdiauj;, aime
ghayer ® moto que monter
, avai.
allais * une bonne machine.
0r, ,1 je participerais au
■ 1'"^*) moto, deux façons de
■ J. €ou ! Mail d’Orgfix
I "‘ms pas.
. F. ALBARET,
qualités naturelles : vitesse d’exé
cution, dribbles, feintes. Mais la dé
fense stadiste se montra vigilante.
Puis, l'assurance vint chez les Pa
risiens et se montrèrent dangereux,
grâce à leur ligne d’attaque très en
verve. Les Stadistes modifièrent
sans cesse la position de leurs
avants; il n'en fallut pas plus pour
dérégler la défense adverse qui, à
la. 27e minute, sur une belle combi
naison de Gudmunsson et Ben Ba-
rek. concéda le premier but marqué
par... le noir Marocain.
L’Atletico réagit avec ardeur, ce
qui permit à Domingo de se mon
trer tout à son avantage il dut ce-
pendant, à 39* minute, laisser en
trer le ballon dans ses filets, sur
une tête de Vidal reprenant une jo
lie passe de d’Escuderos.
(Lire la suit* page 4)
Stade-Wolverhampton
le 19 ou le 20 mai ?
Manchester United ne pouvant venir
à Paris, M. Crevel, de passage en
Angleterre, a conclu avec Wolverhamp:
ton pour le 19 ou le 20 mai. :
Rappelons que le Racing reçoit la ■
Gantoise, en nocturne, le 19 mai. Si :
la F. F. F. donne son accord pour
Stade - Wolverhampton, les Parisiens |
n'auront nus l'embarras du choix |
pour assister à un mateh de football.
MADRID.
(De notre envoyé spécial Louis LAPEYRE)
Nous allons vivre, sous le ciel madrilène, le deuxième
match opposant nos tricolores aux Ibériques. Si l’on en croit les dirigeants
espagnols, toujours volubiles et confiants, deux qualités qui expriment
bien le tempérament de nos adversaires, leurs ressortissants ont accompli
de sérieux progrès. Nous nous permettons de leur demander au contact
de qui ?... Seules des traductions de traités américains ont pu être mises
a leur disposition. Et cela apparaît
bien insuffisant.
On ne peut, en effet, prendre en
considération la nette victoire espa-
gnole obtenue au détriment des Porta,
gais qui ont toujours été pour les nô
tres des adversaires faciles. Mais il
nous faut nous souvenir, pour avoir
vécu l’explication de Toulouse, des
qualités naturelles de nos hôtes Des
qualités qui. mises au service a exé
cutants « enlevés » par un public
électrisé, peuvent bouleverser les for
mations les mieux soudées.
Si le bagage tactique des Espagnols
doit être assez simpliste, on ne Peut
oublier qu’ils sont des basketteurs au
bagage individuel bien équilibre hez
eux le geste est inné, ils dribblent.
lini et Ferrari
Madrid.
shootent, passent de facon peuortho-
dore, peut-être, mais efficae, pomme
par ailleurs ils sont infatigare5, il
apparaît nécessaire, indispn-a, me-
me, de les obliger à supporter Une
loi qui peut être la nôtre, “n M mot
la victoire
par
C’est la 2' rencontre, qui se dé
roulera ce soir à Madrid.
les
re
« freiner », les dérégler, leur fai-
perdre et oublier leurs habitudes
Les chances françaises
Voilà les adversaires que nos repré-
sentants vont trouver.
Faut-il verser dans e Pessimisme?...
Que diable non, car bien au contraire
nous devons être à meme de démon
trer que nous avons su tiliser les le-
cons — nombreuses pour nous — de
ces dernières années.
En 1943, lors de notre difficile vic
toire, nos « coqs » cherchaient leur
voie, une voie Qui ne fut trouvée qu’a-
près l'arrivée des Américains.
Depuis, avec des fortunes diverses,
nous avons prouvé que t travail n’a
vait pas été inutile. Aujourd'hui la-
venir apparaît plus serein. C’est pour
(Lire la suite page 3
en rubrique Basket)
avec Danger et Dizabo, on attendait
monts et merveilles. Hélas ! le feu
d’artifice n’a pas eu lieu. Car Alva
rez, souffrant d’une déchirure a la
cuisse, ne put jamais se lancer, for
cer un peu la cadence, ou orienter
solidement l’attaque. Il se contentait
de transmettre la balle...
Pour s’être cru capable de jouer,
Alvarez était ensuite le plus marri de
sa mésaventure.
Quand il se résigna à quitter le ter
rain de jeu, lavant troisième ligne
Arrizabalaga le remplaça à l’ouver-
Marcel de LABORDERIE.
(Lire la suite n. 3. rub. Rugby XV)
AUX CHAMPIONNATS
. SCOLAIRES
Thureau se révèle
Daniel s’affirme
Camus se confirme
55’’ 6/1 0 pour un premier
400 haies, 15” 1 /10 au
110 haies et 22” 5/10
au 200 mètres respec
tivement.
