Presse et revues
4 pages
Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1948-04-24
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 24 avril 1948 24 avril 1948
Description : 1948/04/24 (A3,N631)-1948/04/25. 1948/04/24 (A3,N631)-1948/04/25.
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599897d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
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AVRIL 1948
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PARIS (9‘)
TAltbout 70-80
Pstites Annonces :
TAI. 73-40, 41,42
Vente : PRO. 37-18
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DES DISSOLUTIONS
L/ÉQUIPE et le V. C. TOURS vous offrent l’épreuve ultra ? rapide de la route
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Lille et Reims à l'épreuve contre Rennes et Strasbourg
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h lice, tous confiants, op-
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Fers cet hiver, a reconquis,
Iwurte période de détente.
Qualités d’attaquant et il
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assuré de l'aide de ses compatriotes ?
Mais Leoni pourrait être vaincu au sprint par Middelkamp,
Van Steenbergen... ou Schulte et lâché par
TOUTE LA BELGIQUE
ESPERE EN LA
TROISIEME VICTOIRE
DE BRIK SCHOTTE
(De notre corresp. génér
A. VAN LAETHEM)
BRUXELLES. — Il n’y a pas de
motifs valables, hormis la malchan
ce, qui puisse empêcher « Brik »
Schotte de réaliser, dimanche, sur
Paris-Tours, un exploit qui dépas
serait largement les limites d’une
victoire si brillante soit-elle : telle
est l’opinion qui se fait jour en
Belgique.
Vainqueur de Paris-Tours, Schot
te conquerrait ainsi le record ab
solu de trois victoires consécutives
dans la même classique, et s’attri
buerait l’exploit d’avoir marqué en
trois courses et en moins de huit
jours, 86 points au Challenge
« Desgrange-Colombo » dont il est,
du reste, l’actuel leader.
Schotte est en forme, et un
Schotte en forme prétend n’avoir
aucun souci de fatigues successives
d’un Tour des Flandres et d’une
Flèche Wallonne. Schotte a encais
sé, mercredi dernier, la leçon d’at-
iaque de Ferma Camellini. Schotte,
dit-on encore, est sans doute barré
par les vrais leaders de la route,
mais il est assez rapide et il l’a
prouvé, l’an dernier, pour vaincre
un peloton d’échappée, surtout
après une course dure, et assez
habile pour tirer son épingle du
jeu dans une arrivée en gros pelo
ton.
Et l’exploit serait à. ce point
considérable que l’on se trouve
entraîné vers un pronostic senti
mental en faveur de celui que l’on
a fort justement baptisé: « le pai
sible paysan de Waregem ′ », un
paysan paisible qui, en fin de
course, se transforme parfois en
démon épileptique.
Idée, Danguillaume, Magni, Kubler, Kint, etc
Quarante-quatre de moyenne sur Paris-Roubaix... Pourrait-on
faire mieux, dans des conditions analogues, sur Paris-Tours ?
Oui, certes, malgré, les côtes de la vallée de Chevreuse au départ,
celles d’Amboise et Bléré vers l’arrivée- Car la route est infini
ment plus roulante et plus propice aux moyennes élevées. En
1938, Jules Rossi avait dépassé les 42... Mais il semble peu proba
ble, à l’heure où nous écrivons ces lignes, que le vent soit aussi
favorable en direction de .la
Touraine qu’il le fut, il y a trois
semaines, en direction du Nord. POUR LE
Il faudrait, en un mot, un DESGRANGE-COLOMBO
concours de circonstances excep- 2, ... .
tionnel pour que le nouveau re- Quatorze I rancais restent
cord fût battu. N’y comptons en compétition
donc pas trop. On sait que le règlement du Chal-
Quoi qu’il en soit, au surplus, lenge « Desgrange-Colombo » prévoyait
nous allons vers une « épreuve ul- pour ses concurrents l’obligation de
... ai - 1. .ai « , participer en France, en Italie et
tra-rapide de la route » qui promet en Belgique à une épreuve, au moins,
de ne pas faire mentir sa dénomi- comptant pour ce Challenge,
nation. Tous les as français sont 14 Français seulement y ont satis-
inscrits : presque tous, les Belges de ^olasMm^nTinXl^rce^sonl, dans
grande classe seront là , une tren- l’ordre de leur position actuelle :
taine d’Italiens tenteront de réussir l. LAUK, REMY, DE vreese, C.
PARIS-TOURS COMPTE POUR :
... Le Challenge DESGRANGE-CO
LOMBO (5 e épreuve).
... Le Challenge RUSTINES.
... Le Challenge YELLOW.
... Et est qualificatif pour le Cham
pionnat de France (5e épreuve).
POUR LE
DESGRANGE-COLOMBO
Quatorze Français restent
en compétition
On sait que le règlement du Chal
lenge « Desgrange-Colombo » prévoyait
pour tes concurrents l’obligation de
participer en France, en Italie et
en Belgique à une épreuve, au moins,
comptant pour ce Challenge.
14 Français seulement y ont satis
fait et comptent actuellement pour
le classement individuel. Ce sont, dans
l’ordre de leur position actuelle :
L. LAUK, REMY, DE VREESE, C.
DANGUILLAUME, L. CAPUT, CAR
RARA, TASSIN, LE STRAT, BALDAS-
SARI, GIGUET, DESPREZ, MARCEL-
LAK, LUCAS et DIOT.
procédé à un pointage de la liste des
sélectionnés,
noms. Or,
Celle-ci
comporte 247
nous avons noté 71 d'en-
là où ils ont échoué de bien peu
tre eux comme étant ceux de vain
queurs possibles ! Ces deux chiffres
n'indiquent-ils pas à quel point les
hommes de valeur abondent ?
jusqu’à présent
un certain Hollan- Nous ne nous livrerons pas à une
dait dénommé Schulte aura sa
chance, et un Helvète baptisé Kubler
ne sera pas battu au départ !
L’EQUIPE et le VC Tours ont
réussi à réunir l’élite du cyclisme
routier européen.
71 sur 247...
Et ceci n’est pas une banale affir
mation ! Nous avons, comme toujours.
énumération aussi longue. Elle serait
fastidieuse et ne vous apprendrait pas
grand chose, car chacun est en me
sure, compte tenu des précédents ré
sultats enregistrés, de se livrer à un
semblable travail. Aussi nous conten-
terons-nous de « sortir », un peu plus
tard, les hommes ayant des Chances
réellement supérieures.
Pour le moment, parlons plutôt du
parcours et de la physionomie de la
course Les routes de la vallée de
Chevreuse incitent à l’échappée. Nous
aurons donc, plus que probablement,
à Limours, un groupe de tête d’une
dizaine d’hommes au maximum. Selon
toute vraisemblance, aussi, un peloton
d’une soixantaine d’unités reviendra
sur les leaders aux environs de Char
tres. Il se pourrait que l’on assiste
alors à une longue séance de train
» Epreuve internationale, Paris-Tours
qualifiera pour le Championnat de
France LES CINQ PREMIERS FRAN
ÇAIS.
de la Beauce aux approchée de la
Touraine. Quelques côtes, telles que
celle de Saint-Hilaire-la-Gravelle, sont
susceptibles de provoquer ensuite une
nouvelle fugue... Dans ce cas, une au
tre dizaine de coureurs pourrait pas
ser en tête à Châteaurenault et enta
mer la boucle classique avec une ou
deux minutes d’avance. Rappelons qu’à
partir
devient
de Châteaurenault, la route
plus ingrate... C’est là que
Claude TILLET.
Marseille
avec son équipe
flambant neuf
doit dominer
Roubaix, tenant du titre
Au Parc, demain, festival parisien de football avec Red Star-Saint-Etienne
et le derby Stade-Racing
Qui sera champion de France 1947-1948 ? La question est
aussi simple à formuler que la réponse. Voici : prenez trois
feuilles de papier, sur chacune inscrivez Lille, Marseille puis
Reims et tirez au sort !
Vous avez autant de chances de tomber juste que
nostiqueür.
Nous en sommes actuellement à la 31 e journée. Il
après les rencontres de demain,
dimanche, trois matches à dis
puter pour chacun des compé
titeurs. Les positions sont les
suivantes : 1. Marseille, Lille,
42 pts ; 3. Reims, 41 pts.
Le Stade Français, 4* avec 36 pts.
et les suivants sont hors course pour
le titre détenu par le CO Roubaix-
Tourcoing.
Cette indécision n’est pas nouvelle.
L’an passé, rappelons-nous, à trois
matches de la clôture, nous trou
vions, en effet : 1. Reims, Roubaix,
47 pts ; 3. Lille, 45 pts pour en arri
ver finalement à : 1. Roubaix, 53 pts;
2. Reims, 49 pts ; 3. Lille,
bourg, 47 pts.
Nous avions donc assisté à
fondrement de Reims, grand
dans les derniers matches,
abandon de Lille tenaillé par
sir d'enlever la Coupe.
Stras.
un ef-
favori,
à un
le dé-
le pro ¬
restera .
— doit vaincre et conserver
ces intactes.
ses chan-
Lille et Reims, de leur côté, auront
une tâche quelque peu difficile.
Lille accuse la fatigue, joue sur
deux tableaux et est le point de mire
depuis le coup d’envoi du Champion
nat.
René COTTEAUX.
NOS FAVORIS
PREMIERE DIVISION
(81* journée)
•MARSEILLE (I) - Roubaix (8) (1-1)
‘LILLE (l)-Rennes (10) (2-4)
•REIMS (3)-Strasbourg (7) ... (2-2)
•STADE (4)-RACING (6) (1-0)
•RED ST. (18)-St-ETIEN. (5) . (1-4)
«TOULOUSE (12)-Sochaux (8) . (0-4)
•NANCY (13)-Metz (10) ,(3-4)
•MONTPEL. (14)-Sète (16) .. (1-0)
‘CANNES (15)-ALES (16) .... (1-2)
Classement actuel
1. Marseille, Lille, 42 pts ; 3.
Reims, 41 ; 4 Stade 36 ; 5. Saint-
Etienne, 35 ; 6. Racing, 34 ; 7. Stras
bourg, 32 ; 8. Sochaux, Roubaix, 31 ;
10. Metz, Rennes, 28 ; 12. Toulouse,
27 ; 13. Nancy, 26 ; 14. Montpellier,
25 ; 15. Cannes, 24 ; 16. Alès, Sète,
21 ; 18 Red Star, 16.
(Lire la suite page 4)
PAS DE REVOLUTION EN 1/8 DE FINALE
DE LA COUPE DES XV
RD’HUI ET DEMAIN, A GRANVILLE
US LE PATRONAGE DE fH{ 1023 .
anuoo iElansj nvr
MER, GRENOT, MATHIEU
firent à remplacer
“coq” Forni, pour Londres
'inche des Championnats de France dans
Lourds avec Roude, Pérez, Stein et Guille
De notre envoyé spécial Georges PEETERS)
"LE, — Tandis que la Coupe de L’EQUIPE va se poursuivre
h est prêt à Granville, le « Monaco du Nord », pour accueillir,
sgeet demain, les poids coq et les poids mi-lourds sélectionnés
8 Premiers tournois de « huit » préolympiques organisés par
C 'e Patronage de L’EQUIPE.
L/ de Normandie, la municipalité de Granville, le BC Gran-
Ki son dynamique secré-
h=e Villayer et le profes-
h" tous ont uni leurs ef-
N assurer le succès de ces
(tes 8 de L’EQUIPE se.
u"ittus a aux vainqueurs et
he. les finales de chaque
s Qantes réunions de boxe
F; h 8e dérouleront dans le
fiVi é couvert.
s8rppney, sélectionneur uni-
:% n qui vient d’arriver à
Churasa dit qu’il avait
le o tournois de * huit »,
Lit ayompique. Les hasards
40 prsoTt pourront donc
l^lKence (es deux meil-
(8 les arts de finale.
K Dou, oxeurs qui se seront
■GW dimanche auront à
■ ’ au combats, demi-finale
| ours de la même réu-
.."hailles d»
yspurde—* coq ».
F le pde. France des poids
LtJewvnl ne pouvant par-
Fpanynde Londres, le tour-
gnd ena dans cette caté-
k ile, ore aujourd’hui plus
Fwlme,
■ (aire? Paraissent dominer
de?' 9 e sont Grenot. de
- Naride Montluçon, et
■ Mveny. »
s.toi—que Grenot, jeune
g ikeme scientifique fut
B lia). Justesse par Forni
ge 3 66 Championnats
I fort n.La décision fut
I mal accueillie. Or,
Grenot avait luimème bénéficié. en
demi-finale, d’une décision assez
heureuse devant Chartier.
Quant à Mathieu, lors des Cham
pionnats du Nord-Est à Nancy, sa
défaite devant Forni fut également
contestée. C’est dire combien les trois
poids coq que nous retrouvons au-
jourd'hut à Granville sont de valeur
sensiblement égale.
Derrière ce brillant trio de coq,
on peut citer Le Guillou, de Colom.
bes qui a beaucoup d’allant et peut
Le président G remaux et M. Ra-
bret, président de la commission
d’amateurisme de la F.F.B.. assis
teront aux réunions de Granville.
encore se perfectionner. Le Panti-
nois Gomendy, boxeur assez classi
que et Raymond Lopez, de Gentilly,
un bon élève de Pierre Louis.
Le Havrais Le Floch et Say, de
Puteaux, complètent les « huit ».
(Lire la suite p. 3. en rubrique Boxe)
Début juillet à Londres
Monaghan-Sandeyron !
Pierre Gandon nous apprit la nou
velle hier au Palais des Sports : il
a reçu et accepté des offres d’un pro
moteur londonien pour une rencontre
qui opposerai, — titre mondial des
poids mouche en jeu — Rinty Mona
ghan à Maurice Sandeyron Date du
Championnat : premiers jours de
juillet, en plein air à Londres.
DANGUILLAUME
SE SERRE LA CEINTURE
...ET CAMELLINI
S’INQUIETE DU MENU...
En réalité, Danguillaume., que
l’on voit ici à gauche, ne se
serre pas la ceinture. Il fait
remarquer à notre collabora
teur Louis Lapeyre qu’en trois
mois d’entraînement et deux
de course, il a perdu sept
centimètres de tour de taille...
et du poids ! « Ça me ser
vira pour Paris-Tours », as-
sure.t-il. Quand à Camellini,
il nous montre que sa victoire
dans la Flèche Wallonne ne
l’empêche pas de songer à ses
soucis de restaurateur. Car le
petit Italo-Monégasque tient
un important établissement
rue Lafayette. Le saviez-vous ?
Comme quoi le cyclisme mène
à tout...
(Lire
la suite page 2,
en rubrique Cyclisme)
DEUX HOMMES
EN FORME
Robin (photo du haut) et
Bihel sont peut-être actuelle
ment les hommes les plus en
forme de l’Olympique de Mar
seille. Les voici à l’entraîne
ment sautant les haies basses
ou les dribblant balle au
pied. Le style n’est peut-être
pas parfait mais le résultat
sur le terrain est encourageant.
- (Photo Robert DALA)
Cette année Lille, en tête avec Mar
seille, est encore mieux placé et de
meure grand favori de la Coupe. Mais
son équipe est fatiguée. Reims n’a
plus que le Championnat pour briller
mais accuse les mêmes défauts et fai
blesses que l’an passé. De rudes dé
placements à Sochaux et St-Etienne
l'attendent.
Nous avons l’impression de nous
retrouver douze mois en arrière avec
la différence toutefois que le troisiè
me larron ne s’appelle plus Roubaix
mais Marseille.
Et les Phocéens nous apparaissent
aussi bien armés que les Roubaisiens
pour arracher le titre.
N’oublions pas en effet que Marseille
resta longtemps indécis quant à la
composition de son équipe-type. Tou
tes les combinaisons, tous les étran
gers furent essayés. Marseille recher
chait son unité, perdait des points,
mais ses ( rivaux n’en profitèrent pas
Reims et Lille, avec une douzaine
de joueurs chacun, se promenèrent et
puis la fatigue apparut. Il est des
moments où Champenois et Nordistes
ne peuvent plus mettre un pied devant
l’autre.
Marseille avec sa trentaine d’élé
ments doit bien s’amuser maintenant.
Sa meilleure formation est trouvée et
comme par. hasard, c’est avec ses an
ciens Robin et Aznar, encadrant Bihel.
que l’OM vole de victoire en victoire.
Ses deux brillants inters ne doivent
guère être fatigués par une saison où
ils virent presque tous les matches de
la touche
Mais aujourd’hui !
Marseille contre Roubaix, s’ill’em-
porte sera sur le chemin de la consé
cration. Roubaix est le tenant mais
Marseille, toujours invaincu à domicile
Mont-de-Marsan, vent en poupe
Toulouse, si la crise est finie
l'Aviron par ses trois-quarts
peuvent en appeler de leurs défaites en Championnat
LES JEUNES DU TENNIS TOUJOURS ABSENTS
Le P.U.C. ne croit pas aux miracles... de Lourdes
mais Narbonne ne craint pas Toulon
Lourdes, champion de France, éliminé — et sur son terrain, s’il
vous plaît ! — par le PUC; Toulon, finaliste du Championnat, défait
par Narbonne, le Stade Toulousain et Bègles battus par Cognac et
Tyrosse. Valence, modeste club d’Honneur, vainqueur de Romans — ô
Robert Soro, voilez-vous la face ! — Grenoble enfin, rescapés d'Excel
lence, écrasant la/ Section Paloise sur le tableau de chasse de laquelle
sont inscrits les Agenais ! Et il faudrait tuer la Coupe de France ? Et l’on
s’acharne sur elle au moment qu’elle
renverse les idoles, comme elle bou
leverse l’ordre des valeurs fixé par le ■
Championnat, quand, d’un souffle
puissant, elle soulève de formidables
tempêtes en comparaison desquelles
les émotions provoquées par le
Championnat ne sont que d’inoffen-
sives vaguelettes ?...
Les champions de France étrennent
leur titre
Ces résultats sensationnels portent,
hélas ! la marque d’une 1 imagination
déréglée. Il est propable, au contrai
re, que les seizièmes et les huitièmes
de finale' ne troubleront pas les es
prits dimanche soir par de surpre
nantes éliminations.
Au fait, est-il si sûr que la compé
tition se déroulera dans un calme
plat ? Evidemment les champions de
France dormiront ce soir sur les deux
oreilles, le PUC, à moins d’un im
possible miracle, ne saurait les élimi-
La “patte
la “touche
de Cochet
de Bernard
en finale, dimanche, à Roland-Garros
Du nouveau en tennis : Marcel Bernard et Henri Cochet joueront,
dimanche à Roland-Garros, la finale des Championnats internationaux de
Paris. Faut-il regretter cette permanence? Oui dans la mesure où elle
éclaire d’un jour trop vif la carence de la jeune génération. Peut-on repro
cher à ces deux ' champions d’être encore après avoir été? Au contraire,
nous leur devons beaucoup de reconnaissance. D’abord pour le plaisir
Sur le circuit automobile de Perpignan
J.-P. Wimille
SERA L’HOMME A BATTRE
Raymond Sommer, pilote de la Ferrari
et bien d'autres concurrents de valeur s’y efforceront
(D’un de nos envoyés Charles FAROUX)
PERPIGNAN. — Inscrit le dernier chronologiquement dans l’ensem
ble des grandes épreuves automobiles nationales, le Circuit de Perpignan
s’est déjà assuré une place enviable dans l’estime des concurrents et dans
la section des spectateurs.
Sur l’un comme l’autre poInt nous saluons, une fois de plus, la vie.
toire de l’initiative individuelle. Avec M. Léon Do, président de l’AS de
l’AC du Roussillon, deux amis “82.
lement dévoués, MM. de Laze e t
Fournous, s’empressent avec une e e
gante vigilance à prévoir les mon-
dres détails d’une organisation q on
sait bien être assez complex • .
Par le travail réfléchi, énergique,
d e trots hommes et de leurs raraa
des empressé? à servir e... :
comme les intérêts touristig seule,
leur belle région, ayant non.r
ment donné l’exemple, mais A!
animer toutes les volontés.“.n]
mer les timides comme -3 T99
on est parvenu, en un temps record,
à mettre sur pied une organisation
qui g e révèle parfois un modèle. •
Ainsi s’avère-t-il que ceux-là seuls
méritaient de réussir, qui travaillent
avec joie dans l’amour d’une tâche
Qu’ils se sont généreusement impo-
6ée. En sent-ils récompensés ? Certes,
Par la qualité même de ce qu’ils ont
créé ! Ils font bon marché du reste
(Lira la suite page X
a n rubrique Automobile)
qu’ils nous offrent. Ensuite parce que
leur talent intact est à la fois une
assurance contre le désespoir et une
démonstration de ce qu’est la vérité
en ce sport.
Ceux qui n’ont pas la possibilité
de voir les Américains pourraient
imaginer que le tennis est un jeu
morne qui ne demande qu’un peu
d’adresse et beaucoup d’entraine-
ment. Ceux qui n’ont pas de souve
nirs n’auraient aucune raison de
s’intéresser aux tournois. Heureuse
ment, Henri Cochet et Marcel Ber.
nard sont encore présents. Henri avec
son don parfois génial, con soup de
patte inimitable, sa volée haute qui
trouve des angles étonnants pour
tous et décourageants... pour l’ad
versaire ! Marcel avec sa noncha
lance apparente qui cache une
grande nervosité, sa touche de balle
douce et variée, pétrie de contrastes
et d’oppositions comme le pinceau
d’un maître, ses périodes de somno
lence et ses réveils triomphants
Deux aspects du vrai tennis !
Cochet, en battant rapidement le
tank roumain Caralulis a permis d’es
pérer que le tennis français ne sera
pas éliminé dès le premier tour de
la Coupe Davis. Il est vrai que Co.
chet était en verve...
Bernard, en terrassant l’Espagnol
Masip après quatre manches (la se
conde ayant été consacrée à la sieste
comme il se doit) a démontré que
lorsqu’on songe à désigner le meil
leur loueur d’Europe il serait im
prudent de l’oublier. Masip était, dit-
on, surentraîné. Tel qu’on le vit en
ce tournoi, c’est un joueur solide,
adroit, accrocheur, doté de bonnes
jambes et d’un revers croisé amorti
qui a beaucoup perdu de son effica
cité en tombant dans le « coup
droit » du gaucher français. N.’im-
porte. Il en faut davantage pour gê
ner un joueur de grande classe. Et
justement Marcel Bernard, malgré
ses défauts, est de ceux-là.
Pierre ABOUT.
(Lire les détails p. 3, en rub. Tennis)
ner en ce seizième de finale,
les Toulonnais. finalistes de ce
pionnat qu'on orne d’un ,C
majuscule, sont-ils tellement
rieurs aux Narbonnais ?
Ma i s
Cham-
super
su pé-
indiquer, tout de go, Narbonne
comme vainqueur probable passerait
pour le fait d’une aimable plaisan
terie. Toulon se présentera pourtant
avec le moral d’une équipe qui vient
de voir ses plus chères espérances
balayées, et sans avoir peut-être ré
cupéré les -fatigues de la fmale, tan
dis que Narbonne, qui depuis trois
semaines n’a pas, souffert de l’over-
playing, ira au match n’ayant rien
à perdre et tout à gagner, c’est-à-
dire pleinement décontracté. Toulon
vainqueur ? Bien sûr, mais Narbon
ne n’est pas encore battu.
Georges DUTHEN.
(Lire la suite page 3,
en rubrique Rugby XV)
COUPE DE FRANCE
(Seizièmes de finale)
A Lyon : TOULON c. Narbonne
A Lourdes : LOURDES c. PUC
Huitièmes de finale
A Toulouse : VIENNE c. BAYONNE
A Pau : Castres c. MONT-DE-MARS.
A Bordeaux : TOULOUSE c. Cognac
A Bayonne : REGLES c. Tyrosse
A Carcassonne : PAU c. Grenoble
A Romans : ROMANS c. Valence
EXCELLENCE
Poules de quatre
A ‘BRIVE (De. Lyon (2)
B ‘MAZAMET (4) c. Dort (2)
HONNEUP
Quarts de finale
A Lavelanet : AUCH c. Carmaux
PROMOTION
Quarts de finale
A Givors : St-MARC. c. Monte,
A Bourgoin : ANNECY c. Givors
A Libourne : Graulhet c. TRIGNAC
COUPE FRANTZ-REICHEL
Quart de finale
A St-Girons : LOURDES c. -Carcass.
Demi-finale
A Toulon : PERPIGNAN c. Chalon
FINALE D’HONNEUR
EN BASKET, A ORLEANS
DEMI-FINALES DE LA COUPE DES XIII
Le perçant de Kempf et Auclair
NE SAURAIT SUFFIRE
à vaincre Carcassonne
Marseille, trop puissant pour les Tpulousains
de Cantoni et Neveton
Si l’on entend rechercher avant, tout, dans une épreuve de Coupe,
l’imprévu apporté par le bouleversement des valeurs étiquetées en Cham-
pionnat, il faut admettre que la <
parfaitement rempli son office puis
que l’on retrouve en demi-finales,
aux côtés des clubs de premier plan :
Carcassonne et Marseille, deux for
mations occupant un rang plus que
modeste dans le Championnat : Paris
(11') et Toulouse (14- et dernier)
compétition 1947-1948 des XIII aura
Maie, arrivé à ce stade de la compé
tition, le sort e est enfin mis en accord
avec la logique et l’ordre des rencon
tres établi semble devoir ouvrir toutes
grandes les portes à une finale entre
deux des trois « Brands »"
Carcassonne et Marseille
de la Ligue:
Roger BASTIDE.
(Lira la suite p. 3, rub. Rugby XIII)
COUPE DE FRANCE
(Demi-finales)
A Albi : CARCASSONNE c. Paris
A Béziers : MARSEIL. c. Toulouse
DIVISION FEDERALE
‘Orange (8) c. CARPENTRAS (I)
•ARCACHON (4) c. Casteljaloux (7)
DIVISION HONNEUR
(Quarts de finale)
À Nîmes : Rieux-Minerv. e. SANARY
A Rieux-M. : PENNE-StS. c. Bédar.
A Trèbes : ESTAGEL c. Duras
A Lons-le-S. : Cat. Paris c. L.-le-S.
L’A. S. ROANNE
doit inscrire son nom
sur la Coupe
Dimanche
connaîtrons
Marseille au
nat de France Honneur,
la FFBB et doté de
L’EQUIPE.
soir, à Orléans, nous
le successeur de l'UA
palmarès du Champion-
Louis
(Lire la suite p. 3, en
organisé par
la Coupe de
LAPEYRE
rub. Basket)
c.c.c
AanJ entiet
alticled et yetemend
Au towwnoldd
qui gagna
rs a d éfense
spagn
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(U: ACIETEk
IOCCAsION
SAM. 24, DIM. 25
AVRIL 1948
10 Fg Montmartre
PARIS (9‘)
TAltbout 70-80
Pstites Annonces :
TAI. 73-40, 41,42
Vente : PRO. 37-18
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L/ÉQUIPE et le V. C. TOURS vous offrent l’épreuve ultra ? rapide de la route
PARIS-TOURS AUX 70 VAINQUEURS POSSIBLES 1
chotte, l'homme de la semaine, peut-il
tre battu par Leoni, le lévrier "bleu-ciel"
Lille et Reims à l'épreuve contre Rennes et Strasbourg
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la route de
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douleur
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I stayers seront, dimanche
ébarrassés de la hantise qui
r ces 3 prochains mois, les
plions de ceux qui peuvent
ferle titre de champion de
p demi-fond.
■h l’élu de Bordeaux et ce-
■ffalo ? Ils sont actuelle-
h lice, tous confiants, op-
time les nouveaux promus
tient s’empêcher de rêver
taille acharnée entre les
■ rivaux peut leur valoir
greuse aubaine.
liera sur son terrain
■ferons par la série qui
■ U plus chargée, celle du
le Lescure, sur les bords
lie. Lesueur-Chaillo, voilà,
tduel qui, à lui seul, pro-
1 taille acharnée. L’actuel
Il monde, le plus brillant
Fers cet hiver, a reconquis,
Iwurte période de détente.
Qualités d’attaquant et il
fais prêt à défendre ses
1. l’énergie qui le carac
“ à Chaillo, l’homme en
depuis le début de la sai-
r- a obtenu les meilleurs
In ne peut que miser sur
r avec logique. Sa tâche
quée du fait qu’il partira
position. Cependant, d’une
I nous croyons qu’il arr-
■tre.
tion, cinq autres larrons
à troubler la fête et le
geux a nom Claverie. N’a-
F moral à toute épreuve,
■ ■aisance qu’il éprouvera
iæ'ant son public, sur sa
■ outsider qui pourrait donc
glure de « 3' grand » !
gournier, Solente et même
gant du pays, Villar, es-
■ te placer et de tirer adroi-
g épingle du jeu.
I Michel THIERRY.
■“'te page 2,
■ en rubrique Cyclisme)
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rencon’., le 2anc!
compagn Nais N
nti Sésle;
on' accord:
assuré de l'aide de ses compatriotes ?
Mais Leoni pourrait être vaincu au sprint par Middelkamp,
Van Steenbergen... ou Schulte et lâché par
TOUTE LA BELGIQUE
ESPERE EN LA
TROISIEME VICTOIRE
DE BRIK SCHOTTE
(De notre corresp. génér
A. VAN LAETHEM)
BRUXELLES. — Il n’y a pas de
motifs valables, hormis la malchan
ce, qui puisse empêcher « Brik »
Schotte de réaliser, dimanche, sur
Paris-Tours, un exploit qui dépas
serait largement les limites d’une
victoire si brillante soit-elle : telle
est l’opinion qui se fait jour en
Belgique.
Vainqueur de Paris-Tours, Schot
te conquerrait ainsi le record ab
solu de trois victoires consécutives
dans la même classique, et s’attri
buerait l’exploit d’avoir marqué en
trois courses et en moins de huit
jours, 86 points au Challenge
« Desgrange-Colombo » dont il est,
du reste, l’actuel leader.
Schotte est en forme, et un
Schotte en forme prétend n’avoir
aucun souci de fatigues successives
d’un Tour des Flandres et d’une
Flèche Wallonne. Schotte a encais
sé, mercredi dernier, la leçon d’at-
iaque de Ferma Camellini. Schotte,
dit-on encore, est sans doute barré
par les vrais leaders de la route,
mais il est assez rapide et il l’a
prouvé, l’an dernier, pour vaincre
un peloton d’échappée, surtout
après une course dure, et assez
habile pour tirer son épingle du
jeu dans une arrivée en gros pelo
ton.
Et l’exploit serait à. ce point
considérable que l’on se trouve
entraîné vers un pronostic senti
mental en faveur de celui que l’on
a fort justement baptisé: « le pai
sible paysan de Waregem ′ », un
paysan paisible qui, en fin de
course, se transforme parfois en
démon épileptique.
Idée, Danguillaume, Magni, Kubler, Kint, etc
Quarante-quatre de moyenne sur Paris-Roubaix... Pourrait-on
faire mieux, dans des conditions analogues, sur Paris-Tours ?
Oui, certes, malgré, les côtes de la vallée de Chevreuse au départ,
celles d’Amboise et Bléré vers l’arrivée- Car la route est infini
ment plus roulante et plus propice aux moyennes élevées. En
1938, Jules Rossi avait dépassé les 42... Mais il semble peu proba
ble, à l’heure où nous écrivons ces lignes, que le vent soit aussi
favorable en direction de .la
Touraine qu’il le fut, il y a trois
semaines, en direction du Nord. POUR LE
Il faudrait, en un mot, un DESGRANGE-COLOMBO
concours de circonstances excep- 2, ... .
tionnel pour que le nouveau re- Quatorze I rancais restent
cord fût battu. N’y comptons en compétition
donc pas trop. On sait que le règlement du Chal-
Quoi qu’il en soit, au surplus, lenge « Desgrange-Colombo » prévoyait
nous allons vers une « épreuve ul- pour ses concurrents l’obligation de
... ai - 1. .ai « , participer en France, en Italie et
tra-rapide de la route » qui promet en Belgique à une épreuve, au moins,
de ne pas faire mentir sa dénomi- comptant pour ce Challenge,
nation. Tous les as français sont 14 Français seulement y ont satis-
inscrits : presque tous, les Belges de ^olasMm^nTinXl^rce^sonl, dans
grande classe seront là , une tren- l’ordre de leur position actuelle :
taine d’Italiens tenteront de réussir l. LAUK, REMY, DE vreese, C.
PARIS-TOURS COMPTE POUR :
... Le Challenge DESGRANGE-CO
LOMBO (5 e épreuve).
... Le Challenge RUSTINES.
... Le Challenge YELLOW.
... Et est qualificatif pour le Cham
pionnat de France (5e épreuve).
POUR LE
DESGRANGE-COLOMBO
Quatorze Français restent
en compétition
On sait que le règlement du Chal
lenge « Desgrange-Colombo » prévoyait
pour tes concurrents l’obligation de
participer en France, en Italie et
en Belgique à une épreuve, au moins,
comptant pour ce Challenge.
14 Français seulement y ont satis
fait et comptent actuellement pour
le classement individuel. Ce sont, dans
l’ordre de leur position actuelle :
L. LAUK, REMY, DE VREESE, C.
DANGUILLAUME, L. CAPUT, CAR
RARA, TASSIN, LE STRAT, BALDAS-
SARI, GIGUET, DESPREZ, MARCEL-
LAK, LUCAS et DIOT.
procédé à un pointage de la liste des
sélectionnés,
noms. Or,
Celle-ci
comporte 247
nous avons noté 71 d'en-
là où ils ont échoué de bien peu
tre eux comme étant ceux de vain
queurs possibles ! Ces deux chiffres
n'indiquent-ils pas à quel point les
hommes de valeur abondent ?
jusqu’à présent
un certain Hollan- Nous ne nous livrerons pas à une
dait dénommé Schulte aura sa
chance, et un Helvète baptisé Kubler
ne sera pas battu au départ !
L’EQUIPE et le VC Tours ont
réussi à réunir l’élite du cyclisme
routier européen.
71 sur 247...
Et ceci n’est pas une banale affir
mation ! Nous avons, comme toujours.
énumération aussi longue. Elle serait
fastidieuse et ne vous apprendrait pas
grand chose, car chacun est en me
sure, compte tenu des précédents ré
sultats enregistrés, de se livrer à un
semblable travail. Aussi nous conten-
terons-nous de « sortir », un peu plus
tard, les hommes ayant des Chances
réellement supérieures.
Pour le moment, parlons plutôt du
parcours et de la physionomie de la
course Les routes de la vallée de
Chevreuse incitent à l’échappée. Nous
aurons donc, plus que probablement,
à Limours, un groupe de tête d’une
dizaine d’hommes au maximum. Selon
toute vraisemblance, aussi, un peloton
d’une soixantaine d’unités reviendra
sur les leaders aux environs de Char
tres. Il se pourrait que l’on assiste
alors à une longue séance de train
» Epreuve internationale, Paris-Tours
qualifiera pour le Championnat de
France LES CINQ PREMIERS FRAN
ÇAIS.
de la Beauce aux approchée de la
Touraine. Quelques côtes, telles que
celle de Saint-Hilaire-la-Gravelle, sont
susceptibles de provoquer ensuite une
nouvelle fugue... Dans ce cas, une au
tre dizaine de coureurs pourrait pas
ser en tête à Châteaurenault et enta
mer la boucle classique avec une ou
deux minutes d’avance. Rappelons qu’à
partir
devient
de Châteaurenault, la route
plus ingrate... C’est là que
Claude TILLET.
Marseille
avec son équipe
flambant neuf
doit dominer
Roubaix, tenant du titre
Au Parc, demain, festival parisien de football avec Red Star-Saint-Etienne
et le derby Stade-Racing
Qui sera champion de France 1947-1948 ? La question est
aussi simple à formuler que la réponse. Voici : prenez trois
feuilles de papier, sur chacune inscrivez Lille, Marseille puis
Reims et tirez au sort !
Vous avez autant de chances de tomber juste que
nostiqueür.
Nous en sommes actuellement à la 31 e journée. Il
après les rencontres de demain,
dimanche, trois matches à dis
puter pour chacun des compé
titeurs. Les positions sont les
suivantes : 1. Marseille, Lille,
42 pts ; 3. Reims, 41 pts.
Le Stade Français, 4* avec 36 pts.
et les suivants sont hors course pour
le titre détenu par le CO Roubaix-
Tourcoing.
Cette indécision n’est pas nouvelle.
L’an passé, rappelons-nous, à trois
matches de la clôture, nous trou
vions, en effet : 1. Reims, Roubaix,
47 pts ; 3. Lille, 45 pts pour en arri
ver finalement à : 1. Roubaix, 53 pts;
2. Reims, 49 pts ; 3. Lille,
bourg, 47 pts.
Nous avions donc assisté à
fondrement de Reims, grand
dans les derniers matches,
abandon de Lille tenaillé par
sir d'enlever la Coupe.
Stras.
un ef-
favori,
à un
le dé-
le pro ¬
restera .
— doit vaincre et conserver
ces intactes.
ses chan-
Lille et Reims, de leur côté, auront
une tâche quelque peu difficile.
Lille accuse la fatigue, joue sur
deux tableaux et est le point de mire
depuis le coup d’envoi du Champion
nat.
René COTTEAUX.
NOS FAVORIS
PREMIERE DIVISION
(81* journée)
•MARSEILLE (I) - Roubaix (8) (1-1)
‘LILLE (l)-Rennes (10) (2-4)
•REIMS (3)-Strasbourg (7) ... (2-2)
•STADE (4)-RACING (6) (1-0)
•RED ST. (18)-St-ETIEN. (5) . (1-4)
«TOULOUSE (12)-Sochaux (8) . (0-4)
•NANCY (13)-Metz (10) ,(3-4)
•MONTPEL. (14)-Sète (16) .. (1-0)
‘CANNES (15)-ALES (16) .... (1-2)
Classement actuel
1. Marseille, Lille, 42 pts ; 3.
Reims, 41 ; 4 Stade 36 ; 5. Saint-
Etienne, 35 ; 6. Racing, 34 ; 7. Stras
bourg, 32 ; 8. Sochaux, Roubaix, 31 ;
10. Metz, Rennes, 28 ; 12. Toulouse,
27 ; 13. Nancy, 26 ; 14. Montpellier,
25 ; 15. Cannes, 24 ; 16. Alès, Sète,
21 ; 18 Red Star, 16.
(Lire la suite page 4)
PAS DE REVOLUTION EN 1/8 DE FINALE
DE LA COUPE DES XV
RD’HUI ET DEMAIN, A GRANVILLE
US LE PATRONAGE DE fH{ 1023 .
anuoo iElansj nvr
MER, GRENOT, MATHIEU
firent à remplacer
“coq” Forni, pour Londres
'inche des Championnats de France dans
Lourds avec Roude, Pérez, Stein et Guille
De notre envoyé spécial Georges PEETERS)
"LE, — Tandis que la Coupe de L’EQUIPE va se poursuivre
h est prêt à Granville, le « Monaco du Nord », pour accueillir,
sgeet demain, les poids coq et les poids mi-lourds sélectionnés
8 Premiers tournois de « huit » préolympiques organisés par
C 'e Patronage de L’EQUIPE.
L/ de Normandie, la municipalité de Granville, le BC Gran-
Ki son dynamique secré-
h=e Villayer et le profes-
h" tous ont uni leurs ef-
N assurer le succès de ces
(tes 8 de L’EQUIPE se.
u"ittus a aux vainqueurs et
he. les finales de chaque
s Qantes réunions de boxe
F; h 8e dérouleront dans le
fiVi é couvert.
s8rppney, sélectionneur uni-
:% n qui vient d’arriver à
Churasa dit qu’il avait
le o tournois de * huit »,
Lit ayompique. Les hasards
40 prsoTt pourront donc
l^lKence (es deux meil-
(8 les arts de finale.
K Dou, oxeurs qui se seront
■GW dimanche auront à
■ ’ au combats, demi-finale
| ours de la même réu-
.."hailles d»
yspurde—* coq ».
F le pde. France des poids
LtJewvnl ne pouvant par-
Fpanynde Londres, le tour-
gnd ena dans cette caté-
k ile, ore aujourd’hui plus
Fwlme,
■ (aire? Paraissent dominer
de?' 9 e sont Grenot. de
- Naride Montluçon, et
■ Mveny. »
s.toi—que Grenot, jeune
g ikeme scientifique fut
B lia). Justesse par Forni
ge 3 66 Championnats
I fort n.La décision fut
I mal accueillie. Or,
Grenot avait luimème bénéficié. en
demi-finale, d’une décision assez
heureuse devant Chartier.
Quant à Mathieu, lors des Cham
pionnats du Nord-Est à Nancy, sa
défaite devant Forni fut également
contestée. C’est dire combien les trois
poids coq que nous retrouvons au-
jourd'hut à Granville sont de valeur
sensiblement égale.
Derrière ce brillant trio de coq,
on peut citer Le Guillou, de Colom.
bes qui a beaucoup d’allant et peut
Le président G remaux et M. Ra-
bret, président de la commission
d’amateurisme de la F.F.B.. assis
teront aux réunions de Granville.
encore se perfectionner. Le Panti-
nois Gomendy, boxeur assez classi
que et Raymond Lopez, de Gentilly,
un bon élève de Pierre Louis.
Le Havrais Le Floch et Say, de
Puteaux, complètent les « huit ».
(Lire la suite p. 3. en rubrique Boxe)
Début juillet à Londres
Monaghan-Sandeyron !
Pierre Gandon nous apprit la nou
velle hier au Palais des Sports : il
a reçu et accepté des offres d’un pro
moteur londonien pour une rencontre
qui opposerai, — titre mondial des
poids mouche en jeu — Rinty Mona
ghan à Maurice Sandeyron Date du
Championnat : premiers jours de
juillet, en plein air à Londres.
DANGUILLAUME
SE SERRE LA CEINTURE
...ET CAMELLINI
S’INQUIETE DU MENU...
En réalité, Danguillaume., que
l’on voit ici à gauche, ne se
serre pas la ceinture. Il fait
remarquer à notre collabora
teur Louis Lapeyre qu’en trois
mois d’entraînement et deux
de course, il a perdu sept
centimètres de tour de taille...
et du poids ! « Ça me ser
vira pour Paris-Tours », as-
sure.t-il. Quand à Camellini,
il nous montre que sa victoire
dans la Flèche Wallonne ne
l’empêche pas de songer à ses
soucis de restaurateur. Car le
petit Italo-Monégasque tient
un important établissement
rue Lafayette. Le saviez-vous ?
Comme quoi le cyclisme mène
à tout...
(Lire
la suite page 2,
en rubrique Cyclisme)
DEUX HOMMES
EN FORME
Robin (photo du haut) et
Bihel sont peut-être actuelle
ment les hommes les plus en
forme de l’Olympique de Mar
seille. Les voici à l’entraîne
ment sautant les haies basses
ou les dribblant balle au
pied. Le style n’est peut-être
pas parfait mais le résultat
sur le terrain est encourageant.
- (Photo Robert DALA)
Cette année Lille, en tête avec Mar
seille, est encore mieux placé et de
meure grand favori de la Coupe. Mais
son équipe est fatiguée. Reims n’a
plus que le Championnat pour briller
mais accuse les mêmes défauts et fai
blesses que l’an passé. De rudes dé
placements à Sochaux et St-Etienne
l'attendent.
Nous avons l’impression de nous
retrouver douze mois en arrière avec
la différence toutefois que le troisiè
me larron ne s’appelle plus Roubaix
mais Marseille.
Et les Phocéens nous apparaissent
aussi bien armés que les Roubaisiens
pour arracher le titre.
N’oublions pas en effet que Marseille
resta longtemps indécis quant à la
composition de son équipe-type. Tou
tes les combinaisons, tous les étran
gers furent essayés. Marseille recher
chait son unité, perdait des points,
mais ses ( rivaux n’en profitèrent pas
Reims et Lille, avec une douzaine
de joueurs chacun, se promenèrent et
puis la fatigue apparut. Il est des
moments où Champenois et Nordistes
ne peuvent plus mettre un pied devant
l’autre.
Marseille avec sa trentaine d’élé
ments doit bien s’amuser maintenant.
Sa meilleure formation est trouvée et
comme par. hasard, c’est avec ses an
ciens Robin et Aznar, encadrant Bihel.
que l’OM vole de victoire en victoire.
Ses deux brillants inters ne doivent
guère être fatigués par une saison où
ils virent presque tous les matches de
la touche
Mais aujourd’hui !
Marseille contre Roubaix, s’ill’em-
porte sera sur le chemin de la consé
cration. Roubaix est le tenant mais
Marseille, toujours invaincu à domicile
Mont-de-Marsan, vent en poupe
Toulouse, si la crise est finie
l'Aviron par ses trois-quarts
peuvent en appeler de leurs défaites en Championnat
LES JEUNES DU TENNIS TOUJOURS ABSENTS
Le P.U.C. ne croit pas aux miracles... de Lourdes
mais Narbonne ne craint pas Toulon
Lourdes, champion de France, éliminé — et sur son terrain, s’il
vous plaît ! — par le PUC; Toulon, finaliste du Championnat, défait
par Narbonne, le Stade Toulousain et Bègles battus par Cognac et
Tyrosse. Valence, modeste club d’Honneur, vainqueur de Romans — ô
Robert Soro, voilez-vous la face ! — Grenoble enfin, rescapés d'Excel
lence, écrasant la/ Section Paloise sur le tableau de chasse de laquelle
sont inscrits les Agenais ! Et il faudrait tuer la Coupe de France ? Et l’on
s’acharne sur elle au moment qu’elle
renverse les idoles, comme elle bou
leverse l’ordre des valeurs fixé par le ■
Championnat, quand, d’un souffle
puissant, elle soulève de formidables
tempêtes en comparaison desquelles
les émotions provoquées par le
Championnat ne sont que d’inoffen-
sives vaguelettes ?...
Les champions de France étrennent
leur titre
Ces résultats sensationnels portent,
hélas ! la marque d’une 1 imagination
déréglée. Il est propable, au contrai
re, que les seizièmes et les huitièmes
de finale' ne troubleront pas les es
prits dimanche soir par de surpre
nantes éliminations.
Au fait, est-il si sûr que la compé
tition se déroulera dans un calme
plat ? Evidemment les champions de
France dormiront ce soir sur les deux
oreilles, le PUC, à moins d’un im
possible miracle, ne saurait les élimi-
La “patte
la “touche
de Cochet
de Bernard
en finale, dimanche, à Roland-Garros
Du nouveau en tennis : Marcel Bernard et Henri Cochet joueront,
dimanche à Roland-Garros, la finale des Championnats internationaux de
Paris. Faut-il regretter cette permanence? Oui dans la mesure où elle
éclaire d’un jour trop vif la carence de la jeune génération. Peut-on repro
cher à ces deux ' champions d’être encore après avoir été? Au contraire,
nous leur devons beaucoup de reconnaissance. D’abord pour le plaisir
Sur le circuit automobile de Perpignan
J.-P. Wimille
SERA L’HOMME A BATTRE
Raymond Sommer, pilote de la Ferrari
et bien d'autres concurrents de valeur s’y efforceront
(D’un de nos envoyés Charles FAROUX)
PERPIGNAN. — Inscrit le dernier chronologiquement dans l’ensem
ble des grandes épreuves automobiles nationales, le Circuit de Perpignan
s’est déjà assuré une place enviable dans l’estime des concurrents et dans
la section des spectateurs.
Sur l’un comme l’autre poInt nous saluons, une fois de plus, la vie.
toire de l’initiative individuelle. Avec M. Léon Do, président de l’AS de
l’AC du Roussillon, deux amis “82.
lement dévoués, MM. de Laze e t
Fournous, s’empressent avec une e e
gante vigilance à prévoir les mon-
dres détails d’une organisation q on
sait bien être assez complex • .
Par le travail réfléchi, énergique,
d e trots hommes et de leurs raraa
des empressé? à servir e... :
comme les intérêts touristig seule,
leur belle région, ayant non.r
ment donné l’exemple, mais A!
animer toutes les volontés.“.n]
mer les timides comme -3 T99
on est parvenu, en un temps record,
à mettre sur pied une organisation
qui g e révèle parfois un modèle. •
Ainsi s’avère-t-il que ceux-là seuls
méritaient de réussir, qui travaillent
avec joie dans l’amour d’une tâche
Qu’ils se sont généreusement impo-
6ée. En sent-ils récompensés ? Certes,
Par la qualité même de ce qu’ils ont
créé ! Ils font bon marché du reste
(Lira la suite page X
a n rubrique Automobile)
qu’ils nous offrent. Ensuite parce que
leur talent intact est à la fois une
assurance contre le désespoir et une
démonstration de ce qu’est la vérité
en ce sport.
Ceux qui n’ont pas la possibilité
de voir les Américains pourraient
imaginer que le tennis est un jeu
morne qui ne demande qu’un peu
d’adresse et beaucoup d’entraine-
ment. Ceux qui n’ont pas de souve
nirs n’auraient aucune raison de
s’intéresser aux tournois. Heureuse
ment, Henri Cochet et Marcel Ber.
nard sont encore présents. Henri avec
son don parfois génial, con soup de
patte inimitable, sa volée haute qui
trouve des angles étonnants pour
tous et décourageants... pour l’ad
versaire ! Marcel avec sa noncha
lance apparente qui cache une
grande nervosité, sa touche de balle
douce et variée, pétrie de contrastes
et d’oppositions comme le pinceau
d’un maître, ses périodes de somno
lence et ses réveils triomphants
Deux aspects du vrai tennis !
Cochet, en battant rapidement le
tank roumain Caralulis a permis d’es
pérer que le tennis français ne sera
pas éliminé dès le premier tour de
la Coupe Davis. Il est vrai que Co.
chet était en verve...
Bernard, en terrassant l’Espagnol
Masip après quatre manches (la se
conde ayant été consacrée à la sieste
comme il se doit) a démontré que
lorsqu’on songe à désigner le meil
leur loueur d’Europe il serait im
prudent de l’oublier. Masip était, dit-
on, surentraîné. Tel qu’on le vit en
ce tournoi, c’est un joueur solide,
adroit, accrocheur, doté de bonnes
jambes et d’un revers croisé amorti
qui a beaucoup perdu de son effica
cité en tombant dans le « coup
droit » du gaucher français. N.’im-
porte. Il en faut davantage pour gê
ner un joueur de grande classe. Et
justement Marcel Bernard, malgré
ses défauts, est de ceux-là.
Pierre ABOUT.
(Lire les détails p. 3, en rub. Tennis)
ner en ce seizième de finale,
les Toulonnais. finalistes de ce
pionnat qu'on orne d’un ,C
majuscule, sont-ils tellement
rieurs aux Narbonnais ?
Ma i s
Cham-
super
su pé-
indiquer, tout de go, Narbonne
comme vainqueur probable passerait
pour le fait d’une aimable plaisan
terie. Toulon se présentera pourtant
avec le moral d’une équipe qui vient
de voir ses plus chères espérances
balayées, et sans avoir peut-être ré
cupéré les -fatigues de la fmale, tan
dis que Narbonne, qui depuis trois
semaines n’a pas, souffert de l’over-
playing, ira au match n’ayant rien
à perdre et tout à gagner, c’est-à-
dire pleinement décontracté. Toulon
vainqueur ? Bien sûr, mais Narbon
ne n’est pas encore battu.
Georges DUTHEN.
(Lire la suite page 3,
en rubrique Rugby XV)
COUPE DE FRANCE
(Seizièmes de finale)
A Lyon : TOULON c. Narbonne
A Lourdes : LOURDES c. PUC
Huitièmes de finale
A Toulouse : VIENNE c. BAYONNE
A Pau : Castres c. MONT-DE-MARS.
A Bordeaux : TOULOUSE c. Cognac
A Bayonne : REGLES c. Tyrosse
A Carcassonne : PAU c. Grenoble
A Romans : ROMANS c. Valence
EXCELLENCE
Poules de quatre
A ‘BRIVE (De. Lyon (2)
B ‘MAZAMET (4) c. Dort (2)
HONNEUP
Quarts de finale
A Lavelanet : AUCH c. Carmaux
PROMOTION
Quarts de finale
A Givors : St-MARC. c. Monte,
A Bourgoin : ANNECY c. Givors
A Libourne : Graulhet c. TRIGNAC
COUPE FRANTZ-REICHEL
Quart de finale
A St-Girons : LOURDES c. -Carcass.
Demi-finale
A Toulon : PERPIGNAN c. Chalon
FINALE D’HONNEUR
EN BASKET, A ORLEANS
DEMI-FINALES DE LA COUPE DES XIII
Le perçant de Kempf et Auclair
NE SAURAIT SUFFIRE
à vaincre Carcassonne
Marseille, trop puissant pour les Tpulousains
de Cantoni et Neveton
Si l’on entend rechercher avant, tout, dans une épreuve de Coupe,
l’imprévu apporté par le bouleversement des valeurs étiquetées en Cham-
pionnat, il faut admettre que la <
parfaitement rempli son office puis
que l’on retrouve en demi-finales,
aux côtés des clubs de premier plan :
Carcassonne et Marseille, deux for
mations occupant un rang plus que
modeste dans le Championnat : Paris
(11') et Toulouse (14- et dernier)
compétition 1947-1948 des XIII aura
Maie, arrivé à ce stade de la compé
tition, le sort e est enfin mis en accord
avec la logique et l’ordre des rencon
tres établi semble devoir ouvrir toutes
grandes les portes à une finale entre
deux des trois « Brands »"
Carcassonne et Marseille
de la Ligue:
Roger BASTIDE.
(Lira la suite p. 3, rub. Rugby XIII)
COUPE DE FRANCE
(Demi-finales)
A Albi : CARCASSONNE c. Paris
A Béziers : MARSEIL. c. Toulouse
DIVISION FEDERALE
‘Orange (8) c. CARPENTRAS (I)
•ARCACHON (4) c. Casteljaloux (7)
DIVISION HONNEUR
(Quarts de finale)
À Nîmes : Rieux-Minerv. e. SANARY
A Rieux-M. : PENNE-StS. c. Bédar.
A Trèbes : ESTAGEL c. Duras
A Lons-le-S. : Cat. Paris c. L.-le-S.
L’A. S. ROANNE
doit inscrire son nom
sur la Coupe
Dimanche
connaîtrons
Marseille au
nat de France Honneur,
la FFBB et doté de
L’EQUIPE.
soir, à Orléans, nous
le successeur de l'UA
palmarès du Champion-
Louis
(Lire la suite p. 3, en
organisé par
la Coupe de
LAPEYRE
rub. Basket)
c.c.c
AanJ entiet
alticled et yetemend
Au towwnoldd
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