Titre : L'Écho du Nord : journal politique, administratif, commercial et littéraire ["puis" journal constitutionnel, politique et littéraire "puis" politique, littéraire, industriel et commercial "puis" le plus fort tirage de la région]
Éditeur : [s.n.] (Lille)
Date d'édition : 1937-12-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32762304s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 30 décembre 1937 30 décembre 1937
Description : 1937/12/30 (A120,N366). 1937/12/30 (A120,N366).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG59 Collection numérique : BIPFPIG59
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5468779f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Collections numérisées, NUM Jx.347
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/08/2021
3
ontoreresme:
LES SUITES D’UN VOYAGE EN RUSSIE
TgeOISieM. Kléber Legay
tooing réplique à ceux
qui prétendent
le désavouer
niants
la région du
ailles large,
érité depuj s
e, dans cer-
la dépopula- _
à l exemple, q U ’ii
>up de Con- iéré
Le
livre de M. Kléber Legay sur ce
vit en Russie — rapport bien mo ¬
-- en comparaison de ce qui fut pu-
s les f • 1 blié par des syndicalistes anglais ou
a con® mil- américains — continue à provoquer des
■es parrvé, incidents, les communistes voulant à
nombrour tout prix détruire l’effet de ces consta-
fit de se. tâtions irréfutables sur la déplorable
es Fami r " condition de l’ouvrier soviétique.
aant la ss C’est ainsi qu’à la suite d’une réunion
tembres vJ s V n ^ ca ^ e tenue à Somain un commu-
7 niqué a été remis à la Presse qui disait
liminaires, ceci :
suggestifs, g En réponse à de nombreuses observations
ands-aïeul. posées au sujet du livre de M. Legay, M.
ndants — Morival Marceau a déclaré nettement que
es Aug.f” MM. Martel Henri, Morival Henri et Mar-
+, 192 e ceau, ainsi que le Conseil d’administration
notit en- du Syndicat des mineurs du Nord, n’a-
e-pe “ren- vaient jamais autorisé un de leurs mem-
at la mère bres à se servir de leurs noms et de leurs
n. Qui en titres, pour la publication d’un livre sur
al-Leclercq, les mineurs en Russie.
t M. Henri A la suite de cette communication,
J M. Kléber Legay a rédigé cette mise au
3 “4 à 38 point qu’il est certainement utile de
1 publier :
ensé pour ■•
s, 5 de 13,
70 de 9 et
le sept en-
re impres-
' Président du Syndicat des Mineurs du
Nord, j’ai été chargé d’une mission
“r
g.
Des jeunes gens avaient
«emprunté» successivement
trois voitures et provoqué
un accident
Y aura-t-il une nouvelle
grève des « boueux» ?
LA MADELEINE
Les abonnements sur les tramways
Guerre au bruit !
La Commission municipale, état-major de la nouvelle armée
du Silence, réussira-t-elle dans sa tâche ?
mt ensem-
lle moyen-
gions qui
un pareil
pareille-
pays ?
lomicilié
retiré
Lille
ice locale
iait d’être
proximité
dse », pat
e M. Emi-
né de ses
c, se ren-
d’identité
davre, ce-
lue.
ar la po-
issait du
de natio.
à-Vendin,
lors qu'il
M. Mata-
it par le
D
oser de
! en lui-!
■ave en-
dit dé-
aves ne
que de
côté de
n spec-
nent où
se com-
. Geor-
es, par
damna-
i, vice-
VI, Dor-
Vincent
on est
France
ctionne
USE
que le
Lyon,
jours-ci
jet des
s com-
r deux
on soit
d’étude dans les Mines russes.
A mon retour, j’ai rendu compte de
celle-ci à mon conseil d’administration
dans deux réunions spéciales les 6 et
13 décembre 1936.
A ces réunions assistèrent MM. Henri
Martel, Marceau et Henri Morival, qui
tous trois sont allés en Russie depuis
1928. Ils ont entendu et admis le compte
rendu identique à celui contenu dans
mon livre dont il est fait allusion à la
réunion de Somain.
Aucun d’eux n’ayant fait, à propos
des faits révélés par moi et transcrits
dans le livre « Un Mineur Français chez
les Russes », aucune observation ni con
testation, je me suis cru autorisé sans
pour cela être dans l’obligation de de
mander à qui que ce soit l’autorisation
de le faire connaître aux mineurs, de
manière à ce que ceux-ci aient l’assu
rance que le récit de mon voyage était
le reflet de la vérité la plus pure, puis
qu’il n’a été contesté par eux, ni d’au-
très.
Syndicaliste et responsable d’une or
ganisation de mineurs qui œuvre à
l’amélioration du sort de nos adhérents,
je n’ai pas à rechercher si la narration
d’un voyage, sert ou dessert des inté
rêts politiques ou de parti, mais à faire
connaître aux mineurs français, la si
tuation faite aux mineurs d’un autre
pays que des personnalités politiques
tentent à nous offrir comme enviables
pour nous, alors que, pour aussi grand
que soit l’effort d’amélioration qu’il res
te à faire, pour que les mineurs fran
çais trouvent des conditions de vie et de
travail meilleures, ils sachent que leurs
conditions sont, et de beaucoup, plus
avantageuses en tous points à celles des
mineurs russes, dont on a trop exagéré
les avantages pour des fins que person
ne n’ignore.
J’accepte, pour avoir eu le courage
d’écrire la vérité, vérité que d’autres
savaient mais ont toujours cachée pour
des raisons qu’il leur appartient de faire
connaître, d’être la cible contre la
quelle on braque toutes les campagnes
de dénigrements systématiques, par
ordre d’un organisme extra syndical. Re
grettant toutefois que quelques militants
responsables au même titre que moi, du
Syndicat des mineurs du Nord, qui en
face de moi n’ont pas tenté la plus pe
tite contestation se prêtent à ces ma
nœuvres, nuisibles à la vérité et à l’in-
dépendance syndicale.
Il est profondément regrettable que
ces camarades placent l’intérêt d’un
parti, non seulement, ce qui est pourtant
important, au-dessus de la vérité, mais
au-dessus des intérêts des mineurs eux-
mêmes, ceux-ci pouvant être réellement
défendus, qu’en laissant en dehors du
syndicat leurs préférences politiques et
de parti.
Favoriser dans le syndicat, les visées
d’un parti qui poursuit de sa haine un
militant syndical, qui s’oppose à sa main
mise sur l’appareil de direction de notre
organisation ne peut que faire courir
des risques très graves à l’influence de
notre syndicat, au moment où, plus que
jamais la présence de tous y est indis-
| pensable, quelles que soient ses opinions
politiques, si on veut lui conserver sa
puissance, et son autorité.
Que ceux qui prennent une telle res
ponsabilité. veuillent bien envisager les
conséquences possibles, qu’ils sachent
qu’envers et contre toutes les manœuvres
et intrigues, nous saurons justifier l’hon
nêteté et l’exactitude de nos informa
tions que nul n’a contestées par des
preuves contraires.
Délégué pour études et informations,
j’ai rempli ma mission ; ce n’est pas ma
faute si les faits portés à la connaissan
ce des mineurs en particulier, et de tous
les travailleurs en général, sont aussi
troublants, mais celle de ceux qui m’ont
précédé et qui jamais n’ont dit les cho
ses telles qu’elles sont réellement, alors
qu’ils avaient pour devoir de le faire.
La délégation des mineurs se compo
sant de cinq membres, tous responsa
bles des syndicats des mineurs, j’accep
terais volontiers que celle-ci se présen
te devant une assemblée spéciale des
responsables du mouvement syndical des
mineurs, pour me juger et me désapprou
ver s’il y a lieu, j’en fais même une
proposition formelle afin d’en finir une
fois pour toutes avec ces intrigues poli
tiques nuisibles à la liberté syndicale.
Qu’il plaise à certains de travestir la
vérité, c’est affaire à eux et à leur cons
cience de militant.
Kléber LEGAY,
Président du Syndicat des mineurs
du Nord.
La guerre est déclarée. La guerre est
déclarée aux bruits de toutes sortes qui,
depuis trop longtemps, troublent la vie
de la Capitale des Flandres.
Comme pour toutes les guerres mo
dernes, la déclaration n’a pas été rendue
publique. Ceux qui ont entrepris la lutte
contre le bruit entendent profiter le
plus longtemps possible de l’effet de sur
prise. La surprise est une des causes
principales de la réussite.
Mais les hostilités sont ouvertes !
D’abord, on a constitué une commis
sion. Je sais bien que vous allez sourire.
Vous aurez tort.
Il s’agit sérieusement de mettre fin à
un danger que les progrès du mécanis
me moderne rendent chaque jour plus
terrible.
La commission municipale « Contre
le Bruit » s’est d’abord occupée des
bruits « municipaux ».
Une signalisation silencieuse
Le premier, un conseiller a levé le
doigt et a dit :
— Peut-on supprimer les sifflets des
agents. Il y a belle lurette qu’ils me
vrillent le crâne... Ils sont stridents, co-
une voiture qui lui barre la route, le
sifflet à roulette du conducteur se fait
entendre avec une puissance et une téna
cité incomparables.
— Il est difficile de faire taire les
tramways, mais pourquoi ne pas exiger
que soient graissés les freins d’autobus,
dit un membre de la commission.
En effet, pourquoi ?
— Pour laisser à ces freins leur ma
ximum de force, disent les techniciens...
Mais voici que les foires retiennent
l’attention des « commissaires ». L’un
d’eux rappelle que M. le Préfet du Nord,
en pleine période de grèves, l’hiver der
nier, recevait ministres, délégations pa-
et ouvrières à longueur de
aux sons langoureux de « Ra-
et autres fantaisies venant de
Ils sont retrouvés et arrêtés
Les efforts conjugués de la police mu
nicipale d’Hellemmes et de la Sûreté
lilloise, ont permis de retrouver et d’ar-
rêter une bande de jeunes gens qui
s’étaient livrés, dimanche dernier, à des
« emprunts » successifs de voitures et,
provoqué, par surcroît, au volant d’une
de celle-ci, un accident de la circulation.
Voici, d’ailleurs, le récit de leur odys
sée :
Dimanche, vers 20 heures, Fernand
Martens, âgé de 18 ans, et demeurant à
Lille, rue des Tanneurs, se présenta,
accompagné d’une jeune femme, dans
un café de Mons-en-Barœul. Là, il in
vita son frère, Adrien, âgé de 22 ans,
et soldat au 61' R. A., à Metz, actuelle
ment en permission, ainsi que son ami,
Henri Carrée, domicilié 177, rue Jean-
Jacques-Rousseau, à Mons-en-Barœul,
à faire une promenade en auto.
— Dans une voiture, dit-il, que je
Une certaine effervescence règne. ac
tuellement parmi le personnel ouvrier
des Etablissements Vve Colin, entreprise
chargée de l’enlèvement des ordures
ménagères.
En effet, la direction de ce service au
rait décidé de licencier une quarantaine
d’ouvriers à la date du 1er janvier, par
suite de la fermeture de
cinérations.
Le personnel s’est ému
sure et des pourparlers
diatement engagés avec
son usine d'in-
d’une telle me-
ont été immé-
la direction de
LES CONFLITS SOCIAUX
tronales
journée,
mona »
la place
voisiqe.
Les bruits de la rue
Puis on en arrive aux bruits
par le public, par l’usager...
On fit une place d’honneur aux
chands de charbons, impénitents
léreux, abusifs.
Et un autre :
— Pardon, mais va-t-on encore long
temps nous crever les tympans avec les
sonneries des passages cloutés.
L’aimable échevin chargé de la cir
culation ne manqua pas cette occasion :
— Mon cher collègue, dit-il, je vais
vous rassurer. Sachez que Lille va bien
tôt bénéficier d’une nouvelle signalisa
tion lumineuse. Elle sera, cette fois, ré
glementaire et présentera trois lunettes
verticales, représentant le cycle interna
tional de succession des feux : vert,
jaune, rouge. Vert : passage libre ;
jaune : arrêt imminent ; rouge : arrêt
absolu ; rouge et jaune à la fois : dé
part imminent. Un écran lumineux sup
plémentaire dira aux piétons : « Atten
dez, passez... » Et naturellement, mon
cher collègue, en corollaire, suppression
de la sonnerie qui n’aura plus sa raison
d’être...
Après un murmure approbateur, un
autre commissaire prit la parole :
— Restent les cloches et sirènes mu
nicipales, dit-il...
— Les cloches ? Elles sont bien modé-
rées de nos jours et ne troublent pas
nos nuits.
Les sirènes ? Ce. sont celles de la dé
fense passive. Elles marchent une fois
par semaine, le samedi à midi. Elles
fonctionnent de midi à midi cinq minu
tes.
— Puisqu’au bout de dix secondes ont
sait qu’elles fonctionnent normalement,
pourquoi continuer l’expérience pendant
quatre minutes et cinquante secondes ?
gémit un commissaire.
Les services concédés
sont bruyants
Après les bruits municipaux, qui dé
pendent uniquement de l’autorité de la
commission, il faut s’en prendre aux
bruits des services concédés.
Ils sont nombreux. En général, ce qui
réveille le Lillois moyen, ce sont les
chocs successifs sur les trottoirs des pou
belles, prenant un rude contact avec le
sol.
Puis surgissent, au moment où le Lil
lois tente de se rendormir, les premiers
tramways et les premiers autobus. Sans
doute, les accidents causés par les tram
ways de Lille sont peu nombreux ; mais
croit-on qu’on n’obtiendrait pas le mê
me résultat sans ces coups de timbre
perpétuels ayant l’aurore hivernale et
tard dans la nuit ?
Parfois, quand le tramway rencontre
créés
mar-
son-
neurs de trompe.
Un « commissaire » se plaignit amère
ment du bruit créé la nuit pas les
monstrueuses tonnes à vidanges.
— Inodores, c’est très contestable, dit-
il ; mais insonores, ça n’est pas vrai du
tout. Il n’y a rien de plus odieux, la nuit,
que ce remue-ménage et ce teuf-teuf
qui n’arrêtent pas...
— Par ailleurs, pendant le jour, dit
un autre, il convient de réglementer
l’emploi dans la rue de ces véritables
mitrailleuses que sont les foreuses à
air comprimé...
