Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1947-09-13
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 13 septembre 1947 13 septembre 1947
Description : 1947/09/13 (A2,N437)-1947/09/14. 1947/09/13 (A2,N437)-1947/09/14.
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599540m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
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PLOIT DU PRODIGE: JANY 4’35”% AU 400 H.
^4lvérisé
3if 138" 5/10)
SAM. 13, DIM. 14
SEPTEMBRE 1947
13, Fg Montmartre
PARIS (9*)
PROvence 85-21
TAItbouî 54-31
Vente, Abonnements
PRO 37-18 - 37-21
Cte Postal 4.237-93
4îr.
2* ANNEE
N 0 437
Afr. du Nord : 5 fr.
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MPLIN MESSI
SONGEONS
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HONGRIE. EN SERIE. BAT EN 9' 3" 4110
|le record d’Europe du 4x200 m.
CHAMPIONNATS PROFESSIONNELS
ET AMATEURS
PRÉSENTATIONS DES MATCBES
DERNIERS POTINS D’ENTRAINEMENT
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tours duquel JANY nage en 2’ 4” 9/10, record
idial officieux, avant de conquérir son second titre
dy Moreau championne d'Europe de plongeons ou *. m a timé'i?
sans lutte, après trois mois de compétitions
triomphale
j
de Mady Moreau
britannique Romain, admirable vainqueur
ïièjtres brasse. — Georges V allerey peut être
aujourd'hui par Kovdr et Simas en finale
du 100 mètres dos
|un de nos envoyés spéciaux Pierre ABOUT)
■>m - î r
IfO. — On a pleuré aujourd’hui autour du bassin du Beach.
une image. De vraies larmes de joie coulaient sur les visages,
\mx, pâles ou tannés par le soleil. Des hommes jorts trem-
eax lorsqu'il fut évident qu’Alex jany allait piquer dans
lie son palmarès la fleur épanouie du record du monde du
j nage libre. De vieux journalistes blasés avaient peine à suivre
llroffeuse de leur chrono. Ils vivaient une extraordinaire minute,
moments qui marquent
Jraie et de joie pure la vie
:ient les mots de l'arti-
(t les refoulaient tour
|ime les vieux vêtements
l’on aurait honte d’en-
r de fête. Ils réalisaient
je le suppose, que
sent été juste les quali-
ijmts, st la contagion du
les avait usés ' de
L’U. R. S. S. adhère
à la F. I. N. A.
(D’un de nos envoyés spéciaux)
MONACO. — M. Alex Cikin, prési
dent du Comité National de Nata
tion de l'U.R S.S. était arrivé avant-
hier. 24 heures après il demandait
l’affiliation sans condition de sa
Fédération au sein de la FINA,
l'U R S.S. en acceptant purement et
simplement les règlements.
Suivrait l'affiliation de l’U.R S S.
à plusieurs autres fédérations in
ternationales, notamment celle
d’athlétisme.
M. Cikin, personnage ultra-discret,
semble vouloir s’entourer de' mys
tère : il est quasi invisible et,
d’ailleurs, ne parle que le Russe I
lue
bre I
Itotiy est un phénomène !
homme au monde ne dis-
■vyens physiques de cet
de dix-neuf ans ; car
• Américains et Japonais
,au même degré que lui,
hllort de la nage.
l-fany est un super-cham-
Imper-champion, puisque
IMessuj de lui entre le
Y Puisqu’il se permet, le ||
14 quelques heures d’in- Ü
, battre deux records du
nous avait donné
Iteitraticea quant à sa
lutteur. Aujourd’hui, il
comme un grand com-
wdne lorsque, au der-
P 1 ' 4x200, il reprit douze
lÉitro et seize secondes
I 1 ' P«ffB 3,
Nn rubrique Natation)
le texte du
finie envoyé à
JANY
des lecteurs
IKTI77Z21
POUR SPLENDIDE
Mce STOP TOUS
UX POUR PROCHAIN
D U MONDE CENT
T 0P L'EQUIPE.
ou- les notes de
son entraîneur, notre
envoyé • spécial CM A
MONACO. — 6 h. 30. Nous passons.
Hiinkelé et moi, prendre Mady Mo
reau a. l’hôtel Beauséjo.ur, Sur le
satde d’athlétisme Louis II, petit En
traînement habituel t culture physi
que, course â pied, équilibrisme, a
pein-e vingt minutes, en souplesse.
A 7 heures, au stade de la Condami-
ne Mady Moreau saut» sur le trem
plin, glisse, tombe, s’égratigne tout
le dos et fait une chute doulou
reuse dans l’eau. Son moral semble
atteint par cet incident sans consé
quences physiologiques. A ce moment,
Heinkelé me rappelle que. à Berlin,
en 1936. . quelques heures avant le
Championnat. olympique, MarjoT-ie
Geetring a eu un incident semblable,
ce qui ne l’a pas empêché d’enlever
le titre suprême. Sam doute est-ce un
bon signe.
(Lire la suit» page 3,
en rubrique Natation)
LE PLUS GRAND DES TROIS
Entre ses suii'ants
Olsson et Szat-
mary Alex Jany, le visage Jermé, regarde monter le drapeau fran
çais tandis que retentit la Marseillaise. C’était après la finale du
100 mètres. Notre champion paraissait moins ému après le 400 m....
L’habitude...
A MONTLHERY CEUX DU TOUR... ET LES AUTRES A EGALITE
FAGHLEITNER SEUL OU A. ROLAND AU SPRINT
dans
le Championnat de France
' 2 e VERSION ?