Trois athlètes
Championnats de
ris, disputés hier,
ont
dominé les
l'Académie de Pa-
au
stade de la
• THUREAU, 55" C/10
Agé de 20 ans, élève
et nouveau sociétaire de
il appartenait la saison .
Fourchambault. Très bonne en
sur 400 m h.
de l’ENMÈPS
l’US Métro T,
passée à l’AS
performance est d’autant plus
quable qu’il n’avait auparavant
soi, sa
remar-
jamais
400 m.
couru ni sur les haies, ni sur
Son style est donc très perfectible.
C’est un athlète puissant, très musclé
(1 m. 78. 78 kg.), volontaire... et dé-
cidé à travailler sa résistance et son
passage sur l’obstacle.
Georges DUTHEN.
(Lire la euite b. S, en rub. Scolaires)
d’être
Grosjean 1
Si l'épaule de Poch reste douloureuse
Calvet, un junior de 90 kilos, fera ses débuts
CARCASSONNE. — Dans les cafés de la place aux Herbes ou hien
au Continental, siège de l’AS Carcassonnaise XIII, les consommateurs
sont mécontents ils n'ont pas eu le temps de digérer la finale du Cham
pionnat de France, c'est-à-dire la discuter, la disséquer, l’expliquer, que
voilà déjà la finale de la Coupe de
Parisien Decaux, bien qu’ayant fran
chi le premier la ligne d’arrivée de
la 25* finale du Premier Pas Dunlop,
qui fut déclaré, hier, vainqueur à
Marseille du plus long des Crité
riums des débutants, mais le Verdu-
nois Menanteau, son suivant immé-
diat.
Apres une belle bataille déclenchée
aux approches, puis dans les rampes
mêmes de la Gineste, attaque poursui
vie dans la longue plongée sur Mar
seille, Decaux et Menanteau Se retrou
vaient à quelques centaines de mètres
de la banderole placée à l’extrémité
du Prado pour se disputer la. victoire.
Menanteau partait alors résolument
puis se relevait. Decaux attaquait alors,
suivi comme son ombre par le minus
cule sociétaire du SAV. Au moment
où ce dernier « débouchait" » sur la
droit# — cinquante mètres les sépa-
(Lira la suite p. 3, en rub. Cyclisme)
France !
Eu quatre dimanches, l’ASC
dû jouer deux demi-finales et
aura
deux
finales, se heurtant chaque fois à des
adversaires reposés par quinze jours
d'inaction bienfaisante : Roanne di
manche dernier, Marseille dimanche
prochain. Dans ces conditions, Je
Rugby XIII n’est plus un jeu pour
les Canaris, ce sont des travaux for
cés !
Les supporters n'affichent pas la
mine épanouie de gens heureux, sûrs
de la victoire. Ils sont soucieux. Les
Si Poch ne peut tenir sa place,
Carcassonne alignera devant Mar
seille : .
Arr. : Puig-Aubert; 3/4: Thomas,
Llari. Maso, Trescases : 1/2 : (o)
Bergèse, (m) Guilhem
2' I. : Ponsinet, <
vet, Martin, Pastor.
3' I.
Gacia
fronts se rident des plis du scepti-
cisme car les blessés' sont nombreux.
Dans ces conditions, il semble que les
anses de la fameuse Coupe paraissent
ne plus tenir solidement dans les
mains audoises.
Notre confrère, Antoine Blain, en
traîneur de l’Asc, assis dans un fau
teuil chez Félix Bergèse. nous don
nait les raisons de ses craintes •
< Py a une entorse à la cheville.
Poch souffre de l'épaule. Seront-ils
rétablis à temps ? >
Pendant ou Antoine Blain se posait
cette question, apparaissait alors,
déambulant en tenue de pêcheur, Poch
accompagne de Ponsine’.
« Poch, pourrez-von s
tionna avec angoisse
supporters..
Pour toute réponse,
lever le bras droit, fit
douleur, une .moue de
« J’aimerais bien
doute que mon bras
son u»ag e - >
jouer ? > ques-
le chœur des
Poch tenta
une grimace
dépit.
dit-il. mais
puisse
de
de
je
remplir
Puig-Aubert guéri ?
Si Puig-Aubert est complètement
rétabli — 11 souffre toujours du coude
Loys VAN LEE.
(Lire I* suite P. 1 rub. Rugby XIII)
CHAQUE ANNÉE, PLUS DE
O,
AUTOMOBILISTES
remplacent leur carburateur - mô
me si c'est un Solex - par un Solex
plus récent. — Pourquoi ?
Parce que les conditions de la circu
lation automobile évoluent et que
Solex perfectionne sans cesse ses
fabrications. Il en résulte que les plus
récents carburateurs offrent de nou
veaux avantages, et répondent aux
exigences accrues des conducteurs.
Il ne fait aucun doute, par exemple,
que les Solex d’aujourd'hui sont les
carburateurs les plus économi
ques du moment.