— Et les sirènes d’usines ? Pourquoi
existe-t-il encore des sirènes d’usines
à une époque où tous les travailleurs
ont des montres ?
— Pourquoi les conducteurs de ca
mions laissent-ils tourner leurs moteurs ?
Pourquoi laisse-t-on aboyer les chiens
qui tirent les « poussettes » de mar
chands des quatre-saisons et les laisse-t
on réveiller le quartier des Halles, cha
que nuit, dès trois heures trente ?
— Et les haut-parleurs ? dit un autre.
— Peut-on faire taire les appareils
avertisseurs des voitures la nuit ? En
Belgique, à Paris, des prescriptions exis
tent...
— Oui, elles ont donné, en Belgique,
comme à Paris, d’excellents résultats.
Un automobiliste soucieux de ne pas
réveiller les citadins avertit à l’aide d’un 1
jet de lumière de ses phares. Nous avons
interdit l’emploi des avertisseurs. Le
premier délinquant s’est laissé traîner
en justice, après avoir refusé la contra
vention et...
viens de louer...
Les jeunes gens acceptèrent et s’ins
tallèrent dans l’auto qui partit, et à folle
allure atteignit bientôt le centre de Lille.
Puis ils revinrent à Hellemmes et,
de là, se rendirent à Mons-en-Barœul.
Au cours de leur randonnée, ils avaient,
en passant, démoli la barrière du pas
sage à niveau de la rue du Grand-
Balcon et pris la fuite aussitôt
Rentrés à Lille, les jeunes voleurs
d’autos renversèrent un piéton rue
Faidherbe, M. Dupont, domicilié au 90
de cette rue.
Sans se soucier de leur victime, qui,
heureusement, n’était que légèrement
blessée, les automobilistes amateurs
s’enfuirent... non dans leur auto, mais
dans une autre qu’ils « empruntèrent »
également, d’un commun accord.
Faut-il croire que celle-ci ne leur
convenait guère, car quelques heures
plus tard, ils l’abandonnaient pour en
reprendre une nouvelle.
Les trois voitures furent retrouvées
le lendemain, en des endroits divers.
La première appartient à M. Haquette,
99, rue Jeanne-d’Arc, à Hellemmes ; la
seconde, à M. Augustin Dallennes, 68,
rue Saint-Gabriel, à Lille, et la dernière,
à M. Vandendriessche, de Saint-Amand.
l’entreprise et les pouvoirs publics.
Au cours de l’après-midi de mardi,
des conversations ont eu lieu, à ce sujet,
à la mairie de Lille, entre les représen
tants des ouvriers, qu’assistait M. Ray
mond Dumoulin, secrétaire administra
tif de la Bourse du Travail, et M. Colin,
directeur desdits Etablissements.
Le secrétaire du syndicat des trans
ports, M. Tranché, s’est ensuite rendu à
la préfecture où il a eu un entretien
avec M. Gazagne, secrétaire général du
Nord.
Une nouvelle entrevue aura lieu, jeu
di, et elle réunira, à la préfecture, M.
Dehove, adjoint aux Travaux de Lille,
les représentants des ouvriers et la Di
rection des Etablissements Colin.
Lors de la dernière séance du Conseil
municipal de La Madeleine, le vœu sui
vant, présenté par M. Mérainy, a été
adopté à l’unanimité :
Que la Compagnie Electrique des Tram
ways de Lille et sa Banlieue soit mise dans
l’obligation de rétablir les abonnements
ouvriers comme par le passé.
Que la délivrance des billets d’aller et
retour ait lieu jusque 9 heures du matin,
ceci afin d’en faire bénéficier les employés
qui sont des travailleurs au même titre que
les ouvriers manuels.
Que l’unification des classes soit enfin
réalisée conformément à l’engagement pris
par la Compagnie Electrique des Tramways
de Lille et sa Banlieue lors de la dernière
augmentation des tarifs effectuée le 26
mars 1937.
Un Congrès de Sapeurs-Pompiers
CHAUFFAGE CENTRAL LABRE et FILS
52, rue Jean-Sans-Peur, LILLE. T. : 37.67.
11316
La fête de Sainte-Cécile
du «Bébé Orchestre»
Rédaction et Publicité :
48, rue des Fabricants — TéL 349.35
MM. Rivollet, ancien ministre
des Pensions, et Antoine Redier
à rassemblée des combattants
A l'Œuvre de l’Arbre de Noël
On nous communique les numéros ga
gnants des lots de la tombola tirée au
profit de l’Œuvre de l’Arbre de Noël, le
25, aux Ambassadeurs :
T 104 105 106
96
359
547
877
1031
1217
1269
1742
1910
2118
2329
2756
3388
3573
3713
3909
4058
4536
4734
103
379
548
885
1036
1234
1280
1745
1944
2163
2330
2842
3396
3576
3786
3957
4074
4549
487
573
908
1074
1236
1427
1748
1957
2201
2339
2851
3402
3579
3797
3986
4084
4579
495
590
915
1077
1238
1434
1756
1959
2224
2363
2858
3403
3580
3849
3995
4088
4647
496
661
974
1104
1241
1466
1793
1984
2254
2444
2885
3419
3587
3868
4003
4183
4666
184
506
680
983
1168
1251
1476
1824
1986
2294
2459
2920
3477
3614
3878
4012
4242
4676
315
528
822
1000
1183
1257
1537
1828
2052
2323
2452
2931
3497
3622
3881
4045
4354
4716
Les lots
sont
à retirer à
30, chez M. Daure, 10, rue
Etienne.
C’est à la suite de la plainte déposée
par M. Haquette, que la police d’Hel-
lemmes ouvrit une enquête.
André Carton
Les agents Melay et
retrouvèrent rapidement
voleurs présumés.
La Sûreté lilloise fut
la trace des
alors alertée,
et sa brigade
Le brigadier Carpentier - -
d’inspecteurs ne devaient pas tarder à
appréhender les trois jeunes gens et la
jeune fille, G... G..., âgée de dix-sept
ans, qu’ils amenèrent devant M. Entre-
mont, chef de la Sûreté.
Ce triste quatuor a été déféré au Par-
quet mercredi, à 14 heures.
prélat,
le com-
ne sais
allian-
i-même
s dire,
pensée
la c’est
lu Sou ¬
phrase
Divini
tte en
rôle à
léjà du
ms vP
re qui
eur de
ent la
mense
Fin de la grève
aux huileries Dumortier à Tourcoing
La grève qui avait éclaté aux établis
sements Dumortier, huileries, rue de
Rotterdam à Tourcoing, a eu une rapide
solution.
Les deux parties se sont entendues sur
la base d’une augmentation de 0 fr. 40
l’heure et les 300 ouvriers ont repris
le travail dès ce mercredi matin.
Dans le textile lillois
M. l’Intendant général a été désigné
comme surarbitre dans le conflit des
salaires du textile lillois.
Il recevra la délégation ouvrière, au
jourd’hui, et sa sentence ne serait con
nue que vendredi.
t qua
« Al-
», dé-
ais de
com-
e al-
e cou-
nêmes
s cou-
Pape»
L’assemblée générale
du Club Saint-Hubert
du Nord
petit
rir le
abinet
ignée,
re ça,
peu;
avent
L’assemblée générale annuelle du Club
Saint-Hubert du Nord aura lieu à Lille,
le lundi 10 janvier, à 18 heures, au siège
social, 11 bis, place de la Gare.
Lille.
Ordre du jour : allocation du président;
rapport moral ; rapport financier ; élec
tion du tiers sortant du Comité directeur ,
questions diverses.
Les sociétaires ayant l’intention de po-
ser des questions devant figurer à l’or-
dre du jour, ou désireux de faire acte
de candidature au Comité, devront obli
gatoirement en aviser le secrétariat avant
le 5 janvier à minuit.
— Et ?
— Et le juge lui a donné raison. Le
Code de la Route est formel à cet
égard... La ville a dû payer les frais du
procès... Aussi devons-nous être très pru
dents, dans l’attente d’une législation
plus moderne, adaptée aux nécessités
présentes...
Contentons-nous de l’Article V des
règlement municipaux sur la tranquili-
té publique qui dit : ,
« Les bruits, les cris, l’usage des ins
truments de musique bruyants, capa
bles de troubler le repos et la quiétude
des citoyens, sont interdits... »
Ayan t terminé, le président de la
commission leva la séance, tandis q’un
spécialiste des édits ajoutait qu’il fal
lait absolument supprimer l’additif à
l’article V, qui paraît aujourd’hui assez
étonnant dans sa concision :
— Les sonneries de cor de chasse sont
par exception autorisées au Bois de la
Deûle et sur la promenade du Préfet.
Et ce fut tout. L’avenir nous dira si ce
fut beaucoup de bruit pour rien.
A. C.
Les étrennes des chômeurs
350
538
846
1022
1211
1266
1658
1905
2112
2323
2734
3108
3547
3705
3906
4053
4497
4717
Jeudi
partir de . _
du Curé-Saint-
ACHETEZ DIRECTEMENT A L’USINEE
260 bis, Boulevard Gambetta, ROUBAIX
Les TAPIS du sartelI
des Et. Demarcq Fres, 1, Quai du Sartel
[La plus belle collection de MOQUETTES®
La plus grande variété de CARPETTES®
11422
« Bébé Orchestre » a donné sa messe de
Sainte-Cécile à l’église Saint - Benoit
labre, au profit de l’œuvre des berceaux
militaires.
Une foule énorme remplissait l’église.
Au 1er rang, M. le général Doumens,
commandant le 1er corps d’Armée et Mme;
M. le colonel Bornecque, commandant le
43e R. I. ; M. René Reubrez, président de
« Bébé Orchestre » ; MM. Dutoit et le ca
pitaine Tournon, vice-président de la So
ciété ; MM. Dupont et Duvillers, membres
de la Commission.
Une délégation importante de Louve
teaux faisait la haie d’honneur, sous la di
rection de Mlle Doumens.
Après une vibrante allocution de M. le
chanoine Régent, aumônier militaire, une
quête fut faite par Mmes Viaque et Tour-
non, infirmières de « Bébé Orchestre ».
L’Orchestre, sous la conduite de sa direc
trice Mlle Alice Depotte, exécuta d’une fa
çon magistrale le programme suivant :
« Noël », d’Holmès ; « Le Chorale », de
Bach ; la « Sérénade », de Schubert et
le « Numéro 4 du Ballet égyption ».
Après la messe, les vins d’honneur fu
rent offerts aux personnalités et M. René
Reubrez tint à remercier chaleureusement
MM. le général Doumenc et le colonel
Bornecque .d’avoir rehausser la cérémo
nie de leur présence. Il remit, en outre,
à M. le colonel Bornecque une somme de
500 francs pour l’œuvre des berceaux mi
litaires.
D’un coup de poing, une femme
assomme sa tante et la dévalise
Vendredi, à l’Hôtel de Ville,
distribution de coquilles
Vendredi, à 14 heures 30, il sera procédé,
grand hall de l’Hôtel de Ville, à une dis
tribution de coquilles en faveur des enfants
des chômeurs.
Les cartes donnant droit à cette distri
bution seront remises par les soins des
dispensaires, Bourse du Travail et Gantois,
aux chômeurs inscrits au Fonds municipal
de chômage, à raison d’une par enfant à
charge, avec maximum de trois par fa
mille.
L’entrée s’effectuera par la porte des Sa-
huteaux, la sortie par la porte Saint-Sau
veur. .
La Clique municipale scolaire et la Mu
sique municipale se feront entendre au
. cours de la distribution.
Noël à Moulins-Lille. — Une foule ou
vrière se pressait le jour de Noël dans la
vaste salle du Théâtre de l’Union pour as
sister à la grande fête de famille organi
sée par le Comité d’entr’aide sociale Dé-
siré-Verhaeghe.
A l’arrivée de M. Charles Saint-Venant,
député-maire de Lille, et de M. Henri Sa
lengro, député de la circonscription, qu’ac
compagnaient les élus municipaux et can
tonaux du quartier, la foule applaudit.
La Fanfare « L’Union » se tailla un beau
succès avec de superbes sélections. La séan
ce de cinéma obtint un légitime succès
et ce fut alors l’interminable distribution
de magnifiques jouets et de succulentes
friandises à tous les présents. Plus de 2.500
enfants en bénéficièrent et la joie fut gé
nérale.
Pendant que se déroulait cette fête,, les
vieux du Moulin-Lille assistés du Bureau
de bienfaisance avaient été conviés à une
réunion de famille au cinéma Marivaux.
Ce fut en tous points réussi. La Fanfare
l’ « Union de Lille » exécuta là aussi ses
plus beaux morceaux.
A l’issue de la fête, il fut remis à cha-
que présent un pot-au-feu.
Assemblée générale statutaire de
Chambre syndicale du commerce
détail des boissons du département
Nord. — On nous communique :
A TRAVERS LA VILLE
Afin de fêter le 90e anniversaire de la
création de son Corps de Sapeurs-Pom
piers, la Municipalité de La Madeleine
a décidé d’organiser, le dimanche 29 mai,
un Congrès régional de soldats du feu,
sous la présidence d’honneur du com
mandant Mahieu, président des Corps de
Sapeurs-Pon piers du Nord de la France.
Le programme officiel de cette belle
fête, paraîtra d’ici peu. Déjà les adhé
sions arrivent nombreuses de la Belgi
que, du Pas-de-Calais et du Nord.
L’Arbre de Noël chez les Anciens Pri
sonniers Civils. — Comme chaque année,
la Fédération des anciens prisonniers ci
vils et des victimes civiles de la guerre
a organisé, le 25, à son siège social, 1, rue
Saint-Valéry, son arbre de Noël pour les
enfants de ses membres adhérents et les
enfants pauvres inscrits. Des coquilles,
bonbons et des pull-over furent distri
bués par le Père Noël en personne. M.
Busin, président de la Fédération des A.
P. G., a remercié les parents et les géné
reux donateurs, ainsi que M. Lavallez,
Mlle Thabel, Mme Lavallez et Mme Busin,
du Comité de l’Arbre de Noël.
L’assemblée générale annuelle de la Fra
ternelle des Combattants roubaisiens aura
lieu le dimanche 16 janvier 1938, à 9 h. 45,
au Casino.