DESSERTINE EST BIEN ENTRAINE...
..A changer de maillot.'Le geste est si naturel que demain, s’il
gagne à Montlliéry, il ne lui sera pas difficile de troquer le, maillot
de sa marque contre la casaque tricolore du premier routier français.
Idée, Danguillaume, Thiétard, Teisseire, Carrara
Desscrtine, Bar r et, Vietto, candidats à la
t
succession de Caput, qui ne paraît pas avoir
profité du sursis pour se préparer sérieusement
.■ *
On reprend, demain, à Montlhéry, une partie déjà jouée
il y a un peu plus de deux mois et demi. Trente-deux cartes en
juin ; trente et une seulement en septembre... Celle qui manque
a été confisquée par la Direction du Cercle organisateur, la
quelle s’aperçut un peu tard que son valet de trèfle n’était
pas bon teint... Elle n’a pas été remplacée, nous venons de l’in
diquer. *
A cette exception près, les partenaires sont les mêmes. Plt
le. même est également l’enjeu. Faut-il en conclure que le dé
roulement sera en tous, points semblable ? Non- Pas plus que
deux matches de belotte ne peu
vent se ressembler, deux Cham
pionnats de France sur route
ne peuvent avoir de physiono
mies jumelles.
Surtout lorsque, entre les
deux, a eu lieu cet événement
du cyclisme qu’est le Tour de
France !
FINLANDE - FRANCE : TYPE DU MATCH DESEQUILIBRE DANS LES DETAILS
LES FINNOIS DOIVENT RENOUVELER
leur succès de 1946...
grâce à Storsfcrubb, Peraelae, Gataja
el leurs lanceurs
Victoires françaises assurées sur 100 mètres (Bally)
400 m. (Arifon ou Sigonney), le relais. Possibles :
sur 1.500 m. (Hansenne), Marie (110 h.), Damitio
(hauteur^, Valmy (longueur). — Intéressants
essais préolympiques
La France achève aujourd’hui et demain à Helsinki sa saison Inter
nationale 1947.
Elle connaîtra sur le fameux stade construit en vue des Jeux Olym
piques mort-nés de 1910 sa première défaite de la saison. Car Finlande-
France est le type même du match que nous ne pouvons gagner en rat
ion de la regrettable faiblesse de nos concours athlétiques.
Mais ce match à peu près perdu d’avance a du <îio4ns» le mérite de
servir utilement la cause de nos athlètes. La Finlande est, en effet, la
nation sportive par excellence ; il
Le programme des deux
journées
AUJOURD’HUI 17 h. s 100 m.,
javelot, hauteur,' longueur, 1.500 m.,
poids et 5.000 ni.
A L’ISSUE DE CETTE PUE.
MIERE JOURNEE, LA FINLANDE
DEVRAIT NOUS MENER PAR
UNE DIZAINE DE POINTS (CLAS
SEMENT : 5, 3, 2, 1, ET 3 ET 1
POUR LE RELAIS).
Epreuves nationales : 3.000 m.
steeple, 200 m. et 4x100 m.
DEMAIN 14 h. : 110 h., perche,
disque, 800 m.. 400 ni. et 1 + 2
+3 + 4.
Epreuves nationales : 10 km., mar
teau, triple saut.
NOTE. Quand 11 est midi à Paris
il est onze heures du malin à Hel
sinki.
L'influence du « Tour »
On n’a pas manqué de souligner
Ici, aussi bien avant le Tour que
depuis l’arrivée de celui-ci, à quel
point la présence de la « grande bou
cle » au calendrier avait ou allait
influer sur le résultat de la compé
tition nationale officielle. Avant ?
Parce que. trois Jours plus tard, de
vait être donné le départ du Tour...
Les futurs « géants de la route »
se souciaient fort peu de compromet
tre, en quelques heures, leurs chan
ces dans une course «le 25 Jours.
Ils préféraient abandonner à la pre
mière défaillance ou au moindre In
cident matériel. Après ?
Les qualifiés...
1. L. Caput, champion 10-46 ; 2. E.
Idée (Paris) : 3. E. Fachleilner (Aix-
en-Prov.) ■; 4. K. Piot (Paris) ; 5. M.
Huguet (Toulouse) 4 fi. L. B o b e t
(Rennes) ; 7. R. Chupln (Paris) ; 8.
L. Thléiard (Paris) ; 9. E. Carrara
(Paris) ; K». H. Aubry (Paris) ; 11.
U. Vietto (Cannes) ; 12. A. Le Strat
(Quimper) ; 13. U. Caffi (Paris) ; il.
Cl Danguillaume (Tours) ; 15. A. De-
vreese (Arras) ; 1(i. L. Teisseire (Ga
gnes) ; 17. K. Lévêque (Tours) 18.
A. Lazaridèg (Cannes); 1». K. Barret
(Paris) ; 20. V. Pernac (Marseille)- ;
21. H. Massai (Béziers) ; 22. J. Bes-
seriine (Roanne)-; 23. L. Lauk (Pa
rts) ; 24. E. Muller (Paris) ; 25. J.
de Gribaldy (Valentignev) ; 2(1. R.
Bonnavenlnre (Paris) 27. A. Malié
(Quimper) ; *28. A. tîolland (Ville-
franche) ; 29. L. Bepre/. (Arras) ;
30. J. Nerl (Clermont-Fd) ; 31. E.
Macé (Nantes).
ordre à ce propos. Sportivement par*
lant, 11 en est autrement. A quoi
s’en prendre, slnoh à un mode de
qualification aboutissant à un nom-
^ re beaucoup trop restreint de con-
l . J q ;’V“ carrent* ? Notre thèse est. rappe-
®T ™ uiï 4 ' 50 ° km ’ -u 6 lons-le. qu’un Championnat de
plus Mans les mollets ; parce qu’ils ... , * *., , . ,
^ u. 4 France coït revêtir sensiblement le
ont accumule les nuits en chemin même caractère qu - une d9
1 « Tt ont monnayé cour96 sur route ... Qr . avec 32 par-
sur toutes les pistes de France le K
prestige acquis de fin juin à fin
juillet Quelques-uns d’entre eux ont éliminations pré ii mln aires trop sé-
peut-être eu la sagesse de ralentir è ainsi que la preuve vient d en
le rythme des déplacements et de être fa j£ e
tants, on ne peut reconstituer c»
caractère. De plus, on s’expose à. c.es
s’astreindre à une demi-préparation.
Ils sont, à coup sûr, une faible mi
norité et les seuls hommes qui au
ront vraiment pris le Championnat
au sérieux seront les non-sélection
nés du Tour, ou ceux qui durent
lâcher crise après quelques étapes.
L'absent
Aussi le Championnat, 2* version,
se présente-t-H d’une façon assez
quelconque. Cette impression est
renforcée par le fait évidemment,
malheureux que Jean Robic. vain
queur du Tour de France, ne fi
gure pas parmi les participants à
la ressucée de Montlhéry. Il ne
s’étalt pas qualifié et c’est une réa
lité contre laquelle on ne peut rien.'
Procéder à un. ou plusieurs repê
chages n'eut pas été équitable. Ré
glementairement. tout est donc en
Claude TILLET.
(Lire la suite p. 2, en rub. Cyclisme)’
se 11 pourraie nt, ’ (
un classemeD 1
;r du concours ^
re ch a rnis ut s ^
nette Aubert; -
égularite de t r
tudié. Selon 0
bon ou d"
peut être ch j)
ru? pas même
èr p s Souhait. ,
est bon que l’on connaisse l’am
biance si spéciale de ce grand petit
pays, même si les misères de la
- à 50 ans
rans et franchissait,
1 m. 65 en hauteur I
Tel est le pays c aux cent mille
ui sous l'emP-
iume au Ch*'
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taquer àv
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e. n’cst-ce P a ‘ (
ist-ce que If, «rii*
quer. attaQU« r nÇt i
ment, à la 1
... en battant
P'HUl, A BRUXELLES. MATCH INTERNATIONAL PREMATURE
JEUNES ESPOIRS DU BASKET-BALL
épreuve contre les Belges favoris
p n os joueuses doivent nettement l'emporter
Jn de nos envoyés spéciaux Louis LAPEYRE)
guerre ont sensiblement atténué * a Çs ». qui réussit, grâce à 1 athlé-
l’tntérêt que tous les Finnois, du tisme et au ski, à Juguler au début
plus petit jusqu’au plus grand. de ce siècle les profonds ravages
prennent au sport et plus particu- Q u ’y faisait l'alcoolisme,
lièrement à l’athlétisme dont Ils Enfin, le climat égal et deux en
sont imprégnés. *té. la qualité des pistes, l’heure
J’ai vu, en 1933, quatre ministres des cômpétitlons. la valeur aussi
en grande conversation. "Politique V des opposants permettront, sans
Non. Ils dissertaient sur le style du doute, à quelques-uns de nos meil-
lanceur de marteau Porhola : « S’il leurs athlètes de réussir d’excel-
réussissait à tourner une troisième lentes performances.
fois, il atteindrait 60 mètres », di
sait l’un d’eux. Le lendemain du
match, le ministre de l’Intérieur
gagnait le Championnat des vété-
,«r
(+Fs
UÇ ' Octobre 1945 à Bruxelles, mars 1947 à Paris, mai
Mtàip ?S dates qui ont marqué sérieusement le basket belge.
. "t tin à un longue série de défaites enregistrées, depuis
etlu| l>e d e France>
Inp* n ' ar q ,l èrent aussi le basket français puisque celui-ci
r une époque ou sa supériorité fut nette et implacable.
.l?' 1 * 0 * olunSement de situation était dû pour beaucoup
rai
2tersen,
que l’an
rno'l
P 3 *
èui |ft, s atTO,T U,lis par les basketteurs d’outre-Qutévraln.
a >t, en fait: une excuse à ces défaites Inattendues, n’a
amour-propre de
riait
nos envoyé* ^
70. — J’étais
pression que
au Champ
m' 8 ' 1
al,
ior, vai l
en 1946. Elle a f
..'''“"c gr*Z
geons libres ^
xécutait sans e g .
t, mais avec 1 à ‘
;t ses entrée®
premier ordre- „i
des ChamP, pf
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Æ au contraire,
tre Q ^ ndre - au c °urs
fbu sera jouée ce
^ lv ’ Bruxellois, â
6 d ° m!n ée par l’es-
mui animera no»
Del
ftton
Del
Vti^ ! ’ aujourd’hui.
pC”*
Ainsi, les Jeunes « coqs » en stage
à Joinville ont-ils bénéficié de leur,
préparation dirigée.
Quelle sera leur tenue dans le
« grahd bain » ?...
Ce sera’ l’élément intéressant de
ce premier match International. ca r
Il aura son Influence sur la suite
de sélection- de la salson -
to ’ate
corporé
à son.
n ’ a Pas hésité
ses fesponsahl-
beaucoup
oefficients,
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saison
■ri tl °n ! ïr i ( ble ’ de con ‘
lutte ri JOUeurs ayant
^ Semai 6 ® stades de-
S nes ' H a agi
essioS. rense lfih»-
Succès des joueurs belçes
Peut-on envisager un succès des
nôtres ?... Certes, nous pouvons for
muler cet espoir, mais nous gardons
en mémoire l’excellente prestation
des Belges lors de ses dernières sor
ties Internationales.
(Lire la suite paga 2, B
en rubrique Basket)
OUVERTURE SANS DOUTE PREMATUREE
PEU DE CLUBS ONT PRIS AU SERIEUX
la première journée
du Championnat à XIII
Vraiment, c l’ouverture » des Xl 1 1 ne s'annonce pas sous les meilleurs
auspices. „ £
A une époque 0(1 les Joueurs à R ein e reprendre l’entrainement,
on les invite à renouer avec le cnamp onnat. La Ligue prétend que la saison
devra êtrs close fin avril pour P® r "? eitre ,e départ du XIII de France vers
['Australie et l’Amérique du
Nord
Mais déjà Toulouse Olympique —
tst bien près de sombrer — a déclare
forfait contre Carcassonne et l’°o P eU ‘
croire qu’à cette époque le Cham
pionnat aura difficilement fau co, ‘*
naître son verdict. .
En est même un peu ahuri de son
ger qu'aucune équipe n’a P ris
rôle au sérieux et que la régular
de cette première journée ec ra s jj'
jette à caution. Les XIII en so
encore à la période des tâtonnem nts,
les transferts ne sont pas term Ff®
et les sergentsrêorutenrs eont i o *u
d’avoir fini leur travail.
CHAMPIONNAT DE FRANCE
• j CATALAN c Marseille
4U.1 c Paris
c. BORDEAUX
• i t ÎL AX . NK c ■ Gavalllon
.UN K c. Villeneuve
c. Avignon
Qu’importe •
Championnat !
pour
en place
Louis FERDINAND.
* Lir ® ‘bits p. 3, rub. Rugby Xlll)
Essais...
M. René Mourlon. avant son dé
part, avait précisé que / la certitude
qu’il avait du résultat l’inciterait A
tenter quelques expériences avant
les Jeux de Londres
C'est ainsi qu’Arlfon aura l’occa
sion d’approcher les 48” au contact
de Storskrubb et de Sigonney. Mais
ceci n’est pas une expérience car
Arifon aurait été champion de
France sans un certain 4x400 m
« à la mort », le 2 août veille de
la finale, *
Gaston MEYER.
(Lins la suite p. 3, rub. Athlétisme)
Huit nations
à Berlin
aux“
»
Avec Kleyn
Holst-Soerensen, Barthel
Zatopek et les Américains
{Lire en rubrique Athlétisme
l’article de notre envoyé spéc.
Paul DUPONT )
. SUR LE CIRCUIT DES LOGES
Des records vieux de 21 uns
SONT A BATTRE AU BOL D'OR
Cet après-midi, à 15 heures, départ des 24 heures des
motos et dimanche, à 17 heures, celui des voitures
Il y a plus de 21 ans — c’était à la Pentecôte 1926 — Robert Sénéchal qui
venait de gagner le Bol d'Or automobile pour la seconde fois et de battre le
record de l'épreuve, ayant parcuuru, dans les 24 heures, 1.940 km 655, soit à
la fnoyenne, remarquable pour l'époque, de 80 km. 860, était retiré dé sa
voiture complètement épuisé.
La veille, le brillant et athlétique 1938. et. le troisième en 1936. sur le
coureur motocycliste René Francisquet j circuit de ls^,Ville. à Saint-Germain
rièvmi
avait remporté Bol d’Or des . deux
roues » et battu le record, ayant
totalisé 1.627 km. 084, moyenne
67 km. 795.
C’était la dernière année que le
Circuit des Ixvges, eitué en forêt de
Saint-Germain, devait être utilisé.
Pag la suite l’épreuve chère à Eugène
Mauve devait connaître des fortunes
diverses. En 1927 elle fut disputée en
forêt de Fontainebleau ; puis le Bol
d'Or revint à Saint Germain-en-Laye
sur le circuit dit. de la Ville, de 1928
à 1936: et enfin, de 1937 à .la eruerre,
il se déroula à l’autodrome de Mont-
lbéry.
Etant donné tous ces changements
de parcours, il n'eet pas possible de
tenir compte des différents records
Donc, logiquement, ceux qui sont à
battre sont ceux qui ont été établis
en 1926 pa r Sénéchal et Francisquet
sur le circuit des Toges. A 21 ans
d’écart ils seront certainement bat
tus. ou alors ce serait à désespérer
de« hommes et des mécaniques d'au
jourd'hui.
Mais nous devons rappeler malgré
tout que le record général du Bol
d’Or — sans souci du circuit — ap
partient pour les voiturt-s à Amédée
Gordini. sur Simca-Huti. avec 2.456
km. 324, moyenne 102 km. 346; pour
les sidecars à Tinoco. sur Harley Da
vidson, avec, 2.004 km. 823. moyenne
63 km. 534 e t pour leg motos à Craet,
sur Gillet Herstal, avec 2.068 km, 995.
moyenne 86 km. 207. Lee deux pre
mier a lurent établis â MontUiérj en
Voilà, brièvement résumé, l’iiietori
oue du Bol d’Or.
Maurice HENRY.
(Lire la suite page 2. en rubrique
Automobile et Moto)
SEPHERIADES
contre tous
DANS LE
77 e Championnat
de la Seine !...
Les vainqueurs de Lucerne
seront présents à Asnières
S’il est vrai qu’une hirondelle n*
fait pas le printemps, il n'en est pas
moins vrai qu’un champion cornm»
Jean Sepheriadès est un astre qui
attire dans son orbe de nombreux
satellites. L’on ne saurait expliquer
autrement l'engouement subit et sans
précédent . qu’a manifesté l'élite de*
ecullers européen*? en venant dispu
ter ee» 77' Championnats de la Seine.
L'aviron français a ocries retrouvé
un peu de son prestige.
Cette revanche du Rootsee ne sera
pas le seul attrait de cette mémora
ble journée car la course en dotihle-
sculls, largement internationale, elle
aussi, pourrait à elle seule const'tuer
le clou du programme avec la partici
pation des récent.» champions d'Euro
pe, le« deux Hollandais de Wi
lhelm III.
KORBENDAU,
Henry
(Lire la suite P
3. en rub. Aviron)
LA MARQUE
QUi MON TE
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SEPTEMBRE 1947
13, Fg Montmartre
PARIS (9*)
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tours duquel JANY nage en 2’ 4” 9/10, record
idial officieux, avant de conquérir son second titre
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sans lutte, après trois mois de compétitions
triomphale
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de Mady Moreau
britannique Romain, admirable vainqueur
ïièjtres brasse. — Georges V allerey peut être
aujourd'hui par Kovdr et Simas en finale
du 100 mètres dos
|un de nos envoyés spéciaux Pierre ABOUT)
■>m - î r
IfO. — On a pleuré aujourd’hui autour du bassin du Beach.
une image. De vraies larmes de joie coulaient sur les visages,
\mx, pâles ou tannés par le soleil. Des hommes jorts trem-
eax lorsqu'il fut évident qu’Alex jany allait piquer dans
lie son palmarès la fleur épanouie du record du monde du
j nage libre. De vieux journalistes blasés avaient peine à suivre
llroffeuse de leur chrono. Ils vivaient une extraordinaire minute,
moments qui marquent
Jraie et de joie pure la vie
:ient les mots de l'arti-
(t les refoulaient tour
|ime les vieux vêtements
l’on aurait honte d’en-
r de fête. Ils réalisaient
je le suppose, que
sent été juste les quali-
ijmts, st la contagion du
les avait usés ' de
L’U. R. S. S. adhère
à la F. I. N. A.
(D’un de nos envoyés spéciaux)
MONACO. — M. Alex Cikin, prési
dent du Comité National de Nata
tion de l'U.R S.S. était arrivé avant-
hier. 24 heures après il demandait
l’affiliation sans condition de sa
Fédération au sein de la FINA,
l'U R S.S. en acceptant purement et
simplement les règlements.
Suivrait l'affiliation de l’U.R S S.
à plusieurs autres fédérations in
ternationales, notamment celle
d’athlétisme.
M. Cikin, personnage ultra-discret,
semble vouloir s’entourer de' mys
tère : il est quasi invisible et,
d’ailleurs, ne parle que le Russe I
lue
bre I
Itotiy est un phénomène !
homme au monde ne dis-
■vyens physiques de cet
de dix-neuf ans ; car
• Américains et Japonais
,au même degré que lui,
hllort de la nage.
l-fany est un super-cham-
Imper-champion, puisque
IMessuj de lui entre le
Y Puisqu’il se permet, le ||
14 quelques heures d’in- Ü
, battre deux records du
nous avait donné
Iteitraticea quant à sa
lutteur. Aujourd’hui, il
comme un grand com-
wdne lorsque, au der-
P 1 ' 4x200, il reprit douze
lÉitro et seize secondes
I 1 ' P«ffB 3,
Nn rubrique Natation)
le texte du
finie envoyé à
JANY
des lecteurs
IKTI77Z21
POUR SPLENDIDE
Mce STOP TOUS
UX POUR PROCHAIN
D U MONDE CENT
T 0P L'EQUIPE.
ou- les notes de
son entraîneur, notre
envoyé • spécial CM A
MONACO. — 6 h. 30. Nous passons.
Hiinkelé et moi, prendre Mady Mo
reau a. l’hôtel Beauséjo.ur, Sur le
satde d’athlétisme Louis II, petit En
traînement habituel t culture physi
que, course â pied, équilibrisme, a
pein-e vingt minutes, en souplesse.
A 7 heures, au stade de la Condami-
ne Mady Moreau saut» sur le trem
plin, glisse, tombe, s’égratigne tout
le dos et fait une chute doulou
reuse dans l’eau. Son moral semble
atteint par cet incident sans consé
quences physiologiques. A ce moment,
Heinkelé me rappelle que. à Berlin,
en 1936. . quelques heures avant le
Championnat. olympique, MarjoT-ie
Geetring a eu un incident semblable,
ce qui ne l’a pas empêché d’enlever
le titre suprême. Sam doute est-ce un
bon signe.
(Lire la suit» page 3,
en rubrique Natation)
LE PLUS GRAND DES TROIS
Entre ses suii'ants
Olsson et Szat-
mary Alex Jany, le visage Jermé, regarde monter le drapeau fran
çais tandis que retentit la Marseillaise. C’était après la finale du
100 mètres. Notre champion paraissait moins ému après le 400 m....
L’habitude...
A MONTLHERY CEUX DU TOUR... ET LES AUTRES A EGALITE
FAGHLEITNER SEUL OU A. ROLAND AU SPRINT
dans
le Championnat de France
' 2 e VERSION ?
DESSERTINE EST BIEN ENTRAINE...
..A changer de maillot.'Le geste est si naturel que demain, s’il
gagne à Montlliéry, il ne lui sera pas difficile de troquer le, maillot
de sa marque contre la casaque tricolore du premier routier français.
Idée, Danguillaume, Thiétard, Teisseire, Carrara
Desscrtine, Bar r et, Vietto, candidats à la
t
succession de Caput, qui ne paraît pas avoir
profité du sursis pour se préparer sérieusement
.■ *
On reprend, demain, à Montlhéry, une partie déjà jouée
il y a un peu plus de deux mois et demi. Trente-deux cartes en
juin ; trente et une seulement en septembre... Celle qui manque
a été confisquée par la Direction du Cercle organisateur, la
quelle s’aperçut un peu tard que son valet de trèfle n’était
pas bon teint... Elle n’a pas été remplacée, nous venons de l’in
diquer. *
A cette exception près, les partenaires sont les mêmes. Plt
le. même est également l’enjeu. Faut-il en conclure que le dé
roulement sera en tous, points semblable ? Non- Pas plus que
deux matches de belotte ne peu
vent se ressembler, deux Cham
pionnats de France sur route
ne peuvent avoir de physiono
mies jumelles.
Surtout lorsque, entre les
deux, a eu lieu cet événement
du cyclisme qu’est le Tour de
France !
FINLANDE - FRANCE : TYPE DU MATCH DESEQUILIBRE DANS LES DETAILS
LES FINNOIS DOIVENT RENOUVELER
leur succès de 1946...
grâce à Storsfcrubb, Peraelae, Gataja
el leurs lanceurs
Victoires françaises assurées sur 100 mètres (Bally)
400 m. (Arifon ou Sigonney), le relais. Possibles :
sur 1.500 m. (Hansenne), Marie (110 h.), Damitio
(hauteur^, Valmy (longueur). — Intéressants
essais préolympiques
La France achève aujourd’hui et demain à Helsinki sa saison Inter
nationale 1947.
Elle connaîtra sur le fameux stade construit en vue des Jeux Olym
piques mort-nés de 1910 sa première défaite de la saison. Car Finlande-
France est le type même du match que nous ne pouvons gagner en rat
ion de la regrettable faiblesse de nos concours athlétiques.
Mais ce match à peu près perdu d’avance a du <îio4ns» le mérite de
servir utilement la cause de nos athlètes. La Finlande est, en effet, la
nation sportive par excellence ; il
Le programme des deux
journées
AUJOURD’HUI 17 h. s 100 m.,
javelot, hauteur,' longueur, 1.500 m.,
poids et 5.000 ni.
A L’ISSUE DE CETTE PUE.
MIERE JOURNEE, LA FINLANDE
DEVRAIT NOUS MENER PAR
UNE DIZAINE DE POINTS (CLAS
SEMENT : 5, 3, 2, 1, ET 3 ET 1
POUR LE RELAIS).
Epreuves nationales : 3.000 m.
steeple, 200 m. et 4x100 m.
DEMAIN 14 h. : 110 h., perche,
disque, 800 m.. 400 ni. et 1 + 2
+3 + 4.
Epreuves nationales : 10 km., mar
teau, triple saut.
NOTE. Quand 11 est midi à Paris
il est onze heures du malin à Hel
sinki.
L'influence du « Tour »
On n’a pas manqué de souligner
Ici, aussi bien avant le Tour que
depuis l’arrivée de celui-ci, à quel
point la présence de la « grande bou
cle » au calendrier avait ou allait
influer sur le résultat de la compé
tition nationale officielle. Avant ?
Parce que. trois Jours plus tard, de
vait être donné le départ du Tour...
Les futurs « géants de la route »
se souciaient fort peu de compromet
tre, en quelques heures, leurs chan
ces dans une course «le 25 Jours.
Ils préféraient abandonner à la pre
mière défaillance ou au moindre In
cident matériel. Après ?
Les qualifiés...
1. L. Caput, champion 10-46 ; 2. E.
Idée (Paris) : 3. E. Fachleilner (Aix-
en-Prov.) ■; 4. K. Piot (Paris) ; 5. M.
Huguet (Toulouse) 4 fi. L. B o b e t
(Rennes) ; 7. R. Chupln (Paris) ; 8.
L. Thléiard (Paris) ; 9. E. Carrara
(Paris) ; K». H. Aubry (Paris) ; 11.
U. Vietto (Cannes) ; 12. A. Le Strat
(Quimper) ; 13. U. Caffi (Paris) ; il.
Cl Danguillaume (Tours) ; 15. A. De-
vreese (Arras) ; 1(i. L. Teisseire (Ga
gnes) ; 17. K. Lévêque (Tours) 18.
A. Lazaridèg (Cannes); 1». K. Barret
(Paris) ; 20. V. Pernac (Marseille)- ;
21. H. Massai (Béziers) ; 22. J. Bes-
seriine (Roanne)-; 23. L. Lauk (Pa
rts) ; 24. E. Muller (Paris) ; 25. J.
de Gribaldy (Valentignev) ; 2(1. R.
Bonnavenlnre (Paris) 27. A. Malié
(Quimper) ; *28. A. tîolland (Ville-
franche) ; 29. L. Bepre/. (Arras) ;
30. J. Nerl (Clermont-Fd) ; 31. E.
Macé (Nantes).
ordre à ce propos. Sportivement par*
lant, 11 en est autrement. A quoi
s’en prendre, slnoh à un mode de
qualification aboutissant à un nom-
^ re beaucoup trop restreint de con-
l . J q ;’V“ carrent* ? Notre thèse est. rappe-
®T ™ uiï 4 ' 50 ° km ’ -u 6 lons-le. qu’un Championnat de
plus Mans les mollets ; parce qu’ils ... , * *., , . ,
^ u. 4 France coït revêtir sensiblement le
ont accumule les nuits en chemin même caractère qu - une d9
1 « Tt ont monnayé cour96 sur route ... Qr . avec 32 par-
sur toutes les pistes de France le K
prestige acquis de fin juin à fin
juillet Quelques-uns d’entre eux ont éliminations pré ii mln aires trop sé-
peut-être eu la sagesse de ralentir è ainsi que la preuve vient d en
le rythme des déplacements et de être fa j£ e
tants, on ne peut reconstituer c»
caractère. De plus, on s’expose à. c.es
s’astreindre à une demi-préparation.
Ils sont, à coup sûr, une faible mi
norité et les seuls hommes qui au
ront vraiment pris le Championnat
au sérieux seront les non-sélection
nés du Tour, ou ceux qui durent
lâcher crise après quelques étapes.
L'absent
Aussi le Championnat, 2* version,
se présente-t-H d’une façon assez
quelconque. Cette impression est
renforcée par le fait évidemment,
malheureux que Jean Robic. vain
queur du Tour de France, ne fi
gure pas parmi les participants à
la ressucée de Montlhéry. Il ne
s’étalt pas qualifié et c’est une réa
lité contre laquelle on ne peut rien.'
Procéder à un. ou plusieurs repê
chages n'eut pas été équitable. Ré
glementairement. tout est donc en
Claude TILLET.
(Lire la suite p. 2, en rub. Cyclisme)’
se 11 pourraie nt, ’ (
un classemeD 1
;r du concours ^
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quer. attaQU« r nÇt i
ment, à la 1
... en battant
P'HUl, A BRUXELLES. MATCH INTERNATIONAL PREMATURE
JEUNES ESPOIRS DU BASKET-BALL
épreuve contre les Belges favoris
p n os joueuses doivent nettement l'emporter
Jn de nos envoyés spéciaux Louis LAPEYRE)
guerre ont sensiblement atténué * a Çs ». qui réussit, grâce à 1 athlé-
l’tntérêt que tous les Finnois, du tisme et au ski, à Juguler au début
plus petit jusqu’au plus grand. de ce siècle les profonds ravages
prennent au sport et plus particu- Q u ’y faisait l'alcoolisme,
lièrement à l’athlétisme dont Ils Enfin, le climat égal et deux en
sont imprégnés. *té. la qualité des pistes, l’heure
J’ai vu, en 1933, quatre ministres des cômpétitlons. la valeur aussi
en grande conversation. "Politique V des opposants permettront, sans
Non. Ils dissertaient sur le style du doute, à quelques-uns de nos meil-
lanceur de marteau Porhola : « S’il leurs athlètes de réussir d’excel-
réussissait à tourner une troisième lentes performances.
fois, il atteindrait 60 mètres », di
sait l’un d’eux. Le lendemain du
match, le ministre de l’Intérieur
gagnait le Championnat des vété-
,«r
(+Fs
UÇ ' Octobre 1945 à Bruxelles, mars 1947 à Paris, mai
Mtàip ?S dates qui ont marqué sérieusement le basket belge.
. "t tin à un longue série de défaites enregistrées, depuis
etlu| l>e d e France>
Inp* n ' ar q ,l èrent aussi le basket français puisque celui-ci
r une époque ou sa supériorité fut nette et implacable.
.l?' 1 * 0 * olunSement de situation était dû pour beaucoup
rai
2tersen,
que l’an
rno'l
P 3 *
èui |ft, s atTO,T U,lis par les basketteurs d’outre-Qutévraln.
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amour-propre de
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ce premier match International. ca r
Il aura son Influence sur la suite
de sélection- de la salson -
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Succès des joueurs belçes
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nôtres ?... Certes, nous pouvons for
muler cet espoir, mais nous gardons
en mémoire l’excellente prestation
des Belges lors de ses dernières sor
ties Internationales.
(Lire la suite paga 2, B
en rubrique Basket)
OUVERTURE SANS DOUTE PREMATUREE
PEU DE CLUBS ONT PRIS AU SERIEUX
la première journée
du Championnat à XIII
Vraiment, c l’ouverture » des Xl 1 1 ne s'annonce pas sous les meilleurs
auspices. „ £
A une époque 0(1 les Joueurs à R ein e reprendre l’entrainement,
on les invite à renouer avec le cnamp onnat. La Ligue prétend que la saison
devra êtrs close fin avril pour P® r "? eitre ,e départ du XIII de France vers
['Australie et l’Amérique du
Nord
Mais déjà Toulouse Olympique —
tst bien près de sombrer — a déclare
forfait contre Carcassonne et l’°o P eU ‘
croire qu’à cette époque le Cham
pionnat aura difficilement fau co, ‘*
naître son verdict. .
En est même un peu ahuri de son
ger qu'aucune équipe n’a P ris
rôle au sérieux et que la régular
de cette première journée ec ra s jj'
jette à caution. Les XIII en so
encore à la période des tâtonnem nts,
les transferts ne sont pas term Ff®
et les sergentsrêorutenrs eont i o *u
d’avoir fini leur travail.
CHAMPIONNAT DE FRANCE
• j CATALAN c Marseille
4U.1 c Paris
c. BORDEAUX
• i t ÎL AX . NK c ■ Gavalllon
.UN K c. Villeneuve
c. Avignon
Qu’importe •
Championnat !
pour
en place
Louis FERDINAND.
* Lir ® ‘bits p. 3, rub. Rugby Xlll)
Essais...
M. René Mourlon. avant son dé
part, avait précisé que / la certitude
qu’il avait du résultat l’inciterait A
tenter quelques expériences avant
les Jeux de Londres
C'est ainsi qu’Arlfon aura l’occa
sion d’approcher les 48” au contact
de Storskrubb et de Sigonney. Mais
ceci n’est pas une expérience car
Arifon aurait été champion de
France sans un certain 4x400 m
« à la mort », le 2 août veille de
la finale, *
Gaston MEYER.
(Lins la suite p. 3, rub. Athlétisme)
Huit nations
à Berlin
aux“
»
Avec Kleyn
Holst-Soerensen, Barthel
Zatopek et les Américains
{Lire en rubrique Athlétisme
l’article de notre envoyé spéc.
Paul DUPONT )
. SUR LE CIRCUIT DES LOGES
Des records vieux de 21 uns
SONT A BATTRE AU BOL D'OR
Cet après-midi, à 15 heures, départ des 24 heures des
motos et dimanche, à 17 heures, celui des voitures
Il y a plus de 21 ans — c’était à la Pentecôte 1926 — Robert Sénéchal qui
venait de gagner le Bol d'Or automobile pour la seconde fois et de battre le
record de l'épreuve, ayant parcuuru, dans les 24 heures, 1.940 km 655, soit à
la fnoyenne, remarquable pour l'époque, de 80 km. 860, était retiré dé sa
voiture complètement épuisé.
La veille, le brillant et athlétique 1938. et. le troisième en 1936. sur le
coureur motocycliste René Francisquet j circuit de ls^,Ville. à Saint-Germain
rièvmi
avait remporté Bol d’Or des . deux
roues » et battu le record, ayant
totalisé 1.627 km. 084, moyenne
67 km. 795.
C’était la dernière année que le
Circuit des Ixvges, eitué en forêt de
Saint-Germain, devait être utilisé.
Pag la suite l’épreuve chère à Eugène
Mauve devait connaître des fortunes
diverses. En 1927 elle fut disputée en
forêt de Fontainebleau ; puis le Bol
d'Or revint à Saint Germain-en-Laye
sur le circuit dit. de la Ville, de 1928
à 1936: et enfin, de 1937 à .la eruerre,
il se déroula à l’autodrome de Mont-
lbéry.
Etant donné tous ces changements
de parcours, il n'eet pas possible de
tenir compte des différents records
Donc, logiquement, ceux qui sont à
battre sont ceux qui ont été établis
en 1926 pa r Sénéchal et Francisquet
sur le circuit des Toges. A 21 ans
d’écart ils seront certainement bat
tus. ou alors ce serait à désespérer
de« hommes et des mécaniques d'au
jourd'hui.
Mais nous devons rappeler malgré
tout que le record général du Bol
d’Or — sans souci du circuit — ap
partient pour les voiturt-s à Amédée
Gordini. sur Simca-Huti. avec 2.456
km. 324, moyenne 102 km. 346; pour
les sidecars à Tinoco. sur Harley Da
vidson, avec, 2.004 km. 823. moyenne
63 km. 534 e t pour leg motos à Craet,
sur Gillet Herstal, avec 2.068 km, 995.
moyenne 86 km. 207. Lee deux pre
mier a lurent établis â MontUiérj en
Voilà, brièvement résumé, l’iiietori
oue du Bol d’Or.
Maurice HENRY.
(Lire la suite page 2. en rubrique
Automobile et Moto)
SEPHERIADES
contre tous
DANS LE
77 e Championnat
de la Seine !...
Les vainqueurs de Lucerne
seront présents à Asnières
S’il est vrai qu’une hirondelle n*
fait pas le printemps, il n'en est pas
moins vrai qu’un champion cornm»
Jean Sepheriadès est un astre qui
attire dans son orbe de nombreux
satellites. L’on ne saurait expliquer
autrement l'engouement subit et sans
précédent . qu’a manifesté l'élite de*
ecullers européen*? en venant dispu
ter ee» 77' Championnats de la Seine.
L'aviron français a ocries retrouvé
un peu de son prestige.
Cette revanche du Rootsee ne sera
pas le seul attrait de cette mémora
ble journée car la course en dotihle-
sculls, largement internationale, elle
aussi, pourrait à elle seule const'tuer
le clou du programme avec la partici
pation des récent.» champions d'Euro
pe, le« deux Hollandais de Wi
lhelm III.
KORBENDAU,
Henry
(Lire la suite P
3. en rub. Aviron)
LA MARQUE
QUi MON TE
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