Titre : Les Échos
Éditeur : Les Échos (Paris)
Date d'édition : 1930-05-05
Contributeur : Servan-Schreiber, Robert (1880-1966). Fondateur de la publication
Contributeur : Servan-Schreiber, Émile (1888-1967). Fondateur de la publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34352384n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 05 mai 1930 05 mai 1930
Description : 1930/05/05 (A3,N750)- (A3,N1). 1930/05/05 (A3,N750)- (A3,N1).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5112219b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, GR FOL-LC2-6878
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 08/12/2021
nalc,
s en
Ht JOTIDIENNE
Année - r rson
4,ruellartel,Paris-10
S. POsta
éninsule—
Jibellées I
ficultés J.
St indisy
ns com,
.précisé
- s exacte
t, de la
ntenu da
monétai
agné d’n
e inexa
appé d‘
S et, le 6
Plus rig
néricai
ie
xportatio
‘ une bais
‘S mois
60 millio
lier, lap
er a bais
mars 198
r jour co
1 Directeur f
pertet Emile SCHREIBER
LES ECHVS
“Belle-Etoile"
,isie pour blouses et chemisiers
B garantie soie naturelle
■ DERNIERE CREATION DES
fsJ.Vollet-Bert
Demeure & Cie
I FABRIQUE DE SOIERIES
"société Anonyme au capital de 3.000.000
Lswlal: (5, Bd des Brotteaux, HOH
PARIS, 30, Rue Dussoubs (2")
B Téléphone : Louvre 61-23
« BURDIGALA RUBBER »
(MANUFACTURE DE CAOUTCHOUC)
Usines A. DUCOS & Fils
71, Rue Pasteur
CAUDERAN près BORDEAUX
BOTTES EN CAOUTCHOUC
et en crêpe
GENOUILLÈRES et CUISSARDS
LUNDI 5 MAI 1939
Prix du N° : 0 fr. 25
PRIX de ‘ABONNEMENT
150 Ir. pa r an
Téléphone, 10 lignes :
Provence 04-03 et la suite
Chèques postaux 5.559 Paris
‘agressive politique
douanière américaine
ES Etats-Unis vont-ils faire
ns den Llunanimité contre eux, et
ont batt Edleation des Etats euro-
été Fédération des Etats euro-
W muîfc^ entrevoyait comme
plus qui
5. S. est!
le ces m
rës lointaine, va-t-elle se consti
tuer plus tôt qu’on ne l’espérait ?
C’est bien possible, et les scanda
les du Bremen pourraient bien
noooouno être la goutte d’eau qui fera dé
fusion
Star »
Line »
ans lésa
lis, de
border la vase.
On a, en effet, ces jours-ci,
'impression que les Etats euro-
ta cherchent à coordonner leuf
iction défensive contre les mena
ces protectionnistes des Etats-
x grand La France a été l'une des pre-
la Wl nières puissances à donner le si-
9 societ
premièt
de fram
, 1 millia
nsi arri
le leurs
gnal d’alarme. Sans prendre, pour
le moment, aucune initiative pré
maturée en faveur du projet
Cunion européenne si opportuné-
M ébauché par M. Aristide
Briand, elle a élevé la voix dès
it, par
que la situation d’une de ses prin
cipales industries lui a paru me-
. nacée sur le marché américain.
La Foire de Paris
Cette année, la Foire de
Paris a lieu du 17 mai au
1 er juin. Pendant toute la du
rée de cette importante ma
nifestation économique, « Les
Echos » seront distribués
gratuitement aux exposants
dans les stands et aux ache
teurs qui visiteront la Foire.
Tous ceux qui veulent at
teindre directement cette
clientèle ont donc intérêt à
faire de la publicité dans les
numéros qui seront édités
pendant cette période.
Ils peuvent, s’ils le dési
rent, utiliser à cette fin soit
l’édition hebdomadaire — n°*
des 18 et 25 mai — soit l’édi
tion quotidienne, du 17 mai
au 1 er juin.
Si, d’autre part, ils désirent
se limiter aux Petites Annon
ces, ils peuvent, pour 120
francs, en faire passer une
de 20 mots chaque jour, dans
les douze numéros quotidiens
qui paraîtront pendant la
durée de la Foire.
Nous ferons connaître le
tarif de toute autre publicité
à ceux qui nous en ferons la
demande soit par lettre, 2 et
4, rue Martel, Paris (10°),
soit par téléphone : Pro
vence 04-03 et la suite.