Il n’est aucunement exagéré de qualifier
de sensationnelle cette réunion, car non
seulement elle sera présidée par M. le gé
néral Doumenc, commandant en chef de la
Ire région militaire, mais l’ancien minis
tre des Pensions, M. Rivolet, secrétaire gé
néral de la Confédération nationale des
mutilés, combattants, veuves de guerre, pu
pilles de la nation et victimes de la guerre,
viendra porter la bonne parole à ses cama
rades les combattants roubaisiens. Ce sera
la 3e fois que le Comité de la Fraternelle
aura le grand honneur de recevoir M. Ri
volet. Chaque fois, il y eut une salle com
ble pour l’écouter et l’applaudir. Il en sera
de même, cette fois encore, sans aucun
doute, surtout quand nous aurons dit à
nos lecteurs que M. Antoine Redier, l’au
teur de « la guerre des femmes » sera éga
lement présent ce jour-là, accompagné de
son épouse, l’ex-Mlle Marie-Léonie Van-
[ houtte ou « Charlotte », l’héroïne rou-
baisienne du film « Sœurs d’Armes », qui
obtient actuellement tant de succès par
tout en France et à l’étranger.
Le fin conférencier, l’écrivain érudit
qu’est M. Antoine Rédier parlera égale
ment au cours de cette assemblée.
Comme pour toutes les assemblées géné
rales de la Fraternelle, le Conseil d’ad
ministration convoque à cette réunion les
camarades de ses sections de Wattrelos,
Wasquehal, Hem, Lannoy, Toufflers, Leers
et Flers-Brœucq, il leur demande simple
ment d’être porteurs de leur carte indivi
duelle de membre de section de leurs com
mune.
Les éboueurs et les étrennes
MARCQ-EN-BARCUL
Un voleur est pris en flagrant délit
On nous prie de rappeler que l’Adminis
tration Municipale croit répondre aux sen
timents unanimes en décidant que la quê
te traditionnelle du personnel de l’ébouage,
à l’occasion du Nouvel An est interdite.
Depuis un certain temps, M. Paul Fieu- |
rice, tenancier du café de la Barrière, rue
Pasteur, 4, s’apercevait que le contenu de
son tiroir-caisse ne correspondait pas avec
le produit de sa vente. Persuadé que quel
qu’un devait y effectuer de temps à autre
certains prélèvements, le cafetier se dé
cida à déposer au commissariat de police
local une plainte pour vol. Une enquête
fut aussitôt ouverte par M. Desrumaux,
commissaire. Celui-ci eut bientôt la con
viction que les vols devaient avoir lieu la
nuit, et ne pouvait être l’œuvre que d’un
habitué de la maison. Désireux de prendre
ce dernier sur le fait, le commissaire dé
tacha sur place le brigadier Freumeaux et
le garde Damarez qui, dans la soirée de
lundi, se postèrent en surveillance, dans la
cuisine de l’établissement. Leur attente fut
Les fêtes chômées en 1938
à Roubaix-Tourcoing
Elle est arrêtée le lendemain matin
Germaine Pichon, 43 ans, plongeuse,
sans domicile fixe, est une indésirable
dont le casier judiciaire est particuliè
rement chargé. Titulaire de nombreu
ses condamnations, elle totalise déjà 40
années d’interdiction de séjour.
Revenue à Lille ces derniers jours, la
femme Pichon se rendit, lundi vers
18 heures, chez sa tante pour lui de
mander asile.
Celle-ci, Mme Vandenberghe, 68 ans,
cabaretière 1, rue Wicar, accepta d’hé-
berger sa nièce, mais auparavant, elle
lui demanda de l’accompagner pour por
ter un paquet au numéro 150 de la rue
Gustave-Delory.
Les deux femmes partirent donc en
semble.
Arrivée à l’adresse indiquée, Ger
maine Pichon, profitant de l’obscurité,
frappa sa tante d’un violent coup de
poing au visage. Celle-ci, assommée,
s’écroula. Lorsque, quelques instants
plus tard, la sexagénaire revint à elle,
sa nièce avait disparu en emportant son
tablier dans la poche duquel se trou
vait une somme de 200 francs. La pauvre
vieille rentra chez elle, où une nouvelle
surprise l'attendait.
Germaine Pichon avait en effet péné
tré dans le café en brisant une vitre de
la porte d’entrée. Le tiroir-caisse avait
été fracturé et son contenu — une som
me de 15 francs environ — avait été
soustraite.
Mme Vandenberghe se décida alors
à porter plainte contre sa nièce.
Mardi matin, de très bonne heure, la
police retrouvait la coupable dans le
quartier Saint-Sauveur ; elle était ivre.
Germaine Pichon avait passé la soi
rée dans les estaminets et c’est dans un
état lamentable qu’on la découvrit.
Elle a été conduite au commissariat
central, service de la Sûreté et déférée
ensuite au Parquet de Lille.
VOL D’OUTILS
M. Bernard Gœdehand, chef du chan
tier de la nouvelle Faculté de Droit,
rue Enrico-Ferri, a porté plainte pour
vol de plusieurs outils valant au total
170 francs, commis au cours de l’absence
des ouvriers durant les fêtes de Noël.
UN CAMBRIOLEUR
SOUS LES VERROUS
La Sûreté a arrêté un individu nom
mé Jules Bodin, 47 ans, qui, le 22 dé
cembre, avait cambriolé le domicile de
Mlle Bufkens, lingère, 40, rue d’Angle
terre, et avait notamment emporté un
bracelet en or d’une valeur de 1.000 frs.
Au Comité de défense des chômeurs de
Lille. — Le Comité de défense des chô
meurs de Lille, dont le siège est au 200, rue
Léon-Gambetta, à Lille, remercie tous les
commerçants de Lille qui ont bien voulu
apporter leur obole ou leurs dons en na
ture pour l’organisation de l’arbre de Noël
des enfants des sans-travail.
Les dirigeants du Comité remercient éga
lement tous les artistes qui ont bien vou
lu prêter gracieusement leur concours pour
le succès de cette matinée, ainsi que le
tenancier de la salle du Lion d’Or, de tou
jours mettre gracieusement à leur dispo
sition, ladite salle.
Environ 250 lots ont été distribués à la
tombola qui termina cette séance et cha
que enfant des adhérents a été satisfait des
friandises reçues.
Pour terminer les échos de cette fête,
tous les chômeurs sont invités à la réunion
qui aura lieu au siège, le jeudi 30, à 15 h.
Pour tous les chômeurs qui désirent des
renseignements, il y a une permanence au
siège du Comité, tous les mercredi et ven-
[ dredi, de 14 à 16 heures.
longue et les policiers commençaient à per
dre tout espoir lorsque, vers 4 heures du
matin, ils perçurent Un léger bruit. Une
clef grinça dans la serrure de la porte de
la salle à manger, donnant accès dans le
débit, et un individu s’introduisit dans le
café. Bondissant de leur cachette, les gar-
des s’emparèrent de ce mystérieux visiteur,
qui n’était autre que le logeur des époux
Fleurice, Henri Blommaerts, 57 ans, sujet
belge, exerçant la profession de manœu
vre. Surpris en flagrant délit, ce dernier
ne put nier les vols. Les gardes le condui
sirent aussitôt au commissariat de police,
où M. Desrumaux vint l’interroger quelques
instants plus tard. Blommaerts avoua que,
depuis environ un an, il dérobait, plusieurs
fois par semaine, dans le comptoir du café,
des sommes variant entre cinq et dix fr.
Afin de se faciliter la besogne, il n’avait
pas hésité à se fabriquer une fausse clé.
Il a été transféré à Lille, hier mardi, dans
l’après-midi et déféré au Parquet par les
soins de la police marcquoise, qu’il con
vient de féliciter pour cette heureuse cap
ture.
Marché du Pont de Marcq. — En raison
des fêtes du Nouvel An, le marché hebdo
madaire du Pont de Marcq se tiendra cette
semaine le vendredi 31 décembre.
Voici le calendrier des fêtes chômées
pour 1938 :
A ROUBAIX
Samedi 1er janvier, Nouvel An ; lundi
18 avril, Pâques ; lundi 25 avril, Foire ;
dimanche 1er mai ; jeudi 26 mai, Ascen
sion ; lundi 6 juin, Pentecôte ; jeudi 14
juillet ; lundi 1er août, fête des Fabri
cants ; lundi 15 août, Assomption ; lundi
5 septembre, ducasse ; mardi 1er novem
bre, Toussaint ; vendredi 11 novembre.
Armistice ; dimanche 25 décembre. Noël.
A TOURCOING
Samedi 1er janvier. Nouvel An : lundi
18 avril, Pâques ; dimanche 1er mai ;
jeudi 26 mai, Ascension ; lundi 6 juin,
Pentecôte ; jeudi 14 juillet ; lundi 1er
août. Foire ; lundi 15 août, Assomption ;
lundi 5 septembre, fête Saint-Louis ; mar
di 1er novembre, Toussaint ; vendredi 11
novembre, Armistice ; dimanche 25 dé
cembre, Noël. ,
Etat-Civil. — Naissances. — Jean-Marie
Prouvost, de Kain (Belgique) ; Louise Le
fèvre, de Tourcoing, née 60, Boulevard de
Cambrai ; Serge Grzebiemowski, Grande-
Rue, 215 ; Liliane Deschampheleere, de
Neuville-en-Ferrain.
Publications.
Jules Desablin, détâ-
Harmonie « Les Amis du Plouich ». —
Demain jeudi, à 20 h. 30. au siège, café
Moral, 125, rue Pasteur, répétition générale
pour les musiciens et membres de la clique.
Amicale des Sous-Officiers de réserve. —
L’Amicale des Sous-Officiers de réserve or
ganise pour le dimanche 23 janvier pro
chain. sa fête annuelle qui se déroulera en
la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville. La
fête consistera en un bal à grand orchestre
qui remportera certainement le plus com
plet succès.
cheur, rue Guizot, 3 et Mathilde Féret,
commerçante, rue Paul-Bert, 13 ; Robert
Wacheux, agent de publicité, 21, Grande-
Place, et Yvonne Detournay, rue Léon-
Allart, 17 ; Georges Artzet, négociant, rue
d’Isly, 132, et Claire Fontier, rue de Bou
vines, 36 ; Paul Henno, piqueur de car
tons, 75, rue de Denain, et Blanche Du
four, manutentionnaire, rue de Maubeu-
ge, 102 ; Henri Vandenberghe, rue Victor-
Hugo, 150 et Julia Berthe, rue Victor-
Hugo, 150.
Décès : Florent Monnier, 72 ans, rue St-
Jean, 52 ; Michel Trila, 8 ans, rue Ingres,
347 ; Marie Catteau, épouse Duquesne, 59
ans, rue de la Perche, 27. Imp. du Sud, 16 ;
Jean Decout, 76 ans, rue de Barbieux, 35;
Eugène Gadenne, 56 ans, Avenue Cordon
nier, 21 ; Pierre Vanassche, 80 ans, rue de
Blanchemaille, 37.
FACHES-THUMESNIL
Noël chez les «Lou Païs»
M. Savreux, commissaire de police,
reçoit la Médaille Militaire
Une belle conférence de M. le capitaine
de la Brosse à l’Amicale des Anciens
chasseurs à pied et alpins
L’OUVERTURE
D’UN JARDIN D’ENFANTS
Centre d’études et de documentation pro
fessionnelle. — Le 23 décembre, M. Leleu,
directeur du Centre, fit un exposé récapi
tulatif des cours depuis octobre 1937.
Il félicita les professeurs et remercia les
auditeurs de leur ponctualité et de l’intérêt
montré à ces cours.
Cette causerie clôture les cours de 1937.
Les conférences du Centre d’études repren
dront le 13 janvier 1938.
M. Matte, président du Syndicat de la
Presse périodique, parlera de l’hygiène dans
les entreprises artisanales.
Les cours et conférences du Centre
d’études ont lieu tous les jeudis, à 19 h.
précises, 6, boulevard Louis-XIV (entrée
n° 6), Ecole Nationale des Arts et Métiers
àLille. Ils sont entièrement gratuits. Il est
toujours possible de s’inscrire au Centre
d’études, 18, rue de Brigode, Lille.
Ce
chez
fut une belle réunion mercredi
les Vitriers, à l’ordre du jour :
la
en
du
L’assemblée générale statutaire de notre
organisation aura lieu le jeudi 30 décem
bre courant, à 19 h. 30, en la salle de
l’Hôtel de l’Europe, 27, rue des Buisses,
mise gracieusement à notre disposition par
notre ami et adhérent M. Lemaire.
L’ordre du jour comportera les rapports
financier et moral de l’année 1937, et avec
une revue très large sur l’action de la
Chambre syndicale et un examen intéres
sant des questions les plus d’actualité. Le
président rendra compte des dernières dé
marches faites à la Présidence du Conseil
et de l’état du projet de loi concernant la
liberté commerciale.
conférence par M. le capitaine de la
Brosse, ancien des 4e et 16e B. C. P.,
orateur distingué, ce brillant officier bre
veté fit revivre toute l’histoire des Chas
seurs à Pied : la naissance en 1742 avec
Fischer, leur brillante action dans les
troupes de Bonaparte sous la révolution,
le premier surnom « Les Ours », qui leur
fut donné par leurs adversaires espa
gnols, la dissolution, la renaissance en
1838, avec les Chasseurs de Vincennes,
la prédiction réalisée du Maréchal Soult
sur le chiffre de 10 Bataillons nécessai
re - à la France, les belles campagnes
extérieures, la guerre de 1870 et celle
de 1914.
Le président Blavoet fut vraiment l’in
terprète de tous lorsqu’il remercia l’éru
dit conférencier, car les anciens Chas
seurs ont passé une agréable soirée en
écoutant les détails, neufs pour beau
coup d'entr'eux, de la vie de ceux qui
ont hérité d’un deuxième surnom « Les
diables bleus ».
On remarquait la présence de M. le
lieutenant-colonel Hamant, d M. Hau-
welle, de M. le bâtonnier Arnoux ; de
Me Olivier, des capitaines Paris, Avet,
etc., M. le colonel Bruneau s’était fait
excuser.
La prochaine conférence trimestrielle
sera donnée le mercredi 30 mars 1938 par
M. Olivier, commandant de réserve, com
me sujet « Driant ».