Adoptez, vous aussi, cette méthode.
Vous tirerez plus de kilomètres
de-votre faible attribution d'es
sence et vous retrouverez une
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Interrogez votre garagiste, il est do
cumenté par Solex pour tous réglages,
ou remplacements.
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andooren, vedette du “cochonnet” à Chapatte, Guégan, Desbats, Brulé
rré, probable, se repose et Lechantre
apprend a conduire sa barque
D'ESPAGNE J
rais pourront
les cheveux
quatre
Le Tour d’Esnal
era du 15 mai
* 50 concurrents!
en dix équipes .1
trois étrangères'
et. française). ■
i sous l'étiquett.
chaires.. C’est 1
•s français (on
ation de F r ï c kl
na, Kallert et E
t les couleurs.. d
mes de rasoir!,
donner l'occasio,
eveux en qua(r e l
L changement en 24 heures! Lorsqu’ils arrivèrent d Maisons-
L mercredi soir, les Lillois étaient nerveux, crispés; le moindre mot,
“petit S cste les agaçaient.
es Nordistes 100 %, Lille, leur capitale, était devenue odieuse, son
[ sur leur organisme une action terriblement déprimante.
L nuit et une journée passées dans le calme de ce coin de ban-
arisienne ont calmé les joueurs du LOSC, les ont. détendus, reposés,
L redonné cette tranquillité d’esprit qu’ils ne possédaient plus .
1 la demi-finale Lille-Nancy.
L plupart des joueurs prendront part à leur quatrième finale
L V e, explique le capitaine Jules Bigot. Ce n’est pas la perspective
ch qui les trouble, mais tous les à-côtés de la. rencontre. Lirrespi-
smosphère qui régnait à Lille depuis trois semaines et que vint
(plus lourde encore notre dé-
st-Etienne leur était insup- i
CE QU’ILS ONT FAIT HIER
MATIN : footing (11 km. a tra.
vers la forêt ; ballon sur les pe
louses du parc.
APRES-MIDI : sieste et jeux di-
vers.
CE QU’ILS FERONT
AUJOURD’HUI
MATIN : à 9 heures, entraîne
ment sur le terrain de Maisons-
Laffitte. Essai de Carré.
APRES-MIDI : sieste et jewx di-
vers.
vous aider et d]
comme Henri Del
g... »
» est, en prit
irmée !
je, évidemment,. I
Ispagne est mal
il convient d
meilleurs élé
on, des routiers
de leurs frontièr
’écent Tour de H
Gual et Emiliol
nt dans le pri
lie. Enfin, l'anné
r d’Espagne, J
pourra servir d‘
bien crue Ton- saq
osera en principe
iers sprinters :
. ans.-i rapidet
aye ' ( !) et Poble
levre, Catalan U
aussi bien q u* it
u:r roulvurs : Ce
ois a rimyeurs er
cz. .Gelabert et I
reprise du Tor
vertute d: la fri
de sa retra ite.
repris du service,
son frère Vincent
dans la maçonnes
tblier. »
s -madridI
six étapes 1
vorer la mémoire
i DESGRANGE |
. —- L’Union véloc
ole porte un prol
mémoire d'Henri I
ennent à ‘honorer
prochain, sur fl
u en six étapes."
ince) la Coupe ■
(ante participation s
pst envisagée. fl.
s leurs affinités, leurs goûts,
Mances, nos gaillards se sont
Lj en trois groupes : les bou-
Jean CORNU.
(Lire la suite pare 4)
"cocarde aussi
brairas n’dans !
sré, supporter lillois. et Bap-
supporter lensois, échangent,
«aminet, quelques Vues sur la
L va à l’finale, D’siré?
i j'iro nin à l’finale, Bâtisse,
Lis nin duq c’est q’j’iro. Et
iisse ?
Ii, j'nai nin pu acater m'bil-
lie n’dorais nin un d'trop ?
e n'dai deux, mais ché pour
I min garchon, saite ! S’mèré,
; même r’passé s’plns bielle
Le ch’ti là de
sunion !
It ti’ D'siré, t'a-ti
mouchoir ?
Q10 qn'c’est jin
lit brairas n’dans,
Im.
«'première
r'passé tin
fro, d’min
dimanche
L Iiro n’dans, châ c'est sûr :
a «veux, ché plus fort que
adfo que l’LOSC y gagno
lojrayo tondis. J’pouvo nin
dsans braire, saite, Bâtisse.
■ Ao Bigot avec s’Coupe su
rur, qui serré l’main au pré-
ddel République, avec l'mu-
Lni ine le m'tit Quinquin, mi
ntransperce. hein ! Ti z’ot, à
Ile n’peux nin savoir, t’na nin
Inde ed ces cérémonies...
le brairas dins tin mouchoir,
que j’te dis, mais te n’brai-
in comme ché qu’te penses:
liras n’dans pasque l’LOSC y
« qu'ché q'tâ
r sro bâtu ?
vu châ,
J’voudro
ti ?
bin
il y s’ra bâtu ! Te peux
hier comme châ.
