Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1947-12-29
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 29 décembre 1947 29 décembre 1947
Description : 1947/12/29 (A2,N530). 1947/12/29 (A2,N530).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599634z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
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pour pouvoir
s’entrebatttre
Vitesse, démarrages, dédoublements des KIWIS
QUI
GAGNENT EN UNE MI-TEMPS
puis sombrent dans le jeu
individuel des Fronçais
Nouvelle-Zélande bal France
r 11-7 (H-7)
JORDAN et FORREST, ailiers de grande classe
Dans le XIII de France, moins lié qu'à Bordeaux, seul Duffort fut
un équipier. Puig-Aubert ne marqua que "
4 pts... parce qu’on l’a empêché de tirer au but I
Sullivan faisait preuve de sa clairvoyance habituelle lorsque,
après le France-Galles (29-21) du 23 novembre, il nous décla
rait : a Les Français peuvent battre les « Kiwis », si leurs avants
jouent aussi bien à Paris qu’à Bordeaux... »
Or, les avants du XIII de France ayant en grande partie
failli à leur tâche, les « Kiwis » de Nouvelle-Zélande iront pas
eu grand mal à s’assurer en première mi-temps un avantage
(11-7) qu’ils, se contentèrent de maintenir jusqu’à la fin. F’ut-ce
l'effet du hasard, de la fatigue ou d’une conception « économi
que » assez admissible de la part de jeunes garçons qui ne fai-
LES EQUIPES
KIWIS. —- Arr. : W. S. Clarke ;
3/4 : li. Jordan, M. Robertson, R.
Mac Gregor. .1. Forrest ; 1/2 : (o) D.
Barchard, (m) J. Haigh ; av. : K.
Mountford ; C. Mac .Bride, A. Gill-
man ; P. Smith, R. Aynsiey, J.
Newton.
FRANCE. — Anr. : Pnig-Aubert
(Careass.) ; 3/4 : Lespes (Bord.-Bay.),
Maso (Carc.), Cornes (Ferpign.), R.
Sorondo (Bord.-Bay.) ; 1/2 : (o) Cail
lou - (Bord.-B.), On) Duffort (Roanne);
av. : Calixte (Villen.), Brousse (Mar
seille'. Berthomieu (Albi). U I m a
(Ferpign.). Durand (Mars), Béraud
(Marseille)
Jeu sans gaité
P ar [acques CODDET
E
IV acceptant, afin de rentrer
sous le contrôle du UNS,
l’appellation de « Jeu à
XIII », I« rugby du même
\ nombre s’est imposé, sur noire ter-,
ntqtre, de divertir. Et le fonde-
merit de ce « Jeu », fort viril,
étant la, virtuosité, l’idée que Von
j’en fait l’assimile à, la jonglerie,
à une jonglerie imaginative, sou
vent facétieuse.
C’est précisément ce qui a man-
Iquê le plus à dix au moins de nos
XIJI — seuls Cornés, Duffort et le
flegmatique « Pipette » ont cher-
\ché à inventer. Ils diront peut-être :
lü pluie, le terrain lourd, et le ré-
seau de défense des noirs qui em
prisonnait, comme dans un. coup
4e filet raclant toute la largeur
jrfu terrain, les tentatives d'atta
que. »
I Nous disons: maladresse, dans la
Amasse, distendue, imprécise, sans
Uelénte; maladresse, dans la réce p-
'blm, bafouillage dans la manipula
tion, mauvais place ment, faux
temps de course ; maladresse dans
h conception et l’orientation de
\Ioffensive. Le ' jeu à XIII reste
hliez nous trop imprégné des règles
et des principes de son grand frère
J le rugby XV. Les classiques dé
ploiements en chapelet des lignes
Urrière n’ont aucune chance devant
|de* adversaires qui, tous les treize,
scants comme arrières, défendent,
courent et plaquent magistralement.
|Car ce sport qui a consacré la pri-
ona-uté de l’attaque a, du même
(coup, renforcé et transformé l’ac-
tion défensive.
|| 4insi donc suffirait-il d’un bal
lon mouillé pour que Von s’aper
çoive que la transplantation de nos
rugby sous les deux cléments du
1 Midi français limite ses possibili
tés ? .Vallons surtoutpas racon
ter cela aux amis britanniques. Ils
Braient capables de penser vrai-
ment que vous ne sommes pas di-
|| 0 neg de pratiquer ce sport créé
jfout spécialement pour remplir les
i mauvaise» journées de, l’hiver...
(tira suite p. 3, rub. Rugby XIII)
saient que commencer ,.au Parc des Princes une tournée d’un
mois à travers notre pays ? Cela paraît difficile à démêler avec
exactitude et cela irqporte moins que les enseignements qu’il est
possible de tirer d’un match qui, avec deux phases nettement
différentes, apporta la très claire démonstration de ce que DE
VRAIT ETRE le rugby XIII —
et aussi de ce qu’on aimerait
QU’IL NE FUT PAS.
Qualités des Kiwis
Sans nous faire oublier les fameux
« AU Blacks ». ks Kiwis d'aujour
d'hui apportent à la pratique du rug
by qu'ils ont choisi les qualités essen
tielles de leur race •: vigueur, stature,
vitesse d’ensemble — nettement supé
rieure à celle des Français — adresse
et sens du dédoublement.
Pierre ABOUT.
(Lire la suite p. 3, rub. Rugby XIII)
UN POUR TOUS... MAIS, HELAS, PAS TOUS POUR UN...
Cette phase de jeu de la rencontre de rugby XIII « Kiwis »-France (11-7), disputée hier au Parc des
Princes, illustre bien le manque de coordination qui condamna la plupart des mouvements offensifs
français à l’insuccès. Servi par Comtes (n<> 4), notre demi de mêlée, Duffort, après avoir trompé le centre
Robertson (no 9), cherche vers sa droite un partenaire à qui transmettre le ballon. Caillou, le seul
autre Français dans le champ d'action, se trouve trop en retrait et Duffort isolé sera plaqué par
l'arrière « kiwi » W.S. Clarke. De g. à dr. : W . S. Clarke (K), Haigh (K), Robertson (K), Duffort (F),
Caillou (F), Cornes (F), Jorday (K) et Barchard (K).
EN RUGBY A XV, A MARSEILLE
ont déconcerté
les militaires britanniques
arrière
En évidence : audace de l\
André, virtuosité de Dizabo, perçant
de Bordenave, rapidité de Lacaussade
37-7
(De notre envoyé spécial Marcel de LABORDER1E)
FRANCE B. BAT COMBINE!) SERVICES : 37-7 (6-4). — Tempé
rature printanière. Terrain souple: 765.000 fr. pour 8.000 spectateurs.
Arbitrage d’abord sévère puis très large du Montferrandais M. Labrune.
Essais marqués par : André 23'), Laffitte (44 e ), Delerls (46 e ),
Bordenave (50 e et 56 e ), Lacaussade (68 e ), Duthen (75 e ), Duveau (79 e ),
1 but sur coup franc (39 e )et 5 buts de transformation par Behere-
garav. Pour les Britanniques : 1 drop goal par Lumsden (4 e ), 1
essai Burcomb (57 e ).
MARSEILLE. — Victoire de l’enthousiasme sur la placidité, de* la vir
tuosité sur la froide assurance. Triomphe de la jeunesse sur un quinze
chevronné. Tel nous apparaît le match joué par l’équipe de France B
face à la sélection militaire britannique dite des s Combined Services »,
et gagné par les nôtres par un score écrasant.
Un sucèèg aussi éclatant, un match
agrémenté d’une pareille mobilité n’a
pas manqué, on s’en doute, de trans
porter d’enthousiasme les témoins ra
vis et joyeux de la rencontre. Mais, à
travers la victoire de Marseille, cha
sement à croire que la journée est)
fructueuse pour le rugby français.
Au cours de la .première mi-temps,
les Britanniques contenaient tant bien
que mal les tentatives diversês des nô-
PREMIERE A SENSATION
POUR LES MATCHES RETOUR
DU CHAMPIONNAT 4
Stade
roche tarpéienne se nomme
TOULOUSE et SOCHAUX
X f HHHOHttti* tOi
Troisième “e\ent” algérien
llAHOUCINE TENTE VAINEMENT
\de décramponner Pujazon
qui l’emporte nettement dans les derniers 500 m.
(De notre correspondant général Tony ARBONA)
ALGER. — Raphaël Pujazon a gagné très facilement le cross classique
f* l'Echo d’Alger qui obtient un magnifique et complet succès. Cepen-
|4nt la départ fut assez « cafouillé ». Il s'ensuivit bousculades et. irré-
plarités dont Salom (ASPTT Alger) fut la première victime ; il dut
randonner.
1 Pujazon se dégagea après 500 mètres en compagnie de Lahoucine
Pl lui fait le train. A Yusuf les deux internationaux sont seuls côte à
pie. La course se joue au Gouvernement général où le Marocain essaye
| 6 surprendre vainement le champion de France qui sprinte dans les
■Obiers 500 mètres et s'assure une quarantaine de mètres d’avarice ter
minant très frais.
L’Algérien Petitpierre qui a terminé à environ 180 m. du vainqueur, a
confirmé sa qualification déjà acquise
pour le cross de L’Equipe le 25 jan-
-, _ vier. C’est donc son camarade de club,
ÉPRISE A G0TEB0RG OU...
LA VEDETTE
DU RED STAR
Hier, à St-Ouen, Louis Favre
a été avec Pons l’artisan de la
victoire du Red Star aux dé
pens de Sète. Rapide, bon
technicien, excellent dans le
jeu de tête, Favre est le seul
attaquant du Red Star vrai
ment redoutable.
PREMIERE DIVISION
REIMS (t) b.
Nancy, (10) . 2-1
(5-0)
•LILLE (2) b.
RCP (fi) ... 2*1
(4.1)
•Toulouse (12)
h. MARS. (3) 31
(2-3)
•CANNES <1«)
et BOLB. (4) 1-1
(1-3)
•St-ETIEN. (5)
b. Bon n. 03) 10 (3-1)
•STRASB. (7)
b. Alès (15) 9-5
(2-0)
•Soebauv (S) b. STADE (S) 4-(
(2-2)
•MONTI’. (tt)
b. Metz (14) 5-2
(0-1)
•RED ST. (17)
tv. Sète (18) 1-0
(2-1)
T,es derniers
chiffres entre paren-
t.hèses indiquent le résultat du match
aller.
Classement
P** J: G. -N. P.
p. C.
I. REIMS G)
29 18 13 3 2
43 12
2. Lille (2) .
26 18 11 4 3
40 23
3. Rnub. ( 4)
24 18 P fi 3
36 25
1. St-Etien. (5) 24 ts O fi 3
38 29
3. Mars. (3)
23 17 10 3 4
35 2(5
fi. Strasb. (7)
21 18 7 7 4
4P 26
7. RCF (fi) .
20 17 P 2 fi
48 33
S. Sorti. (P)
18 18 7 4 7
3fi 32
P. Stade (8)
18 17 8 2 7
34 35
10. Montp. (11)
16 18 5 6 7
33 35
11. Nancy ( 10 )
tfi 18 3 6 7
32 35
12. Tool. (12)
16 18 7 2 P
28 35
13. Rennes (13) 14 17 3 4 S
21 37
1 1. Metz (14).
13 18 6 1 n
35 46
).■>. Cannes ( 1 4
12 17 3 6 S
20 37
tfi. Alèü (13)
12 18 5 2 11
26 44
17. Red St. 07
) 10 18 4 2 12
18 39
18. Sète 08) .
6 17 3 0 14
25 51
Alors que Reims et Lille Vont échappé belle
Strasbourg, première attaque de France,
invaincu depuis le 12 octobre
La logique voulait que l’on prévoit une victoire de Marseille
sur Toulouse, malgré l’avantage de terrain au profit des Tou
lousains.
Ceux-ci, déjà handicapés par des indisponibilités avaient dû
effectuer le long voyage Nancy-Toulouse, pour « être à l’heure »
au Stade Chapou, tandis que les Marseillais avaient joué et gagné
jeudi chez eux.
Mais la logique est souvent déficiente en football, et Mar
seille fut battu hier sans rémission.
Il lui manquait Bihel certes. Mais l'OM dispose d’un tel nom
bre de « réserves » qu’il parais
sait devoir conserver ses chan
ces.
Marseille, par sa défaite se trouve
eu moine bonne position pour atta
quer ceux qui le précèdent. L’outsi
der n» 1 a émoussé ees outils.
Reims et Lille ont souffert hier.
Le club champenois craint toujours
d’aller jouer à Nancy. Le match
E DUO
DERNE
TYLO et un
TE-MINE
TMAT1QUE
lis présentés
n F.CRIX
Jean LAFlT Ü?
•islennes Réubjtj*
SEGUIN, imP/TÀ'.
:rgère, Paris ,s
trawczyk faiblit
[devant Ochoa...
„,.et n’obtient
que le match nul
notre corr. gén. W. LYBERG)
LOTEBORCt. — Devant 3.000 specta-
8 enthousiaste», le Français Lu-
Krawczyk et le Cubain Ochoa
(ait match nul en dix reprises..
Intimidé au début. Ochoa ne fit pas
U n d cliore et Krawczyk s'assura
îîUags. Puis le noir s'enhardit.
|.. la forcing effréné et combla son
j. îr d. mettant même le Français en
RSpr.
les premiers rounds. Walzack,
Puissant, domina le Belge Han-
Au 5’ round, un gauche au
envoya le Belge au lapis pour
Compte. — W.
I Net vainqueur de Degouve. qui était
|v* S! é quatrième poicU moyen français
L^wcryk n'a pu obtenir que le match
K. devant le Cubain Ochoa, à Goteborg.
L ÿttS la dépêche de notre rorrespon
II*®*" Krawcryk a été en danger dans
I,'* dernières reprises. Voilà qui Ta ras-
|i« r,r ce ux q u î hésitaient à « prendre
Poulain d'Oquinarenne, ma's donne
réfléchir sur les réelles possibilités,
. ■-ùre surestimées, au lendemain de
Metoére de Krawcryk sur Derouve.
O. p.
Lamorida, qui bénéficiera de la se
conde prime de 5.000 francs ; il fit
une excellente course... A s'gnàler qup
PC Taxa, par équipes de cinq, ne
battit que de six points le GS d'Alger.
1. PUJAZON (RCF), les 6 km. en
21’ 22” 2/10; 2. Lahoucine (SC Taxa),
2F 30” ; 3. Arrarh (GC Oran) ; 4.
Petit pie ire (GS Alger), 21' 54”; 5.
Abdelkader (SC Taza) ; fi. Lamonda
(GSA) ; 7. Zinani (SCTl ; S. Yahia
(SCT) ; î). Mechkour (CÂSG) ; 10.
Faussot (GSA), etc... Bocqnet, de
l’ASPTï, est premier junior, et son
club enlevé la Coupe « But-Club ».
Comparaison ?
Il est impossible de comparer le cross
du « Journal d’Alger », couru sur un
hippodrome alourdi par la pluie et la
classique épreuve de « L’Echo d'Al
ger ». très accidentée, à travers les
rues de la ville.
Pet.dpierre et Lamouda qui ont cou
ru les deux épreuves et ont terminé
dans le même ordre se sont, classés :
PETITPIERRE 6 • à 1’ H” de Zato-
pek le il décembre ; ù J0” de Pu
jazon le is décembre,
LA MDU DA 7* à 1’ 41” de Zatopek le
il décembre ; 6 e à 4 i” de Pujazon le
28 décembre.
Celte comparaison, il est vrai, ne
signifie pas grand chose puisque Za-
topek court au train et que Pujazon
se contente le plus souvent de suivre
le plus dangereux de se? adversaires.
Si Zatopek et Pujazon sont opposés
le 23 janvier au cross de « L'EQUI
PE ». ce match sera, à n’en pas dou
ter, le clou de la saison hivernale. —
G. M.
A LA COURNEUVE
Le Hongrois
FEKETE
s'affirmeau"De!aune"
...qui met en évidence
les qualités du junior
Plantard
Pour son 4 e Cross Delaunë, la
FSGT avait remis en activité, hier,
l’hippodrome de la Courneuve dont
le parcours s’est révélé propice aux
grandes épreuves.
On attendait une rentrée victorieuse
de l’international Beaudoin ; il ne fut
jamais dan s la course dominée par
ie jeune. Hongrois Fekete, finaliste des
1.500 mètres des Jeux Universitaires
qui occupe actuellement un poste d’in
génieur à I’aris^ De son allure facile
en dépit du terrain lourd, il meut au
cune peine à distancer Laville, Mont-
ceyron et Le Noay qui l’accompagnè
rent un moment. PlaDtard. un junior
plein d'aisance en dépit d’un mouve
ment de bras trop étriqué, est un su
jet d'avenir.
(Lire la suite p. 2, rub. Cross Count.)
Les Toulousains jouent...
à la marseillaise
devant les Marseillais figés
(De notre envoyé spécial Fernand ALBARET)
TOULOUSE B MARSEILLE : 3-1 (3-0). — Terrain collant. Très
bon arbitrage de M. Fauquemberghe. Recette : 788.487 francs pour
9.853 spectateurs. Buts, Toulouse : Cammarata (8 e ) ; Sbroglia (32');
N. Stnibaldi (38'). Marseille : Bastién (72').
TOULOUSE. — Les supporters toulousains craignaient que leurs
joueurs ne souffrissent dans cette confrontation à « haute'tension » de
la fatigue consécutive à leur déplacement à Nancy. Or, ce furent les
Marseillais qui accusèrent une sérieuse dépression, résultant, affirme leur
entraîneur Zilizzi, de longs et difficiles voyages à Roubaix et à Metz.
Jamais, en effet, l’Olympique ne put jouer sur son rythme habituel,
tandis que les Toulousains, tant en course ' que dans l’utilisation du
ballon, imprimaient à la rencontre une allure maximum. Aussi on eut pu
croire, à voir évoluer les deux équi
pes, que les Toulousains étaient des
COMME IL L'AVAIT ANNONCE
IMS BAT KRAMER
EN QUATRE SETS
pour la première des...
65 rencontres prévues!
(Lire en rubrique Tennis, fe câble
de notre env. spec. per. Robert BRE)
Marseillais, et
Toulousains.
les Marseillais des
louse bénéficia d’un coup franc. Del-
gado, qui le botta, quitta le centre,
rata son coup de pied et orienta le
Submergés «n vitesse mire et indo- ballon sur la droite. Cammarata,
lents dans la lutte d’homme à homme. fl'LV* ^clmnc^’de ^mètres nbattit
les Marseillais tentèrent d’abord ^enta sa î b y nce ,Ff lU rU
d’ « énddi’mir » léurs adversaires par
Liberati à la stupéfacion générale,
d’hier a confirmé que ces craintes
étaient justifiées car c’est par un
tout petit but d’écart qu’il s'est at
tribué, les deux points du match,
malgré les exploits d’un Sinibaldi qui
a confirmé sa belle forme actuelle.
Le RC Paris, nous dit-on, a fait
mieux, beaucoup mieux, que de con
tenir les efforts de Lille, au Stade
Henri Jooris, où la ligne d’attaque
des Nordistes fut une nouvelle fois
assez décevante. La maîtrise accusée
par les Lillois au début de la sai
son, n’est plus actuellement qu’un
souvenir.
Les dirigeants du LOSC donnent
eux aussi des signes d’hésitation.
Preuve en est qu’ils ont fait jouer
hier Sommerlynck arriére central !
Quant au RC Paris, q'ul revenait
de Cannes, il a bien mérité de ses
supporters.
Strasbourg totalise
Vainqueur jeudi de Rennes par
6 buts à 1, Strasbourg qui semble
avoir gros appétit a infligé à Alés
urie cuisante défaite de 9 à 3. Quinze
buts en deux matches, voilà qui
améliore uri goal average.
Mais les trois buts marqués par les
avants cévenols atténuent un peu
l’éclat du succès du onze alsacien.
Il faut cependant retenir que Stras
bourg $e pose en concurrent sérieux
pour Reims, Lille et Roubaix.
Ce dernier éprouva hier la diffi
culté qu’il a de vaincre Cannes
sur-son terrain des Hespérides. Il fal
lut que Antonov, le remplaçant de
Darui, arrête un penalty donné par
Sierra, et que les avants cannois
envoient quelques balles sur les
poteaux de but pour que le CORT
sauve le match nul.
Lucien GÂMBLIN.
un .petit jeu de .passes courtes. La
manœuvre réussit durant les premiè
res minutes! sans mettre toutefois
Ibrir et ses gardes de corps en diffi
culté. Mais à la huitième minute Tou-
Les internationaux suédois
GH ET ENfANUELSON
sont disposés à jouer
au Stade Français !
Ils se refusent à pratiquer
à nouveau à Coeteborg
(De notre corr. gén. Wolf LYBERG) :
STOCKHOLM. — Stnsation dans le
football suédois ■ les internationaux
Oren «t Emanuelsôn de Goéteborg ont
déclaré qu’ils rte voulaient plus jouer
au football en suède.
On estime que le Sto<îe Français a |
de grandes chanees do pouvoir enga
ger les dtux Suédois.
X.D.L.R. __ , Rappelons qu’avec la
fin des motcha aller s’achève la
période de recrutement dC3 joueurs
pour la saison en cours. Le Stade
Français eïtirne qu’il *2* trop tard
pour cett 6 année... ^
(Lire
« A MOI î »
LILLE. — Au stade Henri-Jooris, le gardien
racingman Champion, les mains tendues, se
prépare à recevoir une passe de son arrière central Lamy. On
reconnaît (de g. à dr.) : Champion, Vandooren, Salva, Lamy.
sibilites nouvelles offertes à'nos sélec- multipliait en défense et l’on ep deman-
t ion ne uts pour accorder à notre quin- dait comment les nôtres finiraient par
>.i affirmer une domination qui nous ap
paraissait évidente.
Savez-vous, en définitive, qüi fit
pencher la balança en notre faveur
et fit’ basculer la victoire ? C’est
1 arrière André. Bendons-lui justice
avant de tresser des couronnes aux
autres.
C'est André qui. par ses initiatives,
par ses contre-attaques, finit pardon
ner de 'la consistance et une . réelle
autorité à nos divers mouvements of
fensifs. André est à l'origine-, de no
tre domination. Quand le mouvement
îut_ déclenché, les antres furent en
traînés dans l’engrenage. Us avaient
été mi@ en confiance. Attaquant avèq
un séduisant enthousiasme et — com
me il arrive, toujours en pareil, cas
— avec une insolente réjussite, iis se
jouèrent des malheureux Britanni-
qus-s qui ne comprenaient, rien, à leur
mésaventure.
Dès lors on put admirer à loisir 1»
classe et les moyens athlétiques de
Di'zabo. Qu'il était plaisant à voir
quand il trouait 'la défense et,quand
il partait avec rau-tônité d’un vieux
chevronné des stades ! Avec un par
fait sang-froid, il savait encore ser
vir son ailier ou repasser au centre.
Avec lui, réjouissons-nous d’une- vé
ritable îévélation : celle du demi
d’ouverture Bordenave. La veille, à
Ii» France B a bénéficié d»
8 coups francs contre 3 aux Com-
bined Services.
A son avantage : 23 mêlées,
contre 25 aux Anglais.
l’entraînement, le Touionnais ne nom
avait pas plus édifié qu'à Limoges,;
il n’avait pas l’air très à .l’aise) Face
aux Britanniques, il a produit un jeu
d’une Éolidité qui force notre con
fiance.
Témoins du match, Jules Oadénat,
et le vice-président de la FFE. M,
Delbert, de Toulouse, ne tarisssfieiit
pas d’éloges sur ess deux joueurs, et
i'I.s jugeaient Dnzabo et Bordenave
djgns-s. «ans plus tarder, de franchir
l ’éehelon su péri gu r.
(Lire la suite p. 3, en rub. Rugby XV)
ze national numéro 1 toute la frai
cheur qui lui manque et qui, aujour-
I/arrière narbonnais André et le
talonnenr biterrois Duveau rejoue
ront mercredi, à Perpignan, avec
la sélection Languedoc - Roussillon
contre cette même équipe des Com
bined Services.
d'hui, à Mameillê, ruisselait dans tous
les mouvements de notre équipe de
cadets.
On s’en doute, la défaite dee Bri
tanniques n’est, pas saite circonstances
atténuantes. Les absences de l’ailier
Jackson, blessé, et du demi de mêlée
Thomas, remplacés-respectivement par
Douglas et par Gatford, la fatigue af
fichée par le quinze britaunique ar
rive seulement le matin même à Mar
seille après un long voyage, soqt évi
demment des arguments qui nous amè
nent à commenter avec prudence la
facilité de notre triomphe. Mais ce
pendant le style demeure.
Le style ? C’est, celui de quelques-
uns des nôtres qui nous amène préci-
L’an dernier L’EQUIPE
a elass'é les meilleurs spor
tifs dç l’année 1946 dan r
l’ordre suivant :
1. SEPHERIADES (avi
ron), 112 pts sur un total
possible de 120 pts;
2. Jany (natation), 108 pts;
3. Hansenne (athl.), 80 pts;
4. -Cerdan (boxe), 64 pts;
5. Petra (tennis), 52 pts 1/2;
6. Vallerey G.' (nat), 40 pts;
7. Pujazon (cross), 34 p. 1/2
8. Darui (foot.), 31 pts; 9.
Couttet (ski), 26 pts; 10.
Bernard M. (ten). 17 p. 1/2.
Vous connaîtrez jeudi
matin l’évolution de la cote
des champions sur les ba
ses de 1947.
Vous lirez également cette
semaine dans L’EQUIPE :
— L’Irlande elle aussi
cherche en vain des trois-
quarts, par J.-J. Berthier. .
— La Coupe de France
de football, premier danger
pour les « gros »...
— Que peut-on attendre
de la 4* campagne améri
caine de Cerdan, par Geor
ges Peeters.
— Nous voici à un mois
déjà des Jeux Olympiques
d’hiver, par Alex Virot et
Philippe Gaussot.
—■ Le tournoi des Huit
Nations ou l’élite du basket-
ball européen à Nice, par
Louis Lapeyre.
Et toute l’actualité spor
tive de la semaine dans
IMïïDJülà
j i wViii 1
le quotidien sportif
de classe internationale
UE STYLE
C’EST L’HOMME !
MARSEILLE. — Les lignes ar
rières françaises se sont mises
fréquemment en valeur au
cours de la rencontre inter
nationale de rugby XV ;
France B-Combined Services.
On voit ici Dizabo s'élancer
dans un style plein de déci
sion à l’attaque, tandis qüe
Deleris (à sa g.) s'apprête à
recevoir la passe qui lui per
mettra de déborder son. vis-
à-vis. Confiant en ses coéqui
piers, Robert Duthen a déjà
ralenti sa course.
(Belinogramma L'EQUIPE)
ACHETEZ...
I une CANADIENNEdemarquQ
Une canadienne VALENTIN est pra
tiquement inusable et vous durera
20 ans. Elle est indispensable en hiver.
Dans une canadienne VALENTIN, vous
serez au sed. au chaud et à Taise.
Coup* très élégant# .
inté/ieyremant fourré#
«n pleine peau
d agneau * très s»0-
ple • recouvert# d'un#
grosse toile de coton
imperméable • col d#
vrai mouton et
manches doublées en
lainage ou ouot'me •
empiècement dos. et
devant passepoüés
cuir • poches de Càii
èt de poitrine bon
dées cuir.
Cette canadienne est
très ample, longue
confortable et pro
tège de la pluie,
comme du froid.
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k VIROT)
•ont lundi
it le baro-
jour qu’on
irésent, au
ant et un
b un jeune
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lèline Des
an dernier,
5 Boittard,
■acing ;
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kg plus en
iroohe qui
ie Français
qu’au titr»
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ion. Petite
vénielle.
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ta reux d'en-
i,g est dou-
ion olympi-
ra-tnl pour
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ÎMIF.R Sl'C.
- WENGEN
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s et anglais,
ut un vain,
d’aisance et
npnt remar-
r (Wengen),
(Muerren),
(Ane* ). 77"
.), 81" 2/10.-
egger
Roe (Angl.),
(Angl.) 84"
MONTJOIE
tANÇAIS —
lamines, un
ît à ski avec
istes su'sses.
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: G Fetld,
lant et ehe*
’hini. Simon,
DU RAC1NG
— Les bleu
ce matin par
contre l’AIK
du voyage :
Eté, Mroaek,
rehouse, Car-
t.
— La FFG
lain au gym-
:me sélection
onnes resterit
our huit pla
ie, Mlles Por-
et Montaigne
veau « intèr-
n et Priaud,
auront, non
mais encore
es candidates
laces : Mlles
me Barathon,
blés.'
champion de
une lutte sé-
asset, Schlin-
“unes, comme
lonnod tenté-
uvent figurer
aura à ren-
avant d’aller
nième rentrée
atures tenaces,
»r, Peon, Pol-
- A. D.
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MOBILE
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RENDRE SA
— Un seul
ère série du
.int-Ouen-1 ’Au-
toise, match
erny par 1-0.
car l’équipe
Mais, même
is ne pourront
auront, avec
ts, un match
pour pouvoir
s’entrebatttre
Vitesse, démarrages, dédoublements des KIWIS
QUI
GAGNENT EN UNE MI-TEMPS
puis sombrent dans le jeu
individuel des Fronçais
Nouvelle-Zélande bal France
r 11-7 (H-7)
JORDAN et FORREST, ailiers de grande classe
Dans le XIII de France, moins lié qu'à Bordeaux, seul Duffort fut
un équipier. Puig-Aubert ne marqua que "
4 pts... parce qu’on l’a empêché de tirer au but I
Sullivan faisait preuve de sa clairvoyance habituelle lorsque,
après le France-Galles (29-21) du 23 novembre, il nous décla
rait : a Les Français peuvent battre les « Kiwis », si leurs avants
jouent aussi bien à Paris qu’à Bordeaux... »
Or, les avants du XIII de France ayant en grande partie
failli à leur tâche, les « Kiwis » de Nouvelle-Zélande iront pas
eu grand mal à s’assurer en première mi-temps un avantage
(11-7) qu’ils, se contentèrent de maintenir jusqu’à la fin. F’ut-ce
l'effet du hasard, de la fatigue ou d’une conception « économi
que » assez admissible de la part de jeunes garçons qui ne fai-
LES EQUIPES
KIWIS. —- Arr. : W. S. Clarke ;
3/4 : li. Jordan, M. Robertson, R.
Mac Gregor. .1. Forrest ; 1/2 : (o) D.
Barchard, (m) J. Haigh ; av. : K.
Mountford ; C. Mac .Bride, A. Gill-
man ; P. Smith, R. Aynsiey, J.
Newton.
FRANCE. — Anr. : Pnig-Aubert
(Careass.) ; 3/4 : Lespes (Bord.-Bay.),
Maso (Carc.), Cornes (Ferpign.), R.
Sorondo (Bord.-Bay.) ; 1/2 : (o) Cail
lou - (Bord.-B.), On) Duffort (Roanne);
av. : Calixte (Villen.), Brousse (Mar
seille'. Berthomieu (Albi). U I m a
(Ferpign.). Durand (Mars), Béraud
(Marseille)
Jeu sans gaité
P ar [acques CODDET
E
IV acceptant, afin de rentrer
sous le contrôle du UNS,
l’appellation de « Jeu à
XIII », I« rugby du même
\ nombre s’est imposé, sur noire ter-,
ntqtre, de divertir. Et le fonde-
merit de ce « Jeu », fort viril,
étant la, virtuosité, l’idée que Von
j’en fait l’assimile à, la jonglerie,
à une jonglerie imaginative, sou
vent facétieuse.
C’est précisément ce qui a man-
Iquê le plus à dix au moins de nos
XIJI — seuls Cornés, Duffort et le
flegmatique « Pipette » ont cher-
\ché à inventer. Ils diront peut-être :
lü pluie, le terrain lourd, et le ré-
seau de défense des noirs qui em
prisonnait, comme dans un. coup
4e filet raclant toute la largeur
jrfu terrain, les tentatives d'atta
que. »
I Nous disons: maladresse, dans la
Amasse, distendue, imprécise, sans
Uelénte; maladresse, dans la réce p-
'blm, bafouillage dans la manipula
tion, mauvais place ment, faux
temps de course ; maladresse dans
h conception et l’orientation de
\Ioffensive. Le ' jeu à XIII reste
hliez nous trop imprégné des règles
et des principes de son grand frère
J le rugby XV. Les classiques dé
ploiements en chapelet des lignes
Urrière n’ont aucune chance devant
|de* adversaires qui, tous les treize,
scants comme arrières, défendent,
courent et plaquent magistralement.
|Car ce sport qui a consacré la pri-
ona-uté de l’attaque a, du même
(coup, renforcé et transformé l’ac-
tion défensive.
|| 4insi donc suffirait-il d’un bal
lon mouillé pour que Von s’aper
çoive que la transplantation de nos
rugby sous les deux cléments du
1 Midi français limite ses possibili
tés ? .Vallons surtoutpas racon
ter cela aux amis britanniques. Ils
Braient capables de penser vrai-
ment que vous ne sommes pas di-
|| 0 neg de pratiquer ce sport créé
jfout spécialement pour remplir les
i mauvaise» journées de, l’hiver...
(tira suite p. 3, rub. Rugby XIII)
saient que commencer ,.au Parc des Princes une tournée d’un
mois à travers notre pays ? Cela paraît difficile à démêler avec
exactitude et cela irqporte moins que les enseignements qu’il est
possible de tirer d’un match qui, avec deux phases nettement
différentes, apporta la très claire démonstration de ce que DE
VRAIT ETRE le rugby XIII —
et aussi de ce qu’on aimerait
QU’IL NE FUT PAS.
Qualités des Kiwis
Sans nous faire oublier les fameux
« AU Blacks ». ks Kiwis d'aujour
d'hui apportent à la pratique du rug
by qu'ils ont choisi les qualités essen
tielles de leur race •: vigueur, stature,
vitesse d’ensemble — nettement supé
rieure à celle des Français — adresse
et sens du dédoublement.
Pierre ABOUT.
(Lire la suite p. 3, rub. Rugby XIII)
UN POUR TOUS... MAIS, HELAS, PAS TOUS POUR UN...
Cette phase de jeu de la rencontre de rugby XIII « Kiwis »-France (11-7), disputée hier au Parc des
Princes, illustre bien le manque de coordination qui condamna la plupart des mouvements offensifs
français à l’insuccès. Servi par Comtes (n<> 4), notre demi de mêlée, Duffort, après avoir trompé le centre
Robertson (no 9), cherche vers sa droite un partenaire à qui transmettre le ballon. Caillou, le seul
autre Français dans le champ d'action, se trouve trop en retrait et Duffort isolé sera plaqué par
l'arrière « kiwi » W.S. Clarke. De g. à dr. : W . S. Clarke (K), Haigh (K), Robertson (K), Duffort (F),
Caillou (F), Cornes (F), Jorday (K) et Barchard (K).
EN RUGBY A XV, A MARSEILLE
ont déconcerté
les militaires britanniques
arrière
En évidence : audace de l\
André, virtuosité de Dizabo, perçant
de Bordenave, rapidité de Lacaussade
37-7
(De notre envoyé spécial Marcel de LABORDER1E)
FRANCE B. BAT COMBINE!) SERVICES : 37-7 (6-4). — Tempé
rature printanière. Terrain souple: 765.000 fr. pour 8.000 spectateurs.
Arbitrage d’abord sévère puis très large du Montferrandais M. Labrune.
Essais marqués par : André 23'), Laffitte (44 e ), Delerls (46 e ),
Bordenave (50 e et 56 e ), Lacaussade (68 e ), Duthen (75 e ), Duveau (79 e ),
1 but sur coup franc (39 e )et 5 buts de transformation par Behere-
garav. Pour les Britanniques : 1 drop goal par Lumsden (4 e ), 1
essai Burcomb (57 e ).
MARSEILLE. — Victoire de l’enthousiasme sur la placidité, de* la vir
tuosité sur la froide assurance. Triomphe de la jeunesse sur un quinze
chevronné. Tel nous apparaît le match joué par l’équipe de France B
face à la sélection militaire britannique dite des s Combined Services »,
et gagné par les nôtres par un score écrasant.
Un sucèèg aussi éclatant, un match
agrémenté d’une pareille mobilité n’a
pas manqué, on s’en doute, de trans
porter d’enthousiasme les témoins ra
vis et joyeux de la rencontre. Mais, à
travers la victoire de Marseille, cha
sement à croire que la journée est)
fructueuse pour le rugby français.
Au cours de la .première mi-temps,
les Britanniques contenaient tant bien
que mal les tentatives diversês des nô-
PREMIERE A SENSATION
POUR LES MATCHES RETOUR
DU CHAMPIONNAT 4
Stade
roche tarpéienne se nomme
TOULOUSE et SOCHAUX
X f HHHOHttti* tOi
Troisième “e\ent” algérien
llAHOUCINE TENTE VAINEMENT
\de décramponner Pujazon
qui l’emporte nettement dans les derniers 500 m.
(De notre correspondant général Tony ARBONA)
ALGER. — Raphaël Pujazon a gagné très facilement le cross classique
f* l'Echo d’Alger qui obtient un magnifique et complet succès. Cepen-
|4nt la départ fut assez « cafouillé ». Il s'ensuivit bousculades et. irré-
plarités dont Salom (ASPTT Alger) fut la première victime ; il dut
randonner.
1 Pujazon se dégagea après 500 mètres en compagnie de Lahoucine
Pl lui fait le train. A Yusuf les deux internationaux sont seuls côte à
pie. La course se joue au Gouvernement général où le Marocain essaye
| 6 surprendre vainement le champion de France qui sprinte dans les
■Obiers 500 mètres et s'assure une quarantaine de mètres d’avarice ter
minant très frais.
L’Algérien Petitpierre qui a terminé à environ 180 m. du vainqueur, a
confirmé sa qualification déjà acquise
pour le cross de L’Equipe le 25 jan-
-, _ vier. C’est donc son camarade de club,
ÉPRISE A G0TEB0RG OU...
LA VEDETTE
DU RED STAR
Hier, à St-Ouen, Louis Favre
a été avec Pons l’artisan de la
victoire du Red Star aux dé
pens de Sète. Rapide, bon
technicien, excellent dans le
jeu de tête, Favre est le seul
attaquant du Red Star vrai
ment redoutable.
PREMIERE DIVISION
REIMS (t) b.
Nancy, (10) . 2-1
(5-0)
•LILLE (2) b.
RCP (fi) ... 2*1
(4.1)
•Toulouse (12)
h. MARS. (3) 31
(2-3)
•CANNES <1«)
et BOLB. (4) 1-1
(1-3)
•St-ETIEN. (5)
b. Bon n. 03) 10 (3-1)
•STRASB. (7)
b. Alès (15) 9-5
(2-0)
•Soebauv (S) b. STADE (S) 4-(
(2-2)
•MONTI’. (tt)
b. Metz (14) 5-2
(0-1)
•RED ST. (17)
tv. Sète (18) 1-0
(2-1)
T,es derniers
chiffres entre paren-
t.hèses indiquent le résultat du match
aller.
Classement
P** J: G. -N. P.
p. C.
I. REIMS G)
29 18 13 3 2
43 12
2. Lille (2) .
26 18 11 4 3
40 23
3. Rnub. ( 4)
24 18 P fi 3
36 25
1. St-Etien. (5) 24 ts O fi 3
38 29
3. Mars. (3)
23 17 10 3 4
35 2(5
fi. Strasb. (7)
21 18 7 7 4
4P 26
7. RCF (fi) .
20 17 P 2 fi
48 33
S. Sorti. (P)
18 18 7 4 7
3fi 32
P. Stade (8)
18 17 8 2 7
34 35
10. Montp. (11)
16 18 5 6 7
33 35
11. Nancy ( 10 )
tfi 18 3 6 7
32 35
12. Tool. (12)
16 18 7 2 P
28 35
13. Rennes (13) 14 17 3 4 S
21 37
1 1. Metz (14).
13 18 6 1 n
35 46
).■>. Cannes ( 1 4
12 17 3 6 S
20 37
tfi. Alèü (13)
12 18 5 2 11
26 44
17. Red St. 07
) 10 18 4 2 12
18 39
18. Sète 08) .
6 17 3 0 14
25 51
Alors que Reims et Lille Vont échappé belle
Strasbourg, première attaque de France,
invaincu depuis le 12 octobre
La logique voulait que l’on prévoit une victoire de Marseille
sur Toulouse, malgré l’avantage de terrain au profit des Tou
lousains.
Ceux-ci, déjà handicapés par des indisponibilités avaient dû
effectuer le long voyage Nancy-Toulouse, pour « être à l’heure »
au Stade Chapou, tandis que les Marseillais avaient joué et gagné
jeudi chez eux.
Mais la logique est souvent déficiente en football, et Mar
seille fut battu hier sans rémission.
Il lui manquait Bihel certes. Mais l'OM dispose d’un tel nom
bre de « réserves » qu’il parais
sait devoir conserver ses chan
ces.
Marseille, par sa défaite se trouve
eu moine bonne position pour atta
quer ceux qui le précèdent. L’outsi
der n» 1 a émoussé ees outils.
Reims et Lille ont souffert hier.
Le club champenois craint toujours
d’aller jouer à Nancy. Le match
E DUO
DERNE
TYLO et un
TE-MINE
TMAT1QUE
lis présentés
n F.CRIX
Jean LAFlT Ü?
•islennes Réubjtj*
SEGUIN, imP/TÀ'.
:rgère, Paris ,s
trawczyk faiblit
[devant Ochoa...
„,.et n’obtient
que le match nul
notre corr. gén. W. LYBERG)
LOTEBORCt. — Devant 3.000 specta-
8 enthousiaste», le Français Lu-
Krawczyk et le Cubain Ochoa
(ait match nul en dix reprises..
Intimidé au début. Ochoa ne fit pas
U n d cliore et Krawczyk s'assura
îîUags. Puis le noir s'enhardit.
|.. la forcing effréné et combla son
j. îr d. mettant même le Français en
RSpr.
les premiers rounds. Walzack,
Puissant, domina le Belge Han-
Au 5’ round, un gauche au
envoya le Belge au lapis pour
Compte. — W.
I Net vainqueur de Degouve. qui était
|v* S! é quatrième poicU moyen français
L^wcryk n'a pu obtenir que le match
K. devant le Cubain Ochoa, à Goteborg.
L ÿttS la dépêche de notre rorrespon
II*®*" Krawcryk a été en danger dans
I,'* dernières reprises. Voilà qui Ta ras-
|i« r,r ce ux q u î hésitaient à « prendre
Poulain d'Oquinarenne, ma's donne
réfléchir sur les réelles possibilités,
. ■-ùre surestimées, au lendemain de
Metoére de Krawcryk sur Derouve.
O. p.
Lamorida, qui bénéficiera de la se
conde prime de 5.000 francs ; il fit
une excellente course... A s'gnàler qup
PC Taxa, par équipes de cinq, ne
battit que de six points le GS d'Alger.
1. PUJAZON (RCF), les 6 km. en
21’ 22” 2/10; 2. Lahoucine (SC Taxa),
2F 30” ; 3. Arrarh (GC Oran) ; 4.
Petit pie ire (GS Alger), 21' 54”; 5.
Abdelkader (SC Taza) ; fi. Lamonda
(GSA) ; 7. Zinani (SCTl ; S. Yahia
(SCT) ; î). Mechkour (CÂSG) ; 10.
Faussot (GSA), etc... Bocqnet, de
l’ASPTï, est premier junior, et son
club enlevé la Coupe « But-Club ».
Comparaison ?
Il est impossible de comparer le cross
du « Journal d’Alger », couru sur un
hippodrome alourdi par la pluie et la
classique épreuve de « L’Echo d'Al
ger ». très accidentée, à travers les
rues de la ville.
Pet.dpierre et Lamouda qui ont cou
ru les deux épreuves et ont terminé
dans le même ordre se sont, classés :
PETITPIERRE 6 • à 1’ H” de Zato-
pek le il décembre ; ù J0” de Pu
jazon le is décembre,
LA MDU DA 7* à 1’ 41” de Zatopek le
il décembre ; 6 e à 4 i” de Pujazon le
28 décembre.
Celte comparaison, il est vrai, ne
signifie pas grand chose puisque Za-
topek court au train et que Pujazon
se contente le plus souvent de suivre
le plus dangereux de se? adversaires.
Si Zatopek et Pujazon sont opposés
le 23 janvier au cross de « L'EQUI
PE ». ce match sera, à n’en pas dou
ter, le clou de la saison hivernale. —
G. M.
A LA COURNEUVE
Le Hongrois
FEKETE
s'affirmeau"De!aune"
...qui met en évidence
les qualités du junior
Plantard
Pour son 4 e Cross Delaunë, la
FSGT avait remis en activité, hier,
l’hippodrome de la Courneuve dont
le parcours s’est révélé propice aux
grandes épreuves.
On attendait une rentrée victorieuse
de l’international Beaudoin ; il ne fut
jamais dan s la course dominée par
ie jeune. Hongrois Fekete, finaliste des
1.500 mètres des Jeux Universitaires
qui occupe actuellement un poste d’in
génieur à I’aris^ De son allure facile
en dépit du terrain lourd, il meut au
cune peine à distancer Laville, Mont-
ceyron et Le Noay qui l’accompagnè
rent un moment. PlaDtard. un junior
plein d'aisance en dépit d’un mouve
ment de bras trop étriqué, est un su
jet d'avenir.
(Lire la suite p. 2, rub. Cross Count.)
Les Toulousains jouent...
à la marseillaise
devant les Marseillais figés
(De notre envoyé spécial Fernand ALBARET)
TOULOUSE B MARSEILLE : 3-1 (3-0). — Terrain collant. Très
bon arbitrage de M. Fauquemberghe. Recette : 788.487 francs pour
9.853 spectateurs. Buts, Toulouse : Cammarata (8 e ) ; Sbroglia (32');
N. Stnibaldi (38'). Marseille : Bastién (72').
TOULOUSE. — Les supporters toulousains craignaient que leurs
joueurs ne souffrissent dans cette confrontation à « haute'tension » de
la fatigue consécutive à leur déplacement à Nancy. Or, ce furent les
Marseillais qui accusèrent une sérieuse dépression, résultant, affirme leur
entraîneur Zilizzi, de longs et difficiles voyages à Roubaix et à Metz.
Jamais, en effet, l’Olympique ne put jouer sur son rythme habituel,
tandis que les Toulousains, tant en course ' que dans l’utilisation du
ballon, imprimaient à la rencontre une allure maximum. Aussi on eut pu
croire, à voir évoluer les deux équi
pes, que les Toulousains étaient des
COMME IL L'AVAIT ANNONCE
IMS BAT KRAMER
EN QUATRE SETS
pour la première des...
65 rencontres prévues!
(Lire en rubrique Tennis, fe câble
de notre env. spec. per. Robert BRE)
Marseillais, et
Toulousains.
les Marseillais des
louse bénéficia d’un coup franc. Del-
gado, qui le botta, quitta le centre,
rata son coup de pied et orienta le
Submergés «n vitesse mire et indo- ballon sur la droite. Cammarata,
lents dans la lutte d’homme à homme. fl'LV* ^clmnc^’de ^mètres nbattit
les Marseillais tentèrent d’abord ^enta sa î b y nce ,Ff lU rU
d’ « énddi’mir » léurs adversaires par
Liberati à la stupéfacion générale,
d’hier a confirmé que ces craintes
étaient justifiées car c’est par un
tout petit but d’écart qu’il s'est at
tribué, les deux points du match,
malgré les exploits d’un Sinibaldi qui
a confirmé sa belle forme actuelle.
Le RC Paris, nous dit-on, a fait
mieux, beaucoup mieux, que de con
tenir les efforts de Lille, au Stade
Henri Jooris, où la ligne d’attaque
des Nordistes fut une nouvelle fois
assez décevante. La maîtrise accusée
par les Lillois au début de la sai
son, n’est plus actuellement qu’un
souvenir.
Les dirigeants du LOSC donnent
eux aussi des signes d’hésitation.
Preuve en est qu’ils ont fait jouer
hier Sommerlynck arriére central !
Quant au RC Paris, q'ul revenait
de Cannes, il a bien mérité de ses
supporters.
Strasbourg totalise
Vainqueur jeudi de Rennes par
6 buts à 1, Strasbourg qui semble
avoir gros appétit a infligé à Alés
urie cuisante défaite de 9 à 3. Quinze
buts en deux matches, voilà qui
améliore uri goal average.
Mais les trois buts marqués par les
avants cévenols atténuent un peu
l’éclat du succès du onze alsacien.
Il faut cependant retenir que Stras
bourg $e pose en concurrent sérieux
pour Reims, Lille et Roubaix.
Ce dernier éprouva hier la diffi
culté qu’il a de vaincre Cannes
sur-son terrain des Hespérides. Il fal
lut que Antonov, le remplaçant de
Darui, arrête un penalty donné par
Sierra, et que les avants cannois
envoient quelques balles sur les
poteaux de but pour que le CORT
sauve le match nul.
Lucien GÂMBLIN.
un .petit jeu de .passes courtes. La
manœuvre réussit durant les premiè
res minutes! sans mettre toutefois
Ibrir et ses gardes de corps en diffi
culté. Mais à la huitième minute Tou-
Les internationaux suédois
GH ET ENfANUELSON
sont disposés à jouer
au Stade Français !
Ils se refusent à pratiquer
à nouveau à Coeteborg
(De notre corr. gén. Wolf LYBERG) :
STOCKHOLM. — Stnsation dans le
football suédois ■ les internationaux
Oren «t Emanuelsôn de Goéteborg ont
déclaré qu’ils rte voulaient plus jouer
au football en suède.
On estime que le Sto<îe Français a |
de grandes chanees do pouvoir enga
ger les dtux Suédois.
X.D.L.R. __ , Rappelons qu’avec la
fin des motcha aller s’achève la
période de recrutement dC3 joueurs
pour la saison en cours. Le Stade
Français eïtirne qu’il *2* trop tard
pour cett 6 année... ^
(Lire
« A MOI î »
LILLE. — Au stade Henri-Jooris, le gardien
racingman Champion, les mains tendues, se
prépare à recevoir une passe de son arrière central Lamy. On
reconnaît (de g. à dr.) : Champion, Vandooren, Salva, Lamy.
t ion ne uts pour accorder à notre quin- dait comment les nôtres finiraient par
>.i affirmer une domination qui nous ap
paraissait évidente.
Savez-vous, en définitive, qüi fit
pencher la balança en notre faveur
et fit’ basculer la victoire ? C’est
1 arrière André. Bendons-lui justice
avant de tresser des couronnes aux
autres.
C'est André qui. par ses initiatives,
par ses contre-attaques, finit pardon
ner de 'la consistance et une . réelle
autorité à nos divers mouvements of
fensifs. André est à l'origine-, de no
tre domination. Quand le mouvement
îut_ déclenché, les antres furent en
traînés dans l’engrenage. Us avaient
été mi@ en confiance. Attaquant avèq
un séduisant enthousiasme et — com
me il arrive, toujours en pareil, cas
— avec une insolente réjussite, iis se
jouèrent des malheureux Britanni-
qus-s qui ne comprenaient, rien, à leur
mésaventure.
Dès lors on put admirer à loisir 1»
classe et les moyens athlétiques de
Di'zabo. Qu'il était plaisant à voir
quand il trouait 'la défense et,quand
il partait avec rau-tônité d’un vieux
chevronné des stades ! Avec un par
fait sang-froid, il savait encore ser
vir son ailier ou repasser au centre.
Avec lui, réjouissons-nous d’une- vé
ritable îévélation : celle du demi
d’ouverture Bordenave. La veille, à
Ii» France B a bénéficié d»
8 coups francs contre 3 aux Com-
bined Services.
A son avantage : 23 mêlées,
contre 25 aux Anglais.
l’entraînement, le Touionnais ne nom
avait pas plus édifié qu'à Limoges,;
il n’avait pas l’air très à .l’aise) Face
aux Britanniques, il a produit un jeu
d’une Éolidité qui force notre con
fiance.
Témoins du match, Jules Oadénat,
et le vice-président de la FFE. M,
Delbert, de Toulouse, ne tarisssfieiit
pas d’éloges sur ess deux joueurs, et
i'I.s jugeaient Dnzabo et Bordenave
djgns-s. «ans plus tarder, de franchir
l ’éehelon su péri gu r.
(Lire la suite p. 3, en rub. Rugby XV)
ze national numéro 1 toute la frai
cheur qui lui manque et qui, aujour-
I/arrière narbonnais André et le
talonnenr biterrois Duveau rejoue
ront mercredi, à Perpignan, avec
la sélection Languedoc - Roussillon
contre cette même équipe des Com
bined Services.
d'hui, à Mameillê, ruisselait dans tous
les mouvements de notre équipe de
cadets.
On s’en doute, la défaite dee Bri
tanniques n’est, pas saite circonstances
atténuantes. Les absences de l’ailier
Jackson, blessé, et du demi de mêlée
Thomas, remplacés-respectivement par
Douglas et par Gatford, la fatigue af
fichée par le quinze britaunique ar
rive seulement le matin même à Mar
seille après un long voyage, soqt évi
demment des arguments qui nous amè
nent à commenter avec prudence la
facilité de notre triomphe. Mais ce
pendant le style demeure.
Le style ? C’est, celui de quelques-
uns des nôtres qui nous amène préci-
L’an dernier L’EQUIPE
a elass'é les meilleurs spor
tifs dç l’année 1946 dan r
l’ordre suivant :
1. SEPHERIADES (avi
ron), 112 pts sur un total
possible de 120 pts;
2. Jany (natation), 108 pts;
3. Hansenne (athl.), 80 pts;
4. -Cerdan (boxe), 64 pts;
5. Petra (tennis), 52 pts 1/2;
6. Vallerey G.' (nat), 40 pts;
7. Pujazon (cross), 34 p. 1/2
8. Darui (foot.), 31 pts; 9.
Couttet (ski), 26 pts; 10.
Bernard M. (ten). 17 p. 1/2.
Vous connaîtrez jeudi
matin l’évolution de la cote
des champions sur les ba
ses de 1947.
Vous lirez également cette
semaine dans L’EQUIPE :
— L’Irlande elle aussi
cherche en vain des trois-
quarts, par J.-J. Berthier. .
— La Coupe de France
de football, premier danger
pour les « gros »...
— Que peut-on attendre
de la 4* campagne améri
caine de Cerdan, par Geor
ges Peeters.
— Nous voici à un mois
déjà des Jeux Olympiques
d’hiver, par Alex Virot et
Philippe Gaussot.
—■ Le tournoi des Huit
Nations ou l’élite du basket-
ball européen à Nice, par
Louis Lapeyre.
Et toute l’actualité spor
tive de la semaine dans
IMïïDJülà
j i wViii 1
le quotidien sportif
de classe internationale
UE STYLE
C’EST L’HOMME !
MARSEILLE. — Les lignes ar
rières françaises se sont mises
fréquemment en valeur au
cours de la rencontre inter
nationale de rugby XV ;
France B-Combined Services.
On voit ici Dizabo s'élancer
dans un style plein de déci
sion à l’attaque, tandis qüe
Deleris (à sa g.) s'apprête à
recevoir la passe qui lui per
mettra de déborder son. vis-
à-vis. Confiant en ses coéqui
piers, Robert Duthen a déjà
ralenti sa course.
(Belinogramma L'EQUIPE)
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