Nous apprenons qu’une permanence
sera tenue, 118, rue Jacquemars-Giélée,
les jeudis 30 décembre et 6 janvier, de
10 à 12 heures, pour répondre aux de
mandes de renseignements concernant
l'ouverture d’un jardin d’enfants, 42, rue
de Bourgogne, à Lille.
L’Association de l’Aide aux Mères, en
adoptant un jardin d’enfants au nombre
de ses activités, croit répondre au désir
de bien des jeunes mamans, soucieuses
de se faire seconder dans la tâche déli
cate des premières années d’éducation.
Nous avons dit, ici même, tout l’inté
rêt de cette initiative, pour les tout-
petits de 3 à 6 ans.
Amicale des Anciens du 6e régiment de
Chasseurs à cheval. — Samedi 25, a eu
lieu au Foyer du Soldat, la fête de l’Arbre
de Noël, réservée aux enfants des sociétai
res.
Cette fête, présidée par MM. E. Gros, J.
Degruson, vice-présidents, M. Bazon, admi
nistrateur, entourés de Mmes Gros et
Bazon, bienfaitrices de l'Amicale et des
membres du Conseil d'administration, avait
groupé 160 enfants charmants et leurs pa
rents.
Profitant de cette belle réunion de fa
mille, M. Gros remit à Léonce Vandenbus-
che, administrateur de l'Amicale, la Mé
daille militaire qui lui a été attribuée à
la suite de brillants états de services et de
citations élogieuses.
Après l’audition de gentils scouts de la
troupe de Templemars et la visite du Père
Noël, une ample distribution de jouets et
de friandises fit la joie des enfants.
DANS LES SOCIÉTÉS
Musique Municipale. — Jeudi 30 décem
bre, répétition à 19 h. 30, au siège. Mairie
de Lille.
Vendredi 31 décembre, rassemblement
des musiciens, tambours et clairons. à
14 h. 15. Hall des Sahuteaux, Hôtel de
Ville, pour service.
Caisse de Solidarité des fonctionnaires
municipaux. — Mercredi 29, à 18 h- 15,
salle des adjudications, Hôtel de Ville de
Lille, assemblée générale.
Sur la tombe de M. Roger Salengro. —
M. Marius Dubois, député d'Oran, et Mada
me, accompagnés de M. Eugène Dereuse,
député-maire de Lomme, et Madame, sont
allés, dimanche matin, déposer une gerbe
de fleurs sur la tombe de Roger Salengro,
au nom de la Fédération algérienne du
parti socialiste.
Parmi les médaillés militaires qui vien
nent d’être conférés par le ministre de
l’Air, nous relevons avec plaisir au « Jour
nal Officiel » du 25 décembre, le nom de
M Louis Savreux, commissaire de police
de Fâches-Thumesnil et de Ronchin.
M. Savreux a passé un examen à Paris
en novembre 1936 et a été nommé commis
saire de police le 1er juillet dernier, après
avoir servi seize ans dans l’Armée où il
était brillamment noté.
Engagé volontaire en 1920 au 43e régi
ment d’Infanterie, il fit avec ce régiment
l’occupation de la Ruhr comme sergent-
fourrier. Rentré en France en 1924, et at
tiré par l’aviation, il demanda et obtint
de passer dans cette arme et revint à l’ar-
mée du Rhin. Breveté mitrailleur, observa
teur en avion, il passa successivement ser
gent-chef, adjudant et adjudant-chef, et la
médaille qui vient de lui être conférée à
compter du 30 juin 1937, est la juste ré
compense de ses services justement ap
préciés.
Ajoutons que M. Savreux qui a déjà su
I conquérir l’estime de toute la population
et de ses subordonnés, par son action cal-
rne et réfléchie, vient d’être inscrit
un avancement de classe dans ses
tions actuelles.
pour
fonc-
ARRONDISSEMENT
DE .
LILI
Un jeune ouvrier de ferme
est arrêté à Capinghem
La gendarmerie d’Armentières a pro
cédé à l’arrestation d’un jeune ouvrier
de ferme, Jean Thielemans, 19 ans, qui
travaillait chez M. Auguste Simon, cul
tivateur, rue d’Ennetières, à Capinghem.
Alors que ses patrons étaient partis à
la messe de minuit, le jeune ouvrier, qui
loge en dehors de l’habitation, s’était
introduit dans celle-ci en escaladant un
toit et en brisant un carreau. Il a pré
tendu ne rien avoir dérobé, mais a
avoué n’avoir pénétré que dans la cham
bre de la fille de M. Simon.
Thielemans a été transféré devant le
Parquet de Lille.
RONCHIN
Amicale Jules-Fostier. — Samedi
a eu
Jules-
lieu le concert annuel de l’Amicale
Fostier. Une assistance considérable em-
Récemment, a eu - au à Tourcoing, au
siège de l’Association des Méridionaux
« Lou Païs », la fête de l’arbre de Noël
pour les enfants des riembres de ce
groupement.
Cette fête enfantine fut précédée le
matin d’une assemblée générale à la
quelle assistèrent nombreux les mem
bres anciens et nouveaux résidants dans
la région.
A l’issue de l’assemblée, le déjeuner
amical prévu rassembla autour de M. le
docteur Charrasse, président, la pléiade
des personnalités méridionales de la pé
riphérie de Lille, Roubaix-Tourcoing, et
ce fut dans une atmosphère de franche
gaieté que se déroulèrent ces agapes, ac
compagnées de chants du terroir, de ga
léjades et d’histoires hilarantes dont les
méridionaux ont le secret.
Une dissertation sur le Périgord, faite
par M. Paul Touraine, obtint un reten
tissant succès.
Au repas, succéda la fête de l’Arbre
de Noël, tout enguirlandé et illuminé,
qui fit l’admiration de tous, grands et pe
tits. La distribution des jouets et d’abon
dantes friandises s’ensuivit.
Une magnifique tombola réunissant de
nombreux lots fut alors tirée. Un ta
bleau, œuvre remarquable d’un membre
de l’Association, M. Vives, obtint un
grand succès de surenchère auprès des
nombreux assistants.
Une sauterie endiablée clôtura cette
joyeuse fête, non sans -voir admiré la
jeune et gracieuse danseuse « Didi
Drouffe », dans tout l’éclat de son talent.
plissait la salle. Parmi les personnalités
présentes, nous avons reconnu MM. Pré
vost et Géraerd, de la Municipalité ; Mon
nier, Verrier et Mlle Giraudot, de l’Ecole
Fostier ; Mme Verrier et Mlle Payen, de
l’Ecole Voltaire ; MM. Payen ; M. et Mme
Bacroix ; M. et Mme Eugène Bacroix, ex
président de l'Amicale, etc...
Des bravos nourris accueillirent tous les
artistes, petits et grands, et l’assistance
se retira enchantée d’une après-midi qui
laisser à tous un agréable souvenir.
A l’issue du concert eut lieu la distribu
tion de cache-nez, oranges et coquilles, ce
qui fit la joie des enfants et des parents.
Le soir, à 20 h. 30, un bal de famille fort
animé qui se termina tard dans la nuit
clôtura cette fête.
HELLEMMES
Un
accrochage. — Une collision
entre
Union Régionale des comités de chô
meurs du Nord et du Pas-de-Calais. —
On nous communique :
L’Union Régionale des comités de chô
meurs du Nord et du Pas-de-Calais invite
les membres du bureau à assister à l’im.
portante réunion qui aura lieu le mardi
4 janvier à 9 heures, au siège, 90, rue de
Douai à Lille (1er étage).
Bal de l’aviation. — La section de Lille
des sous-officiers de réserve de l’armée de
l’air, organise comme chaque année, un
grand bal de gala placé sous le naut patro
nage du Ministère de l’Air et donné au
profit d’une grande œuvre de bienfaisance.
Cette soirée aura lieu le samedi 12 fé
vrier. à 21 h. 30. dans les luxueux salons
du Royal-Hôtel de Lille.
On bâtit. — Relevé des autorisations de
bâtir des constructions neuves, délivrées
par le bureau d’hygiène au cours du mois
de novembre 1937 :
Rue Victor-Renard, 61 ; rue Hippolyte-
I Lefebvre ; rue Germain-Pilon, 1 ; rue
Louis-Spriet ; rue Ph.-de-Comines, 49.
Pour l’enfance malheureuse. — Les diri
geants de la « Bourse aux Timbres » de
Lille ont commencé la campagne en faveur
du Timbre antituberculeux.
Ce moyen de faire le bien est à la portée
de tous, et ils ne doutent pas que tous les
gens de cœur répondront a leur appel.
Iis s’adressent a tous : commerçants, in
dustriels, particuliers, écoliers et les prient
de vouloir bien envoyer régulièrement à
la Bourse aux Timbres, 13 et 15. place
Rihour, tous les objets, livres, bibelots,
timbres tant étrangers que français que
peut leur fournir leur courrier. Ces vignet
tes seront vendues au seul profit des œu
vres antituberculeuses, anticancéreuses, al
longés de Berck.
L’année dernière, les élèves des écoles de
Lille, ont répondu avec empressement à cet.
appel et les jeunes gens les plus méritants
ont été remerciés par un souvenir qui leur
fut remis par la Bourse aux Timbres.
La belle œuvre du Timbre antitubercu
leux, remportera cette année encore, nous
en sommes persuadés, un beau succès et
la Bourse aux Timbres de Lille pourra à
nouveau acheter quelques milliers de vi
gnettes.
D’avance, ce groupement vous adresse
ses très sincères remerciements pour les
envois de timbres que vous ne manquerez
pas de lui faire.
LAMBERSART
A propos d’un cambriolage. — Nous
avons relaté dans une précédente édition,
le cambriolage commis au préjudice de M.
Claude Marie, demeurant Avenue Gabrielle-
Grulois. La gendarmerie, poursuivant son
enquête, a retrouvé le propriétaire des
clefs retrouvées près du coffre-fort et lais
sées par les cambrioleurs. C’est un Lillois
au préjudice duquel avaient été volés
plusieurs objets dans son auto en station
nement Boulevard Carnot, à Lille en no
vembre dernier.
voitures automobiles a eu lieu hier, vers
15 heures 30, à l’angle des rues Fenelon et
des Travailleurs.
M. Marcel Mallet, chauffeur au service
de la Brasserie du Pélican, à Lille, venait
de la Chapelle-d’Elocques, conduisant son
lourd véhicule, quand, arrivé à hauteur de
la rue des Travailleurs, il se trouva face
à face avec l’automobile de M. Saint-Léger
demeurant rue Pascal. 12, à Fiers-Bourg.
M. Mallet ne put éviter le choc et les voi
tures entrèrent brutalement en collision;
fort heureusement, il n’en résulta que des
dégâts matériels assez importants. .
L’Arbre de Noël au groupe des A. C. du
Brun-Pain. — C’est devant de nombreux
adhérents et leurs familles qu’eut lieu la
fête de Noël, dans la coquette salle de ci
néma de la rue des Champs, sous la pré
sidence d’honneur de M. Cyrille Beuque.
La distribution de vêtements, coquilles,
oranges fut faite à plus de deux cents
enfants par les dévoués membres de la
Commission Ensuite, eut lieu la partie ré
créative de la soirée, où les films proje
tés sur l’écran firent la joie des petits
et des grands.
A l’entr’acte, le président, M. Alphonse
Hardy, adresse les plus sincères remer
ciements du groupe à son dévoué président
d’honneur, M. Cyrille Beuque, qui, malgré
les lourdes charges auxquelles il doit faire
face, continue sans relâche à aider les
combattants en toutes circonstances, et à
tous les membres bienfaiteurs.
Théâtre municipal. — Pour les fêtes de
l’An, cinq représentations de l’opérette à
grand spectacle, « Rose-Marie », en trois
actes et 10 tableaux. Décors et costumes
de la création. Luxueuse mise en scène.
Location : mercredi pour la soirée de ven
dredi, jeudi pour les représentations de
samedi, vendredi pour celles de dimanche.
LOMME
A Saint-Christophe. — Ce mercredi 29. à
19 heures 30, une conférence sera donnée
par M. Muller. ingénieur A. M.. sur « La
Suisse, la route des sept cols ». Cette con
férence, intéressante par elle-même et ac
compagnée de projections lumineuses, sera
faite salle du Foyer des Cheminots, rue
Elie-Petitprez, cité de Lille-Délivrance.
HAUBOURDIN
Les
Orphéon « L a Lyre Amicale ». —
jeudis 30 décembre 1937 et 6 janvier 1938,
pas de répétition.
Chez les bourleux. — En raison des fêtes
de la nouvelle année, la Société Saint-
Pierre informe ses membres que les prix
du mois qui devaient avoir lieu le diman
che 2 janvier, sont reportés au dimanche
9. à 17 heures.
Le dimanche 16, aura lieu au siège de la
Société Saint-Pierre, Café Jean De Stop-
pelier, 86, avenue de la Gare, un concours
de boules à la platine, 200 francs de prix.
Tous les amateurs sont invités.
Etat civil du 28 décembre. — Naissances:
Claude Allaerd, rue des Piats, cour Saint-
Louis, 10 ; Jean-Pierre Herman, rue
d’Anor. 5 ; Josette Favorel, rue des Car-
liers, 199 ; Lucette Rasson, rue Saint-Jac
ques, 28 ; Francine Sagniez, rue Jules-
Ferry, 31 ; Alfred Goeman, rue du Blanc-
Seau. 174.
Publications de mariages : Léon Thirio-
net, houilleur, à Divion, et Blanche Hen
nin bonne, boulevard Gambetta. 19 : Paul
Deleurence, journalier, rue de Paris, 235,
et Madeleine Choquet, soigneuse, rue La
martine. pavillon 8, appartement 287.
Décès : Emile Gaudin, 21 ans, étudiant,
célibataire, rue du Nord, 24 : Léon Des-
plechin, 34 ans, rattacheur, épouse Ger
maine Lefay, rue de l’Yser, 332 ; Julien
Marchand, 5 jours, rue Rouget-de-l’Isle,
108 : Jeannine Marchand 5 jours, rue
Rouget-de-l’Isle, 108 ; Constance Duval,
73 ans, veuve Marie Sorel, rue de Mel
bourne, 84 ; Marthe Wyckaert, 50 ans, ép.
Louis Gaudin, rue du Nord. 24 ; Emile
Baisez, 76 ans, ép. Zélie Legrand, rue du
Clinquet, 83
ontoreresme:
LES SUITES D’UN VOYAGE EN RUSSIE
TgeOISieM. Kléber Legay
tooing réplique à ceux
qui prétendent
le désavouer
niants
la région du
ailles large,
érité depuj s
e, dans cer-
la dépopula- _
à l exemple, q U ’ii
>up de Con- iéré
Le
livre de M. Kléber Legay sur ce
vit en Russie — rapport bien mo ¬
-- en comparaison de ce qui fut pu-
s les f • 1 blié par des syndicalistes anglais ou
a con® mil- américains — continue à provoquer des
■es parrvé, incidents, les communistes voulant à
nombrour tout prix détruire l’effet de ces consta-
fit de se. tâtions irréfutables sur la déplorable
es Fami r " condition de l’ouvrier soviétique.
aant la ss C’est ainsi qu’à la suite d’une réunion
tembres vJ s V n ^ ca ^ e tenue à Somain un commu-
7 niqué a été remis à la Presse qui disait
liminaires, ceci :
suggestifs, g En réponse à de nombreuses observations
ands-aïeul. posées au sujet du livre de M. Legay, M.
ndants — Morival Marceau a déclaré nettement que
es Aug.f” MM. Martel Henri, Morival Henri et Mar-
+, 192 e ceau, ainsi que le Conseil d’administration
notit en- du Syndicat des mineurs du Nord, n’a-
e-pe “ren- vaient jamais autorisé un de leurs mem-
at la mère bres à se servir de leurs noms et de leurs
n. Qui en titres, pour la publication d’un livre sur
al-Leclercq, les mineurs en Russie.
t M. Henri A la suite de cette communication,
J M. Kléber Legay a rédigé cette mise au
3 “4 à 38 point qu’il est certainement utile de
1 publier :
ensé pour ■•
s, 5 de 13,
70 de 9 et
le sept en-
re impres-
' Président du Syndicat des Mineurs du
Nord, j’ai été chargé d’une mission
“r
g.
Des jeunes gens avaient
«emprunté» successivement
trois voitures et provoqué
un accident
Y aura-t-il une nouvelle
grève des « boueux» ?
LA MADELEINE
Les abonnements sur les tramways
Guerre au bruit !
La Commission municipale, état-major de la nouvelle armée
du Silence, réussira-t-elle dans sa tâche ?
mt ensem-
lle moyen-
gions qui
un pareil
pareille-
pays ?
lomicilié
retiré
Lille
ice locale
iait d’être
proximité
dse », pat
e M. Emi-
né de ses
c, se ren-
d’identité
davre, ce-
lue.
ar la po-
issait du
de natio.
à-Vendin,
lors qu'il
M. Mata-
it par le
D
oser de
! en lui-!
■ave en-
dit dé-
aves ne
que de
côté de
n spec-
nent où
se com-
. Geor-
es, par
damna-
i, vice-
VI, Dor-
Vincent
on est
France
ctionne
USE
que le
Lyon,
jours-ci
jet des
s com-
r deux
on soit
d’étude dans les Mines russes.
A mon retour, j’ai rendu compte de
celle-ci à mon conseil d’administration
dans deux réunions spéciales les 6 et
13 décembre 1936.
A ces réunions assistèrent MM. Henri
Martel, Marceau et Henri Morival, qui
tous trois sont allés en Russie depuis
1928. Ils ont entendu et admis le compte
rendu identique à celui contenu dans
mon livre dont il est fait allusion à la
réunion de Somain.
Aucun d’eux n’ayant fait, à propos
des faits révélés par moi et transcrits
dans le livre « Un Mineur Français chez
les Russes », aucune observation ni con
testation, je me suis cru autorisé sans
pour cela être dans l’obligation de de
mander à qui que ce soit l’autorisation
de le faire connaître aux mineurs, de
manière à ce que ceux-ci aient l’assu
rance que le récit de mon voyage était
le reflet de la vérité la plus pure, puis
qu’il n’a été contesté par eux, ni d’au-
très.
Syndicaliste et responsable d’une or
ganisation de mineurs qui œuvre à
l’amélioration du sort de nos adhérents,
je n’ai pas à rechercher si la narration
d’un voyage, sert ou dessert des inté
rêts politiques ou de parti, mais à faire
connaître aux mineurs français, la si
tuation faite aux mineurs d’un autre
pays que des personnalités politiques
tentent à nous offrir comme enviables
pour nous, alors que, pour aussi grand
que soit l’effort d’amélioration qu’il res
te à faire, pour que les mineurs fran
çais trouvent des conditions de vie et de
travail meilleures, ils sachent que leurs
conditions sont, et de beaucoup, plus
avantageuses en tous points à celles des
mineurs russes, dont on a trop exagéré
les avantages pour des fins que person
ne n’ignore.
J’accepte, pour avoir eu le courage
d’écrire la vérité, vérité que d’autres
savaient mais ont toujours cachée pour
des raisons qu’il leur appartient de faire
connaître, d’être la cible contre la
quelle on braque toutes les campagnes
de dénigrements systématiques, par
ordre d’un organisme extra syndical. Re
grettant toutefois que quelques militants
responsables au même titre que moi, du
Syndicat des mineurs du Nord, qui en
face de moi n’ont pas tenté la plus pe
tite contestation se prêtent à ces ma
nœuvres, nuisibles à la vérité et à l’in-
dépendance syndicale.
Il est profondément regrettable que
ces camarades placent l’intérêt d’un
parti, non seulement, ce qui est pourtant
important, au-dessus de la vérité, mais
au-dessus des intérêts des mineurs eux-
mêmes, ceux-ci pouvant être réellement
défendus, qu’en laissant en dehors du
syndicat leurs préférences politiques et
de parti.
Favoriser dans le syndicat, les visées
d’un parti qui poursuit de sa haine un
militant syndical, qui s’oppose à sa main
mise sur l’appareil de direction de notre
organisation ne peut que faire courir
des risques très graves à l’influence de
notre syndicat, au moment où, plus que
jamais la présence de tous y est indis-
| pensable, quelles que soient ses opinions
politiques, si on veut lui conserver sa
puissance, et son autorité.
Que ceux qui prennent une telle res
ponsabilité. veuillent bien envisager les
conséquences possibles, qu’ils sachent
qu’envers et contre toutes les manœuvres
et intrigues, nous saurons justifier l’hon
nêteté et l’exactitude de nos informa
tions que nul n’a contestées par des
preuves contraires.
Délégué pour études et informations,
j’ai rempli ma mission ; ce n’est pas ma
faute si les faits portés à la connaissan
ce des mineurs en particulier, et de tous
les travailleurs en général, sont aussi
troublants, mais celle de ceux qui m’ont
précédé et qui jamais n’ont dit les cho
ses telles qu’elles sont réellement, alors
qu’ils avaient pour devoir de le faire.
La délégation des mineurs se compo
sant de cinq membres, tous responsa
bles des syndicats des mineurs, j’accep
terais volontiers que celle-ci se présen
te devant une assemblée spéciale des
responsables du mouvement syndical des
mineurs, pour me juger et me désapprou
ver s’il y a lieu, j’en fais même une
proposition formelle afin d’en finir une
fois pour toutes avec ces intrigues poli
tiques nuisibles à la liberté syndicale.
Qu’il plaise à certains de travestir la
vérité, c’est affaire à eux et à leur cons
cience de militant.
Kléber LEGAY,
Président du Syndicat des mineurs
du Nord.
La guerre est déclarée. La guerre est
déclarée aux bruits de toutes sortes qui,
depuis trop longtemps, troublent la vie
de la Capitale des Flandres.
Comme pour toutes les guerres mo
dernes, la déclaration n’a pas été rendue
publique. Ceux qui ont entrepris la lutte
contre le bruit entendent profiter le
plus longtemps possible de l’effet de sur
prise. La surprise est une des causes
principales de la réussite.
Mais les hostilités sont ouvertes !
D’abord, on a constitué une commis
sion. Je sais bien que vous allez sourire.
Vous aurez tort.
Il s’agit sérieusement de mettre fin à
un danger que les progrès du mécanis
me moderne rendent chaque jour plus
terrible.
La commission municipale « Contre
le Bruit » s’est d’abord occupée des
bruits « municipaux ».
Une signalisation silencieuse
Le premier, un conseiller a levé le
doigt et a dit :
— Peut-on supprimer les sifflets des
agents. Il y a belle lurette qu’ils me
vrillent le crâne... Ils sont stridents, co-
une voiture qui lui barre la route, le
sifflet à roulette du conducteur se fait
entendre avec une puissance et une téna
cité incomparables.
— Il est difficile de faire taire les
tramways, mais pourquoi ne pas exiger
que soient graissés les freins d’autobus,
dit un membre de la commission.
En effet, pourquoi ?
— Pour laisser à ces freins leur ma
ximum de force, disent les techniciens...
Mais voici que les foires retiennent
l’attention des « commissaires ». L’un
d’eux rappelle que M. le Préfet du Nord,
en pleine période de grèves, l’hiver der
nier, recevait ministres, délégations pa-
et ouvrières à longueur de
aux sons langoureux de « Ra-
et autres fantaisies venant de
Ils sont retrouvés et arrêtés
Les efforts conjugués de la police mu
nicipale d’Hellemmes et de la Sûreté
lilloise, ont permis de retrouver et d’ar-
rêter une bande de jeunes gens qui
s’étaient livrés, dimanche dernier, à des
« emprunts » successifs de voitures et,
provoqué, par surcroît, au volant d’une
de celle-ci, un accident de la circulation.
Voici, d’ailleurs, le récit de leur odys
sée :
Dimanche, vers 20 heures, Fernand
Martens, âgé de 18 ans, et demeurant à
Lille, rue des Tanneurs, se présenta,
accompagné d’une jeune femme, dans
un café de Mons-en-Barœul. Là, il in
vita son frère, Adrien, âgé de 22 ans,
et soldat au 61' R. A., à Metz, actuelle
ment en permission, ainsi que son ami,
Henri Carrée, domicilié 177, rue Jean-
Jacques-Rousseau, à Mons-en-Barœul,
à faire une promenade en auto.
— Dans une voiture, dit-il, que je
Une certaine effervescence règne. ac
tuellement parmi le personnel ouvrier
des Etablissements Vve Colin, entreprise
chargée de l’enlèvement des ordures
ménagères.
En effet, la direction de ce service au
rait décidé de licencier une quarantaine
d’ouvriers à la date du 1er janvier, par
suite de la fermeture de
cinérations.
Le personnel s’est ému
sure et des pourparlers
diatement engagés avec
son usine d'in-
d’une telle me-
ont été immé-
la direction de
LES CONFLITS SOCIAUX
tronales
journée,
mona »
la place
voisiqe.
Les bruits de la rue
Puis on en arrive aux bruits
par le public, par l’usager...
On fit une place d’honneur aux
chands de charbons, impénitents
léreux, abusifs.
Et un autre :
— Pardon, mais va-t-on encore long
temps nous crever les tympans avec les
sonneries des passages cloutés.
L’aimable échevin chargé de la cir
culation ne manqua pas cette occasion :
— Mon cher collègue, dit-il, je vais
vous rassurer. Sachez que Lille va bien
tôt bénéficier d’une nouvelle signalisa
tion lumineuse. Elle sera, cette fois, ré
glementaire et présentera trois lunettes
verticales, représentant le cycle interna
tional de succession des feux : vert,
jaune, rouge. Vert : passage libre ;
jaune : arrêt imminent ; rouge : arrêt
absolu ; rouge et jaune à la fois : dé
part imminent. Un écran lumineux sup
plémentaire dira aux piétons : « Atten
dez, passez... » Et naturellement, mon
cher collègue, en corollaire, suppression
de la sonnerie qui n’aura plus sa raison
d’être...
Après un murmure approbateur, un
autre commissaire prit la parole :
— Restent les cloches et sirènes mu
nicipales, dit-il...
— Les cloches ? Elles sont bien modé-
rées de nos jours et ne troublent pas
nos nuits.
Les sirènes ? Ce. sont celles de la dé
fense passive. Elles marchent une fois
par semaine, le samedi à midi. Elles
fonctionnent de midi à midi cinq minu
tes.
— Puisqu’au bout de dix secondes ont
sait qu’elles fonctionnent normalement,
pourquoi continuer l’expérience pendant
quatre minutes et cinquante secondes ?
gémit un commissaire.
Les services concédés
sont bruyants
Après les bruits municipaux, qui dé
pendent uniquement de l’autorité de la
commission, il faut s’en prendre aux
bruits des services concédés.
Ils sont nombreux. En général, ce qui
réveille le Lillois moyen, ce sont les
chocs successifs sur les trottoirs des pou
belles, prenant un rude contact avec le
sol.
Puis surgissent, au moment où le Lil
lois tente de se rendormir, les premiers
tramways et les premiers autobus. Sans
doute, les accidents causés par les tram
ways de Lille sont peu nombreux ; mais
croit-on qu’on n’obtiendrait pas le mê
me résultat sans ces coups de timbre
perpétuels ayant l’aurore hivernale et
tard dans la nuit ?
Parfois, quand le tramway rencontre
créés
mar-
son-
neurs de trompe.
Un « commissaire » se plaignit amère
ment du bruit créé la nuit pas les
monstrueuses tonnes à vidanges.
— Inodores, c’est très contestable, dit-
il ; mais insonores, ça n’est pas vrai du
tout. Il n’y a rien de plus odieux, la nuit,
que ce remue-ménage et ce teuf-teuf
qui n’arrêtent pas...
— Par ailleurs, pendant le jour, dit
un autre, il convient de réglementer
l’emploi dans la rue de ces véritables
mitrailleuses que sont les foreuses à
air comprimé...
— Et les sirènes d’usines ? Pourquoi
existe-t-il encore des sirènes d’usines
à une époque où tous les travailleurs
ont des montres ?
— Pourquoi les conducteurs de ca
mions laissent-ils tourner leurs moteurs ?
Pourquoi laisse-t-on aboyer les chiens
qui tirent les « poussettes » de mar
chands des quatre-saisons et les laisse-t
on réveiller le quartier des Halles, cha
que nuit, dès trois heures trente ?
— Et les haut-parleurs ? dit un autre.
— Peut-on faire taire les appareils
avertisseurs des voitures la nuit ? En
Belgique, à Paris, des prescriptions exis
tent...
— Oui, elles ont donné, en Belgique,
comme à Paris, d’excellents résultats.
Un automobiliste soucieux de ne pas
réveiller les citadins avertit à l’aide d’un 1
jet de lumière de ses phares. Nous avons
interdit l’emploi des avertisseurs. Le
premier délinquant s’est laissé traîner
en justice, après avoir refusé la contra
vention et...
viens de louer...
Les jeunes gens acceptèrent et s’ins
tallèrent dans l’auto qui partit, et à folle
allure atteignit bientôt le centre de Lille.
Puis ils revinrent à Hellemmes et,
de là, se rendirent à Mons-en-Barœul.
Au cours de leur randonnée, ils avaient,
en passant, démoli la barrière du pas
sage à niveau de la rue du Grand-
Balcon et pris la fuite aussitôt
Rentrés à Lille, les jeunes voleurs
d’autos renversèrent un piéton rue
Faidherbe, M. Dupont, domicilié au 90
de cette rue.
Sans se soucier de leur victime, qui,
heureusement, n’était que légèrement
blessée, les automobilistes amateurs
s’enfuirent... non dans leur auto, mais
dans une autre qu’ils « empruntèrent »
également, d’un commun accord.
Faut-il croire que celle-ci ne leur
convenait guère, car quelques heures
plus tard, ils l’abandonnaient pour en
reprendre une nouvelle.
Les trois voitures furent retrouvées
le lendemain, en des endroits divers.
La première appartient à M. Haquette,
99, rue Jeanne-d’Arc, à Hellemmes ; la
seconde, à M. Augustin Dallennes, 68,
rue Saint-Gabriel, à Lille, et la dernière,
à M. Vandendriessche, de Saint-Amand.
l’entreprise et les pouvoirs publics.
Au cours de l’après-midi de mardi,
des conversations ont eu lieu, à ce sujet,
à la mairie de Lille, entre les représen
tants des ouvriers, qu’assistait M. Ray
mond Dumoulin, secrétaire administra
tif de la Bourse du Travail, et M. Colin,
directeur desdits Etablissements.
Le secrétaire du syndicat des trans
ports, M. Tranché, s’est ensuite rendu à
la préfecture où il a eu un entretien
avec M. Gazagne, secrétaire général du
Nord.
Une nouvelle entrevue aura lieu, jeu
di, et elle réunira, à la préfecture, M.
Dehove, adjoint aux Travaux de Lille,
les représentants des ouvriers et la Di
rection des Etablissements Colin.
Lors de la dernière séance du Conseil
municipal de La Madeleine, le vœu sui
vant, présenté par M. Mérainy, a été
adopté à l’unanimité :
Que la Compagnie Electrique des Tram
ways de Lille et sa Banlieue soit mise dans
l’obligation de rétablir les abonnements
ouvriers comme par le passé.
Que la délivrance des billets d’aller et
retour ait lieu jusque 9 heures du matin,
ceci afin d’en faire bénéficier les employés
qui sont des travailleurs au même titre que
les ouvriers manuels.
Que l’unification des classes soit enfin
réalisée conformément à l’engagement pris
par la Compagnie Electrique des Tramways
de Lille et sa Banlieue lors de la dernière
augmentation des tarifs effectuée le 26
mars 1937.
Un Congrès de Sapeurs-Pompiers
CHAUFFAGE CENTRAL LABRE et FILS
52, rue Jean-Sans-Peur, LILLE. T. : 37.67.
11316
La fête de Sainte-Cécile
du «Bébé Orchestre»
Rédaction et Publicité :
48, rue des Fabricants — TéL 349.35
MM. Rivollet, ancien ministre
des Pensions, et Antoine Redier
à rassemblée des combattants
A l'Œuvre de l’Arbre de Noël
On nous communique les numéros ga
gnants des lots de la tombola tirée au
profit de l’Œuvre de l’Arbre de Noël, le
25, aux Ambassadeurs :
T 104 105 106
96
359
547
877
1031
1217
1269
1742
1910
2118
2329
2756
3388
3573
3713
3909
4058
4536
4734
103
379
548
885
1036
1234
1280
1745
1944
2163
2330
2842
3396
3576
3786
3957
4074
4549
487
573
908
1074
1236
1427
1748
1957
2201
2339
2851
3402
3579
3797
3986
4084
4579
495
590
915
1077
1238
1434
1756
1959
2224
2363
2858
3403
3580
3849
3995
4088
4647
496
661
974
1104
1241
1466
1793
1984
2254
2444
2885
3419
3587
3868
4003
4183
4666
184
506
680
983
1168
1251
1476
1824
1986
2294
2459
2920
3477
3614
3878
4012
4242
4676
315
528
822
1000
1183
1257
1537
1828
2052
2323
2452
2931
3497
3622
3881
4045
4354
4716
Les lots
sont
à retirer à
30, chez M. Daure, 10, rue
Etienne.
C’est à la suite de la plainte déposée
par M. Haquette, que la police d’Hel-
lemmes ouvrit une enquête.
André Carton
Les agents Melay et
retrouvèrent rapidement
voleurs présumés.
La Sûreté lilloise fut
la trace des
alors alertée,
et sa brigade
Le brigadier Carpentier - -
d’inspecteurs ne devaient pas tarder à
appréhender les trois jeunes gens et la
jeune fille, G... G..., âgée de dix-sept
ans, qu’ils amenèrent devant M. Entre-
mont, chef de la Sûreté.
Ce triste quatuor a été déféré au Par-
quet mercredi, à 14 heures.
prélat,
le com-
ne sais
allian-
i-même
s dire,
pensée
la c’est
lu Sou ¬
phrase
Divini
tte en
rôle à
léjà du
ms vP
re qui
eur de
ent la
mense
Fin de la grève
aux huileries Dumortier à Tourcoing
La grève qui avait éclaté aux établis
sements Dumortier, huileries, rue de
Rotterdam à Tourcoing, a eu une rapide
solution.
Les deux parties se sont entendues sur
la base d’une augmentation de 0 fr. 40
l’heure et les 300 ouvriers ont repris
le travail dès ce mercredi matin.
Dans le textile lillois
M. l’Intendant général a été désigné
comme surarbitre dans le conflit des
salaires du textile lillois.
Il recevra la délégation ouvrière, au
jourd’hui, et sa sentence ne serait con
nue que vendredi.
t qua
« Al-
», dé-
ais de
com-
e al-
e cou-
nêmes
s cou-
Pape»
L’assemblée générale
du Club Saint-Hubert
du Nord
petit
rir le
abinet
ignée,
re ça,
peu;
avent
L’assemblée générale annuelle du Club
Saint-Hubert du Nord aura lieu à Lille,
le lundi 10 janvier, à 18 heures, au siège
social, 11 bis, place de la Gare.
Lille.
Ordre du jour : allocation du président;
rapport moral ; rapport financier ; élec
tion du tiers sortant du Comité directeur ,
questions diverses.
Les sociétaires ayant l’intention de po-
ser des questions devant figurer à l’or-
dre du jour, ou désireux de faire acte
de candidature au Comité, devront obli
gatoirement en aviser le secrétariat avant
le 5 janvier à minuit.
— Et ?
— Et le juge lui a donné raison. Le
Code de la Route est formel à cet
égard... La ville a dû payer les frais du
procès... Aussi devons-nous être très pru
dents, dans l’attente d’une législation
plus moderne, adaptée aux nécessités
présentes...
Contentons-nous de l’Article V des
règlement municipaux sur la tranquili-
té publique qui dit : ,
« Les bruits, les cris, l’usage des ins
truments de musique bruyants, capa
bles de troubler le repos et la quiétude
des citoyens, sont interdits... »
Ayan t terminé, le président de la
commission leva la séance, tandis q’un
spécialiste des édits ajoutait qu’il fal
lait absolument supprimer l’additif à
l’article V, qui paraît aujourd’hui assez
étonnant dans sa concision :
— Les sonneries de cor de chasse sont
par exception autorisées au Bois de la
Deûle et sur la promenade du Préfet.
Et ce fut tout. L’avenir nous dira si ce
fut beaucoup de bruit pour rien.
A. C.
Les étrennes des chômeurs
350
538
846
1022
1211
1266
1658
1905
2112
2323
2734
3108
3547
3705
3906
4053
4497
4717
Jeudi
partir de . _
du Curé-Saint-
ACHETEZ DIRECTEMENT A L’USINEE
260 bis, Boulevard Gambetta, ROUBAIX
Les TAPIS du sartelI
des Et. Demarcq Fres, 1, Quai du Sartel
[La plus belle collection de MOQUETTES®
La plus grande variété de CARPETTES®
11422
« Bébé Orchestre » a donné sa messe de
Sainte-Cécile à l’église Saint - Benoit
labre, au profit de l’œuvre des berceaux
militaires.
Une foule énorme remplissait l’église.
Au 1er rang, M. le général Doumens,
commandant le 1er corps d’Armée et Mme;
M. le colonel Bornecque, commandant le
43e R. I. ; M. René Reubrez, président de
« Bébé Orchestre » ; MM. Dutoit et le ca
pitaine Tournon, vice-président de la So
ciété ; MM. Dupont et Duvillers, membres
de la Commission.
Une délégation importante de Louve
teaux faisait la haie d’honneur, sous la di
rection de Mlle Doumens.
Après une vibrante allocution de M. le
chanoine Régent, aumônier militaire, une
quête fut faite par Mmes Viaque et Tour-
non, infirmières de « Bébé Orchestre ».
L’Orchestre, sous la conduite de sa direc
trice Mlle Alice Depotte, exécuta d’une fa
çon magistrale le programme suivant :
« Noël », d’Holmès ; « Le Chorale », de
Bach ; la « Sérénade », de Schubert et
le « Numéro 4 du Ballet égyption ».
Après la messe, les vins d’honneur fu
rent offerts aux personnalités et M. René
Reubrez tint à remercier chaleureusement
MM. le général Doumenc et le colonel
Bornecque .d’avoir rehausser la cérémo
nie de leur présence. Il remit, en outre,
à M. le colonel Bornecque une somme de
500 francs pour l’œuvre des berceaux mi
litaires.
D’un coup de poing, une femme
assomme sa tante et la dévalise
Vendredi, à l’Hôtel de Ville,
distribution de coquilles
Vendredi, à 14 heures 30, il sera procédé,
grand hall de l’Hôtel de Ville, à une dis
tribution de coquilles en faveur des enfants
des chômeurs.
Les cartes donnant droit à cette distri
bution seront remises par les soins des
dispensaires, Bourse du Travail et Gantois,
aux chômeurs inscrits au Fonds municipal
de chômage, à raison d’une par enfant à
charge, avec maximum de trois par fa
mille.
L’entrée s’effectuera par la porte des Sa-
huteaux, la sortie par la porte Saint-Sau
veur. .
La Clique municipale scolaire et la Mu
sique municipale se feront entendre au
. cours de la distribution.
Noël à Moulins-Lille. — Une foule ou
vrière se pressait le jour de Noël dans la
vaste salle du Théâtre de l’Union pour as
sister à la grande fête de famille organi
sée par le Comité d’entr’aide sociale Dé-
siré-Verhaeghe.
A l’arrivée de M. Charles Saint-Venant,
député-maire de Lille, et de M. Henri Sa
lengro, député de la circonscription, qu’ac
compagnaient les élus municipaux et can
tonaux du quartier, la foule applaudit.
La Fanfare « L’Union » se tailla un beau
succès avec de superbes sélections. La séan
ce de cinéma obtint un légitime succès
et ce fut alors l’interminable distribution
de magnifiques jouets et de succulentes
friandises à tous les présents. Plus de 2.500
enfants en bénéficièrent et la joie fut gé
nérale.
Pendant que se déroulait cette fête,, les
vieux du Moulin-Lille assistés du Bureau
de bienfaisance avaient été conviés à une
réunion de famille au cinéma Marivaux.
Ce fut en tous points réussi. La Fanfare
l’ « Union de Lille » exécuta là aussi ses
plus beaux morceaux.
A l’issue de la fête, il fut remis à cha-
que présent un pot-au-feu.
Assemblée générale statutaire de
Chambre syndicale du commerce
détail des boissons du département
Nord. — On nous communique :
A TRAVERS LA VILLE
Afin de fêter le 90e anniversaire de la
création de son Corps de Sapeurs-Pom
piers, la Municipalité de La Madeleine
a décidé d’organiser, le dimanche 29 mai,
un Congrès régional de soldats du feu,
sous la présidence d’honneur du com
mandant Mahieu, président des Corps de
Sapeurs-Pon piers du Nord de la France.
Le programme officiel de cette belle
fête, paraîtra d’ici peu. Déjà les adhé
sions arrivent nombreuses de la Belgi
que, du Pas-de-Calais et du Nord.
L’Arbre de Noël chez les Anciens Pri
sonniers Civils. — Comme chaque année,
la Fédération des anciens prisonniers ci
vils et des victimes civiles de la guerre
a organisé, le 25, à son siège social, 1, rue
Saint-Valéry, son arbre de Noël pour les
enfants de ses membres adhérents et les
enfants pauvres inscrits. Des coquilles,
bonbons et des pull-over furent distri
bués par le Père Noël en personne. M.
Busin, président de la Fédération des A.
P. G., a remercié les parents et les géné
reux donateurs, ainsi que M. Lavallez,
Mlle Thabel, Mme Lavallez et Mme Busin,
du Comité de l’Arbre de Noël.
L’assemblée générale annuelle de la Fra
ternelle des Combattants roubaisiens aura
lieu le dimanche 16 janvier 1938, à 9 h. 45,
au Casino.
Il n’est aucunement exagéré de qualifier
de sensationnelle cette réunion, car non
seulement elle sera présidée par M. le gé
néral Doumenc, commandant en chef de la
Ire région militaire, mais l’ancien minis
tre des Pensions, M. Rivolet, secrétaire gé
néral de la Confédération nationale des
mutilés, combattants, veuves de guerre, pu
pilles de la nation et victimes de la guerre,
viendra porter la bonne parole à ses cama
rades les combattants roubaisiens. Ce sera
la 3e fois que le Comité de la Fraternelle
aura le grand honneur de recevoir M. Ri
volet. Chaque fois, il y eut une salle com
ble pour l’écouter et l’applaudir. Il en sera
de même, cette fois encore, sans aucun
doute, surtout quand nous aurons dit à
nos lecteurs que M. Antoine Redier, l’au
teur de « la guerre des femmes » sera éga
lement présent ce jour-là, accompagné de
son épouse, l’ex-Mlle Marie-Léonie Van-
[ houtte ou « Charlotte », l’héroïne rou-
baisienne du film « Sœurs d’Armes », qui
obtient actuellement tant de succès par
tout en France et à l’étranger.
Le fin conférencier, l’écrivain érudit
qu’est M. Antoine Rédier parlera égale
ment au cours de cette assemblée.
Comme pour toutes les assemblées géné
rales de la Fraternelle, le Conseil d’ad
ministration convoque à cette réunion les
camarades de ses sections de Wattrelos,
Wasquehal, Hem, Lannoy, Toufflers, Leers
et Flers-Brœucq, il leur demande simple
ment d’être porteurs de leur carte indivi
duelle de membre de section de leurs com
mune.
Les éboueurs et les étrennes
MARCQ-EN-BARCUL
Un voleur est pris en flagrant délit
On nous prie de rappeler que l’Adminis
tration Municipale croit répondre aux sen
timents unanimes en décidant que la quê
te traditionnelle du personnel de l’ébouage,
à l’occasion du Nouvel An est interdite.
Depuis un certain temps, M. Paul Fieu- |
rice, tenancier du café de la Barrière, rue
Pasteur, 4, s’apercevait que le contenu de
son tiroir-caisse ne correspondait pas avec
le produit de sa vente. Persuadé que quel
qu’un devait y effectuer de temps à autre
certains prélèvements, le cafetier se dé
cida à déposer au commissariat de police
local une plainte pour vol. Une enquête
fut aussitôt ouverte par M. Desrumaux,
commissaire. Celui-ci eut bientôt la con
viction que les vols devaient avoir lieu la
nuit, et ne pouvait être l’œuvre que d’un
habitué de la maison. Désireux de prendre
ce dernier sur le fait, le commissaire dé
tacha sur place le brigadier Freumeaux et
le garde Damarez qui, dans la soirée de
lundi, se postèrent en surveillance, dans la
cuisine de l’établissement. Leur attente fut
Les fêtes chômées en 1938
à Roubaix-Tourcoing
Elle est arrêtée le lendemain matin
Germaine Pichon, 43 ans, plongeuse,
sans domicile fixe, est une indésirable
dont le casier judiciaire est particuliè
rement chargé. Titulaire de nombreu
ses condamnations, elle totalise déjà 40
années d’interdiction de séjour.
Revenue à Lille ces derniers jours, la
femme Pichon se rendit, lundi vers
18 heures, chez sa tante pour lui de
mander asile.
Celle-ci, Mme Vandenberghe, 68 ans,
cabaretière 1, rue Wicar, accepta d’hé-
berger sa nièce, mais auparavant, elle
lui demanda de l’accompagner pour por
ter un paquet au numéro 150 de la rue
Gustave-Delory.
Les deux femmes partirent donc en
semble.
Arrivée à l’adresse indiquée, Ger
maine Pichon, profitant de l’obscurité,
frappa sa tante d’un violent coup de
poing au visage. Celle-ci, assommée,
s’écroula. Lorsque, quelques instants
plus tard, la sexagénaire revint à elle,
sa nièce avait disparu en emportant son
tablier dans la poche duquel se trou
vait une somme de 200 francs. La pauvre
vieille rentra chez elle, où une nouvelle
surprise l'attendait.
Germaine Pichon avait en effet péné
tré dans le café en brisant une vitre de
la porte d’entrée. Le tiroir-caisse avait
été fracturé et son contenu — une som
me de 15 francs environ — avait été
soustraite.
Mme Vandenberghe se décida alors
à porter plainte contre sa nièce.
Mardi matin, de très bonne heure, la
police retrouvait la coupable dans le
quartier Saint-Sauveur ; elle était ivre.
Germaine Pichon avait passé la soi
rée dans les estaminets et c’est dans un
état lamentable qu’on la découvrit.
Elle a été conduite au commissariat
central, service de la Sûreté et déférée
ensuite au Parquet de Lille.
VOL D’OUTILS
M. Bernard Gœdehand, chef du chan
tier de la nouvelle Faculté de Droit,
rue Enrico-Ferri, a porté plainte pour
vol de plusieurs outils valant au total
170 francs, commis au cours de l’absence
des ouvriers durant les fêtes de Noël.
UN CAMBRIOLEUR
SOUS LES VERROUS
La Sûreté a arrêté un individu nom
mé Jules Bodin, 47 ans, qui, le 22 dé
cembre, avait cambriolé le domicile de
Mlle Bufkens, lingère, 40, rue d’Angle
terre, et avait notamment emporté un
bracelet en or d’une valeur de 1.000 frs.
Au Comité de défense des chômeurs de
Lille. — Le Comité de défense des chô
meurs de Lille, dont le siège est au 200, rue
Léon-Gambetta, à Lille, remercie tous les
commerçants de Lille qui ont bien voulu
apporter leur obole ou leurs dons en na
ture pour l’organisation de l’arbre de Noël
des enfants des sans-travail.
Les dirigeants du Comité remercient éga
lement tous les artistes qui ont bien vou
lu prêter gracieusement leur concours pour
le succès de cette matinée, ainsi que le
tenancier de la salle du Lion d’Or, de tou
jours mettre gracieusement à leur dispo
sition, ladite salle.
Environ 250 lots ont été distribués à la
tombola qui termina cette séance et cha
que enfant des adhérents a été satisfait des
friandises reçues.
Pour terminer les échos de cette fête,
tous les chômeurs sont invités à la réunion
qui aura lieu au siège, le jeudi 30, à 15 h.
Pour tous les chômeurs qui désirent des
renseignements, il y a une permanence au
siège du Comité, tous les mercredi et ven-
[ dredi, de 14 à 16 heures.
longue et les policiers commençaient à per
dre tout espoir lorsque, vers 4 heures du
matin, ils perçurent Un léger bruit. Une
clef grinça dans la serrure de la porte de
la salle à manger, donnant accès dans le
débit, et un individu s’introduisit dans le
café. Bondissant de leur cachette, les gar-
des s’emparèrent de ce mystérieux visiteur,
qui n’était autre que le logeur des époux
Fleurice, Henri Blommaerts, 57 ans, sujet
belge, exerçant la profession de manœu
vre. Surpris en flagrant délit, ce dernier
ne put nier les vols. Les gardes le condui
sirent aussitôt au commissariat de police,
où M. Desrumaux vint l’interroger quelques
instants plus tard. Blommaerts avoua que,
depuis environ un an, il dérobait, plusieurs
fois par semaine, dans le comptoir du café,
des sommes variant entre cinq et dix fr.
Afin de se faciliter la besogne, il n’avait
pas hésité à se fabriquer une fausse clé.
Il a été transféré à Lille, hier mardi, dans
l’après-midi et déféré au Parquet par les
soins de la police marcquoise, qu’il con
vient de féliciter pour cette heureuse cap
ture.
Marché du Pont de Marcq. — En raison
des fêtes du Nouvel An, le marché hebdo
madaire du Pont de Marcq se tiendra cette
semaine le vendredi 31 décembre.
Voici le calendrier des fêtes chômées
pour 1938 :
A ROUBAIX
Samedi 1er janvier, Nouvel An ; lundi
18 avril, Pâques ; lundi 25 avril, Foire ;
dimanche 1er mai ; jeudi 26 mai, Ascen
sion ; lundi 6 juin, Pentecôte ; jeudi 14
juillet ; lundi 1er août, fête des Fabri
cants ; lundi 15 août, Assomption ; lundi
5 septembre, ducasse ; mardi 1er novem
bre, Toussaint ; vendredi 11 novembre.
Armistice ; dimanche 25 décembre. Noël.
A TOURCOING
Samedi 1er janvier. Nouvel An : lundi
18 avril, Pâques ; dimanche 1er mai ;
jeudi 26 mai, Ascension ; lundi 6 juin,
Pentecôte ; jeudi 14 juillet ; lundi 1er
août. Foire ; lundi 15 août, Assomption ;
lundi 5 septembre, fête Saint-Louis ; mar
di 1er novembre, Toussaint ; vendredi 11
novembre, Armistice ; dimanche 25 dé
cembre, Noël. ,
Etat-Civil. — Naissances. — Jean-Marie
Prouvost, de Kain (Belgique) ; Louise Le
fèvre, de Tourcoing, née 60, Boulevard de
Cambrai ; Serge Grzebiemowski, Grande-
Rue, 215 ; Liliane Deschampheleere, de
Neuville-en-Ferrain.
Publications.
Jules Desablin, détâ-
Harmonie « Les Amis du Plouich ». —
Demain jeudi, à 20 h. 30. au siège, café
Moral, 125, rue Pasteur, répétition générale
pour les musiciens et membres de la clique.
Amicale des Sous-Officiers de réserve. —
L’Amicale des Sous-Officiers de réserve or
ganise pour le dimanche 23 janvier pro
chain. sa fête annuelle qui se déroulera en
la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville. La
fête consistera en un bal à grand orchestre
qui remportera certainement le plus com
plet succès.
cheur, rue Guizot, 3 et Mathilde Féret,
commerçante, rue Paul-Bert, 13 ; Robert
Wacheux, agent de publicité, 21, Grande-
Place, et Yvonne Detournay, rue Léon-
Allart, 17 ; Georges Artzet, négociant, rue
d’Isly, 132, et Claire Fontier, rue de Bou
vines, 36 ; Paul Henno, piqueur de car
tons, 75, rue de Denain, et Blanche Du
four, manutentionnaire, rue de Maubeu-
ge, 102 ; Henri Vandenberghe, rue Victor-
Hugo, 150 et Julia Berthe, rue Victor-
Hugo, 150.
Décès : Florent Monnier, 72 ans, rue St-
Jean, 52 ; Michel Trila, 8 ans, rue Ingres,
347 ; Marie Catteau, épouse Duquesne, 59
ans, rue de la Perche, 27. Imp. du Sud, 16 ;
Jean Decout, 76 ans, rue de Barbieux, 35;
Eugène Gadenne, 56 ans, Avenue Cordon
nier, 21 ; Pierre Vanassche, 80 ans, rue de
Blanchemaille, 37.
FACHES-THUMESNIL
Noël chez les «Lou Païs»
M. Savreux, commissaire de police,
reçoit la Médaille Militaire
Une belle conférence de M. le capitaine
de la Brosse à l’Amicale des Anciens
chasseurs à pied et alpins
L’OUVERTURE
D’UN JARDIN D’ENFANTS
Centre d’études et de documentation pro
fessionnelle. — Le 23 décembre, M. Leleu,
directeur du Centre, fit un exposé récapi
tulatif des cours depuis octobre 1937.
Il félicita les professeurs et remercia les
auditeurs de leur ponctualité et de l’intérêt
montré à ces cours.
Cette causerie clôture les cours de 1937.
Les conférences du Centre d’études repren
dront le 13 janvier 1938.
M. Matte, président du Syndicat de la
Presse périodique, parlera de l’hygiène dans
les entreprises artisanales.
Les cours et conférences du Centre
d’études ont lieu tous les jeudis, à 19 h.
précises, 6, boulevard Louis-XIV (entrée
n° 6), Ecole Nationale des Arts et Métiers
àLille. Ils sont entièrement gratuits. Il est
toujours possible de s’inscrire au Centre
d’études, 18, rue de Brigode, Lille.
Ce
chez
fut une belle réunion mercredi
les Vitriers, à l’ordre du jour :
la
en
du
L’assemblée générale statutaire de notre
organisation aura lieu le jeudi 30 décem
bre courant, à 19 h. 30, en la salle de
l’Hôtel de l’Europe, 27, rue des Buisses,
mise gracieusement à notre disposition par
notre ami et adhérent M. Lemaire.
L’ordre du jour comportera les rapports
financier et moral de l’année 1937, et avec
une revue très large sur l’action de la
Chambre syndicale et un examen intéres
sant des questions les plus d’actualité. Le
président rendra compte des dernières dé
marches faites à la Présidence du Conseil
et de l’état du projet de loi concernant la
liberté commerciale.
conférence par M. le capitaine de la
Brosse, ancien des 4e et 16e B. C. P.,
orateur distingué, ce brillant officier bre
veté fit revivre toute l’histoire des Chas
seurs à Pied : la naissance en 1742 avec
Fischer, leur brillante action dans les
troupes de Bonaparte sous la révolution,
le premier surnom « Les Ours », qui leur
fut donné par leurs adversaires espa
gnols, la dissolution, la renaissance en
1838, avec les Chasseurs de Vincennes,
la prédiction réalisée du Maréchal Soult
sur le chiffre de 10 Bataillons nécessai
re - à la France, les belles campagnes
extérieures, la guerre de 1870 et celle
de 1914.
Le président Blavoet fut vraiment l’in
terprète de tous lorsqu’il remercia l’éru
dit conférencier, car les anciens Chas
seurs ont passé une agréable soirée en
écoutant les détails, neufs pour beau
coup d'entr'eux, de la vie de ceux qui
ont hérité d’un deuxième surnom « Les
diables bleus ».
On remarquait la présence de M. le
lieutenant-colonel Hamant, d M. Hau-
welle, de M. le bâtonnier Arnoux ; de
Me Olivier, des capitaines Paris, Avet,
etc., M. le colonel Bruneau s’était fait
excuser.
La prochaine conférence trimestrielle
sera donnée le mercredi 30 mars 1938 par
M. Olivier, commandant de réserve, com
me sujet « Driant ».
Nous apprenons qu’une permanence
sera tenue, 118, rue Jacquemars-Giélée,
les jeudis 30 décembre et 6 janvier, de
10 à 12 heures, pour répondre aux de
mandes de renseignements concernant
l'ouverture d’un jardin d’enfants, 42, rue
de Bourgogne, à Lille.
L’Association de l’Aide aux Mères, en
adoptant un jardin d’enfants au nombre
de ses activités, croit répondre au désir
de bien des jeunes mamans, soucieuses
de se faire seconder dans la tâche déli
cate des premières années d’éducation.
Nous avons dit, ici même, tout l’inté
rêt de cette initiative, pour les tout-
petits de 3 à 6 ans.
Amicale des Anciens du 6e régiment de
Chasseurs à cheval. — Samedi 25, a eu
lieu au Foyer du Soldat, la fête de l’Arbre
de Noël, réservée aux enfants des sociétai
res.
Cette fête, présidée par MM. E. Gros, J.
Degruson, vice-présidents, M. Bazon, admi
nistrateur, entourés de Mmes Gros et
Bazon, bienfaitrices de l'Amicale et des
membres du Conseil d'administration, avait
groupé 160 enfants charmants et leurs pa
rents.
Profitant de cette belle réunion de fa
mille, M. Gros remit à Léonce Vandenbus-
che, administrateur de l'Amicale, la Mé
daille militaire qui lui a été attribuée à
la suite de brillants états de services et de
citations élogieuses.
Après l’audition de gentils scouts de la
troupe de Templemars et la visite du Père
Noël, une ample distribution de jouets et
de friandises fit la joie des enfants.
DANS LES SOCIÉTÉS
Musique Municipale. — Jeudi 30 décem
bre, répétition à 19 h. 30, au siège. Mairie
de Lille.
Vendredi 31 décembre, rassemblement
des musiciens, tambours et clairons. à
14 h. 15. Hall des Sahuteaux, Hôtel de
Ville, pour service.
Caisse de Solidarité des fonctionnaires
municipaux. — Mercredi 29, à 18 h- 15,
salle des adjudications, Hôtel de Ville de
Lille, assemblée générale.
Sur la tombe de M. Roger Salengro. —
M. Marius Dubois, député d'Oran, et Mada
me, accompagnés de M. Eugène Dereuse,
député-maire de Lomme, et Madame, sont
allés, dimanche matin, déposer une gerbe
de fleurs sur la tombe de Roger Salengro,
au nom de la Fédération algérienne du
parti socialiste.
Parmi les médaillés militaires qui vien
nent d’être conférés par le ministre de
l’Air, nous relevons avec plaisir au « Jour
nal Officiel » du 25 décembre, le nom de
M Louis Savreux, commissaire de police
de Fâches-Thumesnil et de Ronchin.
M. Savreux a passé un examen à Paris
en novembre 1936 et a été nommé commis
saire de police le 1er juillet dernier, après
avoir servi seize ans dans l’Armée où il
était brillamment noté.
Engagé volontaire en 1920 au 43e régi
ment d’Infanterie, il fit avec ce régiment
l’occupation de la Ruhr comme sergent-
fourrier. Rentré en France en 1924, et at
tiré par l’aviation, il demanda et obtint
de passer dans cette arme et revint à l’ar-
mée du Rhin. Breveté mitrailleur, observa
teur en avion, il passa successivement ser
gent-chef, adjudant et adjudant-chef, et la
médaille qui vient de lui être conférée à
compter du 30 juin 1937, est la juste ré
compense de ses services justement ap
préciés.
Ajoutons que M. Savreux qui a déjà su
I conquérir l’estime de toute la population
et de ses subordonnés, par son action cal-
rne et réfléchie, vient d’être inscrit
un avancement de classe dans ses
tions actuelles.
pour
fonc-
ARRONDISSEMENT
DE .
LILI
Un jeune ouvrier de ferme
est arrêté à Capinghem
La gendarmerie d’Armentières a pro
cédé à l’arrestation d’un jeune ouvrier
de ferme, Jean Thielemans, 19 ans, qui
travaillait chez M. Auguste Simon, cul
tivateur, rue d’Ennetières, à Capinghem.
Alors que ses patrons étaient partis à
la messe de minuit, le jeune ouvrier, qui
loge en dehors de l’habitation, s’était
introduit dans celle-ci en escaladant un
toit et en brisant un carreau. Il a pré
tendu ne rien avoir dérobé, mais a
avoué n’avoir pénétré que dans la cham
bre de la fille de M. Simon.
Thielemans a été transféré devant le
Parquet de Lille.
RONCHIN
Amicale Jules-Fostier. — Samedi
a eu
Jules-
lieu le concert annuel de l’Amicale
Fostier. Une assistance considérable em-
Récemment, a eu - au à Tourcoing, au
siège de l’Association des Méridionaux
« Lou Païs », la fête de l’arbre de Noël
pour les enfants des riembres de ce
groupement.
Cette fête enfantine fut précédée le
matin d’une assemblée générale à la
quelle assistèrent nombreux les mem
bres anciens et nouveaux résidants dans
la région.
A l’issue de l’assemblée, le déjeuner
amical prévu rassembla autour de M. le
docteur Charrasse, président, la pléiade
des personnalités méridionales de la pé
riphérie de Lille, Roubaix-Tourcoing, et
ce fut dans une atmosphère de franche
gaieté que se déroulèrent ces agapes, ac
compagnées de chants du terroir, de ga
léjades et d’histoires hilarantes dont les
méridionaux ont le secret.
Une dissertation sur le Périgord, faite
par M. Paul Touraine, obtint un reten
tissant succès.
Au repas, succéda la fête de l’Arbre
de Noël, tout enguirlandé et illuminé,
qui fit l’admiration de tous, grands et pe
tits. La distribution des jouets et d’abon
dantes friandises s’ensuivit.
Une magnifique tombola réunissant de
nombreux lots fut alors tirée. Un ta
bleau, œuvre remarquable d’un membre
de l’Association, M. Vives, obtint un
grand succès de surenchère auprès des
nombreux assistants.
Une sauterie endiablée clôtura cette
joyeuse fête, non sans -voir admiré la
jeune et gracieuse danseuse « Didi
Drouffe », dans tout l’éclat de son talent.
plissait la salle. Parmi les personnalités
présentes, nous avons reconnu MM. Pré
vost et Géraerd, de la Municipalité ; Mon
nier, Verrier et Mlle Giraudot, de l’Ecole
Fostier ; Mme Verrier et Mlle Payen, de
l’Ecole Voltaire ; MM. Payen ; M. et Mme
Bacroix ; M. et Mme Eugène Bacroix, ex
président de l'Amicale, etc...
Des bravos nourris accueillirent tous les
artistes, petits et grands, et l’assistance
se retira enchantée d’une après-midi qui
laisser à tous un agréable souvenir.
A l’issue du concert eut lieu la distribu
tion de cache-nez, oranges et coquilles, ce
qui fit la joie des enfants et des parents.
Le soir, à 20 h. 30, un bal de famille fort
animé qui se termina tard dans la nuit
clôtura cette fête.
HELLEMMES
Un
accrochage. — Une collision
entre
Union Régionale des comités de chô
meurs du Nord et du Pas-de-Calais. —
On nous communique :
L’Union Régionale des comités de chô
meurs du Nord et du Pas-de-Calais invite
les membres du bureau à assister à l’im.
portante réunion qui aura lieu le mardi
4 janvier à 9 heures, au siège, 90, rue de
Douai à Lille (1er étage).
Bal de l’aviation. — La section de Lille
des sous-officiers de réserve de l’armée de
l’air, organise comme chaque année, un
grand bal de gala placé sous le naut patro
nage du Ministère de l’Air et donné au
profit d’une grande œuvre de bienfaisance.
Cette soirée aura lieu le samedi 12 fé
vrier. à 21 h. 30. dans les luxueux salons
du Royal-Hôtel de Lille.
On bâtit. — Relevé des autorisations de
bâtir des constructions neuves, délivrées
par le bureau d’hygiène au cours du mois
de novembre 1937 :
Rue Victor-Renard, 61 ; rue Hippolyte-
I Lefebvre ; rue Germain-Pilon, 1 ; rue
Louis-Spriet ; rue Ph.-de-Comines, 49.
Pour l’enfance malheureuse. — Les diri
geants de la « Bourse aux Timbres » de
Lille ont commencé la campagne en faveur
du Timbre antituberculeux.
Ce moyen de faire le bien est à la portée
de tous, et ils ne doutent pas que tous les
gens de cœur répondront a leur appel.
Iis s’adressent a tous : commerçants, in
dustriels, particuliers, écoliers et les prient
de vouloir bien envoyer régulièrement à
la Bourse aux Timbres, 13 et 15. place
Rihour, tous les objets, livres, bibelots,
timbres tant étrangers que français que
peut leur fournir leur courrier. Ces vignet
tes seront vendues au seul profit des œu
vres antituberculeuses, anticancéreuses, al
longés de Berck.
L’année dernière, les élèves des écoles de
Lille, ont répondu avec empressement à cet.
appel et les jeunes gens les plus méritants
ont été remerciés par un souvenir qui leur
fut remis par la Bourse aux Timbres.
La belle œuvre du Timbre antitubercu
leux, remportera cette année encore, nous
en sommes persuadés, un beau succès et
la Bourse aux Timbres de Lille pourra à
nouveau acheter quelques milliers de vi
gnettes.
D’avance, ce groupement vous adresse
ses très sincères remerciements pour les
envois de timbres que vous ne manquerez
pas de lui faire.
LAMBERSART
A propos d’un cambriolage. — Nous
avons relaté dans une précédente édition,
le cambriolage commis au préjudice de M.
Claude Marie, demeurant Avenue Gabrielle-
Grulois. La gendarmerie, poursuivant son
enquête, a retrouvé le propriétaire des
clefs retrouvées près du coffre-fort et lais
sées par les cambrioleurs. C’est un Lillois
au préjudice duquel avaient été volés
plusieurs objets dans son auto en station
nement Boulevard Carnot, à Lille en no
vembre dernier.
voitures automobiles a eu lieu hier, vers
15 heures 30, à l’angle des rues Fenelon et
des Travailleurs.
M. Marcel Mallet, chauffeur au service
de la Brasserie du Pélican, à Lille, venait
de la Chapelle-d’Elocques, conduisant son
lourd véhicule, quand, arrivé à hauteur de
la rue des Travailleurs, il se trouva face
à face avec l’automobile de M. Saint-Léger
demeurant rue Pascal. 12, à Fiers-Bourg.
M. Mallet ne put éviter le choc et les voi
tures entrèrent brutalement en collision;
fort heureusement, il n’en résulta que des
dégâts matériels assez importants. .
L’Arbre de Noël au groupe des A. C. du
Brun-Pain. — C’est devant de nombreux
adhérents et leurs familles qu’eut lieu la
fête de Noël, dans la coquette salle de ci
néma de la rue des Champs, sous la pré
sidence d’honneur de M. Cyrille Beuque.
La distribution de vêtements, coquilles,
oranges fut faite à plus de deux cents
enfants par les dévoués membres de la
Commission Ensuite, eut lieu la partie ré
créative de la soirée, où les films proje
tés sur l’écran firent la joie des petits
et des grands.
A l’entr’acte, le président, M. Alphonse
Hardy, adresse les plus sincères remer
ciements du groupe à son dévoué président
d’honneur, M. Cyrille Beuque, qui, malgré
les lourdes charges auxquelles il doit faire
face, continue sans relâche à aider les
combattants en toutes circonstances, et à
tous les membres bienfaiteurs.
Théâtre municipal. — Pour les fêtes de
l’An, cinq représentations de l’opérette à
grand spectacle, « Rose-Marie », en trois
actes et 10 tableaux. Décors et costumes
de la création. Luxueuse mise en scène.
Location : mercredi pour la soirée de ven
dredi, jeudi pour les représentations de
samedi, vendredi pour celles de dimanche.
LOMME
A Saint-Christophe. — Ce mercredi 29. à
19 heures 30, une conférence sera donnée
par M. Muller. ingénieur A. M.. sur « La
Suisse, la route des sept cols ». Cette con
férence, intéressante par elle-même et ac
compagnée de projections lumineuses, sera
faite salle du Foyer des Cheminots, rue
Elie-Petitprez, cité de Lille-Délivrance.
HAUBOURDIN
Les
Orphéon « L a Lyre Amicale ». —
jeudis 30 décembre 1937 et 6 janvier 1938,
pas de répétition.
Chez les bourleux. — En raison des fêtes
de la nouvelle année, la Société Saint-
Pierre informe ses membres que les prix
du mois qui devaient avoir lieu le diman
che 2 janvier, sont reportés au dimanche
9. à 17 heures.
Le dimanche 16, aura lieu au siège de la
Société Saint-Pierre, Café Jean De Stop-
pelier, 86, avenue de la Gare, un concours
de boules à la platine, 200 francs de prix.
Tous les amateurs sont invités.
Etat civil du 28 décembre. — Naissances:
Claude Allaerd, rue des Piats, cour Saint-
Louis, 10 ; Jean-Pierre Herman, rue
d’Anor. 5 ; Josette Favorel, rue des Car-
liers, 199 ; Lucette Rasson, rue Saint-Jac
ques, 28 ; Francine Sagniez, rue Jules-
Ferry, 31 ; Alfred Goeman, rue du Blanc-
Seau. 174.
Publications de mariages : Léon Thirio-
net, houilleur, à Divion, et Blanche Hen
nin bonne, boulevard Gambetta. 19 : Paul
Deleurence, journalier, rue de Paris, 235,
et Madeleine Choquet, soigneuse, rue La
martine. pavillon 8, appartement 287.
Décès : Emile Gaudin, 21 ans, étudiant,
célibataire, rue du Nord, 24 : Léon Des-
plechin, 34 ans, rattacheur, épouse Ger
maine Lefay, rue de l’Yser, 332 ; Julien
Marchand, 5 jours, rue Rouget-de-l’Isle,
108 : Jeannine Marchand 5 jours, rue
Rouget-de-l’Isle, 108 ; Constance Duval,
73 ans, veuve Marie Sorel, rue de Mel
bourne, 84 ; Marthe Wyckaert, 50 ans, ép.
Louis Gaudin, rue du Nord. 24 ; Emile
Baisez, 76 ans, ép. Zélie Legrand, rue du
Clinquet, 83
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 88.72%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 88.72%.
- Collections numériques similaires Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 3/10
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bd6t5468779f/f3.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bd6t5468779f/f3.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bd6t5468779f/f3.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bd6t5468779f/f3.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bd6t5468779f
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bd6t5468779f
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bd6t5468779f/f3.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest