Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1948-02-06
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 06 février 1948 06 février 1948
Description : 1948/02/06 (A3,N564). 1948/02/06 (A3,N564).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5998304
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
k2 e de I e Division
DU SLALOM SPECIAL
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iEn4 heures, ANGERS élimine MARSEILLE, six fois vainqueur de la Coupe
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VENDREDI 6
FEVRIER 194 8
J 3, Fg Montmartre
PARIS (9 e )
Direc., Adm., Publ.
TAI 70-80
Rédact.: PRO 85-21
Vente : PRO 37-18
Cte Postal 4 237-93
F fn 3* ANNEE
U II • No 564
Afriq. du Nord 6 fr.
Waterloo du slalom français à St-Moritz
COUTTETe OREILLER
avaient l’offensive
et presque la victoire"
e 12°clubde2 e Division: LE MIRACLE REINALTER RELEGUE
NGERS BOUTE HORS LA COUPE les Français aux 2 e et 3 e places
au Parc des Princes, la
logique a été respectée au profit
es Itémois égaux à leur position
Deux nouveaux prétendants à la Coupe 1948 sont connus.
7ne reste plus qu’à attendre le résultat du 2 e match Metz-Mont-
Dellier de jeudi prochain, au Parc, puis le tirage au sort qui aura
fieu le même soir, pour connaître le programme de la journée
—9%9 février (huitièmes de finale).
Ice, deux nouveaux qualifiés sont REIMS, leader du Championnat
national, et... ANGERS, classé douzième en Division II. L’équipe com
mandée et entraînée par Roger Magnin a en effet réussi à éliminer, à
Bordeaux (3-2 après prolongation, ayant mené 1-0 au repos), la formation
marseillaise, qu’elle avait
échec (3-3) dimanche,
tenue en
à Saint-
Etienne.
Le caractère sensationnel
ultat n’échappera à .
pique de Marseille est en effet
ub qui se glorifie du palmarès
tour se rendit
font les spo
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Ainsi, Ko
a conquis in
500 m. en 42
élément d’incertitude,
randes favorites et l’un
les plus... incertains
que revêt
personne.
s prestigieux en Coupe de Fran-
preuve qu'il a enlevée six fois,
4, 1926, 1927, 1935, 1938 et 1943.
équipe actuelle détient la deuxiè-
'lace du Championnat national,
lité avec Lille ; son style, son
1ère en faisaient à la. fois, l’une
des
de
élé-
la
qui
est
rs attaché aur faits et gestes
‘équipe marseillaise, vient d'être
lièrement confirmé !
COUPE DE FRANC:
A Bordeaux :
Angers (12) b. MARS. (2), prol. 3-2
Au Parc :
REIMS (I)
N.B —
b.'
Havre
Le chiffre placé entre
parenthèses indique le classement
par points des clubs dans leur di
vision respective.
A vrai dire, le match nul de Saint-
Etienne, pour surprenant qu’il ait été,
ne nous avait qu’à demi alerté diman-
• che soir.
, Jacques de RYSWICK
(Lire la suite p. 3, en rub. Football)
A LA 114'MINUTE NINO EUT LE CHAMP LIBRE
MB- :
i peu d’entri.
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monde,
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U.R.S.S.
Marseille trouvait sa cadence
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VERRESD
/suant Dahan fut expulsé
Rodriguez s’affirme grand arrière central
(De notre envoyé spécial Fernand ALBARET)
ANGERS BAT MARSEILLE 3-2 (1-0) (2-2). — Excellent terrain.
Très sévère arbitrage de M. Lieuze, 820.810 francs de recette pour
17.519 spectateurs.
Buts : Michlowski (coup franc 9 e ), Nino (72 e et 114') pour An-
sers ; Bastien (coup francs 58'), Bihel (68) pour Marseille.
ORDEAUX. — Bien que joué à un rythme moins élevé que, le pré-
t, ce 2e match Angers-Marseille n’en présenta pas moins un vif inté-
Certes, la qualité du jeu put prêter à critique, mais les joueurs,
is Dahan, sentirent peser dans leurs muscles, leur terrible effort de
nche dernier. C’est peut-être à cause de cette fatigue que les Ange-
entamèrent ce débat à une allure réduite, pratiquant un travail
r cche par petites passes qui ne ressemblait en rien à leurs belles
lees de Saint-Etienne. N’empêche qu’ils parvinrent à marquer les
rS,
de
tique
evins
che
grâce à un. magnifique
Michlowski,
à celui qui
absolument
valut aux
leur but égalisateur du
-— précédent.
Cette action fut, d’ailleurs, la seule
rapprocha les deux épisodes d’une
rontation à l’étonnant résultat.