■t, qui le
; à fra
sat ' ■ ntit
it rivalis
le Bm
ibv i-lli
e coûter
nillions!
ron, 3 a
Nous savons que l’action du
Gouvernement français s’est ma-
nilestée pour d’autre» articles que
es dentelles, et notamment en fa-
tur des industries de la gante-
fie, des cloches et chapeaux de
feutre, etc...
NOS TELEPHONES
imes
R.). .
N. Y. K.)
(M. Ml
. M.).
(N. Y. K
aie
la Suisse est allée plus loin
encore dans cette voie. Un vaste
liment de protestation contre
"elevation des barrières douaniè-
L’installation à Paris
des centraux automatiques
Le programme complet ne sera
terminé qu’en 1938
Sociète Anonyme au Capilai de 560000 francs
Perles Métalliques Diamant
ACIER. COULEURS.ALUMINIUM,OR,ARGENT
21 Rue dHauleviHe
PARIS (109
Tel . Provence s 22
les faits
res américaines a englobé les
Principales industries de la Con-
fderation helvétique ; et son pré-
Wt, M. Musy, rompant résolu-
II avec les vieilles traditions
patiques, n’a pas craint
dresser un télégramme person-
dl président des Etats-Unis
a lui faire entrevoir les consé-
l’application du tarif
sericain, tel qu’il a été adopté
, Pourrait avoir sur les
*• lons commerciales entre les
Marseil deux pays.
urg (M: —
vlt alie, l'Espagne, la Belgique,
©réol erre, l'Allemagne, se sont
nt L.) T LsSsT également des réper-
las[$ que e renforcement de
noneP""caine ""due protectionniste améri-
m g : sur he manquerait pas d’avoir
Y mesusls industries vitales. Des
nuvertnde représailles ont été
e plus nent envisagées. Il ne res-
rts n la coordonner ces ef-
Les prévisions données par l’Ad
ministration des P. T. T., pour la
transformation en automatique des
centraux parisiens, ont dû être
sensiblement modifiées depuis avril
dernier, par suite des délais né
cessaires pour l’installation des
postes.
Sont déjà automatiques : Car
not, Gobelins, Diderot, Vaugirard.
Voici le programme à venir :
1930 : Trudaine, Wagram, Passy,
Nord, Combat, Botzaris.
1931 : Danton, Galvani, Elysées,
Archives, Turbigo, Ségur, Anjou.
Voir la suite en deuxième page
FRANCE. — M. L’Hebeder (S. F.
I. O.), a été élu député de la
l re circonscription de Lorient. 1
• M. Rio, sous-secrétaire d’Etat
à la Marine, a visité hier la
Foire-Exposition de Rennes et
l’Exposition de la Marine.
• La Société Centrale de Sau
vetage des Naufragés a distri
bué, à la Sorbonne, ses récom
penses.
• M. Rockfeller a fait un don
d’un million 250.000 francs à la
Bibliothèque Nationale.
BELGIQUE. — Le roi et la reine
des Belges ont visité l’exposi
tion de Liège qui vient de s’ou
vrir.
ALGERIE. — M. Doumergue a
assisté, à Alger, à une grande
fête indigène. Le chef de l’Etat
a apporté le salut de la France
aux chefs musulmans. D’autre
part, M. Dumesnil a prononcé
un discours à l’inauguration du
monument Viviani.
ALLEMAGNE. — Le Cabinet Brü-
ning est de nouveau en difficul
té. Les démocrates menacent de
retirer du sein du Cabinet leur
représentant, M. Dietrich.
AUTRICHE. — Les Heimwehren
et les socialistes se sont livré
bataille hier, à Vienne, à coups
de pierres. La police a séparé les
manifestants.
ESPAGNE. — Un coup de grisou
s’est produit “dans une galerie
de mine de Paruelo ; 11 mineurs
ont été tués.
ETATS-UNIS. — A Upton (Ken
tucky), de l’oxygène liquide qui
devait servir à faire sauter des
rochers dans une carrière, a
explosé prématurément : 4 tués,
6 blessés.
• La Chambre des Représen
tants a terminé la discussion sur
les nouveaux tarifs douaniers.
Le Sénat sera saisi du projet
dans quelques jours.
INDE. — Des mesures ont été
prises à la frontière du Nord-
Ouest. On parle de l’envoi de
renforts de troupes britanni
ques.
