Presse et revues
6 pages
Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1949-10-10
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 10 octobre 1949 10 octobre 1949
Description : 1949/10/10 (A4,N1092). 1949/10/10 (A4,N1092).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599245h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
Il*
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nt par Haut-paHeuf
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Il FOOTBALL FRANÇAIS...
eux atouts (fléchissement yougoslave et vent
favorable en deuxième mi-temps)
exploités avec courage
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avec la France B
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ION EXAMEN
L r article fie notre envoyé
lÜdurice PEFFERKORJS )
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indi c'est bien
mais...
ment savoir si
[île football français
jelrouri la clé du succès ?
[üsont les commentares et
rtoges de nos envoyés
Iciaux à Ee.grade
Gabriel HANOT
|ef Jacques de RYSWICK
ient connaître tous les
s du
Solon de l'Automobile ?
|lisant les articles de
Charles FAROUX
André LATOUR
Jean BONNET
lent connaître l'équipe
nce de rugby XIII ?
nt vivre la vie multiple
sionnante de tous nos
si
UON 9 défenseur extraordinaire ; BÂILLOT
le plus dangereux des attaquants ; MARCHE
sans erreur ; PROUFF 9 en deuxième mi-temps
IBRIR 9 sobre et sûr 9 les meilleurs d’un
« onze » très volontaire après le repos
(D’un de nos envoyés spéc. Jacques de RYSWICK)
BELGRADE. — 50.000 spectateurs yougoslaves entassés sur
les gradins en totalité découverts du nouveau siaue « r artisan ■>
ont sifflé leur onze national alors que celui-ci regagnait les
vestiaires. Après quoi, ils réclamèrent l’équipe de France au
milieu du terrain et firent à celle-ci une ovation dont elle se
souviendra. Visiblement déçue, voire mortifiée par ce résultat
qui équivaut pour elle à une défaite, la foule de Belgrade l’a
fait sentir à ses représentants ; après quoi, elle a manifesté aux
nôtres son hommage de fouie très sportive pour leur effort
sanctionné
FOULE ? NON COHUE
Cette photographie prise au
Salon de l’Automobile samedi
après-midi (rappelons Que les
services de photogravure ne
travaillent pas à Paris le di
manche) donne une idée de
l’immense succès populaire du
plus important Salon du mon
de. Les voitures, petites et gros
ses, sont noyées dans la cohue
ou Von joue des coudes pour
voir... Il reste heureusement
par
un péré. Disons-nou6 aue si nos avants
auraient pu marquer davantage
de Mankotc»
denciennes
LAVILLESt
jours
c'est mieux !
courageux,
très méritoire match nul.
Méritoire disons-nous. Ajoutons durant les 45 dernières minutes,
. ... _ • , . -ev. les attaquants adverses avaient été
mérité. Car si 1 équipé de France lo j n de ga V0 i r exploiter au maxi-
jouant contre le vent, connut de6 mum les occasions qu’ils avaient
moments très difficiles au cours de créées durant les 44 premières,
la première partie du jeu, elle eût Disons-nous encore que l’arbitre
pu être menée au repos par une hollandais, M. Van _der Meer fut
marge supérieure à un but, tant fut aujourd'hui
. ., ,, , ble a nos couleurs, notamment
évidente, durant cette première mi- ) 0rS q Ue> à la 71* minute, il ne sanc-
temps, la grosse supériorité techni- tionna pas un croc-en-jambes de
que de ses adversaires. Elle se reprit Prouff à l’égard de Bobek dans la
d’autant mieux par la suite que 6a surface de réparation française,
rivale fléchissait sensiblement et Alors, et durant une fraction de
que le vent lui était alors favorable.
On la vit contrôler souvent le jeu
à son tour devant les Yougoslaves
réduits à une défensive serrée. Et si
Baillot ou Baratte avaient réussi —
ils furent souvent sur le point de le
faire — un second but, ce n’eût
point été là une réussite miracu
leuse !
Sachons nous contenter
Mais sachons nous contenter de
l ce résultat nul, à vrai dire ines-
(Lire la suite page 6, rub. Football)
rt
MA!
ES. — Depuis
n est l’une des
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foules record, sa i
contre Le Havrej
frisson aux spo
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5 ), Boucly (j» .
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Entr. : Tison-
(D — Sohl . e ,,
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, Planté ( 10 '
Emmeneger
: Quagtia.
[FER - COMPETITION EUROPEENNE
[CE SOIR (20 HEURES), AU VEL’ D’HIV’
immense du dimanche a vu
s SALON DE L'AUTO
DEUX MOTEURS D’AVENIR
Le «Mathis» et le «Rocket >
d’Oldsmobile
Une comparaison encore, qui soulèvera, d’abord, quelques
surprises. La valeur moyenne des compressions américaines est
supérieure à la moyenne française, mais demeure inférieure à
celle anglaise.
