Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1948-05-04
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 04 mai 1948 04 mai 1948
Description : 1948/05/04 (A3,N638). 1948/05/04 (A3,N638).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599904v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
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MAI 1948
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PARIS (9’)
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Petites Annonces :
TAI. 73-40, 41, 42
Vente : PRO. 37-18
Cte Postal 4.237-93
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Afriq. du Nord 7 fr.
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DU SPORT
LILLE, le 16 mai
MIGRATION DES ROOTIERS
de Montluçon ver^ Tulle et le Tour de la Corrèze
EN COUPE DAVIS
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e désespoir d'Alès !
En
dépit de leur victoire (possible) en Coupe dimanche
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devant Impans
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^çais exceller
içais au départ
s animateurs ! ]
ur changement d
Nordistes estimeront que les extrêmes ont tort.,, de se toucher
1 fièvre traditionnelle qui s’empare de tout le monde dans la semaine qui précède la finale
[Coupe, cette sorte de passion cérébrale qui se propage avec une vertigineuse contagion, ne
et nous faire oublier le puissant intérêt que présente la fin du Championnat de Division
L, Ordinairement l’on ne parle guère des équipes en course pour le titre de champion en
maine fulgurante- Mais cette année le cas de Marseille, de Lille et de Reims absorbe da-
eque la finale de la Coupe. On en arrive presque à considérer celle-ci comme un des facteurs
“mpionnat, en ce sens que Lille la dispute et maintient en même temps sa candidature
dans le Championnat: Aussi ce
iello était en Bel,
ait point la fabric
leur. Il a suivi I
e dans la Voitur
de Bruxelles » 1
BATTU PAR 8-3
relatif effacement de la Coupe
devant le Championnat constitue-t-
il à nos yeux une des plus impor
tantes caractéristiques de cette fin
de saison-,
Henri Bolelli
es étaient battus
Idée, et Mignat.l
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orage, mais dus 1
LE n’a pourtant jamais
eux joué cette saison
Lille et les mineurs du Nord
et du
Sud
Voyons d’un peu près en quoi va
nsistor et débat à trois que do-
consister ce débat
mine l'ambition et
- que vient corser
l’inquiétude de deux clubs. Aies et
Sète, qui mêlent leur drame de
condamnés à l’épopée des préten-
oins survaille,
de compte, aur
iné dans le pelot
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touché par la d
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poire de Saint-Etienne par cinq buts d’écart :
de accident et défaillances individuelles de
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De notre envoyé spécial E. GAMBARDELLA)
sprint!
notre envoyé spé
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ichueren, Mathieu, J
je, J. Janssens et B
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179 km.).
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JT-ETIENNE. — Le fait pour le LOSC, prétendant sérieux au titre
[pion de France 1948 et finaliste de la Coupe, d’avoir été battu
Le semaine à peine avant la finale, constitue pour certains, un
wertissement. Mais quel en est exactement le sens et la portée ?
te défaite, une des plus nettes que le grand club nordiste ait
Les au cours de sa carrière, doit-elle être considérée comme un
Mu des causes, fortuites et qui n’aura pas de lendemains ? Ou
comme le symptôme d’un mal plus grave ?
h jeeûe pour la première hypothèse.
ELMparce que, pendant la partie la plus difficile du match, la
terem-temps que Lille a dû jouer contre le vent qui soufflait
ment, sa tenue a été celle
cande équipe. Je pense mê-
fies vainqueurs de la Coupe
la joué alors, qu’ils ont
b fatigué qu’il ne l’avaient
[exemple, à Reims.
■ parce que même au cours
ières minutes de la deu-
[temps qui leur ont valu
| quatre buts. la plupart
[ ont continué à se bien
utter et non seulement a
ire. mais encore à lancer
-attaques très bien con-
certaines ont échoué d’un.
Inces individuelles, dont
1 Wittowski, désemparé de-
I furieuses vagues d’assaut
lises, parfois de Prévost qui,
a commis quelques erreurs,
F dont la lenteur est en-
Ex apparue au milieu de la
Vertigineuse imprimée aux
I parce que la brusque dé-
[s’est manifestée a eu pour
circonstances qui, toutes,
défavorables à l’équipe visi-
Je vent sur lequel les Lillois
fit pour égaliser — et il
er qu’ils avaient mené cette
r à bonne fin — a soudai-
tourné. Le public, surexcité
■ decisions de l’arbitre qu’il
t comme pis que des er-
geS injustices dont il 'est
t s'est mis littéralement à
I® équipé, à la pousser, à
■h-dessus de son rendement
Le coup de fouet
et surtout, parce que je ne
sl y aurait eu beaucoup
ses capables de résister à
“int alors l’équipe stépha-
l attaque surtout qui, tout
sous le fouet de la colère
[ouragements, trouva mira
is’ la cohésion, la subtili-
"Cité. Voulez-vous un exem-
f que j’avance ?
eants stéphanois et nom-
reporters considèrent que
I gauche Rodriguez est un
auquel les subtilités de la
Je sont pas habituelles. Eh
l; put que marqua Rodri-
111 est le dernier de l’oc-
e lu modèle d’intelligence
‘uite P. 3, er rub. Football)
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en8lon n'offusquera .personne,
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L prédit, le Stade Français,
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sauole. et sa propre commis-
iLn- et règlements qui tous
oe" avis défavorable.
nQui avait déjà un moral
F defrort gue plus enclin à
dants.
Le 16 mai, tandis qu’une tâche
apparemment facile s’offre à Mar
seille et à Reims qui recevront res
pectivement Metz et Toulouse —
nous disons facile comme s’il pou
vait être question de facilité dans
cette épreuve féconde en bouleverse-
ments
tandis donc qu’on peut
raisonnablement (!) penser que ce
jour-là Marseille et Reims vont ac
quérir deux points, Alès monte à
Lille pour se heurter à l’équipe qui,
sans doute, peut-être, probablement
(sait-on jamais !) aura huit jours
plus tôt gagné la Coupe de France
pour la troisième fois.
En cette circonstance il ne sera
pas permis à Lille de goûter la joie
de son triomphe en Coupe, de se dé
tendre un peu, de libérer son esprit
Maurice PEFFERKORN.
(Lire la suite p. 3, en rub. Football)
A UNE DOUCHE
son mauvais début de saison
Et Francis Pélissier part en guerre contre,
le « 14 dents » !
(De notre envoyé spécial Claude TILLET)
MONTLUÇON. — Presque tous les hommes du « Pneumati
que » passèrent la nuit à Montluçon. La course avait été suffi
samment dure pour que l’on ne veuille pas risquer un voyage
ferroviaire nocturne. Ce matin, ce furent les adieux. Tandis que
les régionaux et les « pros » de second plan restaient sur place
pour le Grand Prix de la Ville-Gozet, qui devait avoir lieu aux
portes mêmes du fief de Dunlop, les as s’en allaient vers d’au
tres cieux. Mais le leit-motiv
était : '
« Alors, à jeudi, à Tulle ! », car
le Tour de la Corrèze va connaître,
grâce à la disparition du Circuit de
Paris et à son caractère qualificatif
en vue du Championnat de France,
un succès considérable.
(Lire la suite p. 2, en rub. Cyclisme)
Les Directeurs sportifs
votent
—
sexecesg
MOTION La ^^ ensc ^- u Racing en fin de match contre Marseille (1-1), dimanche à
fut souvent alertée. Voici une périlleuse attaque échouant de justesse. On
de gauche à droite, Aznar, Grizzetti, Lamy t Leduc (à genoux), M. Delasalle, l'jirbitre du match,
masque tourmenté, et G. Dard.
Colombes,
reconn-aît,
Vignal, le
ARDEUR ET
VOLONTÉ
donne un point
à la France
Mais, aujourd’hui
les Roumains doivent
compléter leur victoire
de dimanche
BOLELLI-BERNARD
BAT CARALULIS-VIZIRt
6-3, 8-6, 8-6
A 20 H. 30
CE SOIR
SALLE
WAGRAM
Nos deux champions du monde d’escrime
D'ORIOLA et ARTIGAS
doivent nous assurer l’avantage
Le match FRANCE-ITALIE com
mence à 20 h. 30. Il comprend :
4 MATCHES au fleuret en 2 man-
ches de 5 et la belle s’il y a lieu.
4 MATCHES à l’épée en 2 man-
.ches de 3 et belle s’il y a .lieu,
(coups doubles annulés).
1 MATCH au sabre en 2 manches
de 5 et belle s'il y a lieu.
1 MATCH au fleuret en 2 man
ches de 4 et belle s’il y a lieu.
SQU'ILS ONT POUSSE L’ENTRAINEMENT...
dans le match France-Italie
Mais prenons garde à la vitesse prodigieuse
de Di Rosa et d’Eduardo Mangiarotti
la rude trio
iche, il parti)
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s Caput d. 1 .
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«me et Jean Vernier ont conStale
"NE AUGMENTATION
de poids de 3 kilos !
. Une équation :
* terminale = résistance + décontraction
4 p on dégage des premières escarmouches de la saison c’est
hoin"dute du demi-fond en France. Certes l’état des pistes in-
un 800 mètres qu’un 400 mètres, et moins encore un
de aun 800 mètres ; il est donc assez naturel que les perfor-
‘pugmi-fond l’emportent par mauvais temps sur celles des
otre c ° ur tes. Ce n’est cependant pas un pur hasard si déjà, sur
ManPdys ali gue une série , :
% es Qui eussent fait no-| 1948 en attendant que d’autres ‘H
Auen,fin de saison, voici
"ide années. Or, ce n’est
°' n mencernent...
, auf accident
tuer ment nous livre la
6 H, Ide, sa uf accident
"t à enne et Chefdhotel
"Ole ÿ° Uer sur cette dis-
e premier plan en
Le président Mazzini — ou son représentant, M. Renato Anselmi —
a moins de chances que le président Bontemps : la maladie a affecté plus
profondément l’équipe italienne que la formation française, constituée
pour le match de ce soir, à la salle Wagram.
En Giuliano Nostini, touché par la grippe, en Pinton, victime d’une
entorse au cours de son dernier entraînement, l’Italie a perdu dans son
jeu des cartes qui auraient pu lui
valoir des points précieux pour le —
résultat final.
Mais les victoires que nous espérons,
de notre côté, dans ce France-Italie
sont-elles modifiées par les substitu
tions survenues dans chacune de équi
pes ?
C’est Kenzo Nostini, frère de Giu
liano. qui a été appelé à remplace 1
son frère au fleuret et Pinton, au’
sabre : quelles incidences ce rempla-
cernent aura-t-il au cours de cette
soirée franco-italienne ?
Nos rivaux transalpins étaient sûrs
de la victoire de leur sabreur Pin
ton sur notre meilleur tireur actuel
à l’arme de contre-pointe. Jean Tour-
non : celui-ci, victim: également d un
claquage musculaire, a été remplacé
par le jeune Levavasseur dont nous
avons signalé les étonnants orogres.
Pouvons-nous, à cette aime, envisa
ger un succès français ? Kenzo NOS-
tini vient de se signaler en Italie par
une magnifique deuxième place, se
classant précisément derrière Racca,
mais devant Pinton et d’autres Sa-
breurs éprouvés.
i nis peut-être ou encore Arifon) assu
rent la relève.
Georges Duthen vous dit d’autre
part la profonde impression produite
par Chefdhotel à Dijon. Pour ma
part, j’ai été surpris à Chartres,
étonné à Nantes par la métamor
phose surprenante d’Hansenne.
Gaston MEYER.
(Lire la suite p. 3, rub. Athlétisme)
Une victoire de Jean Levavasseur
constituerait donc une e, — ’ 66
première grandeur : espC-
ment un très bon combat
ieune international, auquel il man-
quera .certainement l’expérience U
a acquis déjà de nombreuses gua. es
a «arme d'estoc et de taille.
une surprise de
: espéron s seule-
- t de notre
(Lire la suite page 2.
en rubrique Escrime)
LES PLONGEURS
NAGENT DANS LA JOIE
Mady Moreau, le Dr Gaza et
Heinhélé rentrent cet après-
midi de leur tournée dans les
pays Scandinaves où, à une
exception près, ils n’ont enre
gistré que des victoires contre
les plongeurs locaux. L pho
tographe les a surpris (?)
bondissant de joie avant leur
départ du Danemark. L’entraî
neur Caza est le plus content
des trois, car il a récolté une
ample moisson de compli
ments sur ses poulains. La
championne Birthe Christo-
phersen lui a même déolaré :
« Mady Moreau peut battre
Zoe Ann Olsen aux Jeux. » Et
les -mauvaises langues d'ajou
ter : « Après d'aussi sensa
tionnelles paroles, on peut se
demander si l’Américaine ose
ra effectuer le déplacement de
Londres ! » En attendant, le
trio semble bien content. Per
sonne ne l’en blâmera.
« JE VEUX FAIRE
LE TOUR DE FRANCE
MAIS SI JE SUIS
OPPOSE ET NON
ALLIE A BARTALI »
déclare Fausto COPPI
(De
LIEGE,
à nous
l'avions
notre envoyé spécial)
— Fausto Coppi a
déclarer, comme
- d’ailleurs précisé,
n’avait rien signé en ce qui
tenu
nous
qu’il
con-
cerrr son éventuelle participation
au Tour de France. Il démentit
d'ailleurs formellement tous les
bruits qui avaient couru à ce su
jet,
< Je désire, certes, participer à
cette épreuve française, mais j’at
tendrai la décision de l’UVI «t
celle de ma maison.
Pour ma part, je veux bien m'y
aligner mais je préférerais, con-
clut-il, être opposé et non allié à
Bartali. Pour les raisons que vous
comprenez assurément. »
Ce qui pose, une fois de plus,
le problème des deux équipes
transalpines dar’s le Tour.
100 SELECTIONNES. 5 ETAPES, 1 BUT : LE TOUR
Des chevronnés, Bourlon en tête
des jeunes, un favori, G. Martin
DANS LES “SIX PROVINCES”
Aujourd’hui, le col de l’Epine et 217 kilomètres
Nous allons mettre tout d’abord en parallèle, avant de nous lancer
dans le vif du sujet. deux épreuves : le Critérium des Six Provinces orga
nisé par notre confrère « Le Progrès de Lyon » et les Trophées Peugeot,
organisés par L’EQUIPE, avec le concours de CYCLO-SPORT.
Deux courses utiles
La première de ces grandes épreu
ves s’adresse à une catégorie de cou-
reurs assez étendue, allant de l’indé
pendant au professionnel dit de se
conde catégorie, sans limitation d'âge
et son but est de repérer dans l'im-
médiat les individualités susceptibles
d'être incorporées dans l'une des
nombreuses équipes du Tour de
France, qu’elles soient nationale ou
régionales.
La seconde a un objectif plus pré
cis et peut-être un peu moins rap
proché. S’adressant à deux catégories
inférieures quant à la hiérarchie,
elle n’aligne dans ses rangs que des
jeunes, maximum 24 ans, et des ama
teurs et indépendants.
Elle permet aux routiers de ces
deux dernières catégories de décou
vrir leur voie, de déceler les cham
pions complets mais en herbe.
Ceci posé, on entrevoit facilement
la portée intéressante de ces deux or
ganisations : les « Six Provinces ’
et les « Trophées Peugeot ».
Nous parlerons aujourd’hui de la
première de ces, manifestations dont
le départ sera donné à Lyon aujour
d’hui eu direction d’Aix-les-Bains.
Pierre BOURRILLON.
(Lire là suite page 3,
en rubrique Cyclisme)
SE FAIRE TUER SUR PLACE
méthode de Roanne XIII
...a rapporté un titre, mais ne permet
aucun progrès en attaque
(De notre envoyé spécial Louis FERDINAND)
MARSEILLE. — Roanne, champion de France 1947-1948 doit beau-
coup à sa défense et Carcassonne, malgré ses offensives, n'a pas su
s’emparer du titre au cours de la première mi-temps de la finale qui a
( plafonné » à un niveau très moyen.
Il est peut-être paradoxal d'affirmer que les qualités défensives pri-
ni ent les capacités offensives, mais il est maintenant évident à l'appro-
elle d’une fin de saison un peu mo
notone que les progrès des équipes
françaises dans le jeu a XIII ont été !
surtout- obtenus en défense et qu’au |
contraire l’attaque marque le pas. I
Du rugby américain !
Roanne pour étayer sa défense
avait choisi au cours du premier
acte le vent contre. —S 40 Premières
minutes se sont passées a saper je
travail carcassonnais; a garder le
ballon, et à gagner du temps. On a
Pu alors- admirer la défense indivi
duelle des joueurs, on a pu consta-
ter également que la défense de ligne
était au point et le XIII carcasson
nais n’a pu franchir cet obstacle-
La technique défensive- est mainte
nant au point et l’avantage éventuel
est également conservé par de nom
breux artifices. On procède comme
dans la guerre de tranchées, en se
ferait plutôt tuer sur place et es
tenus volontaires trouvent grâce de
vant l'arbitre qui oublie d’appliquer
la règle de l'avantage.
(Lire la suite Page 3,
en rubrique Rugby XIII)
LA CONFIANCE
à Archambaud
(Lire l'article page 2
en rubrique Cyclisme)
BUCAREST. — Les résultats ca
trophiques de la première journée c,
produit sur la petite colonie frança.s
vivant à Bucarest l’effet d’une douch.
glacée. Les plus pessimistes ne pen-
saint certes pas que Marcel Bernard
serait nettement dominé par Caralulis
et l’on espérait, faiblement peut-être,
en un heureux sursaut de forme de
Destremau. Hélas !
La victoire française d’aujourd’hui
aura au moins permis de sauver l’hon-
neur grâce à une équipa de double
dont on prévoyait la défaite.
Marcel Bernard, malgré la crise de
sciatique qui le tenaille depuis deux
jours, avait tenu à prendre place au
côté du dynamique Henri Bolelli.
Du côté roumain, Schmidt, légère-
ment souffrant, était remplacé par
Viziru. La formation Caralulis-Viziru
se dressait donc face aux nôtres,
(Lira la suite page 2.
en rubrique Tenris)
LAURENT REPOND A NAT FLEISCHER
Nat Fleischer le grand critique de boxe américain, s’est intéressé
à Laurent Dauthuille hier après-midi au Palais des Sports. Et
Barraut (au centre) prête une oreille attentive à leur dialogue :
< Vous êtes un bon boy, a dit Fleischer. Vous réussiriez en
Amérique.
— Je devais y aller, M. Fleischer ; mais j'ai changé d’avis : je vais
me marier et comme j’aurai beaucoup de travail en Europe... >
(Lire les détails page 2, en rubrique Boxe)
QUALIFIE POUR LES DEMI-FINALES DES XV
Le C. A. Réglais n’a qu’un secret
... il forme ses loueurs lui-même
Presque tous les équipiers premiers
viennent des juniors
(De notre envoyé spécial Marcel de LABORDERIE)
TARBES. — Voici l’équipe du CA Béglais qualifiée pour les demi-
finales de la Coupe de France de rugby. Il faut bien convenir qu’elle
n’est pas coutumière de ces coups d’éclat et on serait d’abord tenté de
s’en étonner, puis de l’expliquer en disant que le hasard et la chance
ne sont pas étrangers à la réussite des Béglais dans la Coupe*1948. Ce
serait, en effet, manquer de la plus élémentaire équité sportive de perdre
de vue certaines réalités.
Souvenez-vous du Championnat de France de la présente saison. Au
cours des poules de quatre le CA Béglais réussit bel et bien à vaincre
le Stade Toulousain encore tout ’ auréolé du prestige de son titre de
champion de France. La victoire fut
nette puisque les Béglais battirent —
les Toulousains par 17 à 9.
Dans les quarts de finale, le
Béglais domina et malmena le
Lourdes. Le match se déroulait
le terrain du stade municipal --
Bayonne. J’ai conservé le souvenir de
CA
FC
sur
de
cette rencontre au cours de laquelle
les Béglais firent le plus longtemps
figure de vainqueurs, mais furent
pourtant finalement battus, de jus
tesse il est vrai (5-3).
Or leurs heureux vainqueurs n’é
taient autres qu? ceux-là mêmes qui.
quelques semaines plus tard, devaient
être consacrés champions de France.
Aussi, à 1 examen du palmarès 1948
la performance des Béglais prenant
le meilleur en quarts de finale de la
Coupe sur un très bon Aviron Bayon-
nais, nous apparaît moins surpre
nante.
Mais alors, comment expliquer cette
montée du C A Béglais, montée que
nous devons souligner en dépit de
toute la discrétion dont aime a s’en
tourer le club.
I^es Béglais ont-il s recruté ? Posez
donc la question à ses animateurs,
MM. Martin Et Ardouin.
V ous verrez alors leur étonnement,
car les dirigeants béglais sont de
ceux qui conleren+ leur mission
comme celle d.ducateurs.
Les joueur* . Ils les forment eux-
mêmes, et cela est si vrai que sur
(Lire la suite pag, 3,
en rubrique Rugby XV)
EN DEMI-FINALE DE LA COUPE
Bègles
rencontrera Narbonne
ou Castres
La F.F.R. a procédé au tiraze au
sort des demi-finales de la Coupe
qui seront jouées le 16 mai sur des
terrains qui seront désignés ulté
rieurement
Le C.A. Béglais sera opposé, au
vainqueur du quart de finale Nar-
bonne-Castres, tandis que Romans
ou Toulouse rencontrera Pau ou
Lourdes.
LE TITRE NATIONAL DES «MOUCHE»..
EST BIEN LEGER
SKENA BOXE COMME MOUSSE
mais sa droite inspire le respect
Et Emile Famechon qui le challenge à Amiens
trouvera longs les quinze rounds
cordes, trois couleurs, deux hommes, un combat. Et, ce soir,
d’Amiens, l’excellent Tafanelli annoncera : « Championnat de
poids mouche en quinze reprises de trois minutes entre Louis
Skéna, tenant du titre, et Emile Famechon, challenger... »
Les émotions étant garanties à l’entrée, on se pressera nombreux
pour voir, pour savoir. On ne le regrettera pas : ce sont bien souvent les
au
Douze
Cirque
France des
plus petits hommes qui font les plus
grands combats...
Si le champion est quelque peu
inconnu des Amiénois Emile laine
chon leur est beaucoup plus fami-
Robert COLOMBINI.
en rubrique Boxé)
CURRICULUM VITÆ
Emile FAMECHON : né le 11
janvier 1920, à Sory-le-Bois. DBS
Maubeuge (Nord). Marié l enfant.
Louis SKENA : né le 1» aret.
1924, à Nice. Célibataire.
ne du Championnat
L dans l’ombre
I10
zupe de France
MARDI 4
MAI 1948
10, Fg Montmartre
PARIS (9’)
TAIt bout 70 -80
Petites Annonces :
TAI. 73-40, 41, 42
Vente : PRO. 37-18
Cte Postal 4.237-93
G fn 3* ANNEE
Ull» No 638
Afriq. du Nord 7 fr.
AYOMvouon/~e
DU SPORT
LILLE, le 16 mai
MIGRATION DES ROOTIERS
de Montluçon ver^ Tulle et le Tour de la Corrèze
EN COUPE DAVIS
WOLLIN, sur
h inson, les M
Impanis, à i T km,
1er Français), 18.1
rschueren . “ '1,1
JE, à 25” ’. 2 Can
Kerkoven j g ' Leer
ent Mathieu • ")
J. Janssens ; Si
Klabinsky, M '2.4
nann, vecragrce)
hard Depoorter 1
er, : 21 • Marte B
Van den Door
iedt ; 24. Dîna J
a t’ 50” . 2 410
15” ; 27. waAol
Carrier, à 4" bien
1 30, Cappelman
oureurs ont abando
il veut encore le titre, aura à combattre LUCIEN TEISSEIRE ATTRIBUE
e désespoir d'Alès !
En
dépit de leur victoire (possible) en Coupe dimanche
orme travail, étal
ont près du but
devant Impans
uls et Camille I
r de rage, il y ay
^çais exceller
içais au départ
s animateurs ! ]
ur changement d
Nordistes estimeront que les extrêmes ont tort.,, de se toucher
1 fièvre traditionnelle qui s’empare de tout le monde dans la semaine qui précède la finale
[Coupe, cette sorte de passion cérébrale qui se propage avec une vertigineuse contagion, ne
et nous faire oublier le puissant intérêt que présente la fin du Championnat de Division
L, Ordinairement l’on ne parle guère des équipes en course pour le titre de champion en
maine fulgurante- Mais cette année le cas de Marseille, de Lille et de Reims absorbe da-
eque la finale de la Coupe. On en arrive presque à considérer celle-ci comme un des facteurs
“mpionnat, en ce sens que Lille la dispute et maintient en même temps sa candidature
dans le Championnat: Aussi ce
iello était en Bel,
ait point la fabric
leur. Il a suivi I
e dans la Voitur
de Bruxelles » 1
BATTU PAR 8-3
relatif effacement de la Coupe
devant le Championnat constitue-t-
il à nos yeux une des plus impor
tantes caractéristiques de cette fin
de saison-,
Henri Bolelli
es étaient battus
Idée, et Mignat.l
abandonna pure
t, après 100 kilon
u, les membres
mpion de France,
lise ce la même t
at, excellent, il e
orage, mais dus 1
LE n’a pourtant jamais
eux joué cette saison
Lille et les mineurs du Nord
et du
Sud
Voyons d’un peu près en quoi va
nsistor et débat à trois que do-
consister ce débat
mine l'ambition et
- que vient corser
l’inquiétude de deux clubs. Aies et
Sète, qui mêlent leur drame de
condamnés à l’épopée des préten-
oins survaille,
de compte, aur
iné dans le pelot
ami d'écurie, s"lr
! décollé dans H
e, vers l'arrivée. U
at ■ de Paris-Tours
ont pris leur red
les a aidés une
disons tout de
ortuniste Mollin,
décidément sorti
semble avoir ret
pédale aérien, Adé
t Florent Mathie
; hommes aux titr
liants pour que l’(
touché par la d
de nos gars.
poire de Saint-Etienne par cinq buts d’écart :
de accident et défaillances individuelles de
î Wittowski et Prévost
De notre envoyé spécial E. GAMBARDELLA)
sprint!
notre envoyé spé
: Danguillaume, Im
ichueren, Mathieu, J
je, J. Janssens et B
(156 km ), Beyens
, à Petit-Ham (152
ache avec Gielen et n
qui pe dent • Janssen
179 km.).
accalmie, 1» pluie T
Gielen lâche pec. 1
(198 W), Caput el
marrent Impanis 1
tu res avec Verschue
le Liége, Mollin revi
les voitures, alors qu
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, d’abord P 0 "^ qu
me dépêtrer J e
s a mes trou>- .1
JT-ETIENNE. — Le fait pour le LOSC, prétendant sérieux au titre
[pion de France 1948 et finaliste de la Coupe, d’avoir été battu
Le semaine à peine avant la finale, constitue pour certains, un
wertissement. Mais quel en est exactement le sens et la portée ?
te défaite, une des plus nettes que le grand club nordiste ait
Les au cours de sa carrière, doit-elle être considérée comme un
Mu des causes, fortuites et qui n’aura pas de lendemains ? Ou
comme le symptôme d’un mal plus grave ?
h jeeûe pour la première hypothèse.
ELMparce que, pendant la partie la plus difficile du match, la
terem-temps que Lille a dû jouer contre le vent qui soufflait
ment, sa tenue a été celle
cande équipe. Je pense mê-
fies vainqueurs de la Coupe
la joué alors, qu’ils ont
b fatigué qu’il ne l’avaient
[exemple, à Reims.
■ parce que même au cours
ières minutes de la deu-
[temps qui leur ont valu
| quatre buts. la plupart
[ ont continué à se bien
utter et non seulement a
ire. mais encore à lancer
-attaques très bien con-
certaines ont échoué d’un.
Inces individuelles, dont
1 Wittowski, désemparé de-
I furieuses vagues d’assaut
lises, parfois de Prévost qui,
a commis quelques erreurs,
F dont la lenteur est en-
Ex apparue au milieu de la
Vertigineuse imprimée aux
I parce que la brusque dé-
[s’est manifestée a eu pour
circonstances qui, toutes,
défavorables à l’équipe visi-
Je vent sur lequel les Lillois
fit pour égaliser — et il
er qu’ils avaient mené cette
r à bonne fin — a soudai-
tourné. Le public, surexcité
■ decisions de l’arbitre qu’il
t comme pis que des er-
geS injustices dont il 'est
t s'est mis littéralement à
I® équipé, à la pousser, à
■h-dessus de son rendement
Le coup de fouet
et surtout, parce que je ne
sl y aurait eu beaucoup
ses capables de résister à
“int alors l’équipe stépha-
l attaque surtout qui, tout
sous le fouet de la colère
[ouragements, trouva mira
is’ la cohésion, la subtili-
"Cité. Voulez-vous un exem-
f que j’avance ?
eants stéphanois et nom-
reporters considèrent que
I gauche Rodriguez est un
auquel les subtilités de la
Je sont pas habituelles. Eh
l; put que marqua Rodri-
111 est le dernier de l’oc-
e lu modèle d’intelligence
‘uite P. 3, er rub. Football)
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I Epport pour .Robert Chef-
en8lon n'offusquera .personne,
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L prédit, le Stade Français,
Ls; a e ! Ile-de-France, celle de
sauole. et sa propre commis-
iLn- et règlements qui tous
oe" avis défavorable.
nQui avait déjà un moral
F defrort gue plus enclin à
dants.
Le 16 mai, tandis qu’une tâche
apparemment facile s’offre à Mar
seille et à Reims qui recevront res
pectivement Metz et Toulouse —
nous disons facile comme s’il pou
vait être question de facilité dans
cette épreuve féconde en bouleverse-
ments
tandis donc qu’on peut
raisonnablement (!) penser que ce
jour-là Marseille et Reims vont ac
quérir deux points, Alès monte à
Lille pour se heurter à l’équipe qui,
sans doute, peut-être, probablement
(sait-on jamais !) aura huit jours
plus tôt gagné la Coupe de France
pour la troisième fois.
En cette circonstance il ne sera
pas permis à Lille de goûter la joie
de son triomphe en Coupe, de se dé
tendre un peu, de libérer son esprit
Maurice PEFFERKORN.
(Lire la suite p. 3, en rub. Football)
A UNE DOUCHE
son mauvais début de saison
Et Francis Pélissier part en guerre contre,
le « 14 dents » !
(De notre envoyé spécial Claude TILLET)
MONTLUÇON. — Presque tous les hommes du « Pneumati
que » passèrent la nuit à Montluçon. La course avait été suffi
samment dure pour que l’on ne veuille pas risquer un voyage
ferroviaire nocturne. Ce matin, ce furent les adieux. Tandis que
les régionaux et les « pros » de second plan restaient sur place
pour le Grand Prix de la Ville-Gozet, qui devait avoir lieu aux
portes mêmes du fief de Dunlop, les as s’en allaient vers d’au
tres cieux. Mais le leit-motiv
était : '
« Alors, à jeudi, à Tulle ! », car
le Tour de la Corrèze va connaître,
grâce à la disparition du Circuit de
Paris et à son caractère qualificatif
en vue du Championnat de France,
un succès considérable.
(Lire la suite p. 2, en rub. Cyclisme)
Les Directeurs sportifs
votent
—
sexecesg
MOTION La ^^ ensc ^- u Racing en fin de match contre Marseille (1-1), dimanche à
fut souvent alertée. Voici une périlleuse attaque échouant de justesse. On
de gauche à droite, Aznar, Grizzetti, Lamy t Leduc (à genoux), M. Delasalle, l'jirbitre du match,
masque tourmenté, et G. Dard.
Colombes,
reconn-aît,
Vignal, le
ARDEUR ET
VOLONTÉ
donne un point
à la France
Mais, aujourd’hui
les Roumains doivent
compléter leur victoire
de dimanche
BOLELLI-BERNARD
BAT CARALULIS-VIZIRt
6-3, 8-6, 8-6
A 20 H. 30
CE SOIR
SALLE
WAGRAM
Nos deux champions du monde d’escrime
D'ORIOLA et ARTIGAS
doivent nous assurer l’avantage
Le match FRANCE-ITALIE com
mence à 20 h. 30. Il comprend :
4 MATCHES au fleuret en 2 man-
ches de 5 et la belle s’il y a lieu.
4 MATCHES à l’épée en 2 man-
.ches de 3 et belle s’il y a .lieu,
(coups doubles annulés).
1 MATCH au sabre en 2 manches
de 5 et belle s'il y a lieu.
1 MATCH au fleuret en 2 man
ches de 4 et belle s’il y a lieu.
SQU'ILS ONT POUSSE L’ENTRAINEMENT...
dans le match France-Italie
Mais prenons garde à la vitesse prodigieuse
de Di Rosa et d’Eduardo Mangiarotti
la rude trio
iche, il parti)
peloton « e
s Caput d. 1 .
cellent. ma
-ulais pas 0 .
et povrtn r . ffl
ois pu me . r ti
je serais, PgTI
m auriesP0 à
817 I U' • F - fU 4
luvienne. 1,1 du t^
t j’ai perd"
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de Hollande ias.
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étape, a Es d fU L de
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ls , qolds
Y: rinsl _ ‘oari”.s). 1
.4, sur voore" :
iers (B)’ *
«me et Jean Vernier ont conStale
"NE AUGMENTATION
de poids de 3 kilos !
. Une équation :
* terminale = résistance + décontraction
4 p on dégage des premières escarmouches de la saison c’est
hoin"dute du demi-fond en France. Certes l’état des pistes in-
un 800 mètres qu’un 400 mètres, et moins encore un
de aun 800 mètres ; il est donc assez naturel que les perfor-
‘pugmi-fond l’emportent par mauvais temps sur celles des
otre c ° ur tes. Ce n’est cependant pas un pur hasard si déjà, sur
ManPdys ali gue une série , :
% es Qui eussent fait no-| 1948 en attendant que d’autres ‘H
Auen,fin de saison, voici
"ide années. Or, ce n’est
°' n mencernent...
, auf accident
tuer ment nous livre la
6 H, Ide, sa uf accident
"t à enne et Chefdhotel
"Ole ÿ° Uer sur cette dis-
e premier plan en
Le président Mazzini — ou son représentant, M. Renato Anselmi —
a moins de chances que le président Bontemps : la maladie a affecté plus
profondément l’équipe italienne que la formation française, constituée
pour le match de ce soir, à la salle Wagram.
En Giuliano Nostini, touché par la grippe, en Pinton, victime d’une
entorse au cours de son dernier entraînement, l’Italie a perdu dans son
jeu des cartes qui auraient pu lui
valoir des points précieux pour le —
résultat final.
Mais les victoires que nous espérons,
de notre côté, dans ce France-Italie
sont-elles modifiées par les substitu
tions survenues dans chacune de équi
pes ?
C’est Kenzo Nostini, frère de Giu
liano. qui a été appelé à remplace 1
son frère au fleuret et Pinton, au’
sabre : quelles incidences ce rempla-
cernent aura-t-il au cours de cette
soirée franco-italienne ?
Nos rivaux transalpins étaient sûrs
de la victoire de leur sabreur Pin
ton sur notre meilleur tireur actuel
à l’arme de contre-pointe. Jean Tour-
non : celui-ci, victim: également d un
claquage musculaire, a été remplacé
par le jeune Levavasseur dont nous
avons signalé les étonnants orogres.
Pouvons-nous, à cette aime, envisa
ger un succès français ? Kenzo NOS-
tini vient de se signaler en Italie par
une magnifique deuxième place, se
classant précisément derrière Racca,
mais devant Pinton et d’autres Sa-
breurs éprouvés.
i nis peut-être ou encore Arifon) assu
rent la relève.
Georges Duthen vous dit d’autre
part la profonde impression produite
par Chefdhotel à Dijon. Pour ma
part, j’ai été surpris à Chartres,
étonné à Nantes par la métamor
phose surprenante d’Hansenne.
Gaston MEYER.
(Lire la suite p. 3, rub. Athlétisme)
Une victoire de Jean Levavasseur
constituerait donc une e, — ’ 66
première grandeur : espC-
ment un très bon combat
ieune international, auquel il man-
quera .certainement l’expérience U
a acquis déjà de nombreuses gua. es
a «arme d'estoc et de taille.
une surprise de
: espéron s seule-
- t de notre
(Lire la suite page 2.
en rubrique Escrime)
LES PLONGEURS
NAGENT DANS LA JOIE
Mady Moreau, le Dr Gaza et
Heinhélé rentrent cet après-
midi de leur tournée dans les
pays Scandinaves où, à une
exception près, ils n’ont enre
gistré que des victoires contre
les plongeurs locaux. L pho
tographe les a surpris (?)
bondissant de joie avant leur
départ du Danemark. L’entraî
neur Caza est le plus content
des trois, car il a récolté une
ample moisson de compli
ments sur ses poulains. La
championne Birthe Christo-
phersen lui a même déolaré :
« Mady Moreau peut battre
Zoe Ann Olsen aux Jeux. » Et
les -mauvaises langues d'ajou
ter : « Après d'aussi sensa
tionnelles paroles, on peut se
demander si l’Américaine ose
ra effectuer le déplacement de
Londres ! » En attendant, le
trio semble bien content. Per
sonne ne l’en blâmera.
« JE VEUX FAIRE
LE TOUR DE FRANCE
MAIS SI JE SUIS
OPPOSE ET NON
ALLIE A BARTALI »
déclare Fausto COPPI
(De
LIEGE,
à nous
l'avions
notre envoyé spécial)
— Fausto Coppi a
déclarer, comme
- d’ailleurs précisé,
n’avait rien signé en ce qui
tenu
nous
qu’il
con-
cerrr son éventuelle participation
au Tour de France. Il démentit
d'ailleurs formellement tous les
bruits qui avaient couru à ce su
jet,
< Je désire, certes, participer à
cette épreuve française, mais j’at
tendrai la décision de l’UVI «t
celle de ma maison.
Pour ma part, je veux bien m'y
aligner mais je préférerais, con-
clut-il, être opposé et non allié à
Bartali. Pour les raisons que vous
comprenez assurément. »
Ce qui pose, une fois de plus,
le problème des deux équipes
transalpines dar’s le Tour.
100 SELECTIONNES. 5 ETAPES, 1 BUT : LE TOUR
Des chevronnés, Bourlon en tête
des jeunes, un favori, G. Martin
DANS LES “SIX PROVINCES”
Aujourd’hui, le col de l’Epine et 217 kilomètres
Nous allons mettre tout d’abord en parallèle, avant de nous lancer
dans le vif du sujet. deux épreuves : le Critérium des Six Provinces orga
nisé par notre confrère « Le Progrès de Lyon » et les Trophées Peugeot,
organisés par L’EQUIPE, avec le concours de CYCLO-SPORT.
Deux courses utiles
La première de ces grandes épreu
ves s’adresse à une catégorie de cou-
reurs assez étendue, allant de l’indé
pendant au professionnel dit de se
conde catégorie, sans limitation d'âge
et son but est de repérer dans l'im-
médiat les individualités susceptibles
d'être incorporées dans l'une des
nombreuses équipes du Tour de
France, qu’elles soient nationale ou
régionales.
La seconde a un objectif plus pré
cis et peut-être un peu moins rap
proché. S’adressant à deux catégories
inférieures quant à la hiérarchie,
elle n’aligne dans ses rangs que des
jeunes, maximum 24 ans, et des ama
teurs et indépendants.
Elle permet aux routiers de ces
deux dernières catégories de décou
vrir leur voie, de déceler les cham
pions complets mais en herbe.
Ceci posé, on entrevoit facilement
la portée intéressante de ces deux or
ganisations : les « Six Provinces ’
et les « Trophées Peugeot ».
Nous parlerons aujourd’hui de la
première de ces, manifestations dont
le départ sera donné à Lyon aujour
d’hui eu direction d’Aix-les-Bains.
Pierre BOURRILLON.
(Lire là suite page 3,
en rubrique Cyclisme)
SE FAIRE TUER SUR PLACE
méthode de Roanne XIII
...a rapporté un titre, mais ne permet
aucun progrès en attaque
(De notre envoyé spécial Louis FERDINAND)
MARSEILLE. — Roanne, champion de France 1947-1948 doit beau-
coup à sa défense et Carcassonne, malgré ses offensives, n'a pas su
s’emparer du titre au cours de la première mi-temps de la finale qui a
( plafonné » à un niveau très moyen.
Il est peut-être paradoxal d'affirmer que les qualités défensives pri-
ni ent les capacités offensives, mais il est maintenant évident à l'appro-
elle d’une fin de saison un peu mo
notone que les progrès des équipes
françaises dans le jeu a XIII ont été !
surtout- obtenus en défense et qu’au |
contraire l’attaque marque le pas. I
Du rugby américain !
Roanne pour étayer sa défense
avait choisi au cours du premier
acte le vent contre. —S 40 Premières
minutes se sont passées a saper je
travail carcassonnais; a garder le
ballon, et à gagner du temps. On a
Pu alors- admirer la défense indivi
duelle des joueurs, on a pu consta-
ter également que la défense de ligne
était au point et le XIII carcasson
nais n’a pu franchir cet obstacle-
La technique défensive- est mainte
nant au point et l’avantage éventuel
est également conservé par de nom
breux artifices. On procède comme
dans la guerre de tranchées, en se
ferait plutôt tuer sur place et es
tenus volontaires trouvent grâce de
vant l'arbitre qui oublie d’appliquer
la règle de l'avantage.
(Lire la suite Page 3,
en rubrique Rugby XIII)
LA CONFIANCE
à Archambaud
(Lire l'article page 2
en rubrique Cyclisme)
BUCAREST. — Les résultats ca
trophiques de la première journée c,
produit sur la petite colonie frança.s
vivant à Bucarest l’effet d’une douch.
glacée. Les plus pessimistes ne pen-
saint certes pas que Marcel Bernard
serait nettement dominé par Caralulis
et l’on espérait, faiblement peut-être,
en un heureux sursaut de forme de
Destremau. Hélas !
La victoire française d’aujourd’hui
aura au moins permis de sauver l’hon-
neur grâce à une équipa de double
dont on prévoyait la défaite.
Marcel Bernard, malgré la crise de
sciatique qui le tenaille depuis deux
jours, avait tenu à prendre place au
côté du dynamique Henri Bolelli.
Du côté roumain, Schmidt, légère-
ment souffrant, était remplacé par
Viziru. La formation Caralulis-Viziru
se dressait donc face aux nôtres,
(Lira la suite page 2.
en rubrique Tenris)
LAURENT REPOND A NAT FLEISCHER
Nat Fleischer le grand critique de boxe américain, s’est intéressé
à Laurent Dauthuille hier après-midi au Palais des Sports. Et
Barraut (au centre) prête une oreille attentive à leur dialogue :
< Vous êtes un bon boy, a dit Fleischer. Vous réussiriez en
Amérique.
— Je devais y aller, M. Fleischer ; mais j'ai changé d’avis : je vais
me marier et comme j’aurai beaucoup de travail en Europe... >
(Lire les détails page 2, en rubrique Boxe)
QUALIFIE POUR LES DEMI-FINALES DES XV
Le C. A. Réglais n’a qu’un secret
... il forme ses loueurs lui-même
Presque tous les équipiers premiers
viennent des juniors
(De notre envoyé spécial Marcel de LABORDERIE)
TARBES. — Voici l’équipe du CA Béglais qualifiée pour les demi-
finales de la Coupe de France de rugby. Il faut bien convenir qu’elle
n’est pas coutumière de ces coups d’éclat et on serait d’abord tenté de
s’en étonner, puis de l’expliquer en disant que le hasard et la chance
ne sont pas étrangers à la réussite des Béglais dans la Coupe*1948. Ce
serait, en effet, manquer de la plus élémentaire équité sportive de perdre
de vue certaines réalités.
Souvenez-vous du Championnat de France de la présente saison. Au
cours des poules de quatre le CA Béglais réussit bel et bien à vaincre
le Stade Toulousain encore tout ’ auréolé du prestige de son titre de
champion de France. La victoire fut
nette puisque les Béglais battirent —
les Toulousains par 17 à 9.
Dans les quarts de finale, le
Béglais domina et malmena le
Lourdes. Le match se déroulait
le terrain du stade municipal --
Bayonne. J’ai conservé le souvenir de
CA
FC
sur
de
cette rencontre au cours de laquelle
les Béglais firent le plus longtemps
figure de vainqueurs, mais furent
pourtant finalement battus, de jus
tesse il est vrai (5-3).
Or leurs heureux vainqueurs n’é
taient autres qu? ceux-là mêmes qui.
quelques semaines plus tard, devaient
être consacrés champions de France.
Aussi, à 1 examen du palmarès 1948
la performance des Béglais prenant
le meilleur en quarts de finale de la
Coupe sur un très bon Aviron Bayon-
nais, nous apparaît moins surpre
nante.
Mais alors, comment expliquer cette
montée du C A Béglais, montée que
nous devons souligner en dépit de
toute la discrétion dont aime a s’en
tourer le club.
I^es Béglais ont-il s recruté ? Posez
donc la question à ses animateurs,
MM. Martin Et Ardouin.
V ous verrez alors leur étonnement,
car les dirigeants béglais sont de
ceux qui conleren+ leur mission
comme celle d.ducateurs.
Les joueur* . Ils les forment eux-
mêmes, et cela est si vrai que sur
(Lire la suite pag, 3,
en rubrique Rugby XV)
EN DEMI-FINALE DE LA COUPE
Bègles
rencontrera Narbonne
ou Castres
La F.F.R. a procédé au tiraze au
sort des demi-finales de la Coupe
qui seront jouées le 16 mai sur des
terrains qui seront désignés ulté
rieurement
Le C.A. Béglais sera opposé, au
vainqueur du quart de finale Nar-
bonne-Castres, tandis que Romans
ou Toulouse rencontrera Pau ou
Lourdes.
LE TITRE NATIONAL DES «MOUCHE»..
EST BIEN LEGER
SKENA BOXE COMME MOUSSE
mais sa droite inspire le respect
Et Emile Famechon qui le challenge à Amiens
trouvera longs les quinze rounds
cordes, trois couleurs, deux hommes, un combat. Et, ce soir,
d’Amiens, l’excellent Tafanelli annoncera : « Championnat de
poids mouche en quinze reprises de trois minutes entre Louis
Skéna, tenant du titre, et Emile Famechon, challenger... »
Les émotions étant garanties à l’entrée, on se pressera nombreux
pour voir, pour savoir. On ne le regrettera pas : ce sont bien souvent les
au
Douze
Cirque
France des
plus petits hommes qui font les plus
grands combats...
Si le champion est quelque peu
inconnu des Amiénois Emile laine
chon leur est beaucoup plus fami-
Robert COLOMBINI.
en rubrique Boxé)
CURRICULUM VITÆ
Emile FAMECHON : né le 11
janvier 1920, à Sory-le-Bois. DBS
Maubeuge (Nord). Marié l enfant.
Louis SKENA : né le 1» aret.
1924, à Nice. Célibataire.
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