UJN RESTAURANT DAMS UN AUTOBUS
1930
t 0 (
NDRES Torts, et
des
TOINON
GRAIN FIN MAROCAIN
ET D’UN TOMBANT MERVEILLEUX
EST
UNIQUEMENT FABRIQUE
PAR
VAN GELDER
Fabrique de Soieries et de Velours
15, rue Grange-Batelière PARIS
Téléph. : Laffitte 78-16 78-17
A propos des dégrèvements fiscaux
et de la réduction de la taxe de luxe
La campagne que nous avons m enée ici même pour obtenir les
dégrèvements fiscaux indispensab les, — campagne qui a été suivie
des résultats que l'on sait, — nou s a valu un grand nombre de let
tres de félicitations.
Nous avons publié, dans notre numéro du 1ef mai, celle de
M. Georges Maus, président de la Fédération des Commerçants-
Détaillants de France.
Nous croyons devoir publier aujourd'hui celle de M. Fouquet-
Lapar, président de la Chambre Syndicale de la, Bijouterie, de la
Joaillerie et de l'Orfèvrerie de Paris, — en raison de l'importance
du groupement qu'il représente :
Messieurs, <
Au nom du Conseil de la Chambre Syndicale, je tiens à
vous adresser tous nos remerciements pour la campagne
que vous n’ayez cessé de mener dans « Les Echos » en vue
d’obtenir le vote des dégrèvements d'impôts et la réduction
de la taxe de luxe.
A l’expression de notre gratitude, je joins les félicitations
de toute notre Chambre Syndicale pour les heureux résultats
auxquels ont abouti vos efforts.
Nos lecteurs savent ce que nous pensons des dégrèvements
votés : ils peuvent apporter une impulsion très marquée à l'éco
nomie nationale : mais il faut ne les tenir encore que pour
l'amorce de la réforme fiscale qui s'impose. C'est assez dire que
nous comptons bien poursuivre notre effort dans ce sens.
Le mécanisme de la loi
sur les Assurances sociales
I. — L‘immatriculation des assurés obligatoires
devra être terminée le 1 er
L’immatriculation des assurés
obligatoires est faite sur la décla
ration des employeurs. C’est eux
seuls qui encourent des pénalités
sévères, prévues par la loi, si les
déclarations ne sont pas effectuées
en temps utile.
Elles devront
faites le
juin
après le I e
déclaration
juillet prochain, une
devra être fournie,
dans les huit jours de l’embau
chage, pour tous les salariés non
encore immatriculés. Les em
ployeurs devront donc demander à
tout ouvrier ou employé qu’ils em
baucheront, et rentrant, par son
salaire, dans la catégorie des as
surés obligatoires, sa carte d’assu-
rance. Si le salarié ne la présente
pas, il devra faire l’objet d’une
déclaration. En aucun cas, étant
donné les pénalités sévères qui
sont prévues à son encontre, pour
défaut de déclaration, l’employeur
ne devra se contenter de l’affir-
mation qui lui serait faite par le
salarié qu’il est déjà immatriculé.
Comment doit être évalué le
1 er juin 1930 au plus tard, pour
tous les salariés employés à la date
du 15 mai.
Cependant, nous rappelons que
l’Administration a mis en route le
travail d'immatriculation dès le
1 er février dernier et que de nom
breuses déclarations ont déjà été
envoyées par les employeurs. Cel
les-ci n’ont donc pas à être renou
velées pour la partie du personnel
déjà déclaré. Mais les déclarations
antérieures devront être complé
tées. En effet, celles-ci ne compor
taient pas l’indication du salaire,
car la loi du 5 avril 1928 permet
tait de se passer de ce renseigne
ment pour procéder à l’immatricu
lation. La loi rectificative du
30 avril 1930 décide, par contre,
que les assurés obligatoires sont
classés, d'après leur salaire, en
cinq catégories auxquelles corres-
pondent des cotisations et des pres
tations en argent différentes. On
doit donc, maintenant, connaître
le salaire de l’assuré pour effec
tuer l’immatriculation.
L’Administration précisera in-
cessamment comment elle entend
obtenir les renseignements complé
mentaires qui lui sont nécessaires
pour les déclarations'déjà faites.