On trouve, comme rapports de vo
lûmes, aux Etats-Unis :
Buick : 6,9; Cadillac : 6,6; Oldsmobife
7.25; Chevrolet : 6,6; Chrysler, Dodgc, en soi
De Seto : 7; Studebaker : 6,5.
Puis, en France :
Talbot-Logo : 7,5; Delahaye : 7,1;
Citroën 11 CV : 6,2; Peugeot : 6,8;
Renault : 6,7; Hotchkiss : 6,5; Solmson :
6; Simca (8) : 6; Delage : 6,4; Dyna-
Panhard : 6,25; « Vedette » : 7.
Enfm t en Angleterre :
Austin : 7,2 à 7,5; Bristol ; 7,25;
Jaguar : 7; Rover : 7,25; Singer : 7,1.
En Italie Alfa-Romeo emploie
7,5 tout comme Fiat pour le type
a 1100 S »,
par Charles FAROUX
un élément suffisant. Il fau
drait connaître le réglage du mo
teur pour connaître la masse de la
cylindrée réellement admise ; quand
même, la comparaison joue.
(Lire la suite page 2, rub. Automobile)
30.000 spectateursj
ont inauguré
le Stade de Pau |
ON ATTENDAIT DAMITIO A 2 m. 02
C’est TIUI qui accrocha le record à I m.
Il»
Une première explication s’impo
se : si, pour la première fois depuis
trente ans, les Français ne sont plus
au commandement* dans la course
vers les hautes compressions, c’est,
bien sûr, parce que nos carburants
sont mauvais et que leur pouvoir
antidétonant est insuffisant. Des
amis reviennent de Belgique, où, de
puis çuelque temps, on trouve « li
brement » du carburant à 80 d’oc
tane et même un peu plus. L’un
avait une Citroën, le second une Peu
geot, le troisième une Delahaye. Ils
sont unanimes : « On ne reconnais
sait plus la voiture... »
Nous l’avons déjà précisé : la don
née du rapport de volumes n’est pas,
A MONTLHERY
R. SOMMER
et TALBOT
surclassent
leurs
adversaires
(Lire en rubrique Automobile
Farliclp de Maurice HE1NRY)
6 NUIT
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6 dre manche) :
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au 2« barrage.
Bally, toujours en grande forme, le meilleur
sur une piste alourdie par la pluie avec
,(De notre envoyé spéc. Vernier (Jean) et Marie
Gaston MEYER)
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favori parmi 27 concurrents de classe mondiale ?
Le « Jumping » était allé demander une toute petite place au Vél’
d’Hiv’, voilà deux ans. Aujourd’hui il lui faut, pour s’exprimer, le temps
que seul le cyclisme, en raison de son attrait sur les masses , avait osé
s’accorder jusqu’ici.
En avril dernier, après trois jours de succès, nous disions à
MM. d’Orgeix et Cancre :
« Il ne vous reste plus qu’Q, pousser jusqu’aux six jours ou aux
six nuits... \ ~ — , „„ ,
„ nnair commencent ce setr a 20 heures
- Vous n y pensez pas Que pour- I prendre fin samedi. Les orga-
rions-nous offrir au public durant nisaleurs offrent à tous ceux que
le sport hippique a conquis si vite
sont nées. Elles i e plus formidable programme qui
ait p'U être dressé jusqu’à ce jour
dans un stade couvert. Ils ont dû
même faire des coupures dans les
horaires et refuser des concurrents.
Et l’on voit avec étonnement des
chevaux tels que Brune et d’Or
(Des Roches de Chassay), Charles-
ton (José Bonnaud) — et ceux qui
les suivent immédiatement dans le
classement actuel des 4 ans — sou
mis à l’obligation d’une épreuve
qualificative pour le Championnat
de leur génération. Il est vrai que
s’il fallait écouter tous ceux qui
veulent participer à ce meeting, on
ne saurait plus où placer le pu
blic... Et le but de diffusion tou
jours visé par le Jumping ne se
rait pas atteint.
Un très grand...
Grand Prix d’Europe
Quatre épreuves internationales
s’intercalent dans les « 6 nuits » :
le Grand Prix d’Europe (lundi,
mercredi, jeudi, samedi), le Cham
pionnat de saut en hauteur (mar
di). la Cravache d’Or (mardi et mer
credi) le Prix du Champion (vendre
di). A elles seules, les quatre manches
du Grand Prix d’Europe pourraient
suffire à tenir le public en haleine.
On se souvient de l’intérêt crois-
Fernand ALBARET.
(Lire là suite p. 3, 4, 5, rub. Jumping)
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e dans toutes les compétitions par tous
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Angoulême
Triutisnant
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(Gd Prix de France)
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Salon : 1" SOMMER; 2. SCHELL
L»ts\, YRAT < tous sur TALBOT)
! SPORTS. — Jusqu'à 1.100 eme : 1. A.
! t ca) î de 1.100 à 2 l. : 1. TKINTIGNANT (Simca);
' SCllELL (Talbot), qui clôturent brillamment
la saison 1919.
Mont Ventoux
Trintisnant
Commingcs
Pozzi
Lac Léman
1. Sommer
2. Manzon
3. Trintignant
Brno
Whitehead
P fOi
ny,
p ARls
(XVIP)
Té!.: CAR, 07-50
h
° E COUPURES DE COURANT
PAT. — Le « beau ciel » chanté par les poètes est tacheté
gris en ce dimanche inaugural. Les nuages roulent bas et
masquent les pics voisins. Mais la veille, c’était bien pis encore.
Il avait plu durant 24 heures et le colonel de Fornel, à qui l’on
doit ce stade olympique du Hameau, contemplait tristement le
bleu déteint des drapeaux dont l’étoffe pendait, alourdie de
pluie, le long des hampes.
Un an de travail acharné, des hommes et des chefs compro
mis par un caprice du ciel, au jour choisi de l’arrière-saison,
d’ordinaire si belle en ce Béarn doré par l’automne. La pluie,
enfin, a cessé et l’on peut mieux
juger dans son ensemble l’œu
vre grandiose : un mélange heu
reux d’esthétique sobre, de
technique moderne et de gran
deur.
Quoi qu’il puisse arriver plus tard
— car déjà les sceptiques ricanent
et doutent de l’utilité d’un stade de
telles proportions pour une cité d’im
portance modeste — quoi qu’il puis
se arriver plus tard, donc, il faudra
bien proclamer avec respect, si l’on
retrouve, dans des siècles, les vesti
ges de ce stade ; « Ces hommes
voyaient grand. »
Il y avait 30.000 personnes quand
s’acheva la manifestation. Ce public
de profane prit un plaisir ingénu
au défilé et aux présentations acro
batiques, aux danses fokloriques
béarnaises et basques, et surtout
aux exercices de parachutage dont
1 adjudant chef Valentin donna, une
fois de plus, une impeccable dé
monstration.
L’historique
du record dé France
du saut en
hauteur
Glatron (AAAG) ...
1892
1
m.
60
Taber (RC)
. 1892
1
m.
605
Jean (SBUC)
. 1894-
1
m.
635
Farquard (RCF) ....
. 1896
1
m.
64
Jean (SB)
. 1896
1
m.
63
de Saint-Cyr (RCF) .
. 1896
1
m.
66
Combemale (Olymp.)
. 1898
1
m.
67
Widmer (RCF)
. 1899
1
m.
71
Widmer (RCF)
. 1899
1
m.
72
Widmer (RCF)
. 1899
1
m.
75
Monnier (SAM)
. 1903
1
m.
76
Monnier (SM)
. 1904
1
m.
77
Bulkeley (RCF)
1904
1
m
785
G. André (RCF)
1905
1
m.
79
G. André (RCF) ....
1908
1
m.
885
Lewden (SF)
. 1922
1
m.
895
Lewden (SF)
1922
1
m.
905
Lewden (SF)
. 1923
1
m.
93
Lewden (SP’)
1925
1
m.
95
Lapointe ILOU)
. 1946
1
m.
96
Damitio (FA Casa) .
. 1948
1
m.
97
Thiam (Dakar)
. 1949
1
m.
99
LES CATALANS
en grande forme
BASE DU XIII
DE FRANCE ?
(Lire les détails page 5
en rubrique Rugby XIII)
La partie athlétique ne permit pas ^ . ... . . .
d’apprécier pleinement la qualité de
cette piste de 500 mètres parfaite- du bout des doigts à la chute. Ses
ment dessinée mais qui avait été. la sauts valaient 2 m 02 sans discus-
veille, recouverte de vingt centimè- f lon • deux fois, Thiam échoua neu
tres d’eau : elle était, on s’en doute, tement. Au troisième essai, Damitio
alourdie. Mais l’outil existe et c’est jate franchement : sans prendre le
l’essentiel ; l’an prochain, après un temps de se reposer Damitio revient
à son point de départ, fait fi de la
concentration... s’élance et passe de
Toutes les personnalités civiles et plus de cinq centimètres. Le règle-
militaires du Sud-Ouest assistaient à .... . _
la manifestation, présidée par le gé- (Lire la suite page 3, rub. Atlhétisme)
néral d’Anselme, commandant la 5‘
région militaire, représentant le sous-
secrétaire d’Etat aux Forces armées.
28.300 entrées payantes ont été en
registrées.
hiver de froid, nous aurons là une
véritable piste à records.