L'mu-
h jouera tondis le m'tit Quin
mais châ sra
pour (1...
lions, Bâtisse, l’LOSC y peut
POUR LA SECONDE PLACE DE LA IC DIVISION
COLMAR SE DÉTACHE
.et peut encore gagner 9 points
alors que Rouen et Le Havre
n en espèrent que 7
Valenciennes a provisoirement stoppé
les ambitions normandes
Les chances d'accession à la division nationale de COLMAR sont
depuis hier soir de tout premier ordre. Le onze alsacien a. en effet, battu
Lyon (3-1)', tandis que LE HAVRE était tenu en échec par Valenciennes
(0-0). Ainsi, il possède deux points
mands, ROUEN, victorieux de Douai
la troisième place.
Cinq matches restent maintenant
d’avance sur ses adversaires nor-
(2-1) ayant rejoint LE HAVRE à
à jouer. Voici la tâche des trois
prétendants au second rang avec le nombre de points
croyons capables d'obtenir sur leur forme actuelle :
COLMAR recevra Besancon (2), Béziers (2), Avignon
dra au Mans (2), à Angoulême (1).
DEUXIEME DIVISION
(33* journée)
•NICE (1) et BORDEAUX (5)
•COLMAR (2) b. Lyon (7) ..
•HAVRE (3) et VALENC. (6)
•ROUEN (4) b. Douai (13) . .
•NIMES (14) h. Nantes (8)
♦ANGERS (8) et Angoul. (15)
•Tro.v. (18) b. BESANÇ. (11)
•AMIENS (12) h. Avign. (17)
*CAP (19) et Le Mans (19)
Classement
pi J G N. P
0-0
3-0
2-1
0.0
0-3
0-4
0-3
3-2
que
nous
Soit : 9 points.
LE HAVRE jouera
(2)
chez
et se ren ¬
lui
Douai. (2), Besançon (2), Lyon (2) el
se déplacera à Bord-aux (0), Nantes
(1). Soit. : 7 points.
ROUEN affrontera Valenciennes (2)
Lyon (2),. Besançon (2) aux Bruyères
et ira à Nantes (1), Bordeaux (0)
Soit : 7
Si ces
Colmar
situation
points.
hypothèses sont confirmées
améliorera donc encore sa
et accompagnera NICE er
queurs possib
e préolympig
" bâtu en finale, par
1 ed deuxième division
Grande équipe, l’LOSC.
ché
ités capab
de ma
in pus académique que Lens...
pi. mais Lens y jutent bin
inâmique ! Fais (es maines
tin LOSC ! Tin LOSC y est
Et tin Carré y a eun‘ déchi-
p s’naine. Mi j’tel dis, saite.
i: diminche
nin à
1. NICE
2. Colm.
3. Havre
Rouen
5. Bord.
(1)
(2)
(4) .
as besoin de pré
parmi les plus.
e 21 édition, 1
; sous le patrons
éclat tout par
engagés, 40 nom
s possibles, eue
Re
pà vâ ! châ vâ ! Bâtisse, te
"nin quo qu’ché q’te dis ! On
‘ite m'fais endever, hein!
min va acater m’cocarde...
I* cocarde aussi, te brairas
In verra toudis. Bâtisse. Qno
ti?
Mi, D'siré. j’bô m’même que
6. Valenc. (6)
T. Lyon (6)
Angers (8).
9. Nantes (8).
10. Lens (10) .
11. Besanc. (11)
12. Amiens ( 12)
13. Nîmes (14).
14. Douai (13) .
15. Angoul. (15)
16. Béziers (16)
Mans (19)
45
43
43
39
38
3 fi
35
29
28
33 23
33 20
33 19
33
33
33
33
32
33
33
16
22
33
32
33
33
33
10
9
8
5
4
5
.1
9
9
8
4 91
9
10
16
18
19
66
fit
58
67
65
63
59
30
3 fi
35
49
fit
62
5 fi
50
52
66
43
59
66
59
40
43
66
86
92
69
60
division supérieure.
Nice essoufflé
Le leader n est décidément plus ir
résistible. Les deux matchee nuis qu’il
vient de concéder au Stade St-Augus
tin (dimanche dernier : Nîmes, 1-1 ;
hier, Bordeaux, . 1-1) le prouvent.
Mais le but est proche. Et
il suffit de deux points aux
pour être officiellement des
tionaux »...
Parmi les
33' journée
d’Angoulême
montre que
miner en «
PEDALE
NZAX
METAL LEGER> I
La seule fl
ant l'effort inte9
contirme
endement indiscu.t
haute resistans's
RIGENT .J
D VAINQUEUR ■
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et de 1
VE PREOLYMP
andems » (equiP 9
A BUFFALO
IE LA PEDA
NZAX
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haine Yell Moyne
loue libr e • t [ i
CLES TEND
constructMES
uffi, 21 1
UNE SOIREE
r
LES QUATRE RESCAPÉS
d’une échappée de 200 km
Robic et Geminiani, auteurs de la fugue initiale,
n'ont pu aller jusqu’au bout
(De notre envoyé spécial Claude TILLET)
TULLE. — Nous sortons un peu ahuris 1 , avouons-le, de ce
Tout de la Corrèze. C était mieux encore Que ce Que nous avions
pu imaginer en fait de difficultés purement routières. Dix kilo
mètres de plat, tout au plus, sur les 236 km, 500 du parcours.
Le reste en « bosses », en virages, en toboggans, au bas desquels
il ne lestait plus qu'à entreprendre une nouvelle ascension !
Il y avait eu 90 partants. On n'eut d'yeux que pour 16 hom
mes. 14 d entre eux fabriquèrent
de toutes pièces une course ma
gnifique ; les deux autres fu
rent les seuls à se joindre tar
divement aux attaquants, au
prix d’un effort exceptionnellement
dur. C’est là toute l’histoire de cette
journée, mais elle est passionnante,.
vous ne tarderez pas à le voir.
Nous irons cependant au plus
pressé en vous disant quelques mots
du vainqueur, Lucien Lauk, l’un des
routiers français les plus réguliers
que nous ayons connus depuis ■ près
de 15 ans.
(Lire la suite p. 2, en rub. Cyclisme)
1. Lucien LAUK, sur bic. METRO
POLE pn. Dunlop, les 236 km. 500
en 6 h. 30’ (moy. 36 km 380) ;
2. Chapatte, à 1’ ; 3. Guégan (dis
tancé de la seconde place) ; 4. Des
bats, 5. Brulé, tous m. t. ; 6. Chu-
pin, 7. Caffi, 8. Vietto, 9. Louviot,
10. Bernardoni, 11. Le Strat, 12. L.
Teisseire, 13. ex æquo : P. Neri,
Lazaridès Lévêque, Beckman, Mon-
naert, tous m. t. ; 18. Dussault, 19.
Bidart. à 4’ 40" ; 20. Diot. 21. A.
Rolland, 22. Plot, 23. Bonnaventure,
24. Fachleitner. 25. Thuayre, 26.
Geminiani, 27. Dolhats 28. Muller,
à 11’ 50" ; 29. Rebillard, 30. Cathe-
lin, 31. Prévotal, 32. De Muer, 33.
Londero, 34. Aubry, 35. Galliussi,
36. Huguet, 37. Le Boulanger.
HEROS D'UNE ECHAPPEE DE 239 KILOMETRES
Baratin attaque pour se défendre
mais Georges Martin
GAGNE A CHALON-SUR-SAONE
Ramoulux, Hélary et le vainqueur gagnent des places
(De notre envoyé spécial Pierre BOURRILLON)
CHALON-SUR-SAONE. — Le rideau vient de tomber sur le premier
acte du Circuit des Six Provinces.
A l'arrivée de la troisième étape à Chalon-sur-Saône, ce soir. les posi-
(ions se sont précisées d'une façon très nette: Baratin reste leader devant
Molineris à l’ 30", c'est un fait : mais derrière le Stéphanois s’inscrit,
comme
Niçois
« na-
autres résultats
retenons d’abord
à Angers (0-0).
de la
celui
Tl dé-
les Angevins veulent ter-
roue libre ». Enfin sou-
lignons le net succès d'Amiens aux dé
pens d’Avignon.
Encora un « coup dur » pour cette
pauvre défense vauclusienne.
Max URBINI.
(Lire les détails page 4)
DE LA COUPE
En haut : Ils se tiennent bien
à table, les Lillois, de Bigot
à Bara.tte. On reconnaît (de
g. à dr.) Bigot, Vandooren,
Garcia, Tempowski. Prévost,
Dubreucq, Jadréjak (qui sem
ble présider), Carré, Wittowski,
Cheuva, Lechantre, Baratte.
En bas : Après un bon repas,
c’est la courte veillée. La ra
dio diffuse : « Seul depuis
toujours », de Charles Trenet.
Garcia, le ténor > mime le
« fou chantant » pour le plus
SUCCES DU RUGBY BASQUE: 14-11
A l’ouverture, Arrizabalaga
plus "perçant" qu’Alvarez
Dauger, Dizabo, Junquas dignes de leur réputation
Siné et Duthen meilleurs Parisiens
STADE FRANÇAIS A REVELE
l’Espagne le football français
NE PAS ETRE
EN RESTE
C.ParisàSt-Ouen
^CLASSE
leconde mi-temps
rasshoppers
Zurich : 3-1
"t. de Gabriel HANOT
en page 4)
CHEVAL A LA MOTO...
p pour courir...
B BOL D’OR
"TOCYCLISTE
p Jean d’Orgeix
"gagné à Rome
grand
( en
( en
plaisir de Wittowski
habit ) et Somerlinck
survêtement).
sérieux, semble ne
Prévost,
prêter
qu’une oreille distraite à la
radio. Il préfère la lecture.
BARATTE PARISIEN?
Nous voulons bien convenir que la* rencontre Paris-Côte Basque n’a
pas été un mauvais match, mais nous n’en avons pas moins quitté le
stade Buffalo avec une impression de déception. Ni les Basques, ni les
Parisiens n'ont, en effet, fourni la grande production que l’on attendait
du renom de certains d’entre eux.
Evidemment, il est bien tard pour exiger de chacun qu’il soit encore
dans sa meilleure forme ; avec le mois de mai, il en est qui ont perdu
le contact, ou qui sont las et fati
gués, ou qui ne brûlent plus de la P ...
Meilleurs tacticiens et plus mobiles, les Parisiens
ont dominé PAtletico de Madrid : 4-2 (2-1^
en présence de 65.000 spectateurs étonnés...
(De notre envoyé spécial Louis LAPEYRE)
MADRID. — Victorieux à Paris, le Stade Français s’était déplacé à
Madrid, certes, pour rendre la visite faite par l’Atletico, mais aussi, mal
gré maints commentaires sceptiques pour confirmer son 'succès de Paris
(2-1). Il n’y avait parmi les 65.000 spectateurs qui se massaient au Stade
du Métropolitain, que de rares supporters français, parmi lesquels les
joueurs de l’équipe de France de basket-ball.
Le début de la rencontre fut nettement à l’avantage des Madrilènes
qui opposaient au WM stadiste une
Le RC Paris se préoccupant de
la saison prochaine songeait à se
procurer un inter de classe.
Le nom de Baratte fut avancé.
Un chiffre lancé au hasard : 7
millions ne parut pas effrayer
certains dirigeants de la rue Am
père.
Cette rumeur « monta » jus
qu’à Lille. Baratte y prêta une
oreille attentive.
L’avant-centre du LOSC et de
l'équipe de France se transfor
merait volontiers en inter pour
venir jouer dans la capitale.
« Stade ou Racing, dit-il, Je
n’ai pas de préférence. »
Le Stade, rappelons-le, aurait
manifesté l’intention de se sépa
rer de Ben Barek et Nyers...
flamme qui les a animés dans
grandes épreuves.
Alvarez souffrant
les
été
Le cas le plus typique nous a
fourni par Alvarez, De son association
Dans le match, agréablement et
largement arbitré par M. Prost,
onze coups francs seulement ont été
sifflés, dont dix en faveur des Bas.
ques. La recette du match a atteint
544.000 francs.
formation avec deux
demis, cinq avants.
Pendant quelque»
réalisèrent, malgré le
arriéres, trois
minutes, ils
vent qui leur
était contraire, un football aérien
bien fait pour mettre en relief leurs
Domingo jouerait
en 1948-49 à Madrid
MADRID. — Le stade Français
et l’Atletic de Madrid ont con
clu un accord au sujet de Do-
mingo. Celui-ci finira la saison
au Stade Français, mais jouerait
en 1948-1949 dans les buts du
grand club espagnol. — L. L.
A MADRID. CE SOIR. ESPAGNE - FRANCE
Turbulents et adroits, les Espagnols
PEUVENT TROUBLER LES FRANÇAIS
mais non pas les vaincre !
plus menaçant que jamais, le vain
queur de l’étape d'aujourd'hui, Geor
ges Martin.
De terribles défaillances ont mar
qué également cette troisième et rude
journée. Carpentier a disparu. Berrini
a abandonné. Sarrin recule nettement,
Bordin, de deux minutes qu’il avait,
ce matin, à Bourg, recule à près de
huit minutes ! Par
perd dés minutes
classement...
contre, Ramoulux
mais remonte au
Une étape méconnue
La raison de ce revirement complet
dans les positions acquises s’explique
facilement. D’emblée, 1-s deux premiè
res journées, on s'est dépensé sans
compter, pensant que, de Lyon à Aix
et d'Aix à Bourg, le plus dur était
fait. Ce fut là. à notre avis, que résida
la principale des erreurs commises par
ceux qui, ce soir, ont pleuré sur leur
dé farte.
On annonçait un seul classement au
sommet du col de la Savine, au kilo
mètre 122 d'une course qui en comp-
tait 241. Ce qui pouvait laisser suppo-
ser que la bagarre allait, isolément,
entrer dans sa phase active.
(Lire la suit» p. 2, en rub, .Cyclisme)
Aux travaux forcés du Rugby XIII
CARCASSONNE RISQUE
LE VINGT-CINQUIEME
PREMIER PAS DUNLOP
Trop de métier
DECAUX
pour un débutant !
... Il gêne le Lorrain
Menanteau et est déclassé
au profit de ce dernier
(De notre envoyé spécial
Jean MAZIER)
MARSEILLE.