En attendant, et pour éviter aux
employeurs d’avoir à fournir ces
renseignements pour les salariés
qu’ils vont déclarer à partir de
maintenant, nous leur recomman
dons de compléter les formules de
déclarations du modèle ancien
(qui vont, d’ailleurs, être modifiées
et complétées) par l’indication du
salaire journalier ou mensuel al
loué aux intéressés.
En période normale, c’est-à-dire
salaire ?
Nous avons publié, dans notre
édition hebdomadaire du 4 mai,
le tableau des catégories d’assu-
rés obligatoires classés d’après les
salaires.
Aucune difficulté ne se présente
si le salaire est payé exclusive
ment en espèces.
Lorsque le salaire comporte à la
fois une somme d’argent et des
avantages en nature (nourriture,
logement, etc.), l’Administration a
fait connaître que l’on pouvait
prendre pour base les chiffres sui
vants :
Nourriture : entre 5 et 10 francs
par jour ; nourriture et logement :
entre 6 et 12 francs par jour, sui
vant les régions.
Tous les salai res d oi vent être
déclarés.
Les sociétés féminines de Cologne viennent d’installer un restau
rant automobile qui transporte des vivres et des boissons dans les
fabriques, chantiers, terrains de sport, etc... éloignés des centres
habités. On peut s’y procurer pour 50 pfennigs une portion
chaude de viande avec légumes.
rer une démarche collective
turopzereSentants des puissances
raitrasnneS à Washington ne pa-
Le nullement déplacée.
pusoment d'agir est d’autant
R nortun que le projet de
- i initif et ‘Pas encore devenu dé-
1.P dessinelun revirement parait
’ , ue amas" dans l'opinion publi-
123 5
ori g'
2S. <
les
w.YORK
3925
486 18
28:: 123
s.ven"""
o-notatl"
. Par5
NC am.: . 1 u pmion puDil-
entere J icaine. La presse tout
e violenn est émue. Elle s'élè-
Araivemen ’ bien qu’un peu
I0ns de à contre les augmenta-
SSaye de droits de douane et
1 leur Soulever les électeurs
t Que nontrant les répercus-
K coût enouveau tarif aurait
11 " de la vie.
La déclaration doit être faite
pour tous les salariés sans distinc
lion, français et étrangers, âgés de
moins ou de plus de 60 ans, même
pour ceux qui sont déjà bénéficiai-
res d’une retraite.
s en
Ht JOTIDIENNE
Année - r rson
4,ruellartel,Paris-10
S. POsta
éninsule—
Jibellées I
ficultés J.
St indisy
ns com,
.précisé
- s exacte
t, de la
ntenu da
monétai
agné d’n
e inexa
appé d‘
S et, le 6
Plus rig
néricai
ie
xportatio
‘ une bais
‘S mois
60 millio
lier, lap
er a bais
mars 198
r jour co
1 Directeur f
pertet Emile SCHREIBER
LES ECHVS
“Belle-Etoile"
,isie pour blouses et chemisiers
B garantie soie naturelle
■ DERNIERE CREATION DES
fsJ.Vollet-Bert
Demeure & Cie
I FABRIQUE DE SOIERIES
"société Anonyme au capital de 3.000.000
Lswlal: (5, Bd des Brotteaux, HOH
PARIS, 30, Rue Dussoubs (2")
B Téléphone : Louvre 61-23
« BURDIGALA RUBBER »
(MANUFACTURE DE CAOUTCHOUC)
Usines A. DUCOS & Fils
71, Rue Pasteur
CAUDERAN près BORDEAUX
BOTTES EN CAOUTCHOUC
et en crêpe
GENOUILLÈRES et CUISSARDS
LUNDI 5 MAI 1939
Prix du N° : 0 fr. 25
PRIX de ‘ABONNEMENT
150 Ir. pa r an
Téléphone, 10 lignes :
Provence 04-03 et la suite
Chèques postaux 5.559 Paris
‘agressive politique
douanière américaine
ES Etats-Unis vont-ils faire
ns den Llunanimité contre eux, et
ont batt Edleation des Etats euro-
été Fédération des Etats euro-
W muîfc^ entrevoyait comme
plus qui
5. S. est!
le ces m
rës lointaine, va-t-elle se consti
tuer plus tôt qu’on ne l’espérait ?
C’est bien possible, et les scanda
les du Bremen pourraient bien
noooouno être la goutte d’eau qui fera dé
fusion
Star »
Line »
ans lésa
lis, de
border la vase.
On a, en effet, ces jours-ci,
'impression que les Etats euro-
ta cherchent à coordonner leuf
iction défensive contre les mena
ces protectionnistes des Etats-
x grand La France a été l'une des pre-
la Wl nières puissances à donner le si-
9 societ
premièt
de fram
, 1 millia
nsi arri
le leurs
gnal d’alarme. Sans prendre, pour
le moment, aucune initiative pré
maturée en faveur du projet
Cunion européenne si opportuné-
M ébauché par M. Aristide
Briand, elle a élevé la voix dès
it, par
que la situation d’une de ses prin
cipales industries lui a paru me-
. nacée sur le marché américain.
La Foire de Paris
Cette année, la Foire de
Paris a lieu du 17 mai au
1 er juin. Pendant toute la du
rée de cette importante ma
nifestation économique, « Les
Echos » seront distribués
gratuitement aux exposants
dans les stands et aux ache
teurs qui visiteront la Foire.
Tous ceux qui veulent at
teindre directement cette
clientèle ont donc intérêt à
faire de la publicité dans les
numéros qui seront édités
pendant cette période.
Ils peuvent, s’ils le dési
rent, utiliser à cette fin soit
l’édition hebdomadaire — n°*
des 18 et 25 mai — soit l’édi
tion quotidienne, du 17 mai
au 1 er juin.
Si, d’autre part, ils désirent
se limiter aux Petites Annon
ces, ils peuvent, pour 120
francs, en faire passer une
de 20 mots chaque jour, dans
les douze numéros quotidiens
qui paraîtront pendant la
durée de la Foire.
Nous ferons connaître le
tarif de toute autre publicité
à ceux qui nous en ferons la
demande soit par lettre, 2 et
4, rue Martel, Paris (10°),
soit par téléphone : Pro
vence 04-03 et la suite.
■t, qui le
; à fra
sat ' ■ ntit
it rivalis
le Bm
ibv i-lli
e coûter
nillions!
ron, 3 a
Nous savons que l’action du
Gouvernement français s’est ma-
nilestée pour d’autre» articles que
es dentelles, et notamment en fa-
tur des industries de la gante-
fie, des cloches et chapeaux de
feutre, etc...
NOS TELEPHONES
imes
R.). .
N. Y. K.)
(M. Ml
. M.).
(N. Y. K
aie
la Suisse est allée plus loin
encore dans cette voie. Un vaste
liment de protestation contre
"elevation des barrières douaniè-
L’installation à Paris
des centraux automatiques
Le programme complet ne sera
terminé qu’en 1938
Sociète Anonyme au Capilai de 560000 francs
Perles Métalliques Diamant
ACIER. COULEURS.ALUMINIUM,OR,ARGENT
21 Rue dHauleviHe
PARIS (109
Tel . Provence s 22
les faits
res américaines a englobé les
Principales industries de la Con-
fderation helvétique ; et son pré-
Wt, M. Musy, rompant résolu-
II avec les vieilles traditions
patiques, n’a pas craint
dresser un télégramme person-
dl président des Etats-Unis
a lui faire entrevoir les consé-
l’application du tarif
sericain, tel qu’il a été adopté
, Pourrait avoir sur les
*• lons commerciales entre les
Marseil deux pays.
urg (M: —
vlt alie, l'Espagne, la Belgique,
©réol erre, l'Allemagne, se sont
nt L.) T LsSsT également des réper-
las[$ que e renforcement de
noneP""caine ""due protectionniste améri-
m g : sur he manquerait pas d’avoir
Y mesusls industries vitales. Des
nuvertnde représailles ont été
e plus nent envisagées. Il ne res-
rts n la coordonner ces ef-
Les prévisions données par l’Ad
ministration des P. T. T., pour la
transformation en automatique des
centraux parisiens, ont dû être
sensiblement modifiées depuis avril
dernier, par suite des délais né
cessaires pour l’installation des
postes.
Sont déjà automatiques : Car
not, Gobelins, Diderot, Vaugirard.
Voici le programme à venir :
1930 : Trudaine, Wagram, Passy,
Nord, Combat, Botzaris.
1931 : Danton, Galvani, Elysées,
Archives, Turbigo, Ségur, Anjou.
Voir la suite en deuxième page
FRANCE. — M. L’Hebeder (S. F.
I. O.), a été élu député de la
l re circonscription de Lorient. 1
• M. Rio, sous-secrétaire d’Etat
à la Marine, a visité hier la
Foire-Exposition de Rennes et
l’Exposition de la Marine.