Le saut en hauteur, comme nous
l’avions prévu, surclassa toutes les
autres compétitions : car le sautoir,
beaucoup mieux bloqué que la piste,
rendait si bien que l’on vit Le Vi-
guelloux franchir nettement 1 m. 85,
son record personnel, et Lacaze, peu
entraîné, échouer de peu à 1 m. 90.
A cette-hauteur et à 1 m. 95. Da
mitio paraissait avoir deux mètres
dans les jambes, tant il fit impres
sion. Plus certes que Thiam. riant de
toutes ses dents et moins concentré
que son rival
Même remarque à 1 m. 98 ! Deux
fois, le blond Marocain passa très
A ATHENES
SILLON :4 m. 15
à la perche
reprend à Breitman
le record de France
(Lire les détails
en rubrique Athlétisme)
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STAND 2 - GALERIE J. — Tét! ELY. 34-68
U NOUVELLE DYNA PANHARD
Nouvelle par le rendement accentué de son moteur flat-twin de 610
eme, mais non par sa présentation générale, toujours de lignes simples
et bien françaises, donnant une « habitabilité » remarquable pour une
voiture de 4-5 places de 550 kilos en ordre de marche, avec ses 30 litres
d’essence dans le réservoir.
Le moteur est de l’école de la première Dyna, même cylindrée, même
alésage (72), même course (75), mais
il a bénéficié de modifications im
portantes : dessin nouveau de la cu
lasse permettant l’augmentation de
la compression, soupapes agrandies,
6 litres 180 à 80 de moyenne ; 6 litres
360 à 85 de moyenne.
J’ajouterai personnellement : sus-
U..U.V.C P«- n6ion et tenue de route parfaites,
notamment à l’admission,~ nouvel 'dignes dune gtos:| voiture, au frei-
emplacement du trou de bougie à Tia «e Je plus hardi du Lockheed
proximité du centre de la chambre naturellement — tout Teste bien en
d'explosion, nouvelle disposition des lj211e >- en Parfaite sécurité.
ai''>ttes de refroidissement. ♦
On y retrouve les bielles sur roule- Asseyez-vous dans cett e Dyna. L’ef-
ments spéciaux à rouleaux, brevetés f e t de surprise en vaut la peine. Vous
Panhard. Plus- de frottement, plus constaterez, en effet, que, par je ne
d’usure, plus de bielles coulées et pais quel mystérieux tour de force,
amélioration des possibilités du mo- j e dessinateur de la carrosïeri e en
teur. a f a it un >< habitat » vraiment très
Résultat ? 5 600 tours au banc, don- spacieux pour quatre voyageurs et en
nant 28 chevaux et permettant 110 à tous points confortable,
l’heure. Voyez aussi l’avant de la nouvelle
Il nous a été donné récemment de Dyna. Panhard, par une heureuse
faire personnellement l’essai de la évolution, en a un peu modifié la
Dyna et de son nouveau moteur. Je ligne et les... agrémente,
n’insiste pas sur les qual-itée de tenue Tout cela c’est très bien, mais ce
de route et de direction déjà bien qnj compte avant tout à mon sens-,
connues. dans cette nouvelle réalisation de
Le moteur flat-twin réalisé par panhard, c’est le moteur. U est
Panhard donne un parfait équilibre étourdissant ! et j e n’exagère pas.
par l’annulation totale des forces y.p. _ Sur le stand Panhard, voyez
d’inertie. Ce qui n’est pas réalisé par non seulement les carrosseries fermées
un moteur à cylindres en ligne. ou à toit ouvrant, mais aussi un dé-
Ce 610 eme., bien servi par la boîte licieux cabriolet qui fait sensation au
à 4 vitesses, à quatrième surmultipliée, galon.
est étonnant de souplesse. Il donne Notons enfin que Panhard, avec ce
l’impression de conserver tous ses che- même châssis -et ce même moteur,
vaux jusqu’à 5.000 tours qui, en troi- offre à sa clientèle des petites voPu-
sième vitesse, donnent environ 90 à res utilitaires pouvant transporter
l’heure. Dès la reprise en surinulti- 500 kg., camionnette, fourgon tôlé,
pl’ée, le moteur répond aussitôt. Et plateau à ridelles.
c’est du 110. Et toutes, toujours, avec cet extra^
Souplesse ? Nous avons volontaire- ordinaire moteur que vous retrouvez
ment attaqué en surmultipliée à d’ailleurs sur d’autres stands, e n des
20 à l’heure une rampe à 6 0/0 en- emplois bien divers puisqu’il anime
viron. Sans quitter la surmultipliée, aug9 i bien la splendide réalisation de
nous étions 300 mètres plus loin à petite voiture de course D.B., chez
70 à l’heure, en pleine douceur, sans Deutsch e f Bonnet et le populaire
que le moteur ait un instant paru tracteur F.A.R.
peiner Voiture? particulières, voitures
♦ sport, véhicules utilitaires, racer de
Un de nos confrères a également course, tracteur pour services de li-
fait un essai prolongé de la nouvelle vraisons intensifs, tout cela vit par le
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nt par Haut-paHeuf
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Il FOOTBALL FRANÇAIS...
eux atouts (fléchissement yougoslave et vent
favorable en deuxième mi-temps)
exploités avec courage
„ Gombot
«o ont passé
avec la France B
|t Luxembourg : 3-1
ION EXAMEN
L r article fie notre envoyé
lÜdurice PEFFERKORJS )
1
indi c'est bien
mais...
ment savoir si
[île football français
jelrouri la clé du succès ?
[üsont les commentares et
rtoges de nos envoyés
Iciaux à Ee.grade
Gabriel HANOT
|ef Jacques de RYSWICK
ient connaître tous les
s du
Solon de l'Automobile ?
|lisant les articles de
Charles FAROUX
André LATOUR
Jean BONNET
lent connaître l'équipe
nce de rugby XIII ?
nt vivre la vie multiple
sionnante de tous nos
si
UON 9 défenseur extraordinaire ; BÂILLOT
le plus dangereux des attaquants ; MARCHE
sans erreur ; PROUFF 9 en deuxième mi-temps
IBRIR 9 sobre et sûr 9 les meilleurs d’un
« onze » très volontaire après le repos
(D’un de nos envoyés spéc. Jacques de RYSWICK)
BELGRADE. — 50.000 spectateurs yougoslaves entassés sur
les gradins en totalité découverts du nouveau siaue « r artisan ■>
ont sifflé leur onze national alors que celui-ci regagnait les
vestiaires. Après quoi, ils réclamèrent l’équipe de France au
milieu du terrain et firent à celle-ci une ovation dont elle se
souviendra. Visiblement déçue, voire mortifiée par ce résultat
qui équivaut pour elle à une défaite, la foule de Belgrade l’a
fait sentir à ses représentants ; après quoi, elle a manifesté aux
nôtres son hommage de fouie très sportive pour leur effort
sanctionné
FOULE ? NON COHUE
Cette photographie prise au
Salon de l’Automobile samedi
après-midi (rappelons Que les
services de photogravure ne
travaillent pas à Paris le di
manche) donne une idée de
l’immense succès populaire du
plus important Salon du mon
de. Les voitures, petites et gros
ses, sont noyées dans la cohue
ou Von joue des coudes pour
voir... Il reste heureusement
par
un péré. Disons-nou6 aue si nos avants
auraient pu marquer davantage
de Mankotc»
denciennes
LAVILLESt
jours
c'est mieux !
courageux,
très méritoire match nul.
Méritoire disons-nous. Ajoutons durant les 45 dernières minutes,
. ... _ • , . -ev. les attaquants adverses avaient été
mérité. Car si 1 équipé de France lo j n de ga V0 i r exploiter au maxi-
jouant contre le vent, connut de6 mum les occasions qu’ils avaient
moments très difficiles au cours de créées durant les 44 premières,
la première partie du jeu, elle eût Disons-nous encore que l’arbitre
pu être menée au repos par une hollandais, M. Van _der Meer fut
marge supérieure à un but, tant fut aujourd'hui
. ., ,, , ble a nos couleurs, notamment
évidente, durant cette première mi- ) 0rS q Ue> à la 71* minute, il ne sanc-
temps, la grosse supériorité techni- tionna pas un croc-en-jambes de
que de ses adversaires. Elle se reprit Prouff à l’égard de Bobek dans la
d’autant mieux par la suite que 6a surface de réparation française,
rivale fléchissait sensiblement et Alors, et durant une fraction de
que le vent lui était alors favorable.
On la vit contrôler souvent le jeu
à son tour devant les Yougoslaves
réduits à une défensive serrée. Et si
Baillot ou Baratte avaient réussi —
ils furent souvent sur le point de le
faire — un second but, ce n’eût
point été là une réussite miracu
leuse !
Sachons nous contenter
Mais sachons nous contenter de
l ce résultat nul, à vrai dire ines-
(Lire la suite page 6, rub. Football)
rt
MA!
ES. — Depuis
n est l’une des
>n prtl îquant le «
àttire-t-elle chaque 1
foules record, sa i
contre Le Havrej
frisson aux spo
,-rniers, toutefois,
le Mankowski « ■
t de la ligne d av
ont salutaires. En !
nciennes ne dev
à Besançon dont j
,ide dans sa liS ne
Nungesser, Valen
ES : G ut (ÛJ
5 ), Boucly (j» .
_ Eciuipart (» ■
nwski (7). Laturgi
Entr. : Tison-
(D — Sohl . e ,,
- Plantier (n
, Planté ( 10 '
Emmeneger
: Quagtia.
[FER - COMPETITION EUROPEENNE
[CE SOIR (20 HEURES), AU VEL’ D’HIV’
immense du dimanche a vu
s SALON DE L'AUTO
DEUX MOTEURS D’AVENIR
Le «Mathis» et le «Rocket >
d’Oldsmobile
Une comparaison encore, qui soulèvera, d’abord, quelques
surprises. La valeur moyenne des compressions américaines est
supérieure à la moyenne française, mais demeure inférieure à
celle anglaise.
On trouve, comme rapports de vo
lûmes, aux Etats-Unis :
Buick : 6,9; Cadillac : 6,6; Oldsmobife
7.25; Chevrolet : 6,6; Chrysler, Dodgc, en soi
De Seto : 7; Studebaker : 6,5.
Puis, en France :
Talbot-Logo : 7,5; Delahaye : 7,1;
Citroën 11 CV : 6,2; Peugeot : 6,8;
Renault : 6,7; Hotchkiss : 6,5; Solmson :
6; Simca (8) : 6; Delage : 6,4; Dyna-
Panhard : 6,25; « Vedette » : 7.
Enfm t en Angleterre :
Austin : 7,2 à 7,5; Bristol ; 7,25;
Jaguar : 7; Rover : 7,25; Singer : 7,1.
En Italie Alfa-Romeo emploie
7,5 tout comme Fiat pour le type
a 1100 S »,
par Charles FAROUX
un élément suffisant. Il fau
drait connaître le réglage du mo
teur pour connaître la masse de la
cylindrée réellement admise ; quand
même, la comparaison joue.
(Lire la suite page 2, rub. Automobile)
30.000 spectateursj
ont inauguré
le Stade de Pau |
ON ATTENDAIT DAMITIO A 2 m. 02
C’est TIUI qui accrocha le record à I m.
Il»
Une première explication s’impo
se : si, pour la première fois depuis
trente ans, les Français ne sont plus
au commandement* dans la course
vers les hautes compressions, c’est,
bien sûr, parce que nos carburants
sont mauvais et que leur pouvoir
antidétonant est insuffisant. Des
amis reviennent de Belgique, où, de
puis çuelque temps, on trouve « li
brement » du carburant à 80 d’oc
tane et même un peu plus. L’un
avait une Citroën, le second une Peu
geot, le troisième une Delahaye. Ils
sont unanimes : « On ne reconnais
sait plus la voiture... »
Nous l’avons déjà précisé : la don
née du rapport de volumes n’est pas,
A MONTLHERY
R. SOMMER
et TALBOT
surclassent
leurs
adversaires
(Lire en rubrique Automobile
Farliclp de Maurice HE1NRY)
6 NUIT
n triomphepourd’Inzeo
Rraill
(11).
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ra (8, Micbel (
«suriju,.
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favori parmi 27 concurrents de classe mondiale ?
Le « Jumping » était allé demander une toute petite place au Vél’
d’Hiv’, voilà deux ans. Aujourd’hui il lui faut, pour s’exprimer, le temps
que seul le cyclisme, en raison de son attrait sur les masses , avait osé
s’accorder jusqu’ici.
En avril dernier, après trois jours de succès, nous disions à
MM. d’Orgeix et Cancre :
« Il ne vous reste plus qu’Q, pousser jusqu’aux six jours ou aux
six nuits... \ ~ — , „„ ,
„ nnair commencent ce setr a 20 heures
- Vous n y pensez pas Que pour- I prendre fin samedi. Les orga-
rions-nous offrir au public durant nisaleurs offrent à tous ceux que
le sport hippique a conquis si vite
sont nées. Elles i e plus formidable programme qui
ait p'U être dressé jusqu’à ce jour
dans un stade couvert. Ils ont dû
même faire des coupures dans les
horaires et refuser des concurrents.
Et l’on voit avec étonnement des
chevaux tels que Brune et d’Or
(Des Roches de Chassay), Charles-
ton (José Bonnaud) — et ceux qui
les suivent immédiatement dans le
classement actuel des 4 ans — sou
mis à l’obligation d’une épreuve
qualificative pour le Championnat
de leur génération. Il est vrai que
s’il fallait écouter tous ceux qui
veulent participer à ce meeting, on
ne saurait plus où placer le pu
blic... Et le but de diffusion tou
jours visé par le Jumping ne se
rait pas atteint.
Un très grand...
Grand Prix d’Europe
Quatre épreuves internationales
s’intercalent dans les « 6 nuits » :
le Grand Prix d’Europe (lundi,
mercredi, jeudi, samedi), le Cham
pionnat de saut en hauteur (mar
di). la Cravache d’Or (mardi et mer
credi) le Prix du Champion (vendre
di). A elles seules, les quatre manches
du Grand Prix d’Europe pourraient
suffire à tenir le public en haleine.
On se souvient de l’intérêt crois-
Fernand ALBARET.
(Lire là suite p. 3, 4, 5, rub. Jumping)
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! t ca) î de 1.100 à 2 l. : 1. TKINTIGNANT (Simca);
' SCllELL (Talbot), qui clôturent brillamment
la saison 1919.
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Trintisnant
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PAT. — Le « beau ciel » chanté par les poètes est tacheté
gris en ce dimanche inaugural. Les nuages roulent bas et
masquent les pics voisins. Mais la veille, c’était bien pis encore.
Il avait plu durant 24 heures et le colonel de Fornel, à qui l’on
doit ce stade olympique du Hameau, contemplait tristement le
bleu déteint des drapeaux dont l’étoffe pendait, alourdie de
pluie, le long des hampes.
Un an de travail acharné, des hommes et des chefs compro
mis par un caprice du ciel, au jour choisi de l’arrière-saison,
d’ordinaire si belle en ce Béarn doré par l’automne. La pluie,
enfin, a cessé et l’on peut mieux
juger dans son ensemble l’œu
vre grandiose : un mélange heu
reux d’esthétique sobre, de
technique moderne et de gran
deur.
Quoi qu’il puisse arriver plus tard
— car déjà les sceptiques ricanent
et doutent de l’utilité d’un stade de
telles proportions pour une cité d’im
portance modeste — quoi qu’il puis
se arriver plus tard, donc, il faudra
bien proclamer avec respect, si l’on
retrouve, dans des siècles, les vesti
ges de ce stade ; « Ces hommes
voyaient grand. »
Il y avait 30.000 personnes quand
s’acheva la manifestation. Ce public
de profane prit un plaisir ingénu
au défilé et aux présentations acro
batiques, aux danses fokloriques
béarnaises et basques, et surtout
aux exercices de parachutage dont
1 adjudant chef Valentin donna, une
fois de plus, une impeccable dé
monstration.
L’historique
du record dé France
du saut en
hauteur
Glatron (AAAG) ...
1892
1
m.
60
Taber (RC)
. 1892
1
m.
605
Jean (SBUC)
. 1894-
1
m.
635
Farquard (RCF) ....
. 1896
1
m.
64
Jean (SB)
. 1896
1
m.
63
de Saint-Cyr (RCF) .
. 1896
1
m.
66
Combemale (Olymp.)
. 1898
1
m.
67
Widmer (RCF)
. 1899
1
m.
71
Widmer (RCF)
. 1899
1
m.
72
Widmer (RCF)
. 1899
1
m.
75
Monnier (SAM)
. 1903
1
m.
76
Monnier (SM)
. 1904
1
m.
77
Bulkeley (RCF)
1904
1
m
785
G. André (RCF)
1905
1
m.
79
G. André (RCF) ....
1908
1
m.
885
Lewden (SF)
. 1922
1
m.
895
Lewden (SF)
1922
1
m.
905
Lewden (SF)
. 1923
1
m.
93
Lewden (SP’)
1925
1
m.
95
Lapointe ILOU)
. 1946
1
m.
96
Damitio (FA Casa) .
. 1948
1
m.
97
Thiam (Dakar)
. 1949
1
m.
99
LES CATALANS
en grande forme
BASE DU XIII
DE FRANCE ?
(Lire les détails page 5
en rubrique Rugby XIII)
La partie athlétique ne permit pas ^ . ... . . .
d’apprécier pleinement la qualité de
cette piste de 500 mètres parfaite- du bout des doigts à la chute. Ses
ment dessinée mais qui avait été. la sauts valaient 2 m 02 sans discus-
veille, recouverte de vingt centimè- f lon • deux fois, Thiam échoua neu
tres d’eau : elle était, on s’en doute, tement. Au troisième essai, Damitio
alourdie. Mais l’outil existe et c’est jate franchement : sans prendre le
l’essentiel ; l’an prochain, après un temps de se reposer Damitio revient
à son point de départ, fait fi de la
concentration... s’élance et passe de
Toutes les personnalités civiles et plus de cinq centimètres. Le règle-
militaires du Sud-Ouest assistaient à .... . _
la manifestation, présidée par le gé- (Lire la suite page 3, rub. Atlhétisme)
néral d’Anselme, commandant la 5‘
région militaire, représentant le sous-
secrétaire d’Etat aux Forces armées.
28.300 entrées payantes ont été en
registrées.
hiver de froid, nous aurons là une
véritable piste à records.
Le saut en hauteur, comme nous
l’avions prévu, surclassa toutes les
autres compétitions : car le sautoir,
beaucoup mieux bloqué que la piste,
rendait si bien que l’on vit Le Vi-
guelloux franchir nettement 1 m. 85,
son record personnel, et Lacaze, peu
entraîné, échouer de peu à 1 m. 90.
A cette-hauteur et à 1 m. 95. Da
mitio paraissait avoir deux mètres
dans les jambes, tant il fit impres
sion. Plus certes que Thiam. riant de
toutes ses dents et moins concentré
que son rival
Même remarque à 1 m. 98 ! Deux
fois, le blond Marocain passa très
A ATHENES
SILLON :4 m. 15
à la perche
reprend à Breitman
le record de France
(Lire les détails
en rubrique Athlétisme)
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STAND 2 - GALERIE J. — Tét! ELY. 34-68
U NOUVELLE DYNA PANHARD
Nouvelle par le rendement accentué de son moteur flat-twin de 610
eme, mais non par sa présentation générale, toujours de lignes simples
et bien françaises, donnant une « habitabilité » remarquable pour une
voiture de 4-5 places de 550 kilos en ordre de marche, avec ses 30 litres
d’essence dans le réservoir.
Le moteur est de l’école de la première Dyna, même cylindrée, même
alésage (72), même course (75), mais
il a bénéficié de modifications im
portantes : dessin nouveau de la cu
lasse permettant l’augmentation de
la compression, soupapes agrandies,
6 litres 180 à 80 de moyenne ; 6 litres
360 à 85 de moyenne.
J’ajouterai personnellement : sus-
U..U.V.C P«- n6ion et tenue de route parfaites,
notamment à l’admission,~ nouvel 'dignes dune gtos:| voiture, au frei-
emplacement du trou de bougie à Tia «e Je plus hardi du Lockheed
proximité du centre de la chambre naturellement — tout Teste bien en
d'explosion, nouvelle disposition des lj211e >- en Parfaite sécurité.
ai''>ttes de refroidissement. ♦
On y retrouve les bielles sur roule- Asseyez-vous dans cett e Dyna. L’ef-
ments spéciaux à rouleaux, brevetés f e t de surprise en vaut la peine. Vous
Panhard. Plus- de frottement, plus constaterez, en effet, que, par je ne
d’usure, plus de bielles coulées et pais quel mystérieux tour de force,
amélioration des possibilités du mo- j e dessinateur de la carrosïeri e en
teur. a f a it un >< habitat » vraiment très
Résultat ? 5 600 tours au banc, don- spacieux pour quatre voyageurs et en
nant 28 chevaux et permettant 110 à tous points confortable,
l’heure. Voyez aussi l’avant de la nouvelle
Il nous a été donné récemment de Dyna. Panhard, par une heureuse
faire personnellement l’essai de la évolution, en a un peu modifié la
Dyna et de son nouveau moteur. Je ligne et les... agrémente,
n’insiste pas sur les qual-itée de tenue Tout cela c’est très bien, mais ce
de route et de direction déjà bien qnj compte avant tout à mon sens-,
connues. dans cette nouvelle réalisation de
Le moteur flat-twin réalisé par panhard, c’est le moteur. U est
Panhard donne un parfait équilibre étourdissant ! et j e n’exagère pas.
par l’annulation totale des forces y.p. _ Sur le stand Panhard, voyez
d’inertie. Ce qui n’est pas réalisé par non seulement les carrosseries fermées
un moteur à cylindres en ligne. ou à toit ouvrant, mais aussi un dé-
Ce 610 eme., bien servi par la boîte licieux cabriolet qui fait sensation au
à 4 vitesses, à quatrième surmultipliée, galon.
est étonnant de souplesse. Il donne Notons enfin que Panhard, avec ce
l’impression de conserver tous ses che- même châssis -et ce même moteur,
vaux jusqu’à 5.000 tours qui, en troi- offre à sa clientèle des petites voPu-
sième vitesse, donnent environ 90 à res utilitaires pouvant transporter
l’heure. Dès la reprise en surinulti- 500 kg., camionnette, fourgon tôlé,
pl’ée, le moteur répond aussitôt. Et plateau à ridelles.
c’est du 110. Et toutes, toujours, avec cet extra^
Souplesse ? Nous avons volontaire- ordinaire moteur que vous retrouvez
ment attaqué en surmultipliée à d’ailleurs sur d’autres stands, e n des
20 à l’heure une rampe à 6 0/0 en- emplois bien divers puisqu’il anime
viron. Sans quitter la surmultipliée, aug9 i bien la splendide réalisation de
nous étions 300 mètres plus loin à petite voiture de course D.B., chez
70 à l’heure, en pleine douceur, sans Deutsch e f Bonnet et le populaire
que le moteur ait un instant paru tracteur F.A.R.
peiner Voiture? particulières, voitures
♦ sport, véhicules utilitaires, racer de
Un de nos confrères a également course, tracteur pour services de li-
fait un essai prolongé de la nouvelle vraisons intensifs, tout cela vit par le
Dyna sur un cricuit varié de 210 km. moteur Dyna Panhard.
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