—8 deux équipés étaient à égalité :
eux, a.»
mtnfm du ballon et le projeta vio-
auert Î Michlowski. Geste de
epuaalsehumeur certes, mais geste
fis.Que M. Lieuze sanctionna im-
qaakement,en expulsant son auteur
'ver- in. Il y eut des “ mouvements
pas dans la foule à ce moment-là
aldmas de Palabres par la suite,
a.tude de Dahan, c’est certain, me.
une vunition. Mais il nous parut
s punition le devait pas al-
—la r expulsion du terrain.
L, Talts sont là. Au moment
an piqua sa crise, FOM com-
a trouver sa vraie cadence. Il
a dominer durant un bon
Seure, obtint un corner, fut
sur une belle combinaison
nd Du et prit l'avantage à la
4 ,,n par un but de Bihel, consé-
a un coup franc.
ml 11 lutte à 11 contre 10 tour
5.1 était logique qu’elle tour-
hué ‘5Hez, qui avait magistrale-
ère» Jusque-là, permit à Nino de
inr.etce fut légalisation à la
ant .Angers termina le temps
oraire à toute allure, obtenant
liorer la vue
IONS
RANDS
CLUBS
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is du saut à
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veut " le chan
, le» - VERRES
DUDRAGNE’ "e
xécutés nique -
votre médecin
3 l’ajustage-
ENE
elles, !
celle»
t. 30 a 19 h. sauf
s consécutifs, sur des ac-
r sch lowski et d e Combot, ce
nandrmant beaucoup plus en-
le 9u à Saint-Étienne.
liai, ut de la prolongation, les
eurtongèrent leurs passes et
amen— eur action gêna consi-
franc e défense angevine. Sur
», pul.sot1 tira eur le poteau
d la suite d’un corner.
su, " , ot des Méridionaux s‛6-
ant s transversale Deux minu-
he, s tin Dard devait encore
r au bois ».
a Suite P. 3, en rub. Football)
> N avez-vous pas dit sou -
vnt • Si je savais dessiner ! "
voue méthode A.B.C. de Dessin
tout apprend à retrouver dans
dont vm» vous entoure les lignes
nemanOus vous servez quolidien-
monent n" écrivant. E»® vous
pour re comment les employer
modeje"erenter n’importe quel |
més s.Par traits précis et fer-
Qy.Pres. tout devient facile.
. vos LOISIRS...
I thod. v a cette étonnante me-
eppte.vous pourrez chez vous.
i d apsu retout sei a dessiner
Ivon-SS nature.
S’^BÆ^lavent.tft,
vos dec.
un rendement tres appre.
Enfants”
(Stu. F 84)
A James Couttet
Henri Oreiller
et
la plaquette de
(D’un de nos envoyés spéciaux Pierre ABOUT)
tes
« Il avait l'offensive et presque la victoire.
Il tenait la couronne pliée à sa loi
...on dit Couttet !
...c'était Edl... »
. egns" 3
REIMS
avec Batteux et
Jonquet en vedette
A JOUE
JACOWSKI
A L’OUVRAGE !
PARC DES PRINCES. —
la
Surprise chez les femmes : l'Américaine Gretchen
FRASER, spécialiste de descente
devient reine du Slalom
UAERIEN DICK BUTTON SE DETACHE
EN PATINAGE ARTISTIQUE
Qu'on me pardonne ce mauvais pastiche,
que le ski français ait vécu aujourd'hui son
qu’après les éclatants succès de la veille, il
Est-il bien sûr, d'ailleurs,
Waterloo? Mais oui, puis-
connut la défaite. Défaite
glorieuse, certes, puisque Couttet est 2', Oreiller 3, mais la France avait
senti passer le souffle de la vic
toire... Ce souffle, comme le vent
de la montagne, tourna court, pour
s’offrir à la Suisse.
Etre classés 2 et 3. alors qu’on
attendait 1 et 2, la différence est
PF
À la suite de leurs magnifiques
performances à St-Moritz, L’EQUI
PE a décidé de décerner la pla
quette de L’EQUIPE à :
JAMES COUTTET, capitaine et
animateur de l'équipe de France
de ski, et à
HENRI OREILLER, champion
olympique de la descente et du
combiné alpin.
Ce sont les premières plaquettes
de L’EQUIPE décernées à des
skieurs.
en équipe de Division Nationale
Aux Havrais, il manquait cette fraction de seconde
qui donne l’initiative... et le succès
REIMS BAT LE HAVRE : 3-0 (1-0). — Bon terrain. 18.493 spec
tateurs pour une recette de 1.817.935 francs. Excellent arbitrage, par
M. Gogneau (Nord), d'un match joué par les 2 équipes, suivant le
meilleur esprit sportif.
Buts : par Bini (28' et 65* minutes) et Sinibaldi (G0 e ).