• La Société Centrale de Sau
vetage des Naufragés a distri
bué, à la Sorbonne, ses récom
penses.
• M. Rockfeller a fait un don
d’un million 250.000 francs à la
Bibliothèque Nationale.
BELGIQUE. — Le roi et la reine
des Belges ont visité l’exposi
tion de Liège qui vient de s’ou
vrir.
ALGERIE. — M. Doumergue a
assisté, à Alger, à une grande
fête indigène. Le chef de l’Etat
a apporté le salut de la France
aux chefs musulmans. D’autre
part, M. Dumesnil a prononcé
un discours à l’inauguration du
monument Viviani.
ALLEMAGNE. — Le Cabinet Brü-
ning est de nouveau en difficul
té. Les démocrates menacent de
retirer du sein du Cabinet leur
représentant, M. Dietrich.
AUTRICHE. — Les Heimwehren
et les socialistes se sont livré
bataille hier, à Vienne, à coups
de pierres. La police a séparé les
manifestants.
ESPAGNE. — Un coup de grisou
s’est produit “dans une galerie
de mine de Paruelo ; 11 mineurs
ont été tués.
ETATS-UNIS. — A Upton (Ken
tucky), de l’oxygène liquide qui
devait servir à faire sauter des
rochers dans une carrière, a
explosé prématurément : 4 tués,
6 blessés.
• La Chambre des Représen
tants a terminé la discussion sur
les nouveaux tarifs douaniers.
Le Sénat sera saisi du projet
dans quelques jours.
INDE. — Des mesures ont été
prises à la frontière du Nord-
Ouest. On parle de l’envoi de
renforts de troupes britanni
ques.
UJN RESTAURANT DAMS UN AUTOBUS
1930
t 0 (
NDRES Torts, et
des
TOINON
GRAIN FIN MAROCAIN
ET D’UN TOMBANT MERVEILLEUX
EST
UNIQUEMENT FABRIQUE
PAR
VAN GELDER
Fabrique de Soieries et de Velours
15, rue Grange-Batelière PARIS
Téléph. : Laffitte 78-16 78-17
A propos des dégrèvements fiscaux
et de la réduction de la taxe de luxe
La campagne que nous avons m enée ici même pour obtenir les
dégrèvements fiscaux indispensab les, — campagne qui a été suivie
des résultats que l'on sait, — nou s a valu un grand nombre de let
tres de félicitations.
Nous avons publié, dans notre numéro du 1ef mai, celle de
M. Georges Maus, président de la Fédération des Commerçants-
Détaillants de France.
Nous croyons devoir publier aujourd'hui celle de M. Fouquet-
Lapar, président de la Chambre Syndicale de la, Bijouterie, de la
Joaillerie et de l'Orfèvrerie de Paris, — en raison de l'importance
du groupement qu'il représente :
Messieurs, <
Au nom du Conseil de la Chambre Syndicale, je tiens à
vous adresser tous nos remerciements pour la campagne
que vous n’ayez cessé de mener dans « Les Echos » en vue
d’obtenir le vote des dégrèvements d'impôts et la réduction
de la taxe de luxe.
A l’expression de notre gratitude, je joins les félicitations
de toute notre Chambre Syndicale pour les heureux résultats
auxquels ont abouti vos efforts.
Nos lecteurs savent ce que nous pensons des dégrèvements
votés : ils peuvent apporter une impulsion très marquée à l'éco
nomie nationale : mais il faut ne les tenir encore que pour
l'amorce de la réforme fiscale qui s'impose. C'est assez dire que
nous comptons bien poursuivre notre effort dans ce sens.
Le mécanisme de la loi
sur les Assurances sociales
I. — L‘immatriculation des assurés obligatoires
devra être terminée le 1 er
L’immatriculation des assurés
obligatoires est faite sur la décla
ration des employeurs. C’est eux
seuls qui encourent des pénalités
sévères, prévues par la loi, si les
déclarations ne sont pas effectuées
en temps utile.
Elles devront
faites le
juin
après le I e
déclaration
juillet prochain, une
devra être fournie,
dans les huit jours de l’embau
chage, pour tous les salariés non
encore immatriculés. Les em
ployeurs devront donc demander à
tout ouvrier ou employé qu’ils em
baucheront, et rentrant, par son
salaire, dans la catégorie des as
surés obligatoires, sa carte d’assu-
rance. Si le salarié ne la présente
pas, il devra faire l’objet d’une
déclaration. En aucun cas, étant
donné les pénalités sévères qui
sont prévues à son encontre, pour
défaut de déclaration, l’employeur
ne devra se contenter de l’affir-
mation qui lui serait faite par le
salarié qu’il est déjà immatriculé.