Ce n'est pas le
•XURHREOIL#"*
P à » Tuitter Paris pour te
ov,"ome, le Chevalier d’Or-
443 confiait :
Cbrenim intéresse le plus dans
L dasre compétition interna-
ga armée, c'est la possibi-
1,4i tner une moto italienne.
IModers. pour me l'octroyer et
do-aen rentrant à Paris. »
"hdg"ele, oue »on succès dans
r ' plapreuve individuelle ro-
l/hj c au premier rano des
rousaliers mavdiauj;, aime
ghayer ® moto que monter
, avai.
allais * une bonne machine.
0r, ,1 je participerais au
■ 1'"^*) moto, deux façons de
■ J. €ou ! Mail d’Orgfix
I "‘ms pas.
. F. ALBARET,
qualités naturelles : vitesse d’exé
cution, dribbles, feintes. Mais la dé
fense stadiste se montra vigilante.
Puis, l'assurance vint chez les Pa
risiens et se montrèrent dangereux,
grâce à leur ligne d’attaque très en
verve. Les Stadistes modifièrent
sans cesse la position de leurs
avants; il n'en fallut pas plus pour
dérégler la défense adverse qui, à
la. 27e minute, sur une belle combi
naison de Gudmunsson et Ben Ba-
rek. concéda le premier but marqué
par... le noir Marocain.
L’Atletico réagit avec ardeur, ce
qui permit à Domingo de se mon
trer tout à son avantage il dut ce-
pendant, à 39* minute, laisser en
trer le ballon dans ses filets, sur
une tête de Vidal reprenant une jo
lie passe de d’Escuderos.
(Lire la suit* page 4)
Stade-Wolverhampton
le 19 ou le 20 mai ?
Manchester United ne pouvant venir
à Paris, M. Crevel, de passage en
Angleterre, a conclu avec Wolverhamp:
ton pour le 19 ou le 20 mai. :
Rappelons que le Racing reçoit la ■
Gantoise, en nocturne, le 19 mai. Si :
la F. F. F. donne son accord pour
Stade - Wolverhampton, les Parisiens |
n'auront nus l'embarras du choix |
pour assister à un mateh de football.
MADRID.
(De notre envoyé spécial Louis LAPEYRE)
Nous allons vivre, sous le ciel madrilène, le deuxième
match opposant nos tricolores aux Ibériques. Si l’on en croit les dirigeants
espagnols, toujours volubiles et confiants, deux qualités qui expriment
bien le tempérament de nos adversaires, leurs ressortissants ont accompli
de sérieux progrès. Nous nous permettons de leur demander au contact
de qui ?... Seules des traductions de traités américains ont pu être mises
a leur disposition. Et cela apparaît
bien insuffisant.
On ne peut, en effet, prendre en
considération la nette victoire espa-
gnole obtenue au détriment des Porta,
gais qui ont toujours été pour les nô
tres des adversaires faciles. Mais il
nous faut nous souvenir, pour avoir
vécu l’explication de Toulouse, des
qualités naturelles de nos hôtes Des
qualités qui. mises au service a exé
cutants « enlevés » par un public
électrisé, peuvent bouleverser les for
mations les mieux soudées.
Si le bagage tactique des Espagnols
doit être assez simpliste, on ne Peut
oublier qu’ils sont des basketteurs au
bagage individuel bien équilibre hez
eux le geste est inné, ils dribblent.
lini et Ferrari
Madrid.
shootent, passent de facon peuortho-
dore, peut-être, mais efficae, pomme
par ailleurs ils sont infatigare5, il
apparaît nécessaire, indispn-a, me-
me, de les obliger à supporter Une
loi qui peut être la nôtre, “n M mot
la victoire
par
C’est la 2' rencontre, qui se dé
roulera ce soir à Madrid.
les
re
« freiner », les dérégler, leur fai-
perdre et oublier leurs habitudes
Les chances françaises
Voilà les adversaires que nos repré-
sentants vont trouver.
Faut-il verser dans e Pessimisme?...
Que diable non, car bien au contraire
nous devons être à meme de démon
trer que nous avons su tiliser les le-
cons — nombreuses pour nous — de
ces dernières années.
En 1943, lors de notre difficile vic
toire, nos « coqs » cherchaient leur
voie, une voie Qui ne fut trouvée qu’a-
près l'arrivée des Américains.
Depuis, avec des fortunes diverses,
nous avons prouvé que t travail n’a
vait pas été inutile. Aujourd'hui la-
venir apparaît plus serein. C’est pour
(Lire la suite page 3
en rubrique Basket)
avec Danger et Dizabo, on attendait
monts et merveilles. Hélas ! le feu
d’artifice n’a pas eu lieu. Car Alva
rez, souffrant d’une déchirure a la
cuisse, ne put jamais se lancer, for
cer un peu la cadence, ou orienter
solidement l’attaque. Il se contentait
de transmettre la balle...
Pour s’être cru capable de jouer,
Alvarez était ensuite le plus marri de
sa mésaventure.
Quand il se résigna à quitter le ter
rain de jeu, lavant troisième ligne
Arrizabalaga le remplaça à l’ouver-
Marcel de LABORDERIE.
(Lire la suite n. 3. rub. Rugby XV)
AUX CHAMPIONNATS
. SCOLAIRES
Thureau se révèle
Daniel s’affirme
Camus se confirme
55’’ 6/1 0 pour un premier
400 haies, 15” 1 /10 au
110 haies et 22” 5/10
au 200 mètres respec
tivement.
Trois athlètes
Championnats de
ris, disputés hier,
ont
dominé les
l'Académie de Pa-
au
stade de la
• THUREAU, 55" C/10
Agé de 20 ans, élève
et nouveau sociétaire de
il appartenait la saison .
Fourchambault. Très bonne en
sur 400 m h.
de l’ENMÈPS
l’US Métro T,
passée à l’AS
performance est d’autant plus
quable qu’il n’avait auparavant
soi, sa
remar-
jamais
400 m.
couru ni sur les haies, ni sur
Son style est donc très perfectible.
C’est un athlète puissant, très musclé
(1 m. 78. 78 kg.), volontaire... et dé-
cidé à travailler sa résistance et son
passage sur l’obstacle.
Georges DUTHEN.
(Lire la euite b. S, en rub. Scolaires)
d’être
Grosjean 1
Si l'épaule de Poch reste douloureuse
Calvet, un junior de 90 kilos, fera ses débuts
CARCASSONNE. — Dans les cafés de la place aux Herbes ou hien
au Continental, siège de l’AS Carcassonnaise XIII, les consommateurs
sont mécontents ils n'ont pas eu le temps de digérer la finale du Cham
pionnat de France, c'est-à-dire la discuter, la disséquer, l’expliquer, que
voilà déjà la finale de la Coupe de
Parisien Decaux, bien qu’ayant fran
chi le premier la ligne d’arrivée de
la 25* finale du Premier Pas Dunlop,
qui fut déclaré, hier, vainqueur à
Marseille du plus long des Crité
riums des débutants, mais le Verdu-
nois Menanteau, son suivant immé-
diat.
Apres une belle bataille déclenchée
aux approches, puis dans les rampes
mêmes de la Gineste, attaque poursui
vie dans la longue plongée sur Mar
seille, Decaux et Menanteau Se retrou
vaient à quelques centaines de mètres
de la banderole placée à l’extrémité
du Prado pour se disputer la. victoire.
Menanteau partait alors résolument
puis se relevait. Decaux attaquait alors,
suivi comme son ombre par le minus
cule sociétaire du SAV. Au moment
où ce dernier « débouchait" » sur la
droit# — cinquante mètres les sépa-
(Lira la suite p. 3, en rub. Cyclisme)
France !
Eu quatre dimanches, l’ASC
dû jouer deux demi-finales et
aura
deux
finales, se heurtant chaque fois à des
adversaires reposés par quinze jours
d'inaction bienfaisante : Roanne di
manche dernier, Marseille dimanche
prochain. Dans ces conditions, Je
Rugby XIII n’est plus un jeu pour
les Canaris, ce sont des travaux for
cés !
Les supporters n'affichent pas la
mine épanouie de gens heureux, sûrs
de la victoire. Ils sont soucieux. Les
Si Poch ne peut tenir sa place,
Carcassonne alignera devant Mar
seille : .
Arr. : Puig-Aubert; 3/4: Thomas,
Llari. Maso, Trescases : 1/2 : (o)
Bergèse, (m) Guilhem
2' I. : Ponsinet, <
vet, Martin, Pastor.
3' I.
Gacia
fronts se rident des plis du scepti-
cisme car les blessés' sont nombreux.
Dans ces conditions, il semble que les
anses de la fameuse Coupe paraissent
ne plus tenir solidement dans les
mains audoises.
Notre confrère, Antoine Blain, en
traîneur de l’Asc, assis dans un fau
teuil chez Félix Bergèse. nous don
nait les raisons de ses craintes •
< Py a une entorse à la cheville.
Poch souffre de l'épaule. Seront-ils
rétablis à temps ? >
Pendant ou Antoine Blain se posait
cette question, apparaissait alors,
déambulant en tenue de pêcheur, Poch
accompagne de Ponsine’.
« Poch, pourrez-von s
tionna avec angoisse
supporters..
Pour toute réponse,
lever le bras droit, fit
douleur, une .moue de
« J’aimerais bien
doute que mon bras
son u»ag e - >
jouer ? > ques-
le chœur des
Poch tenta
une grimace
dépit.
dit-il. mais
puisse
de
de
je
remplir
Puig-Aubert guéri ?
Si Puig-Aubert est complètement
rétabli — 11 souffre toujours du coude
Loys VAN LEE.
(Lire I* suite P. 1 rub. Rugby XIII)
CHAQUE ANNÉE, PLUS DE
O,
AUTOMOBILISTES
remplacent leur carburateur - mô
me si c'est un Solex - par un Solex
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