PARC DES PRINCES. — Au risque de mécontenter les spectateurs
qui s’étalent rendus hier au Parc des Princes dans l’espoir sentimental
de voir gagner Le Havre plutôt que dans le dessein de suivre un match
de Coupe sans idée préconçue, il est équitable de dire que la qualité
du jeu et des joueurs de Reims a été supérieure à celle des Havrais ; que
l’avantage des Champenois s’est manifesté avec régularité ; et qu’en défi
nitive la différence de classe entre un excellent club de Division 1 et un
très bon club de Division II est ap
parue avec netteté.
Outre les 3 buts marqués aux 28',
60' et 65' minutes, les Rémois ont ob
tenu dix coups de pied de coin contre
un, aux 5', 6°, 15‘, 24', 52*, 60', 70',
75*. 80* et 83' minutes, le seul corner
en faveur du Havre ayant été tiré à
la 67' minute. La chronologie de ces
coups de coin montre que l’attaque ré
moise fut très active, et que l’arriere
défense maritime connut de nombreux
moments d’inquiétude.
Demis et arrières havrais furent trou
blés, pour ainsi dire organiquement,
en ce sens que les permutations des
avants champenois les entraînèrent
hors de leurs secteurs familiers, de
leur zone d opération courante : Bini
glissant de l’aile droite à l’aile gau
che ou à l’intérieur gauche gêna consi-
dérablement l’arrière gauche, et Gau
cher, Grimonpont ; de même Galliano
se, sentit dépaysé en passant de l’ar
rière droit à l’arriére gauche, où rap
pelait la permutation de Palluch ; et
aussi Franceschetti quittant son poste
très limité d’arrière central pour sui
vre Sinibaldi devenant intérieur.
Gabriel HANOT.
(Lire la suite page 3,
an rubrique Football)
AMAR INTERVIENT ! P&EREagU“arangers,“OTAfTar.
protégé par Salem, bloque une balle que l’Angevin Combot, démar
qué, convoitait pour... expédier dans les tilets.
(Belinogramme N.Y.T.)— —
EN PREVISION D’UNE VICTOIRE
DU XV DE BERGERAC SUR CASTRES
Jo Baladié a renouvelé
ses réserves de Montbazillac
Le propriétaire du café Riche, à Bergerac, est une vieille connaissance
des rugbymen ; c’est l’ancien trois-quarts aile international Jo Baladié.
écarté prématurément de l’équipe de France, a l’étonnement de ses amis.
Ayant perdu tout espoir d’y reprendre sa place. Jo Baladié s est donné
pour mission de hisser l'équipe de l’Union Sportive Bergeracoise à des
honneurs nouveaux. Jo Baladié est prêt de réussir . promu d Excellence
en Division Fédérale, l’US Berge
rac, sur le terrain sablonneux des
Landes, a triomrhé de son premier
adversaire, Soustons. par 10 à 7.
Exploit d’autant plus remarquable
qu’il fut le seul réalisé par une
équipe issue d’Excellence.
Georges DUTHEN.
(Lin» Ja suite p. 3, rub, Rugby XV)
L'EQUIPE DE L'U.S BERGERAC
Arr : Pecastaing ; 3/4 : Barse,
Pignolet, Gardette, Baladié (cap.) ;
1/2 : (o) Prévost, (m) Marot ; ay. •
Descombes ou Piazzi, Avignon, Bus.
stère ; Saux Bernard ; Journies,
Pouget, Goulard. J
rapide attaque havraise mit
parfois la défense rémoise à
l’épreuve. Mais les rudes •ar
rières champenois se tirèrent
toujours à leur honneur de
situations difficiles. Jacowski
est ici aux prises avec Die-
trich et Vanags. On reconnaît
(de g. à dr.) Campiglia (H.),
à terre, Belver (R.), Beck (H.),
Jacowski (R.), Dietrich (H.)
et Vanags (H.).
21 voix sur 26 !
énorme, le
gouffre, et
l'épaisseur
seconde !
fossé profond comme un
pourtant, ce gouffre a
d’un cheveu : 5/10 de
C’est pour cette petite demi-secon
de que nous avons piétiné toute la
matinée dans la neige froide, durcie
par la gelée, que les patineurs en
désarroi appelaient de tous leurs
vœux.
(Lire la suite page 4)
FAUSTO COPPi
apporte à l’U.V. Italienne
le Trophée international
EDMOND GENTIL !
SCHERENS. BARTALI ET HARRIS
SE PARTAGENT 5 VOIX... ET C’EST PEU
Le Trophée pèsera-t-il sur certaines décisions
du Congrès de l’U.C.I. ?
&
le
COPPI, 21 voix ; SCHERENS, 3 ; BARTALI, 1 ; HARRIS, 1. Tel
résultat du vote auquel donna lieu, hier, la seconde attribution
est
du
5/10 DE SECONDE
S Al NT-MO RI TZ. — De fort peu
James Couttet, que l’on voit ici
Trophée International Edmond Gentil.
Comme l'an dernier, il avait été inutile de procéder à un second tour
de scrutin mais. cette fois, l'Italie était victorieuse devant la Belgique...
dans le slalom, a raté un titre olympique qu’il aurait bien mérité...
COMBAT SERRE, HIER, A WAGRAM
JEAN MOUGIN A SU
doser son effort pour 15 rounds
et conserve son titre
CONTRE DICRISTO
Très beau combat, gagné dans les dernières reprises
Jean Mougin a fait, hier soir, à la saille Wagram, le plus admirable
combat de sa jeune carrière et il a conservé irrésistiblement dans les
dernières reprises de son match, le titre de champion de France qu’il
avait à défendre devant Dicristo, challenger longtemps redoutable, mais
indiscutablement battu.
(Lire la suite p. 2, en rub. Boxe)
Georges PEETERS
A pe ne M. Chantala avait-il com
muniqué ces chiffres aux membres du
jury qu’apparaissaient dans la salle
où s’achevait le déjeuner M. Kodoni,
Un incident heureux n'arrive ja
mais seul : Coppi, lauréat du
Trophée Edmond Gentil, a été ac
quitté par le Tribunal italien chargé
de le juger à la suite d’un accident
d’automobile dont il avait été l'au
teur.
président de l’UV Italienne ainsi que
ses représentants en France MM Ma
rini et Bordons auxquels s’étalent
jointe nos confrères G. Giardini et
O. Ferrari : congratulations, mani
festations de satisfaction, . poignées
de mains à M. Bertolino qui était en
la circonstance, le délégué officiel de
l’Italie... Visiblement, on attache, de
l’autre côté des Alpes, une importan
ce capitale à la possession du superbe
bronze destiné à perpétuer la mé
moire du créateur des cycles Alcyon
Claude TILLET.
(Lire la suite page 2,
en rubrique cyclisme)
(( Accordailles »
L.V.B.-Tour de France
1948
C'est la
ESQUIVE
forcing
fin du combat; Jean Mougin fait
■ — - jorcing et accumule les points ; mais cette
fois il n’a pas la distance et son crochet droit vient de passer très
près du menton de l’ex-champion d’Europe. Une belle occasi° n
pour Dicristo de contrer.
A l’occasion de sa venue an
Congrès de l’U.C.I.. dont il est un
des vice - présidents M. Charles
Smulders, président du Co mite
sportif de la L.V.B., a rencontré
Jacques Goddet, directeur du
conditions techniques de
belge a
ont été
le plus
Tour
de
envisagées
sportif et
rement d'accord sur tous les points
débattus.
POUR LES «SIX JOURS»
D'ANVERS
TROIS EQUIPES
FRANÇAISES
et forfait " in-extrems”
le Van Viet-Pellenaers
(Lire en rub. Cyclisme l’article
d’Albert van LAETHEM)
LE DOUX HIVER 1948 A FAIT FONDRE.
LES GRAISSES INUTILES
Dès la mi-mars, les Belges Ü’AntoninMagne
SERONT DES HOMMES “AFFÛTÉS”
Cependant que Sylvère Maes et Callens pensent
et
qui
rie]
au Tour de France
Verschueren et Brusselmans à Bordeaux-Paris
(Da notre envoyé spécial Pierre BOURRILLON)]
LILLE — L’an dernier, c'était Wattreloos : cette année, c’est Lille
a reçu la visite des Belges d’Antonin .Magne, venus retirer leur maté-
d'entraînement.
A vrai dire, nous nous attendions un peu, dans le
aménagé pour la circonstance, à voir défiler nos amis
avec des visages empâtés, avec des
| corps encore enveloppés d’une bonne
Voici l’équipe d’Antonin Magne :
Sylv. Maes, Rijckaert, Desplenter,
Debaere, Ritserveldt, Callens Mont-
nterency, Mollin, Brusselmans, A.
Verschueren K 1 n t. Van Steen-
graisse emmagasinée depuis la fin de
la saison routière 1947.
Eh bien ! depuis que nous les avions
quittés, à part Lowie, éternellement
présent à ces sortes de cérémonie et
magasin de cycles
les « Flahutes »
dont la rotondité s’accuse au fur et à
mesure que les ans passent, Mommo-
rency et même le rond Deeplenter,
nous avons été surpris de constater
combien les figures étaient normales.
Petites sorties ou...
A cela, une explication.
« Depuis quinze à vingt jours, dé-
clarait Adolph- Ver-chueren, nous
rouions, profitant du temps exception-
nel dont cet hiver nous a gratifiés,
par petites sorties très courtes »
(Lire la suite p. 2, en rub. Cyclisme)
APRES LA VICTOIRE DE J.-P. WIMILLE
La course, inflexible bancd essais
Dunlop l’a compris
Charles Faroux hier matin, a magnifiquement mis en valeur l’impor
tance de la victoire de la petite Simca-Gordini de J.-P. Wimille en Améri
que du Sud.
Cette victoire d’une voiture française sur pneus français a eu là-bas
un retentissement inouï puisque Wimille battait un lot formidable et
véritablement exceptionnel de voitu
res étrangères de plus grande puis-
sance et de toute première valeur.
Il s’en est d’ailleurs fallu d’un rien
que ce succès soit doublé et que la
deuxième Simca-Gordini ne prenne la
seconde place.
Or, il nous paraît équitable de rap
peler que la Dunlop française a tou
jours voulu se soumettre aux rigueurs
de la course et des plus effarantes
vitesses.
Reprenez le palmarès des victoires
françaises depuis plus de trente an-
nées. Toutes ces victoires ont été per
mises par Dunlop.
C’est encore Dunlop qui réussit ce
tour de force de faire tenir des ban
dages pneumatiques sur la voiture du
record du monde de Cobb.
Alors, concluez. Qui peut le plus
peut le moins.
Et c’est par la course, par les re
cherches qu'elle impose, par Je* en
seignements qu’elle assure, c’est par
la course que Dunlop nous donne ses
pneus actuels, à nous modestes usa-,
gers. — G, L,
DU SLALOM SPECIAL
s RIDLEY
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NCR
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au Parc des Princes, la
logique a été respectée au profit
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Deux nouveaux prétendants à la Coupe 1948 sont connus.
7ne reste plus qu’à attendre le résultat du 2 e match Metz-Mont-
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fieu le même soir, pour connaître le programme de la journée
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Ice, deux nouveaux qualifiés sont REIMS, leader du Championnat
national, et... ANGERS, classé douzième en Division II. L’équipe com
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Bordeaux (3-2 après prolongation, ayant mené 1-0 au repos), la formation
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Etienne.
Le caractère sensationnel
ultat n’échappera à .
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A vrai dire, le match nul de Saint-
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/suant Dahan fut expulsé
Rodriguez s’affirme grand arrière central
(De notre envoyé spécial Fernand ALBARET)
ANGERS BAT MARSEILLE 3-2 (1-0) (2-2). — Excellent terrain.
Très sévère arbitrage de M. Lieuze, 820.810 francs de recette pour
17.519 spectateurs.
Buts : Michlowski (coup franc 9 e ), Nino (72 e et 114') pour An-
sers ; Bastien (coup francs 58'), Bihel (68) pour Marseille.
ORDEAUX. — Bien que joué à un rythme moins élevé que, le pré-
t, ce 2e match Angers-Marseille n’en présenta pas moins un vif inté-
Certes, la qualité du jeu put prêter à critique, mais les joueurs,
is Dahan, sentirent peser dans leurs muscles, leur terrible effort de
nche dernier. C’est peut-être à cause de cette fatigue que les Ange-
entamèrent ce débat à une allure réduite, pratiquant un travail
r cche par petites passes qui ne ressemblait en rien à leurs belles
lees de Saint-Etienne. N’empêche qu’ils parvinrent à marquer les
rS,
de
tique
evins
che
grâce à un. magnifique
Michlowski,
à celui qui
absolument
valut aux
leur but égalisateur du
-— précédent.
Cette action fut, d’ailleurs, la seule
rapprocha les deux épisodes d’une
rontation à l’étonnant résultat.
—8 deux équipés étaient à égalité :
eux, a.»
mtnfm du ballon et le projeta vio-
auert Î Michlowski. Geste de
epuaalsehumeur certes, mais geste
fis.Que M. Lieuze sanctionna im-
qaakement,en expulsant son auteur
'ver- in. Il y eut des “ mouvements
pas dans la foule à ce moment-là
aldmas de Palabres par la suite,
a.tude de Dahan, c’est certain, me.
une vunition. Mais il nous parut
s punition le devait pas al-
—la r expulsion du terrain.
L, Talts sont là. Au moment
an piqua sa crise, FOM com-
a trouver sa vraie cadence. Il
a dominer durant un bon
Seure, obtint un corner, fut
sur une belle combinaison
nd Du et prit l'avantage à la
4 ,,n par un but de Bihel, consé-
a un coup franc.
ml 11 lutte à 11 contre 10 tour
5.1 était logique qu’elle tour-
hué ‘5Hez, qui avait magistrale-
ère» Jusque-là, permit à Nino de
inr.etce fut légalisation à la
ant .Angers termina le temps
oraire à toute allure, obtenant
liorer la vue
IONS
RANDS
CLUBS
AN Y le reco"
e en natatio"
npion milital
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3 l’ajustage-
ENE
elles, !
celle»
t. 30 a 19 h. sauf
s consécutifs, sur des ac-
r sch lowski et d e Combot, ce
nandrmant beaucoup plus en-
le 9u à Saint-Étienne.
liai, ut de la prolongation, les
eurtongèrent leurs passes et
amen— eur action gêna consi-
franc e défense angevine. Sur
», pul.sot1 tira eur le poteau
d la suite d’un corner.
su, " , ot des Méridionaux s‛6-
ant s transversale Deux minu-
he, s tin Dard devait encore
r au bois ».
a Suite P. 3, en rub. Football)
> N avez-vous pas dit sou -
vnt • Si je savais dessiner ! "
voue méthode A.B.C. de Dessin
tout apprend à retrouver dans
dont vm» vous entoure les lignes
nemanOus vous servez quolidien-
monent n" écrivant. E»® vous
pour re comment les employer
modeje"erenter n’importe quel |
més s.Par traits précis et fer-
Qy.Pres. tout devient facile.
. vos LOISIRS...
I thod. v a cette étonnante me-
eppte.vous pourrez chez vous.
i d apsu retout sei a dessiner
Ivon-SS nature.
S’^BÆ^lavent.tft,
vos dec.
un rendement tres appre.
Enfants”
(Stu. F 84)
A James Couttet
Henri Oreiller
et
la plaquette de
(D’un de nos envoyés spéciaux Pierre ABOUT)
tes
« Il avait l'offensive et presque la victoire.
Il tenait la couronne pliée à sa loi
...on dit Couttet !
...c'était Edl... »
. egns" 3
REIMS
avec Batteux et
Jonquet en vedette
A JOUE
JACOWSKI
A L’OUVRAGE !
PARC DES PRINCES. —
la
Surprise chez les femmes : l'Américaine Gretchen
FRASER, spécialiste de descente
devient reine du Slalom
UAERIEN DICK BUTTON SE DETACHE
EN PATINAGE ARTISTIQUE
Qu'on me pardonne ce mauvais pastiche,
que le ski français ait vécu aujourd'hui son
qu’après les éclatants succès de la veille, il
Est-il bien sûr, d'ailleurs,
Waterloo? Mais oui, puis-
connut la défaite. Défaite
glorieuse, certes, puisque Couttet est 2', Oreiller 3, mais la France avait
senti passer le souffle de la vic
toire... Ce souffle, comme le vent
de la montagne, tourna court, pour
s’offrir à la Suisse.
Etre classés 2 et 3. alors qu’on
attendait 1 et 2, la différence est
PF
À la suite de leurs magnifiques
performances à St-Moritz, L’EQUI
PE a décidé de décerner la pla
quette de L’EQUIPE à :
JAMES COUTTET, capitaine et
animateur de l'équipe de France
de ski, et à
HENRI OREILLER, champion
olympique de la descente et du
combiné alpin.
Ce sont les premières plaquettes
de L’EQUIPE décernées à des
skieurs.
en équipe de Division Nationale
Aux Havrais, il manquait cette fraction de seconde
qui donne l’initiative... et le succès
REIMS BAT LE HAVRE : 3-0 (1-0). — Bon terrain. 18.493 spec
tateurs pour une recette de 1.817.935 francs. Excellent arbitrage, par
M. Gogneau (Nord), d'un match joué par les 2 équipes, suivant le
meilleur esprit sportif.
Buts : par Bini (28' et 65* minutes) et Sinibaldi (G0 e ).
PARC DES PRINCES. — Au risque de mécontenter les spectateurs
qui s’étalent rendus hier au Parc des Princes dans l’espoir sentimental
de voir gagner Le Havre plutôt que dans le dessein de suivre un match
de Coupe sans idée préconçue, il est équitable de dire que la qualité
du jeu et des joueurs de Reims a été supérieure à celle des Havrais ; que
l’avantage des Champenois s’est manifesté avec régularité ; et qu’en défi
nitive la différence de classe entre un excellent club de Division 1 et un
très bon club de Division II est ap
parue avec netteté.
Outre les 3 buts marqués aux 28',
60' et 65' minutes, les Rémois ont ob
tenu dix coups de pied de coin contre
un, aux 5', 6°, 15‘, 24', 52*, 60', 70',
75*. 80* et 83' minutes, le seul corner
en faveur du Havre ayant été tiré à
la 67' minute. La chronologie de ces
coups de coin montre que l’attaque ré
moise fut très active, et que l’arriere
défense maritime connut de nombreux
moments d’inquiétude.
Demis et arrières havrais furent trou
blés, pour ainsi dire organiquement,
en ce sens que les permutations des
avants champenois les entraînèrent
hors de leurs secteurs familiers, de
leur zone d opération courante : Bini
glissant de l’aile droite à l’aile gau
che ou à l’intérieur gauche gêna consi-
dérablement l’arrière gauche, et Gau
cher, Grimonpont ; de même Galliano
se, sentit dépaysé en passant de l’ar
rière droit à l’arriére gauche, où rap
pelait la permutation de Palluch ; et
aussi Franceschetti quittant son poste
très limité d’arrière central pour sui
vre Sinibaldi devenant intérieur.
Gabriel HANOT.
(Lire la suite page 3,
an rubrique Football)
AMAR INTERVIENT ! P&EREagU“arangers,“OTAfTar.
protégé par Salem, bloque une balle que l’Angevin Combot, démar
qué, convoitait pour... expédier dans les tilets.
(Belinogramme N.Y.T.)— —
EN PREVISION D’UNE VICTOIRE
DU XV DE BERGERAC SUR CASTRES
Jo Baladié a renouvelé
ses réserves de Montbazillac
Le propriétaire du café Riche, à Bergerac, est une vieille connaissance
des rugbymen ; c’est l’ancien trois-quarts aile international Jo Baladié.
écarté prématurément de l’équipe de France, a l’étonnement de ses amis.
Ayant perdu tout espoir d’y reprendre sa place. Jo Baladié s est donné
pour mission de hisser l'équipe de l’Union Sportive Bergeracoise à des
honneurs nouveaux. Jo Baladié est prêt de réussir . promu d Excellence
en Division Fédérale, l’US Berge
rac, sur le terrain sablonneux des
Landes, a triomrhé de son premier
adversaire, Soustons. par 10 à 7.
Exploit d’autant plus remarquable
qu’il fut le seul réalisé par une
équipe issue d’Excellence.
Georges DUTHEN.
(Lin» Ja suite p. 3, rub, Rugby XV)
L'EQUIPE DE L'U.S BERGERAC
Arr : Pecastaing ; 3/4 : Barse,
Pignolet, Gardette, Baladié (cap.) ;
1/2 : (o) Prévost, (m) Marot ; ay. •
Descombes ou Piazzi, Avignon, Bus.
stère ; Saux Bernard ; Journies,
Pouget, Goulard. J
rapide attaque havraise mit
parfois la défense rémoise à
l’épreuve. Mais les rudes •ar
rières champenois se tirèrent
toujours à leur honneur de
situations difficiles. Jacowski
est ici aux prises avec Die-
trich et Vanags. On reconnaît
(de g. à dr.) Campiglia (H.),
à terre, Belver (R.), Beck (H.),
Jacowski (R.), Dietrich (H.)
et Vanags (H.).
21 voix sur 26 !
énorme, le
gouffre, et
l'épaisseur
seconde !
fossé profond comme un
pourtant, ce gouffre a
d’un cheveu : 5/10 de
C’est pour cette petite demi-secon
de que nous avons piétiné toute la
matinée dans la neige froide, durcie
par la gelée, que les patineurs en
désarroi appelaient de tous leurs
vœux.
(Lire la suite page 4)
FAUSTO COPPi
apporte à l’U.V. Italienne
le Trophée international
EDMOND GENTIL !
SCHERENS. BARTALI ET HARRIS
SE PARTAGENT 5 VOIX... ET C’EST PEU
Le Trophée pèsera-t-il sur certaines décisions
du Congrès de l’U.C.I. ?
&
le
COPPI, 21 voix ; SCHERENS, 3 ; BARTALI, 1 ; HARRIS, 1. Tel
résultat du vote auquel donna lieu, hier, la seconde attribution
est
du
5/10 DE SECONDE
S Al NT-MO RI TZ. — De fort peu
James Couttet, que l’on voit ici
Trophée International Edmond Gentil.
Comme l'an dernier, il avait été inutile de procéder à un second tour
de scrutin mais. cette fois, l'Italie était victorieuse devant la Belgique...
dans le slalom, a raté un titre olympique qu’il aurait bien mérité...
COMBAT SERRE, HIER, A WAGRAM
JEAN MOUGIN A SU
doser son effort pour 15 rounds
et conserve son titre
CONTRE DICRISTO
Très beau combat, gagné dans les dernières reprises
Jean Mougin a fait, hier soir, à la saille Wagram, le plus admirable
combat de sa jeune carrière et il a conservé irrésistiblement dans les
dernières reprises de son match, le titre de champion de France qu’il
avait à défendre devant Dicristo, challenger longtemps redoutable, mais
indiscutablement battu.
(Lire la suite p. 2, en rub. Boxe)
Georges PEETERS
A pe ne M. Chantala avait-il com
muniqué ces chiffres aux membres du
jury qu’apparaissaient dans la salle
où s’achevait le déjeuner M. Kodoni,
Un incident heureux n'arrive ja
mais seul : Coppi, lauréat du
Trophée Edmond Gentil, a été ac
quitté par le Tribunal italien chargé
de le juger à la suite d’un accident
d’automobile dont il avait été l'au
teur.
président de l’UV Italienne ainsi que
ses représentants en France MM Ma
rini et Bordons auxquels s’étalent
jointe nos confrères G. Giardini et
O. Ferrari : congratulations, mani
festations de satisfaction, . poignées
de mains à M. Bertolino qui était en
la circonstance, le délégué officiel de
l’Italie... Visiblement, on attache, de
l’autre côté des Alpes, une importan
ce capitale à la possession du superbe
bronze destiné à perpétuer la mé
moire du créateur des cycles Alcyon
Claude TILLET.
(Lire la suite page 2,
en rubrique cyclisme)
(( Accordailles »
L.V.B.-Tour de France
1948
C'est la
ESQUIVE
forcing
fin du combat; Jean Mougin fait
■ — - jorcing et accumule les points ; mais cette
fois il n’a pas la distance et son crochet droit vient de passer très
près du menton de l’ex-champion d’Europe. Une belle occasi° n
pour Dicristo de contrer.
A l’occasion de sa venue an
Congrès de l’U.C.I.. dont il est un
des vice - présidents M. Charles
Smulders, président du Co mite
sportif de la L.V.B., a rencontré
Jacques Goddet, directeur du
conditions techniques de
belge a
ont été
le plus
Tour
de
envisagées
sportif et
rement d'accord sur tous les points
débattus.
POUR LES «SIX JOURS»
D'ANVERS
TROIS EQUIPES
FRANÇAISES
et forfait " in-extrems”
le Van Viet-Pellenaers
(Lire en rub. Cyclisme l’article
d’Albert van LAETHEM)
LE DOUX HIVER 1948 A FAIT FONDRE.
LES GRAISSES INUTILES
Dès la mi-mars, les Belges Ü’AntoninMagne
SERONT DES HOMMES “AFFÛTÉS”
Cependant que Sylvère Maes et Callens pensent
et
qui
rie]
au Tour de France
Verschueren et Brusselmans à Bordeaux-Paris
(Da notre envoyé spécial Pierre BOURRILLON)]
LILLE — L’an dernier, c'était Wattreloos : cette année, c’est Lille
a reçu la visite des Belges d’Antonin .Magne, venus retirer leur maté-
d'entraînement.
A vrai dire, nous nous attendions un peu, dans le
aménagé pour la circonstance, à voir défiler nos amis
avec des visages empâtés, avec des
| corps encore enveloppés d’une bonne
Voici l’équipe d’Antonin Magne :
Sylv. Maes, Rijckaert, Desplenter,
Debaere, Ritserveldt, Callens Mont-
nterency, Mollin, Brusselmans, A.
Verschueren K 1 n t. Van Steen-
graisse emmagasinée depuis la fin de
la saison routière 1947.
Eh bien ! depuis que nous les avions
quittés, à part Lowie, éternellement
présent à ces sortes de cérémonie et
magasin de cycles
les « Flahutes »
dont la rotondité s’accuse au fur et à
mesure que les ans passent, Mommo-
rency et même le rond Deeplenter,
nous avons été surpris de constater
combien les figures étaient normales.
Petites sorties ou...
A cela, une explication.
« Depuis quinze à vingt jours, dé-
clarait Adolph- Ver-chueren, nous
rouions, profitant du temps exception-
nel dont cet hiver nous a gratifiés,
par petites sorties très courtes »
(Lire la suite p. 2, en rub. Cyclisme)
APRES LA VICTOIRE DE J.-P. WIMILLE
La course, inflexible bancd essais
Dunlop l’a compris
Charles Faroux hier matin, a magnifiquement mis en valeur l’impor
tance de la victoire de la petite Simca-Gordini de J.-P. Wimille en Améri
que du Sud.
Cette victoire d’une voiture française sur pneus français a eu là-bas
un retentissement inouï puisque Wimille battait un lot formidable et
véritablement exceptionnel de voitu
res étrangères de plus grande puis-
sance et de toute première valeur.
Il s’en est d’ailleurs fallu d’un rien
que ce succès soit doublé et que la
deuxième Simca-Gordini ne prenne la
seconde place.
Or, il nous paraît équitable de rap
peler que la Dunlop française a tou
jours voulu se soumettre aux rigueurs
de la course et des plus effarantes
vitesses.
Reprenez le palmarès des victoires
françaises depuis plus de trente an-
nées. Toutes ces victoires ont été per
mises par Dunlop.
C’est encore Dunlop qui réussit ce
tour de force de faire tenir des ban
dages pneumatiques sur la voiture du
record du monde de Cobb.
Alors, concluez. Qui peut le plus
peut le moins.
Et c’est par la course, par les re
cherches qu'elle impose, par Je* en
seignements qu’elle assure, c’est par
la course que Dunlop nous donne ses
pneus actuels, à nous modestes usa-,
gers. — G, L,
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