Comment doit être évalué le
1 er juin 1930 au plus tard, pour
tous les salariés employés à la date
du 15 mai.
Cependant, nous rappelons que
l’Administration a mis en route le
travail d'immatriculation dès le
1 er février dernier et que de nom
breuses déclarations ont déjà été
envoyées par les employeurs. Cel
les-ci n’ont donc pas à être renou
velées pour la partie du personnel
déjà déclaré. Mais les déclarations
antérieures devront être complé
tées. En effet, celles-ci ne compor
taient pas l’indication du salaire,
car la loi du 5 avril 1928 permet
tait de se passer de ce renseigne
ment pour procéder à l’immatricu
lation. La loi rectificative du
30 avril 1930 décide, par contre,
que les assurés obligatoires sont
classés, d'après leur salaire, en
cinq catégories auxquelles corres-
pondent des cotisations et des pres
tations en argent différentes. On
doit donc, maintenant, connaître
le salaire de l’assuré pour effec
tuer l’immatriculation.
L’Administration précisera in-
cessamment comment elle entend
obtenir les renseignements complé
mentaires qui lui sont nécessaires
pour les déclarations'déjà faites.
En attendant, et pour éviter aux
employeurs d’avoir à fournir ces
renseignements pour les salariés
qu’ils vont déclarer à partir de
maintenant, nous leur recomman
dons de compléter les formules de
déclarations du modèle ancien
(qui vont, d’ailleurs, être modifiées
et complétées) par l’indication du
salaire journalier ou mensuel al
loué aux intéressés.
En période normale, c’est-à-dire
salaire ?
Nous avons publié, dans notre
édition hebdomadaire du 4 mai,
le tableau des catégories d’assu-
rés obligatoires classés d’après les
salaires.
Aucune difficulté ne se présente
si le salaire est payé exclusive
ment en espèces.
Lorsque le salaire comporte à la
fois une somme d’argent et des
avantages en nature (nourriture,
logement, etc.), l’Administration a
fait connaître que l’on pouvait
prendre pour base les chiffres sui
vants :
Nourriture : entre 5 et 10 francs
par jour ; nourriture et logement :
entre 6 et 12 francs par jour, sui
vant les régions.
Tous les salai res d oi vent être
déclarés.
Les sociétés féminines de Cologne viennent d’installer un restau
rant automobile qui transporte des vivres et des boissons dans les
fabriques, chantiers, terrains de sport, etc... éloignés des centres
habités. On peut s’y procurer pour 50 pfennigs une portion
chaude de viande avec légumes.
rer une démarche collective
turopzereSentants des puissances
raitrasnneS à Washington ne pa-
Le nullement déplacée.
pusoment d'agir est d’autant
R nortun que le projet de
- i initif et ‘Pas encore devenu dé-
1.P dessinelun revirement parait
’ , ue amas" dans l'opinion publi-
123 5
ori g'
2S. <
les
w.YORK
3925
486 18
28:: 123
s.ven"""
o-notatl"
. Par5
NC am.: . 1 u pmion puDil-
entere J icaine. La presse tout
e violenn est émue. Elle s'élè-
Araivemen ’ bien qu’un peu
I0ns de à contre les augmenta-
SSaye de droits de douane et
1 leur Soulever les électeurs
t Que nontrant les répercus-
K coût enouveau tarif aurait
11 " de la vie.
La déclaration doit être faite
pour tous les salariés sans distinc
lion, français et étrangers, âgés de
moins ou de plus de 60 ans, même
pour ceux qui sont déjà bénéficiai-
res d’une retraite.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.32%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.32%.
- Auteurs similaires Servan Schreiber Robert Servan Schreiber Robert /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Servan Schreiber Robert" or dc.contributor adj "Servan Schreiber Robert")Servan Schreiber Émile Servan Schreiber Émile /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Servan Schreiber Émile" or dc.contributor adj "Servan Schreiber Émile")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bd6t5112219b/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bd6t5112219b/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bd6t5112219b/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bd6t5112219b/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bd6t5112219b
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bd6t5112219b
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bd6t5112219b/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest